Atmosphère standard. Les altitudes. dite géopotentielle et c est elle qui intervient dans les calculs de la mécanique du vol.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Atmosphère standard. Les altitudes. dite géopotentielle et c est elle qui intervient dans les calculs de la mécanique du vol."

Transcription

1 Les altitudes Dans les hypothèses de ase de définition de l atmosphère, nous avons supposé implicitement que l attraction de la pesanteur était constante à m/s². Ceci sinifie que le travail que l on doit dépenser pour élever une masse m de l altitude zéro à l altitude Z est mz. Cette altitude est dite éopotentielle et c est elle qui intervient dans les calculs de la mécanique du vol. Mais il faut remarquer que cette altitude éopotentielle est différente de l altitude éométrique. En effet, l attraction de la pesanteur diminuant avec l altitude, une masse m n acquiert l énerie mz qu en s élevant à une altitude éométrique Z supérieure à Z. Le taleau suivant donne la correspondance entre l altitude éopotentielle et l altitude éométrique exprimées en mètres pour quelques cas: altitude éopotentielle (m) altitude éométrique (m) On constate que dans le domaine aéronautique usuel, on ne commet pas une erreur très importante en confondant les notions. Un altimètre est un simple aromètre dont la raduation n est pas exprimée en unité de pression mais en unité de lonueur, la correspondance entre la pression et lonueur étant la loi de l atmosphère standard. La randeur ainsi mesurée s appelle altitude pression: elle n est éale à l altitude éopotentielle que dans le cas hautement improale où l atmosphère est standard. 1

2 Ainsi lorsqu un pilote annonce que son avion a atteint l altitude de m, cela sinifie rien d autre que le fait que l avion a atteint un altitude où rène une pression de a. Les calculs de performance des avions se font énéralement en atmosphère standard. Néanmoins, pour tenir compte des variations atmosphérique, on effectue souvent les calculs dans des atmosphères différentes de l atmosphère standard de la façon suivantes: à une altitude pression donnée, on suppose que la température n est pas la température standard mais une température en différant d une valeur ( est une fonction donnée de l altitude pression, énéralement une constante). On demandera par exemple d évaluer les performances d un avion en projet en atmosphère standard = + 15 C à toute altitude pression) C (ce qui sinifie que Il est à souliner dans ce cas que l altitude pression n est plus alors éale à l altitude éopotentielle; cette remarque est en particulier très importante dans le cas du calcul d une montée où c est l altitude éopotentielle qui ien évidemment entre en line de compte. Lorsque la loi température-altitude est de la forme (lorsque = 0 ): T = T + λz Z la pression prend la forme: = 1+ λz T λr La loi de raduation des altimètres (définition de l altitude pression) est donc: Z = T λ λr 1 2

3 et lorsque la température est constante: Z = Z RT ln Si la loi de température est différente: ( T + ) + Z T = λ la relation entre altitude éopotentielle et la pression est: Z = T + λ λr 1 A l altitude pression Z correspond la pression et à cette même pression correspond l altitude éopotentielle Z en atmosphère standard +, ainsi jusqu à mètres: Z = Z Ainsi à altitude pression donnée, l avion vole à une altitude éopotentielle d autant plus élevée que l atmosphère est plus chaude. Voyons si ce raisonnement est valale au-dessus de m. Lorsque la température est constante, l intération de Laplace conduit à = 11 exp Z RT11 ( ) avec = a et = K en atmosphère standard. 11 T 11 La relation de raduation des altimètres au-dessus de m est donc 3

4 Z = R ln 11 Si l atmosphère n est pas standard, le palier de température commence à l altitude pression de m, donc à l altitude éopotentielle de La relation entre altitude éopotentielle Z et pression est donc Z = R ( ) ln 11 d où la relation entre altitude pression Z et altitude éopotentielle Z : Z = ( Z 11000) et finalement Z = Z A titre d exemple, nous donnons ci-dessous les altitude éopotentielles correspondant à quelques altitudes pression dans le cas de deux atmosphères, standard + 15, standard 15 : Altitude pression (m) Altitude éopotentielle standard +15 (m) Altitude éopotentielle standard -15 (m) Les notions d atmosphère standard et d altitude pression sont très simples mais, souvent mal 4

