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1 office national de sécurité sociale Travailleurs assujettis à la sécurité sociale répartis par lieu de travail: données au 30 juin 2007 Statistique décentralisée (postes de travail)

2 office national de sécurité sociale Institution publique de sécurité sociale Travailleurs assujettis à la sécurité sociale répartis par lieu de travail: données au 30 juin 2007 Statistique décentralisée (postes de travail)

3 Table des ma tiè res Avant-propos A. Introduction B. Champ d observation C. Définition des unités statistiques Le poste de travail L établissement - l'unité locale D. Méthode d établissement E. Critères de classification Cri tè res pro pres au tra vail leur et son poste de tra vail Cri tè res pro pres à l u ni té locale F. Particularités G. Les particularités du deuxième trimestre Ta bleaux Tableau 1 Répartition des employeurs et des travailleurs par organisme de base Tableau 2 Tableau 2bis Tableau 2ter Répartition des unités locales et des travailleurs en fonction de l importance des unités locales - Total Répartition des unités locales et des travailleurs en fonction de l importance des unités locales - Secteur privé Répartition des unités locales et des travailleurs en fonction de l importance des unités locales - Secteur public Tableau 3 Répartition des travailleurs par lieu de travail, secteur et statut Tableau 4 Répartition des travailleurs par lieu de travail, secteur et sexe Tableau 5 Répartition des travailleurs par secteur, statut et branche d'activité Tableau 6 Répartition des travailleurs par secteur, sexe et branche d'activité Tableau 7 Répartition des unités locales par branche d'activité et localisation Tableau A Répartition des travailleurs par branche d'activité et lieu de travail - Totaux (tableaux 8 à 17) Tableau 8 Répartition des travailleurs par branche d'activité et lieu de travail - Secteur privé - ouvriers Tableau 9 Répartition des travailleurs par branche d'activité et lieu de travail - Secteur privé - ouvrières Tableau 10 Répartition des travailleurs par branche d'activité et lieu de travail - Secteur privé - employés Tableau 11 Répartition des travailleurs par branche d'activité et lieu de travail - Secteur privé - employées Tableau 12 Répartition des travailleurs par branche d'activité et lieu de travail - Secteur public - ouvriers Tableau 13 Répartition des travailleurs par branche d'activité et lieu de travail - Secteur public - ouvrières Tableau 14 Répartition des travailleurs par branche d'activité et lieu de travail - Secteur public - employés Tableau 15 Répartition des travailleurs par branche d'activité et lieu de travail - Secteur public - employées

4 Tableau 16 Répartition des travailleurs par branche d'activité et lieu de travail - Secteur public - fonctionnaires hommes Tableau 17 Répartition des travailleurs par branche d'activité et lieu de travail - Secteur public - fonctionnaires femmes Tableau 18 Répartition des unités locales par branche d'activité et classe d'importance Tableau B Répartition des travailleurs par branche d'activité et classe d'importance des unités locales - Totaux (tableaux 19 à 23) Tableau 19 Répartition des travailleurs par branche d'activité et classe d'importance des unités locales - Secteur privé - ouvriers (hommes et femmes) Tableau 20 Répartition des travailleurs par branche d'activité et classe d'importance des unités locales - Secteur privé - employés (hommes et femmes) Tableau 21 Répartition des travailleurs par branche d'activité et classe d'importance des unités locales - Secteur public - ouvriers (hommes et femmes) Tableau 22 Répartition des travailleurs par branche d'activité et classe d'importance des unités locales - Secteur public - employés (hommes et femmes) Tableau 23 Répartition des travailleurs par branche d'activité et classe d'importance des unités locales - Secteur public - fonctionnaires (hommes et femmes) Tableau 24 Répartition des unités locales par localisation et classe d'importance Tableau C Répartition des travailleurs par lieu de travail et classe d'importance des unités locales - Totaux (tableaux 25 à 29) Tableau 25 Répartition des travailleurs par lieu de travail et classe d'importance des unités locales - Secteur privé - ouvriers (hommes et femmes) Tableau 26 Répartition des travailleurs par lieu de travail et classe d'importance des unités locales - Secteur privé - employés (hommes et femmes) Tableau 27 Répartition des travailleurs par lieu de travail et classe d'importance des unités locales - Secteur public - ouvriers (hommes et femmes) Tableau 28 Répartition des travailleurs par lieu de travail et classe d'importance des unités locales - Secteur public - employés (hommes et femmes) Tableau 29 Répartition des travailleurs par lieu de travail et classe d'importance des unités locales - Secteur public - fonctionnaires (hommes et femmes)

