Jean Forrest. 2 ème Arts Numériques. Dessin et moyens d expression (story-board/ narration). 2h /sem. Objectifs du cours :

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1 Jean Forrest 2 ème Arts Numériques. Dessin et moyens d expression (story-board/ narration). 2h /sem. Objectifs du cours : Les objectifs du cours visent à : 1. Affiner chez l étudiant ses connaissances des codes de la narration visuelle et du dessin de story-board (après un apprentissage initial en 1 ère année). 2. Perfectionner chez l étudiant ses capacités de communiquer clairement ses idées d auteur d histoires animées et de metteur en scène, à un public, de manière lisible, innovante, créative, en respectant et renouvelant les codes de la narration visuelle et du story-board. 3. Développer le sens critique et autocritique de l étudiant par rapport à ses choix de mise en scène. 4. Permettre à l étudiant de développer ses capacités créatives de réalisateur dans la conception narrative et visuelle d une mise en scène par la réalisation de story-boards d après divers scénarios. 5. Permettre à l étudiant de montrer «sur papier», la mise en scène créative et pertinente de son récit, tant pour le professeur que pour un producteur, réalisateur ou une équipe d animateurs dans la vie professionnelle. Les buts du cours sont : Au niveau graphique : 1. Développer la faculté d expérimentation, de créativité en encourageant une démarche qui combine intuition et raison. 2. La création de «sténoboards» (esquisses rapides de story-board), afin de mettre au point les grandes lignes du découpage en images du scénario découpé plan par plan. 3. La réalisation de story-boards, englobant tous les codes et toutes les facettes de l outil professionnel que le story-board est : une référence pour toute une équipe travaillant pour et autour de l animation. 4. La réalisation de dessins (personnages, décors, couleur ), lay-out ou key-frames préparant, complétant ou mettant en valeur le story-board. Remarque : le cours s appuiera sur d autres cours en parallèle (story-board/ mise en scène en 2 ème année) ou antérieurs (1 ère année). Au niveau narratif : 1. Respecter une terminologie propre à l étude du story-board. 2. La maitrise et renouvellement les codes du story-board, de la mise en scène et de la séquence d images. Apprentissage de la narration par des scénarii imposés et approfondissement par la création de scénario(i) personnel(s). 3. Développer le sens critique et autocritique de l étudiant par une critique circonstanciée de certains de ses choix de mise en scène et un encouragement à proposer d autres solutions, plus pertinentes et créatives. 4. Pousser l étudiant à développer un langage plastique et narratif accessible au public, par la lisibilité et la pertinence des codes de la mise en scène et de la narration visuelle choisis ou réinventés.

2 Jean Forrest 2 ème ARTS NUMERIQUES DESSIN ET MOYENS D EXPRESSION S T O R Y - B O A R D / N A R R A T I O N OBJECTIFS 1. Affiner chez l étudiant ses connaissances des codes de la narration visuelle et du dessin de story-board (après un apprentissage initial en 1 ère année). 2. Approfondir chez l étudiant ses capacités de communiquer clairement ses idées d auteur d histoires animées et de metteur en scène, à un public, de manière lisible, innovante, créative, en respectant et renouvelant les codes de la narration visuelle et du story-board. 3. Développer le sens critique et autocritique de l étudiant par rapport à ses choix de mise en scène. 4. Permettre à l étudiant de développer ses capacités créatives de réalisateur dans la conception narrative et visuelle d une mise en scène par la réalisation de story-boards d après divers scénarios. 5. Donner à l étudiant la capacité de montrer «sur papier» une la mise en scène créative et pertinente de son récit, tant au professeur qu à un producteur, réalisateur ou à une équipe d animateurs dans la vie professionnelle. PROGRAMME Au niveau graphique : Par l apprentissage théorique, la pratique du dessin et de la mise en scène, ainsi que par des recherches plus personnelles, l étudiant sera capable : 1. De développer sa faculté d expérimentation, de créativité en encourageant une démarche qui combine intuition et raison. 2. De créer des «sténoboards» (esquisses rapides de story-board), afin de mettre au point les grandes lignes du découpage en images du scénario découpé plan par plan. 3. De réaliser des story-boards, englobant tous les codes et toutes les facettes de l outil professionnel que le story-board est : une référence pour toute une équipe travaillant pour et autour de l animation. 4. De réaliser des dessins (personnages, décors, couleur ), lay-out ou key-frames préparant, complétant ou mettant en valeur le story-board. Remarque : le cours s appuiera sur d autres cours en parallèle (story-board/ mise en scène en 2 ème année) ou antérieurs (1 ère année). Au niveau narratif : Par l apprentissage théorique, la pratique des codes de la mise en scène, du story-board et du scénario, ainsi que par des recherches narratives plus personnelles, l étudiant sera capable : 1. Respecter une terminologie propre à l étude du story-board. 2. Maitriser et renouveler les codes du story-board, de la mise en scène et de la séquence d images. Apprentissage de la narration par des scénarii imposés et approfondissement par la création de scénario(i) personnel(s). 3. Développer son sens critique et autocritique par une critique circonstanciée de certains de ses choix de mise en scène et un encouragement à proposer d autres solutions, plus pertinentes et créatives. 4. Développer un langage plastique et narratif accessible au public, par la lisibilité et la pertinence des codes de la mise en scène et de la narration visuelle choisis ou réinventés.