5 interprétées, elle peuvent conduire à des erreurs rossières. Que l on se souvienne que l altitude pression n est qu un repère, une pression déuisée en altitude. Se donner une loi altitude pression température, revient à se fixer une loi pression, température, donc une loi pression, masse spécifique. On peut ainsi, par la loi de Laplace, associer à chaque variation de la pression autour d une pression donnée une variation Z de l altitude éopotentielle; par intération on peut ainsi en déduire la relation altitude éopotentielle, pression donc la loi altitude éopotentielle, altitude pression. On remarquera enfin que la connaissance de l altitude pression (donnée par l altimètre calé à la pression standard au niveau de la mer) et de la température ne suffisent pas à déterminer l altitude éopotentielle. La correction altimétrique énéralement utilisée en naviation repose sur l hypothèse que l écart de température, constaté à l altitude pression de vol, par rapport à la température standard est constant depuis le sol jusqu à l altitude de vol. Que l on prenne ien arde ainsi à ne pas croire, sous prétexte que la température à m est éale à = , que l altitude éopotentielle est toujours de m. our que ce résultat soit valale, il faut que la loi de température en fonction de l altitude pression soit décalée partout de 15 derés par rapport à la loi standard. Le calcul de l altitude éopotentielle correspondant à la loi température altitude pression différente ne peut se faire qu en intérant la loi de Laplace depuis le sol jusqu à l altitude pression désirée. Il est quelquefois commode d introduire parallèlement à la notion d altitude pression les notions d altitude densité et altitude température. A un point de l atmosphère où la pression est, la température T, la masse volumique ρ, on fait correspondre trois nomres: a) l altitude pression qui est l altitude éopotentielle où en atmosphère la pression ; ) l altitude température qui est l altitude éopotentielle où en atmosphère standard la température est T ; 5

6 c) l altitude densité qui est l altitude éopotentielle où en atmosphère standard la masse volumique est ρ. A titre d exemple, si l on mesure à l altitude pression 5000 m, une température de 270,65 (standard + 15 derés) l altitude température est 2692 m, l altitude densité est 5523 m, et si l écart de température avec l atmosphère standard est constant entre le sol et 5000 m, l altitude éopotentielle est 5260 m. 6

Calcul du niveau de transition

Calcul du niveau de transition Calcul du niveau de transition I. Pré requis Avant toutes choses, dés que l on parle d altimétrie on prend un crayon et une feuille de papier et on se fait un dessin!!!!! La définitions de l altitude de

Plus en détail

Cours Fonctions de deux variables

Cours Fonctions de deux variables Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté

Plus en détail

Leçon N 4 : Statistiques à deux variables

Leçon N 4 : Statistiques à deux variables Leçon N 4 : Statistiques à deux variables En premier lieu, il te faut relire les cours de première sur les statistiques à une variable, il y a tout un langage à se remémorer : étude d un échantillon d

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

O, i, ) ln x. (ln x)2

O, i, ) ln x. (ln x)2 EXERCICE 5 points Commun à tous les candidats Le plan complee est muni d un repère orthonormal O, i, j Étude d une fonction f On considère la fonction f définie sur l intervalle ]0; + [ par : f = ln On

Plus en détail

8 Ensemble grand-canonique

8 Ensemble grand-canonique Physique Statistique I, 007-008 8 Ensemble grand-canonique 8.1 Calcul de la densité de probabilité On adopte la même approche par laquelle on a établi la densité de probabilité de l ensemble canonique,

Plus en détail

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie

Plus en détail

Exercice du cours Gestion Financière à Court Terme : «Analyse d un reverse convertible»

Exercice du cours Gestion Financière à Court Terme : «Analyse d un reverse convertible» Exercice du cours Gestion Financière à Court Terme : «Analyse d un reverse convertible» Quand la trésorerie d une entreprise est positive, le trésorier cherche le meilleur placement pour placer les excédents.

Plus en détail

RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL DES AGENTS AFIS

RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL DES AGENTS AFIS RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL DES AGENTS AFIS Les missions de l agent AFIS s articulent autour de trois objets L exécution de fonctions opérationnelles La tenue de documents L exercice de relations avec la

Plus en détail

LES SERVICES ET UTILISATION DU RADAR

LES SERVICES ET UTILISATION DU RADAR LES SERVICES ET UTILISATION DU RADAR A partir du grade : et programme examen du grade et supérieurs 1. FONCTIONNEMENT DES RADAR : Les radars de contrôles aériens sont des instruments de télédétection utilisés

Plus en détail

METEOROLOGIE CAEA 1990

METEOROLOGIE CAEA 1990 METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les

Plus en détail

P.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE

P.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Commune du Département de l'oise P.L.U Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Document Établi le 20 septembre 2013 Le

Plus en détail

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http:// 2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation

Plus en détail

Latitude 49.37 N Longitude 06.13 E Altitude 376 m RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014

Latitude 49.37 N Longitude 06.13 E Altitude 376 m RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014 RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014 Valeurs moyennes: Valeur Jour Valeur (en C) (en C) (en C) gazon (en C) 11,4 7 13,9 1975 3,6 0,8 4,9 2007-6,3 1963-3,0 29-17,8 1979-2,8 12-24,6 1985 37,1 50,3 95,5

Plus en détail

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation

Plus en détail

Pourquoi choisir la Colibri?

