KECHICHE Naouel STABILISATION DE L EQUATION DES ONDES AVEC DES COEFFICIENTS VARIABLES ET CONDITIONS AUX LIMITES DYNAMIQUES
|
|
- Rémi Bureau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 MINISTÈRE DE L ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITÉ DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE HOUARI BOUMEDIENNE FACULTÉ DE MATHÉMATIQUES Mémoire présené pour l obenion du diplôme de Magiser en mahémaiques Spécialié : Analyse : Équaions aux dérivées parielles Par KECHICHE Naouel THÈME STABILISATION DE L EQUATION DES ONDES AVEC DES COEFFICIENTS VARIABLES ET CONDITIONS AUX LIMITES DYNAMIQUES Souenue publiquemen le:././4 devan le jury composé de: Professeur à L U.S.T.H.B Présiden. Mr. Ammar KHEMMOUDJ M.de conférences à L U.S.T.H.B Direceur. Professeur à L U.S.T.H.B Examinaeur. Professeur à L U.S.T.H.B Examinaeur.
2 Chapire Inroducion La Théorie du Conrôle des Equaions aux Dérivées Parielles (EDP) inervien dans di érens conexes e de plusieurs manières. Les problèmes de conrôlabilié, d observabilié e de sabilisaion des équaions aux dérivées parielles on fai l obje, récemmen, de nombreux ravaux. La sabilisaion a pour bu d aénuer les vibraions par réro-acion (feedback); elle consise donc à garanir la décroissance de l énergie des soluions vers de façon plus ou moins rapide par un mécanisme de dissipaion. Plus précisémen, le problème de sabilisaion auquel on s inéresse revien à déerminer le comporemen asympoique de l énergie que l on noe E() (c es la norme des soluions dans l espace d éa), à éudier sa limie a n de déerminer si cee limie es nulle ou pas. Il exise plusieurs degrés de sabilié que l on peu éudier. Le premier degré consise à analyser simplemen la décroissance de l énergie des soluions vers zéro, i.e. : E()! ; lorsque! +: C es ce que l on appelle la sabilisaion fore. Pour le second, on s inéresse à la décroissance de l énergie la plus rapide, c es-à-dire lorsque celle-ci end vers de manière exponenielle, i.e. : E() Ce ; 8 > ;
3 . Inroducion où C e son des consanes posiives. Quan au roisième, il éudie des siuaions inermédiaires, dans lesquelles la décroissance des soluions n es pas exponenielle, mais du ype polynomial par exemple E() C ; 8 > ; où C e son des consanes posiives. Il y a d aure degrés de sabilié qu on a pas cier. Dans ce mémoire on éudie la décroissence exponenielle de l énergie des soluions lorsque le emps end vers l in ni de l équaion des ondes semi linéaire amories avec des coe ciens variables e des condiions aux limie dynamiques. Ce problème modilise les vibraions d un corpe élasique recouver d une couche mince sur le bord. bu du ravail on considére le problème suivan: 8 >< >: u div(aru) div(aru ) = ; u (x; ) = ; v (x; ) = a u u + div (A rv ) r jv j m v (x; ) + jvj p v ; (u (x; ) ; v (x;)) = (u (x) ; v (x)) ; (u (x; ) ; v (x; )) = (u (x) ; v (x)) x ; > x ; > x ; > x (..) Où (u; v) = (u (x; ) ; v (x; )),, x, es un domaine régulier e borné de R N, (N = [, mes( ) >, \ =? e A = (a ij ) es une de marice, a ij (x) = a ji (x) son des foncions de C (R n ) dans R = P n i;j= a j i, = ( ; ; :::; n ) T désigne la dérivée normale uniaire de exérieure de, A = A, e m, a, e r son des consanes posiives, p > e u ; u v ; v son des foncions données. Pour des raisons de simplicié, dans ce mémoire on considére le cas où a =. :
4 . Inroducion On suppose que les opéraeurs di erenielles de deuxième order A e A véri en la condiion d ellipicié uniforme On suppose que nx nx a ij (x) i j > i ; x ; 6= = ( ; ; :::; n ) T R n : (..) i;j= i;j= nx a ij (x) i j > ; x R n ; 6= = ( ; ; :::; n ) T R n : (..3) i;j= Dans ce ravail on considére le problème (..) e on monre que si les données iniiales son dans "l ensemble sable", les condiions de la soluion Reseran ainsi oujaurs les mêmes. En oure, nous allons monrer que la présence de puissanes forces d amorissemen la soluion end à zéro de manière uniforme e avec un aux de décroissance exponenielle, même si l amorissemen de la fronière es non linéaire i.e. m >. Pour obenir nos résulas, en uilisan nous la méhode puis de poeniel avec la méhode de l énergie modi e. on considére les espaces où e munis des normes suivanes: V = (u; v) H () H ( ) : u= = v H = u H () : u= = H =L () L ( ): k(u; v)k H = juj L () + jvj L ( ) k(u; v)k V = juj H () + jvj H ( ) V e H son des espace de Hilber e V es dense dans H e injecion coninue. 3
5 .. Noe hisorique sur la noion de sabilisaion exponenielle de l équaion des ondes l énergie associée au probléme (..) es dé nie par E () = h ku k + kv k ; + kr guk + (rg ) v i : ; Donnons mainenan un bref résumé du conenu de ce documen. Dans le premier chapire es consacré aux dé niions e aux rappels de quelque noions de base d analyse foncionnelle. Dans le deuxième chapire :on éudie l exisence e l unicié de la soluion du problème (..) e ce chapire compore deux secion Dans la premier secion on éudie l exisence e l unicié locale de la soluion du problème (..), on uilise la méhode de faedo -Galarkin e le héorème de l applicaion conracane. Dans la deuxième secion on monre que si les données iniiales son dans le l ensemble sable, e nous allons alors monrer l exisence globale de la soluion. Dans le roisième chapire on moner que l équaion des ondes avec condiions aux limie dynamique exponeniellemen sable.. Noe hisorique sur la noion de sabilisaion exponenielle de l équaion des ondes Ce secion a pour bu de rappeler les ravaux principaux sur la décroissance exponenielle de l énergie d un sysème gouverné par des équaions aux dérivées parielles (appelé sysème disribué). Cee noion a pris, sous l in uence des ravaux de D.L.Russell (cf.[8]) le nom de sabilisaion fronière ou inerne exponenielle... Sabilisaion fronière d un exemple modèle Soi un domaine borné de R n ; n, don la fronière es `: es de classe 4
6 .. Noe hisorique sur la noion de sabilisaion exponenielle de l équaion des ondes On désigne par le champ uniaire normal à la fronière exérieur à, e l opéraeur de dérivaion dans cee direcion. On appelle sabilisaion fronière de l équaion des ondes dans, avec une condiion de Dirichle homogène e une condiion de Newmann non homogène considérées respecivemen sur e, où ( ; ) es une pariion de, la donnée d un opéraeur (appelé opéraeur de feedback fronière) F : V H! K où V, H, K son des espace de foncions ou de disribuions, els que l énergie associée à la soluion du problème 8 u u = dans R + >< >: u = sur R u = F (u; u ) sur R + u (x; ) = u dans R + u (x; ) = u dans R + décrois de manière exponenielle quand! +, e ceci pour ous u ; u pris dans des espaces convenables. Remarque.. Le problème de sabilisaion fronière consise à exhiber un opéraeur de feedback fronière de elle sore que l énergie E () du sysème véri e E () C exp ( ) ; 8 : où C e son des consanes posiives es appelé aux de décroissance de l énergie. Dé niion.. On dé ni aussi la noion d opéraeur de feedbach inerne G : V H! K 5
7 .. Noe hisorique sur la noion de sabilisaion exponenielle de l équaion des ondes (où V ; H; K son des espaces de foncions ou de disribuions), ensuie on s inéresse au comporemen asympoique de l énergie associée au problème 8 >< >: u u = G (u; u ) dans R + u = sur R u = F (u; u ) sur R + u (x; ) = u dans R + u (x; ) = u dans R + Remarque.. A vrai dire la noion de sabilisaion fronière n pas propre aux condiions de Dirichle homogène e Neumann non homogène, ni même à l équaion des ondes; on peu se poser ce genre de problème pour ou sysème évoluif, avec condiions aux limies choisisses de sore que le problème soi bien posé... Noe hisorique On a vu ci-dessus que les problèmes de sabilisaion exponenielle, que l on peu se pose pour les sysème évoluifs consise à rouver un opéraeur de feedback fronière ou inerne de sore que l énergie du sysème décroisse en exponenielle. On va rappeler, d une manière brève les di érenes phases qu à connues la noion de sabilisaion exponenielle, sans vraimen renrer dans les déails, ou préendre que ce aperçu hisorique soi exhausif. Les ravauxde C. S. Morawez En 959, en analysan l expression explicie de la soluion obenue par séparaion des variables de l équaion des ondes dans un domaine non borné de R 3, C. Wilcox (cf. [3]) a réussi à monrer que l énergie locale, décroi de maniéré exponenielle quand le emps end vers l in ni. Sous les hypohèse plus générales que celle de C. Wilcox, en 96 C. S. Moraweez (cf. [5]) a monré que l énergie locale, décroi comme l inverse du emps. En combinan leurs méhodes, P. D. Lax, C. S. Morawez e R. S. Phillips (cf. [7]) on prouvé en 963, que l énergie locale associée à la soluion de 6
