Contrôle sanitaire des Eaux Destinées à la Consommation Humaine à Paris

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1 Paris, le 1 juillet 2013 AGENCE REGIONALE DE SANTE D ILE-DE-FRANCE Délégation territoriale de Paris Contrôle sanitaire des Eaux Destinées à la Consommation Humaine à Paris Année 2012 Page 1/18

2 I. INFORMATIONS GENERALES SUR LE CONTROLE SANITAIRE DES EAUX DE PARIS I.1. La production de l'eau destinée à la consommation humaine La production regroupe les activités de captage dans le milieu naturel d'eaux souterraines et superficielles, ainsi que le traitement et le transport des eaux jusqu'à Paris. La ville de Paris a confié depuis 2009, ce service à la régie municipale autonome «Eau de Paris». I.2. La distribution des eaux aux consommateurs parisiens Depuis les réservoirs jusqu'aux robinets des consommateurs, l'eau destinée à la consommation humaine est acheminée par des réseaux de distribution dont l'entretien et l'exploitation sont à la charge de la régie municipale Eau de Paris, depuis le 1 er janvier Cette régie est également chargée des relations contractuelles avec les abonnés du service de distribution et les consommateurs. I.3. Contrôle sanitaire des eaux de Paris Le suivi de la qualité des eaux destinées à la consommation humaine dans le cadre du contrôle sanitaire est exercé par la délégation territoriale de Paris de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France. Les prélèvements et les analyses ont été réalisés en 2012 par le laboratoire CARSO-LSEHL. Ce laboratoire, agréé par le ministère en charge de la santé et accrédité par le COFRAC (Comité Français d Accréditation), est actuellement titulaire du marché public pour le contrôle sanitaire des eaux destinées à la consommation humaine à Paris. Les modalités du contrôle sanitaire des eaux sont définies notamment par les articles R et suivants du code de la santé publique, relatifs aux eaux destinées à la consommation humaine à l'exclusion des eaux minérales naturelles. Ce contrôle a fait l objet de mesures complémentaires par décision du directeur général de Agence Régionale de Santé d Ile-de-France n 2011/DT75/146 du 11 mai 2011 définissant les lieux de prélèvement pour la réalisation du contrôle sanitaire des eaux destinées à la consommation humaine à Paris. En moyenne, environ 9 prélèvements d'échantillons d'eau sont analysés quotidiennement sur les points suivants : - à la ressource, - au point de mise en distribution (en production après traitement de potabilisation), - en distribution aux points de conformité visés à l article R du code de la santé publique (pour les eaux fournies par un réseau de distribution, au point où, à l intérieur des locaux ou d un établissement, elles sortent des robinets qui sont normalement utilisés pour la consommation humaine). Tableau 1 : nombre de prélèvements (contrôle sanitaire hors contrôles de confirmation, contrôles complémentaires et fontaines) par type d installation, en 2012 Ressources Production Distribution Total Nombre de prélèvements en En 2012, l'ensemble du contrôle sanitaire des eaux destinées à la consommation humaine a porté sur l'analyse de 3124 prélèvements d'eau (cf. tableau n 1) auxquels s ajo utent 75 contrôles de confirmation en distribution programmés suite à des dépassements des normes réglementaires. Page 2/18 Délégation territoriale de Paris - Millénaire 1 35 rue de la gare Paris Cedex 19 Tél : Fax :

3 I.4.Modalités d'application du contrôle sanitaire en distribution Le contrôle des eaux en distribution a pour but de surveiller la qualité de l'eau des réseaux publics alimentant les immeubles jusqu'aux robinets des consommateurs. Ce contrôle est organisé par "unité de distribution" (UDI), correspondant à un ensemble de canalisations liées par continuité hydraulique et parcourues par une eau de qualité homogène. Sur Paris, les réseaux de distribution ont été découpés en 4 unités de distribution : Nord-Ouest, Sud-Ouest, Centre et Est (cf. figure n 1). Figure 1 : Modélisation des unités de distribution sur Paris, en 2012 Les unités de distribution sont alimentées majoritairement par les ressources suivantes : - UDI Sud Ouest : eaux des sources de la Vanne et de la Seine traitées ; - UDI Centre : eaux des sources du Loing et de la Voulzie traitées ; - UDI Nord Ouest : eaux des sources de l Avre traitées ; - UDI Est : eaux des sources de la Vanne, de la Marne et de la Seine traitées. Chaque unité de distribution a été partagée en sous-unités de distribution desservant, chacune, une population de habitants environ (cf figure 2). Dans chacune des 105 sous-unités de distribution ainsi définies, un prélèvement est réalisé approximativement tous les 15 jours, alternativement : au niveau d un point appelé "fixe" qui permet, sur des sites sélectionnés préalablement (écoles, crèches, maisons de retraite ), d'effectuer des contrôles réguliers, au niveau d un point dit "mobile" qui, par sa localisation en réseau privé de distribution, a pour objectif de contrôler l eau effectivement consommée dans l'immeuble. Les points mobiles sont choisis de manière aléatoire au moment des tournées de prélèvements. Page 3/18

