OCCLUSIONS VEINEUSES RETINIENNES Prise en charge en 2013
|
|
- Hubert Gaumond
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 SUD RÉTINE MONACO 14 et 15 juin 2013 OCCLUSIONS VEINEUSES RETINIENNES Prise en charge en 2013 Agnès Glacet-Bernard - Les options thérapeutiques Sylvia Nghiem-Buffet - Lucentis dans la vraie vie Hervé Rouhette L étude Rémido Vincent Pierre-Kahn Ozurdex dans la vraie vie
2 SUD RÉTINE MONACO 14 et 15 juin 2013 OCCLUSIONS VEINEUSES RETINIENNES Prise en charge en 2013 Les options thérapeutiques Agnès Glacet-Bernard Centre Hospitalier Intercommunal Université Paris-Est Créteil
3 Déclaration d intérêt dans les OVR Investigateur dans l étude 2011-Pfizer (Macugen dans les OVCR) Investigateur pour Allergan - étude Posurdex en consultant en Coordonnateur de l étude «traitement d attaque des OVCR» en collaboration avec Novartis , consultant en Co-investigateur dans l étude Fovéa de phase 1-2,
4 PRISE EN CHARGE DES OVR : LE CHANGEMENT DE PARADIGME Jusqu à ces dernières années : Traitement étiologique rhéologique indiqué uniquement à la phase initiale (hémodilution) Traitement des séquelles ou des complications (laser) Arrivée de nouveaux traitements symptomatiques Efficacité prouvée sur l œdème maculaire Préservation de l acuité visuelle Dans les OVCR et dans les OBV Grâce à ces nouveaux traitements L occlusion veineuse est maintenue à un stade de gravité moindre grâce à des injections répétées Les complications sont retardées ou prévenues Nécessité d un suivi très régulier et plus fréquent
5 TRAITEMENT SYMPTOMATIQUE DES OVR : Injections Intravitréennes (IVT) Le traitement de l œdème maculaire par IVT semble maintenant bien codifié : Résultat des études cliniques Suivi de plus en plus long Bien distinguer le Tt de l OM du : Traitement «étiologique» de l OV (Tt des facteurs de risque, traitements à visée vasculaire, hémodilution) Traitement d une poussée d HTA Traitement d une hypertonie oculaire Equilibre d une hyperlipidémie, d un diabète Traitement d une apnée du sommeil Arrêt d une contraception œstro-progestative. Traitement de la composante ischémique (PPR) non remis en question par les nouveaux Tts de l OM Même s il existent des interractions
6 TRAITEMENT DE L ŒDÈME MACULAIRE Deux classes thérapeutiques ont démontré leur efficacité dans l œdème des OVCR et des OBV : Les stéroïdes Ozurdex (implant de dexaméthasone), disponible étude GENEVA Trivaris (triamcinolone), étude SCORE non disponible en Europe distribué aux USA Les anti-vegf Seul le Lucentis a l AMM dans cette indication Étude Cruise (OVCR) et Bravo (OBV) Macugen (OVR 2006) Avastin : ni forme galénique, ni AMM
7 IMPLANT INTRA-OCULAIRE BIODEGRADABLE à LIBERATION PROLONGEE (OZURDEX ) Implant NOVADUR Préchargé dans un applicateur à utilisation unique Geneva Etude randomisée, en double insu 1267 patients ayant un œdème maculaire secondaire à une OVR 35% d OVCR et 65% d OBV Principaux critères d inclusion de l étude AV entre 1/10 et 4/10, OMC persistant après 6 semaines Epaisseur OCT >300µm 15% OMC < 3 mois, 50% entre 3-6mois, 35% > 6mois, moy=5 mois)