5 Avant-propos La statistique décentralisée ou par lieu de travail trouve son origine dans le cadre des décisions prises en janvier 1969 par le Comité ministériel de Coordination économique et sociale à la suite desquelles l O.N.S.S. a été chargé d établir une répartition plus poussée des travailleurs à la fois d après le lieu de l occupation et la nature de l activité, afin de rapprocher la statistique de l emploi de la réalité régionale. Cette distribution des travailleurs, réalisée pour la première fois en 1969, s effectue sur la base des renseignements complémentaires à recueillir chaque année auprès de toutes les entreprises à sièges et (ou) à activités multiples. Jusqu en 2002, cette statistique a été réalisée chaque année au 30 juin, sur la base des renseignements contenus dans une annexe papier spécifique à la déclaration du deuxième trimestre. Dans le cadre de la réalisation de l e-government de la sécurité sociale, l année 2003 a marqué une rupture radicale dans les procédures de transmission des données administratives. La transformation de la déclaration trimestrielle dans le cadre du concept DmfA (déclaration multifonctionnelle-multifunctionele Aangifte) a inévitablement conduit à des adaptations dans nos procédures administratives et nos méthodes statistiques. Concrètement, l annexe papier à la déclaration du deuxième trimestre a été supprimée et remplacée par une mention dans le relevé électronique du personnel, rendue obligatoire au niveau de chaque travailleur et cela, pour tous les employeurs à plusieurs sièges. Cette conversion n'a pas entièrement sorti ses effets dans la brochure de L'édition 2004 fut la première à avoir connu le passage intégral de la notion "établissement" à la notion "unité locale". Ce changement est réellement fondamental. Nous nous sommes cependant efforcés de maintenir autant que possible la continuité en ce qui concerne tant les séries temporelles que le contenu des variables. Depuis l'année 2005, les statistiques par lieu de travail sont présentées tant pour le deuxième trimestre (30 juin) que pour le quatrième trimestre (31 décembre). L indication sur la DmfA de l identifiant de l unité locale au niveau de chaque travailleur offre la possibilité de ne pas répartir uniquement le nombre de postes de travail par lieu de travail mais également d autres informations relatives à l emploi. Ces possibilités seront développées dans le futur.