4 Figure 2 : Modélisation des sous-unités de distribution sur Paris, en 2012 Page 4/18 Délégation territoriale de Paris - Millénaire 1 35 rue de la gare Paris Cedex 19 Tél : Fax :

5 Le nombre de prélèvements annuels pour chaque unité de distribution est défini réglementairement en fonction de la population desservie par l arrêté du 11 janvier 2007 modifié relatif au programme de prélèvements et d analyses du contrôle sanitaire pour les eaux fournies par un réseau de distribution et par la décision du directeur général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France n 2011/DT75/146 du 11 mai 2011 définissant les lieux de prélèvement pour la réalisation du contrôle sanitaire des eaux destinées à la consommation humaine à Paris fixant les conditions de réalisation du contrôle sanitaire à Paris. Le schéma de synthèse (cf. figure n 3) détaille par unité de distribution les modalités de production de l eau distribuée aux parisiens, du captage de l eau brute à la distribution en passant par les usines de traitement m 3 /j m 3 /j m 3 /j m 3 /j m 3 /j Figure 3 : Provenance de l eau en fonction des unités de distribution, en 2012 Les volumes sont donnés à titre indicatif et peuvent fortement varier en fonction des conditions de production et de distribution Page 5/18 Délégation territoriale de Paris - Millénaire 1 35 rue de la gare Paris Cedex 19 Tél : Fax :

6 II. LES PRINCIPAUX PARAMETRES DE CONTROLE De manière à assurer le caractère potable des eaux distribuées, de nombreux paramètres physico-chimiques et microbiologiques sont régulièrement analysés. Les eaux destinées à la consommation humaine doivent respecter des exigences de qualité au robinet du consommateur, à savoir : - ne pas contenir un nombre ou une concentration de micro-organismes, de parasites ou de toutes autres substances constituant un danger potentiel pour la santé des personnes, - être conformes aux limites de qualité fixées par l arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la consommation humaine mentionnées aux articles R , R , R et R du code de la santé publique. Ces limites sont fixées pour des paramètres qui, lorsqu ils sont présents dans l eau, sont, à quelques exceptions près, susceptibles de produire des effets immédiats ou à plus long terme sur la santé du consommateur. Elles peuvent également traduire la présence d autres substances dans l eau présentant des risques pour la santé. Elles sont généralement basées sur les recommandations en vigueur de l Organisation Mondiale de la Santé (OMS). - satisfaire à des références de qualité fixées par l arrêté du 11 janvier 2007 mentionné ci-dessus. Ces références sont des valeurs indicatives établies à des fins de suivi de qualité de l eau traduisant l efficacité du traitement dans les installations de production d eau et la dégradation de celle-ci dans les réseaux de distribution. Un dépassement des références de qualité de l eau ne présente pas de risque sanitaire immédiat pour le consommateur. Un dépassement de ces paramètres peut aussi être à l origine d inconfort ou de désagrément pour le consommateur. Les taux de non-conformité aux limites de qualité et les taux de dépassement des références de qualité indiqués dans la suite de ce document sont calculés respectivement sur la base du respect des limites de qualité et de la satisfaction des références de qualité. Le chlore : En application du plan VIGIPIRATE renforcé, les teneurs en chlore dans l'eau distribuée ont été augmentées depuis octobre 2001 pour atteindre un résiduel de 0,1 mg/l, au robinet du consommateur en tout point du réseau de distribution. Le fluor : Pour toutes les unités de distribution de Paris, l'eau est peu fluorée (teneur inférieure à 0,2 mg/l, la limite de qualité pour ce paramètre étant fixée à 1,5 mg/l). (cf. tableau n 2). La dureté : Ce paramètre, exprimé en degrés français ( f), trad uit essentiellement la teneur en calcium et en magnésium de l'eau. L'ensemble des eaux distribuées à Paris possède un potentiel entartrant. Ces eaux sont dites "calcaires" ou "dures" (dureté comprise entre 20 f et 30 f) (cf. tableau n 2). Il faut toutefois garder à l esprit qu une eau distribuée à l équilibre calcocarbonnique (les ions calciums et magnésiums restent dissout dans l eau) n entraine pas d entartrage excessif des réseaux. Cet équilibre étant fortement lié à la température de l eau, le problème d entartrage des réseaux se pose majoritairement concernant les réseaux d eau chaude sanitaire, qui en chauffant l eau, déplacent le point d équilibre et permettent aux ions de précipiter. Les nitrates : Sur l'ensemble des unités de distribution de Paris, toutes les analyses en nitrates sont conformes à la réglementation (la limite de qualité étant fixée à 50 mg/l) (cf. tableau n 2). Page 6/18

