Julien WEGRZYN, Gualter VAZ, Jean-Paul CARRET

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Julien WEGRZYN, Gualter VAZ, Jean-Paul CARRET"

Transcription

1 Prothèse totale de hanche sur tumeur PROTH THESE E TOTALE T E DE HANH ANCHE E SUR TUMEUR Julien WEGRZYN, Gualter VAZ, Jean-Paul CARRET Le squelette de la hanche (os iliaque péri-acétabulaire et extrémité proximale du fémur) est fréquemment impliqué dans les processus tumoraux osseux primitif ou secondaire. Les tumeurs primitives les plus fréquemment rencontrées sont le chondrosarcome, le sarcome d Ewing et l ostéosarcome. Les tumeurs secondaires (métastases) sont par ordre de fréquence celles des néoplasies mammaires, prostatique, myélomateuse, rénale et pulmonaires. L indication chirurgicale (type de résection et type de reconstruction prothétique) va dépendre du diagnostic histologique le plus souvent apporté par la biopsie et surtout de la perspective thérapeutique curative ou palliative. L indication va de l exérèse carcinologique avec reconstruction à l arthroplastie palliative simple. Nous rapportons notre expérience à propos de l analyse rétrospective de 70 patients opérés d une tumeur osseuse primitive ou secondaire autour de la hanche pris en charge au Pavillon T à l hôpital E. HERRIOT de 1996 à Nous détaillerons séparément les cas de tumeur primitive et de tumeur secondaire. MATÉRIEL ET MÉTHODE Tumeurs osseuses primitives. La série de tumeurs primitives regroupait 25 patients, 12 hommes et 13 femmes, âgés de 45 ans en moyenne (17 à 86 ans). Les diagnostics histologiques retrouvaient : 16 chondrosarcomes, 4 ostéosarcomes, 3 sarcomes d Ewing, 1 tumeur à cellules géantes, un sarcome des tissus mous envahissant l os. L acetabulum était atteint dans 10 cas, le fémur proximal était atteint dans 16 cas ; il existait une atteinte des deux pièces osseuses dans 1 cas (ostéosarcome). Tous les patients ont été revus sans aucun perdu de vue. Cinq patients étaient décédés en moyenne à 27 mois (12 à 102 mois). Les décès concernaient 4 cas de chondrosarcome et un cas de sarcome d Ewing. Le recul moyen de la série était de 47 mois (12 à 180 mois). Tumeurs osseuses secondaires. La série de tumeurs secondaires regroupait 45 patients, 16 hommes et 29 femmes, âgés de 66 ans en moyenne (32 à 88 ans). Les diagnostics histologiques des tumeurs primitives retrouvaient : 18 néoplasies mammaires, 12 néoplasies pulmonaires, 6 néoplasies rénales, 4 néoplasies prostatiques, 4 néoplasies thyroïdiennes et 1 néoplasie utérine. L acetabulum était atteint dans 19 cas, le fémur proximal était atteint dans 35 cas ; il existait une atteinte des deux pièces osseuses dans 9 cas. Dans 13 cas les patients étaient multimétastatiques osseux. Les métastases autour de la hanche ont été prises en charge dans 14 cas suite à des fractures pathologiques (13 fractures du fémur, 1 fracture de l acetabulum). Journées Lyonnaises de Chirurgie de la Hanche

