Utilisation de Macrolophus caliginosus sur plantes relais en culture de tomate de serre
|
|
- Anatole Bois
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Domaine expérimental Alénya-Roussillon ALENYA Tél Adresse électronique : ridray@supagro.inra.fr Utilisation de Macrolophus caliginosus sur plantes relais en culture de tomate de serre Compte rendu de l essai préliminaire mené en serre 3 en 2007/ 2008 De nombreuses contraintes pèsent aujourd hui sur la protection biologique des cultures de tomate de serre. Il s agit, pour une grande part, d inter actions négatives entre les auxiliaires utilisés et le système cultural (effeuillage des plantes, protections chimiques contre les ravageurs et les maladies fongiques aériennes, etc ), dont certaines sont relativement récentes (modifications des consignes de chauffage des serres en hiver). En conséquence, les stratégies d apport d auxiliaires habituellement pratiquées par les serristes du sud de la France manquent globalement d efficacité, et l essor de la protection biologique est freiné. D où la recherche de nouvelles stratégies plus performantes et mieux adaptées aux conditions de culture des exploitations. Objectifs de l expérimentation : Le principal objectif de cette première approche porte sur l étude de l introduction de Macrolophus caliginosus sur plantes relais et notamment, l observation de l évolution de la répartition spatio-temporelle de la punaise à partir de celles ci. Il s agit de savoir, d une part, comment la punaise prédatrice colonise la culture de tomate et d autre part, en combien de temps cette colonisation est effective et capable de contrer le développement de l aleurode. Secondairement, le but est de savoir si l on peut mathématiser cette répartition, de façon à déterminer la meilleure densité et la position des plantes relais en culture. Méthodologie expérimentale : 1. Caractéristiques culturales : Un compartiment de serre en verre de 9.6 m de large et 307 m² (nommé C3). Double aération continue au faîtage. Absence de filets anti-insectes sur les ouvrants et SAS anti-insectes sur la porte d accès. Chauffage de type thermosiphon au sol (eau à 85 C) et tubes de croissance (eau de 20 C à 45 C). Conduite hors sol sur laine minérale à drainage recyclé. Hybride de type grappe : Sartylia (Gautier). Densité de plantation : 2.4 plantes/m². Semis du 14/11/07 et élevage sous filet anti-insecte. Mise en place des plants en serre du 19/12/07. Plantation du 15/01/08. Effeuillages raisonnés réalisés au sécateur pulvérisateur Felco n 19 avec Microdochium dimerum (ANTIBOT Agrauxine) à 10 7 spores /ml. 1
2 2. Conditions climatiques appliquées : La conduite climatique hivernale s est déroulée suivant un mode «classique» en maintenant la serre entre le seuil minimal de 14 C et le seuil d aération de 22 C. La baisse des températures nocturnes n a été effective qu à partir du 24 janvier compte tenu du stade des plantes. SERRE 3 températures moyennes en C Diurnes Nocturnes 24 H Pondérées 28-déc 11-janv 25-janv 8-févr 22-févr 7-mars 21-mars 4-avr 18-avr 2-mai 16-mai 30-mai 13-juin 27-juin dates 3. Dispositif d introduction des auxiliaires et conduite de la PBI : L essai s est déroulé dans les conditions d une infestation naturelle de Trialeurodes vaporariorum qui a été détecté sur panneaux de contrôle dès le 24/12/07. La représentation schématique page 4, ainsi que les tableaux page 5 retracent dans le temps les introductions d auxiliaires et les différentes actions de protection menées sur cette culture. Préparation et calendrier de production des plantes relais : Pour cette première expérimentation, le choix de la plante relais s est porté sur le tabac pour des raisons de facilité de contrôle des insectes sur les feuilles. Les tabacs blonds de type Nicotiana tabacum (variété Virginie) ont été semés le 25/10/07 sous filet antiinsecte de type Bemisia, puis repiqués le 23/11/07 en godets de 0.75 litre et enfin 2
3 transplantés le 13/12/07 en pots de 5 litres. Ces plants, chauffés à 22 C ont disposé d un éclairage d appoint de 5 heures par jour à partir du 07/11/07. Introduction de Macrolophus caliginosus sur les plantes relais : Le 28/12/07, 4 plantes de tabac (au stade 6 feuilles développées) ont été isolées dans des cages insect-proof individuelles et placées dans l entrée de la serre 3. Chaque plante à été «infestée» en Macrolophus, après apport d œufs d Ephestia kueniella à la dose de 0.5 g / plante. 