7 Tableau 2 : bilan des résultats du contrôle sanitaire 2012 sur l ensemble des points de mise en distribution (réservoirs) des unités de distribution pour les paramètres fluor, dureté et nitrates Unité de distribution Fluor (mg/l) Dureté ( f) Nitrates (mg/l) Moyenne Minimum Maximum Moyenne Minimum Maximum Moyenne Minimum Maximum CENTRE 0,09 0,09 0,10 29,95 23,40 31, ,30 43,30 EST 0,13 0,08 0,18 26,63 21,60 32, ,00 42,50 NORD OUEST 0,11 0,07 0,14 28,21 24,10 31, ,00 44,20 SUD OUEST 0,09 0,08 0,11 25,26 18,00 30, ,00 43,70 Les différences significatives dans la distribution des valeurs paramétriques entre les points de mise en distribution (réservoir) et le réseau public d alimentation en eau potable peuvent s expliquer de deux manières : - l appartenance des points de surveillance aux unités de distribution peut être sujette à des incertitudes (changement d UDI par changement de voie ou de numéro), - les UDI ont été définis à Paris comme étant des zones de qualité d eau homogène pour 80% du temps. L origine de l eau peut donc évoluer de manière significative. La turbidité L analyse de la turbidité permet une estimation globale de la teneur en particules de l'eau (organiques ou minérales). Le tableau n 3 présente le nombre de dépassements des références de qualité, par unité de distribution. 99,5% des analyses de turbidité satisfont à la référence de qualité de 2 NFU au robinet du consommateur. Les anomalies proviennent essentiellement des réseaux intérieurs d immeubles. Dans ce cas, un courrier de demande de mise en conformité a été envoyé à la personne responsable de la distribution de l eau. Il est à noter que l entretien et la maintenance des réseaux privés sont de la responsabilité des gestionnaires d immeubles. Un dépassement de ce paramètre est souvent corrélé à un dépassement de la référence de qualité du fer, qui vient colorer l eau à cause de la corrosion de l acier galvanisé. Mais il est à noter que le fer n est pas considéré comme un élément toxique aux niveaux couramment rencontrés dans l eau. La présence excessive de fer dans les eaux risque de dégrader la qualité organoleptique des eaux distribuées (goût métallique ou amer, développement de micro-organismes, bactéries ferrugineuses liées à la corrosion biologique). Page 7/18

8 Les analyses microbiologiques de l'eau consistent en la recherche de germes témoins de contamination fécale dont la détection peut être le signe de la présence d'agents pathogènes. Résultats à la ressource : 1 prélèvement sur les eaux superficielles (Marne) a fait l objet en 2012 d un dépassement de la limite de qualité des eaux brutes destinées à la production d'eau destinée à la consommation humaine. 99,3% des analyses microbiologiques en ressources sont conformes aux limites de qualité. Cependant, cette contamination bactérienne ne remet pas en cause la qualité de l eau produite, les usines de traitement étant adaptées aux pics de pollution des eaux superficielles. Résultats à la production : aucun prélèvement au point de mise en distribution n a fait l objet d'un dépassement de la limite de qualité des eaux destinées à la consommation humaine. La microbiologie 100% des prélèvements sont conformes aux limites de qualité des eaux destinées à la consommation humaine. Résultats en réseau de distribution : 4 des 2470 prélèvements sur les eaux de distribution n ont pas respectés les limites de qualité et 12 prélèvements n ont pas satisfaits aux références de qualité des eaux destinées à la consommation humaine. Le tableau n 3 présente les dépassements, par unité de distribution, des exigences de qualité réglementaires (références et limites de qualité). Il est important de noter qu en ce qui concerne les germes aérobie revivifiables, la référence de qualité correspond à une «variation dans un rapport de 10 par rapport à la valeur habituelle». Sur Paris, il a été décidé par l Agence Régionale de Sante de mener des actions dés lors que la valeur de 100 UFC/mL en germes aérobie revivifiables à 22 C et à 36 C est dépassée. Les dépassements vis-à-vis de ce s germes ne sont pas compris dans le calcul du pourcentage du respect des références de qualité étant donné qu aucune norme chiffrée n est établie. 99,9 % des prélèvements sont conformes aux limites de qualité et 99,5% des prélèvements satisfont aux références de qualité des eaux destinées à la consommation humaine. Les anomalies proviennent essentiellement des réseaux intérieurs d immeubles. Dans ce cas, un courrier de demande de mise en conformité est envoyé à la personne publique ou privée, responsable de la distribution de l eau. Il est à noter que l entretien et la maintenance des réseaux privés sont de la responsabilité des gestionnaires d immeubles. Sur l'ensemble des eaux distribuées à Paris, l'eau est de très bonne qualité bactériologique. Tableau 3 : bilan des résultats du contrôle sanitaire 2012 sur l ensemble des unités de distribution pour les paramètres turbidité et microbiologie (Hors contrôles de confirmation) Unité de distribution Turbidité (NFU) et Fer (mg/l) Nombre d analyses Nombre d anomalies hors température (dépassements des références de qualité) Nombre d analyses Microbiologie Nombre d anomalies (dépassements des références de qualité, hors Flore aérobie) Nombre de prélèvement nonconformes (dépassements d une ou plusieurs limites de qualité) CENTRE EST NORD OUEST SUD OUEST TOTAL Page 8/18

