Journées Françaises de Radiologie 2011

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1 Journées Françaises de Radiologie 2011 Evaluation de la réponse au traitement néo-adjuvant. Corrélations anatomo-radiologiques entre IRM du rectum et pièces de proctectomie Brunelle S, Poizat F, Lelong B, De Chaisemartin C, Moureau L, Sarran A Institut Paoli-Calmettes Marseille Centre régional de lutte contre le cancer Provence-Alpes-Côte d azur

2 Sommaire I. Le cancer du rectum en 2011 : contexte et problématique. II. La réponse au traitement néo-adjuvant : les données de la littérature III. Nos résultats: à propos de 10 patients avec corrélations anatomopathologiques IV. Conclusion

3 Sommaire I. Le cancer du rectum en 2011 : contexte et problématique. II. La réponse au traitement néo-adjuvant : les données de la littérature III. Nos résultats: à propos de 10 patients avec corrélations anatomopathologiques IV. Conclusion

4 Le cancer du rectum : un problème de santé publique Incidence = nouveaux cas estimés en 2005 en France, stable depuis Le cancer colorectal se situe au 3e rang des cancers dans la population Mortalité de près de décès /an = 2e rang des décès par cancer Le cancer du rectum représente % des cancers colorectaux La survie du cancer colorectal en France est parmi les plus élevées en Europe, et s améliore encore au cours du temps, on en guérit aujourd hui près d un sur deux. À court terme, le diagnostic précoce du cancer colorectal à travers le dépistage organisé est le moyen le plus efficace pour en réduire la mortalité. La France a été ainsi parmi les premiers pays à se doter d un dispositif proposant à l ensemble de la population de 50 à 74 ans ( soit 16 millions de personnes ) un dépistage tous les deux ans.

5 Le pronostic du cancer rectal Pour le patient il faut prendre en compte 2 types de pronostic qui sont différents : -Le pronostic local : qui correspond au risque de récidive locorégionale et qui est évalué par ce taux de récidive -Le pronostic général : qui reflète l espérance de vie du patient qui est dominé par le risque métastatique et qui est évalué par la survie globale (Overall Survival) Ces 2 types de pronostic ne dépendent pas des mêmes facteurs et n évoluent pas parallèlement La survie sans récidive (Disease Free Survival) est un critère qui prend en compte à la fois le risque de récidive loco-régionale et le risque métastatique

6 Le pronostic local du cancer rectal La prise en charge des patients a bénéficié : -Du développement des traitements néo-adjuvants : au premier rang desquels la radiothérapie pré-op. -De la chimiothérapie : avant ou après l intervention chirurgicale -De l amélioration des techniques chirurgicales :au premier rang desquelles l Exérèse Totale du Mésorectum ( Total Mesorectal Exision). Ces 3 éléments ont amélioré le contrôle local de la maladie Cependant ces progrès n ont pas diminué le risque métastatique et l OS Actuellement le pronostic local des patients et le risque de récidive dépendent essentiellement de la CRM ( Circumferencial Resection Margin) sur la pièce histologique Statuts R0- R1

7 Les 6 paramètres qui influencent la survie globale des patients (Overall Survival) sur la pièce histologique. ypt et ypn : l importance de l extension tumorale dans la graisse péri-rectale, envahissement ganglionnaire. CRM : les marges de résection circonférencielles statut R0 ou R1.EMVI (Extra Mural Vascular Invasion) : l extension de la tumeur dans les vaisseaux. EMD ou EMS (Extra Mural Depht-Spread) : l importance du franchissement pariétal en mm. TRG ( Tumor Regression Grading) : l importance de la régression tumorale en fibrose. ypt et ypn. CRM

8 Les 6 paramètres qui influencent la survie globale des patients (Overall Survival) sur la pièce histologique. EMD ou EMS (Extra Mural Depht-Spread). TRG ( Tumor Regression Grading) :.EMVI (Extra Mural Vascular Invasion)

9 La place de l IRM : Evaluation du pronostic locorégional et du pronostic général des patients avant le début de tout traitement Evaluation de la réponse de la maladie tumorale au traitement néo-adjuvant Surveillance après traitement En cas de suspicion de rechute locorégionale

10 La place de l IRM : Evaluation du pronostic locorégional et du pronostic général des patients avant le début de tout traitement Evaluation de la réponse de la maladie tumorale au traitement néo-adjuvant Surveillance après traitement En cas de suspicion de rechute locorégionale

11 La place de l IRM L IRM permet d anticiper la CRM avant la chirurgie donc d évaluer les risques de récidive locale et métastatique des patients Corrélations anapath pour 2 lecteurs Mesure de la CRM pour les T3 de bon et mauvais pronostic

12 La place de l IRM L IRM permet également d évaluer le pronostic global des patients en anticipant avant la chirurgie les statuts T et N, l EMS, l EMVI et le TRG de la pièce anapath. mrt et mrn :.EMVI (Extra Mural Vascular Invasion). TRG ( Tumor Regression Grading) :. EMD ou EMS (Extra Mural Depht-Spread)

13 Sommaire La place de l IRM : I. Le cancer du rectum en 2011 : contexte et problématique. Evaluation du pronostic locorégional et du pronostic général des patients avant le début de tout traitement II. La réponse au traitement néo-adjuvant : les données de la littérature Evaluation de la réponse de la maladie tumorale au traitement néo-adjuvant III. Nos résultats : à propos de 10 patients IV. Conclusion Surveillance après traitement En cas de suspicion de rechute locorégionale

14 Evaluation de la réponse de la maladie tumorale au traitement néo-adjuvant Pourquoi une 2 e IRM est-elle réalisée avant la chirurgie?

15 Evaluation de la réponse de la maladie tumorale au traitement néo-adjuvant Pourquoi une 2 e IRM est-elle réalisée avant la chirurgie? Pour proposer une prise en charge différente et adaptée selon les patients Alléger le traitement chez les bons répondeurs Majorer le traitement chez les mauvais répondeurs

16 Evaluation de la réponse de la maladie tumorale au traitement néo-adjuvant Pourquoi une 2 e IRM est-elle réalisée avant la chirurgie? % des patients sont ypt0 après radio-chimiothérapie néoadjuvante

17 Evaluation de la réponse de la maladie tumorale au traitement néo-adjuvant Pourquoi une 2 e IRM est-elle réalisée avant la chirurgie? Pourquoi une 2 e IRM est-elle réalisée avant la chirurgie? La question de la désescalade thérapeutique à l issue du traitement néo-adjuvant

18 Actuellement en cours : essai de Phase II randomisé multicentrique : traitement personnalisé des cancers du rectum localement évolués. GRECCAR 4 PATIENT IRM d INCLUSION INCLUSION Chimiothérapie d Induction FOLFIRINOX x 4-8 semaines IRM d EVALUATIO N Réponse TRES FAVORABLE Réponse FAVORABLE et DEFAVORABLE RANDO RAND O CHIRURGIE Immédiate Bras expérimental Cap 50 Standard Cap 60 Bras expérimental CHIRURGIE CHIRURGIE Chimiothérapie Adjuvante Discrétion des centres

19 La place de l IRM? L IRM va occuper une place centrale dans cette problématique d évaluation de la réponse tumorale au traitement néo-adjuvant

20 L objectif de l IRM de réévaluation est de sélectionner les patients bon et mauvais répondeurs Les critères étudiés dans la littérature sont : - L amélioration du stade de la maladie ( downstaging T, downstaging N) - La décroissance de volume tumoral ( downsizing) - La modification du signal de la tumeur et le développement d une fibrose en hyposignal - Les modifications en séquence de diffusion ( Diffusion Weighted Imaging). Persistance ou disparition de l hypersignal DWI. Valeur des coefficients ADC (Apparent Diffusion Cefficient) avant et après radio-chimiothérapie. L importance de la modification de ces coefficients entre avant et après traitement néo-adjuvant