8 IMPLANT INTRA-OCULAIRE BIODEGRADABLE A LIBERATION PROLONGEE (OZURDEX ) RÉSULTATS Efficacité à 12 mois, après la 2 ème injection Variation moyenne de l AV : Même efficacité à la 2ème IVT Le groupe initialement sham répond aussi, (mais moins bien)
9 IMPLANT INTRA-OCULAIRE BIODEGRADABLE A LIBERATION PROLONGEE (OZURDEX ) EFFETS INDESIRABLES Variations de la PIO : transitoire et gérable à 2 mois, après la 2ème injection: environ 3% des patients ont une PIO>35mmHg environ 16% des patients ont une PIO>25mmHg 1,2% (4) chirurgie glaucome à 12 mois Cataracte 3 chirurgies de la cataracte à 12 mois pour le 700ug
10 LUCENTIS études CRUISE et BRAVO Critères d Inclusion de CRUISE Œdème maculaire secondaire à une OVCR diagnostiquée depuis moins de 1 an AV entre 20/40 et 20/320 Épaisseur maculaire > 250µ Critères de réinjection de la phase PRN : AV 20/40 et CRT 250µ Principaux Critères d Exclusion AVC ou infarctus récent < 3 mois En cours d amélioration (Gain d AV > 10 lettres entre la visite initiale et la date de décision de l injection (environ 28 jours) 65%(OBV)<3m et Déficit pupillaire afférent prononcé (forme ischémique) Laser depuis moins de 4 mois
11 Lucentis étude Horizon, suivi 2 ans Evolution de l acuité visuelle moyenne au cours du temps par rapport à l acuité visuelle initiale Pourcentage de patients avec un gain de vision 15 lettres par rapport à l inclusion B R A V O C R U I S E
12 Comment choisir le traitement administré? Choix personnalisé selon principalement : les contre-indications de la classe thérapeutique la disponibilité du patient Les données cliniques
13 Particularités cliniques du patient Glaucome ou HTO bien équilibrés par une médication hypotonisante Glaucome 2 tt hypotonisants Œil vitrectomisé Antécédent cardiovasculaire récent (inférieur à 3-6 mois) Anti-VEGF Implant de dexaméthasone Triamcinolone Oui Possible Contre-indiquée Oui Contre-indiqué Contre-indiquée Déconseillé (demivie trop courte) Recommandé Déconseillé (demi-vie trop courte) Exclusion des études princeps Oui Oui Patient pseudophake Oui Oui Oui Patient phake âgé Oui Oui Oui Patient phake jeune Oui Risque de cataracte précoce Nombre moyen d IVT la première année selon les études princeps Disponibilité et AMM en France Risque de cataracte rapide 9 (OVCR) 8 (OBV) 2 à 3 3 Lucentis : AMM et remboursement (depuis juin 2012) Rapport des BSOF 2011 Ozurdex : AMM et remboursement (depuis mars 2011) Trivaris : non disponible en France Vitréal S : indiqué pour la chirurgie OPH, pas d AMM dans les OVR
14 Comment choisir le traitement administré? Les données cliniques : Dans les formes à risque de néovascularisation (OVCR < 1/10), préférence pour l anti-vegf qui permet de réaliser en toute sécurité la PPR En cas de résistance à l anti-vegf, proposer l implant de stéroïde qui a une action anti-inflammatoire complémentaire Pour suivre la séquence physiopathogénique, d abord les anti-vegf dans les premiers jours, puis les anti-inflammatoires
