La logique entrepreneuriale

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La logique entrepreneuriale"

Transcription

1 SYNTHESE DES 3 COURS- ENTREPRENEURIAT- MANAGER- FINALITES La logique entrepreneuriale Dans une économie libérale, l entreprise est devenue un élément incontournable pour créer des emplois et favoriser la croissance. Il est donc nécessaire de définir ce qu est un entrepreneur, de savoir quelles démarches il faut suivre pour réussir le lancement d une entreprise nouvelle et comment l État peut favoriser la création d entreprise. I. L entrepreneur, un homme-clé de l économie 1. Définition de l entrepreneuriat Le dynamisme des économies repose, entre autres facteurs, sur la création d entreprise. Celleci dépend d entrepreneurs qui prennent le risque de se mettre à leur compte, de se lancer dans les affaires. L entrepreneuriat consiste dans la volonté et l action par une ou plusieurs personnes de créer et/ou développer une entreprise. Pour donner une traduction de l anglais entrepreneurship, l office québécois de la langue française définit l entrepreuneuriat comme «fonction d une personne qui mobilise et gère des ressources humaines et matérielles pour créer, développer et implanter des entreprises». On distingue : la création pure ou ex nihilo est la forme de création la plus répandue. On part d une idée, on développe un projet pour aboutir à une entrepris ; la reprise qui consiste à effectuer le rachat de tout ou partie d une entreprise existante. Le repreneur a le plus souvent comme objectif de réactiver et développer l entreprise acquise ; la franchise. En devenant franchisé, le créateur s insère dans un réseau ayant fait ses preuves. Le lancement de l activité est facilité, mais en contrepartie, le franchisé doit s acquitter de redevances (souvent fonction du chiffre d affaires) auprès du franchiseur. Pour l INSEE, la statistique des créations d entreprises est constituée à partir des informations du répertoire national des entreprises et des établissements (Sirene). Depuis le 1 er janvier 2007, la notion de création d entreprise s appuie sur un concept harmonisé au niveau européen pour faciliter les comparaisons : une création d entreprise correspond à la mise en œuvre de nouveaux moyens de production. Par rapport aux immatriculations dans Sirène, on retient comme création pour satisfaire au concept harmonisé : les créations d entreprise correspondant à la création de nouveaux moyens de production (il y a nouvelle immatriculation dans Sirene) ; les cas ou l entrepreneur (il s agit généralement d un entrepreneur individuel) reprend une activité après une interruption de plus d un an (il n y a pas de nouvelle immatriculation dans Sirene mais reprise de l ancien numéro Sirene ; les reprises par une entreprise nouvelle de tout ou partie des activités et moyens de production d une autre entreprise (il y a nouvelle immatriculation dans Sirene) lorsqu il n y a pas continuité de l entreprise reprise. On considère qu il n y a pas continuité de l entreprise si parmi les trois éléments suivants concernant le siège de l entreprise, au moins deux sont modifiés lors de la reprise : l unité légale contrôlant l entreprise, l activité économique et la localisation. Notons que la démarche entrepreneuriale est souvent liée à l innovation, mais que ce n est pas toujours le cas. L entrepreneur n est pas toujours un inventeur. Ainsi, une coiffeuse salariée SYNTHESE DES 3 COURS Page 1

2 qui possède son Brevet professionnel peut décider de créer un salon ou de choisir un «créneau porteur» dans le cadre de l aide à la personne et de se lancer dans la coiffure à domicile. L idée n est pas forcément originale, mais on retrouve la démarche entrepreneuriale : une idée, un projet, la volonté de prendre des risques et d être indépendant. 2. Le rôle économique de l entrepreneur C est l économiste Schumpeter qui a insisté sur le rôle fondamental de l entrepreneur pour «mettre en mouvement la machine capitaliste». Celle-ci est «imprimée par les nouveaux objets de consommation, les nouvelles méthodes de production [ ]. Ce processus de destruction créative constitue la donnée fondamentale du capitalisme». En innovant, en créant des entreprises nouvelles, en revitalisant des entreprises existantes, les entrepreneurs créent des emplois pour eux-mêmes (on incite les demandeurs d emploi à créer leur entreprise) et pour les autres. On estime que la création d entreprise au sens strict permet de créer entre et emplois. La reprise d entreprise permet, elle, de sauvegarder chaque année entre et emplois. Ainsi, les entrepreneurs ont un rôle à la fois économique par le développement de la croissance et social pour la création d emploi. Économiste autrichien, Joseph Schumpeter ( ) considère que le progrès technique est au cœur de l économie en raison du rôle essentiel des entrepreneurs. La principale fonction des entrepreneurs est de réaliser des innovations (de produits, de procédés, de marchés ). Schumpeter observe que la mise en œuvre des innovations entraîne un processus de «destruction créatrice» : des activités nouvelles se substituent aux activités dépassées par le progrès technique. La destruction créatrice entraîne des cycles dans l évolution des économies. Ouvrages principaux : «Théorie de l évolution économique (1926) ; les cycles des affaires (1939). 3. Le profil de l entrepreneur «Il n y a pas un caractère d entrepreneur. Mais il faut du caractère pour l être» disait Peter Drucker ( ), le grand théoricien du management. En effet, s il n existe pas un profil type du créateur d entreprise, le créateur doit avoir les caractéristiques suivantes : un besoin d indépendance et de réalisation de soi ; la volonté d être autonome et ne pas dépendre d une hiérarchie ; la capacité de prendre des initiatives ; la volonté et le courage d aboutir en travaillant beaucoup ; le goût du risque SYNTHESE DES 3 COURS Page 2