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7 Répartition par lieu de travail des travailleurs assujettis à la sécurité sociale (postes de travail): dénombrement au 30 juin 2007 A. Introduction Cette brochure comprend une série de tableaux concernant le dénombrement des travailleurs au 30 juin 2007, qui s appuie sur la mention du lieu de travail sur les déclarations trimestrielles à l O.N.S.S. et à l O.N.S.S.A.P.L. pour le deuxième trimestre B. Champ d observation Le champ d observation des statistiques présentées dans cette brochure concerne l ensemble des employeurs et des travailleurs assujettis à la sécurité sociale des travailleurs salariés. Cet assujettissement repose sur la fourniture de prestations en exécution d un contrat de travail ou de modalités similaires à un contrat de travail (entre autres, le statut pour les agents des services publics). Les déclarations des prestations des travailleurs concernés se font auprès de trois institutions: la C.S.P.M. (Caisse de se cours et de pré voyance des ma rins) pour les ma rins de la ma rine mar chande, qui bé né fi cient d un ré gime de sé cu ri té so ciale spécifique; l O.N.S.S.A.P.L. (Office na tio nal de sé cu ri té so ciale des ad mi nis tra tions pro vin cia les et lo ca les) pour les tra vail leurs des pro vin ces, des com mu nes, des Cen tres pu blics d ac tion so ciale (C.P.A.S.), des in ter com mu na les et d au tres ins ti tu tions pu bli ques lo ca les nom mé ment dé si gnées ( 1 ); l O.N.S.S. pour tous les au tres tra vail leurs concer nés, en ce com pris les ou vriers mi - neurs et assimilés qui bénéficient d un régime de sécurité sociale spécifique. En vue de permettre une approche globale de l emploi et du nombre d employeurs (unités locales), le champ d observation de la présente publication s étend aux effectifs relevant de la compétence de l O.N.S.S.A.P.L. et, pour le tableau 1 uniquement, de la C.S.P.M. Le champ d observation de la statistique est lié directement aux limites fixées par le législateur en matière d assujettissement à la sécurité sociale des travailleurs salariés ( 2 ). Les modifications apportées aux cours des années au champ d application de la sécurité sociale ne doivent pas être perdues de vue lors de la comparaison avec les statistiques établies pour les années précédentes. Les modifications en question sont reprises dans les brochures des années correspondantes. Un aperçu des modifications du deuxième trimestre 2007 est repris sous le point "G. Les particularités du deuxième trimestre 2007". (1) Loi du 1 er août 1985 por tant des dis po si tions so cia les (M.B. du 6 août 1985) et tex tes sub sé quents. Les don nées pour 2006 cor res pon dent à la si tua tion telle qu'elle était en re gistrée dans les ba ses de don nées de l'o.n.s.s.a.p.l. fin août (2) La délimitation du champ d'application de la sécurité sociale en matière d'assujettissement est définie sur le site internet de l'office.

8 C. Définition des unités statistiques 1. Le poste de tra vail L unité statistique poste de travail découle de la notion de travailleur assujetti à la sécurité sociale. Il s agit ici du travailleur ressortissant à l O.N.S.S. et à l O.N.S.S.A.P.L. en vertu des lois du 27 juin 1969 et du 1 er août 1985 ainsi que de l arrêté royal du 28 novembre La statistique des postes de travail occupés à la fin d un trimestre consiste à dénombrer le nombre de travailleurs occupés par chaque employeur à la fin d un trimestre. Ce dénombrement reprend tant les travailleurs présents au travail au dernier jour du trimestre que ceux dont le contrat de travail est suspendu, mais non rompu, par suite de maladie ou d accident ( 3 ), de repos de grossesse ou d accouchement, ou de rappel sous les armes, ainsi que ceux qui ne sont pas au travail le jour considéré pour raison de congé, de grève, de chômage partiel ou accidentel ou bien d absence justifiée ou non. Les travailleurs en interruption totale de carrière professionnelle ou ayant suspendu complètement leurs activités professionnelles dans le cadre des dispositions relatives au crédit-temps ne sont pas comptabilisés. Les travailleurs qui, à la fin d un trimestre, sont occupés par plus d un employeur, sont comptabilisés plusieurs fois. Les travailleurs qui remplissent simultanément plusieurs fonctions auprès d un même employeur (soit sous plusieurs statuts, soit sous plusieurs contrats) n occupent qu un seul poste de travail. Seules les caractéristiques de la prestation principale sont retenues. Celle-ci sera sélectionnée ( 4 ) sur la base des critères suivants (par ordre décroissant d importance): le type d occupation (temps plein, temps partiel,...), le salaire brut le plus élevé, le volume de travail le plus important, le plus grand nombre de journées assimilées. Dans le secteur de l enseignement en particulier, le dénombrement des postes de travail peut être influencé par des dispositions administratives. Bien que les enseignants et le personnel d'appui soient engagés par les pouvoirs organisateurs, ces sont les départements de l'enseignement des Communautés qui remplissent les formalités à titre d'employeur vis-à-vis de l'o.n.s.s. Le pouvoir organisateur n'intervient comme employeur que pour les prestations de travail qui ne sont pas rémunérées par ces départements. Par conséquent, un enseignant qui est occupé dans plusieurs écoles, relevant de pouvoirs organisateurs différents, tout en étant intégralement rémunéré par le département de l'enseignement, ne sera compté qu'une seule fois. Par ailleurs, si un enseignant est rémunéré par le département de l'enseignement et effectue en même temps d'autres prestations qui tombent à la charge du pouvoir organisateur de son école, deux postes de travail seront comptabilisés. 2. L établissement - l unité locale 2.1. Le point de dé part: l em ployeur En principe, l unité de base est l employeur ressortissant à l O.N.S.S. ou à l O.N.S.S.A.P.L. et immatriculé à ce titre, qui a occupé, au cours du trimestre considéré, des travailleurs assujettis à la sécurité sociale des travailleurs salariés. Ce concept (3) Jus qu'en 2002, seuls les tra vail leurs dont l'in ca pa ci té de tra vail pour cause de ma ladie (sauf ma ladie pro fes sion nelle) ou d'ac ci - dent (sauf ac ci dent du tra vail) ne dé pas sait pas 12 mois étaient comp ta bi li sés. (4) Voir une des crip tion dé taillée à ce pro pos dans le texte de la bro chure "Emploi sa la rié (O.N.S.S.)" - bro chure beige.