8 .. Noe hisorique sur la noion de sabilisaion exponenielle de l équaion des ondes l équaion des ondes dans un domaine de R 3, exérieur à un domaine éoilé, décroi de manière exponenielle quand le emps end vers l in ni. Les ravaux de G.Chen e de J.Lagnese En se basan sur les ravaux de C. S. Morawez (cf. [5] e [9]) sur l équaion des ondes dans un domaine exérieur, D. L. Russell a conjecuré, en 974, un phénomène analogue pour l équaion des ondes dans un domaine borné. Énoncé de la conjecure (cf. [9]) Soi un domaine borné de R 3, s il exise un poin x R n, exérieur à el que le bord de, noé, admee une pariion véri an la condiion géomérique suivane: m (x) : (x) ; pour ou x : où - (x) désigne la normale uniaire exérieur à : -m (x) = x x, pour ou x R n : 3- = [ ; \ = : Alors il exise deux consanes, C e w posiives elles que l énergie associée au sysème évoluif 8 u u = dans R + >< >: u = sur R + u + u = sur R + u (x; ) = dans R + u (x; ) = u dans R + ; (..) où L ( ), e (x) > ; 8x ; véri e l inégalié suivane E () C exp ( w) ; 8 : En 977, J. P. Quin e D. L. Russell cf. [7]) son parvenus à monrer, sous les hypohèses de la conjecure de Russel, l inégalié E () C (E ()) ; 8 : (..) + 7
9 .. Noe hisorique sur la noion de sabilisaion exponenielle de l équaion des ondes Mais malheureusemen, ils n on pas réussi à moner que C (E ()) véri e C (E ()) k:e () : (..3) où k es une consane qui ne dépend ni de E () ni de emps. Il es inéressan de savoir qu à parir de (..) e (..3) on peu déduire la décroissance exponenielle de E () par une simple applicaion des propriéés des semi groupes (cf. (7]). Le primer résula posiif consernan la conjecure de Russell, a éé obenu en 979 par G. Chen, en paran des hypohèses suivanes: il exise un poin x R n el que m (x) : (x) ; pour ou x (..4) m (x) : (x) > ; pour ou x : - (x) désigne le champ uniaire normal exérieur à : -m (x) = x x, pour ou x R n : 3- = [ : Ensuie, en adapan les echniques, en pariculier la echnique des muliplicaeurs, uilisées par C. S. Moraweez, W. A. Srauss e J. U. R alson, dans les domaines exérieurs, G. Chen (cf. [6]) a pu alléger les hypohèses (..4), ces résulas on éé améliorés par J. Lagnese (cf; [3]), en 983, sous l hypoénuse il exise un champ de veceur h ` n el que : 8 >< >: la j m (x) : (x) ; pour ou x : m (x) : (x) > ; pour ou x : Les ravaux de I. Lasiecka e R. Triggiani i es uniformémen dé nie posiive sur : En 987, uilisan des méhodes di érens de celles de chen e Lagnese, I. Lasicka e R. Triggiani (cf. [6]) on pu redémonrer les résulas de chen e Lagnese pour l équaion des ondes avec une condiion de Dirichle non homogène sur ou le bord : 8
10 .. Noe hisorique sur la noion de sabilisaion exponenielle de l équaion des ondes Il fon appel à un opéraeur de feedback fronière donnée par : F (u; u ) (Gu ) ; sur : où b L ( ), e b (x) b > ; pour ou x suivan :, e G es l inverse de l isomorphe qu on noe G = ( ) : ( ) : H () \H ()! L () : Dans ous les ravaux, dans un domaine borné, cié ci dessus l inégalié E () C exp ( w) ; 8 : A éé obenue, à parir d une esimaion sur R E () d; en uilisan un résula du à R. Dako (cf. [7]) e A. Pazy (cf. [6]), malheureusemen ce héorème prouve l exisence des consanes C, e w sans donner des esimaions explicies. On remarquer que lorsque la fronière, la condiion (..4) exige que \ = (..5) Les ravaux de V. Komornik e E. uazua En 987, V. Komournik e E. uazua on allégé la condiion (..4) de G. Chen en la remplaçan par m (x) : (x) > ; pour ou x : donc permean, en principe, de généraliser les résulas de Chen e langnese aux domaines à bords réguliers e connexes, mais au prix de remplacer la condiion aux limies, du problème (..), sur R + u = m:u, R + Si saisfai à la condiion (..5), alors pour ou n ; la méhode de Komornik e uazua (cf []) donne, d une manière simple des esimaions explicies pour C e w en foncion de géomérie de e x : 9
11 .. Noe hisorique sur la noion de sabilisaion exponenielle de l équaion des ondes Leur procédé devien inapplicable dans le cas général où \ 6= (..6) car dans ce cas la régularié des soluions n es pas su sane pour jusi er l applicaion de la méhode des muliplicaeurs. Ce pendan, la même année (987), P. Grisvard es parvenu à monrer (cf. [8]) que, au moins pour n 3, l idenié fondamenale, sur laquelle es basée la echnique des muliplicaeur de Komornik e uazua, devien une inégalié qui es su sane pour mener les calcules a bou e obenir une décroissance exponenielle de l énergie, avec des esimaion explicies pour C e w. Le cas n 4, sans l hypohèse (..5) res ouver; à moins que l inégalié de Grisvard ne puisse ére prouvée dans ce cas; alors le procédé de sabilisaion de Komornik e uazua peu ere appliqué avec e cacié. Les ravaux de J. L. Lions En 986, Lions a élaboré une méhode générale de sabilisaion exponenielle pour oue les sysème linéaires réversibles exacemen conrôlables. Son précédé repose esseniellemen sur la héorie du conrôle opimale e la méhode de pénalisaion. Mais il ne donne méhode explicie pour consruire l opéraeur de feedback, ni d esimaion sur le aux de décroissance de l énergie.
12 Chapire Noions d analyse foncionnelle: Dans ce chapire, on vas rappeler des noions essenielles d analyse foncionnelle nécessaire à la compréhension des énoncés on vas aussi démonrer des problèmes qui formen le hème de ce mémoire. Topologie faible (X; X ) Soi X un espace de Banach e soi f X X l espace dual de X : On désigne par ' : X! R l applicaion dé nie par ' f (x) = hf; xi :Lorsque f parcour X on obien une famille ' f d applicaions de X dans R. fx. La opologie faible (X; X ) : Dé niion.. La opologie faible (X; X ) sur X es la opologie lamions ne sur X rendan coninues oues les applicaions ' f fx : Pour dé nir cee opologie d une façon plus précise il su de dé nir une base de voisinage pour ou élémen x X comme sui: Éan donné un poin x X on obien une base de voisinages de x pour la opologie (X; X ) en considéran les ensembles de la forme \ finie ' f (V f ) ; ou V f es un voisinage de ' f (x) dans R. (i.e. V f = ]a "; a + "[ avec a = hf; xi) : Dé niion.. On di qu une suie (u n ) nn de veceurs d un espace de Hilber X converge faiblemen vers u X, e on noe u n * u, si
13 .. La opologie faible (X; X ) : lim n! hv; u n i = hv; ui pour ou v X: Remarque.. a)-la limie faible quand elle exise es unique. En e e si hu ; vi = hu ; vi pour ou v X; on a pour v = u = u ku u k = hu u ; u u i = donc u = u (On peu perender v X, car X es espace de Hilber, donc X = X (héorème de Riesz). b)-si la suie (u n ) nn converge vers u X pour la norme (on di alors qu elle converge foremen vers u) alors u n * u. En e e, on a jhu n u; vij ku n uk kvk : Ce qui implique que hu n u; vi! quand, n! : c) Si X es de dimension nie alors la convergence faible implique la convergence fore: Il su de considéré la base e ; :::; e n e d observer que hu; e i i = u i pour u X ce qui moner que la convergence faible équivau alors à la convergence composane par composane, c es à dire à la convergence fore. Proposiion.. Soien X e des espaces de Hilber, (u n ) nn X une suie qui converge faiblemen vers u e l (X; ) opéraeur linéaire coninu de X dans : Alors la suie (A (u n )) nn converge faiblemen vers A (u) Preuve : En e e, pour ou v, la foncion u 7! ha (u) ; vi es linéaire coninu car jha (u) ; vij kak kvk kuk ; 8u X; 8v Il exise donc w X (w = A (v)), A es l adjoin de A) el que On a alors, pour ou v X ha (u) ; vi = hu; wi pour ou u X lim ha (u) ; vi = lim hu n; wi = hu; wi = ha (u) ; vi : n! n!
14 .. La opologie faible (X; X ) : Théorème.. Soi (u n ) nn une suie bornée dans un espace de Hilber X. Alors la suie(u n ) nn posséde une sous -suie faiblemen convergene. Théorème.. Toue suie faiblemen convergene dans un espace de Hliber X es bornée. Corollaire.. Soien (u n ) nn une suie qui converge faiblemen vers u e (v n ) nn une suie qui converge foremen vers v. Alors lim hu n; v n i = lim hu; vi n! n! Dé niion..3 Soi X un espace normé, e soi X = l (X; R) son dual opologique. Alors la opologie éoile faible sur X noée (X ; X) es la opologie iniiale associée au sysème (R; ; u ) ux ou désigne la opologie usuelle de R e u : X! R es dé nie par u (l) = l (u) : C es donc la moins ne des opologie sur X rendan coninues oues les foncionnelles u ; u X: Proposiion.. Soi (f n ) nn une suie de X. On a / f n! f ( éoile faible ) () (hf n ; xi! hf;xi ; 8x X) : / Si f n! f pour (X ; X) e x n! x foremen dans X, hf n ; xi! hf n ; xi : Remarque.. L espace X des foncionnelles linéaires sur un espace X adme deux inerpréaions: -Ou bien il es considéré comme le dual de l espace iniial X. -Ou bien X es considéré comme espace de base e alors on lui associe son dual X " : Cela signi e que nous pouvons inroduire sur X la opologie faible de deux maniérés di érens: -Ou bien comme dans l espace des foncionnelles, en dé nissan les voisinages dans X à l aide des sous-ensembles nie de X (opologie éoile faible ), -Ou bien comme dans l espace de base, à laide de l espace dual X ". Dans le cas d un espace 3
15 ré exif cela revien, bien sur, au même... Espace foncionnels Si, par coner, l espace X n es pas ré exive, ce son deux opologie différenes sur X. Il es éviden que la opologie éoile faible de l espace X es moins ne que la opologie faible de X (c es -à- dire la opologie faible conien au moin d ensembles ouvers que ceux de la opologie faible éoile ). Éan donné un espace normé X, son dual opologique X es muni d une srucure d espace normé en posan klk = sup jl (u)j : kuk La boule unié de X (ainsi que oues les boules fermées ) possédé alors une propriéé remarquable, comme le monre le héorème suivan. Théorème..3 Soi X un espace normé, alors la boule unié de X es (X ; X)compace. B = fl X : klk g. Espace foncionnels.. Espace L P () : On rappelle ici quelques dé niions e propriéés élémenaires : Soi p R avec p < e un ensemble au sens de Lebesgue de R n, on dé ni L p () = classe de foncions f :! R : f mesurable e R jf (x)jp dx < : On noe kfk p = jf (x)j p dx : Si p =, on noe L () l espace des foncions mesurables esseniellemen bornées sur 8 < L () = : f :! R : f mesurable e il exise une consane C elle que jf (x)j C p:p sur 9 = ; : 4
