Les Femmes et l éducation des enfants à l argent. - Synthèse des principaux enseignements de l étude - 7 mars 2006

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1 Les Femmes et l éducation des enfants à l argent - Synthèse des principaux enseignements de l étude - 7 mars , rue Eugène Oudiné Paris tél fax / ifop@ifop.com

2 A l occasion de la journée de la femme, la Fédération Bancaire Française s est interrogée avec l IFOP, sur la vision et les attentes qu ont les femmes à propos de l éducation des enfants à l argent. Il s agissait en particulier : D appréhender les perceptions et attitudes des femmes à l égard de l éducation à l argent en général, mais également du rôle que pourraient avoir l école et la profession bancaire dans ce domaine vis à vis des enfants. D évaluer l accès des enfants aujourd hui à l argent et aux différents produits proposés par les banques (comptes, livrets, cartes ). L Ifop a donc interrogé 400 femmes, toutes mères d enfants âgés de 12 à 18 ans, soit à travers elles, 554 enfants de 12 à 18 ans. L échantillon interrogé était représentatif de la population des femmes ayant des enfants de 12 à 18 ans (représentativité assurée par la méthode des quotas). L étude a été réalisée par téléphone, du 9 au 11 février

3 1. L argent au cœur des foyers Aujourd hui, la quasi-totalité des mères (92%) donnent de l argent à leurs enfants de 12 à 18 ans, et ceci à travers différents moyens : 81% sous forme d argent de poche ponctuellement (45%) ou régulièrement (42%), surtout dans les foyers intermédiaires. Quand cet argent de poche est donné sur une base régulière, ceci correspond, pour les enfants concernés, à environ 30 par mois (de 16 à 12 ans à près de 60 à 18 ans) 42% versent de l argent sur le compte épargne de leurs enfants. Dans ce cas, pour les enfants qui en bénéficient, cela correspond à environ 29 par mois, sans grande amplitude selon l âge des enfants. Enfin, 12% des mères versent de l argent sur le compte courant, surtout dans les foyers les plus aisés où ce taux monte à 21%. Dans un tel cas, les montants moyens versés par mois s élèvent à 45 pour les enfants bénéficiaires. Quand les enfants concernés ont 17 ou 18 ans, ce montant moyen dépasse légèrement les 60. Finalement, en prenant en compte l ensemble des «revenus» possibles (argent de poche + versements divers + argent gagné par leurs propres moyens + argent reçu en cadeau, etc.) ces enfants reçoivent en moyenne 678 /an, avec une forte amplitude selon l âge : un peu plus de 300 /an vers ans, près de 900 /an à 17 ans, et plus de 1500 /an à 18 ans (à 18 ans, ils sont 78% à gagner de l agent par leurs propres moyens). 2. Un univers bancaire déjà familier D après leurs mères, tous leurs enfants (même de 12 ans) savent ce qu est une banque ou une carte de paiement ; quasiment tous (84%) ont une notion de ce qu est un crédit (plus de 90% à partir de 16 ans) ; Comptes courant, comptes épargne et livrets jeune sont quant à eux «connus» à hauteurs respectives de 79%, 78% et 77%. Même la notion de découvert est jugée connue par 72% des enfants (surtout au delà de 16 ans). 2

