Support de cours - Raisonnement sociologique: Le holisme méthodologique Dr Dayoro. Support de cours

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1 Support de cours RAISONNEMENT SOCIOLOGIQUE: Le holisme méthodologique Licence 2 INTRODUCTION Deux approches en sociologie structurent les productions : l'approche microsociologique qui s'attache à étudier les comportements individuels, et l'approche macro-sociologique qui consiste à étudier les phénomènes sociaux à l'échelle globale, d'un groupe entier ou de la société dans sa globalité. Les tenants de l approche holiste se reconnaissent dans les principes suivants Articulation 1 : Principes fondamentaux du holisme méthodologique Le Holisme est un courant de pensée qui part du tout social pour expliquer les comportements, les choix, les décisions des individus. Selon les holistes, la société exerce des contraintes sur les individus au cours du processus de socialisation pour les amener à s intégrer, à s insérer dans le «tout social» et leurs permettre de s y épanouir. Ces contraintes déterminent les rôles tenus par les individus au sein de la société. On peut retenir quelques principes : 1. La réalité est constituée de «touts»; 2. La Représentation des structures sociales en termes d êtres collectifs réels et autonome ; 3. La structure prime sur l individu ; 4. La structure ne se réduit pas à une somme d actions individuelles ; 5. La structure exerce une contrainte absolue ou forte sur les actions individuelles. Le fait social est donc coercitif, extérieure et autonome 1

2 Articulation 2 1: HOLISME CHEZ KARL MARX ET EMILE DURKHEIM 1.1. Le holisme chez Karl Marx ( ) Pour KARL MARX, l individu est déterminé par les structures. "Ce n est pas la conscience des hommes qui détermine leur existence, c est au contraire leur existence sociale qui détermine leur conscience". Dans la production sociale de leur existence, les hommes nouent des rapports déterminés, nécessaires, indépendants de leur volonté. Le sens des pratiques sociales n est pas déchiffrable dans les discours des acteurs sociaux. Il faut partir non pas des individus mais des structures et des lois de leur évolution. Ces lois restent par essence semblables à celles de la nature Le holisme chez Emile Durkheim ( ) Selon Durkheim, les faits existent et sont «des manières d agir, de penser et de sentir qui s imposent à l individu». Ils sont doués d'une puissance impérative et coercitive en vertu de laquelle ils s'imposent à lui, qu'il le veuille ou non. La pensée collective est donc «ensemble des croyances et des sentiments communs à la moyenne des membres d une société qui forme un système déterminé qui a sa vie propre ; on peut l appeler la conscience collective ou commune». 2

3 Aussi pour Emile Durkheim la cause déterminante d un fait social doit être recherchée par rapport aux faits sociaux antérieurs et non parmi l état de conscience individuelle. Les actes individuels sont expliqués par la société et les normes sociales qu elle impose. L individu ne fait qu intérioriser des comportements et les façons de penser. E. DURKHEIM va dans Le suicide ( 1897 ), démontrer par l'analyse de séries statistiques, que le suicide ne peut en aucun cas se réduire à un événement psychologique et individuel. Il s'agit d'un fait social aux dimensions collectives, qu'il définira de la manière suivante "On appelle suicide tout cas de mort qui résulte directement ou indirectement d'un acte positif ou négatif, accompli par la victime elle-même et qu'elle savait devoir produire ce résultat" Emile DURKHEIM Le suicide PUF 1985 p 5. Pour DURKHEIM, les causes du suicide sont à rechercher dans les formes du déséquilibre du lien social qualifié «d anomie» ( de a- privatif du grec nomos loi ). Cette dernière est "le mal de l'infini" : elle apparaît lorsque les désirs des individus ne rencontrent plus de limites. Autrement dit, plus les facteurs de cohésion et d'intégration d'un groupe ou d'une société seront forts, moins les suicides seront nombreux. Ainsi, selon lui à son époque, «la famille protège et la misère protège». Source : 2- LE HOLISME CHEZ CLAUDE LEVI-STRAUSS ET ROBERT K MERTON 2.1 LE HOLISME CHEZ CLAUDE LEVI-STRAUSS Le structuralisme est la méthode qui a fait faire aux sciences humaines en ce siècle d'immenses progrès et Lévi-Strauss est en France le maître du structuralisme. Lévi-Strauss admet au fond des systèmes sociaux une infrastructure formelle, une pensée inconsciente, une anticipation de l'esprit humain comme si notre science était déjà faite dans les choses et comme si l'ordre humain de la culture était un second ordre naturel. La structure est pratiquée par les sujets vivant en société comme allant de soi. 3