337 Macrolophus ont été distribués par plante (253 adultes et 84 larves), soit une dose totale pour la serre de 4 individus par m 2. Les prédateurs, prélevés à l aspirateur le jour même, proviennent de l élevage de masse local de la station expérimentale. Mise en place des plantes relais : La sortie des cages et la mise en place définitive des 4 plantes relais notées Ia, Ib, IIa, et IIb a été effectuée le 11/01/08 soit 14 jours après l introduction des Macrolophus suivant le plan annexé. La serre a été divisée virtuellement en 4 parties égales, chaque plante de tabac est installée en position centrale d une zone couvrant une surface culturale d environ 75 m 2. Nourrissage des plantes relais : Au départ, nous avions prévu de différencier le nourrissage des plantes Ia et Ib (élargi progressivement à toute la zone) de celui des plantes IIa et IIb (exclusif sur ces 2 plantes). Cependant, compte tenu de la très faible population de larves émergées sur la plante IIb (pour des raisons inconnues), cette différentiation ne s est pas faite et les 3 plantes Ia, Ib, et IIa ont été nourries de la même façon (6 apports de 0.5 g / plante de tabac, de l introduction des Macrolophus au 08/02/08. Apports d Encarsia formosa : Suite à la détection des premiers aleurodes, une série de 15 apports d E. formosa aux doses variant entre 1.5 et 3 puparium / m2 a été réalisée du 03/01/08 au 15/04/08. Autres protections biologiques : Lutte contre l oïdium : La lampe à soufre (lampe NIVOLA réglée en position 1, de 22h à 1h toutes les nuits, 120 grammes de soufre remplacés tous les 15 jours) a été utilisée depuis le 07/01/08 jusqu à la fin de la culture. Lutte contre Botrytis cinerea : Application systématique lors de tous les effeuillages réalisés au sécateur pulvérisateur FELCO 19 de Microdochium dimerum souche L13 (ANTIBOT) dosée à 10 7 spores/ml (soit 5grammes / litred eau) (en accord avec la société Agrauxine). Elle s est déroulée du 05/02/08 au 10/07/08. Protection contre les mouches mineuses et les thrips : Un traitement par pulvérisation a été réalisé le 10/12/07, en pépinière de plants, avec abamectin (VERTIMEC à la dose de 50 cc / hl). Suite à la présence des premières mines, 4 apports de Diglyphus isae ont étés effectués du 19/02/08 au 08/04/08 à la dose de 0.7 insectes / m 2. Protection contre les acariens : L apparition de plantes atteintes d acariose bronzée a nécessité le recours à 2 traitements acaricides. Un traitement localisé à base de TORQUES effectué le 27/06/08, puis un traitement à base de TORQUES + NISSORUN réalisé le 28/07/08. Protection contre les noctuelles : Deux applications de BT ont été effectuées en fin de culture les 28/07/08 et 05/08/08 avec DELFIN. 3
4 Itinéraire en serre 3 15 lâchers d Encarsia de 1.5 à 3 / m² / semaine Semaines introduction de 4 Macrolophus / m 2 sur plantes relais VERTIMEC pose des 4 plantes relais 6 apports d Ephestia sur plantes relais Effeuillages avec Microdochium Semis Mise en place culture Lampe à soufre PLENUM + SYSTANE Fin de culture 1ers Trialeurodes 4 lâchers de Diglyphus 4
5 Calendrier d apport des auxiliaires en serre 3 date semaine cible nature dose commentaire 28/12/07 52 aleurodes 337 insectes Macrolophus caliginosus + Infestation de 4 plantes de g / Ephestia kueniella tabac sous filet anti-insecte plante relais 03/01/08 1 aleurodes Encarsia formosa 2.5 / m2 1 er apport 11/01/08 2 aleurodes Mise en place des plantes relais - 4 plantes de tabac 08/01/08 2 aleurodes Encarsia formosa 2.5 / m2 2 ème apport 15/01/08 3 aleurodes Encarsia formosa 2.5 / m2 3 ème apport 18/01/ Ephestia kueniella 0.5 g / plante sur 4 plantes de tabac 22/01/08 4 aleurodes Encarsia formosa 2.5 / m2 4 ème apport 25/01/ Ephestia kueniella 0.5 g / plante sur 4 plantes de tabac 29/01/08 5 aleurodes Encarsia formosa 2.5 / m2 5 ème apport 01/02/ Ephestia kueniella 0.5 g / plante sur 4 plantes de tabac 05/02/08 6 aleurodes Encarsia formosa 2.5 / m2 6 ème apport 08/02/ Ephestia kueniella 0.5 g / plante sur 3 plantes de tabac 12/02/08 7 aleurodes Encarsia formosa 1.5 / m2 7 ème apport 19/02/08 8 aleurodes Encarsia formosa 2.5 / m2 8 ème apport 19/02/08 8 mineuses Diglyphus isae 0.7 m2-28/02/08 9 aleurodes Encarsia formosa 2.5 / m2 9 ème apport 28/02/08 9 mineuses Diglyphus isae 0.7 m2-04/03/08 10 aleurodes Encarsia formosa 3 / m2 10 ème apport 12/03/08 11 aleurodes Encarsia formosa 3 / m2 11 ème apport 19/03/08 12 aleurodes Encarsia formosa 3 / m2 12 ème apport 19/03/08 12 mineuses Diglyphus isae 0.7 m2-27/03/08 13 aleurodes Encarsia formosa 3 / m2 13 ème apport 04/04/08 14 aleurodes Encarsia formosa 3 / m2 14 ème apport 08/04/08 15 mineuses Diglyphus isae 0.7 m2-15/04/08 16 aleurodes Encarsia formosa 3 / m2 15 ème apport Autres interventions phytosanitaires en serre 3 date semaine cible nature dose commentaire 10/12/07 50 mineuse VERTIMEC 50 cc/hl en pépinière 07/01/08 2 oïdium Lampe à soufre 4 heures / nuit - 05/02/08 6 botrytis solution de Microdochium dimerum (Agrauxine Biorize) 10 7spores /ml sécateur pulvérisateur à chaque effeuillage jusqu au 10/07/08 Macrolophus 30/05/08 22 PLENUM 50 + SYSTANE MAX 40 g / hl + 30 cc / hl généralisé + oïdium Acariose Localisé sur 27/06/08 26 TORQUES 100 cc / hl bronzée foyers Acariose 100 cc / hl +50 cc / hl + 28/07/08 31 bronzée + TORQUES + NISSORUN + DELFIN généralisé 75 g / hl noctuelles 05/08/08 32 noctuelles DELFIN 75 g / hl généralisé 5