3 II. Les étapes de la création d entreprise et les aides 1. Les étapes de la création Le schéma suivant permet de repérer les étapes de la création. Trouver la bonne idée Valider l idée (faire l équivalent d une étude de marché) Monter le projet et définir ses besoins Trouver le financement et réaliser le plan de financement Choisir la forme juridique de l entreprise et s immatriculer au registre du commerce. Lancer l entreprise et suivre attentivement les réalisations en les comparant aux prévisions. 2. Les aides à la création Le créateur doit s entourer de conseils et chercher à maximiser les aides dont il peut bénéficier : les conseils peuvent être réalisés par des professionnels (experts-comptables, avocats ) ou des associations (ex. : boutiques de gestion, APCE) ; les aides peuvent être accordées par des collectivités publiques (Etat, conseil général, conseil régional, commune) et/ou de grandes entreprises ; les aides peuvent prendre des formes diverses. Les principales sont des aides financières, les allègements fiscaux, des exonérations de charges sociales, des conseils, la mise à disposition de locaux. Il existe parmi les formes d aides, des pépinières d entreprises qui hébergent et accompagnent les créateurs porteurs de projet d entreprise. Le 1 er janvier 2009, le statut d auto-entrepreneur est particulièrement attractif pour les créateurs. L auto-entrepreneur est soumis au régime de la micro-entreprise La «micro-entreprise» désigne une entreprise de petite taille qui est souvent le fait d un entrepreneur individuel. Ce terme ne renvoie pas à un statut juridique de société, mais se réfère à un régime fiscal et une protection sociale particuliers. Un seul statut juridique, plusieurs activités Tout d abord, il faut savoir qu une micro-entreprise ne peut pas être une société, il s agit obligatoirement du statut juridique de l entrepreneur individuel. Pour créer une microentreprise, il n y a pas de formalité particulière : il s agit des formalités propres à l entreprise individuelle. L entrepreneur doit s immatriculer auprès du Centre de formalités (CFE) en qualité de travailleur indépendant. Est considérée comme travailleur indépendant toute personne physique qui exerce une activité professionnelle non salarié non agricole, aussi réduite soitelle, et quel que soit le montant des revenus qu elle lui procure (même si elle exerce par ailleurs une activité salariée). Selon son activité, le créateur d une micro-entreprise doit demander son inscription au registre du commerce et des sociétés (RCS) s il exerce une activité commerciale, au répertoire des métiers s il est artisan, ou à l URSSAF s il exerce une profession libérale indépendante. SYNTHESE DES 3 COURS Page 3

4 En résumé, la notion de micro-entreprise recouvre plusieurs réalités : un statut juridique (entreprise individuelle) ; une activité particulière (commerçant, artisan, profession libérale ) ; un régime fiscal spécifique («régime micro-entreprise») ; et un régime social (les travailleurs non salariés, appelés communément travailleurs indépendants). SYNTHESE DES 3 COURS Page 4

5 la logique manageriale Avoir une idée, créer une entreprise, développer un projet ne suffisent pas pour réussir. Il faut également mettre en place une gestion rationnelle qui tienne compte des objectifs, des contraintes et des moyens disponibles. C est le rôle du management. I. Les spécificités de la démarche managériale L entrepreneur, créateur d entreprise, est celui qui innove, qui prend des risques. Mais il faut aussi gérer l entreprise, prendre les décisions optimales, celles qui assurent la rentabilité au moindre coût: c est le rôle des managers. 1. Définition du manager Le manageur (la manageuse), ou manager, est une personne qui exerce une fonction relevant du management. Le management est un processus qui consiste à définir des buts et à coordonner les efforts des membres d un groupe pour pouvoir atteindre les objectifs fixés. Dans ce cadre, le manager opère dans un système qui peut être résumé ainsi : Henry Mintzberg estime que le manager est à la fois un entrepreneur, un observateur, un régulateur, un répartiteur de ressources et un négociateur. Peter Drucker explique que «le management vise à rendre les individus capables de performances communes, à rendre leurs forces efficaces et leurs faiblesses insignifiantes». 2. Différences entre entrepreneur et manager Entrepreneur et manager ont des profils psychologiques différents. On peut les opposer dans le tableau suivant. SYNTHESE DES 3 COURS Page 5

6 Capacités requises de l entrepreneur Capacités requises du manageur Être à l écoute et en veille, Être organisateur «capable de voir» un marché Optimiser en fonction des coûts et Être imaginatif des avantages Se projeter dans l avenir Avoir confiance en l avenir Prendre des risques Être réactif Se donner les moyens de ses objectifs Accompagner un projet Maîtriser les risques Réfléchir La façon de prendre des décisions diffère également. L entrepreneur, plus intuitif, prend souvent des décisions en fonction de son «flair». Le manager s efforce de prendre des décisions en faisant une analyse rigoureuse des objectifs, des moyens, des contraintes et des risques. On comprend que le manager a tendance à prendre moins de risques que l entrepreneur. Dans tous les cas, il s efforce de prendre des risques calculés. Les différences entre entrepreneur et manager montrent la nécessaire complémentarité des deux approches. Entrepreneur, le manager cherche à adapter l entreprise aux changements liés à son environnement. Observateur, le manager (comme l entrepreneur) est à la recherche de nouvelles idées, de nouveaux procédés. Ce rôle peut être comparé au benchmarking. Régulateur, le manager doit consacrer une bonne partie de son temps à «répondre à des perturbations très contraignantes». Répartiteur, le manager affecte les ressources. Il détermine aussi comment le travail doit être divisé et coordonné. II. La démarche et les outils essentiels du manager 1. La démarche managériale Face à une situation, un problème à résoudre (par exemple, le choix de la structure juridique d une entreprise créée), le manager procède selon le processus suivant. SYNTHESE DES 3 COURS Page 6

7 On observe que ce processus, avec en particulier l étape 4 sur l analyse des effets des décisions, permet d accumuler de l expérience et d améliorer les prises de décision futures. C est en ce sens qu un réseau de franchise permet aux franchisés de bénéficier des expériences managériales testées dans le passé. 2. Les outils du manager De la création de l entreprise à la prise de décision des différentes fonctions de l entreprise (productive, commerciale, financière, logistique ), le manager qui s efforce d optimiser les décisions de l entreprise utilise des outils techniques de gestion. Il utilise par exemple : des études de marché : analyse de l environnement de l entreprise en vue de préparer des décisions commerciales plus efficaces ; des choix d investissement : procédure d analyse de l opportunité économique d un investissement. Les projets sont d abord étudiés économiquement, puis on sélectionne le mode de financement le mieux adapté ; le plan de financement, réalisé en liaison avec le créateur et/ou les responsables des différentes fonctions de l entreprise, qui anticipe l ensemble des besoins et des ressources de financement d une entreprise. L objectif de ce plan est de s assurer que, dans les trois à cinq ans à venir, l entreprise sera capable de faire face à ses besoins sans compromettre sa pérennité. SYNTHESE DES 3 COURS Page 7

8 La notion de Benchmarking est très illustrative de la notion de démarche managériale et des outils du manager. Sa démarche générale montre bien la démarche managériale. La méthode la plus utilisée a été définie par XEROX. Elle se déroule en 10 étapes réparties en 4 phases : la planification ; l analyse ; l interprétation ; l action ; Planification 1 Identifier les sujets benchmarking. 2 Sélectionner les partenaires du benchmarking. 3 Déterminer les moyens de collecte d informations et collecte proprement dite. Analyse 4 Déterminer les écarts. 5 Projeter les niveaux de performances futurs. Intégration 6 Communiquer les résultats de l analyse. 7 Établir les objectifs fonctionnels. Action 8 Développer un plan d action. 9 Mise en œuvre et mesure des progrès. 10 Réajustement du benchmarking. En conclusion, les démarches entrepreneuriale et managériale sont deux démarches présentant des différences importantes. Cependant, il faut noter qu elles sont complémentaires. Un entrepreneur, quelle que soit la pertinence de son projet, ne peut réussir que s il tient compte de la démarche managériale. À l inverse, un manager doit associer une démarche entrepreneuriale pour se dégager de la routine et du statu quo. SYNTHESE DES 3 COURS Page 8