4 Le structuralisme est donc une théorie selon laquelle l'être humain ne peut être appréhendé qu'à travers un réseau de relations symboliques qui sont autant de structures auxquelles il participe sans en être conscient. Ce qui fonde, la pertinence de l analyse structurale, dans la conception de Lévi-Strauss, c est qu en dégageant les lois de la pensée inconsciente, elle évite les pièges de la subjectivité, ou, plus exactement, les illusions qui sont liées à la conscience, celle-ci étant «l ennemie secrète des sciences de l homme», sous son double aspect de «conscience spontanée immanente à l objet d observation» et de «conscience réfléchie conscience de la conscience chez le savant» Le risque de projeter sa propre subjectivité sur les faits qu on étudie représente donc, aux yeux de Lévi-Strauss, un faux problème, ou, plus exactement, ce problème s évanouit lorsqu on dispose de la méthode structurale. Derrière la variété des cultures, il existe une unité psychique de l'humanité Les mythes et les règles de la vie sociale sont le matériau de base dans lequel Lévi-Strauss détecte les «invariants structurels» 2.2 LE HOLISME CHEZ ROBERT K MERTON : le fonctionnalisme Le fonctionnalisme est un courant théorique qui «postule, dans sa forme radicale, que les éléments d une société forment un tout indissociable, jouent un rôle vital dans le maintien de l équilibre d ensemble et sont donc indispensables [ ]. Ce fonctionnalisme présuppose donc la stabilité et l intégration des systèmes sociaux, et tend à ramener l explication des faits sociaux à la mise en évidence de leurs fonctions puisqu ils ne sont que par ce à quoi ils servent. Les travaux de Robert Merton ont conduit à nuancer ce fonctionnalisme «absolu». 4

5 La notion de fonction désigne de façon générale en sociologie «la contribution d une institution sociale au maintien du système au sein duquel elle est en interaction avec d autres (par exemple : la fonction des partis au sein d un système politique démocratique». Robert Merton établit une distinction entre fonction manifeste et fonction latente, qu il présente de la façon suivante : «Les fonctions manifestes sont les conséquences objectives qui contribuent à l ajustement ou à l adaptation du système, sont comprises et voulues par les participants du système. [ ] Les fonctions latentes sont celles qui ne sont ni comprises, ni voulues». Par exemple, l achat de biens de consommation (nourriture, meubles, automobile ) a pour fonction manifeste de satisfaire des besoins (se nourrir, meubler sa maison, se transporter ), et pour fonction latente d affirmer son statut social (par exemple, consommer des biens de luxe pour signaler son appartenance aux classes supérieures). Sources : Les éléments d une société forme un tout ; ce tout doit être cohérent et stable, aussi chaque élément a une fonction particulière, et est indispensable à l équilibre de l ensemble. Expliquer un fait social c est montrer sa fonction 3 : Pierre Bourdieu, sociologue un holiste contemporain ( ) Selon pierre Bourdieu les individus héritent d un habitus c'est-à-dire «un système de dispositions durables et transposables, structures structurées disposées à fonctionner comme structures structurantes», c'est-à-dire en tant que principe générateurs et organisateurs de pratiques et de représentations qui peuvent être objectivement adaptées à leur but sans supposer la visée consciente de fins et la maîtrise expresse des opérations nécessaires pour les atteindre. L 'individu est structuré par sa classe sociale d'appartenance, par un ensemble de règles, de conduites, de croyances, de valeurs propres à son 5