Pourquoi choisir la Colibri? Pourquoi choisir la Colibri? La nouvelle console Colibri est idéal pour les propriétaires de stations stations services ou dépôt de carburant qui recherchent les fonctionnalités basiques et simples d un

Plus en détail

METEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM

METEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM METEOROLOGIE Aéroclub Besançon La Vèze F-SO au FL65 over LFQM Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1 L air L atmosphère terrestre L humidité La stabilité, l instabilité La convection/l advection Les masses d air

Plus en détail

Fonctions homographiques

Fonctions homographiques Seconde-Fonctions homographiques-cours Mai 0 Fonctions homographiques Introduction Voir le TP Géogébra. La fonction inverse. Définition Considérons la fonction f définie par f() =. Alors :. f est définie

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

PowerControl VI Getting Started 09/06/2008 1

PowerControl VI Getting Started 09/06/2008 1 PowerControl VI Getting Started 09/06/2008 1 Sleep Modus Par Sleep Mode s entend «l état de repos» du PowerControl VI (PC VI). Appuyez 10 sec. sur, pour activer le mode Sleep. Cela n est que possible,

Plus en détail

Soumise à l effet du vent, à la différence

Soumise à l effet du vent, à la différence CVC N 871 NOV./DÉC. 2011 13 PROFESSION ÉTUDE Infiltrométrie Vers un résultat d étanchéité à l air des bâtiments La réglementation thermique 2012 impose un niveau élevé d étanchéité à l air des nouveaux

Plus en détail

Précision d un résultat et calculs d incertitudes

Précision d un résultat et calculs d incertitudes Précision d un résultat et calculs d incertitudes PSI* 2012-2013 Lycée Chaptal 3 Table des matières Table des matières 1. Présentation d un résultat numérique................................ 4 1.1 Notations.........................................................

Plus en détail

Programme d autoformation de 2014 destiné à la mise à jour des connaissances des équipages de conduite

Programme d autoformation de 2014 destiné à la mise à jour des connaissances des équipages de conduite Programme d autoformation de 2014 destiné à la mise à jour des connaissances des équipages de conduite Consulter l alinéa 421.05(2)d) du Règlement de l aviation canadien (RAC). Une fois rempli, il permet

Plus en détail

POUR UNE MISE EN PLACE URGENTE DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES SYNDICS : APPEL A TOUS LES ADHERENTS DE L ARC

POUR UNE MISE EN PLACE URGENTE DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES SYNDICS : APPEL A TOUS LES ADHERENTS DE L ARC POUR UNE MISE EN PLACE URGENTE DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES SYNDICS : APPEL A TOUS LES ADHERENTS DE L ARC Comme nous allons le voir, l une des dispositions-phare de la loi ALUR en faveur des usagers

Plus en détail

T-TOUCH II Mode d emploi

T-TOUCH II Mode d emploi T-TOUCH II Mode d emploi Remerciements Ns vs remercions d avoir choisi une montre TISSOT, une marque suisse parmi les plus réputées au monde. Votre montre T-TOUCH bénéficie des innovations techniques les

Plus en détail

Un accueil de qualité :

Un accueil de qualité : Un accueil de qualité : Mercredi 08 Juin 2011, dans l après-midi, notre classe de 3 ème de Découverte Professionnelle s est rendue sur le site de THALES ALENIA SPACE à CANNES LA BOCCA. Nous étions accompagnés

Plus en détail

Atelier C TIA Portal CTIA04 : Programmation des automates S7-300 Opérations numériques

Atelier C TIA Portal CTIA04 : Programmation des automates S7-300 Opérations numériques Atelier C TIA Portal CTIA04 : Programmation des automates S7-300 Opérations numériques CTIA04 Page 1 1. Les types de données sous S7 300 Il existe plusieurs types de données utilisées pour la programmation

Plus en détail

NOTICE DE MONTAGE ECHELLE

NOTICE DE MONTAGE ECHELLE NOTICE DE MONTAGE ECHELLE À CRINOLINE ACIER Me llerie uminium, acier et i x Rue de la coulée verte - P.A de la fringale 2700 VAL DE REUIL Tel. 02 32 09 57 80 - Fax. 02 32 09 57 92 Email : commercial@anoxa.fr