16 .. Espace foncionnels On noe Noion : kfk = inf fc > ; jf (x)j C p:p sur g = sup ess jfj : Soi p ;on désigne par p l exposan conjugué de p i.e. p + p = : Inégalié de Hölder Théorème.. (Inégalié de Hölder) Soien f L p () e g L p () avec p alors fg L () kfgk L () kfk L p () kgk L p () Il convien de reenir une conséquence rés uile de l inégalié de Hölder Inégalié de Hölder généralisée Corollaire.. (Inégalié de Hölder généralisée) Soien f ; f ; :::; f k des foncions elles que f i L p i () ; i k avec p = p + p + ::: + p k : Alors le produi f = f f :::f k apparien à L p () e kfk p kf k p ::: kf k k pk : Théorème.. L p () es ré exif pour < p < : lemme de Gronwall Lemme.. (de Gronwall).Soien g une foncion L (; T ) ; g () ; p:p: [; T ] ; a une foncions L (; T ) Alors une foncion a () ; p:p: [; T ] : On suppose g () a (s) g (s) ds + ; p:p: [; T ] : g () exp a (s) ds ; p:p: [; T ] : 5
17 .. Espace foncionnels.. Noions de base sur les disribuions: On appelle suppor d une foncion ' :! R le plus pei fermé k ' en dehors duquel la foncion ' es nulle presque parou. Une foncion ' :! R es die à suppor compac dans si son suppor es un compac conenu dans. On noera par D () l espace des foncions ' dé nies e indé nimen dérivables sur e à suppor compac conenu dans : On désigne par D l espace des resricions à des foncions de D (R n ) : La longueur d un muli-indice = ( ; :::; i ; :::; n ) N n es l enier noé jj e dé ni par: jj = + ::: + i + ::: + n : Pour ou muli-indice = ( ; :::; i ; :::; n ) N n ;on dé ni l opéraeur de : D ()! D () '! i ' ::: i n ' (') :::@x i Proposiion.. 8p, l ensemble D () es dense dans L p () : i :::@x n n Preuve :.Vo-kHAC KHOAN en donne une démonsraion dans [6] en page 48. Convergence dans D () Dé niion.. Convergence dans D () : on di qu une suie f' n ; n Ng D () converge vers une foncion ' D () s il exise un compac K coninu dans el que : i) supp (' n ) K, 8n N (' n ) converge uniformémen ' n ; 8 = ( ; :::; i ; :::; n ) N n Espace des disribuions D () Dé niion.. Espace des disribuions D () : On appelle espace des disribuions sur, l ensemble D () des applicaions linéaires T : D ()! R elles que pour oue suie f' n ; n Ng D () ; on a: 6
18 .. Espace foncionnels ' j jn! ' dans D () =) T ' j! T (') dans R On noera ht; 'i = T (') la dualié enre D () e D () : E on dira, que deux disribuion T e T sur son égales si elles le son en an qu applicaion de D () dans R: ht ; 'i = ht ; 'i; 8' D () Remarque.. Les disribuions généralisen la noion de foncion puisque à oue classe de foncions f L () on peu associer de façon canonique e biunivoque une disribuion noée T f ht f ; 'i D ();D() = ht f ; 'i L () = e dé nie par: f (x) ' (x) dx 8' D () e 8f = f p:p sur On dira qu une disribuion T D () apparien à L () s il exise une classe de foncions f L () elle que ht; 'i D ();D() = La convergence dans D () Dé niion..3 Convergence dans D () : f (x) ' (x) dx, 8' D () ; f L () On di qu une suie de disribuions ft n ; n Ng D () converge vers T dans D () si : 8' D () : lim n! jht n ; 'i ht; 'ij = Dé niion..4 On peu ideni er L () à son dual e comme D () es dense dans L () ; on a les inclusions suivanes D () L () = L () D () Dérivaion dans D () Dé niion..5 Dérivaion dans D () : 7
19 .. Espace foncionnels pour oue disribuion T D (), on dé ni pour ou indice i f; :::; ng l opéraeur i : D ()! D () par 8' D () ; ; i = ( i E en général, pour ou muli-indice 8 = ( ; :::; i ; :::; n ) N n, on dé ni l opéraeur de : D ()! D () par :' 7! h@ T; 'i = ( 8' D () i.e Coninuié dans D () h@ T; 'i = ( ) T; :::@x i Dé niion..6 Coninuié dans D () : i :::@x n n ; 8' D () ) 'i On di qu une applicaion linéaire A : D ()! D () es coninue si pour oue suie de disribuions ft n ; n Ng D () l implicaion suivane es véri- é: T n converge dans D () vers T =) A (T n ) converge dans D () vers A (T ) Proposiion.. Pour oue disribuion T D () e pour ou muli-indice = ( ; :::; i ; :::; n ) N n l opéraeur de : D ()! D () es coninu au se de la dé niion précédene e on T D () 8T D () Preuve : Voir en page 83 dans [6] de Vo-kHAC KHOAN 8
20 .. Espace foncionnels..3 Espace de Sobolev: On inrodui l espace H m () comme éan l espace des foncions v L () don oues les dérivées parielles d ordre inférieure ou égale à m-prises au sens des disribuions son dans L () ; ou es ouver borné de R n : Ces espaces jouen un rôle fondamenal dans l éude des équaions aux dérivées parielles. Dé niion..7 Pour m N, on dé ni l espace de Sobolev d ordre m N par: H m () = u D () ; D u L () ; jj m où = ( ; :::; n ), j N; jj = + ::: + i + ::: + n ; e D :::@ n n On muni H m () du produi scalaire (u; v) m X jjm e la norme associée à ce produi scalaire kuk H m () X On inrodui ensuie : jjm jd u (x)j dxa D u (x) D v (x) A dx H () = adhérence de D () dans H () X kd u (x)k dx A : jjm i : = sous-espace de H () des foncions "nulles" sur Puisque (par dé niion) D () es dense dans H () ; on peu ideni er le dual H () de H () à un espace de disribuions sur : 8 < : H () = (H ()) ; H (),! L (),! H (),! D () : Les injecions précédenes son coninues. Proposiion..3 /Si m m ; H m () es conenu, avec injecion coninu, dans H m () : /H m () muni du produi scalaire (:; :) m es un espace de Hilber. 9
21 Théorème..3 (Formule de la Green ) Pour ou u H () ; v H () on a div ruvdx = es la dérivée normale de u à p < vdx dirigée vers l exérieur... Espace foncionnels De façon générale,x éan un espace de Banach, on désigne par L (; T ; X) ; l espace des classes de foncions! f () de ]; T [! X qui son mesurables à valeurs dans X e ells que T kf (x)k p p d si p = ; on remplace la norme précédene par l espace normé L p (; T ; X) es comple. = kf (x)k L (;T ;X) < ; ess sup kfk X = kfk L (;T ;X) < : <<T On dé ni L p (; T ; L p ( )) comme éan l espace des foncions w L p (; T ; L p ( )) elles que w (x; ) = p.p. dans ; où p <, muni de la norme Si q = kwk L q (;T ;L p ( )) = T kw (; x)k q L p ( ) dxd q : kwk L q (;T ;L p ( = sup )) ess kw (; x)k L p ( ) <<T On dé ni de la même façon les espaces L q ; T ; H ( ), p < : Remarque.. Nous rappelons que si X e Y son deux espaces de Banach els que X,! Y (injecion coninue), puis L p (; T ; X),! L p (; T ; Y ) ; p : Nous dé nissons l exposan criique de Sobolev pour l espace foncionnel race par 8 < (N ) q = ; si N 3 N : + si N = ; : (..)
22 .. Espace foncionnels Inégalié de Young Lemme.. (Inégalié de Young ) Soien < q; p < ; + = ;Alors p q on a aussi ab ap p + bq ; (a; b) > ; q 8a; b ; " > ; ab "a + C (") b ; C (") = ("p) q p q ; appelée inégalié de Young avec " l injecion de sobolev Théorème..4 (l injecion de Sobolev) On suppose que ouver borné. Alors il exise une consane sricemen posiive C (dépendan de ) elle que kuk ; C kruk ; 8u H () : E dans cee documen on noe par H () = u H () =u = : E e V = H () L m ( ) kvk = kvk q; +r krvk Y T = f (u; v; u ; v ) : (u; v) C [; T ]; H () H ( ) \ C [; T ]; L () L ( ; (..) (u ; v ) L (; T ; H () H ( )) v L m ((; T ) ) g: (..3)
23 .. Espace foncionnels Muni de la norme: h k(v; v )k Y T = max ku k T + kv k ; + kr guk + (rg ) v i T + kv ; k L m ((;T ) ) + kr g v (s)k ds: Pour m q ; de l inégalié de Poincaré, la coninuié de l opéraeur race sur e Sobolev insérer de cee norme es équivalene à : k(u; v)k = max hkr g uk T + ku k + kv k ; + (rg ) v i : (..4)
24 Chapire 3 Exisence e unicié de la soluion du problème (P) 3. Exisence locale Dans ce mémoire en considéran l équaion suivane 8 >< >: u div(a ru) div(a ru ) = ; u (x; ) = ; h v (x; ) = a u = + div (A rv ) r jv j m v (x; ) + jvj p v ; (u (x; ) ; v (x; )) = (u (x) ; v (x)) ; (u (x; ) ; v (x; )) = (u (x) ; v (x)) ; x ; > ; x ; > ; x ; > ; x ; > ; x ; ; où (u; v) = (u (x; ) ; v (x; )),, x, es un domaine régulier e borné de R N, (N = [, mes( ) >, \ =? e A = (a ij ) es une marice, a ij (x) = a ji (x) son des foncions de C (R n ) dans R = P n i;j= a j i, = ( ; ; :::; n ) T, désigne la dérivée normale uniaire exérieure de, e A = A, e m, a, e r son des consanes posiives, p > e u ; v, u ; v son des foncions données. Pour des raisons de simplicié, dans ce mémoire on considère le cas où a =. 3