9 Les finalités de l entreprise Il existe en France plus de 2 millions d entreprises. Quelles sont leurs ambitions? Que visent-elles? Analyser les finalités des entreprises, c est comprendre ensuite les objectifs qu elles s assignent. I. Les finalités traditionnelles de l entreprise 1. Les finalités financières Quelle que soit sa taille, l entreprise a pour finalité la recherche du bénéfice. Dans les petites entreprises, le chef d entreprise souhaite dégager un résultat suffisant pour lui permettre de vivre. Dans les grandes entreprises qui juridiquement adoptent une forme sociale (SA par exemple), il doit dégager du profit pour pouvoir distribuer des dividendes à ses actionnaires. 2. Les finalités complémentaires Au-delà du bénéfice, l entreprise doit assurer sa pérennité. Il lui faut continuer ses activités. Notons que cette recherche est généralement liée à la recherche du profit. Elle s accompagne aussi de la volonté de développer son chiffre d affaires et sa part de marché. Dans cette optique, il faut viser la satisfaction du client (cf. partie II). L entreprise ne peut se contenter de la recherche du profit, elle doit aussi prendre en compte les attentes du personnel. L entreprise a alors une finalité sociale. 3. Les objectifs Pour faire fonctionner l entreprise, la finalité est un idéal abstrait qu il faut concrétiser dans des objectifs. L objectif est au contraire un but concret et accessible à moyen terme. En fonction des finalités de l entreprise, on fixe d abord des objectifs généraux, souvent qualifiés de «stratégiques». À ce niveau, les objectifs sont à la fois qualitatifs (lancement d un nouveau produit) et quantitatifs (rentabilité de 10 % des capitaux). On décompose ensuite ces objectifs généraux en sous-objectifs assignés aux divers échelons hiérarchiques. Ainsi, un objectif de x % de taux de rentabilité des capitaux peut se décomposer en deux sousobjectifs de baisse des coûts de y % et d augmentation des ventes de z %, négociés avec les responsables des services de production et les services commerciaux. II. La responsabilité sociale de l entreprise (RSE) De tout temps, les entreprises ont eu d autres finalités que des finalités strictement économiques et financières. Depuis le début du XXI e siècle, de nombreux facteurs ont conduit à mettre en exergue le développement de finalités sociétales. L entreprise devient alors citoyenne. 1. Définition de la RSE D après la définition européenne (Commission Green Paper 2001), la RSE est l intégration volontariste dans la stratégie des entreprises : des dimensions sociales et environnementales de l activité de l entreprise ; de la manière dont les entreprises interagissent avec leurs parties prenantes internes et externes. SYNTHESE DES 3 COURS Page 9

10 La RSE prend en compte la notion de développement durable. Celui-ci est défini comme «un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs». La RSE intègre également la notion de «parties prenantes». Il s agit pour l entreprise de considérer l ensemble des acteurs internes et externes sur lesquels l activité de l entreprise peut avoir des effets. Il s agit des partenaires classiques : «actionnaires, salariés, clients, fournisseurs, mais aussi d autres acteurs dont la prise en compte est de plus en plus importante : riverains, collectivités publiques, ONG, voire des générations futures dans l optique du développement durable». 2. Les enjeux de la RSE Les finalités de la RSE concernent à la fois les petites, les moyennes et les grandes entreprises nationales et internationales. Les domaines de la RSE sont ainsi présentés par Vigeo (spécialiste de la mesure des performances des entreprises). Les attentes des entreprises sont multiples. La RSE permet : de satisfaire les besoins des salariés qui souhaitent s impliquer dans les entreprises citoyennes ; d anticiper la législation et la réglementation dans le domaine de la prévention du risque, de la préservation de l environnement et de la limitation de la consommation d énergie ; de développer les marchés par la conquête des clients sensibles à l attitude citoyenne de leurs vendeurs ; d obtenir et de communiquer une bonne image de l entreprise. On peut constater que la RSE présente les avantages suivants : amélioration de la position concurrentielle par la conquête de nouveaux marchés et le développement durable de l entreprise ; SYNTHESE DES 3 COURS Page 10

11 amélioration des aspects financiers de l entreprise. «La relation entre l entreprise et la communauté financière est un élément stratégique pour les groupes internationaux. La qualité de la relation qu une PME entretient avec sa banque est fondamentale pour son activité. Une démarche RSE assumée et démontrée constitue progressivement un avantage en termes de capitalisation boursière, d accès au crédit ou aux marchés publics, et de recherche de partenaires» (MEDEF) ; amélioration de la prise en compte des attentes des salariés et développement de leur satisfaction et de leur motivation. En conclusion, on peut observer que les finalités des entreprises sont multiples et différenciées. Elles doivent à la fois réaliser des profits et satisfaire aux attentes de plus en plus exigeantes de toutes les parties prenantes. C est la fonction des dirigeants d opérer des arbitrages entre ces buts parfois contradictoires. À l heure de la crise mondiale une problématique émerge : quelle est la part du discours ou de la réalité dans le domaine du rôle des entreprises? Adam Smith ( ), dans la Richesse des nations, observait déjà : «Ce n est pas de la bienveillance du boucher, du marchand de bière ou du boulanger, que nous attendons notre dîner, amis du soin qu ils apportent à leur humanité, mais à leur égoïsme ; et ce n est jamais de nos besoins que nous leur parlons, c est toujours de leurs avantages». Beaucoup d auteurs pensent que la finalité première de l entreprise est la recherche de rentabilité. Cependant, pour atteindre ce but, il faut respecter des attentes légitimes des partenaires (clients, fournisseurs, collectivités locales) et prendre en compte des aspects écologiques et environnementaux. Les entreprises communiquent sur des objectifs et développent ainsi une bonne image d ellesmêmes. Il est évidemment bien difficile de déterminer, pour chaque entreprise, la part d approches véritablement sincères et désintéressées, et la part d alignement sur des modes dont le respect est indispensable pour la survie et le développement des affaires. Henri Ford ( ) résume ainsi cette problématique : «L entreprise doit faire des profits, sinon elle mourra. Mais si l on tente de faire fonctionner une entreprise uniquement sur le profit, alors elle mourra aussi car elle n aura plus de raison d être.» SYNTHESE DES 3 COURS Page 11