Plus en détail

Développements limités. Notion de développement limité

Développements limités. Notion de développement limité MT12 - ch2 Page 1/8 Développements limités Dans tout ce chapitre, I désigne un intervalle de R non vide et non réduit à un point. I Notion de développement limité Dans tout ce paragraphe, a désigne un

Plus en détail

Mesures et incertitudes

Mesures et incertitudes En physique et en chimie, toute grandeur, mesurée ou calculée, est entachée d erreur, ce qui ne l empêche pas d être exploitée pour prendre des décisions. Aujourd hui, la notion d erreur a son vocabulaire

Plus en détail

PAUL CORREIA 6 e édition

PAUL CORREIA 6 e édition GUIDE PRATIQUE DU PAUL CORREIA 6 e édition Groupe Eyrolles, 2012, ISBN : 978-2-212-13367-7 Table des matières AVANT-PROPOS.......................................................... 1 Organisation de l

Plus en détail

Thème 17: Optimisation

Thème 17: Optimisation OPTIMISATION 45 Thème 17: Optimisation Introduction : Dans la plupart des applications, les grandeurs physiques ou géométriques sont exprimées à l aide d une formule contenant une fonction. Il peut s agir

Plus en détail

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3

Plus en détail

Bases de programmation. Cours 5. Structurer les données

Bases de programmation. Cours 5. Structurer les données Bases de programmation. Cours 5. Structurer les données Pierre Boudes 1 er décembre 2014 This work is licensed under the Creative Commons Attribution-NonCommercial-ShareAlike 3.0 License. Types char et

Plus en détail

TP 7 : oscillateur de torsion

TP 7 : oscillateur de torsion TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)

Plus en détail

Probabilités III Introduction à l évaluation d options

Probabilités III Introduction à l évaluation d options Probabilités III Introduction à l évaluation d options Jacques Printems Promotion 2012 2013 1 Modèle à temps discret 2 Introduction aux modèles en temps continu Limite du modèle binomial lorsque N + Un

Plus en détail

TP de risque management Risque Forex

TP de risque management Risque Forex TP de risque management Risque Forex Exercice 1 Partie 1. Le but de cette exercice est voir quel sont les options qui permettent de gérer le risque du au taux de change. En effet, dans notre cas, une société

Plus en détail

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. 1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le

Plus en détail

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est

Plus en détail

La consolidation à une date ultérieure à la date d acquisition

La consolidation à une date ultérieure à la date d acquisition RÉSUMÉ DU MODULE 4 La consolidation à une date ultérieure à la date d acquisition Le module 4 porte sur l utilisation de la méthode de l acquisition pour comptabiliser et présenter les filiales entièrement

Plus en détail

Chapitre 1. L intérêt. 2. Concept d intérêt. 1. Mise en situation. Au terme de ce chapitre, vous serez en mesure de :

Chapitre 1. L intérêt. 2. Concept d intérêt. 1. Mise en situation. Au terme de ce chapitre, vous serez en mesure de : Chapitre 1 L intérêt Au terme de ce chapitre, vous serez en mesure de : 1. Comprendre la notion générale d intérêt. 2. Distinguer la capitalisation à intérêt simple et à intérêt composé. 3. Calculer la

Plus en détail

Chapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires

Chapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires Chapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires 25 Lechapitreprécédent avait pour objet l étude decircuitsrésistifsalimentéspar dessourcesde tension ou de courant continues. Par

Plus en détail

Logistique, Transports

Logistique, Transports Baccalauréat Professionnel Logistique, Transports 1. France, juin 2006 1 2. Transport, France, juin 2005 2 3. Transport, France, juin 2004 4 4. Transport eploitation, France, juin 2003 6 5. Transport,

Plus en détail

guide immobilier Tout savoir pour se loger ou investir

guide immobilier Tout savoir pour se loger ou investir guide immobilier Tout savoir pour se loger ou investir Vous achetez pour vous loger Vous recherchez votre futur domicile? Appartement, maison, neuf ou ancien... Quel que soit le type de bien ou de surface,

Plus en détail

Retours d expériences: le suivi de bureaux. Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est

Retours d expériences: le suivi de bureaux. Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est Retours d expériences: le suivi de bureaux Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est Sommaire 2 L opération étudiée Visite de chantier Instrumentation Explication des consommations Analyse

Plus en détail

LES PROCEDURES D'ARRIVEES IFR

LES PROCEDURES D'ARRIVEES IFR LES PROCEDURES D'ARRIVEES IFR 1. DEFINITION: La procédure d'arrivée est la phase transitoire entre la croisière et l'approche. Elle permet de rejoindre l'un des IAF (Initial Approch Fix), point de départ