9 Les pesticides La qualité de l eau, du point de vue de la présence de produits phytosanitaires, s est grandement améliorée depuis 2005, grâce à la mise en service d usines d affinage (usine de Saint Cloud, l Häy les Roses, Sorques et Longueville) et à la dilution des eaux de sources par les eaux de surface. Aucun des prélèvements en sortie de production d eau n a fait l objet d un dépassement des limites de qualité relatives aux pesticides. Le taux de conformité de l ensemble des prélèvements au niveau des points de mise en distribution (sortie des réservoirs) est de 100%. Résultats à la ressource : aucune situation de non-conformité d origine physico-chimique n a été observée sur les ressources alimentant la ville de Paris. Les autres dépassements Résultats à la production : 100 % des analyses physico-chimiques au point de mise en distribution sont conformes aux limites de qualité des eaux destinées à la consommation humaine. Résultats en distribution : 100% des analyses physico-chimiques respectent les limites de qualité des eaux destinées à la consommation humaine (hors plomb, traités partie III). 13 prélèvements ont fait l objet de non satisfaction des références de qualité relatives à la turbidité, au fer total, ou encore à la température. Les anomalies proviennent essentiellement des réseaux intérieurs d immeubles. Dans ce cas, un courrier de demande de mise en conformité est envoyé à la personne publique ou privée, responsable de la distribution de l eau. Il est à noter que l entretien et la maintenance des réseaux privés sont de la responsabilité des gestionnaires d immeubles. Page 9/18

10 III. SYNTHESE DES ANALYSES REALISEES CHEZ DES PARTICULIERS Les articles R et suivants du code de la santé publique imposent d effectuer le contrôle sanitaire de l eau destinée à la consommation humaine en distribution au robinet du consommateur. Afin de satisfaire à cette obligation, la délégation territoriale de Paris avec le concours des acteurs de l eau à Paris a mis en place un système de recueil de candidatures par la diffusion d informations (info factures, distribution de tracts lors de manifestations, site internet). Ce recrutement a pour objectif d apprécier l influence du réseau intérieur des immeubles sur la qualité de l eau distribuée, en réalisant notamment des analyses portant entre autres sur les métaux (plomb, cuivre, nickel). Ce recueil a fait l objet d un dépôt de dossier auprès de la Commission nationale de l informatique et des libertés (CNIL), qui représente l autorité française en matière de protection des données personnelles. III.1. Mode opératoire pour réaliser les prélèvements Les usagers volontaires font acte de candidature en remplissant un document disponible sur différents sites de diffusion (mairie d arrondissement, délégation territoriale de Paris*, Eau de Paris ). Toutes les candidatures sont retournées à la délégation territoriale de Paris qui sélectionne les volontaires en fonction de la localisation de leur logement et de leurs disponibilités. En effet, afin de bien répartir sur le plan géographique les points de prélèvement pour le contrôle sanitaire, Paris a été divisée en 105 zones. L objectif de la sélection est donc de choisir des logements situés dans ces différentes zones. De même, les prélèvements chez les particuliers ont été répartis sur toute l année Après sélection par la délégation territoriale de Paris, les candidatures retenues sont transmises au laboratoire CARSO-LSEHL. Un courrier explicitant les modalités précises du contrôle sanitaire est envoyé aux personnes sélectionnées par la délégation territoriale de Paris. Le laboratoire CARSO-LSEHL convient ensuite, par téléphone, d un rendez-vous avec les volontaires dans les semaines qui suivent l envoi du courrier. Après la réalisation du prélèvement d eau par le laboratoire, la délégation territoriale de Paris adresse les résultats d analyses aux consommateurs précédemment sélectionnés, accompagnés des interprétations sanitaires. En 2012, 58 prélèvements ont été réalisés chez des consommateurs volontaires. Il est important de noter que, dans le cadre d une harmonisation des pratiques entre toutes les délégations territoriales d Ile-de-France, le recrutement de consommateurs volontaires n a plus lieux en Les prélèvements sont reportés sur des établissements accueillant des populations considérées comme sensibles, notamment au plomb (écoles élémentaires). Page 10/18