25 3.. Exisence locale On suppose que les opéraeurs di ereniells du second ordre A e A en la condiion d ellipicié uniforme nx a ij (x) i j > i;j= On suppose que nx i;j= nx i ; x ; 6= = ( ; ; :::; n ) T R n : i;j= a ij (x) i j > ; x R n ; 6= = ( ; ; :::; n ) T R n : véri- Dans ce chapire, nous allons monrer l exisence e l unicié locale de la soluion du problème (..). Nous allons aussi adaper les idées uilisées par Georgiev e Todorova de [7] dans le cas du probléme à coe ciens consans, qui consisen à consruire des approximaions de Faedo-Galarkin a n d uiliser le héorème de l applicaion conracane. Cee méhode nous perme de réduire les resricions sur les données iniiales. Par conséquen, le même résula peu êre éabli en uilisan la méhode d approximaion de Faedo-Galarkin couplée avec la méhode du puis du poeniel [7]. A cause de la présence de l amorissemen linéaire for div(a ru ) e les condiions aux limies dynamiques sur, on ne peu pas uiliser direcemen le résula d exisence de Todorova de [7], ni le résula de Viillaro [44, 45]. Ainsi, on a le héorème d exisence locale suivan. Théorème 3.. Soien p q e max ; q q+ p m q: Alors, éan donné (u ; v ) H () H ( ) e (u ; v ) L () L ( ), il exise T > e une unique soluion (u; v) du problème (..) dans (; T ) elle que (u; v) C [; T ] ; H () H ( ) \ C [; T ] ; L () L ( ) ; (u ; v ) L [; T ] ;H () H ( ) ; v L m ([; T ] ; ) : Nous allons démonrer ce héorème en uilisan l approximaion de Faedo- Galerkin e le héorème de l applicaion conracane. Pour dé nir la foncion pour laquelle il exise un poin xe, nous allons examiner d abord un problème connexe. 4
26 3.. Exisence locale Pour v C ([; T ]; H ( )) \ C ([; T ]; L ( )) donné, On considère le problème suivan 8 >< >: ' div(a r') div(a r' ) = ; x ; > ; ' (x; ) = x ; > ; (x; ) + div (A r ) r j j m (x; ) + jvj p v x ; > ; ' (x; ) = (x; ) ; ; > ; (' (x; ) ; (x; )) = (u (x) ; v (x)) ; (' (x; ) ; (x; )) = (u (x) ; v (x)) ; x ; > ; (3..) Lemme 3.. Soien p q e max ; q q+ p m q. Ean donnée (u ; v ) H () H ( ) e (u ; v ) L () L ( );il exise T > e une unique soluion ('; ) du problème (3..) dans (; T ) elle que ('; ) C [; T ]; H () H ( ) \ C [; T ]; L () L ( ) ; (' ; ) L (; T ; H () H ( )) L m ((; T ) ) e véri e l idenié de l énergie pour s T: h k' k + kr g'k + k k ; + (rg ) ; T T r k ()k m m; d= s jv ()j p i T T + kr g ' ()k d+ v () () ddx: Pour démonrer ce lemme, on éudie d abord: pour T > e f H (; T; L ( )) le problème suivan 8 >< >: ' div(a r') div(a r' ) = ; x ; > ; ' (x; ) = ; x ; > ; + div (A r (x; ) = 4 r j j m (x; ) + f (x; ) 5 ; x ; > ; ' (x; ) = (x; ) ; x ; > ; (' (x; ) ; (x; )) = (u (x) ; v (x)) ; (' (x; ) ; (x; )) = (u (x) ; v (x)) ; x ; (3..) 5
27 3.. Exisence locale Comme l a fai Doronin e al [3] dans le cadre d un problème à coe ciens consans, il fau préciser exacemen à quel ype de soluion du problème (3..) on s aend. Dé niion 3.. une foncion ('; ) elle que ('; ) L ; T ; H () H ( ) ; (' ; ) L (; T ; H () H ( )); L m ((; T ) ) ; (' ; ) L (; T ; H () H ( )); L (; T ) L ( ) ; (' ; ) L (; T ; L ()) L (; T ; L ( ) ; (' (x; ) ; (x; )) = (u (x) ; v (x)) ; (' (x; ) ; (x; )) = (u (x) ; v (x)) ; es une soluion généralisée du problème (3..), si pour oue foncion w = (w ; w ) H () H ( ), avec w L m ( ) e C (; T ) avec (T ) =, on a l idenié suivane T f; w () d = T + + T T ' () ; w () + Ar' () ; rw () + Ar' () ; rw () () d () () Lemme 3.. Soien p q e max () ; w () r j j m (x; ) ; w () dd div (A r ) () ; w () dd: ; q q+ p m q. Soien (u ; v ) H () H ( )\V; (u ; v ) H () H ( ) e f H ; T ; L ( ), alors pour ou T >, il exise une unique soluion généralisée (dans le sens de la dé niion (3..), ('; ) du problème (3..)). 3.. La démonsraions du lemme 3.. Pour démonrer le lemme ci-dessus, on va uiliser la méhode de Faedo- Galerkin, qui consise à consruire des approximaions de la soluion. On 6
28 3.. Exisence locale obien ensuie des esimaions à priori nécessaires pour garanir la convergence de ces approximaions. Pour évier les di culés renconrées pour esimer (' () ; ()) dans l espace L () L ( ) e suivan les méhodes de Doronin e Larkin dans [] e Cavalcani e al [8], on fai un changemen de foncions, en posan ' (; x) ' (; x) = (; x) (; x) F (; x) avec F (; x) = (; x) = (; x) Les changemen e ecués nous permeen d obenir ' (; x) = ' (; x) u (x) + u (x) v (x) + v (x) div (Ar') = div (A r') + div A r div (Ar' ) = div (A r' ) + div A ' + (; x) ' m v + div A ' (; x) u (x) u (x) u (x) = + = (; x) v (x) v (x) v (x) ' (; x) u (x) u (x) = = : (; x) u (x) u (x) r : + Par conséquen, on a le problème suivan avec l inconnu ' (; x) ; (; x) e des condiions iniiales nulles 8 >< >: ' div (A r') div (A r' ) = div A r + div A r ; x ; > ; ' (x; ) = ; x ; > (x; ) = 4 + ) + div A r + r + m 5 ; x ; > ; (x; ) + (x; ) + f (x; ) ' (x; ) = (x; ) x ; > ; '(x;) (x;) = ' ; (x;) (x;) = ; x ; (3..3) Remarque 3.. Il es bien éviden que si ' (; x) ; (; x) es une soluion du problème (3..3) sur [; T ], alors ('; ) es une soluion du problème (3..) sur [; T ]: Donc l écriure du problème en foncion de ('; ) monre exacemen les régularies nécessaires sur les condiions iniiales (u ; v ) e (u ; v ) pour assurer l exisence. 7
29 3.. Exisence locale Mainenan, on va consruire des approximaions de la soluion du problème ' n ; n par la méhode de Faedo- Galerkin de la maniére suivane Pour chaque n ; soi W n = span fw ; :::; w ngfw ; :::; w ng ; où w j (x) ; w j (x) jn es la base de l espace V. En uilisan le processus d orhogonalisaion de Grahm -Schmid, que on peu prendre, w = fw ; :::; w ng, w = fw ; :::; w ng ; orhonormées dans L () L ( ) : On dé ni les approximaions ' n (; x) ; n (; x) = nx gjn () wj (x) ; j=! nx gjn () wj (x) ; (3..4) où ' n ; n son des soluions pour le problème de Cauchy en dimension nie (écrie sous forme normale puisque w = (w ; w ) es une base orhonormée dans L () L ( ) En muliplian la premièr équaion de (3..3) par wj paries sur, on obien (' n ) wj dx A r (' n + ) rwj dx + ' + wj j= e en inegran par A r ((' n ) + ) rw j dx ' + wj d = : (3..5) De même en muliplian la seconde équaion de (3..3) par w j e en inegran par paries sur n, on obien +r m + + wj d+ A n + rw j d= Mainenan, en combinan (3..5) e (3..6), il vien alors (' n ()) wj dx + A r (' n + ) rwj dx + ' + ' + d+ wj A fw jd: (3..6) A r ((' n ) + ) rw j dx+ n () + r m + + wj d A r n + rwj d = fwj d: (3..7) 8
30 3.. Exisence locale gjn () = gjn () = ; j = ; :::; n; gjn () = gjn () = ; j = ; :::; n; d après le héorème de Carahéodory, voir [], le problème (3..3) adme une soluion (gjn () ; gjn ()) j=;n H 3 (; n ) H 3 (; n ) dé nie sur [; n ). On a besoin mainenan de monrer que: Premièremen que pour ous n N; n = T: Deuxièmemen, que ces approximaions convergen vers la soluion du problème (3..3). Pour ce la, nous avons besoin de deux esimaions à priori, La premiere esimaion à priori pour démoner le premier poin, e la deuxiéme esimaion à priori pour démonrer le second poin, la présence du erme non linéaire jv j p v nous oblige à irer une seconde esimaion à priori pour passer à la limie dans le erme non linéaire. En e e, l ouil clé dans nore preuve es le lemme d Aubin-lions qui uilise la compacié de l inclusion H ( ),! L ( ) : 3.. Première esimaion à priori En muliplian l équaion (3..5) par g jn on rouve (' n ()) gjn () w j dx + A r (' n ) Ar' n gjn () rw j dx + gjn () rw j dx + En muliplian l équaion (3..6) par g jn on obien n () A r gjn () r w j d + Ar g jn () rw j dx+ A r g jn () rw j dx+ (3..8) + r + m + gjn () w j d A r gjn () r w j d = Ensuie, en somman les équaions (3..8) e (3..9) pour obenir (' n ()) gjn () w j dx + A r' n gjn () rw j dx + A r f (; x) g jn () w j dx: (3..9) g jn () rw j dx+ 9
31 + A r (' n ) gjn () rw j dx + A r 3.. Exisence locale g jn () rw j dx+ n () + r + m + gjn () w j d A r gjn () r w j d + A r gjn () r w j d = f (; x) gjn () w j dx: En faisan la somme par rappor a j, on obien + (' n ()) nx j= gjn () w j dx+ A r' n A r (' n ) n () A r nx j= nx j= On rouve, donc + nx j= nx j= gjn () rw j dx+ A r nx j= g jn () rw j dx+ gjn () nx rw j dx + A r gjn () rw j dx+ j= + m nx + gjn () w j d g jn () w j d + r gjn () r w j d+ (' n ()) (' n ()) dx + A r nx j= A r' n (' n ()) dx + j= gjn () r w j d = f (; x) A r (' n ()) dx+ A r (' n ) (' n ()) dx + A r (' n ()) dx+ n () n () d + r + m + n () d A r n () d + A r n () d = f (; x) n () d: En inégran enre e, e en inégran par paries, on obien pour chaque n k(' n ()) k + kr g ' n ()k + k(' n ()) k + (rg ) ; n () + Ar r (' n (s)) dx + Ar r (' n (s)) dx + n (s) + r + m + n dds = ; nx j= g jn () w j dx: + kr g ' n (s)k ds A r r n (s) d f (; x) n (s) dds: (3..) 3
32 On a A r r ce qui donne on a aussi A r r ce qui donne n (s) n (s) dds = dds = A r r (' n ) (s) dds = A r r (' n (s)) dds = A r r n (s) dds A r r n (s) dds A r r' n (s) dds A r r' n (s) dds En uilisan l inégalié de Young, il exise > el que e on a e e e A r r (rg n (s) d ) n ; A r r n (s) d (r g ) n A r r (' n (s)) dxds Ar r' n (s) dxds 3.. Exisence locale A r r n (s) d: A r r n () d: A r r' n () d: A r r' n () d: ds + (rg ) ds; (3..) 4 ; ds + 4 kr g ' n k ds + 4 kr g ' n k ds + 4 (rg ) rg rg Ar r' n (s) dxds kr g ' n k ds + 4 rg ds; D après l inégalié de Young, on obien f (x; ) n (s) dxds C ds; (3..) ds; (3..3) ds; (3..4) f + n (s) dxds: (3..5) 3