21 L objectif de l IRM de réévaluation est de sélectionner les patients bon et mauvais répondeurs Les critères étudiés dans la littérature sont : - L amélioration du stade de la maladie ( downstaging T, downstaging N) - La décroissance de volume tumoral ( downsizing) - La modification du signal de la tumeur et le développement d une fibrose en hyposignal - Les modifications en séquence de diffusion ( Diffusion Weighted Imaging). Persistance ou disparition de l hypersignal DWI. Valeur des coefficients ADC (Apparent Diffusion Cefficient) avant et après radio-chimiothérapie. L importance de la modification de ces coefficients entre avant et après traitement néo-adjuvant

22 CRM, downstaging T, downstaging N Sur 65 patients : bonne corrélation pour mesures CRM Le downstaging T pose des difficultés : l IRM de réévaluation peut sur-évaluer le stade du patient On observe souvent le développement d une fibrose en lieu et place de la tumeur qui ne permet pas de downstager le patient pourtant à l intérieur de cette fibrose l analyse histologique peut ne pas retrouver de cellules tumorales Sur 53 patients : bonne corrélation pour stadings T et N

23 L objectif de l IRM de réévaluation est de sélectionner les patients bon et mauvais répondeurs Les critères étudiés dans la littérature sont : - L amélioration du stade de la maladie ( downstaging T, downstaging N) - La décroissance de volume tumoral ( downsizing) - La modification du signal de la tumeur et le développement d une fibrose en hyposignal - Les modifications en séquence de diffusion ( Diffusion Weighted Imaging) Avant traitement Après traitement Avant traitement Après traitement Mauvais répondeur Bon répondeur

24 Downsizing et volumétrie tumorale 3D Le critère retenu est la décroissance du volume tumoral de plus de 75 % rospectif sur 84 patients > T3 ou N+ entre 2002 et ,8 Gy x 25 = 45 Gy + boost 5,4 Gy + Chimiothérapie selon 3 protocoles différents IRM 1,5T : 3-5 sem après RCT Chir : 4-6 sem après RCT

25 L objectif de l IRM de réévaluation est de sélectionner les patients bon et mauvais répondeurs Les critères étudiés sont : - L amélioration du stade de la maladie ( downstaging T, downstaging N) - La décroissance de volume tumoral ( downsizing) - La modification du signal de la tumeur et le développement d une fibrose en hyposignal - Les modifications en séquence de diffusion ( Diffusion Weighted Imaging). Persistance ou disparition de l hypersignal DWI. Valeur des coefficients ADC (Apparent Diffusion Cefficient) avant et après radio-chimiothérapie. L importance de la modification de ces coefficients entre avant et après traitement néo-adjuvant

26 La modification du signal de la tumeur Bien qu on sache qu il peut rester des cellules tumorales dans la fibrose post radiothérapique, on considère que le développement de cette fibrose est un critère de bonne réponse On détermine un grade de régression tumorale (TRG) sur l IRM de réévaluation qui va prendre en compte la proportion de fibrose en franc hyposignal et de tissus qui restent en signal intermédiaire en pondération T2. Sur 111 patients L évaluation du TRG sur l IRM de réévaluation permet de classer les patients en bons et mauvais répondeurs avant la chirurgie.

27 La modification du signal de la tumeur Bien qu on sache qu il peut rester des cellules tumorales dans la fibrose post radiothérapique, on considère que le développement de cette fibrose est un critère de bonne réponse On détermine un grade de régression tumorale (TRG) sur l IRM de réévaluation qui va prendre en compte la proportion de fibrose en franc hyposignal et de tissus qui restent en signal intermédiaire en pondération T2. Survie des patients en fonction du stade T sur la pièce Sur 111 patients L évaluation du TRG sur l IRM de réévaluation permet de classer les patients en bons et mauvais répondeurs avant la chirurgie.

28 La modification du signal de la tumeur Bien qu on sache qu il peut rester des cellules tumorales dans la fibrose post radiothérapique, on considère que le développement de cette fibrose est un critère de bonne réponse On détermine un grade de régression tumorale (TRG) sur l IRM de réévaluation qui va prendre en compte la proportion de fibrose en franc hyposignal et de tissus qui restent en signal intermédiaire en pondération T2. Sur 111 patients L évaluation du TRG sur l IRM de réévaluation permet de classer les patients en bons et mauvais répondeurs avant la chirurgie. Survie des patients en fonction du stade TRG sur l IRM

29 La modification du signal de la tumeur Bien qu on sache qu il peut rester des cellules tumorales dans la fibrose post radiothérapique, on considère que le développement de cette fibrose est un critère de bonne réponse On détermine un grade de régression tumorale (TRG) sur l IRM de réévaluation qui va prendre en compte la proportion de fibrose en franc hyposignal et de tissus qui restent en signal intermédiaire en pondération T2. Sur 111 patients L évaluation du TRG sur l IRM de réévaluation permet de classer les patients en bons et mauvais répondeurs avant la chirurgie.

30 L objectif de l IRM de réévaluation est de sélectionner les patients bon et mauvais répondeurs Les critères étudiés sont : - L amélioration du stade de la maladie ( downstaging T, downstaging N) - La décroissance de volume tumoral ( downsizing) - La modification du signal de la tumeur et le développement d une fibrose en hyposignal - Les modifications en séquence de diffusion ( Diffusion Weighted Imaging). Persistance ou disparition de l hypersignal DWI. Valeur des coefficients ADC (Apparent Diffusion Cefficient) avant et après radio-chimiothérapie. L importance de la modification de ces coefficients entre avant et après traitement néo-adjuvant

31 Place de la Diffusion dans l évaluation de la réponse au traitement néo-adjuvant Rétrospectif sur 120 patients Après le traitement néoadjuvant par CRT La persistance d un hyper signal DWI dans les tissus résiduels est un critère de résidu tumoral sur la pièce histologique. L utilisation de la diffusion même sans calcul de coefficient ADC améliore l efficacité de l IRM pour sélectionner les patients complètement répondeurs

32 Place de la Diffusion dans l évaluation de la réponse au traitement néo-adjuvant La mesure dans la tumeur du coef ADC avant tout traitement pourrait permettre de prévoir la future réponse du patient à la radio-chimiothérapie néo-adjuvante Les patients ayant le coef. ADC le plus faible au départ seraient les meilleurs répondeurs

33 Place de la Diffusion dans l évaluation de la réponse au traitement néo-adjuvant La mesure dans la tumeur du coef ADC après traitement néo-adjuvant pourrait permettre de savoir avant la chirurgie si le patient a bien répondu à ce traitement Les patients ayant le coef. ADC le plus élevé après traitement néoadj. seraient les meilleurs répondeurs

34 Place de la Diffusion dans l évaluation de la réponse au traitement néo-adjuvant Bons répondeurs Mauvais répondeurs Le Δ ADC ne s intéresse pas aux valeurs du coef ADC mais à son % d augmentation entre les IRM avant et après traitement néo-adjuvant

35 Sommaire I. Le cancer du rectum en 2011 : contexte et problématique. II. La réponse au traitement néo-adjuvant : les données de la littérature III. Nos résultats: à propos de 10 patients avec corrélations anatomopathologiques IV. Conclusion