11 III.2. Synthèse des résultats des analyses des consommateurs volontaires Les résultats d analyses se sont révélés analogues à ceux issus des prélèvements effectués en pied d immeuble : 100 % des prélèvements respectent les limites de qualité sur les 58 prélèvements réalisés. En ce qui concerne les résultats relatifs au plomb, 8 prélèvements n ont pas respecté la limite de qualité actuelle de 25 µg/l, le maximum observé étant 52 µg/l. Au 25 décembre 2013 la nouvelle limite de qualité relative au plomb sera de 10 µg/l. Il est important de noter que la présence de plomb dans les réseaux s explique non pas par la présence de branchements en plomb au niveau du réseau d adduction en eau potable mais est dû à la dégradation des réseaux intérieurs de distribution d eau, dont la responsabilité de changement est à la charge des propriétaires des immeubles d habitations. IV. TRAITEMENT DES SITUATIONS DE NON-CONFORMITE MISES EN EVIDENCE LORS DU CONTROLE SANITAIRE Tout dépassement de norme est immédiatement signalé à la délégation territoriale de Paris par le laboratoire agréé, et entraîne dans la plupart des cas un nouveau contrôle visant à confirmer ou infirmer les premiers résultats. Par ailleurs, en fonction de la nature du point de contrôle et de l'importance de la non-conformité constatée, des mesures conservatoires, à la diligence de l Agence Régionale de Santé, peuvent être prises sans délai : isolement d'un réservoir, vidange, rinçage, désinfection, restriction d usage, information circonstanciée des usagers 75 contrôles de confirmation ont été programmés en 2012 sur les différentes unités de distribution parisiennes. Toutes les situations de non-conformité aux limites de qualité ou de non satisfaction des références de qualité ont pu être levées suite à la réalisation de ces contrôles de confirmation. Aucune mesure conservatoire (recommandation, restriction ou interdiction d usage) n a été prise en 2012 sur les réseaux publics d adduction en eau potable de la ville de Paris. Page 11/18

12 V. CONTROLE SANITAIRE SUR LA FONTAINE DU SQUARE LAMARTINE (PARIS 16 EME ) La fontaine publique du square Lamartine dans le 16 ème arrondissement est alimentée par un puits situé au droit de l'ouvrage. L eau est pompée dans la nappe de l Albien à 650 mètres de profondeur et subit un traitement d'aération / filtration destiné à éliminer le fer. Les eaux prélevées dans l Albien à Paris sont naturellement protégées de toute pollution et sont vieilles de plus de ans. Des contrôles sont réalisés au niveau des robinets de distribution (analyses mensuelles), ainsi qu'en amont et en aval de l installation de déferrisation-filtration (analyses à la ressource et à la production). V.1. Les principaux résultats : Min Max Moyenne Nombre de prélèvements Normes Fluor (mg/l) < 1,5 Dureté ( f) Pas de norme Nitrates (mg/l) ,46 13 <50 Tableau 4 : bilan des résultats du contrôle sanitaire 2012 sur la fontaine Lamartine pour les paramètres fluor, dureté et nitrates La turbidité : Aucun dépassement de norme n'a été observé en production ou en distribution. La microbiologie : Toutes les analyses effectuées sont conformes à la réglementation. Autres paramètres Tous les autres paramètres sont conformes aux limites de qualité réglementaires. V.2. Avis sanitaire sur l eau distribuée L'eau distribuée est une eau peu calcaire, faiblement minéralisée, exempte de nitrates, mais riche en manganèse, en potassium et en fluor. Les teneurs importantes en fer, naturellement présentes dans l'eau captée, sont éliminées par un traitement d'aération, puis de filtration. Compte tenu de la teneur en fluor (0,57 mg/l), l eau de cette fontaine est susceptible d'être déconseillée pour l'alimentation des nourrissons, et nécessite, en cas de consommation régulière, un avis médical avant toute prise de supplémentation médicamenteuse en fluor. Des informations spécifiques sur ce point figurent dans les synthèses mensuelles de qualité réalisées par la délégation territoriale de Paris et consultables à la mairie du 16 ème arrondissement. Page 12/18