Plus en détail

Correction de l exercice 2 du quiz final du cours Gestion financière (2010-2011 T2) : «Augmentation de capital de Carbone Lorraine»

Correction de l exercice 2 du quiz final du cours Gestion financière (2010-2011 T2) : «Augmentation de capital de Carbone Lorraine» Correction de l exercice 2 du quiz final du cours Gestion financière (2010 2011 T2) : «Augmentation de capital de Carone Lorraine» Question 1 : déterminer formellement la valeur du droit préférentiel de

Plus en détail

MANUEL UTILISATEUR DU RECEPTEUR HAICOM HI-303MMF

MANUEL UTILISATEUR DU RECEPTEUR HAICOM HI-303MMF MANUEL UTILISATEUR DU RECEPTEUR HAICOM HI-303MMF 1 SOMMAIRE DU MANUEL UTILISATEUR I. LE POSITIONNEMENT PAR GPS..3 II. INTRODUCTION - GPS HAICOM HI-303MMF... 4 III. COMPOSITION DU PACK GPS...5 IV. INSTALLATION

Plus en détail

Concours EPITA 2009 Epreuve de Sciences Industrielles pour l ingénieur La suspension anti-plongée de la motocyclette BMW K1200S

Concours EPITA 2009 Epreuve de Sciences Industrielles pour l ingénieur La suspension anti-plongée de la motocyclette BMW K1200S Concours EPIT 2009 Epreuve de Sciences Industrielles pour l ingénieur La suspension anti-plongée de la motocyclette MW K1200S Durée : 2h. Calculatrices autorisées. Présentation du problème Le problème

Plus en détail

simulateur de chute libre découvrez les coulisses de la soufflerie au travers d une visite technique de l installation

simulateur de chute libre découvrez les coulisses de la soufflerie au travers d une visite technique de l installation simulateur de chute libre connectez-vous découvrez les coulisses de la soufflerie au travers d une visite technique de l installation sommaire 1. UN PARI HISTORIQUE 2. une soufflerie dernière génération

Plus en détail

-Identifier les éléments qui déterminent le coût d un objet technique.

-Identifier les éléments qui déterminent le coût d un objet technique. A / LES OBJETS TECHNIQUES EN DOMOTIQUE B / LA REPRESENTATION FONCTIONNELLE C / LE RESPECT DES CONTRAINTES D / LA CHAINE D ENERGIE D UN OBJET TECHNIQUE E/ LA CHAINE D INFORMATION D UN OBJET TECHNIQUE A

Plus en détail

Value at Risk. CNAM GFN 206 Gestion d actifs et des risques. Grégory Taillard. 27 février & 13 mars 20061

Value at Risk. CNAM GFN 206 Gestion d actifs et des risques. Grégory Taillard. 27 février & 13 mars 20061 Value at Risk 27 février & 13 mars 20061 CNAM Gréory Taillard CNAM Master Finance de marché et estion de capitaux 2 Value at Risk Biblioraphie Jorion, Philippe, «Value at Risk: The New Benchmark for Manain

Plus en détail

SMGL PÔLE CPGE REGLEMENT FINANCIER ET TARIFS

SMGL PÔLE CPGE REGLEMENT FINANCIER ET TARIFS 3 SMGL REGLEMENT FINANCIER ET TARIFS PÔLE CPGE Le fait d inscrire son enfant à Sainte Marie Grand Lebrun implique l acceptation de ce présent règlement financier dans la totalité de ses articles. 2015-2306

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme

Plus en détail

IGN Usages et besoins d informations géographiques sur le littoral

IGN Usages et besoins d informations géographiques sur le littoral IGN Usages et besoins d informations géographiques sur le Septembre 2007 Nadine GARRABET Guillaume FHAL Véronique VERRIER 2, rue Antoine Etex- 94020 Créteil cedex Tel : 01 45 15 11 11 - Fax : 01 45 15

Plus en détail

Grand LYON, Rôle d une collectivité dans le développement d une Smart CITY Energie. 29 novembre 2013

Grand LYON, Rôle d une collectivité dans le développement d une Smart CITY Energie. 29 novembre 2013 Grand LYON, Rôle d une collectivité dans le développement d une Smart CITY Energie 29 novembre 2013 Pour le Grand LYON, une ville Intelligente c est. Une ville dans laquelle les nouvelles technologies

Plus en détail

Probabilités sur un univers fini

Probabilités sur un univers fini [http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 10 août 2015 Enoncés 1 Proailités sur un univers fini Evènements et langage ensemliste A quelle condition sur (a,, c, d) ]0, 1[ 4 existe-t-il une proailité P sur

Plus en détail

Comparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10

Comparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10 PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?