36 Matériels et méthodes Institut Paoli-Calmettes : Centre Régional de Lutte Contre le Cancer, Provence Alpes Côte d Azur. Les patients qui présentent un cancer du rectum bénéficient d une IRM de bilan initial.. On propose un traitement néo-adjuvant par :. Radiothérapie : 44 Gy sur 22 séances +6 gy (3 séances). Chimiothérapie : 5 FU ( xeloda capecitabine) Si le patient est T3, T4, N+, EMVI 3 ou 4 sur cette 1e IRM. On réalise une IRM de réévaluation identique à la 1e, 3-4 sem après la fin de la radiothérapie. Le patient est opéré 6-10 sem après la fin de la radiothérapie 10 patients ont été sélectionnés au hasard par l anatomopathologiste parmi ceux qui avaient un dossier radiologique complet. En effet, un nombre significatif de patients ont leurs IRM initiales réalisées dans un autre centre rendant les comparaisons avec les IRM de réévaluation difficiles voire impossibles ( pas de diffusion ). Le protocole d IRM :. Acquisition T2 dans les 3 plans de l espace avec reconstruction volumique pour une lésion à distance du canal anal. Acquisition DWI b 1300 sagittale. Acquisition DWI b 1000 axiale avec ADC mapping et calcul de coefficients. Acquisition perfusionnelle T1 écho de gradient axial après injection de gadolinium

37 Matériels et méthode Le protocole d anapath sur la pièce de proctectomie 1/ Réception de la pièce à l état frais 2/ Encrage du mésorectum selon un protocole standardisé

38 Matériels et méthode Le protocole d anapath sur la pièce de proctectomie 3/ Après fixation, le rectum est coupé en tranches de 1 cm. 4/ La lésion tumorale et les ganglions pathologiques sont identifiés et inclus en paraffine

39 Matériels et méthode Le protocole d anapath sur la pièce de proctectomie 5/ Examen microscopique : les encres sont surlignées pour le repérage En bleu le côté gauche En noir le côté droit En rouge l avant

40 Résultats : Les critères étudiés dans la littérature sont : - L amélioration du stade de la maladie ( downstaging T, downstaging N) - La décroissance de volume tumoral ( downsizing) - La modification du signal de la tumeur et le développement d une fibrose en hyposignal - Les modifications en séquence de diffusion DWI ( Diffusion Weighted Imaging). Persistance ou disparition de l hypersignal DWI. Valeur des coefficients ADC (Apparent Diffusion Cefficient) avant et après radio-chimiothérapie. L importance de la modification de ces coefficients entre avant et après traitement néo-adjuvant

41 Résultats : Corrélations stades T et N Patient n IRM n pt mrt pn mrn x x x x x x Patient n 6 : initialement stadifié mrt2 mrn0 a été opéré d emblée Patients n 1, 3, 5 et 7 présentent un downstaging T 8 patients sur 10 ont un staging mrt correct Patients n 1 et 5 : Suréstimation du T stage par développement d une fibrose 6 patients sur 10 sont pn+ :. 2 patients / 6 sont mr N+ pn+. 3 patients / 6 sont mr Nx pn+. Patient n 6 classé mrn- a été opéré d emblée et s est avéré être pn+ Patients n 4 et 5 présentent un downstaging N selon l IRM Les corrélations IRM-histologiques sont globalement satisfaisantes sur le staging T et N

42 Résultats : Corrélations stades T et N Patient n IRM n pt mrt pn mrn x x x x x x Patient n 6 : initialement stadifié mrt2 mrn0 a été opéré d emblée Patients n 1, 3, 5 et 7 présentent un downstaging T 8 patients sur 10 ont un staging mrt correct Patients n 1 et 5 : Suréstimation du T stage par développement d une fibrose 6 patients sur 10 sont pn+ :. 2 patients / 6 sont mr N+ pn+. 3 patients / 6 sont mr Nx pn+. Patient n 6 classé mrn- a été opéré d emblée et s est avéré être pn+ Patients n 4 et 5 présentent un downstaging N selon l IRM Les corrélations IRM-histologiques sont globalement satisfaisantes sur le staging T et N

43 Résultats : Corrélations stades T et N Patient n IRM n pt mrt pn mrn x x x x x x Patient n 6 : initialement stadifié mrt2 mrn0 a été opéré d emblée Patients n 1, 3, 5 et 7 présentent un downstaging T 8 patients sur 10 ont un staging mrt correct Patients n 1 et 5 : Suréstimation du T stage par développement d une fibrose 6 patients sur 10 sont pn+ :. 2 patients / 6 sont mr N+ pn+. 3 patients / 6 sont mr Nx pn+. Patient n 6 classé mrn- a été opéré d emblée et s est avéré être pn+ Patients n 4 et 5 présentent un downstaging N selon l IRM Les corrélations IRM-histologiques sont globalement satisfaisantes sur le staging T et N

44 Résultats : Corrélations stades T et N Patient n IRM n pt mrt pn mrn x x x x x Patient n 6 : initialement stadifié mrt2 mrn0 a été opéré d emblée Patients n 1, 3, 5 et 7 présentent un downstaging T 8 patients sur 10 ont un staging mrt correct Patients n 1 et 5 : Suréstimation du T stage par développement d une fibrose 6 patients sur 10 sont pn+ :. 2 patients / 6 sont mr N+ pn+. 3 patients / 6 sont mr Nx pn+. Patient n 6 classé mrn- a été opéré d emblée et s est avéré être pn+ Patients n 4 et 5 présentent un downstaging N selon l IRM x Les corrélations IRM-histologiques sont globalement satisfaisantes sur le staging T et N

45 Discordance T stage patient n 1 mrt initial mrt Réévaluation pt 2 Pôle supérieur Tumeur mucineuse N+ N+ EMVI 4 cancer cancer mrt3 par envahissement vasculaire (EMVI) Persistance remaniements vasculaires suspects :mrt3

46 Discordance T stage patient n 1 mrt initial mrt Réévaluation pt 2 Pôle supérieur Tumeur mucineuse N+ N+ EMVI 4 cancer cancer mrt3 par envahissement vasculaire (EMVI) Persistance remaniements vasculaires suspects :mrt3 Graisse normale en postérieur droit

47 Discordance T stage patient n 5 mrt initial mrt Réévaluation pt Prostate non infiltrée mrt4 sur la prostate Contact persistant, tumoral convexe avec prostate: mrt4 Rares glandes tumorales résiduelles

48 Résultats : Corrélations stades T et N Patient n IRM n pt mrt pn mrn x x x x x x Patient n 6 : initialement stadifié mrt2 mrn0 a été opéré d emblée Patients n 1, 3, 5 et 7 présentent un downstaging T 8 patients sur 10 ont un staging mrt correct Patients n 1 et 5 : Suréstimation du T stage par développement d une fibrose 6 patients sur 10 sont pn+ :. 2 patients / 6 sont mr N+ pn+. 3 patients / 6 sont mr Nx pn+. Patient n 6 classé mrn- a été opéré d emblée et s est avéré être pn+ Patients n 4 et 5 présentent un downstaging N selon l IRM Les corrélations IRM-histologiques sont globalement satisfaisantes sur le staging T et N

49 Résultats : Corrélations stades T et N Patient n IRM n pt mrt pn mrn x x x x x x Patient n 6 : initialement stadifié mrt2 mrn0 a été opéré d emblée Patients n 1, 3, 5 et 7 présentent un downstaging T 8 patients sur 10 ont un staging mrt correct Patients n 1 et 5 : Suréstimation du T stage par développement d une fibrose 6 patients sur 10 sont pn+ :. 2 patients / 6 sont mr N+ pn+. 3 patients / 6 sont mr Nx pn+. Patient n 6 classé mrn- a été opéré d emblée et s est avéré être pn+ Patients n 4 et 5 présentent un downstaging N selon l IRM Les corrélations IRM-histologiques sont globalement satisfaisantes sur le staging T et N

50 Résultats : Corrélations stades T et N Patient n IRM n pt mrt pn mrn x x x x x x Patient n 6 : initialement stadifié mrt2 mrn0 a été opéré d emblée Patients n 1, 3, 5 et 7 présentent un downstaging T 8 patients sur 10 ont un staging mrt correct Patients n 1 et 5 : Suréstimation du T stage par développement d une fibrose 6 patients sur 10 sont pn+ :. 2 patients / 6 sont mr N+ pn+. 3 patients / 6 sont mr Nx pn+. Patient n 6 classé mrn- a été opéré d emblée et s est avéré être pn+ Patients n 4 et 5 présentent un downstaging N selon l IRM Les corrélations IRM-histologiques sont globalement satisfaisantes sur le staging T et N