13 VI. CONTROLE SANITAIRE SUR LA FONTAINE DU SQUARE DE LA MADONE (PARIS 18 EME ) La fontaine publique du square de la Madone dans le 18 ème arrondissement est alimentée par un puits situé au droit de l'ouvrage. L eau est pompée dans la nappe de l Albien à 650 mètres de profondeur et subit un traitement d'aération / filtration destiné à éliminer le fer. Les eaux prélevées dans l Albien à Paris sont naturellement protégées de toute pollution et sont vieilles de plus de ans. Depuis sa date de mise en service, début mars 2001, des contrôles sont réalisés au niveau des robinets de distribution (analyses mensuelles), ainsi qu'en amont et en aval de l installation de déferrisation-filtration (analyses à la ressource et à la production). VI.1. Les principaux résultats : Min Max Moyenne Nombre d'analyses Normes Fluor (mg/l) < 1,5 mg/l Dureté ( f) 8, Pas de norme Nitrates (mg/l) <50 Tableau 5 : bilan des résultats du contrôle sanitaire 2012 sur la fontaine du square de la Madone pour les paramètres fluor, dureté et nitrates La turbidité : Aucun dépassement de norme n'a été observé en production ou en distribution. La microbiologie : Toutes les analyses effectuées sont conformes à la réglementation. Autres paramètres Tous les autres paramètres sont conformes à la réglementation. VI.2. Avis sanitaire sur l eau distribuée L'eau distribuée est une eau peu calcaire, faiblement minéralisée, exempte de nitrates, mais riche en manganèse, en potassium et en fluor. Les teneurs importantes en fer, naturellement présentes dans l'eau captée, sont éliminées par un traitement d'aération, puis de filtration. Compte tenu de la teneur en fluor (0,34 mg/l), l eau de cette fontaine nécessite, en cas de consommation régulière, un avis médical avant toute prise de supplémentation médicamenteuse en fluor. Des informations spécifiques sur ce point figurent dans les synthèses mensuelles de qualité réalisées par la délégation territoriale de Paris et consultables à la mairie du 18 ème arrondissement. Page 13/18

14 VII. CONTROLE SANITAIRE SUR LA FONTAINE DE LA PLACE PAUL VERLAINE (PARIS 13 EME ) La fontaine publique de la place Paul Verlaine dans le 13 ème arrondissement est alimentée par un puits situé au droit de l'ouvrage. L eau est pompée dans la nappe de l Albien à 650 mètres de profondeur et subit un traitement d'aération / filtration destiné à éliminer le fer. Les eaux prélevées dans l Albien à Paris sont naturellement protégées de toute pollution et sont vieilles de plus de ans. Depuis sa date de mise en service, début mars 2001, des contrôles sont réalisés au niveau des robinets de distribution (analyses mensuelles), ainsi qu'en amont et en aval de l installation de déferrisation-filtration (analyses à la ressource et à la production). VII.1. Les principaux résultats : Tableau 6 : bilan des résultats du contrôle sanitaire 2012 sur la fontaine de la place Paul Verlaine pour les paramètres fluor, dureté et nitrates Min Max Moyenne Nombre d'analyses Normes Fluor (mg/l) < 1,5 Dureté ( f) (prélèvements effectués en 2012) Pas de norme Nitrates (mg/l) <50 Il est important de noter qu en 2012, aucun prélèvement de type «production» n a été réalisé. Les valeurs de dureté sont donc données à titre indicatif, et sont issues du contrôle sanitaire de La turbidité : Aucun dépassement de norme n'a été observé en production ou en distribution. La microbiologie : Toutes les analyses effectuées sont conformes à la réglementation. Autres paramètres Tous les autres paramètres sont conformes à la réglementation. VII.2. Avis sanitaire sur l eau distribuée L'eau distribuée est une eau peu calcaire, faiblement minéralisée, exempte de nitrates, mais riche en manganèse, en potassium et en fluor. Les teneurs importantes en fer, naturellement présentes dans l'eau captée, sont éliminées par un traitement d'aération, puis de filtration. Compte tenu de la teneur en fluor (0,9 mg/l), l eau de cette fontaine est susceptible d'être déconseillée pour l'alimentation des nourrissons, et nécessite, en cas de consommation régulière, un avis médical avant toute prise de supplémentation médicamenteuse en fluor. Des informations spécifiques sur ce point figurent dans les synthèses mensuelles de qualité réalisées par la délégation territoriale de Paris et consultables à la mairie du 13 ème arrondissement. Page 14/18

