ÉTUDE TRIMESTRIELLE Direction des Études

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1 creditfoncierimmobilier.fr ÉTUDE TRIMESTRIELLE Direction des Études Mai 2016 Point de conjoncture logement LE RÉVEIL Après une année de reprise progressive, la combinaison de divers facteurs favorables devrait permettre au marché résidentiel, en 2016, d émerger d une torpeur qui a duré trois ans. Dans un contexte économique toujours fragile, la demande demeure au cœur de la reprise de la croissance en zone euro. La faiblesse des prix du pétrole, le coût du crédit exceptionnellement bas et un taux de change favorable à l euro plaident en faveur de cette reprise. Au plan mondial, ces bonnes conditions pourraient, toutefois, être contrariées par une économie chinoise en phase de ralentissement, par une croissance américaine qui faiblit, par les turbulences qui affectent les pays émergents, et par les risques géopolitiques qui alimentent un climat d incertitude. En France, la croissance du PIB a atteint 1,1 % en 2015, et les projections pour 2016 varient, selon les prévisionnistes, de 1,3 % (Commission européenne, FMI) à 1,5 % (Insee). Cela reste encore faible, mais un vent d optimisme souffle sur les anticipations d évolution économique, porté par une consommation des ménages en hausse, un moral de ceux-ci qui s est amélioré, un climat des affaires encore stable mais à 1 point au-dessus de son niveau de long terme et, enfin, par un taux de chômage à 10 % au quatrième trimestre 2015, en très légère baisse (0,1 point) sur un an. En 2015, la forte production de crédits à l habitat a valu au marché du financement de dépasser sa moyenne décennale de volume d activité et d accompagner le redémarrage du marché résidentiel. Les conditions de taux, encore en baisse fin mars 2016, entretiennent cette vitalité qui devrait perdurer, grâce à des taux d intérêt bas sur le reste de l année. La réforme du prêt à taux zéro, en soutien de l accession sociale à la propriété, est également de nature à stimuler l activité immobilière, tant dans le neuf que dans l ancien. La hausse du volume des ventes de logements anciens en 2015 devrait se poursuivre en 2016, mais à un rythme probablement moins soutenu. Le marché locatif privé, qui occupe une place importante dans l équilibre du marché résidentiel, accuse un léger repli d activité en début d année. Il conserve des zones de fragilité structurelles, notamment sur les territoires où persistent des déséquilibres entre demande et offre locative privée. Si l immobilier résidentiel français retrouve globalement une meilleure orientation et de nouvelles perspectives de croissance, localement, il dépend fortement des évolutions économiques territoriales. La croissance économique française s accompagne d un phénomène de polarisation autour de quelques grandes villes très dynamiques qui concentrent l essentiel de l attractivité. Le réveil du logement s annonce, mais tous les marchés ne peuvent aligner les mêmes atouts. Ils connaissent, en effet, des rythmes d activité et des évolutions de prix différentes selon la proximité géographique des pôles urbains, qui attirent tout à la fois les entreprises, les investissements et les ressources humaines, dont le brassage fournit le terreau des marchés résidentiels locaux. Le marché du neuf est sorti progressivement de la crise en cours d année 2015 ; le début de 2016 est prometteur pour la construction de logements, alors que le bilan 2015 des ventes de logements neufs produits par le secteur de la promotion immobilière s est révélé plus que positif. De son côté, le marché de l habitat individuel en secteur diffus a rebondi en 2015, et l activité s inscrit encore dans une tendance positive début 2016.