6 groupe et relayés par la socialisation. Deux type d habitus L'habitus primaire tout d'abord qui débute avec la vie et qui s'achève grosso modo durant le secondaire et l'habitus secondaire qui correspond à l'ensemble des apprentissages que l'individu rencontrera par la suite tout au long de sa vie, et notamment dans le cadre de son environnement professionnel. L individu est donc traversé de part en part par des mécanismes sociaux En combinant les approches de Karl Marx et de weber, Bourdieu propose une analyse structuraliste de l espace social. La position sociale des individus est déterminée par leur dotation + ou - abondante en 3 formes principales de capital le souvent hérité de leur milieu d origine : - Capital économique (patrimoine & revenus) - Capital social (relations sociales d ordre professionnel, amical, politique, etc. «réseau social») - Capital culturel [lui-même sous 3 formes : certifié ou institutionnalisé (diplômes, ), incorporé (langage, posture, attitude, culture générale, = habitus), objectivé (objets culturels, œuvres d art, )] + Capital symbolique (notoriété, réputation, prestige, titre(s)) L analyse des ses formes de capital lui permet de conclure que de démontrer plus le fonctionnement subtil des inégalités face à la culture. Les classes supérieures qui possèdent plus de capital économique et de capital culturel (titres scolaires, possession d objets culturels, érudition ) ont les plus grandes chances de satisfaire ces exigences sociales. REPRODUCTION DES HIERARCHIES SOCIALES La reproduction de l ordre social passe par la reproduction des hiérarchies sociales et par légitimation de cette reproduction La Domination essentiellement culturelle des classes dominantes et stratégies de distinction l Inégale dotation en capital éco, social, symbolique et surtout culturel déterminante, via un «habitus de classe». Ecole (malgré elle?) = rôle très important dans la reproduction des élites en valorisant la culture légitime des classes dominantes et en exerçant une forme de violence symbolique sur les enfants des classes populaires 6

7 ARTICULATION 3 : De l intérêt du dépassement de l opposition holisme et individualisme méthodologique Les notions d individu et de société sont des notions courantes et intimement liées en sociologie. La notion d individu se rapporte à l être humain isolé : et un individu se définit précisément comme un être humain par opposition au groupe, à la société, à la collectivité. La notion de société peut se définir soit comme une simple juxtaposition d êtres humains isolés, soit comme un objet existant au-delà de l être humain isolé. La notion de social se rapporte, elle, à la société ; elle peut être définie comme un ensemble de règles et de contraintes qui s appliquent à l individu dans une société donnée. Mais toutes ces notions sont problématiques ; elles changent en effet de signification selon que l on ait une approche holiste, c est-à-dire centrée sur la société, ou encore une approche individualiste, c est-à-dire centrée sur l individu. quels rapports l individu entretient-il avec le social? Norbert Elias résout le paradoxe d un individu qui se croit autonome alors qu il est soumis à des interdépendances de plus en plus contraignantes. Selon lui, c est parce qu il a une différenciation de plus en plus grande qui accroît nos dépendances mais offre un choix plus grand d aspirations sociales que le sentiment d autonomie se renforce. «Plus sont denses les dépendances réciproques qui lient les individus, plus forte est la conscience qu ils ont de leur autonomie.» L individu prend conscience de son individualité face à l autre et à la contrainte d intégrer un ensemble social. Selon Dubet, Le monde social moderne est désormais éclaté.les traditions, les subjectivités, les rationalités ne convergent plus dans l unité d un système social. Au contraire faute d une unité sociale, chacun est confronté à l hétérogénéité des logiques sociales et devient ainsi l auteur de sa propre expérience. Les individus appartiennent à la fois à des traditions à travers lesquelles ils ont été socialisés et assument leur propre subjectivité dans le cadre de projets auxquels ils adhèrent. Ils visent à se construire une unité 7

8 expérientielle ou vécue à partir des éléments divers de la vie sociale. L acteur n est donc pas totalement socialisé car il vit dans plusieurs logiques d action. Les acteurs sociaux contemporains sont ce que leurs multiples expériences font d eux, ils se trouvent continuellement en train de se produire sous l'effet des situations. La sociologie de l expérience de Dubet vise à définir l expérience comme une combinaison de logiques d actions qui lient l acteur aux dimensions d un système. L acteur est tenu d articuler ces différentes logiques, et c est la dynamique engendrée par cette activité qui constitue la subjectivité de l acteur et sa réflexivité. L acteur est alors divisé dans les tensions et imbrications engendrées par trois logiques d actions fondamentales : la logique de l intégration. L individu n existe pas en dehors du social, au contraire sa subjectivité, son autonomie naissent des tensions sociales qu il s efforce tant bien que mal d assumer. CONCLUSION (à rédiger par les étudiants) 1 1 8

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