4 En terme d équipement là aussi, nous constatons des niveaux assez rapidement élevés : 82% ont un compte épargne (moins dans les foyers modestes : 76%), et ceci dès 12 ans. A 16 ou 17 ans environ 1 tiers disposent d une carte de paiement avec autorisation systématique ; environ les 2 tiers à 18 ans. Le compte courant avec carte de retrait est une réalité pour 31%, 45%, 66% des enfants de, respectivement, 16, 17 et 18 ans. Ce premier état des lieux est important pour réaliser que pour une très grande majorité des femmes, et de leurs enfants, la thématique de l argent n est pas «conceptuelle» ou distante : il s agit bien d une réalité tangible, concrète, et donc de fait incontournable dans les discussions et dans l éducation. 3. Une sensibilisation à trois niveaux pour les mères L argent étant au cœur des foyers pour les mères et les enfants, c est un sujet de discussion prépondérant, abordé par les deux parents dans 55% des cas ou par la mère uniquement dans 43% des foyers. Mais selon les questions, le niveau de sensibilisation diffère et ce sur 3 niveaux : 1) En premier lieu : le prix des choses Des enfants aujourd hui grandement attentifs, selon les mères, au prix des jeux, des vêtements ou objets qu ils désirent. C est un sujet de discussion fréquemment abordé par les mères, d autant que l argent de poche vient très rapidement (13 ans en moyenne). Un sujet concret au cœur des préoccupations quel que soit l âge des enfants de 12 à 18 ans. 2) Puis vient l apprentissage des valeurs de l argent Les parents parlent ensuite très souvent et s attachent à sensibiliser leurs enfants sur la nécessité de faire attention à l argent dépensé et de faire des économies pour s acheter ce qu ils désirent et ce d autant plus dans les foyers intermédiaires et modestes. Avoir un compte épargne est d ailleurs pour les mères la meilleure façon d apprendre à gérer son argent. Elles sont favorables à l ouvrir très jeune (9 ans en moyenne) et 82% des ans en ont un. Des valeurs d économie et de précaution placées au cœur de l éducation. 3

5 3) Les dimensions matérielles ou plus complexes sont en revanche relayées au second plan. La façon de gérer un budget, le fonctionnement des moyens de paiement et le rôle des banques sont des sujets nettement moins abordés au sein du foyer. Selon les mères, les enfants ne sont que très moyennement informés sur ces aspects. En outre, ce sont des termes qui apparaissent plus tardivement. La connaissance du compte courant, du livret jeune, du crédit ou du découvert par exemple ne s affirment que vers 15 ans. Les systèmes bloqués (téléphone mobile et carte de paiement à autorisation systématique) se révèlent également des bons moyens d apprendre à gérer son argent selon les mères mais arrivent aussi plus tard (14 et 16 ans). Avec un apprentissage qui vient avec l âge et le besoin, ce sont des sujets que les parents semblent laisser plus ou moins de côté dans l éducation de base. 4. L apprentissage à l école L éducation à l argent étant au cœur des foyers et se présentant comme un sujet de discussion central plus ou moins approfondi et «maîtrisé» par les parents, l apprentissage de l argent à l école reçoit un accueil très favorable. Les parents se montrent en effet ouverts à ce que leurs enfants apprennent à l école comment gérer un budget, comment fonctionnent les moyens de paiement et le rôle des banques (86 à 93% de favorables selon les sujets). Ils se montrent aussi favorables à ce que des enseignants leur inculquent les notions d économie et de précaution, valeurs importantes à leurs yeux et qu ils souhaitent voir relayées à l école. Les trois quarts d entre eux trouvent souhaitable qu en accord avec les enseignants, des représentants de la profession bancaire viennent aborder les questions d argent à l école, et ceci quel que soit le sujet (gestion d un budget ; nécessité de faire des économies ; nécessité de faire attention à l argent que l on dépense ; le fonctionnement des moyens de paiement). Même le sujet du «rôle des banques», un peu plus théorique, est appréhendé comme un sujet souhaitable à l école pour 77% des parents. A cet égard, nous notons qu il n existe pas de différence notable d accueil de ces thématiques à l école eût égard à l âge des enfants des mères interrogées, même si la forme et le contenu devront certes être adaptés. 4

6 Mais un clivage important existe selon le milieu social : les mères de foyers élevés et intermédiaires sont toujours majoritairement positives, mais un peu plus réservées à l entrée de l argent à l école alors que les foyers plus modestes s y montrent pleinement favorables. Un rôle potentiel de la profession bancaire dans les écoles pour relayer l action des parents en matière d éducation à l argent. 5

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