2 Point de conjoncture logement IMMOBILIER ANCIEN ACTIVITÉ DU MARCHÉ DE L ANCIEN EN 2015 ET DÉBUT 2016 ÉVOLUTION DES PRIX DE VENTE DANS L ANCIEN La hausse du volume des ventes de logements anciens en 2015 devrait se poursuivre en 2016, mais à un rythme plus modéré. En 2015, le nombre de logements anciens vendus a progressé de 15,7 % par rapport à 2014, année qui restera dans les mémoires comme une année de transition atone. Au total, environ logements anciens se sont échangés en France, selon une clé de répartition assez stable entre l Îlede-France (19 % des transactions) et la province (environ 81 %). Le marché de l ancien a donc retrouvé une partie de son dynamisme, avec une activité supérieure de 8 % à la moyenne décennale, plus très loin des volumes antérieurs à la crise de 2008 (près de ventes annuelles). Début 2016, le rythme d activité reste soutenu, tant en Île-de- France (+ 29 % de logements anciens échangés au cours de la période courant de novembre 2015 à janvier 2016, comparée à la même période un an auparavant), que dans la moyenne des autres régions. À fin février 2016, les ventes d appartements et de maisons anciennes, cumulées sur une année glissante, sont désormais estimées à logements. ACTIVITÉ DU MARCHÉ RÉSIDENTIEL DANS L ANCIEN NOMBRE DE VENTES ANNUELLES DE LOGEMENTS (Sources : CFI Études / Notaires IdF / Insee / CGEDD.) ACTIVITÉ EN ÎLE-DE-FRANCE (Sources : CFI Études / Notaires IdF / Insee / CGEDD, avril 2016.) Novembre 2015 à janvier 2016 Appartements Évolution annuelle (1) (prév.) Maisons Évolution annuelle (1) Paris % NS NS Petite Couronne % % Grande Couronne % % PRIX DANS L ANCIEN (Sources : Insee, Notaire d Île-de-France / Base Bien, Notaires de France / Perval, Études CFI, février 2016.) Novembre 2015 janvier 2016 Appartements prix au m² Variation annuelle (1) Maisons prix à l unité Variation annuelle (1) Paris ,8 % NS NS Petite Couronne ,8 % ,2 % Grande Couronne ,4 % ,5 % (1) Nov à janv / Nov à janv e trimestre 2015 variation annuelle moyenne des prix ( %) Appartements Maisons Île-de-France 1,0 % 0,2 % Province 0,6 % + 0,7 % Les tendances observées en 2015 et début 2016 sur les prix moyens reflètent de faibles ajustements. Au quatrième trimestre 2015, en moyenne les prix ont varié faiblement, entre 1 % et + 0,7 %. Ils sont restés quasiment stables aussi bien en Île-de-France qu en province. Sur un an, le prix des appartements a diminué en moyenne de 1,0 % en Île-de-France, et de 0,2 % pour les maisons individuelles. En province, la tendance est respectivement de 0,6 % et + 0,7 %. Malgré le peu de recul depuis le début de l année 2016, les dernières informations publiées, tant par les Notaires d Île-de-France (données statistiques arrêtées à fin janvier 2016) que par l Observatoire des Prix de l Immobilier du secteur privé (Base LPI / Les Prix de l Immobilier, données arrêtées à fin février 2016), reflètent des tendances de prix toujours de faible ampleur, en variation moyenne annuelle. Par contre, les tendances demeurent contrastées, observées au niveau des territoires. À quelques exceptions près, les prix restent relativement stables dans la majorité des villes de plus de habitants (entre + 3 % et 3 % en variation annuelle/source : Observatoire LPI). Quelques villes enregistrent d importantes fluctuations de prix moyens, comme Tours, Brest, Toulon ou Perpignan, où les baisses s échelonnent de 4,5 % à 10,5 %. À l inverse, et probablement par effet de rattrapage, à Limoges, Nîmes ou Saint-Étienne, les prix moyens progressent de + 8 % et au-delà. À l exception de Toulon, ces marchés plus volatils font partie de ceux qui présentent un volume d activité inférieur à la moyenne des grandes villes. Île-de-France % % (1) Nov à janv / nov à janv ÉTUDE DE CRÉDIT FONCIER IMMOBILIER MAI