6 4. Mesures et contrôles : Les observations et contrôles ont porté sur la dynamique des populations de ravageurs et d auxiliaires présents sur les plantes. Les dénombrements d insectes sur plantes entières ont été effectués hebdomadairement du 11/01/08 au 10/04/08 de façon à bien observer la distribution des Macrolophus. Chaque semaine, à partir de la mise en place des plantes-banques, 7 plantes de tomate par plante banque sont observées, soit 28 plantes au total pour la serre. Pour effectuer les échantillonnages puis pour traiter les données, 4 zones sont virtuellement constituées autour de chaque plante de tabac (zones 1 à 4). Les plantes échantillonnées sont choisies individuellement dans une zone plus ou moins éloignée de la plantebanque, de façon à prendre en compte la distribution du prédateur à la fois dans le sens des rangs de tomate et dans celui des entre-rang (voir plan). Le comptage des insectes porte sur le nombre d adultes et de larves âgées d aleurodes, de pupes noires d E. formosa et d adultes et de larves de M. caliginosus par plante de tomate. Avant chaque contrôle, ces plantes sont déterminées aléatoirement et de façon identique pour les quatre plantes-banques. Les contrôles ne peuvent pas porter sur les mêmes plantes d une semaine à l autre. A la fin de l essai, lorsque les Macrolophus sont répartis dans toute la serre, les plantes de tabac sont observées et la population résiduelle y est dénombrée avant l enlèvement de ces plantes. 6
7 7
8 Principaux résultats et observations : Evolution globale des populations : Aleurodes : Les premiers Trialeurodes ont été repérés au moment de la mise en place de la culture ce qui a justifié l introduction d Encarsia. 15 apports aux doses variant de 1.5 à 3 puparium / m 2 / semaine ont été réalisés à compter de début janvier, pendant la période de répartition des prédateurs. D une façon générale, le ravageur a été correctement contrôlé pendant toute la durée de la culture. Fin avril, la population de T. vaporariorum n excédait pas 5 individus adultes et larves L4 par plante. La répartition du ravageur, représentée par le graphique p 11, est homogène dans les quatre zones autour des plantes relais jusqu à la semaine 15. La population de larves est restée très faible jusqu à la fin des contrôles et aucune présence de fumagines n a été observée. A la fin mai, la population du ravageur a brusquement augmenté suite à une entrée massive de Trialeurodes adultes consécutive à l arrachage de cultures dans l environnement proche de la station. Sous l effet d une part d une forte population de Macrolophus présente, et d autre part d un traitement PLENUM 50 WG effectué le 30 mai pour réguler les Macrolophus devenus trop nombreux, celle ci a régressé rapidement sous le seuil de 10 individus par plante. Encarsia : Le parasitisme d E. formosa s est exprimé à partir du 20 mars à un niveau relativement faible (inférieur à 20 %). Macrolophus : Le 23 janvier, soit 29 jours après l infestation, on assiste à l émergence d une grande quantité de jeunes larves de Macrolophus sur 3 des 4 plantes de tabac (la plante IIb reste «vide de toute émergence» sans que l on ne comprenne pourquoi.). Lors du contrôle du 1 er février, les premières larves sont repérées sur les plantes de tomate jouxtant sur les double rangs les 3 plantes de tabac(ia, Ib et IIa), avec des effectifs pouvant dépasser 200 individus par plante. Ces mêmes plantes extériorisent d ailleurs des symptômes caractéristiques de jaunissements à l extrémité des feuilles basses de la plante (dus aux piqûres des feuilles par le prédateur). Ces symptômes se «diluent» au fur et à mesure que l on s éloigne de la plante relais en relation directe avec les effectifs de larves présents sur ces plantes. Jusqu à la mi-mars, la répartition des larves va s effectuer de façon progressive depuis les 3 plantes de tabac, intéressant principalement les plantes situées de part et d autre de celles ci sur le double rang de tomate (zone 1). Les comptages laissent alors apparaître des variations importantes suivant les plantes échantillonnées avec des effectifs importants comptabilisés sur le rang, sur les plantes les plus proches. Comme le montrent respectivement l évolution des populations (p10) et les graphiques de répartition des larves et des adultes de Macrolophus sur les quatres zones identifiées (p11 et 12), à partir du début avril (semaine 14), on assiste d une part à une augmentation importante de l effectif de M. caliginosus correspondant à la deuxième génération de larves nées dans la culture (plus de 20 individus en moyenne par plante)et, d autre part, à une homogénéisation de la répartition du prédateur dans la serre. Ainsi, 10 semaines soit 71 jours auront été nécessaire pour assurer la colonisation du prédateur dans l ensemble de la culture à partir des trois plantes relais. 8