33 3.. Exisence locale Le dernier erme du membre gauche de l équaion (3..) peu êre reécri sous la forme r m n + n + n dd = r r n + m n + n + m dd dds; L applicaion de l inégalié de Young nous donne, pour > n + m n m m + dds m m m=(m ) n + m dds+ m dds: (3..6) Par conséquen, en subsiuan les inégaliés (3..)-(3..6) dans l équaion (3..), e en choisissan e assez pei, on obien k(' n ()) k + + kr g ' n ()k + k(' n ()) k ; + + (r g ()) ' n ; + kr g ' n (s)k ds + kr g (' n (s)) k + kr g ' n (s)k + (r g ) n (s) ds + rg ds + rg 4 + (rg ) 4 ds + (rg ) ; 4 ; + (rg ) 4 + ; n + m m dd m n + m dds+ m m=(m ) m ddsc f + m n (s) dxds: Donc k(' n) k + + kr g ' n k + + n ; (rg + ) n + ; kr g ' n (s)k ds kr g (' n (s)) k + kr g ' n (s)k + (rg ) n (s) + C n (s) ; + 4 r g + 4 ; ds+ rg ds (r g ) ds+ (r ; g ) 4 ; ; 3
34 + 3.. Exisence locale n + m m dd m n + m dds+ m m=(m ) m dds + C f dxds: m En appliquan le lemme.. (de Gronwall), (pour assez pei) on dédui k(' n ) ()k + kr g ' n ()k + n où C T es une consane posiive indépendane de n. On dédui aussi () + (r g ) n () C T ; ; ; k(' n ()) k + kr g ' n ()k + n () + (r g ) n () ; ; + kr g ' n (s)k ds + r n + m dd CT ; (3..7) D aure par, l esimaion (3..7) nous donne, n = T; 8n N, c es à dire que ' n ; n nn bornée dans L ; T ; H () H ( ) ; (3..8) ((' n ) ) nn bornée dans L ; T ; L () (3..9) ' n ; n n nn nn bornée dans L bornée dans L ; T ; L ( ) : ; T ; H () H ( ) Mainenan, en uilisan l inégalié algébrique suivane (voire [6]) (A + B) A + B, A, B, ; (3..) on peu rouver des consanes posiives c, c >, elles que n + m dd c n m dds c m dds: (3..) D après l injecion de H (),! L m ( ) ( m q), on conclu que v L m ( ). Par conséquen, à parir des inégaliés (3..7) e (3..); il exise une consane C T ce qui donne > elle que n nn n m dds C T ; es borné dans L m ((; T ) ) : (3..) 33
35 3.. Exisence locale 3..3 Seconde esimaion à priori A n d obenir une seconde esimaion à priori, nous allons d abord esimer les quaniés k(' n ()) k e n () Pour cela, en posan wj ;. = (' n ()) e = dans l équaion (3..5), on obien (' n ()) (' n ()) dx+ A r ' n + r (' n ()) dx+ A r (' n ) + r ('n ()) ' n (' n ) n ()) d + + (' n ()) d = : (3..3) A En posan aussi w j = n () A r e = dans l équaion (3..6), on ' n (' n n () d + + n () d A n n () d + r + m + n () n + r n () d = d: f (; ) n () dxds: (3..4) Mainenan, en somman les équaions (3..3) e (3..4), on rouve (' n ()) (' n ()) dx+ n A r A r ' n + r (' n ()) dx+ n () d + r + m + n () d n + r n () d = f (; ) n () dxds: En inegran par paries pour obenir l equaion suivane r k(' n ()) k + n () + ; () m n () dds A r r (' n ()) dx + A r r Puisque les égaliés suivanes son véri ées () () = u v ; = n () u v ; A r (' n ) + r ('n ()) dx+ d = A r r (' n ()) dx+ f (; ) n () d: (3..5) 34
36 A r () r (' n ()) = div A r () (' n ()) Exisence locale d; Comme f H (; T ; L ( )) e (u ; u ) H () H ( ); d après l inégalié de Young e l injecion de H (),! L m ( ), on dédui l exisence d une consane C > indépendane de n, elle que k(' n ()) k + n () En dérivan l équaion (3..5) par rappor à, on obien d d C: (3..6) ; (' n ()) wj dx + d Ar ' d n + rwj dx + d Ar (' d n ) + rw j dx+ ' n + wj d (' n ) + wj d = : (3..7) d d En dérivan l équaion (3..6) par rappor à, il vien d d d d n () wj d + r d d n + m n + wj d ' n + wj d + (' n ) + wj d+ A A A r n + r wj d = f (x; ) n (s) dxds: (3..8) En muliplian les égaliés (3..7) e (3..8) par respecivemen pour obenir d (' d n ()) g jn () w j dx + d d d Ar (' d n ) + g jn () rw j dx + d d + d r d n + m n + A r n + g jn () r w j d = d d d d En somman par rappor à j, on dédui d d kr g (' n ()) k + k(' n ()) k + n () g jn () ; g jn () Ar ' n + g jn () rw j dx+ n () g jn () g jn () w j d w j d f (; x) g jn () w j (s) dxds: + ; r g n () ; 35
37 + A r r (' n ()) dx + kr g (' n ()) k + r (m ) n + m n + n A r r d = 3.. Exisence locale n () d+ f (; x) n () d: (3..9) Comme =, le dernier erme du membre gauche de l équaion (3..9) peu êre écri sous la forme n + m En replaçemen R n + n + m n n d = n + d par 4 m R dans l équaion (3..9) e en inégran enre e, il vien kr g (' n ()) k + k(' n ()) k + n () k(' n ()) k + n () n () 4r (m ; + + m + ; + r g n () kr g (' n (s)) k ds+ n () ; m n + A r r n + + m d n Ar r (' n ()) n () dds+ f (; x) n (s) dxds: (3..3) En uilisan l inégalié (3..6) e les inégalié de Young e Poincaré (comme dans (3..6), on obien D aure par Ar r (' n ()) dxds Ar r n (s) puisque = on a h Ar r dds = n (s) En uilisan l esimaion suivane Ar r n () i d (rg ) kr g (' n (s)) k ds + 4 Ar r d = n () n (s) Ar r ; dds rg (s) ds; n () d: h Ar r + (rg ) 4 : ; n (s) i d; 36
38 dans(3..3), on obien kr g (' n ()) k + k(' n ()) k + n () 4r (m ) m 4 + ; (r g ) n () 3.. Exisence locale ; + kr g (' n (s)) k n () + n () + d C+ kr g (' n ) k ds+ r g + (r g ) n (s) + r g ds+ ; 4 ; C kf k ds + n (s) ds : (3..3) ; Un réarangemen des ermes dans l ingalié(3..3) donne kr g (' n ()) k + k(' n ()) k + n () 4r (m n () C+ 4 + m + ( + ) ; n () + (r g ) d rg dx+ (rg ) +C 4 ; n () f ds: ; Mainenan, en appliquan le lemme.. (de Gronwall), on obien kr g (' n ) k + k(' n) k + n 4r (m ) + m n () + (r g ) n m ; n () kr g (' n (s) kr g (' n (s)) k +C r g n (s) ds d C T ; où C T es une consane posiive, indépendane pour ou [; T ] ; n N D après ce qui précède on dédui ((' n ) ) nn es bornée dans L ; T ; L () ; (3..3) n nn (' n ) ; n es bornée dans L ; T ; L ( ) ; nn es bornée dans L ; T ; H () H ( ) : A parir de (3..8), (3..9), (3..) e (3..3), on a (' n ) nn es borné dans L ; T ; H () : 37
39 3.. Exisence locale Ensuie Puisque (' n ) nn es borné dans L ; T ; H () ; ((' n ) ) nn es borné dans L ; T ; L () ; ((' n ) ) nn es borné dans L ; T ; L () ; par conséquen (' n ) nn es borné dans H ; T ; H () ; Puisque l injecion de H (; T ; H ()),! L (; T ; L ()) es compac, en uilisan le héorème d Aubin-lions, on peu exraire une sous-suie ' ; de ' n ; n nn elle que '! ' foremen dans L ; T ; L () : N e! foremen dans L ; T ; L ( ) : Donc '! ' foremen e presque parou dans (; T ) : D aure par, on a déjà prouvé dans la secion précédene que Comme e n () r () nn nn es bornée dans L ; T ; L ( ) ; es bornée dans L ; T ; L ( ) : n () C kr g ' n ()k H ; ( ) n () H ( ) e à parir de (3..8), (3..3) on dédui que C kr g (' n ()) k ; (' n ()) nn es bornée dans L ; T ; H ( ) ((' n ()) ) nn es bornée dans L ; T ; H ( ) ; ; ((' n ()) ) nn es bornée dans L ; T ; L ( ) ; 38
40 3.. Exisence locale Comme l injecion de H ( ),! L ( ) es compace, e d après le héorème d Aubin-Lions, on peu exraire une sous suie de ' n ; n ' ; N elle que Donc à parir de (3..), on obien que m nn noée aussi! foremen dans L ; T ; L ( ) : (3..33) Il rese mainenan à monrer que * faiblemen dans L m ((; T ) ) ; = m : Il es clair, à parir de (3..33) que l on a m! m foremen e presque parou dans (; T ) : En uilisan le Lemme.3 de Lions [6], on obien = m : D aure par, le lemme 3. de Lions [6], donne p! p foremen e presque parou dans (; T ) : La preuve peu mainenan êre compléée en faisan comme dans [6, Théorème 3.] Unicié Soien (v ; v ) ; (z ; z ) deux soluions du problème (3..) avec les mêmes données iniiales. on noe v z = = ; v z Grad = r g ; (r g ) ; 39
41 3.. Exisence locale on noe aussi = ; = Grad = r g ; (r g ) e Div = div ; div ; = div r g ; div (r g ) ; on considère mainenan le problème linéaire du probleme (3::) suivan où e On dé ni aussi Alors véri e 8 >< >: A B = F (x; ) + G (x; ) () = () = F (x; ) = jv j p v jz j p : z G (x; ) = jv j m v jz j m z A = A ; B = A ; (; ) = ( ; ) (A; ) (B ; ) + (G (x; ) ; ) Par une inégraion par parie, on a Par conséquen, on a d d = d kk H d + H kgradk + rg + (G (x; ) ; ) h + ; + r g + (r g ) i + r g 4
42 +r h v (s) m v (s) z m i z (s) En inégran (3..34) enre e, on obien r h + h v (s) m ; v (s) + rg + (rg ) i + z m En uilisan l inégalié algébrique i z (s) 3.. Exisence locale v (s) z (s) d = : (3..34) rg ds v (s) z (s) dds = : (3..35) 8m ; 9c > ; 8a; b R; jaj m a jbj m b (a b) c ja bj m (3..36) l égalié (3..35) devien h + d où l on ire =. ; c + rg + (rg ) i + Ceci achève la démonsraion du Lemme 3.. Preuve : du lemme 3.. rg ds+ v (s) z (s) m dd : (3..37) Premièremen on approxime (u; v) C [; T ]; H () H ( ) \C muni de la norme sandard par une suie k(u; v)k = max <T [ku ()k + kv ()k u k kn C ([; T ] ) ; v k kn C ([; T ] ) ; [; T ]; L () L ( ) en uilisan des argumens sandards de convoluion (voir [4]). Il es clair que f v k = v k p v k H ; T ; L ( ) : Ce ype d approximaion a déjà éé uilisé par Viillaro dans [44, 45]. 4
43 3.. Exisence locale Ensuie, en approchan les données iniiales par une suie (u ; v ) L () L ( ) ; u k ; v k kn C () C ( ) : Finalemen, puisque l espace H () \H () [H ( ) \L m ( )] es dense dans H () H ( ) pour la norme de H () H ( ), on approxime par une suie u k ; v k (u ; v ) H () H ( ) kn H () \H () H ( ) \L m ( ) On considère mainenan l ensemble des problèmes suivans 8 >< >: ' k div (Ar' k ) div (Ar' k ) = ; x ; > ; ' k (x; ) = ; x ; > k k (x; ) = + div A r k 3 r k m k (x; ) + 5 x ' k p ; > ; ' k ' k (x; ) = k (x; ) : ' k (x; ) ; k (x; ) = u k (x) ; v k (x) ; ' k (x; ) ; k (x; ) = u k (x) ; v k (x) x : (3..38) Comme les hypohèses du lemme (3..) son véri ées, on peu rouver une suie de soluions uniques (' k ; k ) kn du problème (3..38). Nore bu mainenan es de monrer que l espace ' k ; k ; ' k ; k kn es une suie de Cauchy dans ; Y T = f('; ; ' ; ) : ('; ) C [; T ]; H () H ( ) \ C [; T ]; L () L ( ) ; muni de la norme k('; ; ' ; )k Y T = max T (' ; ) L (; T ; H () H ( )) L m ((; T ) )g; h k' k + kr g'k + (rg ) i + ; T k k L m ((;T ) ) + kr g ' (s)k ds: 4