2 Julien Wegrzyn, Gualter Vaz, Jean-Paul Carret Tous les patients ont été revus sans aucun perdu de vue. Trente et un patients étaient décédés en moyenne à 19 mois (0 à 89 mois). Le recul moyen de la série était de 37 mois (1 à 89 mois). Nous avons analysé les résultats fonctionnels et douloureux, les méthodes thérapeutiques oncologiques utilisées (chimiothérapies, radiothérapie), les techniques chirurgicales, les complications post opératoires. RÉSULTATS Tumeurs osseuses primitives. Résultats fonctionnels et douleur. A l analyse préopératoire : 13 patients marchaient sans canne, 5 patients marchaient avec une canne, 7 patients marchaient avec deux cannes. A l analyse post opératoire au plus grand recul 8 patients marchaient sans canne, 12 patients marchaient avec une canne, 5 patients marchaient avec deux cannes. Tous les patients étaient autonomes à la marche avec un périmètre de marche de moins de 500 m pour 2 patients, de 1 à 3 km pour 18 patients, de plus de 3 km pour 5 patients. En préopératoire 3 patients ne prenaient aucun antalgique, 6 patients prenaient des antalgiques de niveau 1, 8 patients prenaient des antalgiques de niveau 2 et 8 patients des antalgiques de niveau 3. En postopératoire, au plus grand recul, 12 patients ne prenaient aucun antalgique, 8 patients des antalgiques de niveau 1, 5 patients des antalgiques de niveau 2 et aucun patient ne prenait d antalgique de niveau 3. Thérapeutiques oncologiques préopératoires associées : Huit patients avaient eu une chimiothérapie préopératoire, aucun patient n avait eu de radiothérapie préopératoire. Thérapeutiques oncologiques postopératoires associées : Dix sept patients avaient eu une chimiothérapie postopératoire, 5 patients avaient eu une radiothérapie postopératoire. Résection chirurgicale : Tous les patients ont eu une résection chirurgicale monobloc de leur tumeur osseuse. La résection était «in sano» dans 24 cas (large dans 18 cas et marginale dans 6 cas) et non in sano (contaminée) dans 1 cas. Il s agissait d un volumineux chondrosarcome du bassin avec effraction tumorale peropératoire. Reconstruction chirurgicale : Tumeur de l acetabulum : 9 patients ont été reconstruits selon la technique de PUGET par autogreffe osseuse prélevée au dépends du fémur proximal homolatéral. La prothèse acétabulaire était implantée au niveau de la région métaphysaire du greffon. Il s agissait d une prothèse double mobilité cimentée dans 9 cas, non cimentée dans un cas. Tumeurs du fémur proximal : la longueur de résection fémorale proximale moyenne était de 16,5 cm (10 à 25 cm). La reconstruction fémorale était prothétique massive non cimentée (prothèse PP de résection fémorale) dans 11 cas et prothétique hybride (prothèse fémorale tige longue et allogreffe fémur proximal) dans 4 cas. Dans les cas de prothèse hybride, la prothèse était cimentée dans l allogreffe et non cimentée dans le fémur natif. Les prothèses de reconstruction fémorale étaient couplées dans tous les cas avec une prothèse acétabulaire double mobilité sans ciment (cimentée dans 2 cas seulement). La reconstruction des muscles abducteurs de hanche se faisait par soit par conservation d une baguette trochantérienne (Puget), soit par suture directe des tendons des muscles abducteurs au tendons de l allogreffe fémorale proximale soit par reconstruction indirecte par suture des tendons des muscles abducteurs à la prothèse fémorale et au fascia lata (artifice de Turner). 38 Journées Lyonnaises de Chirurgie de la Hanche 2008