9 Pour étudier de plus près la répartition des Macrolophus à partir des plantes de tabac, nous avons graphiquement positionné les nombres de larves et d adultes dénombrés sur les plantes en fonction de la distance aux plantes de tabac, puis nous avons fait passer une régression non-paramétrique montrant l évolution moyenne des nuages de points. Les dates d observation ont été regroupées pour disposer de suffisamment de points. Ainsi, comme le montre par exemple la figure des larves p 9, on voit entre les semaines 6 et 10 une augmentation importante des nombres de larves corrélée avec une montée brutale des distances moyennes. nb de larves / plante Evolution de la répartition des larves par période A partir de la semaine 15 (10 Avril) et, jusqu au 30 Mai, la population de M. caliginosus est élevée avec environ 30 individus larves plus adultes par plante et bien répartie sur l ensemble des plantes de la serre. Des débuts de dégâts du prédateur (piqûres et chutes de fleurs) sont observés ce qui justifie deux applications de PLENUM 50 WG effectuées respectivement les 30 Mai et 20 Juin. Une réduction de l effectif de prédateurs d environ un tiers est alors enregistrée sur la fin de la culture. 9
10 Conclusions : Testée pour la première fois en 2008, cette nouvelle méthode d introduction de M. caliginosus sur plantes relais de tabac a montré une efficacité intéressante dans la lutte contre les aleurodes. 29 jours après l infestation des plantes relais on constate une forte émergence de larves du prédateur sur ces plantes qui marque le début de la colonisation de la culture. Celle ci se fait d une part, et majoritairement, grâce à une migration progressive des larves du prédateur depuis les plantes de tabac intéressant essentiellement le sens des rangs de tomate et, d autre part, à partir de quelques adultes colonisant la culture. La colonisation proprement dite s échelonne sur une dizaine de semaines environ. Dès le mois d avril, la technique a permis de générer une forte population de M. caliginosus (voisine de 30 individus / plante) bien répartis dans la culture. Cela a permis de contrôler correctement une infestation massive de T. vaporariorum intervenue à la mi-culture. Aleurodes / plante Evolution globale des populations en serre 3 Distribution des Macrolophus Entrée d Aleurodes Macrolophus / plante Macrolophus adultes Macrolophus larves Aleurodes larves Aleurodes adultes Pupes noires Installation plantes relais Lâcher d'encarsia Traitement insecticide 0 déc janv févr mars avr mai juin juil 0 10
11 nb. / plante 10 Répartition des aleurodes adultes et larves en serre C3 ( moyenne des 3 plantes relais Ia, Ib et IIa) 8 zone 1 zone 2 zone 3 Zone semaine Répartition des larves de Macrolophus en serre C3 (moyenne des 3 plantes relais Ia, Ib et IIa) zone 1 zone 2 zone 3 Zone 4 nb. larves / plante semaine 11
12 40 Répartition des adultes de Macrolophus en serre C3 (moyenne des 3 plantes relais Ia, Ib et IIa) 30 zone 1 zone 2 zone 3 Zone 4 nb. adultes / plante semaine 12
Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)
Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»
Plus en détailCHOU BIOLOGIQUE. Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires
CHOU BIOLOGIQUE Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires Essai de plein champ conditions expérimentales 1 Auteurs : Christian ICARD (Ctifl-SERAIL), Nadine
Plus en détailAuxiliaires. Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels
Auxiliaires Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels Mouches Blanches L un des ravageurs les plus communs dans de nombreuses cultures. Lors d une forte attaque, la mouche blanche peut s avérer
Plus en détailBILAN DE LA CAMPAGNE 2014
BSV n 13 bilan saison 214 Epidémiosurveillance BRETAGNE-NORMANDIE-PAYS DE LA LOIRE : Bilan de la Saison 214 SOMMAIRE BILAN DE LA CAMPAGNE 214 Les observateurs Les observations Les Bulletins de Santé du
Plus en détailPrincipes généraux de la lutte intégrée sur cultures maraîchères en Polynésie française
Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement Ministère de l'agriculture et de l'élevage Service du Développement Rural Département Agriculture Principes généraux
Plus en détailÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS
ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS CAROLINE PROVOST, MANON LAROCHE, MAUD LEMAY LES OBJECTIFS Objectif principal:
Plus en détailvérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises
Avant d utiliser des produits chimiques, vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web www.biobest.be Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises
Plus en détailRecettes maison contre les ravageurs et les maladies par M. Jean-Claude Vigor
Recettes maison contre les ravageurs et les maladies par M. Jean-Claude Vigor MISE EN GARDE : Les recettes de pesticides «maison» présentées ci-dessous (destinées à un usage domestique) sont données à
Plus en détailPermet plus de souplesse au niveau du raisonnement de la lutte contre les organismes nuisibles
Atelier Biocontrôle Matthieu BENOIT Chambre régionale d agriculture de Normandie - arboriculture Action pilotée par le ministère chargé de l'agriculture, avec l appui financier de l Office national de
Plus en détailMise à jour : octobre 2014
Mise à jour : octobre 2014 Les conditions de culture sous abri sont favorables à la mise en œuvre de stratégies de protection intégrée qui donnent priorité à des méthodes alternatives aux produits phytosanitaires.
