L OBSERVATOIRE DE LA QAI Francis Allard. Laboratoire des Sciences de l'ingénieur pour l'environnement -FRE CNRS 3474 UNIVERSITE DE LA ROCHELLE

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1 L OBSERVATOIRE DE LA QAI Francis Allard Laboratoire des Sciences de l'ingénieur pour l'environnement -FRE CNRS 3474 UNIVERSITE DE LA ROCHELLE

2 LA GOUVERNANCE Le président du Conseil National de l Air Le président du CS OQAI Les ministères: - santé - logement - environnement L ADEME L ANSES L ANAH 23 membres nommés à titre personnel pour leurs compétences scientifiques Formés d associations et d organismes professionnels œuvrant dans les domaines de l environnent, la construction, la qualité de l air, la ventilation

3 LES ACTEURS B. Festy Y. Le Moullec F. Allard A. Buchman L équipe opérationnelle CSTB

4 Un observatoire unique des lieux de vie

5 Hiérarchisation des polluants 1 Plus de 1000 substances chimiques et particulaires classées sur des critères sanitaires Pour les logements (15 substances prioritaires) : formaldéhyde, benzène monoxyde de carbone, di-2-éthylhexylphtalate (DEHP), acroléine, plomb, acétaldéhyde, particules inertes (PM 10 et PM 2.5 ), cadmium, arsenic, benzo[a]pyrène, benzo[a]anthracène, 1,4-dichlorobenzène chloroforme. Pour les écoles (6 substances prioritaires) : formaldéhyde, benzène, acétaldéhyde, PM 10 et PM 2.5 chrome. Pour les bureaux (5 substances prioritaires) : benzène, PM 2.5, mélange de PCB, éthylbenzène, formaldéhyde.

6 passé2 Connaissance du temps Les français passent en moyenne 16h10 par jour dans leur logement 1/4 de la population y passe plus de 19 h (83% du temps) La chambre à coucher est la pièce la plus fréquentée suivie par le séjour/salon et la cuisine Campagne nationale «logements» ( )

7 567 logements individus 4691 pièces Données Ménages (statut socio-éco, activités, ) Données Logements (matériaux, déco, équipements, etc.) Mesures Polluants (CO, COV, radon, PM, moisissures, allergènes chats, chiens, acariens) Qualité de l air dans les logements 3 Campagne nationale (oct dec 2005)

8 logements3 Qualité de l air dans les Des polluants multiples (chimiques, physiques, microbiologiques) présents dans la majorité du parc de logements Une pollution intérieure spécifique et plus forte qu à l extérieur Une inégalité devant la pollution : environ 10 % des logements sont multipollués Médianes des concentrations en COV 2-butoxy-éthylacétate 25 1-méthoxy-2propylacétate styrène trichloroéthylène 20 Acroléine tétrachloroéthylène 2-butoxyéthanol 15 1 méthoxy2propanol Benzène Éthylbenzène o-xylène 10 1,2,4-triméthylbenzène 1,4-dichlorobenzène n-décane 5 m/p xylène n-undécane Acétaldéhyde toluène 0 Hexaldéhyde Intérieur Extérieur Formadéhyde

9 Qualité de l air dans les logements3 Distribution des logements français en fonction des concentrations Formaldéhyde

10 Qualité de l air dans les logements3 En global sur le parc de logements, le renouvellement d air ne dépend pas des systèmes installés. Ce constat ne sera plus vrai demain L occupant (comportements, usages, conditions de vie, circonstances) joue un rôle aussi important que les performances techniques du bâtiment et des systèmes.

11 Qualité de l air dans les logements3 Les logements plus récents montrent une meilleure maîtrise des conditions d aération grâce aux systèmes mécanisés Rendre les débits compatibles avec toutes les exigences : QAI, confort, condensation, combustion, Ces systèmes accusent fréquemment des dysfonctionnements qui limitent fortement leur fiabilité. Près de 56% des logements ont un débit minimal d air extrait non conforme Vigilance sur la conception, le dimensionnement, la mise en œuvre et la maintenance des systèmes