9 implique aussi bien les personnes morales (sociétés, etc.) que les personnes physiques ayant la qualité d employeur au regard de la loi ( 5 ). L employeur ainsi défini - unité de compte de la statistique centralisée - est caractérisé par son activité économique (principale) et la situation géographique de son siège d exploitation (principal) L an cienne no tion dé cen tra lisée: l é ta blis se ment Dans la statistique décentralisée, l O.N.S.S. a utilisé jusqu en 2002 l unité statistique établissement : dans le cas où l em ployeur exerce une seule ac ti vi té dans un seul siège d ex ploi ta - tion et ne renvoie qu une seule dé cla ra tion, les no tions éta blis se ment et em ployeur sont identiques; si l em ployeur pos sède au moins deux siè ges d ex ploi ta tion (suc cur sa les ou di vi - sions tech ni ques) et (ou) exerce des ac ti vi tés dif fé ren tes, chaque siège est consi dé ré comme éta blis se ment et, pour un même siège à deux ou plu sieurs ac ti vi tés, il y a au - tant d établissements que d activités distinctes. Toutefois, les différents sièges situés dans une même com mune et ayant la même ac ti vi té ne comp tent au to tal que pour une seule unité statistique établissement La nouvelle notion décentralisée: l unité locale La loi relative à la création de la Banque-Carrefour des Entreprises ( 6 ) introduit l unité d établissement comme étant un lieu, géographiquement identifiable par une adresse, où s exerce au moins une activité de l entreprise ou à partir duquel l'activité est exercée. Cette notion d'unité d établissement, ou d'unité locale, correspond à la notion reprise dans les définitions des unités statistiques figurant dans les notes explicatives de la nomenclature NACE-Bel Au sein de la Banque-Carrefour des Entreprises, chaque unité locale est pourvue d un numéro d identification unique. Le dénombrement des unités locales s'appuie uniquement sur les unités locales avec travailleurs salariés. D. Méthode d établissement L entrée en vigueur en 2003 de la déclaration multifonctionnelle a provoqué la disparition du volet statistique décentralisé sur papier, constituant le socle du fichier décentralisé, volet qui était intégré depuis 1969 dans les formules de déclaration du deuxième trimestre. La déclaration multifonctionnelle prévoit un champ unique, se situant au niveau du travailleur et contenant le numéro d identification de l unité locale ( unité d établissement ) de l entreprise où, ou bien à partir d où, il est occupé. Il est demandé aux entreprises et aux employeurs qui occupent des travailleurs dans différentes unités locales d'indiquer, pour chaque travailleur, l'unité locale dont il fait partie (la principale ( 7 )). (5) Les administrations fédérales, régionales, communautaires, provinciales et communales, ainsi que les organismes d'intérêt pu - blic, qui occupent des travailleurs assujettis au régime complet ou partiel de la sécurité sociale, sont repris par assimilation dans la sta tis tique des em ployeurs. (6) Loi du 16 jan vier 2003 por tant créa tion d'une Banque-Car re four des Entre pri ses, mo der ni sa tion du re gistre de com merce, créa - tion de gui chets d'en tre pri ses agréés et por tant di ver ses dis po si tions (M.B. du 5 fé vrier 2003). (7) Pour les tra vail leurs qui, au cours du tri mestre, ont chan gé d'u ni té lo cale, il est de man dé d'in di quer la der nière si tua tion. Pour les tra vail leurs qui sont en même temps oc cu pés au sein de dif fé ren tes uni tés lo ca les, il est de man dé d'in di quer l'u ni té lo cale dans la - quelle ils sont oc cu pés la ma jo ri té du temps. Pour les tra vail leurs qui n'ont pas de poste d'oc cu pa tion fixe ou qui tra vail lent à do - mi cile, c'est le siège d'ex ploi ta tion à par tir du quel ils re çoi vent leurs ins truc tions qui sera l'u ni té lo cale prise en consi dé ra tion.