15 Quand démarrer le traitement?
16 TRAITEMENT DE L ŒDÈME MACULAIRE Quand démarrer le traitement? Intérêt d un traitement précoce (avant 3-6 mois) sur la récupération visuelle finale Dans les limites du champ des études Cruise et Bravo : 1 mois à 1 an (moyenne = 3,3 mois) Geneva : 6 sem-9 mois (OVCR) et 6 sem-12 mois (OBV) (moyenne 5 mois) D autres études ne montrent pas de bénéfice un traitement ultraprécoce : Étude RAVO, hémodilution et IVT lucentis à J0 ou J60 Saleh et col. : IVT triam initiale ou à 6 semaines Créteil SFO 2013 : même résultat avec IVT de Lucentis à 10 jours ou à 4 semaine, dans les formes sévères
17 OVCR d emblée sévère : Résultats du traitement précoce par Lucentis ** * * Natural history and clinical management of CRVO, CVOS, Arch Oph 1997, 115: ** Prognosis of CRVO, Glacet & Coscas,Ophthalmology 1996,103: Néovascularisation du segment antérieur : Aucun cas de après le début des IVT PPR : 13 cas / 19 Hémorragie intra-vitréenne : 3 cas à 5-6 mois Récidive de l OVCR type ischémique : 1 cas à 5 mois
18 Homme de 67 ans, HTA traitée AV = 1/50 2 ème oeil 3 IVT 750 μm 705 μm 1 mois après la 1 ère IVT AV = 20/250 À 6 mois AV = 20/160 PPR
19 TRAITEMENT DE L ŒDÈME MACULAIRE Quand démarrer le traitement? En pratique Attendre le résultat de la consultation de contrôle (15j-1mois) Traiter selon l acuité visuelle et la tendance évolutive, pour ne pas traiter inutilement les formes favorables, schématiquement : AV 6/10 environ : surveillance AV entre 2,5/10 et 5/10 Amélioration progressive de la vision surveillance Baisse de la vision IVT AV < 2,5/10 : IVT
20 Selon le Rapport des BSOF 2011
21 Mme B. L., 55 ans aucun facteur de risque vasculaire BAV récente en décembre 2011, 5/10 P3 687 µ Bilan étiologique négatif, hormis un terrain migraineux Hémodilution le 20/12/2011 hématocrite 42% 34,9% Contrôle à 1 mois
22 Suivi mensuel Initialement : 5/10 P3 687µ 1 mois : 5/10f P3 713 µ 2 mois : 5/10 P3 637 µ 3 mois : 6/10 P2f 536 µ 4 mois : 6.3/10 P2 508 µ 5 mois : 8/10 P2 432 µ 6 mois : 8/10 P2 407 µ 9 mois : 10/10f P2 299 µ
23 TRAITEMENT DE L ŒDÈME MACULAIRE Toutes les OVR ne nécessiteront pas d IVT Possibilité d amélioration spontanée 25% des OVCR et 50% des OBV ont spontanément une évolution (lentement) favorable (AV 6/10) Une évolution spontanée favorable, bien que plus lente, est toujours préférable Éviter les complications iatrogènes (endophtalmie ), un effet rebond suspecté, modifications brutales d épaisseur rétinienne agissant sur l interface (trou maculaire), l incertitude sur la baisse de la neuroprotection, extension de la nonperfusion, effets systémiques, etc. Contrairement à la DMLA, pas nécessité d action préventive contre l OM qui reste réversible au début, alors que les Nvx de la DMLA gagnent inexorablement du terrain
24 TRAITEMENT DE L ŒDÈME MACULAIRE Toutes les OVR ne nécessiteront pas d IVT Ne pas traiter d emblée : Les OVR très récente, ne pas poser l indication d IVT dès la première consultation, attendre de connaître la tendance évolutive Les œdèmes minimes s accompagnant d une acuité conservée Les relativement bonnes acuités visuelles ( 6 ou 7/10) Les formes connues pour être de bon pronostic : Banc péri-veinulaire Occlusion artérielle cilio-rétinienne associée Important retard circulatoire initial Les ischémies maculaires étendues Toujours tenir compte du contexte Œil adelphe Niveau d exigence visuelle Comorbidités
25 TRAITEMENT DE L ŒDÈME MACULAIRE Suivi du traitement Toujours avoir à l esprit : Chez les patients à risque, craindre les complications néovasculaires: AV < 1/10 OVCR dans les 4 premiers mois d évolution Diabétique ou terrain vasculaire marqué et aussi : ischémie rétinienne présente initialement, EMC > 900µ, En particulier à l arrêt des IVT répéter les angiographies selon l évolution clinique Intérêt d une angiographie de contrôle à 2 mois qui montre plus clairement les territoires ischémiques En dehors de la récidive de l œdème, une poussée évolutive de l OVR est possible Vérifier le FO à la recherche de nouvelles hémorragies Rechercher de nouveaux territoires d ischémie sur l angiographie
26 DANS LES OBV La grille maculaire reste le traitement de référence Mais actuellement, le traitement peut être d emblée orienté vers les IVT OBV récente et hémorragique œdème maculaire volumineux La grille maculaire est alors considérée comme un traitement de 2 ème intention : réalisée de manière plus sûre sur une rétine dont l épaisseur est normalisée par l IVT associée éventuellement au traitement de la périphérie rétinienne selon le résultat de l angiographie de contrôle