51 Résultats : Corrélations stades T et N Patient n IRM n pt mrt pn mrn x x x x x x Patient n 6 : initialement stadifié mrt2 mrn0 a été opéré d emblée Patients n 1, 3, 5 et 7 présentent un downstaging T 8 patients sur 10 ont un staging mrt correct Patients n 1 et 5 : Suréstimation du T stage par développement d une fibrose 6 patients sur 10 sont pn+ :. 2 patients / 6 sont mr N+ pn+. 3 patients / 6 sont mr Nx pn+. Patient n 6 classé mrn- a été opéré d emblée et s est avéré être pn+ Patients n 4 et 5 présentent un downstaging N selon l IRM Les corrélations IRM-histologiques sont globalement satisfaisantes sur le staging T et N

52 Discordance N stage patient n 6 Le ganglion a été interprété mrn - et était pn- sur la pièce de proctectomie. Toutefois il existait 2 autres ganglions pn+ (/ 15 ) à distance et au dessus de la lésion qui n avaient pas été vu par le radiologue N- N+

53 Discordance N stage patient n 6 Le ganglion a été interprété mrn - et était pn- sur la pièce de proctectomie. Toutefois il existait 2 autres ganglions pn+ (/ 15 ) à distance et au dessus de la lésion qui n avaient pas été vu par le radiologue N- N+

54 Discordance N stage patient n 6 Le ganglion a été interprété mrn - et était pn- sur la pièce de proctectomie. Toutefois il existait 2 autres ganglions pn+ (/ 15 ) à distance et au dessus de la lésion qui n avaient pas été vu par le radiologue N- N+

55 Résultats : Corrélations stades T et N Patient n IRM n pt mrt pn mrn x x x x x x Patient n 6 : initialement stadifié mrt2 mrn0 a été opéré d emblée Patients n 1, 3, 5 et 7 présentent un downstaging T 8 patients sur 10 ont un staging mrt correct Patients n 1 et 5 : Suréstimation du T stage par développement d une fibrose 6 patients sur 10 sont pn+ :. 2 patients / 6 sont mr N+ pn+. 3 patients / 6 sont mr Nx pn+. Patient n 6 classé mrn- a été opéré d emblée et s est avéré être pn+ Patients n 4 et 5 présentent un downstaging N selon l IRM Les corrélations IRM-histologiques sont globalement satisfaisantes sur le staging T et N

56 Résultats : Les critères étudiés dans la littérature sont : - L amélioration du stade de la maladie ( downstaging T, downstaging N) - La décroissance de volume tumoral ( downsizing) - La modification du signal de la tumeur et le développement d une fibrose en hyposignal - Les modifications en séquence de diffusion DWI ( Diffusion Weighted Imaging). Persistance ou disparition de l hypersignal DWI. Valeur des coefficients ADC (Apparent Diffusion Cefficient) avant et après radio-chimiothérapie. L importance de la modification de ces coefficients entre avant et après traitement néo-adjuvant

57 Attention Le downsizing repose sur une mesure manuelle opérateur dépendante du volume tumoral sur une console de post-traitement L expérience de l équipe qui réalise la mesure du volume tumoral doit être prise en compte Il existe probablement une courbe d apprentissage Les modifications de la tumeur après le traitement néo-adjuvant peuvent rendre la délimitation de la lésion et son contourage délicat

58 Résultats : Corrélations Downsizing Patient IRM pt pn downstagin g Vol tum 1 1 8,422 % Réduction volumique 4 patients sont pt2 (dont le patient n 6 opéré d emblée reste 3 patients avec IRM de rééval T 1, , , , T 2, N , T, N 4, , , T 1, ,4 Ces 3 autres patients pt2 ont un downstaging T Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n patients bons répondeurs ont % RV > 75 % 1 patient bon répondeur (n 3) a %RV = -37 % Mais son volume de départ est le plus faible de tous les patients ( question du volume seuil min départ?) Le patient n 4 : % RV 0.75 sans être «bon répondeur» , , , , Les 2 patients qui ont un downstaging N ont un % RV 0.75 ( coincidence? ) Le volume tumoral de départ n est pas un critère qui semble intéressant Tendance : les bons répondeurs semblent avoir un % RV 0.75 Attention : on peut observer un % RV 0.75 chez un patient qui n est pas très bon répondeur

59 Résultats : Corrélations Downsizing Patient IRM pt pn downstagin g Vol tum 1 1 8,422 % Réduction volumique 4 patients sont pt2 (dont le patient n 6 opéré d emblée reste 3 patients avec IRM de rééval T 1, , , , T 2, N , T, N 4, , , T 1, ,4 Ces 3 autres patients pt2 ont un downstaging T Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n patients bons répondeurs ont % RV > 75 % 1 patient bon répondeur (n 3) a %RV = -37 % Mais son volume de départ est le plus faible de tous les patients ( question du volume seuil min départ?) Le patient n 4 : % RV 0.75 sans être «bon répondeur» , , , , Les 2 patients qui ont un downstaging N ont un % RV 0.75 ( coincidence? ) Le volume tumoral de départ n est pas un critère qui semble intéressant Tendance : les bons répondeurs semblent avoir un % RV 0.75 Attention : on peut observer un % RV 0.75 chez un patient qui n est pas très bon répondeur

60 Résultats : Corrélations Downsizing Patient IRM pt pn downstagin g Vol tum 1 1 8,422 % Réduction volumique 4 patients sont pt2 (dont le patient n 6 opéré d emblée reste 3 patients avec IRM de rééval T 1, , , , T 2, N , T, N 4, , , T 1, ,4 Ces 3 autres patients pt2 ont un downstaging T Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n patients bons répondeurs ont % RV > 75 % 1 patient bon répondeur (n 3) a %RV = -37 % Mais son volume de départ est le plus faible de tous les patients ( question du volume seuil min départ?) Le patient n 4 : % RV 0.75 sans être «bon répondeur» , , , , Les 2 patients qui ont un downstaging N ont un % RV 0.75 ( coincidence? ) Le volume tumoral de départ n est pas un critère qui semble intéressant Tendance : les bons répondeurs semblent avoir un % RV 0.75 Attention : on peut observer un % RV 0.75 chez un patient qui n est pas très bon répondeur

61 Résultats : Corrélations Downsizing Patient IRM pt pn downstagin g Vol tum 1 1 8,422 % Réduction volumique 4 patients sont pt2 (dont le patient n 6 opéré d emblée reste 3 patients avec IRM de rééval T 1, , , , T 2, N , T, N 4, , , T 1, ,4 Ces 3 autres patients pt2 ont un downstaging T Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n patients bons répondeurs ont % RV > 75 % 1 patient bon répondeur (n 3) a %RV = -37 % Mais son volume de départ est le plus faible de tous les patients ( question du volume seuil min départ?) Le patient n 4 : % RV 0.75 sans être «bon répondeur» , , , , Les 2 patients qui ont un downstaging N ont un % RV 0.75 ( coincidence? ) Le volume tumoral de départ n est pas un critère qui semble intéressant Tendance : les bons répondeurs semblent avoir un % RV 0.75 Attention : on peut observer un % RV 0.75 chez un patient qui n est pas très bon répondeur

62 L anapath est en accord avec le postulat radiologique Pour l anatomopathologiste aussi : les patients n 1, 3 et 7 sont les meilleurs répondeurs de la série des 9 patients Les tumeurs de ces 3 patients sont celles qui ont la densité cellulaire la moins importante sur les pièces Patient n 1 Patient n 3 Patient n 7 Flaque de mucine sans cellule tumorale Rares ilots de glandes tumorales