15 VIII. TRAITEMENT DES PLAINTES CONCERNANT LA QUALITE DE L EAU VII.1. Description du dispositif Les plaintes relatives à la qualité de l'eau destinée à la consommation humaine sont gérées suivant un protocole établi entre la délégation territoriale de Paris, les services de la mairie de Paris, la régie municipale Eau de Paris. Ces plaintes peuvent être recueillies par les intervenants précités ou via le serveur vocal «ALL EAU» (tél : ). Elles sont enregistrées sur un formulaire type, puis transmises à Eau de Paris, qui les centralise et les porte à la connaissance des acteurs précités. En fonction des problèmes signalés, Eau de Paris envoie des techniciens afin que soient réalisées des analyses d'eau au domicile du plaignant et au niveau du compteur de son immeuble, puis elle lui adresse une réponse écrite faisant état de la synthèse des résultats des analyses effectuées. Les plaintes qui sont directement imputables aux réseaux intérieurs de distribution d'eau d'immeuble sont instruites par la délégation territoriale de Paris. Lorsque les anomalies constatées peuvent être dues en tout ou partie à une altération de la qualité de l'eau fournie par le réseau public de distribution, la délégation territoriale de Paris veille, conformément à la réglementation, à ce que des mesures d'amélioration soient engagées par Eau de Paris et les distributeurs concernés, et à ce qu'une information des résidents soit réalisée si nécessaire. En 2012, aucune anomalie n a été constatée. Lorsque les analyses effectuées mettent en évidence des situations de non-conformité liées au réseau intérieur de distribution d'un immeuble, la poursuite de l'instruction du dossier est réalisée par la délégation territoriale de Paris qui sollicite, si nécessaire, la réalisation d'une expertise complémentaire par le service de recherche et d ingénierie en protection sanitaire (SRIPS) de la régie municipale Eau de Paris. La délégation territoriale de Paris adresse systématiquement un courrier au gestionnaire ou au(x) propriétaire(s) de l'immeuble faisant état des anomalies constatées et de leurs responsabilités, et informe parallèlement le plaignant de la démarche engagée. Par ailleurs, si elle le juge nécessaire, la délégation territoriale de Paris demande aux gestionnaires qu'une information circonstanciée des résidents soit réalisée. VII.2. Bilan 2012 En 2012, 9 plaintes concernant la qualité de l eau (6 en 2010, 5 en 2011) ont été transmises par Eau de Paris à la délégation territoriale de Paris et ont entraîné la réalisation d une analyse au compteur de l'abonné et au domicile du plaignant. Pour information, en 2010, 6 plaintes avaient été transmises par Eau de Paris, 5 en Page 15/18

16 C O N C L U S I O N Les résultats de l ensemble des contrôles pour chacune des quatre unités de distribution permettent de conclure à une très bonne qualité de l eau distribuée à Paris, en Réseaux publics et privés d alimentation en eau destinée à la consommation humaine La conformité des résultats étant établie sur la base du respect des seules limites de qualité, on notera que sur l ensemble des analyses effectuées, au niveau du réseau de distribution, dans le cadre du contrôle sanitaire réglementaire : - 99,9 % des analyses microbiologiques étaient conformes, - 100% des analyses physico-chimiques étaient conformes. Ces résultats sont significativement identiques à ceux obtenus pour l année 2011 (99.5% de conformité bactériologique et 100% de conformité physico-chimique aux limites de qualité). On notera également que, au niveau des canalisations publiques du réseau de distribution, les résultats de l autosurveillance mise en place et réalisée par Eaux de Paris, montrent une très bonne qualité de l eau (en 2012 : 99,68% de conformité aux limites de qualité bactériologique). Les analyses faites chez les consommateurs ont mis en évidence une amélioration de la qualité de l eau. Il est à noter que l entretien et la maintenance des réseaux privés sont de la responsabilité des gestionnaires d immeubles. Un rappel de cette nécessité d entretien des réseaux de canalisations, auprès des gestionnaires et des syndics d immeubles, reste nécessaire. Lors de l envoi des courriers aux consommateurs volontaires, l Agence Régionale de Santé procède à ce rappel. Fontaines Les résultats du contrôle sanitaire des eaux des fontaines publiques, en distribution, sont conformes à la réglementation (articles R et R du code de la santé publique). L'eau de ces fontaines publiques est exempte de tout germe microbiologique témoin de contamination d'origine fécale. Elle est par ailleurs peu calcaire, faiblement minéralisée, mais riche en potassium, en manganèse voire en fluor. L eau de ces fontaines est susceptible d être déconseillée pour les nourrissons. Page 16/18