10 Les postes de travail sont dès lors répartis en fonction de différents codes statistiques (secteur, activité, localité) de l'unité locale. Pour les entreprises qui n'occupent pas leurs travailleurs dans plusieurs unités locales, ces codes statistiques sont ceux de l'employeur. La déclaration multifonctionnelle pour les employeurs relevant de la compétence de l'o.n.s.s.a.p.l. n'a été introduite qu'en Ceci amène une plus grande cohérence dans les concepts statistiques utilisés par l'o.n.s.s. et l'o.n.s.s.a.p.l. La notion d'unité locale n'a cependant pas encore été intégrée dans cette déclaration ( 8 ). E. Critères de classification 1. Cri tè res pro pres au tra vail leur et son poste de tra vail L utilisation du numéro d identification à la sécurité sociale permet de lier des caractéristiques propres aux personnes avec leur contrat de travail. Les présentes statistiques reprennent le seul critère du sexe. Ce critère s appuie sur les données du Registre national des personnes physiques et des registres complémentaires de la B.C.S.S. (Banque-Carrefour de la Sécurité sociale). Le critère du statut se limite à la distinction entre ouvriers, employés et fonctionnaires. 2. Critères propres à l unité locale La localisation de l u ni té locale, qui détermine le lieu de travail, est la commune où le travailleur est occupé à la fin du trimestre. Pour rappel, les travailleurs occupés simultanément dans plusieurs u ni tés locales, les travailleurs provisoirement détachés, ceux qui n ont pas de lieu de travail fixe ainsi que les travailleurs à domicile sont affectés à l établissement dont ils relèvent administrativement. Le critère de base de cette localisation est l arrondissement administratif ( 9 ). L activité économique est l activité principale de l unité locale. La subdivision s opère conformément à la nomenclature statistique des activités économiques utilisée dans l Union européenne, le code NACE-Bel. Aucune observation statistique ne porte sur la profession ou la fonction que les travailleurs exercent individuellement ( 10 ). L'activité principale de l'unité locale ne diffère de l'activité principale de l'entreprise que dans les cas où il s'agit d'une activité secondaire (pour compte de tiers): par exemple, une même a.s.b.l. gère une maison de repos et un atelier protégé, situés à deux adresses différentes; une des unités locales sera classée sous l'activité de "maison de repos et de soins" alors que l'autre sera reprise sous la rubrique "atelier protégé". Par contre un siège où n'est exercée qu'une activité "accessoire" de l'entreprise (siège administratif, centre de calcul, entrepôt pour compte propre) sera repris sous l'activité principale de l'entreprise. La dimension de l unité locale dépend du nombre total des postes de travail occupés dans celle-ci. Neuf classes, aux modules de grandeur croissante, sont prévues à cet effet; elles englobent les unités locales occupant respectivement moins de 5 travailleurs, de 5 à 9 travailleurs, de 10 à 19 travailleurs, de 20 à 49 travailleurs, de 50 à 99 travailleurs, de 100 à 199 travailleurs, de 200 à 499 travailleurs, de 500 à 999 travailleurs et travailleurs et plus. (8) Une activité est mentionnée pour chaque travailleur. Chaque activité différente génère par conséquent une unité locale particu - lière (sur la base du prin cipe uti li sé pré cé dem ment pour les éta blis se ments). (9) Dans cette ré par ti tion géo gra phique, la Ré gion fla mande en globe les pro vin ces d'anvers, de Flandre Occi den tale, de Flandre Orien tale, de Lim bourg et du Bra bant Fla mand, la Ré gion wal lonne com prend les pro vin ces de Hai naut, de Liège, de Luxem - bourg, de Na mur et du Bra bant Wal lon, tan dis que la Ré gion de Bruxel les-ca pi tale cor res pond à l'ar ron dis se ment de Bruxel - les-capitale. Depuis 2004, des données relatives aux communes relevant de la Communauté germanophone sont aussi reprises dans les ta bleaux, cel les-ci étant in clu ses dans l'ar ron dis se ment de Ver viers. Des don nées dé tail lées au ni veau des com mu nes peuvent être sollicitées auprès de l'o.n.s.s. (10) Par exemple, un mé ca ni cien tra vail lant dans une en tre prise tex tile sera clas sé dans l'in dustrie tex tile.