12 La recherche des sources de pollution La qualité de construction et d usage améliore la qualité de l air des logements Maîtrise des sources de pollution Bâtiment garage communicant, matériaux / produits de décoration récents type de matelas dégât des eaux Présence / activités humaines densité d occupation tabagisme, bricolage désodorisants bougies, encens nettoyage à sec Gestion de l air taux de renouvellement d air ouverture fenêtres état des systèmes de ventilation 3 Extérieur qualité des sols, air extérieur, zones climatiques (T et H) Les niveaux de pollution ne sont pas les mêmes selon les niveaux de vie

13 Qualité de l air dans les écoles et crèches4 Enquête nationale dans 700 établissements Bâtiments scolaires plus anciens (50% < 1970) que les crèches (50% < 1995) Pas de VMC dans 85% des salles de classe et 50 % des crèches Ecoles Symptômes perçus : fatigue, maux de tête, sécheresse et irritation des mains, gorge, toux, Inconforts perçus: thermique > acoustique > olfactif > visuel Crèches Aération: occasionnelle dans les écoles, plus systématique dans les crèches Freins à l aération : courant d air, refroidissement, non perception du confinement, bruit extérieur,

14 Qualité de l air dans les écoles et crèches4 Campagne nationale dans 300 écoles ( ) Quelle est la qualité de l air dans les écoles maternelles et élémentaires? COV, COSV (pesticides, phtalates, retardateurs de flamme bromés, etc.), particules, moisissures, indicateur de biocontamination, allergènes de chat, de chien, d acariens Quels sont les niveaux de confort thermique, acoustique, olfactif et visuel des salles de classe? Projet européen SINPHONIE (120 écoles dans 23 pays)

15 Qualité de l air dans les lieux de loisirs Enquêtes nationales dans : - Les piscines couvertes - Les patinoires 5

16 Qualité de l air dans les bureaux6 Campagne nationale en 2 phases ( ) PHASE 1 : 300 bâtiments Qualité de l air intérieur : COV, aldéhydes, PUF Confort: perception occupants + mesures T, HR, CO 2 Santé: SBS Energie: relevé des consommations Audit technique Projet européen OFFICAIR (160 bâtiments dans 8 pays) PHASE 2 : 50 bâtiments Qualité de l air intérieur : COV, aldéhydes, O 3, PM, FMA, amiante, allergènes, endotoxines, flores fongique et bactérienne, aération Confort: perception occupants + mesures T, RH, bruit et éclairage Energie: Diagnostic approfondi

17 7 Qualité de l air et bâtiments performant en énergie Suivi de 7 maisons dans le temps à réception et en période d occupation en été et en hiver Qualité de l air intérieur : CO, COV, COVT, PM2.5, PUF, radon Confort : T, HR, vitesse d air, niveaux sonores, questionnaires occupants sur confort perçu Consommation d énergie : factures, mesures par poste dans 2 maisons Qualification des maisons : perméabilité à l air, renouvellement d air, matériaux utilisés, etc.

18 7 Qualité de l air et bâtiments performant en énergie Bâtiments 5 fois plus étanches que la RT 2005 : maintien de la perméabilité dans le temps? Consommation totale d énergie finale réelle < 100 kwh/m 2.an Systèmes de ventilation pas toujours performants avec quelques dysfonctionnements : contrôle des systèmes à la réception et dans le temps, maintenance régulière? Niveaux de pollution semblables au parc de logements pour le radon et les PM mais plus élevés pour les COV : aération à privilégier dès la réception et maintien des systèmes de ventilation tout au long de l année Confort acoustique jugé agréable mais gênes locales ressenties (bruit des systèmes de VMC la nuit), confort thermique : air aussi sec en hiver qu en été, bonne efficacité des protections solaires pour réduire les surchauffes Mise en place d une base de référence nationale sur la QAI et le confort de ces bâtiments

19 Des indices de qualité d air intérieur8 LUM AIR : boîtier intégré pour la mesure et la gestion du confinement de l air dans les écoles et les crèches Indice ICONE : note de 0 à 5 Feux tricolores

20 Veille documentaire et points scientifiques9 Inventaire des données françaises et étrangères Etats de l art sur des sujets spécifiques Participation au réseau RSEIN Participation aux conférences nationales et internationales Journées scientifiques