63 Attention Les patients n 1, 3 et 7 sont ceux parmi les 9 qui ont le mieux répondu au traitement néoadjuvant en présentant un downstaging T et un stade ypt2 avec une densité cellulaire tumorale faible Les analyses qui suivent vont comparer ces 3 patients aux 6 autres selon les critères pré-définis Afin de tenter de dégager des tendances ( non-statistiquement significatives) En réalité, parmi nos 10 patients aucun n est bon répondeur au sens strict du terme ( pas de ypt0)

64 Résultats : Corrélations Downsizing Patient IRM pt pn downstagin g Vol tum 1 1 8,422 % Réduction volumique 4 patients sont pt2 (dont le patient n 6 opéré d emblée reste 3 patients avec IRM de rééval T 1, , , , T 2, N , T, N 4, , , T 1, ,4 Ces 3 autres patients pt2 ont un downstaging T Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n patients bons répondeurs ont % RV > 75 % 1 patient bon répondeur (n 3) a %RV = -37 % Mais son volume de départ est le plus faible de tous les patients ( question du volume seuil min départ?) Le patient n 4 : % RV 0.75 sans être «bon répondeur» , , , , Les 2 patients qui ont un downstaging N ont un % RV 0.75 ( coincidence? ) Le volume tumoral de départ n est pas un critère qui semble intéressant Tendance : les bons répondeurs semblent avoir un % RV 0.75 Attention : on peut observer un % RV 0.75 chez un patient qui n est pas très bon répondeur

65 Résultats : Corrélations Downsizing Patient IRM pt pn downstagin g Vol tum 1 1 8,422 % Réduction volumique 4 patients sont pt2 (dont le patient n 6 opéré d emblée reste 3 patients avec IRM de rééval T 1, , , , T 2, N , T, N 4, , , T 1, ,4 Ces 3 autres patients pt2 ont un downstaging T Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n patients bons répondeurs ont % RV > 75 % 1 patient bon répondeur (n 3) a %RV = -37 % Mais son volume de départ est le plus faible de tous les patients ( question du volume seuil min départ?) Le patient n 4 : % RV 0.75 sans être «bon répondeur» , , , , Les 2 patients qui ont un downstaging N ont un % RV 0.75 ( coincidence? ) Le volume tumoral de départ n est pas un critère qui semble intéressant Tendance : les bons répondeurs semblent avoir un % RV 0.75 Attention : on peut observer un % RV 0.75 chez un patient qui n est pas très bon répondeur

66 Résultats : Corrélations Downsizing Patient IRM pt pn downstagin g Vol tum 1 1 8,422 % Réduction volumique T 1, , , , T 2, N , T, N 4, , , T 1, , , , , , patients sont pt2 (dont le patient n 6 opéré d emblée reste 3 patients avec IRM de rééval. Ces 3 autres patients pt2 ont un downstaging T Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n patients bons répondeurs ont % RV > 75 % 1 patient bon répondeur (n 3) a %RV = -37 % Mais son volume de départ est le plus faible de tous les patients ( question du volume seuil min départ?) Le patient n 4 : % RV 0.75 sans être classé «bon répondeur» (le patient 5 est proche du seuil de 75% ) Les 2 patients qui ont un downstaging N ont un % RV 0.75 ( coincidence? ) Le volume tumoral de départ n est pas un critère qui semble intéressant Tendance : les bons répondeurs semblent avoir un % RV 0.75 Attention : on peut observer un % RV 0.75 chez un patient qui n est pas très bon répondeur

67 Discordance Downsizing patient n 4 Volume initial Volume Réévaluation Axial T2 Coronal T2 Axial T2 Coronal T2 La tumeur a une implantation circonférencielle avec un EMS vers le bas et les vésicules séminales Diminution de l épaississement pariétal rendant la délimitation tumorale difficile en particulier dans le grand axe de la lésion Mais témoignant tout de même d une bonne réponse volumique! Vol initial = cc Vol rééval = cc

68 Résultats : Corrélations Downsizing Patient IRM pt pn downstagin g Vol tum 1 1 8,422 % Réduction volumique 4 patients sont pt2 (dont le patient n 6 opéré d emblée reste 3 patients avec IRM de rééval T 1, , , , T 2, N , T, N 4, , , T 1, ,4 Ces 3 autres patients pt2 ont un downstaging T Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n patients bons répondeurs ont % RV > 75 % 1 patient bon répondeur (n 3) a %RV = -37 % Mais son volume de départ est le plus faible de tous les patients ( question du volume seuil min départ?) Le patient n 4 : % RV 0.75 sans être «bon répondeur» , , , , Les 2 patients qui ont un downstaging N ont un % RV 0.75 ( coincidence? ) Le volume tumoral de départ n est pas un critère qui semble intéressant Tendance : les bons répondeurs semblent avoir un % RV 0.75 Attention : on peut observer un % RV 0.75 chez un patient qui n est pas très bon répondeur

69 Résultats : Corrélations Downsizing Patient IRM pt pn downstagin g Vol tum 1 1 8,422 % Réduction volumique 4 patients sont pt2 (dont le patient n 6 opéré d emblée reste 3 patients avec IRM de rééval T 1, , , , T 2, N , T, N 4, , , T 1, ,4 Ces 3 autres patients pt2 ont un downstaging T Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n patients bons répondeurs ont % RV > 75 % 1 patient bon répondeur (n 3) a %RV = -37 % Mais son volume de départ est le plus faible de tous les patients ( question du volume seuil min départ?) Le patient n 4 : % RV 0.75 sans être «bon répondeur» , , , , Les 2 patients qui ont un downstaging N ont un % RV 0.75 ( coincidence? ) Le volume tumoral de départ n est pas un critère qui semble intéressant Tendance : les bons répondeurs semblent avoir un % RV 0.75 Attention : on peut observer un % RV 0.75 chez un patient qui n est pas très bon répondeur

70 Résultats : Les critères étudiés dans la littérature sont : - La décroissance de volume tumoral ( downsizing) - L amélioration du stade de la maladie ( downstaging T, downstaging N) - La modification du signal de la tumeur et le développement d une fibrose en hyposignal - Les modifications en séquence de diffusion DWI ( Diffusion Weighted Imaging). Persistance ou disparition de l hypersignal DWI. Valeur des coefficients ADC (Apparent Diffusion Cefficient) avant et après radio-chimiothérapie. L importance de la modification de ces coefficients entre avant et après traitement néo-adjuvant

71 Résultats : Difficultés d analyse du signal des tissus en pondération T2 La mesure du signal des tissus par des régions d intérêt (ROI) n est pas fiable et reproductible Pour essayer d avoir des mesures quantitatives reproductibles : On propose d étudier le Rapport Signal Muscle / Signal Tumeur (R-SM/ST) en pondération T2 La détermination de la présence d un hyposignal de type fibreux résiduel est subjective On mesure qualitativement le signal T2 des tissus tumoraux en leur attribuant les mentions suivantes : - H : Hypersignal T2 / Muscle - H-M : Hypersignal T2 Mucineux - I : Signal Intermédiaire - F : hyposignal Fibreux signal proche ou inférieur au muscle On étudie secondairement La variation du rapport entre les IRM n 1 et 2 Δ R = ( R2 R1 )/R1