11 Le secteur renvoie à la distinction entre, d une part, le secteur privé et, d autre part, le secteur public. Les critères de répartition utilisés ici sont ceux appliqués traditionnellement par l O.N.S.S. pour ses statistiques. Le secteur de l enseignement est dans sa plus grande partie intégré au secteur public ( 11 ). En principe, si une entreprise fait partie de secteur public, toutes ses unités locales en font partie elles aussi. Cependant, dans certains cas, un pouvoir organisateur de l'enseignement libre exerce d'autres activités (par exemple une activité médicale dans un hôpital universitaire). L'unité locale où cette activité secondaire est exercée est alors reprise dans le secteur privé. Ceci explique pourquoi des fonc tion nai res peuvent être attachés à des uni tés lo ca les re pri ses dans le sec teur pri vé. La répartition entre secteurs privé et public est parfois délicate; l augmentation ou la diminution constatée dans un secteur n est pas toujours due à une réduction ou à une augmentation du personnel, mais peut s expliquer, surtout ces dernières années, par des glissements d employeurs du secteur privé vers le secteur public et vice versa (par exemple: privatisations, fusions, autonomie de filiales, ). F. Particularités Lors de l utilisation de la statistique décentralisée, il est essentiel de tenir compte de tous les éléments de la définition de l unité locale et des critères de classification qui s y appliquent. Cette unité locale ne peut en aucun cas servir à l étude de l évolution des entreprises proprement dites, notamment dans le cadre des petites et moyennes entreprises. Le tableau ci-dessous, contenant uniquement des données O.N.S.S., qui montre, pour le deuxième trimestre 2007, l incidence par classe d importance du mode de comptage, en apporte la preuve. Au 30 juin 2007, employeurs sont dénombrés de ceux-ci n ont qu un seul siège d exploitation alors que employeurs ont au moins deux unité locales. La statistique décentralisée reprend telles quelles ces employeurs mais substitue par contre aux autres, unités locales; elle représente ainsi un total pour l O.N.S.S. de unités locales. La différence dans la répartition par classe d'importance est marquante. Classe d importance en fonc tion du nombre to tal des tra vail leurs oc cu pés Nombre d em - ployeurs (sta tis tique centralisée) Nombre to tal d unités locales (sta tis tique dé - centralisée) Différence Nombre de tra vail leurs occupés par les em - ployeurs Nombre de tra vail leurs occupés dans les uni tés lo - cales Différence (a) (b) (b) - (a) (c) (d) (d) - (c) moins de 5 tra vail leurs de 5 à 9 tra vail leurs de 10 à 19 tra vail leurs de 20 à 49 tra vail leurs de 50 à 99 tra vail leurs de 100 à 199 tra vail leurs de 200 à 499 tra vail leurs de 500 à 999 tra vail leurs tra vail leurs et plus To tal (11) Quel que soit le pou voir or ga ni sa teur et la na ture de l'en sei gne ment. Les éco les tout à fait pri vées qui ne re lè vent en au cune fa çon de la com pé tence des dé par te ments de l'en sei gne ment des trois Com mu nau tés (auto-éco les, ) sont re pri ses au sein du sec - teur pri vé.