AUTO-ENTREPRENEUR ET PORTAGE SALARIAL L AUTO-ENTREPRENEUR

AUTO-ENTREPRENEUR ET PORTAGE SALARIAL L AUTO-ENTREPRENEUR AUTO-ENTREPRENEUR ET PORTAGE SALARIAL L AUTO-ENTREPRENEUR 1 LE REGIME C est un nouveau régime plus simplifié pour exercer une activité indépendante Ce n est pas un nouveau statut juridique car un auto-entrepreneur

Plus en détail

LES ETAPES DU MANAGEMENT LE CONTEXTE MONDIAL

LES ETAPES DU MANAGEMENT LE CONTEXTE MONDIAL LE CONTEXTE MONDIAL LE CONTEXTE COUTS QUALITE DELAIS LE RÔLE DU MANAGER ROLE DU MANAGER A ) ROLE DE GESTIONNAIRE FINALITE PRODUIRE. Ateindre les objectifs MOYENS GERER Organiser / Planifier / coordonner

Plus en détail

LES NOUVELLES MESURES RELATIVES À

LES NOUVELLES MESURES RELATIVES À LES NOUVELLES MESURES RELATIVES À L AUTO-ENTREPRENEUR, L EIRL ET LES ARTISANS Salon des entrepreneurs de PARIS 5 février 2015 MESURES RELATIVES À L AUTO- ENTREPRENEUR Pour rappel L auto-entrepreneur est

Plus en détail

«Challenging social reality, inspiring experiences»

«Challenging social reality, inspiring experiences» «Challenging social reality, inspiring experiences» Cornélia Federkeil-Giroux Mutualité Française représentante de l Association internationale de la mutualité (AIM) 1 L Association internationale de la

Plus en détail

Le Statut Auto-Entrepreneur

Le Statut Auto-Entrepreneur Le Statut Auto-Entrepreneur Le Statut Auto-Entrepreneur en 10 points http://www.declaration-auto-entrepreneur.com L auto-entrepreneur est caractérisé par différents points clés. Lorsque l ont décide de

Plus en détail

FICHE N 1 FONCTIONNEMENT DE L EIRL

FICHE N 1 FONCTIONNEMENT DE L EIRL L ENTREPRENEUR INDIVIDUEL À RESPONSABILITÉ LIMITÉE BERCY > LE 27 JANVIER 2010 FICHE N 1 FONCTIONNEMENT DE L EIRL Quel est l intérêt du dispositif? L EIRL permet la séparation du patrimoine de l entrepreneur,

Plus en détail

Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale

Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités

Plus en détail

Ce qu il faut savoir en 20 points

Ce qu il faut savoir en 20 points Ce qu il faut savoir en 20 points 1. Comptabilité allégée : o registre des ventes : les obligations comptables des autoentrepreneurs sont réduites. Ils peuvent simplement tenir un livre chronologique mentionnant

Plus en détail

Transfert du patrimoine de l entreprise avec retrait en espèces :

Transfert du patrimoine de l entreprise avec retrait en espèces : Solutions d assurance-vie Produits Actifs Occasions Garanties Croissance Capital Protection Revenu Avantage Solutions Options Stabilité PLANIFIER AUJOURD HUI. ASSURER L AVENIR. Transfert du patrimoine

Plus en détail

LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte

LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte La GRH constitue une préoccupation permanente de toute entreprise, de tout dirigeant, qu il s agisse de

Plus en détail

La création d entreprise par les jeunes de moins de 30 ans

La création d entreprise par les jeunes de moins de 30 ans - 1 - Les statistiques en bref La création d entreprise par les jeunes de moins de 30 ans Données de cadrage socio-démographique sur les jeunes en France 24 % des Français de 18 ans et plus sont âgés de

Plus en détail

7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES

7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES CCPQ Rue A. Lavallée, 1 1080 Bruxelles Tél. : 02/690.85.28 Fax : 02/690.85.78 Email : ccpq@profor.be www.enseignement.be 7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES PROFIL DE FORMATION

Plus en détail

Artisans, commerçants et professionnels libéraux. L auto-entrepreneur. Édition septembre 2014

Artisans, commerçants et professionnels libéraux. L auto-entrepreneur. Édition septembre 2014 Artisans, commerçants et professionnels libéraux L auto-entrepreneur Édition septembre 2014 Sommaire 04 Les principes Qui peut devenir auto-entrepreneur? p 4 Avec quelles limites de chiffre d affaires?

Plus en détail

FACE AUX DÉFIS ÉCOLOGIQUES

FACE AUX DÉFIS ÉCOLOGIQUES L ENVIRONNEMENT EN FRANCE 2 FACE AUX DÉFIS ÉCOLOGIQUES des initiatives locales et des actions de long terme VERS UN RAPPROCHEMENT DES ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES ET DE L ENVIRONNEMENT? INTRODUCTION L OBSERVATION

Plus en détail

F.A.Q www.laboiteaservices.com

F.A.Q www.laboiteaservices.com F.A.Q www.laboiteaservices.com Innovation : Une nouvelle façon d acheter un service 1. Généralités... 1 2. Le statut auto-entrepreneur... 4 3. Salarié C.E.S.U... 6 4. Je suis sans emploi... 6 5. Je suis

Plus en détail

B Qui sont les propriétaires et les gestionnaires des entreprises?

B Qui sont les propriétaires et les gestionnaires des entreprises? B Qui sont les propriétaires et les gestionnaires des entreprises? a) L entrepreneur individuel trepreneur individuel Nombre de propriétaires = 1 seul Responsabilité sur ses biens propres = illimitée Activités

Plus en détail

INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur

INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur Université Montesquieu Bordeaux IV 1 ère année Licence AES Année universitaire 2012-2013 INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur Questions préliminaires

Plus en détail

Manuel de l agent de crédit Banco Solidario

Manuel de l agent de crédit Banco Solidario Manuel de l agent de crédit Banco Solidario Extraits sur la prévention du surendettement des clients texte original en espagnol La philosophie «Vivre la solidarité» peut s appliquer à toute notre vie.