3 LE RÉVEIL Il demeure que les tendances statistiques nationales ou régionales reflètent surtout les tendances des secteurs véritablement actifs. Or, ces dernières années ont été marquées par la concentration de l activité immobilière dans les zones géographiques qui constituent des pôles majeurs d attractivité pour les ménages, et qui offrent des opportunités économiques réelles. Les territoires qui ont le plus durement souffert de la crise économique sont à l évidence les zones rurales et les aires urbaines en déclin économique et démographique. Des pans entiers du territoire national se trouvent ainsi atteints par la contraction inexorable de l activité immobilière, les perspectives locales d emploi et de revenus devenant progressivement insuffisantes pour inciter les ménages à s engager dans des projets immobiliers. À l inverse, les marchés qui bénéficient de solides fondamentaux ont retrouvé en 2015 plus de fluidité, soutenus également par un accès facile au crédit à l habitat, dans les conditions de taux très bas qui ont prévalu tout au long de l année. En témoignent l amélioration des délais de réalisation des ventes, constatée par les réseaux d agences et les différents observatoires des marchés immobiliers, et le resserrement des mages de négociation en particulier sur les marchés les plus fluides en Île-de-France, Rhône- Alpes, Languedoc-Roussillon ou Midi-Pyrénées. QUELQUES INDICATEURS SUR LES TERRITOIRES En France métropolitaine, selon les derniers chiffres publiés sur le recensement de la population, 54 % des communes comptaient moins de 500 habitants au 1 er janvier Soit petites communes qui regroupaient 4,5 millions d habitants, représentant 7 % de la population résidant en France. Ensemble, ces communes de France hébergent autant d habitants que les cinq plus grandes villes : Paris, Marseille, Lyon Toulouse et Nice. On peut, sans risque d erreur, affirmer que plus de la moitié des communes françaises offrent ainsi des marchés immobiliers si étroits qu elles n influencent pratiquement pas les statistiques d évolution des prix immobiliers. IMMOBILIER NEUF PRODUCTION DE LOGEMENTS À FIN FÉVRIER 2016 (FRANCE ENTIÈRE) Un début d année plus que prometteur pour la construction de logements. Après une phase dépressive d environ trois ans, la production de logements reprend en douceur depuis fin Ce redémarrage se traduit à la fois par une hausse des logements autorisés, bien plus nette depuis le début de l année, et par une augmentation constante du nombre de mises en chantier de logements collectifs (hors logements en résidence). CONSTRUCTIONS NEUVES (Sources : SOeS, Sit@del2 (mars 2016), estimations à fin février.) Logements construits en février 2016 Nb de logements autorisés Depuis 1 an Évolution 12 mois glissants (1) Nb de mises en chantier Depuis 1 an Évolution 12 mois glissants (1) Individuels purs ,1 % ,3 % Individuels groupés ,7 % ,1 % Collectifs ,8 % ,7 % En résidence ,5 % ,9 % Total ,7 % ,5 % (1) Douze derniers mois par rapport aux douze mois précédents. Dans l ensemble, logements ont été mis en chantier sur un an glissant, à fin février 2016, progressant de 2,5 %. Les mises en chantier de logements collectifs (hors logements en résidence) progressent de 7,7 % alors qu étonnamment, elles reculent d un peu plus de 2 % pour les logements individuels. Les autorisations de construire ont porté, quant à elles, sur unités, en progression annuelle de 7,7 %. L indicateur d activité future que constitue le nombre de permis de construire délivrés est positif pour ce début 2016, et concourt à estimer que l amélioration de la production de logements est sur les rails. La hausse des autorisations a été plus forte pour les logements collectifs (+ 11,8 % et + 10,5 % pour les logements en résidences), que pour les logements individuels (autour de 2,3 %). Mais, compte tenu de l inertie du cycle de production, le nombre de logements qui viendra alimenter l offre neuve ne progressera que lentement dans les prochains mois. CONSTRUCTION DE LOGEMENTS À FIN FÉVRIER 2016 (Sources : CGEDD, SOeS, Sit@del2 Mars 2016.) Logements cumulés sur un an glissant Autorisés Commencés /m Déc Avr Août 2012 Déc Avr Août 2013 Déc Avr Août 2013 Déc Avr Août 2014 Déc Avr Août 2015 Déc Fév ÉTUDE DE CRÉDIT FONCIER IMMOBILIER MAI 2016