3 Prothèse totale de hanche sur tumeur Le patient présentant une atteinte mixte de l acetabulum et du fémur proximal avait eu une résection monobloc de l articulation coxo-fémorale emportant le tiers proximal du fémur et l acetabulum. La reconstruction avait fait appel à une allogreffe fémorale totale utilisée pour la reconstruction acétabulaire (allogreffe fémur distal) et pour la reconstruction fémorale proximale (prothèse manchonnée dans une allogreffe fémorale proximale). Les deux implants étaient totalement cimentés, également dans le fémur distal natif. Complications : Neuf patients avaient présenté des complications : cinq patients opérés d une tumeur de l acetabulum et 4 patients opérés d une tumeur du fémur. Les complications étaient essentiellement mécaniques et infectieuses. Une luxation prothétique était survenue dans cinq cas, dont trois sur reconstruction du bassin selon Puget. Cette luxation était survenue dans la première année dans tous les cas (un mois à 10 mois). Quatre patients avaient pu être réduits par manœuvres externes et un patient avait nécessité une reprise chirurgicale pour réduction. Trois de ces cinq patients luxés avaient une radiothérapie postopératoire. Un descellement prothétique était survenu dans trois cas dans un délai moyen de trois ans (un an à 9 ans), deux fois au niveau d une reconstruction de l acetabulum et une fois au niveau d une reconstruction du fémur. Tous les cas de descellement avaient été repris chirurgicalement. Un cas de descellement de l acetabulum avait eu une radiothérapie post opératoire. Un sepsis profond était survenu dans 4 cas, nécessitant une reprise chirurgicale avec conservation des implants et une antibiothérapie prolongée. Tous les cas de sepsis avaient eu une radiothérapie post opératoire. On ne notait pas d échec mécanique des greffes. Une amputation (désarticulation de hanche) avait été réalisée chez un patient présentant Au total trois patients avaient présenté des complications associées : luxation - sepsis dans 2 cas et luxation - descellement dans 1 cas. Ces trois patients avaient eu l association radiothérapie et chimiothérapie (préop et postop). Au total tous les patients ayant eu une radiothérapie postopératoire ont eu au moins une complication. Tumeurs osseuses secondaires. Résultats fonctionnels et douleur. A l analyse préopératoire : 6 patients marchaient sans canne, 6 patients marchaient avec une canne, 17 patients marchaient avec deux cannes, 2 patients marchaient avec un cadre déambulateur et 14 patients étaient non marchants (fractures pathologiques). A l analyse post opératoire au plus grand recul 15 patients marchaient sans canne, 14 patients marchaient avec une canne, 10 patients marchaient avec deux cannes et 6 patients marchaient avec un cadre déambulateur. En préopératoire tous les patients prenaient des antalgiques, 5 patients prenaient des antalgiques de niveau 1, 12 patients prenaient des antalgiques de niveau 2 et 28 patients des antalgiques de niveau 3. En postopératoire, au plus grand recul, 9 patients ne prenaient aucun antalgique, 24 patients des antalgiques de niveau 1, 6 patients des antalgiques de niveau 2 et 6 patients des antalgiques de niveau 3. Thérapeutiques oncologiques préopératoires associées : Trente huit patients avaient eu une chimiothérapie préopératoire, 28 patients avaient eu une radiothérapie préopératoire. Journées Lyonnaises de Chirurgie de la Hanche