72 Résultats : Analyse du signal des tissus en pondération T2 Patient IRM Signal T2 Signal Musc R-SM/ST Δ Rapport T2 qualitatif ,195 H-M , H-M ,663 I , I ,616 I ,59-2 I ,579 I , I ,578 I , F , ,272 I ,256-6 H ,474 I , I ,4 H-M , H-M ,473 I , I Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n patients présentaient des tumeurs à composante colloïde mucineuse dont le patient n 1 étiqueté «bon répondeur»!!! Le critère ΔR varie entre -30 et +45 % il peut donc augmenter ou diminuer selon les patients. Le seul patient qui présentait un hyposignal T2 tumoral proche du signal du muscle ne faisait pas partie des patients bons répondeurs. Les 2 patients «bons répondeurs» non-colloïde ont tous 2 un ΔR < 0 Le patient n 4 est-il vraiment un mauvais répondeur? Rappel : ce patient avait : un downstaging N, un ΔV > 75 % et un ΔR<0! L évaluation qualitative du signal T2 de la tumeur semble difficile mais nombre de patient très insuffisant Le critère ΔR est-il pertinent? Nécessité d évaluation sur un plus grand nombre de patient

73 Résultats : Analyse du signal des tissus en pondération T2 Patient IRM Signal T2 Signal Musc R-SM/ST Δ Rapport T2 qualitatif ,195 H-M , H-M ,663 I , I ,616 I ,59-2 I ,579 I , I ,578 I , F , ,272 I ,256-6 H ,474 I , I ,4 H-M , H-M ,473 I , I Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n patients présentaient des tumeurs à composante colloïde mucineuse dont le patient n 1 étiqueté «bon répondeur»!!! Le critère ΔR varie entre -30 et +45 % il peut donc augmenter ou diminuer selon les patients. Le seul patient qui présentait un hyposignal T2 tumoral proche du signal du muscle ne faisait pas partie des patients bons répondeurs. Les 2 patients «bons répondeurs» non-colloïde ont tous 2 un ΔR < 0 Le patient n 4 est-il vraiment un mauvais répondeur? Rappel : ce patient avait : un downstaging N, un ΔV > 75 % et un ΔR<0! L évaluation qualitative du signal T2 de la tumeur semble difficile mais nombre de patient très insuffisant Le critère ΔR est-il pertinent? Nécessité d évaluation sur un plus grand nombre de patient

74 2 patients ont une tumeur colloïde-mucineuse Pour l anatomopathologiste les patients n 1 et 9 ont tous 2 une composante colloïde-mucineuse d environ 100% Mais les différences entre ces 2 patients en IRM se retrouvent aussi au microscope! Patient n 1 «bon répondeur» Patient n 9 «non répondeur» Les flaques de mucine ne présentent quasiment pas de cellules tumorales Les flaques de mucine sont riches en cellules tumorales

75 Résultats : Analyse du signal des tissus en pondération T2 Patient IRM Signal T2 Signal Musc R-SM/ST Δ Rapport T2 qualitatif ,195 H-M , H-M ,663 I , I ,616 I ,59-2 I ,579 I , I ,578 I , F , ,272 I ,256-6 H ,474 I , I ,4 H-M , H-M ,473 I , I Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n patients présentaient des tumeurs à composante colloïde mucineuse dont le patient n 1 étiqueté «bon répondeur»!!! Le critère ΔR varie entre -30 et +45 % il peut donc augmenter ou diminuer selon les patients. Le seul patient qui présentait un hyposignal T2 tumoral proche du signal du muscle ne faisait pas partie des patients bons répondeurs. Les 2 patients «bons répondeurs» non-colloïde ont tous 2 un ΔR < 0 Le patient n 4 est-il vraiment un mauvais répondeur? Rappel : ce patient avait : un downstaging N, un ΔV > 75 % et un ΔR<0! L évaluation qualitative du signal T2 de la tumeur semble difficile mais nombre de patient très insuffisant Le critère ΔR est-il pertinent? Nécessité d évaluation sur un plus grand nombre de patient

76 Résultats : Analyse du signal des tissus en pondération T2 Patient IRM Signal T2 Signal Musc R-SM/ST Δ Rapport T2 qualitatif ,195 H-M , H-M ,663 I , I ,616 I ,59-2 I ,579 I , I ,578 I , F , ,272 I ,256-6 H ,474 I , I ,4 H-M , H-M ,473 I , I Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n patients présentaient des tumeurs à composante colloïde mucineuse dont le patient n 1 étiqueté «bon répondeur»!!! Le critère ΔR varie entre -30 et +45 % il peut donc augmenter ou diminuer selon les patients. Le seul patient qui présentait un hyposignal T2 tumoral proche du signal du muscle ne faisait pas partie des patients bons répondeurs. Les 2 patients «bons répondeurs» non-colloïde ont tous 2 un ΔR < 0 Le patient n 4 est-il vraiment un mauvais répondeur? Rappel : ce patient avait : un downstaging N, un ΔV > 75 % et un ΔR<0! L évaluation qualitative du signal T2 de la tumeur semble difficile mais nombre de patient très insuffisant Le critère ΔR est-il pertinent? Nécessité d évaluation sur un plus grand nombre de patient

77 Résultats : Analyse du signal des tissus en pondération T2 Patient IRM Signal T2 Signal Musc R-SM/ST Δ Rapport T2 qualitatif ,195 H-M , H-M ,663 I , I ,616 I ,59-2 I ,579 I , I ,578 I , F , ,272 I ,256-6 H ,474 I , I ,4 H-M , H-M ,473 I , I Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n patients présentaient des tumeurs à composante colloïde mucineuse dont le patient n 1 étiqueté «bon répondeur» Le critère ΔR varie entre -30 et +45 % il peut donc augmenter ou diminuer selon les patients. Le seul patient qui présentait un hyposignal T2 tumoral proche du signal du muscle ne faisait pas partie des patients bons répondeurs. Les 2 patients «bons répondeurs» non-colloïde ont tous les 2 un ΔR < 0 Le patient n 4 est-il vraiment un mauvais répondeur? Rappel : ce patient avait : un downstaging N, un ΔV > 75 % et un ΔR<0! L évaluation qualitative du signal T2 de la tumeur semble difficile mais nombre de patient très insuffisant Le critère ΔR est-il pertinent? Nécessité d évaluation sur un plus grand nombre de patient

78 Résultats : Analyse du signal des tissus en pondération T2 Patient IRM Signal T2 Signal Musc R-SM/ST Δ Rapport T2 qualitatif ,195 H-M , H-M ,663 I , I ,616 I ,59-2 I ,579 I , I ,578 I , F , ,272 I ,256-6 H ,474 I , I ,4 H-M , H-M ,473 I , I Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n patients présentaient des tumeurs à composante colloïde mucineuse dont le patient n 1 étiqueté «bon répondeur» Le critère ΔR varie entre -30 et +45 % il peut donc augmenter ou diminuer selon les patients. Le seul patient qui présentait un hyposignal T2 tumoral proche du signal du muscle ne faisait pas partie des patients bons répondeurs. Les 2 patients «bons répondeurs» non-colloïde ont tous 2 un ΔR < 0 Le patient 4 est-il vraiment mauvais répondeur? Rappel : ce patient avait : un downstaging N, un ΔV > 75 % et un ΔR<0! L évaluation qualitative du signal T2 de la tumeur semble difficile mais nombre de patient très insuffisant Le critère ΔR est-il pertinent? Nécessité d évaluation sur un plus grand nombre de patient

79 le patient n 4 : un patient intermédiaire dans sa réponse? Corrélations histologiques : «Bon» répondeur Patient n 4 «mauvais» répondeur Effectivement la densité cellulaire du patient est intermédiaire entre celles des patients étiquetés dans notre série «bons» et «mauvais» répondeurs

80 Résultats : Les critères étudiés dans la littérature sont : - L amélioration du stade de la maladie ( downstaging T, downstaging N) - La décroissance de volume tumoral ( downsizing) - La modification du signal de la tumeur et le développement d une fibrose en hyposignal - Les modifications en séquence de diffusion DWI ( Diffusion Weighted Imaging). Persistance ou disparition de l hypersignal DWI. Valeur des coefficients ADC (Apparent Diffusion Cefficient) avant et après radio-chimiothérapie. L importance de la modification de ces coefficients entre avant et après traitement néo-adjuvant