3 MÉTHODOLOGIE Méthodologie propre à l enseignement artistique. 1. Une pédagogie centrée sur les compétences (méthodologie de l acquisition) est indiquée pour approcher les différents aspects de la création d œuvres personnelles et les spécificités complexes de l artiste. Savoirs (culturels, esthétiques, codes narratif et plastiques, ), savoirfaire (composer, cadrer, écrire un scénario, mettre en couleur ), savoir être (créatif, autocritiques, ). Les exercices «professionnellement crédibles» sont programmés selon un développement logique issu de la pratique professionnelle. 2. Enfin, une combinaison de diverses méthodes d apprentissage permet de faire le tour des aspects variés du métier d infographiste spécialisé dans l animation, à savoir : le concept intellectuel et l imaginaire, le littéraire et le visuel, la création personnelle et la grammaire commune des codes de la narration et de la mise en scène, la sensibilité et la rigueur, la prise de risque novatrice et la pertinence des moyens mis en œuvres pour communiquer avec le public. 3. Outre de la complémentarité des cours graphiques et des cours théoriques, ou des cours artistiques et des cours techniques, l essentiel est dans la pratique. Néanmoins celle-ci doit être encadrée par une méthodologie : cohérente ; concertée avec les cours connexes (transversalité et horizontalité) ; progressive dans sa complexité et son exigence ; ouverte et proactive en matière de recherches, expérimentations et de création ; plurielle, combinant : cours «théoriques» sur des matières spécifiques (séquence, raccord, couleur ), cours pratiques plus techniques pour les uns ou plus intuitifs pour les autres, critique critériée et continuée des travaux (la démarche évaluative continue sert le dialogue permanent entre professeur et étudiant) ; partiellement individualisée qui permet un suivi de chaque étudiant. 4. Une légère adaptation de la pédagogie à chaque classe s avère parfois nécessaire, tout en veillant à garder une ligne de conduite et un programme identiques.