Plus en détail

P résentation. L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines. La Gestion des Ressources Humaines (collection Les Zoom s)

P résentation. L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines. La Gestion des Ressources Humaines (collection Les Zoom s) P résentation L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines est développé dans le livre rédigé par Chloé Guillot-Soulez et publié dans la même collection : La Gestion des

Plus en détail

Les Français et les outils financiers responsables : notoriété, perception et intérêt

Les Français et les outils financiers responsables : notoriété, perception et intérêt Les Français et les outils financiers responsables : notoriété, perception et intérêt Pour : Arnaud de Bresson / Vanessa Mendez De : Jennifer Fuks / Charles-Henri d Auvigny chdauvigny@opinion-way.com Tél

Plus en détail

Pratiques et besoins de financement des entreprises artisanales

Pratiques et besoins de financement des entreprises artisanales ÉTUDES et Recherches de l Institut Supérieur des Métiers Pratiques et besoins de financement des entreprises artisanales FÉVRIER 2014 Présentation des résultats Pratiques et besoins de financement des

Plus en détail

PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES DANS LES SECTIONS DE TECHNCIEN SUPERIEUR : RELEVANT DU SECTEUR TERTIAIRE

PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES DANS LES SECTIONS DE TECHNCIEN SUPERIEUR : RELEVANT DU SECTEUR TERTIAIRE Direction générale de l enseignement supérieur PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES DANS LES SECTIONS DE TECHNCIEN SUPERIEUR : RELEVANT DU SECTEUR TERTIAIRE «assistant de gestion PME-PMI». «assistant

Plus en détail

Le dispositif. Statut de l auto-entrepreneur

Le dispositif. Statut de l auto-entrepreneur L auto-entrepreneur L auto-entrepreneur Au sommaire Le dispositif, conditions, principes L adhésion Les cotisations, déclaration et paiement Les cumuls avec d autres exonérations La protection sociale

Plus en détail

CONNAISSANCES DE GESTION DE BASE

CONNAISSANCES DE GESTION DE BASE MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION CONNAISSANCES

Plus en détail

Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance

Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance Septembre 2013 Contact: Frédéric Dabi 01 45 84 14 44 Frederic.dabi@ifop.com Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance pour Note méthodologique Etude réalisée pour:

Plus en détail

AUTO ENTREPRENEURS NOUVEAUTES 2015

AUTO ENTREPRENEURS NOUVEAUTES 2015 AUTO ENTREPRENEURS NOUVEAUTES 2015 Introduction A compter du 1 er janvier 2015, certaines conditions de l auto entreprise changent : un seul statut unique immatriculation obligatoire aux chambres consulaires

Plus en détail

Création d entreprise, mode d emploi 13/11/14 2

Création d entreprise, mode d emploi 13/11/14 2 13/11/14 1 Création d entreprise, mode d emploi 13/11/14 2 Les intervenants Séverine GERVAIS CCI Caen Normandie Boris FLECHE Fédération Française de la Franchise Yvon BEAUFILS Cabinet Tacher Isabelle ANDRIES-LAUDAT

Plus en détail

quelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI?

quelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI? LA GOUVERNANCE DES PME-PMI Gérard CHARREAUX Professeur de Sciences de Gestion à 1 Université de Bourgogne, Dijon PREAMBULE Il est probable que vous vous interrogez sur l'apport des recherches en matière

Plus en détail

DECLARATION DE CRÉATION D UNE ENTREPRISE

DECLARATION DE CRÉATION D UNE ENTREPRISE 1 M0 CONSTITUTION D UNE SOCIETE AVEC ACTIVITE DECLARATION DE CRÉATION D UNE ENTREPRISE PERSONNE celle-ci résulte d une fusion/scission MORALE CONSTITUTION D UNE SOCIETE SANS ACTIVITE (Ne pas remplir les

Plus en détail

Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales. kpmg.fr

Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales. kpmg.fr Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales kpmg.fr 1 Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales 2 La gestion de la trésorerie,

Plus en détail

L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Le régime. Le point sur. Auto-entrepreneur

L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Le régime. Le point sur. Auto-entrepreneur Le point sur Le régime Auto-entrepreneur L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut être exercée à titre principal, par exemple, par un chômeur qui veut se lancer «à son compte», par un

Plus en détail

Auditer son environnement Telecom Un des fondements du projet TEM

Auditer son environnement Telecom Un des fondements du projet TEM Auditer son environnement Telecom Un des fondements du projet TEM Sommaire Introduction... 3 Les éléments internes essentiels à auditer... 4 Le dimensionnement de l infrastructure... 4 Les factures...

Plus en détail

Chapitre 3. La répartition

Chapitre 3. La répartition Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations

Plus en détail

Info «travailleur indépendant»

Info «travailleur indépendant» Info «travailleur indépendant» Quels sont les avantages et les inconvénients pour une structure (client) de faire appel à un travailleur indépendant? L équipe permanente est forcément limitée en nombre

Plus en détail

Artisans, commerçants et professionnels libéraux. L'auto-entrepreneur. Édition 2011

Artisans, commerçants et professionnels libéraux. L'auto-entrepreneur. Édition 2011 Artisans, commerçants et professionnels libéraux L'auto-entrepreneur Édition 2011 2 L auto-entrepreneur 3 Qui peut devenir auto-entrepreneur? Ce dispositif permet à toute personne de créer, avec des formalités

Plus en détail

Etude du niveau stress ressenti par les salariés de plusieurs entreprises du tertiaire. Un outil de mesure.

Etude du niveau stress ressenti par les salariés de plusieurs entreprises du tertiaire. Un outil de mesure. Etude du niveau stress ressenti par les salariés de plusieurs entreprises du tertiaire. Un outil de mesure. Participants : Dr Evelyne Barraud, Martine Chevillard, Marie-José Dureau Mer, Isabelle Gouget,

Plus en détail

Communauté Finance & Gestion Table ronde

Communauté Finance & Gestion Table ronde Communauté Finance & Gestion Table ronde Quand le réseau se met au service du financement Marie FAGUET notrepetiteentreprise.com Thierry BONNET - Finance Utile Pierre Henri SOLER UNILEND Pascal SANCHEZ

Plus en détail

Réunion d information : «L auto-entrepreneur : C est quoi? Comment ça marche? C est pour qui?» Version du 28 janvier 2011 Mise à jour du 9 juin 2011

Réunion d information : «L auto-entrepreneur : C est quoi? Comment ça marche? C est pour qui?» Version du 28 janvier 2011 Mise à jour du 9 juin 2011 Réunion d information : «L auto-entrepreneur : C est quoi? Comment ça marche? C est pour qui?» Version du 28 janvier 2011 Mise à jour du 9 juin 2011 1 Intervenante: Marion BRIOUDES Centre de Formalités

Plus en détail

«Identifier et définir le besoin en recrutement»

«Identifier et définir le besoin en recrutement» «Identifier et définir le besoin en recrutement» LES ETAPES DU RECRUTEMENT Le recrutement est une démarche structurée qui comporte plusieurs étapes aux quelles il faut attacher de l importance. La majorité

Plus en détail

Management Chapitre 3 Diriger et décider

Management Chapitre 3 Diriger et décider I) Les décisions et les processus décisionnels A) La notion de décision Diriger une entreprise c est avant tout exercer un pouvoir décisionnel. Décider c est transformer une information en action. C est

Plus en détail

BTS Management des Unités Commerciales MERCATIQUE GRC-DUC. Prép a rat io n au x épre u ve s ora le s d ACRC e t de P DUC.