Plus en détail

Exprimez-vous lors du choix de vos pneus:

Exprimez-vous lors du choix de vos pneus: xprimez-vous lors du choix de vos pneus: xigez des pneus sûrs, ÉnergÉtiquement efficaces et silencieux! 72 d 72 d POUR MILLURS PNUS SUR LS ROUTS SUISSS S exprimer lors du choix des pneus? onner son avis

Plus en détail

Baccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé

Baccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé Baccalauréat S ntilles-guyane 11 septembre 14 Corrigé EXERCICE 1 6 points Commun à tous les candidats Une entreprise de jouets en peluche souhaite commercialiser un nouveau produit et à cette fin, effectue

Plus en détail

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les

Plus en détail

Baccalauréat ES/L Amérique du Sud 21 novembre 2013

Baccalauréat ES/L Amérique du Sud 21 novembre 2013 Baccalauréat ES/L Amérique du Sud 21 novembre 2013 A. P. M. E. P. EXERCICE 1 Commun à tous les candidats 5 points Une entreprise informatique produit et vend des clés USB. La vente de ces clés est réalisée

Plus en détail

Thermodynamique (Échange thermique)

Thermodynamique (Échange thermique) Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication

Plus en détail

CLUB DE MARCHE Ballade et Randonnée

CLUB DE MARCHE Ballade et Randonnée CLUB DE MARCHE Ballade et Randonnée SOMMAIRE 1 LA CARTE 1.1 Les types de carte 1.2 Les différentes échelles 1.3 - Les informations figurants sur les cartes au 1/25000 ème 1.3.1 - Le cadre 1.3.2 Les couleurs

Plus en détail

Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant

Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant I Présentation I.1 La roue autonome Ez-Wheel SAS est une entreprise française de technologie innovante fondée en 2009.

Plus en détail

Leçon 01 Exercices d'entraînement

Leçon 01 Exercices d'entraînement Leçon 01 Exercices d'entraînement Exercice 1 Etudier la convergence des suites ci-dessous définies par leur terme général: 1)u n = 2n3-5n + 1 n 2 + 3 2)u n = 2n2-7n - 5 -n 5-1 4)u n = lnn2 n+1 5)u n =

Plus en détail

DIVISION DE CAEN Hérouville-Saint-Clair, le 15 octobre 2013

DIVISION DE CAEN Hérouville-Saint-Clair, le 15 octobre 2013 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE CAEN Hérouville-Saint-Clair, le 15 octobre 2013 N/Réf. : CODEP-CAE-2013-056982 Monsieur le directeur de l établissement AREVA NC de La Hague 50 444 BEAUMONT-HAGUE CEDEX

Plus en détail

Ressources pour le lycée général et technologique

Ressources pour le lycée général et technologique éduscol Ressources pour le lycée général et technologique Ressources pour la classe de terminale générale et technologique Exercices de mathématiques Classes de terminale S, ES, STI2D, STMG Ces documents

Plus en détail

LES COÛTS PRÉÉTABLIS ET LES ÉCARTS TOTAUX

LES COÛTS PRÉÉTABLIS ET LES ÉCARTS TOTAUX 7 LES COÛTS PRÉÉTABLIS ET LES ÉCARTS TOTAUX 1. LES PRINCIPES 196 2. L ÉLABORATION DES COÛTS PRÉÉTABLIS 198 3. MODÈLE GÉNÉRAL D ANALYSE DES ÉCARTS 202 4. LES ÉCARTS TOTAUX 203 5. PREMIÈRE ANALYSE DES ÉCARTS

Plus en détail

FRnOG, 25/01/2013. Marilyn, un datacenter vertical

FRnOG, 25/01/2013. Marilyn, un datacenter vertical FRnOG, 25/01/2013 Marilyn, un datacenter vertical www.celeste.fr Marilyn, un datacenter vertical Pourquoi un datacenter? Pourquoi l air? Pourquoi vertical? Qui est CELESTE? CELESTE est fournisseur d accès

Plus en détail

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit

Plus en détail

Mémento de l instructeur de pilote de planeur

Mémento de l instructeur de pilote de planeur Mémento de l instructeur de pilote de planeur Fiches pédagogiques du pilotage et du vol à voile élémentaire Centre national de vol à voile Saint-auban Edition janvier 2013 SOMMAIRE Structure de la leçon...page