81 Résultats : Analyse de la réponse tumorale en DWI : Le signal tumoral Analyse quantitative de l hypersignal DWI tumoral Pour chaque IRM on réalise une mesure quantitative du signal DWI de la tumeur par une région d interet (ROI) : S-DWI Il est difficile de faire un rapport avec un ROI de référence dans un tissus comme le muscle en raison de l extinction de signal des autres structures : Pour chaque IRM on évalue qualitativement le signal DWI de la tumeur ( Qu. S selon le b ) en lui attribuant les mentions suivantes : - H : Hypersignal DWI Analyse qualitative de l hypersignal DWI tumoral - I : signal DWI Intermédiaire - 0 : Absence de signal DWI La mesure du S-DWI est-elle fiable et reproductible? --- On calcul la variation de ce signal entre les IRM avant et après traitement néoadjuvant : Δ S-DWI = S-DWI IRMn 1 S-DWI IRM n 2

82 Résultats : Analyse de la réponse tumorale en DWI : Le signal tumoral Patie nt IRM S-DWI + / - ΔS-DWI Qu.S b1000 Qu.S b H H I H H I I H H I I H H I I H H I I H H H H H H H H H H H H I I H H I I Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n ( n 4?) Analyse qualitative : Concordance signal b1000 b 1300 sauf patient n 1, IRM n : le signal b1000 de la mucine disparait en b1300 En théorie les patients ypt0 ne doivent pas présenter de signal tumoral DWI persistant sur l IRM n 2 : Aucun de nos patient à l exception du n 1 ne présente de disparition du signal DWI de la tumeur sur l IRM n 2 Cela traduit à priori la persistance d un reliquat tumoral confirmé sur les pièces histologiques. Analyse quantitative : Le Δ S-DWI est toujours <0 sauf pour le patient n 1 qui présenta une tumeur à forte composante mucineuse. Les valeurs de S-DWI sont du même ordre de grandeur : Pour l IRM n 1 : de 144 à 394, pour l IRM n 2 : de 144 à 245 Mais le patient n 6 présente S-DWI = 602 sur l IRM n 1! Les «bons répondeurs» ont Δ S-DWI moins important que les mauvais répondeurs : critère pertinent? L analyse quantitative du signal tumoral DWI ne semble pas être un critère performant sur notre petit nombre de patients

83 Résultats : Analyse de la réponse tumorale en DWI : Le signal tumoral Patie nt IRM S-DWI + / - ΔS-DWI Qu.S b1000 Qu.S b H H I H H I I H H I I H H I I H H I I H H H H H H H H H H H H I I H H I I Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n ( n 4?) Analyse qualitative : Concordance signal b1000 b 1300 sauf patient n 1, IRM n 2 : le signal b1000 de la mucine disparait en b1300 En théorie les patients ypt0 ne doivent pas présenter de signal tumoral DWI persistant sur l IRM n 2 : Aucun de nos patient à l exception du n 1 ne présente de disparition du signal DWI de la tumeur sur l IRM n 2 Cela traduit à priori la persistance d un reliquat tumoral confirmé sur les pièces histologiques. Analyse quantitative : Le Δ S-DWI est toujours <0 sauf pour le patient n 1 qui présenta une tumeur à forte composante mucineuse. Les valeurs de S-DWI sont du même ordre de grandeur : Pour l IRM n 1 : de 144 à 394, pour l IRM n 2 : de 144 à 245 Mais le patient n 6 présente S-DWI = 602 sur l IRM n 1! Les «bons répondeurs» ont Δ S-DWI moins important que les mauvais répondeurs : critère pertinent? L analyse quantitative du signal tumoral DWI ne semble pas être un critère performant sur notre petit nombre de patients

84 Résultats : Analyse de la réponse tumorale en DWI : Le signal tumoral Patie nt IRM S-DWI + / - ΔS-DWI Qu.S b1000 Qu.S b H H I H H I I H H I I H H I I H H I I H H H H H H H H Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n ( n 4?) Analyse qualitative : Concordance signal b1000 b 1300 sauf patient n 1, IRM n 2 : le signal b1000 de la mucine disparait en b1300 En théorie les patients ypt0 ne doivent pas présenter de signal tumoral DWI persistant sur l IRM n 2 : Aucun de nos patient à l exception du n 1 ne présente de disparition du signal DWI de la tumeur sur l IRM n 2 Cela traduit à priori la persistance d un reliquat tumoral confirmé sur les pièces histologiques. Analyse quantitative : Le Δ S-DWI est toujours <0 sauf pour le patient n 1 qui présentait une tumeur à forte composante mucineuse H H H H I I H H I I Les valeurs de S-DWI sont du même ordre de grandeur : Pour l IRM n 1 : de 144 à 394, pour l IRM n 2 : de 144 à 245 Mais le patient n 6 présente S-DWI = 602 sur l IRM n 1! Les «bons répondeurs» ont Δ S-DWI moins important que les mauvais répondeurs : critère pertinent? L analyse quantitative du signal tumoral DWI ne semble pas être un critère performant sur notre petit nombre de patients

85 Résultats : Analyse de la réponse tumorale en DWI : Le signal tumoral Patie nt IRM S-DWI + / - ΔS-DWI Qu.S b1000 Qu.S b H H I H H I I H H I I H H I I H H I I H H H H H H H H H H H H I I H H I I Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n ( n 4?) Analyse qualitative : Concordance signal b1000 b 1300 sauf patient n 1, IRM n 2 : le signal b1000 de la mucine disparait en b1300 En théorie les patients ypt0 ne doivent pas présenter de signal tumoral DWI persistant sur l IRM n 2 : Aucun de nos patient à l exception du n 1 ne présente de disparition du signal DWI de la tumeur sur l IRM n 2 Cela traduit à priori la persistance d un reliquat tumoral confirmé sur les pièces histologiques. Analyse quantitative : Le Δ S-DWI est toujours <0 sauf pour le patient n 1 qui présenta une tumeur à forte composante mucineuse. Les valeurs de S-DWI sont du même ordre de grandeur : Pour l IRM n 1 : de 144 à 394, pour l IRM n 2 : de 144 à 245 Mais le patient n 6 présente S-DWI = 602 sur l IRM n 1! Les «bons répondeurs» ont Δ S-DWI moins important que les mauvais répondeurs : critère pertinent? L analyse quantitative du signal tumoral DWI ne semble pas être un critère performant sur notre petit nombre de patients

86 Signal DWI tumoral sur l IRM du patient n 6 ne semble pas avoir le même ordre de grandeur que les autres Cette mesure particulièrement intense du signal tumoral en DWI peut-elle s expliquer par une histologie particulière? Le contourage des ROI est fiable en raison de l excellent contraste entre la lumière balisée par du gel d écho et la tumeur Oui : la densité cellulaire de la tumeur est particulièrement importante

87 Résultats : Analyse de la réponse tumorale en DWI : Le signal tumoral Patie nt IRM S-DWI + / - ΔS-DWI Qu.S b1000 Qu.S b H H I H H I I H H I I H H I I H H I I H H H H H H H H H H H H I I H H I I Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n ( n 4?) Analyse qualitative : Concordance signal b1000 b 1300 sauf patient n 1, IRM n 2 : le signal b1000 de la mucine disparait en b1300 En théorie les patients ypt0 ne doivent pas présenter de signal tumoral DWI persistant sur l IRM n 2 : Aucun de nos patient à l exception du n 1 ne présente de disparition du signal DWI de la tumeur sur l IRM n 2 Cela traduit à priori la persistance d un reliquat tumoral confirmé sur les pièces histologiques. Analyse quantitative : Le Δ S-DWI est toujours <0 sauf pour le patient n 1 qui présenta une tumeur à forte composante mucineuse. Les valeurs de S-DWI sont du même ordre de grandeur : Pour l IRM n 1 : de 144 à 394, pour l IRM n 2 : de 144 à 245 Mais le patient n 6 présente S-DWI = 602 sur l IRM n 1! Les «bons répondeurs» ont Δ S-DWI moins important que les mauvais répondeurs : critère pertinent? L analyse quantitative du signal tumoral DWI ne semble pas être un critère performant sur notre petit nombre de patients