BTS Management des Unités Commerciales MERCATIQUE GRC-DUC. Prép a rat io n au x épre u ve s ora le s d ACRC e t de P DUC. BTS Management des Unités Commerciales MERCATIQUE GRC-DUC Prép a rat io n au x épre u ve s ora le s d ACRC e t de P DUC Nathalie HOUVER Sommaire GRC - DUC 1 re PARTIE : Les savoirs associés - Référentiel

Plus en détail

Les TPE françaises et les nouvelles technologies. Conférence du 30 octobre 2012

Les TPE françaises et les nouvelles technologies. Conférence du 30 octobre 2012 Les TPE françaises et les nouvelles technologies Conférence du 30 octobre 2012 SYNTHESE Une forte conscience des enjeux des nouvelles technologies Aujourd hui, la quasi-totalité des dirigeants de TPE est

Plus en détail

MENU. Chacun de vos événements est essentiel.

MENU. Chacun de vos événements est essentiel. DMC BRESIL Notre identité Notre métier Notre réalité Contacts Chacun de vos événements est essentiel. Notre identité Nous vous apportons : Un service haut de gamme pour tous vos événements brésiliens.

Plus en détail

Ressources Humaines Enjeux et Stratégie dans un contexte international

Ressources Humaines Enjeux et Stratégie dans un contexte international Ressources Humaines Enjeux et Stratégie dans un contexte international 1 LES ENJEUX DE LA FONCTION R.H. Environnement : La mondialisation L accélération des changements L incontournable performance Le

Plus en détail

TERMES DE REFERENCE DE L AUDIT DU PROGRAMME DE VENTES ANTICIPEES A LA MOYENNE

TERMES DE REFERENCE DE L AUDIT DU PROGRAMME DE VENTES ANTICIPEES A LA MOYENNE TERMES DE REFERENCE DE L AUDIT DU PROGRAMME DE VENTES ANTICIPEES A LA MOYENNE 1. CONTEXTE ET JUSTIFICATION Depuis la campagne 2012-2013, l Etat de Côte d Ivoire a engagé une réforme de la filière café-cacao

Plus en détail

Solutions d assurance pour les propriétaires de petite entreprise

Solutions d assurance pour les propriétaires de petite entreprise Solutions d assurance pour les propriétaires de petite entreprise Les petites entreprises échouent pour diverses raisons : manque de planification, gestion déficiente, financement inadéquat, ralentissement

Plus en détail

LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE.

LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE. LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE. Synthèse des travaux réalisés 1. Problématique La question D7 du plan d exécution du Programme National de Recherches

Plus en détail

bpce assurances L ESSENTIEL 2012

bpce assurances L ESSENTIEL 2012 bpce assurances L ESSENTIEL 2012 I ÉDITO Pierre Garcin Président du conseil d administration Paul Kerangueven Directeur général Sommaire Faits marquants ÉDITO p. 1 à propos de BPCE Assurances p. 2 l assurance

Plus en détail

location et services : vente directe via des agences en propre ; produits de collectivités : vente directe, revendeurs, télévente et vente en ligne.

location et services : vente directe via des agences en propre ; produits de collectivités : vente directe, revendeurs, télévente et vente en ligne. Chapitre 6 LA FONCTION COMMERCIALE 6.1 Organisation commerciale et distribution Une adaptation constante des modes de distribution et de l organisation commerciale aux produits, aux services et aux clients

Plus en détail

Artisans, commerçants et professionnels libéraux. L'auto-entrepreneur. Édition janvier 2012

Artisans, commerçants et professionnels libéraux. L'auto-entrepreneur. Édition janvier 2012 Artisans, commerçants et professionnels libéraux L'auto-entrepreneur Édition janvier 2012 2 L auto-entrepreneur Qui peut devenir auto-entrepreneur? Ce dispositif permet à toute personne de créer, avec

Plus en détail

Le guide des formalités

Le guide des formalités Le guide des formalités Tout au long la de votre vie, CMA 30 est là... Sommaire Quelques rappels importants permettant de faciliter la réalisation des formalités auprès du Service Formalités des Entreprises

Plus en détail

Artisans, commerçants et professionnels libéraux. L'auto-entrepreneur. Édition janvier 2013

Artisans, commerçants et professionnels libéraux. L'auto-entrepreneur. Édition janvier 2013 Artisans, commerçants et professionnels libéraux L'auto-entrepreneur Édition janvier 2013 Sommaire 04 Les principes Qui peut devenir auto-entrepreneur? p 4 Avec quelles limites de chiffre d affaires? p

Plus en détail

INTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre

INTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre INTRODUCTION Il y a 20 ans, toute l attention de l entreprise se portait sur la diminution des coûts et la maîtrise des filières de production autour des produits standardisés. Dans les années 1990, le

Plus en détail

Principaux résultats Edition 2015

Principaux résultats Edition 2015 1 Principaux résultats Edition 2015 by & Introduction 2 La naissance de l idée Avec le constat suivant : Des moments d enchantement? Le quotidien des Français dans leurs interactions avec les enseignes

Plus en détail

TÉMOIGNAGE CLIENT ELIOR

TÉMOIGNAGE CLIENT ELIOR Afin d améliorer la qualité de son information client, le groupe Elior a doté les forces commerciales de son activité de restauration collective d une solution basée sur Pivotal CRM. Souple et ergonomique,

Plus en détail

DEVOIR N 1 économie générale

DEVOIR N 1 économie générale PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le

Plus en détail

Communication Opérationnelle Franchises et Réseaux

Communication Opérationnelle Franchises et Réseaux Communication Opérationnelle Franchises et Réseaux Matérialiser votre concept CONSTRUCTION DE L IMAGE ET DE LA COMMUNICATION Traduire votre concept en véritable projet d entreprise >> Confirmer votre offre

Plus en détail

Conduire les entretiens annuels d évaluation

Conduire les entretiens annuels d évaluation Ce guide s adresse aux dirigeants et aux responsables en charge de la fonction ressources humaines qui envisagent de mettre en place des entretiens annuels. Il constitue un préalable à l instauration d

Plus en détail

Le régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Le point sur. Auto-entrepreneur SPÉCIAL DOM

Le régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Le point sur. Auto-entrepreneur SPÉCIAL DOM Le point sur SPÉCIAL DOM Le régime Auto-entrepreneur L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut être exercée à titre principal, par exemple, par un chômeur qui veut se lancer «à son compte»

Plus en détail

P0 C M B N 50782#05 NOTICE DÉCLARATION DE CRÉATION D UNE ENTREPRISE C OMMERCE MÉTIERS BATELLERIE PERSONNE PHYSIQUE Merci de bien vouloir fournir les renseignements demandés qui ont un caractère obligatoire.