27 EN CONCLUSION Le traitement des OVR est maintenant basé sur le traitement symptomatique de l œdème maculaire autour duquel s articulent les prises en charges classiques, hémodilution et laser Attendre les premières semaines pour connaître la tendance évolutive avant de poser les indications d IVT
AJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Wilfried Minvielle
AJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Service du Professeur E. Souied Ophtalmologie Centre Hospitalier Intercommunal de Creteil Objectif Déterminer l inocuité du laser diode micropulse transfovéolaire dans l'œdème
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailOphtalmologie. L œdème maculaire diabétique : traitement actuel et options futures. Département. d ophtalmologie et des sciences de la vision,
Ophtalmologie Conférences scientifiques MD 211 Volume 9, numéro 2 COMPTE RENDU DES CONFÉRENCES SCIENTIFIQUES DU DÉPARTEMENT D OPHTALMOLOGIE ET DES SCIENCES DE LA VISION, FACULTÉ DE MÉDECINE, UNIVERSITÉ
Plus en détailDégénérescence maculaire liée à l âge
Dégénérescence maculaire liée à l âge LUC-09-02/10-6087 - 1 - Dégénérescence maculaire liée à l âge Sommaire 1. Introduction 2. Qu est-ce que la dégénérescence maculaire liée à l âge? 3. Forme sèche et
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailMise à jour du formulaire pour les régimes de médicaments du Nouveau-Brunswick
Bulletin n 902 le 6 mars 2015 Mise à jour du formulaire pour les régimes de médicaments du Nouveau-Brunswick Cette mise à jour du formulaire pour les régimes de médicaments du Nouveau-Brunswick entre en
Plus en détailMarche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica)
December 1, 2010 Klick Inc. Marche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica) Les utilisateurs de l application Guide santé CV MC qui souhaitent
Plus en détailVous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire
Vous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire HÔPITAL LARIBOISIERE Service d'ophtalmologie 2 rue Ambroise Paré 75475 Paris cedex 10 tel : 33 (0)1 49 95 64 88 La rétine est constituée de cellules visuelles
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailMIGRAINE - TRAITEMENT
MIGRAINE - TRAITEMENT Restauration d une bonne qualité de vie Adapté à chaque patient Reposant sur trois axes : éviction des facteurs déclenchants traitement de crise traitement prophylactique ANAES 2002
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailLes maladies vasculaires cérébrales
Les maladies vasculaires cérébrales Zlokovic et Apuzzo. Neurosurgery 1998; 43(4): 877-78 cité sur http://www.ohsu.edu/bbb/forprof_program.html Centre Mont-Royal, 5 juin 2014 Dr Yan Deschaintre Présentateur
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailProgramme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie
Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie (PEACE) Médecins réviseurs : Dr Steve Brulotte, cardiologue, CSSSAD-Lévis Dr Daniel D Amours, cardiologue, CHU Dr Guy Boucher, cardiologue,
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailVotre santé visuelle :
Votre santé visuelle : on peut faire plus! Votre santé visuelle : on peut faire plus! Votre santé visuelle : on peut faire plus! Droit d auteur 2007, INCA ISBN 978-0-921122-27-6 Titre : Votre santé visuelle
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailSystème cardiovasculaire - CV CV111 CV110. aliskirène Rasilez
aliskirène Rasilez CV111 Pour le traitement de l hypertension artérielle, en association avec au moins un agent antihypertenseur, si échec thérapeutique, intolérance ou contre-indication à un agent de
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailConseil International d Ophtalmologie Livret d ophtalmologie pour étudiants en Médecine
Conseil International d Ophtalmologie Livret d ophtalmologie pour étudiants en Médecine 2009 Compilé par le comité pour l enseignement Universitaire du Conseil International d Ophtalmologie. Cher étudiant
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailTYNDALL. 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014. 13 rue Dubrunfaut d échanges. Bulletin d Informations N 37 JUIN 2012
et 13 rue Dubrunfaut d échanges 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014 TYNDALL Bulletin d Informations N 37 JUIN 2012 Site Internet : www.inflamoeil.org Courriel : inflamoeil@yahoo.fr