Plus en détail

CQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle. Préparation de l évaluation des compétences par le candidat

CQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle. Préparation de l évaluation des compétences par le candidat CQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle Préparation de l évaluation des compétences par le candidat Vous souhaitez obtenir le Certificat de Qualification Professionnelle Inter-branches

Plus en détail

Chapitre 0 Introduction à la cinématique

Chapitre 0 Introduction à la cinématique Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à

Plus en détail

ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) INSTALLATIONS OUVERTES AU PUBLIC (IOP) NOTICE D ACCESSIBILITÉ AUX PERSONNES HANDICAPÉES

ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) INSTALLATIONS OUVERTES AU PUBLIC (IOP) NOTICE D ACCESSIBILITÉ AUX PERSONNES HANDICAPÉES ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) INSTALLATIONS OUVERTES AU PUBLIC (IOP) NOTICE D ACCESSIBILITÉ AUX PERSONNES HANDICAPÉES Textes de référence : Champ d application : Code de la Construction et de

Plus en détail

Manuel d'utilisation Version abrégée

Manuel d'utilisation Version abrégée Manuel d'utilisation Version abrégée Version d'équipement 2.30 Version française 2.0 www.pitlab.com Varsovie, 2014 Cher modéliste Nous vous remercions d avoir choisi le SkyAssistant, dernier système de

Plus en détail

Journée des utilisateurs de Salome-Meca et code_aster ETUDE SISMIQUE DE LA PINCE VAPEUR

Journée des utilisateurs de Salome-Meca et code_aster ETUDE SISMIQUE DE LA PINCE VAPEUR Journée des utilisateurs de Salome-Meca et code_aster 18 Mars 2014 ETUDE SISMIQUE DE LA PINCE VAPEUR 1 CIPN/GC - Groupe Séisme Sommaire Description de la pince vapeur et du contexte Présentation des diagnostics

Plus en détail

Baccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008

Baccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008 Baccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008 EXERCICE 1 Commun à tous les candidats f est une fonction définie sur ] 2 ; + [ par : 4 points f (x)=3+ 1 x+ 2. On note f sa fonction dérivée et (C ) la représentation

Plus en détail

Le Maroc reçoit son premier B787 Dreamliner

Le Maroc reçoit son premier B787 Dreamliner Le Maroc reçoit son premier B787 Dreamliner Royal Air Maroc a réceptionné son premier avion de type B787 Dreamliner. RAM est la première compagnie du pourtour méditerranéen à se doter de cet avion équipé

Plus en détail

Feuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre.

Feuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre. Université de Nantes Année 2013-2014 L3 Maths-Eco Feuille 6 : Tests Exercice 1 On cherche à connaître la température d ébullition µ, en degrés Celsius, d un certain liquide. On effectue 16 expériences

Plus en détail

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à

Plus en détail

Problème 1 : applications du plan affine

Problème 1 : applications du plan affine Problème 1 : applications du plan affine Notations On désigne par GL 2 (R) l ensemble des matrices 2 2 inversibles à coefficients réels. Soit un plan affine P muni d un repère (O, I, J). Les coordonnées

Plus en détail

Vous incarnez un surdoué en informatique qui utilise son ordinateur afin de pirater des comptes bancaires un peu partout dans le monde et s en mettre

Vous incarnez un surdoué en informatique qui utilise son ordinateur afin de pirater des comptes bancaires un peu partout dans le monde et s en mettre Vous incarnez un surdoué en informatique qui utilise son ordinateur afin de pirater des comptes bancaires un peu partout dans le monde et s en mettre plein les poches. Problème : vous n êtes pas seul!

Plus en détail

Vente - Location Aménagement Self stockage Evénementiel

Vente - Location Aménagement Self stockage Evénementiel Vente - Location Aménagement Self stockage Evénementiel RESOTAINER Choisissez le spécialiste du conteneur maritime capable, depuis 1947, de répondre à toutes les demandes. Vente, location, aménagement,

Plus en détail

Rapport. sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair

Rapport. sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair N ISBN : 978-2-11-098012-0 Rapport sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair Bureau d Enquêtes et d Analyses

Plus en détail

Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016.

Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. FINANCER MON PROJET Crédit d'impôt développement durable Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. Mais attention, il ne s'applique pas dans les mêmes conditions et au même

Plus en détail

Gestion d'une billeterie défilé des talents

Gestion d'une billeterie défilé des talents Jean HENRI Gestion d'une billeterie défilé des talents version 0.3 5 novembre 2013 STS Services Informatiques aux Organisations Lycée St Joseph - Bressuire Sommaire 1 Introduction... 1 2 Présentation

Plus en détail

Initiative socialiste pour des impôts équitables Commentaires Bernard Dafflon 1

Initiative socialiste pour des impôts équitables Commentaires Bernard Dafflon 1 Initiative socialiste pour des impôts équitables Commentaires Bernard Dafflon 1 L initiative socialiste pour des impôts équitables soulève des discussions souvent quérulentes entre défenseurs de l initiative

Plus en détail

VI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires

VI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires 21 VI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires 22 PROJET I : Séquence 3 ORAL (Réception) Compréhension orale : Activité d écoute : 1 ère fiche pédagogique L objectif de cette séance est

Plus en détail

II. REVOD Plongée à l ordinateur. Septembre 2010. Plan de l exposé

II. REVOD Plongée à l ordinateur. Septembre 2010. Plan de l exposé 1 Décompression II. REVOD Plongée à l ordinateur Septembre 2010 Plan de l exposé Introduction Typologie de la décompression: No déco Déco légère Déco Lourde La planification Les profils de plongée Le palier

Plus en détail

Tests non-paramétriques de non-effet et d adéquation pour des covariables fonctionnelles

Tests non-paramétriques de non-effet et d adéquation pour des covariables fonctionnelles Tests non-paramétriques de non-effet et d adéquation pour des covariables fonctionnelles Valentin Patilea 1 Cesar Sanchez-sellero 2 Matthieu Saumard 3 1 CREST-ENSAI et IRMAR 2 USC Espagne 3 IRMAR-INSA

Plus en détail

Projet du Manuel RMA AFI

Projet du Manuel RMA AFI Manuel RMA AFI Manuel pour l Agence Régionale de Surveillance AFI () Pour Une Mise En Œuvre Sûre et l Exploitation continue du Minimum de Séparation Verticale Réduit (Février 2004 ) Manuel RMA FÉV.2004

Plus en détail

Les pourcentages. Un pourcentage est défini par un rapport dont le dénominateur est 100. Ce rapport appelé taux de pourcentage est noté t.

Les pourcentages. Un pourcentage est défini par un rapport dont le dénominateur est 100. Ce rapport appelé taux de pourcentage est noté t. Les pourcentages I Définition : Un pourcentage est défini par un rapport dont le dénominateur est 100. Ce rapport appelé taux de pourcentage est noté t. Exemple : Ecrire sous forme décimale les taux de

Plus en détail

Chapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme

Chapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet

Plus en détail

Energie et conversions d énergie

Energie et conversions d énergie Chapitre 6 et conversions d énergie I) NOTIONS GENERALES Les différentes formes d énergie : électrique (liée aux courants et tensions) lumineuse (liée à un mouvement ou à l altitude) thermique (liée à

Plus en détail

DUT Techniques de commercialisation Mathématiques et statistiques appliquées

DUT Techniques de commercialisation Mathématiques et statistiques appliquées DUT Techniques de commercialisation Mathématiques et statistiques appliquées Francois.Kauffmann@unicaen.fr Université de Caen Basse-Normandie 3 novembre 2014 Francois.Kauffmann@unicaen.fr UCBN MathStat

Plus en détail

Evaluation de la mise en œuvre des formations CRM & FH

Evaluation de la mise en œuvre des formations CRM & FH Evaluation de la mise en œuvre des formations CRM & FH 20 Décembre 2005 Evaluation de la mise en œuvre CRM & FH Objectif des travaux Evaluer la mise en œuvre de la formation de type CRM pour PNT, PNC,

Plus en détail

Séminaires Paris le 14 et 15 mars 2007 Grenoble le 21 et 22 Mars 2007

Séminaires Paris le 14 et 15 mars 2007 Grenoble le 21 et 22 Mars 2007 BTS technico- Séminaires Paris le 14 et 15 mars 2007 Grenoble le 21 et 22 Mars 2007 BTS technico- Présentation des nouvelles épreuves : E3 Environnement économique et juridique E4 Négociation technico-e

Plus en détail

Le modèle de Black et Scholes

Le modèle de Black et Scholes Le modèle de Black et Scholes Alexandre Popier février 21 1 Introduction : exemple très simple de modèle financier On considère un marché avec une seule action cotée, sur une période donnée T. Dans un

Plus en détail

Dossier Logique câblée pneumatique

Dossier Logique câblée pneumatique Dossier Logique câblée pneumatique Festo Belgium SA Rue Colonel Bourg 11 BE-13 Bruxelles www.festo.com Logique câblée pneumatique Chaque schéma de commande est élaboré selon une logique déterminée. Cette

Plus en détail