12 Par ailleurs, le tableau ci-dessous montre comment les unités locales se répartissent entre employeurs présents dans une seule commune, dans un seul arrondissement administratif, dans une seule région et dans plusieurs régions. Le faible nombre d'employeurs présents dans plusieurs régions associé au grand nombre de travailleurs qu'ils occupent, mérite particulièrement l'attention. Type d'em ployeur Nombre d'employeurs Nombre d'unités locales Nombre de postes de travail Employeurs avec per son nel dans une seule uni té locale Employeurs avec per son nel dans plu sieurs uni tés lo ca les, dans une seule com mune Employeurs avec per son nel dans plu sieurs uni tés lo ca les, dans un seul ar ron dis se ment ad mi nis tra tif Employeurs avec per son nel dans plu sieurs uni tés lo ca les, dans plusieurs arrondissements administratifs, dans une seule région. Employeurs avec per son nel dans plu sieurs uni tés lo ca les, dans plu sieurs ré gions To tal La présence dans le secteur privé de données relatives à la section L Administration publique est due principalement à l existence d organismes privés s occupant de la sécurité sociale obligatoire (mutuelles, caisses communes contre les accidents du travail,...). Des dispositions particulières s'appliquent aux travailleurs du troisième circuit de travail ( 12 ) et des travailleurs des programmes Prime de la Région wallonne ( 13 ). L effectif de ces travailleurs est repris dans le secteur public sous la section particulière Z Activités mal définies et leur répartition géographique s effectue suivant la localisation du bureau régional du VDAB, du FOREM ou de l O.R.B.Em. dont ils relèvent, quelle que soit leur affectation. Entre 2001 et 2004, ces systèmes ont été en grande partie démantelés. Les enseignants dans le cadre de la formation des classes moyennes pour lesquels des institutions des communautés (IFAPME, VIZO en ZAWM) sont considérées comme employeurs-tiers payants et repris dans les statistiques depuis 2003, sont répartis d'après les sièges principaux de ces institutions et non d'après les lieux où ils dispensent leurs cours. Les travailleurs intérimaires sont distribués suivant les critères de classification de l agence d intérim et non selon les critères appliqués aux employeurs qui font appel à eux. L agence d intérim et son effectif de travailleurs, tant administratifs qu intérimaires, sont affectés à la rubrique Autres services fournis aux entreprises ; la répartition géographique a lieu suivant la localisation du (des) siège(s) de l agence d intérim. En raison de la rapidité des mouvements de l emploi dans le secteur des intérimaires, les présentes statistiques, établies à une date fixe, reflètent mal la réalité. (12) A.R. n 25 du 24 mars 1982 créant un pro gramme de pro mo tion de l'em ploi dans le sec teur non-mar chand (M.B. du 26 mars 1982) et textes subséquents. (13) Dé cret du Con seil ré gio nal wal lon du 31 mai 1990 créant un pro gramme de pro mo tion de l'em ploi spé cia le ment des ti né aux chô - meurs de longue durée dans le sec teur non mar chand (M.B. du 16 juin 1990) et tex tes sub sé quents. Ce dé cret se subs titue en Ré - gion wallonne aux dispositions relatives au "troisième circuit du travail".

13 G. Les particularités du deuxième trimestre 2007 Le deuxième trimestre n'a pas connu des glissements particuliers par rapport au quatrième trimestre Il convient uniquement de relever que l amélioration de la décentralisation dans la déclaration concernant l enseignement francophone conduit à des glissements au sein de la section "M. Education" ainsi qu à une meilleure distribution des postes de travail entre les communes avec enseignement francophone.

14 Dénombrement des postes de travail au 30 juin 2007 Les ta bleaux de la bro chure, ain si que des in for ma tions plus dé tail lées, sont dis po ni bles sur dis quette, CD-Rom ou par au près des ser vi ces de l O.N.S.S. (demande via stat.info@onss.fgov.be)

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