44 3.. Exisence locale Pour cela, on noe U = U v k v k V ' k ' k ; = k k : V Il es facile de voir que V véri e 8 >< >: V div(arv ) div(arv ) = ; x ; > ; V (x; ) = ; x ; > ; 3 V 6 (x; ) = 4 V (x;) V (x;) = ' k ' k 7 5 x ; > ; + div A rv + v k p v k v k p v k r k m k (x; ) k m k (x; ) ; V (x;) V = 'k 'k (x;) k ; x : k (3..39) En muliplian scalairemen les premièrs équaions di érenielles de (3..39) par V, e en inegran par paries sur, on obien V V dx ArV V dx ArV V V V V d = ; (3..4) En muliplian scalairemen les secondes équaions di érenielles de (3..39) par V, e en inégran par paries sur V V d + r A r V V d = k m k, on rouve k m k k k d v k p v k v k p v k k k d: (3..4) En somman les équaions (3..4) e (3..4) pour obenir VV dx+ r Par conséquen, on a d d ArV rv dx + k m k Ar V r V d = k m k ArV rv dx+ k k d V V d+ v k p v k v k p v k k k d: V + rg V + V + (rg ) V ; ; + rg V ds+ 43
45 r = k m k En inégran enre e, on obien V = + r g V + V r k m k k k d v k p v k v k p v k k k d: k ; m k + (rg ) V ; k m k + k k d 3.. Exisence locale rg V (s) ds+ V () + rg V () + V () ; + (rg ) V () ; + v k p v k v k p v k k k dd; 8 (; T ): (3..4) En uilisan l inégalié algébrique (3..36), on rouve k m k k m k k k k c k m : En subsiuan cee dernière inégalié dans (3..4) ; on obien V + rg V + V + (rg ) V + ; ; rg V (s) ds+ c V () m V m; () + rg V () + V () + (rg ) V () ; ; + v k p v k v k p v k k k dd; 8 (; T ): A n de rouver une majoraion du erme v k p v k v k p v k k k dd; 8 (; T ); dans l inégalié précédene, on uilise le résula de Georgiev e Todorova [7] (en pariculier leurs équaions (.5) e (.6) dans la proposiion.). L hypohèse sur p nous assure l uilisaion du même argumen. L inégalié de Hölder avec + + = ; nous donne q n v k p v k v k p v k k k dd + 44
46 3.. Exisence locale C v k v k (n=n k k ; v k p ); n(p ); Ensui l injecion de H ( ),! L n(n ); donne p v k : (3..43) n(p ); e donc (3..43), il vien v k v k (n=n C r g v k v k ; C kuk (3..44) ); C v k p n(p ); C kukp (3..45) v k p v k v k p v k k k dd rg v k p p + r g v k kv k kruk d En subsiuan (3..47) e (3..44) dans l inégalié (3..43) on rouve V + rg V + V + (rg ) V + ; ; rg V (s) ds+ c V () m V m; () + r g V () + V () + (rg ) V () + ; ; +C kuk YT kv k YT dd; 8 (; T ): Ainsi, en appliquan les inégaliés de Young e de Gronwall, il exise C ne dépendan que de e p elle que V + rg V + V ; + (rg ) V ; + V () + rg V () + V () + (rg ) V () +C ; ; rg V ds + c V () m m; k k V ; V YT C V () + r g V () + V () + (rg ) V () ; ; On remarque qu à parir des noaions uilisées, on a V () = V () ' k ' k k k V ; () V () ' k = ' k k k ;e U = v k v k : ds +CT kuk YT : 45
47 3.. Exisence locale Ainsi, puisque ' k ; k es une suie convergene dans kn H () H ( ); ' k ; k es une suie convergene dans L () L ( ) e ' k ; k es une suie convergene dans C [; T ]; H () H ( kn ) \C [; T ]; L () L ( ) (donc dans Y T aussi); On dédui que ' k ; k ; ' k ; k kn dire que ' k ; k ; ' k ; k converge vers ('; ; ' ; ) Y T. la soluion du problème (3.. )faible es une suie de Cauchy dans Y T ; c es à Mainenan avec la même procédure que celle uilisée par Georgiev e Todorova dans [7], on monre que cee limie es une soluion faible du problème (3..). Pour ou G = ( ; ) H () H ( ); L m ( ); l équaion kn d d ' ; + d d ; + Ar'; r + Ar' ; r + A r ; r r j j m ; = jvj p v; ; (3..46) es véri ée pour ous [; T ]. En muliplian l équaion ' k div Ar' k div Ar' k = par H (); e en inégran par paries sur, on obien ' k ; + Ar' k ; r + Ar' k ; r e en muliplian l k + div (A r ) r j j m + jvj p v par G = H ( ), L m ( ), e inegran par paries sur k ; = (3..47), on ; + A r ; r j m ; = jvj p v; ; A en somman l égaliés (3..47) e (3..48) on rouve (3..48) d d ' ; + d d ; + Ar' k ; r + Ar' k ; r + A r k ; r 46
48 r k m k v ; k = p En faisian endre (k ; k )!, on voi que v k ; 3.. Exisence locale (3..49) dans C ([; T ]). Ar' k ; r! Ar'; r ; Ar' k ; r! Ar' ; r ; r k m k ;! r j j m ; ; v k p v k ;! jvj p v; ; A r k ; r! A r ; r ; ; ( ; ) = ((' ; ) ; ( ; )) Ensuie l égalié (3..49) monre que lim ' k ; k k! es une foncion absolumen coninue, donc chaque erme dans (3..46) vrai. De la même manière, à parir de l idenié de l énergie pour démonre que l idenié de l énergie pour ('; ) es véri ée. Démonsraion de l unicié de la soluion du problème (..) ' k ; k, on Pour monrer l unicié de la soluion de (..) on prend U, U dans C([; T ]; H) e soien V, V les soluions correspondanes de (..), avec X = V e X V = V En posan dans l équaion (..), on obien + V V W = X + r g V V + V p V V p V V V dd = V X V ; + r g V V juj p U U p U V Si U = U, alors cee idenié implique W = e la soluion es unique. Ceci achève la démonsraion du lemme 3... ; V V dd; 3..5 la démonsraion de héorème 3.. Pour démonrer le héorème 3.., on uilise le héorème du poin xe. 47
2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre.
1 Examen. 1.1 Prime d une opion sur un fuure On considère une opion à 85 jours sur un fuure de nominal 18 francs, e don le prix d exercice es 175 francs. Le aux d inérê (coninu) du marché monéaire es 6%
Plus en détailExemples de résolutions d équations différentielles
Exemples de résoluions d équaions différenielles Table des maières 1 Définiions 1 Sans second membre 1.1 Exemple.................................................. 1 3 Avec second membre 3.1 Exemple..................................................
Plus en détailLes circuits électriques en régime transitoire
Les circuis élecriques en régime ransioire 1 Inroducion 1.1 Définiions 1.1.1 égime saionnaire Un régime saionnaire es caracérisé par des grandeurs indépendanes du emps. Un circui en couran coninu es donc
Plus en détailTD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton)
TD/TP : Taux d un emprun (méhode de Newon) 1 On s inéresse à des calculs relaifs à des remboursemens d empruns 1. On noera C 0 la somme emprunée, M la somme remboursée chaque mois (mensualié), le aux mensuel
Plus en détailTexte Ruine d une compagnie d assurance
Page n 1. Texe Ruine d une compagnie d assurance Une nouvelle compagnie d assurance veu enrer sur le marché. Elle souhaie évaluer sa probabilié de faillie en foncion du capial iniial invesi. On suppose
Plus en détailVA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1
Universié Libre de Bruxelles Solvay Business School La valeur acuelle André Farber Novembre 2005. Inroducion Supposons d abord que le emps soi limié à une période e que les cash flows fuurs (les flux monéaires)
Plus en détailMATHEMATIQUES FINANCIERES
MATHEMATIQUES FINANCIERES LES ANNUITES INTRODUCTION : Exemple 1 : Une personne veu acquérir une maison pour 60000000 DH, pour cela, elle place annuellemen au CIH une de 5000000 DH. Bu : Consiuer un capial
Plus en détailCHAPITRE I : Cinématique du point matériel
I. 1 CHAPITRE I : Cinémaique du poin maériel I.1 : Inroducion La plupar des objes éudiés par les physiciens son en mouvemen : depuis les paricules élémenaires elles que les élecrons, les proons e les neurons
Plus en détailLa rentabilité des investissements
La renabilié des invesissemens Inroducion Difficulé d évaluer des invesissemens TI : problème de l idenificaion des bénéfices, des coûs (absence de saisiques empiriques) problème des bénéfices Inangibles
Plus en détailTB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2
enrées série TB logiciel d applicaion 2 enrées à émission périodique famille : Inpu ype : Binary inpu, 2-fold TB 352 Environnemen Bouon-poussoir TB 352 Enrée 1 sories 230 V Inerrupeur Enrée 2 Câblage sur
Plus en détailCalcul Stochastique 2 Annie Millet
M - Mahémaiques Appliquées à l Économie e à la Finance Universié Paris 1 Spécialié : Modélisaion e Méhodes Mahémaiques en Économie e Finance Calcul Sochasique Annie Mille 15 14 13 1 11 1 9 8 7 6 5 4 3
Plus en détailF 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0
Correcion de l exercice 2 de l assisana pré-quiz final du cours Gesion financière : «chéancier e aux de renabilié inerne d empruns à long erme» Quesion : rappeler la formule donnan les flux à chaque échéance
Plus en détailCours d électrocinétique :
Universié de Franche-Comé UFR des Sciences e Techniques STARTER 005-006 Cours d élecrocinéique : Régimes coninu e ransioire Elecrocinéique en régimes coninu e ransioire 1. INTRODUCTION 5 1.1. DÉFINITIONS
Plus en détailExamen optimisation Centrale Marseille (2008) et SupGalilee (2008)
Examen optimisation Centrale Marseille (28) et SupGalilee (28) Olivier Latte, Jean-Michel Innocent, Isabelle Terrasse, Emmanuel Audusse, Francois Cuvelier duree 4 h Tout resultat enonce dans le texte peut
Plus en détailCaractéristiques des signaux électriques
Sie Inerne : www.gecif.ne Discipline : Génie Elecrique Caracérisiques des signaux élecriques Sommaire I Définiion d un signal analogique page 1 II Caracérisiques d un signal analogique page 2 II 1 Forme
Plus en détailFiles d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little.