4 Point de conjoncture logement COMMERCIALISATION DES LOGEMENTS NEUFS AU QUATRIÈME TRIMESTRE 2015 Un bilan 2015 très positif pour les ventes de logements neufs dans le secteur de la promotion immobilière. PROMOTION IMMOBILIÈRE (Sources : Études CFI/SOeS, ECLN, FPI, février 2016.) Appartements Maisons (habitat groupé) Ensemble des logements neufs T Nombre Variation annuelle Nombre Variation annuelle Nombre Variation annuelle Total des ventes ,2 % ,9 % ,1 % Total des mises en vente ,6 % ,0 % ,2 % L activité mesurée par le nombre de logements neufs réservés au cours du quatrième trimestre 2015 ( logements) dépasse de 8,1 % le nombre de réservations du quatrième trimestre En 2015, le nombre total de réservations s est élevé à logements, soit 17,9 % de plus qu en La hausse des ventes d appartements (+ 8,2 %) au quatrième trimestre 2015 est encore plus forte que celle des maisons individuelles en secteur groupé (+ 6,9 %). Les ventes à investisseurs privés ont largement stimulé la commercialisation de logements neufs : en 2015, les réservations d appartements d une pièce, produit phare pour les investisseurs particuliers, ont augmenté de 26 %. Les réservations d appartements de deux pièces n ont pu suivre un tel rythme, mais ont fortement progressé, de leur côté (19,5 %). Pour autant, la tendance haussière a également touché les réservations d appartements plus familiaux, celles des trois pièces ont progressé de 18,1 % et celles des appartements de quatre pièces de 12,3 %. NOMBRE DE LOGEMENTS PROPOSÉS À LA VENTE EN FIN DE QUATRIÈME TRIMESTRE 2015 (PROMOTION IMMOBILIÈRE) (Sources : Études CFI/SOeS, ECLN, février 2016.) MOIS T ,5 22,1 T T T T ,2 T Stock en mois de commercialisation T T T T T T T T T T Encours de logements proposés à la vente à la fin du trimestre VOLUME En vigueur depuis le tout début de 2016, la réforme du PTZ, dans le sens d un élargissement des critères d éligibilité (augmentation des plafonds de revenus) et d une solvabilité accrue des emprunteurs (possibilité de différer de cinq, dix ou quinze ans le remboursement du prêt selon les revenus), contribuera à stimuler les ventes. Par ailleurs, les mises en vente ont atteint en 2015 le seuil des logements, et progressent de 7,2 %. Les mises en vente d appartements d une pièce ont augmenté de 13,9 % sur un an, de 11,8 % pour les appartements de deux pièces, de 5,7 % pour ceux de 3 pièces, alors que celles des appartements de quatre pièces sont stables avec + 0,9 %. Grâce à la reprise des ventes de logements neufs, l encours global des logements proposés à la vente continue de se résorber, pour atteindre fin 2015 moins de logements. En rapportant ce stock aux rythmes actuels de vente, il faudrait à peu près onze mois de commercialisation pour l écouler en totalité, ce qui reste un ratio élevé mais en voie d amélioration. ÉTUDE DE CRÉDIT FONCIER IMMOBILIER MAI