Plus en détailBULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté
BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté Bulletin N 11-24 juillet 2015 INSCRIPTIONS Si vous ne recevez pas le BSV Légumes chaque semaine, vous pouvez vous inscrire aux listes diffusion de votre choix
Plus en détailBULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL PAYS DE LA LOIRE >>> MARAICHAGE
BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL 2 AOÛT 2012 Retrouvez le Bulletin de santé du végétal sur le Web! www.draaf.pays-de-la-loire.agriculture.gouv.fr www.agrilianet.com - www.fredonpdl.fr Les maladies du feuillage
Plus en détailLa lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie
La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures Geneviève Labrie La lutte intégrée Portrait des dommages au Québec Financière agricole du Québec 880 avis de dommages depuis 2008 224 avis
Plus en détailAFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014
AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014 ETUDE DES METHODES DE LUTTES CONTRE LE VER BLANC DES CEREALES (GEOTROGUS DESERTICOLA BLANCH.) DANS
Plus en détailTétranyques à deux points: stratégies de contrôle
Tétranyques à deux points: stratégies de contrôle Par Jean-Paul Soucy, agr. Les acariens nuisibles en serre Tétranyque à deux points Tétranyque de Lewis Acariens des bulbes Mite du cyclamen/tarsonème du
Plus en détail2. Les auxiliaires de culture
III- Maîtriser les ravageurs et les adventices 2. Les auxiliaires de culture Insectes Le principe de la lutte biologique est la régulation des populations de ravageurs de culture par l utilisation de leurs
Plus en détailBien choisir sa variété de maïs ensilage
Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention
Plus en détailJournées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013
Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Principe: Favoriser la biodiversité fonctionnelle sur l exploitation -Impact très souvent sous estimé de la faune auxiliaire naturellement présente -Importance
Plus en détailPetits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE. Description. Identification
Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE Identification Nom français : Punaise terne Nom latin : Lygus lineolaris Nom anglais : Tarnished plant bug Ordre : Hemiptera Famille
Plus en détailPuceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte
Puceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte Daniel Cormier, Ph. D. Institut de recherche et de développement d en agroenvironnement inc.. (IRDA), Québec, Canada Pourquoi
Plus en détailContacts. Juin 2014 CONSEILS DE SAISON
Juin 2014 CONSEILS DE SAISON Les fortes chaleurs dans les abris et en sont favorables au développement des ravageurs : thrips, acariens notamment sur cucurbitacées, aubergine,etc. Les auxiliaires naturels
Plus en détailFiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon
Fiche Technique sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre (Solanum tuberosum L.) au Cameroon I. JUSTIFICATION La pomme de terre est une culture importante qui participe à la sécurité alimentaire
Plus en détailEvaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne
VITICULTURE 27 Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne Marc Chovelon Grab Mathieu Combier Chambre d Agriculture du Var Gilles Masson Centre du
Plus en détailVITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE
VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :
Plus en détailInformations techniques sur la culture de l ananas
Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant
Plus en détailRésumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011
Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Brigitte Duval, agronome (MAPAQ Nicolet) et Geneviève Labrie, Ph.D. (CÉROM) en collaboration avec Joëlle Cantin, stagiaire, Mathieu
Plus en détailFiche 2 Voici un tableau donnant les mesures du rythme cardiaque de trois personnes avant et après une activité sportive (footing ).
Fiche 1 Exercice 1 : Dans un élevage de punaises, on trouve des individus de formes différentes (des œufs, des jeunes et des adultes) que l on a représentés ici dans le désordre. Numérote de 1 à 4 les
Plus en détailUn peu d histoire. Lutte biologique. Que retirer de l expérience des producteurs de légumes de serre?
Lutte biologique ------------------------------ Un peu d histoire ------------------------- Que retirer de l expérience des producteurs de légumes de serre? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome, M. Sc. Conseiller
Plus en détailPRATIQUES PHYTOSANITAIRES RESPECTUEUSES DE L ENVIRONNEMENT : LA LUTTE BIOLOGIQUE
PRATIQUES PHYTOSANITAIRES RESPECTUEUSES DE L ENVIRONNEMENT : LA LUTTE BIOLOGIQUE 1. DEFINITIONS «Lutte biologique ou biological control : utilisation par l homme d ennemis naturels tels que des prédateurs,
Plus en détailBiologie du psylle Inventaire des auxiliaires spontanés Evaluation de leur impact réel sur la saison
ELEMENTS DE BIOLOGIE DU PSYLLE DE L ELAEAGNUS, CACOPSYLLA FULGURALIS (KUWAYAMA, 1908) [HEMIPTERA : PSYLLIDAE] ET RELATIONS AVEC SES AUXILIAIRES SPONTANÉS A. FERRE ET M. BEAUJEAN LIFE HISTORY TRAITS OF
Plus en détailGuide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs
Lesauxiliaires auxiliaires Les enarboriculture arboriculture en Guide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs Insectes pollinisateurs : respecter les
Plus en détailRESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008
C.R.E.A.B. MIDI-PYRENEES CENTRE REGIONAL DE RECHERCHE ET D EXPERIMENTATION EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE MIDI-PYRENEES RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008
Plus en détailFiche technique n 1 : le logement construction des boxes.
Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation
Plus en détailContre les Insectes en Général
les Insectes en Général Nettoyant, désodorisant Le Bicarbonate De Soude a bien des vertus! Derrière sa poudre blanche, fine et sans odeur se cache un puissant insecticide biodégradable et non toxique pour
Plus en détailOuverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique
Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement
Plus en détailNote technique. Consommation électrique d'un poêle à granulés à émission directe
Note technique Consommation électrique d'un poêle à granulés à émission directe Version / Date Version 1.0 du 06/02/2012 Auteur David Chénier 2012, Amoès SAS. Toute utilisation, reproduction intégrale
Plus en détailProblématiques et solutions de la saison 2010: insectes et acariens
Problématiques et solutions de la saison 2010: insectes et acariens Par : JONATHAN ROY, agronome Conseiller en agriculture biologique MAPAQ - Chaudière re-appalaches Journée e d information d «Serres modiques
Plus en détailProtéger. son animal. la gamme FRONTLINE. grâce à la gamme. Contre les puces et les tiques. Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie,
la gamme Frontline Contre les puces et les tiques Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie, aux bains et aux shampooings (2) Protéger son animal grâce à la gamme FRONTLINE La gamme FRONTLINE
Plus en détailVers de la grappe Eudémis (Lobesia botrana) Vers de la grappe Cochylis (Eupoecilia ambiguella)
LE GUIDE VITI D Principaux ravageurs: INSECTES Vers de la grappe Eudémis (Lobesia botrana) Symptômes Les chenilles pénètrent dans les boutons floraux, puis confectionnent un glomérule ou nid (plusieurs
Plus en détailStratégies gagnantes dans la lutte contre certains insectes ravageurs des cultures maraichères biologiques. Jean Duval, agronome
Stratégies gagnantes dans la lutte contre certains insectes ravageurs des cultures maraichères biologiques Jean Duval, agronome Éléments de stratégies gagnantes Identification et dépistage Lutte culturale
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailLes futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca
Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca Phéromones d alarme. En phase de recherche. Aldéhydes 4-oxo-hexénal et 4-oxo-octénal chez les punaises de
Plus en détail1 Le chauffage des serres agricoles
1 Le chauffage des serres agricoles 1.1 Introduction Les serres offrent aux maraîchers et aux horticulteurs la possibilité de maîtriser le climat (température, humidité et lumière) et de produire, au moment
Plus en détailPrésentation du projet
Présentation du projet «L énergie solaire, un moteur pour le centre de santé de Dioumanzana» au Mali Pays Lieu d intervention Début du projet Durée du projet Objectif : Nombre de bénéficiaires Budget :
Plus en détailMesures préventives suggérées afin d éviter une infestation dans l établissement
MESURES DE PRÉVENTION POUR LES ÉTABLISSEMENTS OFFRANT DE L HÉBERGEMENT Les travailleurs œuvrant dans les établissements de santé ou communautaire offrant de l hébergement sont susceptibles d être confrontés
Plus en détailThème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique
Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification
Plus en détailBulletin de santé du végétal
Tous fr uitiers Le réseau d épidémio-surveillance en arboriculture (pomme, poire, cerise, prune) pour la région Centre comprend actuellement 44 parcelles tous piégeages confondus. Le réseau «carpocapse
Plus en détailFertiliser le maïs autrement
Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein
Plus en détailResolution limit in community detection
Introduction Plan 2006 Introduction Plan Introduction Introduction Plan Introduction Point de départ : un graphe et des sous-graphes. But : quantifier le fait que les sous-graphes choisis sont des modules.
Plus en détailCOMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
COMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Objet du Marché : Procédure adaptée pour «entretien des espaces verts de la commune de Pont à Marcq» Année 2013 Maître d ouvrage : Commune
Plus en détailécologique Guide des arbres Ornement fruitier forestier Exigences culturales, maladies, ravageurs, protection biologique ÉLISABETH & JÉRÔME JULLIEN
ÉLISABETH & JÉRÔME JULLIEN Guide écologique des arbres Ornement fruitier forestier Exigences culturales, maladies, ravageurs, protection biologique Préface de Denis Cheissoux Sang de la Terre et Groupe
Plus en détailUNEP /UNESCO /UNCH / ECA
UNEP /UNESCO /UNCH / ECA URBAN POLLUTION OF SURFICIAL AND GROUNDWATER AQUIFERS VULNERABILITY IN AFRICA Bénin, Guinée, Niger, Mali, Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso AQUIFERE SUPERFICIEL ET POLLUTION
Plus en détailLISTE DE TOUS LES CONTRATS
LISTE DE TOUS LES CONTRATS COMPORTANT UNE DÉPENSE DE PLUS DE 25 000 $ ou COMPORTANT UNE DÉPENSE DE PLUS DE 2 000 $ CONCLUS AVEC UN MÊME COCONTRACTANT LORSQUE L ENSEMBLE DE CES CONTRATS COMPORTE UNE DÉPENSE
Plus en détailNouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX.