4 Julien Wegrzyn, Gualter Vaz, Jean-Paul Carret Thérapeutiques oncologiques postopératoires associées : Trente trois patients avaient eu une chimiothérapie postopératoire, 27 patients avaient eu une radiothérapie postopératoire. Résection chirurgicale : Seuls quatre patients avient eu une résection chirurgicale tumorale à visée curative avec une exérèse tumorale monobloc (2 cas de cancer du rein et 2 cas de cancer de la thyroïde avec métastase unique). Tous les autres patients ont eu une résection chirurgicale marginale ou intra tumorale de leur métastase osseuse dans un but palliatif soit de réduction du volume tumoral soit de restitution fonctionnelle et de contrôle de la douleur. Reconstruction chirurgicale : Tumeur de l acetabulum : 4 patients ont été reconstruits par allogreffe osseuse massive prélevée au dépends d une allogreffe de fémur proximal ou distal. Une prothèse acétabulaire double mobilité était cimentée au niveau du greffon avec un anneau de soutien type Kerboull. Les 15 autres métastases de l acetabulum ont été reconstruites par une prothèse acétabulaire double mobilité associée à une reconstruction par ciment et anneau de soutien (Kerboull 11 cas et Bursh Schneider 4 cas). Tumeurs du fémur proximal : une résection fémorale a été réalisée dans 23 cas. La longueur de résection fémorale proximale moyenne était de 14 cm (10 à 21 cm). La reconstruction fémorale était prothétique massive (prothèse PP de résection fémorale) dans 22 cas et prothétique hybride (prothèse fémorale tige longue et allogreffe fémur proximal) dans 3 cas. Dans les cas de prothèse hybride, la prothèse était cimentée dans l allogreffe et cimentée dans le fémur natif. Les 12 autres reconstructions fémorales ont été réalisées avec 5 tiges longues de révision cimentée et sept tiges standard cimentées. La reconstruction des muscles abducteurs de hanche dans les cas de résection se faisait soit par conservation d une baguette trochantérienne, soit par suture directe des tendons des muscles abducteurs au tendons de l allogreffe fémorale proximale soit par reconstruction indirecte par suture des tendons des muscles abducteurs à la prothèse fémorale et au fascia lata (artifice de Turner). Complications : Cinq patients avaient présenté des complications. Les complications étaient essentiellement mécaniques et infectieuses. Une luxation prothétique était survenue dans trois cas, dont une sur reconstruction du bassin. Cette luxation était survenue dans la première année dans tous les cas (un mois à 6 mois). Deux patients avaient pu être réduits par manœuvres externes et un patient avait nécessité une reprise chirurgicale pour réduction associée à une modification de l orientation de la pièce métaphysaire de la prothèse PP. Tous les patients luxés avaient eu une radiothérapie postopératoire. Un sepsis profond était survenu dans 1 cas, nécessitant une reprise chirurgicale avec conservation des implants et une antibiothérapie prolongée. Un sepsis superficiel était survenu dans un cas avec reprise cicatricielle chirurgicale. Aucun descellement prothétique n était survenu au plus grand recul On ne notait pas d échec mécanique des greffes. DISCUSSION La reconstruction prothétique de la hanche est une situation fréquente en pathologie tumorale osseuse. La perspective thérapeutique est différente s il s agit d une lésion osseuse primitive ou secondaire. Les lésions osseuses primitives de la hanche. La prise en charge d une lésion primitive de la hanche (acetabulum ou fémur) doit privilégier avant tout le contrôle tumoral local par la qualité de la résection. Puis la reconstruction articulaire doit permettre une reprise fonctionnelle rapide et durable. 40 Journées Lyonnaises de Chirurgie de la Hanche 2008