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailHEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs
HEL-01298-de-0513-0001-21494 Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs Sommaire 1. Pourquoi des examens préventifs? 3 2. Examens préventifs pour le dépistage des facteurs de risque/maladies du
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailDéficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro
Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 10 mars 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 10 mars 2010 ARIXTRA 1,5 mg/0,3 ml, solution injectable en seringue pré-remplie - Boîte de 2 (CIP : 363 500-6) - Boîte de 7 (CIP : 363 501-2) - Boîte de 10 (CIP : 564
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux (NOAC)
Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement
Plus en détailLes Nouveaux AntiCoagulants Oraux
Les Nouveaux AntiCoagulants Oraux (NACO) Emmanuel HAZARD/Jean-loup HERMIL Chronologie Héparine non fractionnée 1950 HBPM 1980 NACO >2008 AVK 1960 Fondaparinux 2002 2 Les indications des NACOs En médecine
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailJournées. www.cpro.ca. Les 23 et 24 mai 2015 SHERATON LAVAL. 2440, Autoroute des Laurentides Laval (Québec) H7T 1X5
2015 Journées OPTOMÉTRIQUES Les 23 et 24 mai 2015 SHERATON LAVAL 2440, Autoroute des Laurentides Laval (Québec) H7T 1X5 Centre de perfectionnement et de référence en optométrie www.cpro.ca BIENVENUE CHANGEMENT
Plus en détailItem 81 (item 212) : Oeil rouge et/ou douloureux Collège des Ophtalmologistes Universitaires de France (COUF)
Item 81 (item 212) : Oeil rouge et/ou douloureux Collège des Ophtalmologistes Universitaires de France (COUF) 2013 1 Table des matières Introduction... 3 1. Examen... 3 2. Etiologie... 6 2.1. Œil rouge,
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailDeux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban
Deux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban Améliorations attendues et problèmes M.M. Samama, M-H. Horellou, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F.
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailLEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE
ordre des optométristes du québec LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE VOIR QUI AU
Plus en détailUN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie
Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes - Le glaucome chronique (240) Professeur Danièle Denis -Docteur Olivier Forzano Mai 2005
Maladies et Grands Syndromes - Le glaucome chronique (240) Professeur Danièle Denis -Docteur Olivier Forzano Mai 2005 1. Définitions et rappels : Le glaucome chronique est une neuropathie optique. Ainsi
Plus en détailOCT et MYOPIE. Jacques Chofflet Hôpital Saint Roch, Nice Prof. Gastaud Cabinet d Ophtalmologie d Antibes
OCT et MYOPIE Jacques Chofflet Hôpital Saint Roch, Nice Prof. Gastaud Cabinet d Ophtalmologie d Antibes OCT & Myopie «OCT has had the largest clinical impact in ophthalmology.» Fujimoto, 2001. «OCT has
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailVous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K)
Ce carnet a été réalisé sous la coordination de l Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K) Carte à découper
Plus en détailELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE
Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailPROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres
COMPRENDRE LA SELECTION ET LA TARIFICATION DES RISQUES B1 Durée : 1 journée Niveau Retenir les principes et définitions de base Comprendre les raisons de la sélection et les principes de tarification Faciliter
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailE03 - Héparines non fractionnées (HNF)
E03-1 E03 - Héparines non fractionnées (HNF) Les héparines sont des anticoagulants agissant par voie parentérale. 1. Modalités d u tilisation Mode d action : l héparine est un cofacteur de l antithrombine
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailLes triptans. quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre. Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit!
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Les triptans quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit! Les triptans, des agonistes sélectifs
Plus en détailMigraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?
Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et
Plus en détail