5 LE RÉVEIL COMMERCIALISATION DE LOGEMENTS NEUFS (PROMOTION IMMOBILIÈRE) (Sources : SOeS, ECLN / Direction des Études Crédit Foncier Immobilier.) Nord-Pas-de-Calais Picardie En 2015, sur la carte des treize nouvelles régions quatre d entre elles se détachent comme étant les plus dynamiques (Île-de-France, Auvergne/Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte d Azur et Languedoc- Roussillon/Midi-Pyrénées). Elles ont totalisé 64 % des réservations, tous types de logements confondus. Sur l ensemble, c est toujours le logement collectif qui stimule ce marché, avec 92 % des réservations enregistrées. L activité a été comprise entre et réservations sur l année pour les régions Aquitaine/Limousin/Poitou-Charentes, Pays de la Loire, Alsace/Champagne-Ardenne/Lorraine et Nord Pas-de-Calais/Picardie. Enfin, la Bretagne, la Normandie, la Bourgogne-Franche-Comté, le Centre-Val-de-Loire et la Corse ont recensé chacune entre et réservations sur un an, pesant ensemble 11,5 % de l activité totale en France métropolitaine. n De à n De à n De à n De à n De à Carte réalisée avec cartes et données Articque Bretagne Normandie Pays de la Loire Aquitaine Limousin Poitou-Charentes Île-de-France Centre Val de Loire Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées Alsace Champagne-Ardenne Lorraine Bourgogne Franche-Comté Auvergne Rhône-Alpes Provence-Alpes-Côte d Azur Corse Les prix des logements neufs proposés par les promoteurs immobiliers restent élevés pour les ménages, dont le pouvoir d achat s est érodé depuis plus de dix ans. Le niveau actuel des prix de vente est la résultante de plusieurs facteurs structurels, notamment la multiplication des normes de construction visant à améliorer l habitat, l inflation des prix du foncier liée à sa rareté en secteur urbain, des coûts de construction en collectif toujours élevés. Les prix oscillent depuis 2012 entre et le m² pour les appartements, et entre et pour les maisons, et paraissent se maintenir sur longue période dans un effet «tunnel». À la fin du quatrième trimestre, le prix moyen des appartements s élève à du m², en quasi-stagnation. Celui des maisons neuves en secteur groupé atteint en moyenne en légère hausse (+ 1,4 %) par rapport au quatrième trimestre Ces évolutions très modestes ne semblent pas, en soi, révéler une tendance quelconque. MARCHÉ DE L HABITAT NEUF EN SECTEUR DIFFUS Le rebond longtemps attendu. Tombé sous le seuil des ventes annuelles pendant deux ans, le marché de l habitat individuel en secteur diffus a rebondi en 2015 et, au début 2016, l orientation dépressive qui affectait l habitat neuf en secteur diffus semble enfin s inverser. S adressant plutôt à une clientèle de ménages modestes et de primoaccédants, ce segment du marché résidentiel neuf devrait bénéficier à plein de la réforme du prêt à taux zéro (PTZ). Visant à favoriser l accession sociale à la propriété des ménages modestes, la loi de finances pour 2016 (art. 107) a simplifié et élargi le PTZ. Notamment, ce dispositif permet de financer jusqu à 40 % de l achat d un logement dans le neuf. Plus de ménages peuvent en bénéficier grâce au relèvement des plafonds de revenus. Avec la possibilité de différer le remboursement du prêt de cinq, dix ou quinze ans selon les revenus, le PTZ révisé devrait améliorer la solvabilité des emprunteurs. ÉVOLUTION DES PRIX DE VENTE DES LOGEMENTS NEUFS (PRIX MOYEN À LA RÉSERVATION EN ) (Sources : SOeS, ECLN, Crédit Foncier Immobilier, février 2016 Données portant sur des programmes de cinq logements et plus destinés à la vente aux particuliers, hors secteur diffus.) T T T T T T T T Prix des maisons en à l unité T T T T T T T INDICATEURS D ACTIVITÉ SUR LE MARCHÉ DE L HABITAT INDIVIDUEL DIFFUS Nb estimé sur un an glissant à fin février Ventes annuelles /m 2 + 1,0 % ,4 % T T T T T T (prév.) Prix des appartements en /m 2 INDICATEURS D ACTIVITÉ SUR LE MARCHÉ DE L HABITAT INDIVIDUEL DIFFUS (Sources : CFI Études/UMF/Markemetron Bulletin février 2016.) Évolution des ventes de maisons individuelles en secteur diffus % ,1 % 21,3 % 2 % 10,8 % 9 % ,2 % 1,5 % (prév.) Indicateur calculé à partir des statistiques réalisées sur un échantillon de constructeurs de maisons individuelles, pondérées. Les données sont extrapolées sur cet échantillon représentatif des constructeurs du marché global de la maison individuelle en diffus pour réaliser une estimation France entière Évolution annuelle ,4 % 12,9 % ÉTUDE DE CRÉDIT FONCIER IMMOBILIER MAI 2016