Cours de Tronc Commun Scienifique Recherche Opéraionnelle Les files d aene () Les files d aene () Frédéric Sur École des Mines de Nancy www.loria.fr/ sur/enseignemen/ro/ 5 /8 /8 Exemples de files d aene
Plus en détailRelation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée.
Relaion enre la Volailié Implicie e la Volailié Réalisée. Le cas des séries avec la coinégraion fracionnaire. Rappor de Recherche Présené par : Mario Vázquez Velasco Direceur de Recherche : Benoî Perron
Plus en détailMathématiques financières. Peter Tankov
Mahémaiques financières Peer ankov Maser ISIFAR Ediion 13-14 Preface Objecifs du cours L obje de ce cours es la modélisaion financière en emps coninu. L objecif es d un coé de comprendre les bases de
Plus en détailRecueil d'exercices de logique séquentielle
Recueil d'exercices de logique séquenielle Les bascules: / : Bascule JK Bascule D. Expliquez commen on peu modifier une bascule JK pour obenir une bascule D. 2/ Eude d un circui D Q Q Sorie A l aide d
Plus en détailDocumentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1
Documenaion Technique de Référence Chapire 8 Trames ypes Aricle 8.14-1 Trame de Rappor de conrôle de conformié des performances d une insallaion de producion Documen valide pour la période du 18 novembre
Plus en détailRappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION
2 IUT Blois Déparemen GTR J.M. Giraul, O. Bou Maar, D. Ceron M. Richard, P. Sevesre e M. Leberre. -TP- Modulaions digiales ASK - FSK IUT Blois Déparemen du Génie des Télécommunicaions e des Réseaux. Le
Plus en détailTHÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques
Universié de Paris I Panhéon Sorbonne U.F.R. de Sciences Économiques Année 2011 Numéro aribué par la bibliohèque 2 0 1 1 P A 0 1 0 0 5 7 THÈSE Pour l obenion du grade de Doceur de l Universié de Paris
Plus en détailIntégration de Net2 avec un système d alarme intrusion
Ne2 AN35-F Inégraion de Ne2 avec un sysème d alarme inrusion Vue d'ensemble En uilisan l'inégraion d'alarme Ne2, Ne2 surveillera si l'alarme inrusion es armée ou désarmée. Si l'alarme es armée, Ne2 permera
Plus en détailCHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3
Chapire Eercices de snhèse 6 CHAPITRE EXERCICES..a), ±,55 b) 97,75 ±,455 c) 95,5 ±,475.±,6π cm.a) 44,, erreur absolue de,5 e erreur relaive de, % b) 5,56, erreur absolue de,5 e erreur relaive de,9 % 4.a)
Plus en détailFinance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET
Finance 1 Universié d Evry Val d Essonne éance 2 Philippe PRIAULET Plan du cours Les opions Définiion e Caracérisiques Terminologie, convenion e coaion Les différens payoffs Le levier implicie Exemple
Plus en détailSYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE
SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE Le seul ballon hybride solaire-hermodynamique cerifié NF Elecricié Performance Ballon hermodynamique 223 lires inox 316L Plaque évaporarice
Plus en détailFonction dont la variable est borne d intégration
[hp://mp.cpgedpydelome.fr] édié le 1 jille 14 Enoncés 1 Foncion don la variable es borne d inégraion Eercice 1 [ 1987 ] [correcion] Soi f : R R ne foncion conine. Jsifier qe les foncions g : R R sivanes
Plus en détailOscillations forcées en régime sinusoïdal.
Conrôle des prérequis : Oscillaions forcées en régime sinusoïdal. - a- Rappeler l expression de la période en foncion de la pulsaion b- Donner l expression de la période propre d un circui RLC série -
Plus en détailLe mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 28 janvier 2009 9 h 30 «Les différens modes d acquisiion des drois à la reraie en répariion : descripion e analyse comparaive des echniques uilisées»
Plus en détailSommaire de la séquence 12
Sommaire de la séquence 12 Séance 1........................................................................................................ Je prends un bon dépar.......................................................................................
Plus en détailChapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement
Chapire 2 L invesissemen. Les principales caracérisiques de l invesissemen.. Définiion de l invesissemen Définiion générale : ensemble des B&S acheés par les agens économiques au cours d une période donnée
Plus en détailAmphi 3: Espaces complets - Applications linéaires continues
Amphi 3: Espaces complets - Applications linéaires continues Département de Mathématiques École polytechnique Remise en forme mathématique 2013 Suite de Cauchy Soit (X, d) un espace métrique. Une suite
Plus en détailImpact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite
DOCUMENT DE TRAVAIL 2003-12 Impac du vieillissemen démographique sur l impô prélevé sur les rerais des régimes privés de reraie Séphane Girard Direcion de l analyse e du suivi des finances publiques Ce
Plus en détail2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE
009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, 1948-008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE DE LA FORME FAIBLE Thi Hong Van HOANG Efficience informaionnelle des marchés de l or
Plus en détailSciences Industrielles pour l Ingénieur
Sciences Indusrielles pour l Ingénieur Cenre d Inérê 6 : CONVERTIR l'énergie Compéences : MODELISER, RESOUDRE CONVERSION ELECTROMECANIQUE - Machine à couran coninu en régime dynamique Procédés de piloage
Plus en détailCours d analyse numérique SMI-S4
ours d analyse numérique SMI-S4 Introduction L objet de l analyse numérique est de concevoir et d étudier des méthodes de résolution de certains problèmes mathématiques, en général issus de problèmes réels,
Plus en détailDualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies
Chapitre 6 Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies Nous allons maintenant revenir sur les espaces L p du Chapitre 4, à la lumière de certains résultats du Chapitre 5. Sauf mention
Plus en détailEstimation des matrices de trafics
Cédric Foruny 1/5 Esimaion des marices de rafics Cedric FORTUNY Direceur(s) de hèse : Jean Marie GARCIA e Olivier BRUN Laboraoire d accueil : LAAS & QoSDesign 7, av du Colonel Roche 31077 TOULOUSE Cedex
Plus en détailArticle. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle
Aricle «Les effes à long erme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel e Berrand Wigniolle L'Acualié économique, vol 79, n 4, 003, p 457-480 Pour cier ce aricle, uiliser l'informaion suivane
Plus en détailApproximations variationelles des EDP Notes du Cours de M2
Approximations variationelles des EDP Notes du Cours de M2 Albert Cohen Dans ce cours, on s intéresse à l approximation numérique d équations aux dérivées partielles linéaires qui admettent une formulation
Plus en détailFiltrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB)
Filrage opimal par Mohamed NAJIM Professeur à l École naionale supérieure d élecronique e de radioélecricié de Bordeaux (ENSERB) Filre adapé Définiions Filre adapé dans le cas de brui blanc 3 3 Cas d un
Plus en détailMODÈLE BAYÉSIEN DE TARIFICATION DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHICULES
Cahier de recherche 03-06 Sepembre 003 MODÈLE BAYÉSEN DE TARFCATON DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHCULES Jean-François Angers, Universié de Monréal Denise Desardins, Universié de Monréal Georges Dionne,
Plus en détailCARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME
CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEE 1 SYSTEE STABLE, SYSTEE INSTABLE 1.1 Exemple 1: Soi un sysème composé d une cuve pour laquelle l écoulemen (perurbaion) es naurel au ravers d une vanne d ouverure
Plus en détail3 POLITIQUE D'ÉPARGNE
3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3. L épargne exogène e l'inefficience dynamique 3. Le modèle de Ramsey 3.3 L épargne opimale dans le modèle AK L'épargne des sociéés dépend largemen des goûs des agens, de faceurs
Plus en détailLes solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2
Les soluions solides e les diagrammes d équilibre binaires 1. Les soluions solides a. Descripion On peu mélanger des liquides par exemple l eau e l alcool en oue proporion, on peu solubiliser un solide
Plus en détailNon-résonance entre les deux premières valeurs propres d un problème quasi-linéaire
Non-résonance enre les deux premières valeurs propres d un problème quasi-linéaire AREl Amrouss MMoussaoui Absrac We consider he quasilinear Dirichle boundary value problem (φ p (u )) = f(u)+h(x),u(a)=u(b)=0,
Plus en détailUn modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA
Un modèle de proecion pour des conras de reraie dans le cadre de l ORSA - François Bonnin (Hiram Finance) - Floren Combes (MNRA) - Frédéric lanche (Universié Lyon 1, Laboraoire SAF) - Monassar Tammar (rim
Plus en détailTests non-paramétriques de non-effet et d adéquation pour des covariables fonctionnelles
Tests non-paramétriques de non-effet et d adéquation pour des covariables fonctionnelles Valentin Patilea 1 Cesar Sanchez-sellero 2 Matthieu Saumard 3 1 CREST-ENSAI et IRMAR 2 USC Espagne 3 IRMAR-INSA
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A
UIMBERTEAU UIMBERTEAU TRAVAUX PRATIQUES 5 ISTALLATIO ELECTRIQUE DE LA CAE D'ESCALIER DU BATIMET A ELECTROTECHIQUE Seconde B.E.P. méiers de l'elecroechnique ELECTROTECHIQUE HABITAT Ver.. UIMBERTEAU TRAVAUX
Plus en détailMémoire présenté et soutenu en vue de l obtention
République du Cameroun Paix - Travail - Parie Universié de Yaoundé I Faculé des sciences Déparemen de Mahémaiques Maser de saisique Appliquée Republic of Cameroon Peace Wor Faherland The Universiy of Yaoundé
Plus en détailMIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie.