88 Résultats : Analyse de la réponse tumorale en DWI : Le coef. ADC Analyse des coefficients ADC Sur la tumeur avant et après traitement néo-adjuvant Exprimés en x10-6 mm².s / - : déviation standart du coef. ADC exprimé en x10-6 mm².s Analyse de la variation des coefficients ADC (Δ ADC) Mesure le % d augmentation de coefficient ADC dans la tumeur après traitement néo-adjuvant Δ ADC = ( ADC IRM n 2 ADC IRM n 1) / ADC IRM n 1

89 Résultats : Analyse de la réponse tumorale en DWI : Le coef. ADC Patient IRM ADC +/- ADC Δ ADC Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n ( n 4?) Analyse Coef. ADC initial : Le patient n 6, opéré d emblée en raison d un stade mrt2 de bon pronostic a un coef. ADC initial très bas avec une déviation standart parmi les plus faibles Il n y a pas de différence entre les coef. ADC de départ des bons et mauvais répondeurs Analyse Coef. ADC post-traitement néo-adjuvant : La question de la validité de l ADC IRM n 2 du patient n 7 se pose? Il n y a pas de différence entre les coef. ADC après traitement des bons et mauvais répondeurs. Analyse Δ ADC : Le Δ ADC est toujours > 0 : le coef ADC de la tumeur après traitement néoad Le Δ ADC du patient n 3 est parmi les plus faible! : critère pertinent? Sur 10 patients les mesures relatives aux coefficients ADC sont décevantes

90 Résultats : Analyse de la réponse tumorale en DWI : Le coef. ADC Patient IRM ADC +/- ADC Δ ADC Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n ( n 4?) Analyse Coef. ADC initial : Le patient n 6, opéré d emblée en raison d un stade mrt2 de bon pronostic a un coef. ADC initial très bas avec une déviation standart parmi les plus faibles Il n y a pas de différence entre les coef. ADC de départ des bons et mauvais répondeurs Analyse Coef. ADC post-traitement néo-adjuvant : La question de la validité de l ADC IRM n 2 du patient n 7 se pose? Il n y a pas de différence entre les coef. ADC après traitement des bons et mauvais répondeurs. Analyse Δ ADC : Le Δ ADC est toujours > 0 : le coef ADC de la tumeur après traitement néoad Le Δ ADC du patient n 3 est parmi les plus faible! : critère pertinent? Sur 10 patients les mesures relatives aux coefficients ADC sont décevantes

91 Résultats : Analyse de la réponse tumorale en DWI : Le coef. ADC Patient IRM ADC +/- ADC Δ ADC Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n ( n 4?) Analyse Coef. ADC initial : Le patient n 6, opéré d emblée en raison d un stade mrt2 de bon pronostic a un coef. ADC initial très bas avec une déviation standart parmi les plus faibles Il n y a pas de différence entre les coef. ADC de départ des bons et mauvais répondeurs Analyse Coef. ADC post-traitement néo-adjuvant : La question de la validité de l ADC IRM n 2 du patient n 7 se pose? Il n y a pas de différence entre les coef. ADC après traitement des bons et mauvais répondeurs. Analyse Δ ADC : Le Δ ADC est toujours > 0 : le coef ADC de la tumeur après traitement néo-ad Le Δ ADC du patient n 3 est parmi les plus faible! : critère pertinent? Sur 10 patients les mesures relatives aux coefficients ADC sont décevantes

92 Validité coef. ADC IRM n 2 patient n 7 mrt initial mrt Réévaluation La mesure du coef. ADC a bien été faite au bon endroit

93 Validité coef. ADC IRM n 2 patient n 7 mrt initial mrt Réévaluation pt Le patient n 7 fait partie des bons répondeurs Les cellules tumorales sont peu nombreuses dans les tissus où la mesure du ROI a été réalisée Le coef. ADC a été mesuré dans une hypertrophie muqueuse réactionnelle après traitement. Ceci explique sa valeur à 2220 x10-6 mm².s.

94 Résultats : Analyse de la réponse tumorale en DWI : Le coef. ADC Patient IRM ADC +/- ADC Δ ADC Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n ( n 4?) Analyse Coef. ADC initial : Le patient n 6, opéré d emblée en raison d un stade mrt2 de bon pronostic a un coef. ADC initial très bas avec une déviation standart parmi les plus faibles Il n y a pas de différence entre les coef. ADC de départ des bons et mauvais répondeurs Analyse Coef. ADC post-traitement néo-adjuvant : La question de la validité de l ADC IRM n 2 du patient n 7 se pose? Il n y a pas de différence entre les coef. ADC après traitement des bons et mauvais répondeurs. Analyse Δ ADC : Le Δ ADC est toujours > 0 : le coef ADC de la tumeur après traitement néo-ad Le Δ ADC du patient n 3 est parmi les plus faible! : critère pertinent? Sur 10 patients les mesures relatives aux coefficients ADC sont décevantes

95 Résultats : Analyse de la réponse tumorale en DWI : Le coef. ADC Patient IRM ADC +/- ADC Δ ADC Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n ( n 4?) Analyse Coef. ADC initial : Le patient n 6, opéré d emblée en raison d un stade mrt2 de bon pronostic a un coef. ADC initial très bas avec une déviation standart parmi les plus faibles Il n y a pas de différence entre les coef. ADC de départ des bons et mauvais répondeurs Analyse Coef. ADC post-traitement néo-adjuvant : La question de la validité de l ADC IRM n 2 du patient n 7 se pose? Il n y a pas de différence entre les coef. ADC après traitement des bons et mauvais répondeurs. Analyse Δ ADC : Le Δ ADC est toujours > 0 : le coef ADC de la tumeur après traitement Le Δ ADC du patient n 3 est parmi les plus faible! : critère pertinent? Sur 10 patients les mesures relatives aux coefficients ADC sont décevantes

96 Résultats : Analyse de la réponse tumorale en DWI : Le coef. ADC Patient IRM ADC +/- ADC Δ ADC Postulat : 3 patients bons répondeurs sont n ( n 4?) Analyse Coef. ADC initial : Le patient n 6, opéré d emblée en raison d un stade mrt2 de bon pronostic a un coef. ADC initial très bas avec une déviation standart parmi les plus faibles Il n y a pas de différence entre les coef. ADC de départ des bons et mauvais répondeurs Analyse Coef. ADC post-traitement néo-adjuvant : La question de la validité de l ADC IRM n 2 du patient n 7 se pose? Il n y a pas de différence entre les coef. ADC après traitement des bons et mauvais répondeurs. Analyse Δ ADC : Le Δ ADC est toujours > 0 : le coef ADC de la tumeur après traitement néo-ad Le Δ ADC du patient n 3 est parmi les plus faible! : critère pertinent? Sur 10 patients les mesures relatives aux coefficients ADC sont décevantes

97 Commentaires sur les résultats relatifs aux mesures de coefficient ADC La diffusion : une technique d utilisation plus compliquée qu il n y parait : Les recommandations sont nombreuses et contraignantes Le choix de la valeur du b? La réalisation de plusieurs séquences de b différents La reproductibilité des séquences La fiabilité des softwares

98 Sommaire I. Le cancer du rectum en 2011 : contexte et problématique. II. La réponse au traitement néo-adjuvant : les données de la littérature III. Nos résultats: à propos de 10 patients avec corrélations anatomopathologiques IV. Conclusion

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