6 Point de conjoncture logement LE MARCHÉ DU FINANCEMENT DE L HABITAT La forte production de crédits à l habitat en 2015 a permis au marché du financement de dépasser sa moyenne décennale en volume d activité, sans toutefois rattraper les meilleures années. En 2015, la production de crédit à l habitat est en hausse de 29,2 % à 144,2 Md e (hors crédits travaux). Le marché du financement de l habitat a bénéficié d une reprise conjuguée du marché du neuf (ventes des promoteurs et des constructeurs de maisons individuelles) et du marché de l ancien, dont le nombre de ventes de logements a progressé de 15,7 %. La distribution des crédits à l habitat a surtout été boostée par des taux de crédit restés bas toute l année, et qui ont même connu une nouvelle baisse dès novembre VOLUMES DE CRÉDIT À L HABITAT (Sources : OFL/CSA/BDF/OPCI, Études CFI novembre 2015.) Montants engagés (Md ) en ,6 Md 83,9 27, % + 37 % 151,5 Md 106,9 37,3 8 9 % 0 7, Travaux seuls Immobilier neuf Immobilier ancien (5) Montants engagés sur un an : crédits qui ont fait l objet d un accord formalisé du client. Hors rachats et renégociations. En mars 2016, le taux moyen du crédit à l habitat (hors assurances et coûts liés aux garanties) est tombé à 1,97 %, conséquence directe d un contexte financier très atypique : des conditions de refinancement de la Banque centrale européenne exceptionnelles, qui poursuit sa politique de quantitative easing ; des capitaux et ressources à placer dans l immobilier abondants, alors que les autres produits de placement n offrent que des rendements très réduits ; l OAT 10 ans en baisse quasi constante depuis le début de l année, autour de 0,50 % en avril Dans le même temps, les durées moyennes des prêts à l habitat accordés par les banques ont eu tendance à s allonger, en 2015, par rapport à 2014, ce qui a sans doute permis à plus de ménages de revenir sur le marché de l accession. En 2015, la hausse de la production de crédits engagés (offres de prêts signées par les clients) a autant profité au marché de l ancien, qui représente 74,1 % des crédits à l habitat distribués, qu au marché du neuf, qui en représente 25,9 %. Le marché des crédits travaux à l habitat a reculé, par ailleurs, de 8,7 % en un an. MARCHÉ LOCATIF Toujours des fragilités. Le secteur locatif privé occupe une place importante dans l équilibre du marché résidentiel. Alors que, sur le parc total de logements, on dénombre 28,8 millions de résidences principales en France, 42 % sont occupées par des locataires. Les locataires du secteur libre représentent 56 % du total des 12,2 millions de locataires. En 2015, le redressement de l activité du marché locatif résidentiel privé entamé en 2014 s est confirmé. Cette activité, déterminée à partir d un taux de mobilité résidentielle (proportion de logements du secteur locatif privé remis chaque année sur le marché, sachant que les logements disponibles à la location proviennent pour plus de 95 % d une relocation, source Clameur), a atteint 30,2 %. Au final, sur l ensemble de l année dernière, l activité du marché locatif privé a progressé de 11,9 %. Depuis le début de l année 2016, l activité est en repli. Cette tendance est normalement récurrente pendant la saison hivernale, mais, au chiffre de 26,8 % à fin février, la mobilité accuse un recul de 7,3 % par rapport au niveau observé début Les délais moyens de remise en location ont eu tendance à s allonger, ces dernières années, traduisant le niveau de la vacance locative, tandis que dans les zones tendues, la demande excède largement les capacités de l offre. Début 2016, la durée de la vacance locative tend à