5 Prothèse totale de hanche sur tumeur La reconstruction, tant au niveau du fémur que de l acetabulum, fait appel à des implants spécifiques de résection osseuse. Ces implants doivent permettre une restauration rapide de la fonction du membre et leur longévité dans le temps. Les reconstructions biologiques par autogreffe et allogreffes massives permettent une meilleure garantie de reconstruction osseuse à long terme. Dans notre série tant au niveau de fémur que de l acetabulum nous n avons pas de faillite de ces reconstructions biologiques massives. De même, nous privilégions dans les reconstructions, chaque fois qu il est possible d envisager une vitalité osseuse satisfaisante, les implants sans ciment. La perspective d une irradiation post opératoire ou l implantation prothétique dans une greffe osseuse massive doit privilégier les implants cimentés. La chimiothérapie et la radiothérapie ont permit d améliorer considérablement le contrôle général et local de la maladie cancéreuse et par conséquent le pronostic vital. Elles vont favoriser la survenue de complications locales par l altération de l immunité et de la trophicité tissulaire locale. Les complications postopératoires sont fréquentes dans cette chirurgie tumorale. Dans le traitement des tumeurs impliquant l acetabulum, comme le montre l analyse de cette série on retrouve environ 50 % de complications mécaniques et infectieuses. Le taux de complications est de 25 % dans le traitement des tumeurs primitives du fémur. Le rôle de la radiothérapie post opératoire comme facteur favorisant ces complications septiques ou mécaniques apparait ici de façon nette. La luxation prothétique est un problème majeur. Elle concerne dans notre série 20 % des patients malgré l utilisation systématique d implants acétabulaires stables à double mobilité. Les voies d abord extensives, la radiothérapie post opératoire sont clairement des facteurs favorisants par l altération du tonus et de la trophicité musculaire périarticulaire entrainée. Les résultats fonctionnels de ces reconstructions massives sont très satisfaisants avec une reprise de la marche autonome dans tous les cas, nécessitant au moins une canne dans 70 % des cas. Les lésions osseuses secondaires de la hanche La prise en charge d une lésion osseuse secondaire se situe exceptionnellement dans une perspective curative. Cette situation concerne seulement 9 % des patients de notre série. La problématique du traitement des lésions secondaires de la hanche est palliative associant le maintient des capacités fonctionnelles et le contrôle des phénomènes douloureux. La fracture pathologique avec perte brutale de l autonomie reste fréquente avec plus de 30 % de nos indications dans cette série. Les implants utilisés doivent permettre de reprendre immédiatement l appui sur le membre inférieur. Les reconstructions biologiques peuvent être également utilisées mais leur stabilité doit permettre une charge immédiate. Les implants cimentés sont à privilégier au niveau du fémur et de l acetabulum. Les anneaux de soutien acétabulaires permettent une reconstruction stable et pérenne à court et moyen terme. Les complications sont également relativement fréquentes. La mortalité post opératoire précoce est dans cette série de 4,4 %. Les complications infectieuses concernent également 4,4 % des patients de cette série. La luxation prothétique précoce est peu fréquente par rapport au groupe des tumeurs primitives. Les interventions sont, dans ce groupe, plus conventionnelles sans voies extensives. L utilisation de la double mobilité acétabulaire est systématique dans notre expérience. La radiothérapie apparait moins nettement dans ce groupe comme un facteur de survenue de complications. L efficacité du traitement chirurgical sur la restauration des capacités fonctionnelles chez les patients métastatiques osseux est importante avec : 100 % de patients marchant de façon autonome, plus de 65 % de patients marchant sans support ou avec une canne simple. Le traitement chirurgical des métastases de la hanche est également très efficace sur le contrôle des douleurs : seulement 13 % des patients ont recours à des antalgiques de niveau 3 en post opératoire contre 62 % en préopératoire. Journées Lyonnaises de Chirurgie de la Hanche

6 Julien Wegrzyn, Gualter Vaz, Jean-Paul Carret CONCLUSION La reconstruction prothétique dans les pathologies tumorales de la hanche est une situation fréquente. Elle permet une restitution fonctionnelle satisfaisante dans la grande majorité des cas. Les implants «tumoraux» et les greffes osseuses massives tiennent une place majeure dans l arsenal thérapeutique. Les complications restent fréquentes, surtout dans les tumeurs primitives en rapport avec la nécessité des traitements adjuvants de chimiothérapie et radiothérapie. Les métastases osseuses autour de la hanche bénéficient grandement de la chirurgie prothétique tant du point de vue de la restitution fonctionnelle que du contrôle de la douleur. 42 Journées Lyonnaises de Chirurgie de la Hanche 2008

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations

Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a

Plus en détail

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,

Plus en détail

La reprise de la vie active

La reprise de la vie active Prothèse de hanche Les conseils de votre chirurgien La reprise de la vie active Vous êtes aujourd hui porteur d une prothèse de hanche ; elle va vous permettre de reprendre vos activités sans gène ni douleur.

Plus en détail

MATTHIEU GUYARD SEBASTIEN MARTRES GUALTER VAZ JEAN-PAUL CARRET

MATTHIEU GUYARD SEBASTIEN MARTRES GUALTER VAZ JEAN-PAUL CARRET MATTHIEU GUYARD SEBASTIEN MARTRES GUALTER VAZ JEAN-PAUL CARRET PROTHESE TOTALE DE HANCHE POUR OSTEONECROSE ASEPTIQUE DE LA TETE FEMORALE Analyse d une série de 126 arthroplasties. Hôpital Edouard HERRIOT

Plus en détail

IRM du Cancer du Rectum

IRM du Cancer du Rectum IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris

Plus en détail

Collection Soins infirmiers

Collection Soins infirmiers Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

De la chirurgie du nodule aux ganglions

De la chirurgie du nodule aux ganglions De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

Chirurgie articulaire secondaire Pr. Philippe PELISSIER

Chirurgie articulaire secondaire Pr. Philippe PELISSIER Pr. Philippe PELISSIER Service de Chirurgie Plastique Centre F.X. Michelet CHU de Bordeaux www.e-plastic.fr Introduction Kinésithérapie Dénervation Arthrolyse - Artholyse chirurgicale - Artholyse + ligamentotaxis

Plus en détail

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt

Plus en détail

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue

Plus en détail

Cancers de l hypopharynx

Cancers de l hypopharynx Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome

Plus en détail

ONCOLOGIE PÉDIATRIQUE

ONCOLOGIE PÉDIATRIQUE ONCOLOGIE PÉDIATRIQUE SURVOL ET PERSPECTIVES MARIE JUTRAS MAI 2014 Plan Modalités thérapeutiques Cancers pédiatriques les plus fréquents Impact des traitements à court et long termes 1 Introduction Grâce

Plus en détail

CONTROVERSES en chirurgie de la hanche. C. Schwartz Conflit d intérêt: FH Orthopedics Colmar

CONTROVERSES en chirurgie de la hanche. C. Schwartz Conflit d intérêt: FH Orthopedics Colmar CONTROVERSES en chirurgie de la hanche C. Schwartz Conflit d intérêt: FH Orthopedics Colmar Une invention française Gilles Bousquet CHU de Saint-Etienne - Jean Rieu, Professeur à l Ecole des Mines de Saint-Etienne

Plus en détail

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées

Plus en détail

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation

Plus en détail

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Plus en détail

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE

L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE Depuis plus de 10 ans, l association Actis dentaire formation a pour objectif de former des praticiens à la chirurgie orale, parodontale et implantaire. L expérience pour

Plus en détail

DOSSIER DE PRÉSENTATION

DOSSIER DE PRÉSENTATION DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,

Plus en détail

Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical

Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical Information supplémentaire 3 Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical Installation Sur table normale, en décubitus dorsal

Plus en détail

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic

Plus en détail

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP

Plus en détail

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT

Plus en détail

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe

Plus en détail

A l Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille, Octobre Rose est l occasion de mettre en valeur la filière de soins dédiée au cancer du sein.

A l Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille, Octobre Rose est l occasion de mettre en valeur la filière de soins dédiée au cancer du sein. OCTOBRE ROSE 2013 La campagne Octobre Rose a pour but d inciter les femmes de 50 à 74 ans à participer au dépistage organisé du cancer du sein. Une femme sur trois ne se fait pas dépister ou pas de manière

Plus en détail

Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du

Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du cancer : enjeux et opportunités Début de cartographie des enjeux cliniques et technologiques gq Jean-François MENUDET, Cluster I-Care Cartographie

Plus en détail

La chirurgie dans la PC

La chirurgie dans la PC La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit

Plus en détail

Prise en Charge de la Fracture du Col du Fémur. Dr Christine LAFONT Service de Gériatrie C.H.U. TOULOUSE

Prise en Charge de la Fracture du Col du Fémur. Dr Christine LAFONT Service de Gériatrie C.H.U. TOULOUSE Prise en Charge de la Fracture du Col du Fémur Dr Christine LAFONT Service de Gériatrie C.H.U. TOULOUSE Épidémiologie «Problème médical, social et économique» Incidence : France : 50/100 000 hab. Augmente

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome

Plus en détail

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables

Plus en détail

Innovations thérapeutiques en transplantation

Innovations thérapeutiques en transplantation Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010

Plus en détail

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les

Plus en détail

Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003

Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures

Plus en détail

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext

Plus en détail

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du

Plus en détail

APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras

APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le

Plus en détail

Critères de suivi en rééducation et. d orientation en ambulatoire ou en soins de suite ou de réadaptation