Plus en détail

LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE :

LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : DECRYPTAGE ET TEMOIGNAGE Le coaching en entreprise est souvent source de questionnement sur différents aspects : quelles populations concernées? Dans

Plus en détail

Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique

Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique.i. Les enjeux et domaines de la veille.ii. La mise en place d un processus de veille.iii. Illustration d une démarche

Plus en détail

DÉCLARATION DE DÉBUT D ACTIVITÉ

DÉCLARATION DE DÉBUT D ACTIVITÉ P0 Auto-entrepreneur DÉCLARATION DE DÉBUT D ACTIVITÉ AUTO-ENTREPRENEUR PERSONNE PHYSIQUE M G U I D B E F K T ACTIVITÉ COMMERCIALE, ARTISANALE, LIBÉRALE reçue le 1 bis 6 VOUS NE BÉNÉFICIEZ DE CE RÉGIME

Plus en détail

PROTOCOLE. Entre le Barreau de Paris, le Tribunal de Commerce et le Greffe. Le Barreau de Paris, représenté par son Bâtonnier en exercice,

PROTOCOLE. Entre le Barreau de Paris, le Tribunal de Commerce et le Greffe. Le Barreau de Paris, représenté par son Bâtonnier en exercice, PROTOCOLE Entre le Barreau de Paris, le Tribunal de Commerce et le Greffe Le Barreau de Paris, représenté par son Bâtonnier en exercice, Le Tribunal de commerce de Paris, représenté par son Président en

Plus en détail

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail

Plus en détail

Réussir sa création d entreprise

Réussir sa création d entreprise Chambre des Experts Comptables du Cœur d Hérault Réussir sa création d entreprise Les conseils de l expert-comptable Support téléchargeable sur : www.cecch.fr CSOEC 2012 Comité Création d Entreprise La

Plus en détail

Hôtellerie & Tourisme

Hôtellerie & Tourisme SALARY SURVEY 2014 & & Sélection et approche directe de cadres confirmés www.michaelpage.fr INTRODUCTION Michael Page & est une division de Michael Page, leader du conseil en recrutement, spécialiste de

Plus en détail

I. BILAN 2013 ET PROSPECTIVE 2014

I. BILAN 2013 ET PROSPECTIVE 2014 OBSERVATOIRE DYNAMIQUE DES METIERS DE LA BRANCHE I. BILAN 2013 ET PROSPECTIVE 2014 TENDANCES D EVOLUTION ET COMPETENCES EMERGENTES I.3. SECTEUR ETUDES & CONSEIL OPIIEC 25 Quai Panhard et Levassor 75013

Plus en détail

Un Cabinet de Référence en Droit des Affaires. Le développement international. Une structure souple et toujours à l écoute

Un Cabinet de Référence en Droit des Affaires. Le développement international. Une structure souple et toujours à l écoute Un Cabinet de Référence en Droit des Affaires Créé en 1957 par le Bâtonnier Bernard du Granrut, le cabinet est aujourd hui l un des plus importants cabinets d avocats d affaires indépendants. Nos avocats

Plus en détail

L AUTO - ENTREPRENEUR

L AUTO - ENTREPRENEUR L AUTO - ENTREPRENEUR Présenté par le CGAHDF Y. GRANIER et M. VILLERS 15 Avril 2009 Y.GRANIER - M. VILLERS 1 Qui peut le devenir? Tous les Français à titre principal ou accessoire Les salariés, les chômeurs,

Plus en détail

Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf

Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf This project is funded by The European Union Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf This project is funded by The European Union Istikshaf: explorer la mobilité Agenda politique régional pour la mobilité

Plus en détail

la création d entreprise en nord-pas de calais

la création d entreprise en nord-pas de calais Nord-Pas de Calais N 184 SEPTEMBRE 2014 la création d entreprise en nord-pas de calais Près de 24 000 créations d entreprise en 2013 en Nord-Pas de Calais En 2013, les créations ont légèrement baissé en

Plus en détail

I) Le diagnostic externe

I) Le diagnostic externe Le diagnostic stratégique est la première étape de la démarche stratégique et consiste à analyser le diagnostic externe et interne de l entreprise. L analyse FFOM (SWOT) résume les conclusions de ces deux

Plus en détail

Le régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Le point sur. Auto-entrepreneur

Le régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Le point sur. Auto-entrepreneur Le point sur Le régime Auto-entrepreneur L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut être exercée à titre principal, par exemple, par un chômeur qui veut se lancer «à son compte» ou à titre

Plus en détail

Lancement de l Association Professionnelle des Intermédiaires en Crédits (APIC)

Lancement de l Association Professionnelle des Intermédiaires en Crédits (APIC) Lancement de l Association Professionnelle des Intermédiaires en Crédits (APIC) Cafpi, leader historique en matière de courtage en crédit immobilier, Meilleurtaux.com dont le développement s est appuyé

Plus en détail

Formation certifiante : Animer mon équipe pour élever la performance

Formation certifiante : Animer mon équipe pour élever la performance Formation certifiante : Animer mon équipe pour élever la performance Public concerné Dans l exercice de vos fonctions de manager qu elles soient nouvelles pour vous ou déjà expérimentées vous avez pu mesurer

Plus en détail

Note rédigée avec le Concours du cabinet NSK FIDUCIAIRE, Cédric Roubin, Associé, Expert-comptable & Commissaire aux comptes

Note rédigée avec le Concours du cabinet NSK FIDUCIAIRE, Cédric Roubin, Associé, Expert-comptable & Commissaire aux comptes LES PRINCIPES DE BASE D UNE SOCIETE D EXERCICE LIBERAL A RESPONSABILITE LIMITEE (SELARL) Note rédigée avec le Concours du cabinet NSK FIDUCIAIRE, Cédric Roubin, Associé, Expert-comptable & Commissaire

Plus en détail

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents : MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation

Plus en détail

Eric CIOTTI Président du Conseil général des Alpes-Maritimes

Eric CIOTTI Président du Conseil général des Alpes-Maritimes A sa création, en 2005, la FORCE 06, rattachée à l ONF, constituait une unité de forestiers-sapeurs dédiée aux travaux d entretien des infrastructures de Défense des Forêts Contre l Incendie (DFCI) et

Plus en détail

L externalisation de vos logiciels entreprises : une solution aux problèmes de coûts, de sécurités et de réactivités