/ VARIATION/ ACCOMP PLAY/PAUSE REW TUNE/MIDI 3- LESSON 1 2 3 MIDI Qu es-ce que MIDI? MIDI es l acronyme de Musical Insrumen Digial Inerface, une norme inernaionale pour l échange de données musicales enre
Plus en détailLe mécanisme du multiplicateur (dit "multiplicateur keynésien") revisité
Le mécanisme du muliplicaeur (di "muliplicaeur kenésien") revisié Gabriel Galand (Ocobre 202) Résumé Le muliplicaeur kenésien remone à Kenes lui-même mais il es encore uilisé de nos jours, au moins par
Plus en détailNed s Expat L assurance des Néerlandais en France
[ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS Ned s Expa L assurance des Néerlandais en France 2015 Découvrez en vidéo pourquoi les expariés en France choisissen APRIL Inernaional pour leur assurance sané : Suivez-nous
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailRéseau de coachs. Vous êtes formés dans les métiers du sport et/ou de la préparation physique (Brevet d état, Licence, Master STAPS)
Réseau de coachs Vous êes formés dans les méiers du spor e/ou de la préparaion physique (Breve d éa, Licence, Maser STAPS) Vous connaissez la course à pied Vous souhaiez créer e/ou animer des acions de
Plus en détailSéquence 2. Pourcentages. Sommaire
Séquence 2 Pourcenages Sommaire Pré-requis Évoluions e pourcenages Évoluions successives, évoluion réciproque Complémen sur calcularices e ableur Synhèse du cours Exercices d approfondissemen 1 1 Pré-requis
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailAnnuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t
Annuiés I Définiion : On appelle annuiés des sommes payables à inervalles de emps déerminés e fixes. Les annuiés peuven servir à : - consiuer un capial ( annuiés de placemen ) - rembourser une dee ( annuiés
Plus en détailThème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL
Fiche ors Thème : Elecricié Fiche 5 : Dipôle e dipôle Plan de la fiche Définiions ègles 3 Méhodologie I - Définiions oran élecriqe : déplacemen de charges élecriqes q a mesre d débi de charges donne l
Plus en détailUniversité Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD
LA COUCHE PHYSIQUE 1 FONCTIONS GENERALES Cee couche es chargée de la conversion enre bis informaiques e signaux physiques Foncions principales de la couche physique : définiion des caracérisiques de la
Plus en détailLes Comptes Nationaux Trimestriels
REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Parie ---------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ---------- REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work Faherland ---------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS ----------
Plus en détailAMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE
AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE Dans e hapire l'amplifiaeur différeniel inégré sera oujours onsidéré omme parfai, mais la ension de sorie ne pourra prendre que deux valeurs : V sa e V
Plus en détailCHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES?
CHAPITRE RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? Les réponses de la poliique monéaire aux chocs d inflaion mondiaux on varié d un pays à l aure Le degré d exposiion
Plus en détailCopules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie
Copules e dépendances : applicaion praique à la déerminaion du besoin en fonds propres d un assureur non vie David Cadoux Insiu des Acuaires (IA) GE Insurance Soluions 07 rue Sain-Lazare, 75009 Paris FRANCE
Plus en détailConstruction de l'intégrale de Lebesgue
Université d'artois Faculté des ciences Jean Perrin Mesure et Intégration (Licence 3 Mathématiques-Informatique) Daniel Li Construction de l'intégrale de Lebesgue 10 février 2011 La construction de l'intégrale
Plus en détailDE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT
DE L'ÉALUAION DU RISQUE DE CRÉDI François-Éric Racico * Déparemen des sciences adminisraives Universié du Québec, Ouaouais Raymond héore Déparemen Sraégie des Affaires Universié du Québec, Monréal RePAd
Plus en détailRisque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE
Ce aricle es disponible en ligne à l adresse : hp://www.cairn.info/aricle.php?id_revue=ecop&id_numpublie=ecop_149&id_article=ecop_149_0073 Risque associé au conra d assurance-vie pour la compagnie d assurance
Plus en détailEVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS
EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS CEDRIC TAPSOBA Diplômé IDS Inern/ CARE Regional Program Coordinaor and Gender Specialiy Service from USAID zzz WA-WASH Program Tel: 70 77 73 03/
Plus en détailCOURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr
COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE Obje de la séance 3 : dans la séance 2, nous avons monré commen le besoin de financemen éai couver par des
Plus en détailImpact des futures normes IFRS sur la tarification et le provisionnement des contrats d assurance vie : mise en oeuvre de méthodes par simulation
Impac des fuures normes IFRS sur la arificaion e le provisionnemen des conras d assurance vie : mise en oeuvre de méhodes par simulaion Pierre-Emmanuel Thérond To cie his version: Pierre-Emmanuel Thérond.
Plus en détailCHELEM Commerce International
CHELEM Commerce Inernaional Méhodes de consrucion de la base de données du CEPII Alix de SAINT VAULRY Novembre 2013 1 Conenu de la base de données Flux croisés de commerce inernaional (exporaeur, imporaeur,
Plus en détailEcole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau
Ecole des HEC Universié de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE Eric Jondeau FINANCE EMPIRIQUE La prévisibilié des rendemens Eric Jondeau L hypohèse d efficience des marchés Moivaion L idée de base de l hypohèse
Plus en détailDESSd ingéniérie mathématique Université d Evry Val d Essone Evaluations des produits nanciers
DESSd ingéniérie mahémaique Universié d Evry Val d Essone Evaluaions des produis nanciers Véronique Berger Cours Janvier-Mars 2003 version du 27 mars 2003 Conens I Présenaion du plan de cours 3 II Insrumens
Plus en détailCoaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS
Coaching - accompagnemen personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agens e les cadres dans le développemen de leur poeniel OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Le coaching es une démarche s'inscrivan dans
Plus en détailImage d un intervalle par une fonction continue
DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction
Plus en détail3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailDifférentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles
Différentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles Denis Vekemans R n est muni de l une des trois normes usuelles. 1,. 2 ou.. x 1 = i i n Toutes les normes de R n sont équivalentes. x i ; x 2
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailGESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003
GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, aoû 2003 Thomas JEANJEAN 2 Cahier de recherche du CEREG n 2003-13 Résumé : Depuis une vingaine d années, la noion d accruals discréionnaires
Plus en détailNUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION
, Chapire rminale S NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION I TRANSMISSION DE L'INFORMATION ) Signal e informaion ) Chaîne de ransmission de l informaion La chaîne de ransmission d informaions es
Plus en détailEPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION *
EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * Alexis Direr (1) Version février 2008 Docweb no 0804 Alexis Direr (1) : Universié de Grenoble e LEA (INRA, PSE). Adresse : LEA, 48 bd Jourdan 75014 Paris. Téléphone
Plus en détailContinuité d une fonction de plusieurs variables
Chapitre 2 Continuité d une fonction de plusieurs variables Maintenant qu on a défini la notion de limite pour des suites dans R n, la notion de continuité s étend sans problème à des fonctions de plusieurs
Plus en détailSéminaire d Économie Publique
Séminaire d Économie Publique Les niveaux de dépenses d'infrasrucure son-ils opimaux dans les pays en développemen? Sonia Bassi, LAEP Discuan : Evans Salies, MATISSE & ADIS, U. Paris 11 Mardi 8 février
Plus en détailLes deux déficits, budgétaire et du compte courant, sont-ils jumeaux? Une étude empirique dans le cas d une petite économie en développement
Les deux déficis, budgéaire e du compe couran, sonils jumeaux? Une éude empirique dans le cas d une peie économie en développemen (Version préliminaire) Aueur: Wissem AJILI Docorane CREFED Universié Paris
Plus en détailCAHIER 13-2000 ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE
CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE Jean-Michel BOSCO N'GOMA CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS
Plus en détailN d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006)
N d ordre Année 28 HESE présenée devan l UNIVERSIE CLAUDE BERNARD - LYON pour l obenion du DILOME DE DOCORA (arrêé du 7 aoû 26) présenée e souenue publiquemen le par M. Mohamed HOUKARI IRE : Mesure du
Plus en détailSURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES
Ankara Üniversiesi SBF Dergisi, Cil 66, No. 4, 2011, s. 125-152 SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES Dr. Akın Usupbeyli
Plus en détailSéminaire TEST. 1 Présentation du sujet. October 18th, 2013
Séminaire ES Andrés SÁNCHEZ PÉREZ October 8th, 03 Présentation du sujet Le problème de régression non-paramétrique se pose de la façon suivante : Supposons que l on dispose de n couples indépendantes de
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé 2012-2013 1 Petites questions 1 Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? Réponse : Non, car le complémentaire de ], 0[ n est pas ouvert.
Plus en détailNo 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa
No 996 3 Décembre La coordinaion inerne e exerne des poliiques économiques : une analyse dynamique Fabrice Capoën Pierre Villa CEPII, documen de ravail n 96-3 SOMMAIRE Résumé...5 Summary...7. La problémaique...9
Plus en détailN 2008 09 Juin. Base de données CHELEM commerce international du CEPII. Alix de SAINT VAULRY
N 2008 09 Juin Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY N 2008-09 Juin Base de données CHELEM
Plus en détail3. Conditionnement P (B)
Conditionnement 16 3. Conditionnement Dans cette section, nous allons rappeler un certain nombre de définitions et de propriétés liées au problème du conditionnement, c est à dire à la prise en compte
Plus en détailSélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1
ASAC 008 Halifax, Nouvelle-Écosse Jacques Sain-Pierre (Professeur Tiulaire) Chawki Mouelhi (Éudian au Ph.D.) Faculé des sciences de l adminisraion Universié Laval Sélecion de porefeuilles e prédicibilié
Plus en détailLE PARADOXE DES DEUX TRAINS
LE PARADOXE DES DEUX TRAINS Énoné du paradoxe Déaillons ou d abord le problème dans les ermes où il es souen présené On dispose de deux oies de hemins de fer parallèles e infinimen longues Enre les deux
Plus en détailI. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailPREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE. La Liquidité - De la Microstructure à la Gestion du Risque de Liquidité
PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE Erwan Le Saou - Novembre 2000. 13 La microsrucure des marchés financiers ne serai cerainemen pas au cenre d une liéraure abondane si le concep de liquidié n
Plus en détailPARTIAL DIFFERENTIAL EQUATIONS. On global discontinuous solutions of Hamilton-Jacobi equations.
EQUATIONS AUX DERIVEES PARTIELLES. Sur des soluions globales disconinues des équaions d Hamilon-Jacobi, par Gui-Qiang Chen e Bo Su Résumé. On éabli l unicié des soluions de viscosié semiconinues classiques
Plus en détailFonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples
45 Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples Les espaces vectoriels considérés sont réels, non réduits au vecteur nul et
Plus en détailProgrammation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme
Programmaion, organisaion e opimisaion de son processus Acha (Ref : M64) OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Appréhender la foncion achas e son environnemen Opimiser son processus achas Développer un acha
Plus en détailEvaluation des Options avec Prime de Risque Variable
Evaluaion des Opions avec Prime de Risque Variable Lahouel NOUREDDINE Correspondance : LEGI-Ecole Polyechnique de Tunisie, BP : 743,078 La Marsa, Tunisie, Insiu Supérieur de Finance e de Fiscalié de Sousse.
Plus en détail