Coup de tonnerre dans les raccourcisseurs Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX. Trimaxx est un nouveau raccourcisseur pour céréales à paille et féveroles doté d une formulation Son absorption
Plus en détailPOUR VENTE POUR UTILISATION DANS L EST DU CANADA ET EN COLOMBIE-BRITANNIQUE COMMERCIAL
PMRA Approved April 22, 2010 GROUPE 3 INSECTICIDE INSECTICIDE decis 5 CE POUR VENTE POUR UTILISATION DANS L EST DU CANADA ET EN COLOMBIE-BRITANNIQUE COMMERCIAL NUMÉRO D HOMOLOGATION 22478 LOI SUR LES PRODUITS
Plus en détailAGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS
AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS CONCOURS EXTERNE ÉPREUVES D ADMISSION session 2010 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE-OPTION DU SECTEUR A CANDIDATS DES SECTEURS B ET C
Plus en détailL opération étudiée : le SDEF
L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3
Plus en détailLe rôle des haies dans le maintien et le développement des auxiliaires de culture et les pollinisateurs
Le rôle des haies dans le maintien et le développement des auxiliaires de culture et les pollinisateurs A LES INSECTES UTILES : LES POLLINISATEURS Ce sont essentiellement les insectes de l ordre des Hyménoptères
Plus en détailCe qu'il faut retenir
N 10 5 juin 2015 Ce qu'il faut retenir Balanin : des balanins sont présents en verger et d'après les dissections de femelles et de mâles, les accouplements devraient commencer dans les prochains jours.
Plus en détailEvaluation de la mise en œuvre des formations CRM & FH
Evaluation de la mise en œuvre des formations CRM & FH 20 Décembre 2005 Evaluation de la mise en œuvre CRM & FH Objectif des travaux Evaluer la mise en œuvre de la formation de type CRM pour PNT, PNC,
Plus en détailPetit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis
Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détailLa reconnaissez- vous?
La reconnaissez- vous? Qu est ce qu une puce? C est un insecte piqueur sans ailes de couleur brune mesurant quelques millimètres et ayant la capacité de sauter 30 fois sa longueur. L espèce Cténocephalidès
Plus en détailGrandes cultures n 15 du 10 mars 2015
1 A retenir cette semaine - Très nette accélération des stades phénologiques. - 81% des cuvettes piègent des charançons de la tige du colza cette semaine. Le risque va s amplifier en fin de semaine avec
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailEtude de faisabilité
Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un
Plus en détailREPOBIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana-Fahafahana-Fandrosoana
REPOBIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana-Fahafahana-Fandrosoana CONTEXTE 2 INTRODUCTION... 2 I. QUELQUES DEFINITIONS ET CONCEPTS... 2 I.1. Qu est ce que les archives?... 2 I.2. Pourquoi archiver?... 2 I.3.
Plus en détailPrecor MD EC. CONCENTRÉ ÉMULSIFIABLE Empêche l'émergence des puces adultes à l intérieur des bâtiments
2013-06-24 2012-4592 Carton October 2008 Precor MD EC CONCENTRÉ ÉMULSIFIABLE Empêche l'émergence des puces adultes à l intérieur des bâtiments COMMERCIAL AVERTISSEMENT: IRRITANT POUR LES YEUX ET LA PEAU
Plus en détailL ENTRETIEN de Recherche
L ENTRETIEN de Recherche I. UTILISATION DE L ENTRETIEN DE RECHERCHE I.1. L entretien Exploratoire I.1.A. Caractéristiques Techniques Des Entretiens Exploratoires I.1.B. Fonctions De L entretien Exploratoire
Plus en détailCe qu'il faut retenir
N 26 7 Août 2015 Ce qu'il faut retenir Prairie Quelques chenilles présentes. Soja ANIMATEURS FILIERE Céréales à paille DESIRE Sylvie / FDGDON 64 s.desire@pa.chambagri.fr Suppléance : ARVALIS a.carrera@arvalisinstitutduvegetal.fr
Plus en détailNous prøsentons dans ce document notre questionnaire et les røponses telles que nous avons re ues, dans leurs intøgralitøs.
Nous prøsentons dans ce document notre questionnaire et les røponses telles que nous avons re ues, dans leurs intøgralitøs. Questionnaire: (q Oui q Non) (q Oui q Non) espaces verts? (q Oui q Non) q IntØressantes
Plus en détailLa culture de la fraise à jours neutres
La culture de la fraise à jours neutres INTRODUCTION : Introduite en 1985 par l'université Laval à titre d'essai, la culture de la fraise à jour neutre est restée une production marginale au Québec. Le
Plus en détailPUNAISES DE LIT. prévention et intervention
PUNAISES DE LIT prévention et intervention À quoi ressemble la punaise de lit? La punaise de lit, aussi appelée punaise, est un insecte brunâtre visible à l œil nu qui mesure de 4 à 7 millimètres. Elle
Plus en détailFORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc)
87 FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc) Dans le cadre de la réforme pédagogique et de l intérêt que porte le Ministère de l Éducation
Plus en détailAGIRFINANCES. Votre partenaire Budget. Son objectif est de vous permettre d établir votre budget.