reculer lentement et inégalement selon les régions. Les exigences des candidats à la location sur l état du logement (niveau des prestations, isolation, ) s accroissent, alors que l offre de produits neufs, poussée par les dispositifs de défiscalisation, impacte le marché de l ancien, et donc de la relocation. Conséquence d une rentabilité des investissements locatifs résidentiels déjà faible et orientée à la baisse, les efforts d amélioration et d entretien (indicateur mesurant la part de logements locatifs remis sur le marché après réalisation de gros travaux d amélioration, c est-à-dire, hormis les petits travaux de réparation et de rafraîchissement) se réduisent régulièrement. En 2015, les loyers de marché (mesurés par Clameur à partir des loyers de relocation ou de location nouvelle) ont eu tendance à baisser dans de nombreux secteurs, l évolution globale s inscrivant à 1,1 %. Tout début 2016, ils demeurent orientés à la baisse avec une variation annuelle globale de 0,8 % à fin février. Les loyers ont reculé ou stagné dans la majorité des régions françaises, avec des niveaux très contrastés. Les loyers moyens les plus élevés (entre 11,40 et 18,60 le m² par mois) s observent en Île-de-France, dans le Nord Pas-de- Calais, la région Rhône-Alpes et en Provence-Alpes-Côte d Azur. La Lorraine, la Franche-Comté, le Limousin et l Auvergne ferment la marche avec des niveaux de loyers inférieurs à 9,50 le m² par mois. ÉTUDE DE CRÉDIT FONCIER IMMOBILIER MAI

7 LE RÉVEIL PERSPECTIVES De l orange au vert pâle. Les quelques signaux favorables envoyés par l économie nationale auront un impact favorable sur le marché résidentiel de 2016 : les ménages, un peu moins pessimistes que ces derniers mois, seront plus nombreux à s engager dans des opérations immobilières facilitées par des taux de crédit toujours plus bas, et sans perspective de remontée significative au cours des prochains mois. La politique publique d aide au logement, engagée en 2014, et qui se traduit par des dispositifs d aide à l accession et à l investissement locatif (dont le Pinel prolongé jusqu en 2017) contribuera à soutenir cet élan. Le redressement de l économie française en 2016 devrait s inscrire dans un rythme lent mais avec un taux de croissance du PIB qui pourrait être supérieur à celui de l an passé, entre 1,3 et 1,5 %. Le secteur de la construction pourrait de nouveau contribuer positivement au PIB grâce à la reprise progressive des mises en chantier de logements neufs. Les anticipations des promoteurs immobiliers s améliorent lentement. Les prix à la consommation et l inflation devraient continuer de fluctuer légèrement, en 2016, et ne pas impacter négativement la consommation des ménages, qui progresse doucement et qui constitue toujours le principal moteur de la croissance économique. Les chefs d entreprise de l industrie prévoient une hausse de l investissement en 2016, après un léger repli en La croissance de l emploi est dépendante de la reprise d activité et le marché du travail devrait mettre plus de temps à se rétablir. Toutefois, au quatrième trimestre 2015, l emploi salarié a très légèrement augmenté (+ 0,5 %) dans les secteurs principalement marchands. Dans le secteur tertiaire, sur un an, l intérim a été très dynamique (+ 9,4 %) et, au total, le secteur tertiaire marchand a créé emplois (soit + 1,3 %). Les derniers chiffres publiés le 26 avril 2016 par Pôle emploi/ Dares présentent une baisse modeste du nombre de demandeurs d emploi (toutes catégories confondues) de 0,4 % sur le premier trimestre Le moral des ménages est résistant, mais encore inférieur à sa moyenne de longue période. La Banque centrale européenne poursuit sa politique de quantitative easing en Europe et contribue à maintenir les taux d intérêt à des niveaux très faibles. Sans atteindre le