4 Méthodologie d acquisition : Savoir : 1. Cours d analyse de story-boards, séquences narratives (cinéma, BD, animation). 2. Cours de théorie sur les codes du story-board (voir syllabus sur le story-board d animation européenne fourni en 1 ère année) et de la séquence, ainsi que sur la couleur (sur papier). 3. Ouverture de l esprit et prise de risques bien gérée, pertinente et novatrices permettront un renouvellement du langage personnel de l étudiant. 4. Développer le sens critique et autocritique de l étudiant par une critique circonstanciée de certains de ses choix de mise en scène et un encouragement à proposer d autres solutions, plus pertinentes et créatives. 5. Commentaires ciblés et, en relation avec les travaux : des sources de documentation, de réflexion, d imagination, des références littéraires, cinématographiques, BD, illustration, des pistes de démarches, de méthodes de travail, de recherches, nourrissent et forment l esprit. Savoir-faire : Cours pratiques où l étudiant sera capable de : 1. élaborer de récits personnels et/ou en adapter (aapprentissage de la narration par des scénarii imposés et approfondissement de la création de scénario(i) personnel(s) ; 2. développer sa faculté d expérimentation et sa créativité, par l encourageant une démarche qui combine intuition et raison ; 3. maitriser et renouveler les codes du story-board, de la mise en scène et de la séquence d images ; 4. respecter une terminologie propre à l étude du story-board ; 5. réaliser des dessins (personnages, décors, couleur ), lay-out ou key-frames préparant, complétant ou mettant en valeur le story-board ; 6. créer des «sténoboards» (esquisses rapides de story-board), afin de mettre au point les grandes lignes du découpage en images du scénario découpé plan par plan ; 7. réaliser des story-boards, englobant tous les codes et toutes les facettes de l outil professionnel que le story-board est : une référence pour toute une équipe travaillant pour et autour de l animation ; 8. développer un langage plastique et narratif accessible au public, par la lisibilité et la pertinence des codes de la mise en scène et de la narration visuelle choisis ou réinventés. Savoir être : 1. Assiduité au cours et dans le travail. 2. Respect de la commande et des délais. 3. Respect de la critique et des commentaires. 4. Esprit de recherche et de créativité. 5. Exploitation de son sens critique et autocritique pour avancer et se renouveler.

5 EVALUATION Type d évaluation : Il s agît d une évaluation critériée et continuée. Les critères de qualité sont annoncés de manière continue : lors de la présentation de l exercice, ainsi que dans les documents développant tous les aspects de l exercice (thème, description, scénario, commande, formats, techniques, supports et éphémérides servant d échéancier) ; lors des cours pratiques, via les commentaires et critiques des travaux ; lors des cours plus «théoriques», donnés à partir d œuvres imagées et narratives Critères d évaluation : Ces critères sont spécifiques aux différents aspects du travail. L aspect narratif : le respect de la lisibilité du scénario par un «lecteur lambda» ; l intérêt créatif de l interprétation graphique du scénario ; la qualité et la créativité de la mise en scène (lisibilité et originalité des images et des séquences, des codes de la narration visuelle, cadrages, couleurs L aspect graphique : la qualité et la créativité du dessin, de sa lisibilité, de son aspect personnel ; la qualité et la créativité de la composition de la mise en scène ; la qualité et la créativité des couleurs, lumières, encrages ; L aspect pédagogique : l assiduité et le respect impératif des délais; la capacité de recherche, de travail, d amélioration et de finition d un travail ; la réceptivité à la critique et la capacité de rebondir pour aller plus loin ; l évolution de la créativité, de l autocritique et de la démarche personnelle. Pondération des différents critères : En fonction de ce qui précède, 30 % est accordé à chacun des trois aspects précités. Une Remarques et nuances : cote indicative (issue des cotations des travaux successifs) est donnée en fin de premier quadrimestre. La cote définitive est donnée en juin. Une œuvre est un tout indissociable. Un lecteur, spectateur «lambda» juge un résultat final de manière globale d abord, dans le détail ensuite, et enfin dans la cohérence du tout. Il est très difficile de mathématiquement ce que «vaut» chaque strate de l œuvre. Pédagogiquement, il faut tenir compte du travail qui est derrière, et de toute la démarche qui sous-tend le travail de l année. Remarques importantes: Un travail non vu régulièrement dans son évolution, un travail qui n a pas pu être commenté et qui n a pas bénéficié de l apport pédagogique de l enseignant, par la faute de l étudiant (absences injustifiées répétées ) est refusé. Il ne s agît pas de cours par correspondance ou de jury jugeant un résultat final. De même, un travail incomplet, non remis à temps, est coté sévèrement. La préparation d un travail compte, mais sans œuvre finalisée et matériellement présente lors de la cotation, l évaluation du résultat n est pas possible (en regard des travaux complets et finis dans les délais). Un travail manquant sans justification valable est noté 0/20. Les remédiassions restent néanmoins possibles.