Shareholders et Stakeholders: amis ou ennemis? Workplace Democracy Workshop UCL, Louvain-la-Neuve 4 février 2008

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1 Shareholders et Stakeholders: amis ou ennemis? Workplace Democracy Workshop UCL, Louvain-la-Neuve 4 février 2008

2 Deminor Créée en 1991 Société de conseil aux actionnaires minoritaires et aux investisseurs Activités en Europe Bureaux aux Pays- Bas, en Belgique, France, Suisse et Italie Approche juridique et financière Objectif des interventions de Deminor: créer, préserver et récupérer de la valeur pour les actionnaires 2

3 Shareholder et Stakeholder Définition de l actionnaire: celui qui investit son argent dans l entreprise investissement en capital, sous la forme d actions ( obligations) lors de la création de l entreprise ou dans le courant de son existence But recherché par l actionnaire: réaliser un bénéfice sur son investissement augmentation de la valeur de ses actions: plusvalue revenu récurrent: dividende 3

4 Shareholder et Stakeholder Risque pour l actionnaire: perdre 100% de son investissement en principe, risque limité au montant de l investissement L intérêt de l actionnaire: que la société dégage une marge bénéficiaire (importance des revenus et des coûts) 4

5 Shareholder et Stakeholder Catégorie plus hétéroclite des stakeholders : travailleurs créanciers (banques, etc.) et débiteurs fournisseurs et clients (consommateurs) collectivités publiques (Etat, commune, etc.) l environnement la Société Etc. Diversité des risques et intérêts en présence (risque social, environnemental, pouvoir d achat, développement économique, etc.) 5

6 Shareholder et Stakeholder A priori, tenir compte des intérêts des stakeholders peut représenter un coût ou un manque à gagner pour l entreprise et, indirectement, pour l actionnaire Ex. salaires des travailleurs, investissements pour réduire le risque de pollution, etc. Conclusion: face à une confrontation d intérêts opposés, il faut arbitrer Mais comment et en faveur de qui? 6

7 Quel rôle pour l entreprise? Pression sur l entreprise et ses actionnaires (dénonciation des excès du modèle capitaliste) Est-ce réellement à l entreprise ou à ses actionnaires de veiller à l intérêt général? La recherche du profit est-elle condamnable en soi? Constat : l Etat n est plus en mesure de financer l économie (cf. Exposé des motifs de la loi Corporate Governance de 2002) 7

8 Quel rôle pour l entreprise? Conséquences: Nécessité de recourir à l investissement privé, notamment les marchés financiers L investissement n est attractif que s il offre des perspectives de profits Donc, il n est politiquement pas possible de condamner l objectif de maximisation des bénéfices sous peine de tarir les sources de financement, avec les conséquences qui en découleront pour l économie en général 8

9 De l opposition à la convergence des intérêts Ceci justifie-t-il la recherche du profit à tout prix? Les catégories de shareholders et stakeholders sontelles parfaitement étanches? L entreprise évolue-t-elle dans un monde sans foi, ni loi? Le débat n est-il pas biaisé par une approche excessivement théorique? 9

10 De l opposition à la convergence des intérêts La loi s applique à la société comme à n importe quelle personne (protection des travailleurs, des consommateurs, de l environnement, etc.) Le non-respect de la loi peut représenter un coût pour l entreprise et ses actionnaires Multiplication des lois protectrices des stakeholders L entreprise citoyenne et les bénéfices/risques en termes de réputation L autodiscipline pour prévenir une intervention du régulateur Référence aux stakeholders dans les codes de corporate governance 10

11 De l opposition à la convergence des intérêts L évolution des marchés financiers entraîne peu à peu une perméabilité des catégories de shareholders et stakeholders Le travailleur qui place son épargne dans un fonds de pension qui investit à son tour cette épargne dans des actions de l entreprise du travailleur Le développement de l actionnariat salarié Pression grandissante des actionnaires et notamment des investisseurs institutionnels pour une approche CSR (Corporate Social Responsibility) 11

12 Bilan provisoire - Interrogations Ne pas remettre en cause l objectif de maximisation des profits (pas un mal en soi) L arbitrage entre les intérêts en présence doit résulter de choix de société (interdictions, incitants, etc.) et ne doit pas être confié ou imposé aux entreprises et à leurs actionnaires Agir sur le comportement de l entreprise en société mais non sur son fonctionnement interne (corporate governance au sens strict) Laisser les actionnaires exercer un contrôle sur la dimension sociale, environnementale et éthique de l entreprise (approche CSR) 12

13 Bilan provisoire - Interrogations La solution consiste-t-elle à donner du pouvoir aux stakeholders en les transformant en shareholders? Suspicions quant au rôle de l Etat et des syndicats en tant qu actionnaires Risque d abus et de déstabilisation de l entreprise S agissant des shareholders, le débat ne se situe-t-il pas au niveau du choix entre une approche à court terme ou à long terme de leur investissement? Rechercher une croissance durable des bénéfices vs tirer profit à court terme d une forte volatilité sur les marchés financiers Influence du profil de l investisseur sur ce choix 13

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