même rythme d évolution qu en 2015, la vitalité du marché du financement à l habitat devrait se maintenir en 2016, notamment grâce aux conditions d accès au crédit qui devraient rester très favorables. En outre, la réforme du prêt à taux zéro depuis le 1 er janvier devrait soutenir également les marchés du neuf et de l ancien, et encourager les ménages modestes et les primo-accédants à se lancer dans des opérations immobilières. INDICATEUR DU MARCHÉ RÉSIDENTIEL FRANCE (Sources : modèle Fanie, Sitadel2, DAEI/SOES/Aerel, OPCI, Crédit Logement-CSA, CFI Études.) Marché résidentiel France indicateurs / / / / / (prév.) Nombre de logements mis en chantier ,9 % ,7 % ,2 % ,4 % ,7 % Destinés à la location ,1 % ,7 % ,1 % ,7 % ,9 % Destinés à l accession ,4 % ,8 % ,8 % ,6 % ,2 % Résidences secondaires ,2 % ,7 % ,4 % ,7 % ,4 % Logements collectifs ,1 % ,0 % ,5 % ,8 % ,4 % Logements individuels ,7 % ,7 % ,2 % ,5 % ,3 % Opérations immobilières privées (nombre estimé) Ventes de logements neufs Transactions dans l ancien Crédits à l habitat montants (k ) ,6 % ,4 % ,9 % ,8 % ,3 % ,6 % ,0 % ,9 % ,0 % ,7 % ,9 % ,7 % ,1 % ,7 % ,6 % ,2 % ,1 % ,3 % ,7 % ,3 % Logements neufs (k ) ,1 % ,4 % ,7 % ,7 % ,6 % Logements anciens (k ) ,4 % ,4 % ,7 % ,4 % ,8 % Travaux à l habitat (k ) ,4 % ,9 % ,8 % ,8 % ,6 % ÉTUDE DE CRÉDIT FONCIER IMMOBILIER MAI 2016

8 Crédit Foncier Immobilier accompagne les grands propriétaires, professionnels de l immobilier, établissements financiers et particuliers, dans leurs projets immobiliers et la valorisation de leur patrimoine. CONTACTS CRÉDIT FONCIER IMMOBILIER CONSEIL, EXPERTISE ET ÉTUDES Anne-Marguerite Gascard, directeur général Tél. : anne-marguerite.gascard@creditfoncierimmobilier.fr ÉTUDES Emmanuel Ducasse, directeur Tél. : emmanuel.ducasse@creditfoncierimmobilier.fr Isabelle Friquet-Lepage, Responsable développement études Tél. : isabelle.friquet-lepage@creditfoncierimmobilier.fr CONSEIL & AUDIT Sébastien Boussuge, directeur Tél. : sebastien.boussuge@creditfoncierimmobilier.fr CRÉDIT FONCIER IMMOBILIER EXPERTISE Philippe Taravella, directeur général Tél. : philippe.taravella@creditfoncierimmobilier.fr CRÉDIT FONCIER IMMOBILIER ESTIMATION Richard Walter, directeur général Tél. : richard.walter@creditfoncierimmobilier.fr COMMERCIALISATION Olivier Boussard, directeur général délégué Tél. : olivier.boussard@creditfoncierimmobilier.fr CAPITAL MARKETS Gilles Pruvost, directeur Tél. : gilles.pruvost@creditfoncierimmobilier.fr BUREAUX Olivier Boussard, directeur général délégué Tél. : olivier.boussard@creditfoncierimmobilier.fr RÉSIDENTIEL Nicolas de Bucy, directeur Tél. : nicolas.debucy@creditfoncierimmobilier.fr Grégory Moreaux, directeur adjoint Tél. : gregory.moreaux@creditfoncierimmobilier.fr LOCATION Antoine Delmaille, responsable service location Tél. : antoine.delmaille@creditfoncierimmobilier.fr LILLE ROUEN PARIS NANCY RENNES TOURS DIJON NANTES LYON BORDEAUX CHAMBÉRY 15 IMPLANTATIONS, AUTANT DE MARQUES D ATTENTION Toutes nos études de marché locales sont consultables sur : professionnels/publications TOULOUSE MONTPELLIER MARSEILLE NICE Toute référence, reproduction ou diffusion, totale ou partielle, du présent document et des informations qui y figurent, vis-à-vis de tiers, quels qu ils soient, est interdite sauf accord préalable de Crédit Foncier Immobilier. La présente étude représente la vision de Crédit Foncier Immobilier sur le marché spécifique abordé et selon les informations disponibles à la date de rédaction. Notre responsabilité ne saurait être engagée en aucune manière en cas de pertes, dommages, coûts ou dépenses subis suite à l utilisation de ces informations. Crédit Foncier Immobilier siège social : 19 rue des Capucines Paris. RCS Paris Conception-réalisation :.

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