21 Un partage des connaissances10 Ateliers, conférences Formation CSTB / OQAI

22 Connaître pour agir Etiquetage des produits de construction et de décoration Surveillance de la QAI dans certains établissements recevant du public Elaboration de valeurs guide QAI L appui à l expertise SE Bases de référence pour les acteurs publics et privés Développement de protocoles harmonisés à l échelle internationale

23 Création de l OQAI 10 ans d observation et de recherche sur la QAI Programme «logements» Campagne pilote 90 Logements Point documentaire sur lieux de vie des enfants et Bureaux Etat de la QAI dans les logements Enquêtes nationales descriptives Piscines et Patinoires ère classification polluants (n=70) BET Enfants Etude sur l aération Crèches écoles, etc er Inventaire des données françaises et internationales Création LUM AIR Campagne nationale Logements Programme «bâtiments performants en énergie» Programme «bureaux» Programme «indices QAI» Programme «lieux de vie fréquentés par les enfants» Programme «logements» 2009 Etat de la ventilation dans les logements Mesures QAI 18 piscines nde classification polluants (n=99) 3ème classification polluants (n=1026) BET ménages Suivi QAI et confort Bât performants en énergie Lancement campagnes Ecoles et Bureaux 2011

24 Perspectives Un acquis de compétences au service de l observation de la QAI dans les lieux de vie Nouvelles campagnes déjà programmées Ecoles maternelles et élémentaires (2011) Immeubles de bureaux (2011) Nouvelle campagne logements

25 Perspectives De nouvelles cibles déjà identifiées Lieux de vie des personnes âgées et/ou hospitalisées Populations à risque (vague de chaleur) Pas d étude systématique à ce jour Statistiquement une part de plus en plus importante de la population (en 2050, 1 habitant sur 3 aura plus de 60 ans pour 1/5 aujourd hui) Le parc de logements devra aussi s adapter à ces nouvelles contraintes sanitaires et sociales.

26 Perspectives De nouveaux polluants d intérêt L évolution constante des matériaux et des procédés de construction font chaque jour apparaître de nouvelles molécules dans nos environnements intérieurs pour lesquelles peu de données existent. Les Composés Organiques Semi-Volatils (biocides, phtalates, retardateurs de flamme bromés ou phosphorés, ) sont aujourd hui une cible particulièrement prioritaire. Les nanoparticules, les champs électromagnétiques basse fréquence, peuvent être à terme des cibles privilégiées

27 Perspectives Des problèmes émergents liés aux aléas climatiques En lien avec le changement climatique, les aléas (Xynthia, Katrina) se font de plus en plus fréquents. Le problème posé est celui de la résilience des habitats à ces aléas en terme d hygiène et de santé publique notamment et de la protection des populations les plus démunies. De nombreux problèmes liés à la QAI ont été pointés dus au développement de moisissures, à l emploi de combustibles fossile d urgence, aux taux importants de formaldéhyde dans les mobile-homes d urgence,..

28 Perspectives L accompagnement des politiques publiques sur l efficacité énergétique des bâtiments Evolutions nationales et européennes (Grenelle, 20/20/20) vers des bâtiments à consommation d énergie quasi nulle. Amélioration de l étanchéité à l air, réduction des taux effectifs de renouvellement d air. Risque de confinement, gestion de l humidité plus difficile L impact potentiel sur la QAI et le confort doit être évalué

29 Perspectives L accompagnement des politiques publiques sur l efficacité énergétique des bâtiments Mise en place d un protocole harmonisé pour l évaluation de la QAI et du confort dans les bâtiments BBC Préparation d une base de référence nationale.

30 Perspectives Analyse économique du coût social et sanitaire des polluants des environnements intérieurs Une nécessité d évaluer l impact des risques sanitaires pour mieux orienter les politiques publiques Les risques (pathologies) liés aux environnements intérieurs sont mal maîtrisés Les données de l OQAI sont actuellement utilisées par l ANSES pour une étude de ce type

31 Perspectives Le développement des collaborations internationales Une communauté internationale active (Indoor air) Une communauté française en croissance forte l OQAI est un outil d observation unique dont les données doivent permettre de contribuer à des programmes ambitieux de recherche européens (DG SANCO) ou internationaux (OMS).

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