Votre partenaire Budget Ce guide vous est offert Son objectif est de vous permettre d établir votre budget. Pourquoi? Parce que sans cette étape, il n est pas possible de bien gérer son compte bancaire
Plus en détailSurveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis
Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis Asian longhorned beetle (ALB) Longicorne asiatique Photo LNPV DRAAF - SRAL ALSACE Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailIRBMS. Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM. Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT»
IRBMS http://www.irbms.com Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT» Auteur(s) : J.-D. Guieu Catégorie : Sport Santé
Plus en détailBulletin d information
Bulletin d information CULTURES EN SERRES No 17 1 er mars 2004 RÉGULATEURS DE CROISSANCE EN ORNEMENTAL : GUIDE DES BONNES PRATIQUES La majorité des régulateurs de croissance employés en floriculture sont
Plus en détailBilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes
ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193
Plus en détailStratégie d intervention contre les insectes secondaires de la pomme de terre
Stratégie d intervention contre les insectes secondaires de la pomme de terre Rapport de recherche No. 217-T Présenté au : Par : M. Bruno Bélanger, agr. M.Sc. Institut de recherche et de développement
Plus en détailETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE
ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE PROJET D AMÉNAGEMENT D UN CENTRE DE STOCKAGE DE SEDIMENTS Commune de Bessines-sur-Gartempe Maître d Ouvrage AREVA Etablissement de Bessines 1, Avenue du Brugeaud 87250 Bessines
Plus en détail16 insecticides naturels et sans risque
16 insecticides naturels et sans risque Moustiques: essayez le géranium Pour repousser rapidement les moustiques, essayez l huile essentielle de géranium rosat. Extraite des feuilles de la plante, cette
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailSOMMAIRE ETUDE DU MOIS : FISCALITE MOBILIERE
SOMMAIRE ETUDE DU MOIS : FISCALITE MOBILIERE TITRE 1 : REGIME FISCAL DES PERSONNES PHYSIQUES I- PERSONNES PHYSIQUES RESIDENTES 2 A- TAXATION DES PROFITS DE CESSION 2 a- Champ d'application de la taxe 2
Plus en détailFICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE
FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE 2 I- JUSTIFICATION La consommation de la pastèque est en nette expansion en réponse à une forte demande nationale et régionale ; Cependant la production
Plus en détailHACCP et sécurité sanitaire des aliments
HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et
Plus en détailNormes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs)
105 Annexe 3 Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) On trouvera ci-après une description succincte des NIMP adoptées. Le texte intégral des NIMP peut être consulté sur le Site
Plus en détailLa notion d accident de trajet
La notion d accident de trajet Article juridique publié le 06/02/2015, vu 1161 fois, Auteur : Maître Joan DRAY La notion d accident de trajet est distincte de celle d accident du travail et bénéficie d
Plus en détailBilan Carbone des interventions viticoles
Chambre d agriculture de Vaucluse Bilan Carbone des interventions viticoles Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse Tél : 04.90.23.65.65 fax : 04.90.23.65.40 email : accueil@vaucluse.chambagri.fr
Plus en détailValérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015
Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;
Plus en détailTCS, strip-till et semis direct
Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement
Plus en détailTechniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage
Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage Romain LEGERE- Arvalis(station de la Jaillière Collaboration Bruno Couilleau-CA44 (Ferme de Derval) Techniques agronomiques innovantes
Plus en détailAcquisition. d une centrale de surveillance des températures CAHIER DES CHARGES. Maître de l'ouvrage :
Acquisition d une centrale de surveillance des températures CAHIER DES CHARGES Maître de l'ouvrage : INSTITUT NATIONAL DE LA RECHERCHE AGRONOMIQUE Etablissement public à caractère Scientifique et Technologique
Plus en détailNOTICE D INFORMATION À L ATTENTION DES BÉNÉFICIAIRES POTENTIELS DE LA PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES
NOTICE D INFORMATION À L ATTENTION DES BÉNÉFICIAIRES POTENTIELS DE LA PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES Cette notice présente les principaux points de la réglementation. Lisez-la avant de remplir la demande.
Plus en détailMESURES DE BRUIT A l ÉTAT INITIAL
DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION D EXPLOITER UNE UNITE DE METHANISATION DE MATIERES ORGANIQUES Siège social : FRANCE BIOGAZ VALORISATION 12 rue Finkmatt 67000 STRASBOURG Tél. : 03 88 23 47 72 Fax : 03
Plus en détailIn t r o d u c t i o n
In t r o d u c t i o n Qu allez-vous trouver dans ce livre? Ce livre présente une méthode en six étapes pour élaborer votre plan de formation. Son objectif est de vous permettre de concevoir un plan qui
Plus en détailPROJET D ELECTRIFICATION PAR CENTRALE HYBRIDE SOLAIRE-DIESEL A DJENNE ------ TERMES DE REFERENCE
MINISTERE DE L ENERGIE ET REPUBLIQUE DU MALI DE L HYDRAULIQUE Un Peuple Un But Une Foi ***** ***** DIRECTION NATIONALE DE L ENERGIE ***** PROJET D ELECTRIFICATION PAR CENTRALE HYBRIDE SOLAIRE-DIESEL A
Plus en détail4. Résultats et discussion
17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les
Plus en détailChapitre 4 : Le transistor Bipolaire
LEEA 3 ème A, C. TELLIER, 28.08.04 1 Chapitre 4 : Le transistor Bipolaire 1. Structure et description du fonctionnement 1.1. Les transistors bipolaires 1.2 Le transistor NPN Structure intégrée d'un transistor
Plus en détail