17 I N F O R M A T I O N S G E N E R A L E S RESEAUX DE DISTRIBUTION EN PLOMB La présence de plomb dans l eau du robinet est essentiellement liée à la dissolution du plomb présent dans certaines canalisations de branchements publics ou de réseaux intérieurs d immeubles. La stagnation de l eau dans ces canalisations favorise cette dissolution. Pour limiter ce phénomène, le remplacement des canalisations publiques en plomb a été effectué sur Paris. Cette opération est aujourd hui achevée à plus de 99 % sur la capitale. Ces actions permettent de respecter la limite actuelle de qualité relative au plomb de 25 µg/l avant compteur, mais n empêchent pas les dépassements de qualité après compteur, qui nécessitent un remplacement des canalisations dans les réseaux intérieurs dont la responsabilité incombe aux propriétaires des habitations. Il est important de noter qu à partir du 25 décembre 2013, la limite de qualité relative au plomb passera de 25 µg/l à 10µg/L. Afin de respecter la réglementation et de limiter l exposition au plomb par l eau du robinet, il est rappelé l intérêt de mettre en œuvre un repérage des canalisations en plomb du réseau intérieur lorsque la date de construction des logements est antérieure à L Agence française de normalisation (AFNOR) a publié une norme technique relative au repérage du plomb dans les réseaux intérieurs de distribution d eau potable (NF P41-021) permettant l harmonisation des pratiques des professionnels. La consommation régulière d une eau contenant du plomb peut présenter un risque pour la santé, notamment pour les femmes enceintes et les nourrissons. Il est donc indispensable que les propriétaires et gestionnaires d immeubles envisagent le repérage des canalisations en plomb des réseaux intérieurs des immeubles et, le cas échéant, leur remplacement ou leur chemisage. LES GESTES DU BON CONSOMMATEUR D'EAU Après toute stagnation prolongée de l'eau dans les canalisations, faire systématiquement couler l'eau avant de la consommer pour la boisson ou la cuisine; Ne pas utiliser l'eau chaude du robinet à des fins de consommation (café, thé, cuisson des légumes et pâtes ): la température élevée facilite la migration des métaux dans l'eau. L eau chaude peut être traitée pour lutter contre la corrosion des canalisations. Toutefois, sans suivi de ce traitement et en cas de dysfonctionnement de ce dernier la qualité de l eau peut être altérée; L'eau du robinet est aussi un produit alimentaire dont la qualité peut s'altérer avec le temps : toute bouteille ou carafe destinée à stocker de l'eau du robinet doit être quotidiennement nettoyée. L'eau qu'elle contient doit être renouvelée tous les jours, et conservée de préférence au réfrigérateur; Les éléments de robinetterie doivent être régulièrement entretenus : les brise-jets des robinets doivent être régulièrement démontés pour enlever les impuretés qui peuvent s'y accumuler, les flexibles de robinet doivent être régulièrement nettoyés et remplacés en cas d'usure; Il est interdit, sauf cas dérogatoire, d'utiliser les canalisations d'eau pour la mise à la terre des installations électriques. Cette pratique accentue la corrosion des canalisations et par conséquent, la dissolution de métaux dans l'eau. Page 17/18

18 Pour plus d informations... Votre mairie d'arrondissement (affichage des synthèses mensuelles des résultats du contrôle sanitaire); La délégation territoriale de Paris de l Agence Régionale de Santé d Ile de France, Millénaire1, 35, rue de la gare, Paris Cedex 19,(tél : ) ; Eau de Paris, 33 av Jean Jaurés Ivry sur Seine CARSO-LSEHL, 321 avenue Jean Jaurès Lyon tél. : , laboratoire agréé et titulaire du marché public relatif au contrôle sanitaire des eaux destinées à la consommation humaine de la ville de Paris. Site internet du Ministère du Travail, de l Emploi et de la Santé : Site internet de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France : Page 18/18

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