L externalisation de vos logiciels entreprises : une solution aux problèmes de coûts, de sécurités et de réactivités Notes de Frais L externalisation de vos logiciels entreprises : une solution aux problèmes de coûts, de sécurités et de réactivités Que ce soit par la communication, par les échanges ou par la collaboration,

Plus en détail

La protection sociale des travailleurs non salariés. Direction de la sécurité sociale

La protection sociale des travailleurs non salariés. Direction de la sécurité sociale CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 08 avril 2009 à 9 h 30 «Les régimes de retraite des indépendants : les problématiques spécifiques» Document N 13.1 Document de travail, n engage pas

Plus en détail

Marketing opérationnel

Marketing opérationnel Programme MASTER Les MAJEURES du Spring Semester 2011 Les étudiants accueillis en séjour d études à l ESC PAU choisissent un programme d études spécialisé. Chaque Majeure compte 210 heures de cours. Pôle

Plus en détail

Pour l inscription d une société aux documents précédents s ajoutent les statuts et le journal d annonces légales.

Pour l inscription d une société aux documents précédents s ajoutent les statuts et le journal d annonces légales. L affiliation à la MSA Les contacts nécessaires avant toute création d entreprise Il est nécessaire de prendre contact avec la MSA, au moins trois mois avant toute installation pour y récupérer, la demande

Plus en détail

Institut Informatique de gestion. Communication en situation de crise

Institut Informatique de gestion. Communication en situation de crise Institut Informatique de gestion Communication en situation de crise 1 Contexte Je ne suis pas un professionnel de la communication Méthode empirique, basée sur l(es) expérience(s) Je suis actif dans un

Plus en détail

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion

Plus en détail

PROFESSEUR ENCADRANT: M. Abdellatif CHAKOR

PROFESSEUR ENCADRANT: M. Abdellatif CHAKOR UNIVERSITE MOHAMMED V -Agdal Rabat- École Doctorale de Gestion Exposé en GESTION ET ORGANISATION DES ENTREPRISES sous le thème: PROFESSEUR ENCADRANT: M. Abdellatif CHAKOR REALISE PAR : Meriama EDA-AIF

Plus en détail

REGIME DE L AUTO-ENTREPRENEUR

REGIME DE L AUTO-ENTREPRENEUR REGIME DE L AUTO-ENTREPRENEUR 1 Remarques introductives Statut mis en œuvre par la loi de Modernisation de l Economie du 4 août 2008 Statut en vigueur à compter du 1er janvier 2009 Site internet : http://www.auto-entrepreneur.cci.fr/

Plus en détail

ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002

ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002 GT015-rev octobre 2002 ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI Enquête IPSOS Novembre 1999 Contribuer à la performance de l entreprise 153 rue de Courcelles 75817 Paris cedex 17 Tél. 01 44 15 60

Plus en détail

Le régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur. Auto-entrepreneur SPÉCIAL DOM. À jour au 1 er janvier 2015

Le régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur. Auto-entrepreneur SPÉCIAL DOM. À jour au 1 er janvier 2015 Le point sur ( ) SPÉCIAL DOM Le régime Auto-entrepreneur À jour au 1 er janvier 2015 L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut être exercée à titre principal, par exemple, par un chômeur

Plus en détail

COMMUNICATION SUR LE PROGRES GLOBAL COMPACT

COMMUNICATION SUR LE PROGRES GLOBAL COMPACT COMMUNICATION SUR LE PROGRES GLOBAL COMPACT NOVEMBRE 2013 2 Le mot de la direction Lorsque nous avons fondé NEXEO, nous avions déjà une expérience significative du métier de la prestation intellectuelle

Plus en détail

Synthèse. Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers. Propositions et axes de réflexion des IEEC

Synthèse. Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers. Propositions et axes de réflexion des IEEC Synthèse Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers Propositions et axes de réflexion des IEEC Introduction Alors que les marchés internationaux ont toujours été un

Plus en détail

MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE SPECIALISATION MANAGEMENT DU DEVELOPPEMENT DURABLE

MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE SPECIALISATION MANAGEMENT DU DEVELOPPEMENT DURABLE MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE SPECIALISATION MANAGEMENT DU DEVELOPPEMENT DURABLE Diplôme Européen reconnu par la Fédération Européenne des Ecoles ; www.fede.org - BAC+5 Présentation

Plus en détail

LES ETAPES DE LA CREATION

LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION DE VOTRE ENTREPRISE L ELABORATION DU PROJET p. 13 A/ L étude commerciale p. 13 B/ L étude financière p. 18 C/ L étude juridique p. 27 LES FORMALITES

Plus en détail

Agence pour une Comm green et responsable

Agence pour une Comm green et responsable Agence pour une Comm green et responsable AGENCE WEB AGENCE MEDIA AGENCE EVENEMENTIELLE AGENCE CONSULTING ET DEVELOPPEMENT Le nom econnexbiocity mêle plusieurs concepts. - ECONNEX signifie l e-connexion,

Plus en détail

LES PROBLEMES D ASYMETRIE D INFORMATION AU SEIN DE L ENTREPRISE

LES PROBLEMES D ASYMETRIE D INFORMATION AU SEIN DE L ENTREPRISE LES PROBLEMES D ASYMETRIE D INFORMATION AU SEIN DE L ENTREPRISE Les relations au sein de l entreprise tendent à se complexifier depuis quelques années. L ouverture internationale multiplie en effet le

Plus en détail

Favoriser la croissance verte à l aide des brevets

Favoriser la croissance verte à l aide des brevets Favoriser la croissance verte à l aide des brevets journée luxembourgeoise de la propriété intellectuelle Roberto d Erme IPR Legal Advisor European IPR Helpdesk ANNÉE 1865 Sir William Stanley Jevons -

Plus en détail

Reprendre une entreprise. Nous allons faire un bout de chemin ensemble!

Reprendre une entreprise. Nous allons faire un bout de chemin ensemble! Le Livret d accueil du Repreneur Reprendre une entreprise. Nous allons faire un bout de chemin ensemble! 2 3. Sommaire Le CRA Ce livret a pour vocation de vous aider à utiliser d une manière optimale l

Plus en détail

RECRUTEMENT. IMMOFINANCES.NET est un réseau spécialisé. Courtier de proximité en réseau

RECRUTEMENT. IMMOFINANCES.NET est un réseau spécialisé. Courtier de proximité en réseau RECRUTEMENT IMMOFINANCES.NET est un réseau spécialisé Courtier de proximité en réseau en crédit immobilier, assurance de prêt, rachat de crédit, crédit pro et réméré immobilier Vous avez envie d entreprendre?

Plus en détail