Critères de suivi en rééducation et. d orientation en ambulatoire ou en soins de suite ou de réadaptation RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Critères de suivi en rééducation et Octobre 2007 Version pré-commission d orientation en ambulatoire ou en soins de suite ou de réadaptation Après chirurgie des ruptures

Plus en détail

Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride

Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie

Plus en détail

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus. AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une

Plus en détail

Positionnement de l implant

Positionnement de l implant HORS SÉRIE Hors série - 2009 Positionnement de l implant Déterminants biologiques et précision NobelActive NobelGuide Chirurgie à minima et esthétique ESTHÉTIQUE ET CHIRURGIE GUIDÉE AVEC NOBELACTIVE PAR

Plus en détail

Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique

Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Introduction Cette brochure vise à vous familiariser avec la greffe de cellules hématopoïétiques (GCH). Elle présente en quelques

Plus en détail

Le contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation

Le contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs

Plus en détail

Actualités s cancérologiques : pneumologie

Actualités s cancérologiques : pneumologie Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique

Plus en détail

PROTHÈSE TOTALE DE GENOU

PROTHÈSE TOTALE DE GENOU Dr Alain CAZENAVE chirurgien orthopédiste traumatologie sportive 52 rue du Dr calot 62600 BERCK/mer FRANCE tel: 03 21 89 20 44 site web : www.orthopale.org PROTHÈSE TOTALE DE GENOU QUELQUES GÉNÉRALITÉS

Plus en détail

Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)

Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition

Plus en détail

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient! Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Amputations partielles traumatiques de la main. Colette Gable - Ergothérapeute CDS - IRR Nancy

Amputations partielles traumatiques de la main. Colette Gable - Ergothérapeute CDS - IRR Nancy Amputations partielles traumatiques de la main Colette Gable - Ergothérapeute CDS - IRR Nancy Amputations partielles de la main Introduction Amputation et répercussions psychologiques Principes de rééducation

Plus en détail

RADIOTHÉRAPIE EXTRACRÂNIENNE

RADIOTHÉRAPIE EXTRACRÂNIENNE RADIOTHÉRAPIE EXTRACRÂNIENNE EN CONDITIONS STÉRÉOTAXIQUES Classement CCAM : 17 code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels 2 avenue du Stade de France 93218 Saint-Denis La

Plus en détail

Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône

Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Santé travail Maladies chroniques et traumatismes Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Étude du syndrome du canal carpien opéré 2008-2009 Septembre 2011 F. Sillam 1,

Plus en détail

L arthrose, ses maux si on en parlait!

L arthrose, ses maux si on en parlait! REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une

Plus en détail

Don de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé

Don de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison

Plus en détail

RÈGLEMENT ANNOTÉ SUR LE BARÈME CORPORELS

RÈGLEMENT ANNOTÉ SUR LE BARÈME CORPORELS RÈGLEMENT ANNOTÉ SUR LE BARÈME DES DOMMAges CORPORELS 2010 RÈGLEMENT ANNOTÉ SUR LE BARÈME DES DOMMAges CORPORELS 2010 Le document a été préparé par la Direction des services médicaux en collaboration avec

Plus en détail

Modules optionnels. Passer à l acte en implantologie

Modules optionnels. Passer à l acte en implantologie Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,

Plus en détail

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme

Plus en détail

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge

Plus en détail

La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab

La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab Rappel anatomique! Phalanges: P1 P2 P3 = os longs! Articulations IP = trochléennes un seul degré de liberté. - tête

Plus en détail

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail

DON DE SANG. Label Don de Soi

DON DE SANG. Label Don de Soi DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7

Plus en détail

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des

Plus en détail

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication

Plus en détail

La santé bucco-dentaire au cabinet OMS. Problèmes majeurs. Santé bucco-dentaire et santé générale. Santé. Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire

La santé bucco-dentaire au cabinet OMS. Problèmes majeurs. Santé bucco-dentaire et santé générale. Santé. Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire La santé bucco-dentaire au cabinet Santé OMS Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire Colloque MPr 14 septembre 2011 Dr J-P Carrel Division de stomatologie, chirurgie orale et radiologie dento-maxillo-faciale

Plus en détail

Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients?

Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? HigHligHts 2012: CHiRURgiE Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? Lukasz Filip Grochola a, Hubert John b, Thomas Hess c, Stefan Breitenstein d a Clinique de chirurgie

Plus en détail

INFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU

INFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU INFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU Votre état nécessite la réalisation d'une ostéotomie au niveau du genou. Cette fiche est destinée à vous en expliquer les grands principes, le but et les bénéfices

Plus en détail

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?

Plus en détail

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée

Plus en détail

1 of 5 02/11/2012 14:03

1 of 5 02/11/2012 14:03 1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça

Plus en détail

Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis

Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités

Plus en détail

PROTHÈSE TOTALE DE GENOU

PROTHÈSE TOTALE DE GENOU Service Orthopédie www.cliniquesdeleurope.be Site St-Michel 2 COMPRENDRE L ARTHROSE ET L ARTHROPLASTIE DE GENOU L arthrose est le reflet d un déséquilibre entre la surcharge mécanique et la tolérance de

Plus en détail

Prothèse Totale de Hanche

Prothèse Totale de Hanche Hôpital de Martigny Prothèse Totale de Hanche Informations patients 2 Sommaire 04 Introduction 05 Votre maladie: la coxarthrose 06 Intervention chirurgicale Technique chirurgicale Risques et avantages

Plus en détail

CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie

CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine

Plus en détail

Dons, prélèvements et greffes

Dons, prélèvements et greffes Dons, prélèvements et greffes Donneur : d une vie à une autre... Chaque année, en France, plus de 10000 malades attendent une greffe afin de continuer à vivre ou d améliorer une existence lourdement handicapée.

Plus en détail

F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France

F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France 18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital

Plus en détail

Les tumeurs bénignes ne sont pas cancéreuses. Elles ne se propagent pas à d autres parties du corps.

Les tumeurs bénignes ne sont pas cancéreuses. Elles ne se propagent pas à d autres parties du corps. Vivre avec le cancer Renseignements généraux à propos du cancer Le cancer apparaît lorsque des cellules deviennent anormales et prolifèrent de manière incontrôlée. Ces cellules empêchent les cellules saines

Plus en détail

LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008

LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008 LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres

Plus en détail

Traumatologie en odontostomatologie du sport

Traumatologie en odontostomatologie du sport Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2002, 45-4 95 Traumatologie en odontostomatologie du sport Alain GARUET * Au XX e siècle le sport a été àla fois un facteur de paix, de distraction et de divertissement.

Plus en détail

Concours d Internat et de Résidanat

Concours d Internat et de Résidanat Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une

Plus en détail

Synthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale.

Synthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale. Synthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale. Exécution en bloc opératoire de procédures planifiées en préopératoire Réduction

Plus en détail

Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)

Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN) UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:

Plus en détail

Item 182 : Accidents des anticoagulants

Item 182 : Accidents des anticoagulants Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome

Plus en détail

Règlement concernant l obtention du «CERTIFICAT SSO DE FORMATION POSTGRADE (CFP SSO) EN IMPLANTOLOGIE ORALE»

Règlement concernant l obtention du «CERTIFICAT SSO DE FORMATION POSTGRADE (CFP SSO) EN IMPLANTOLOGIE ORALE» Règlement concernant l obtention du «CERTIFICAT SSO DE FORMATION POSTGRADE (CFP SSO) EN IMPLANTOLOGIE ORALE» INDEX: 1. Bases 2. Objectifs de formation postgrade 3. Candidature en vue de l obtention du

Plus en détail

Qu est-ce que le cancer du sein?

Qu est-ce que le cancer du sein? Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO

Plus en détail

Le don de moelle osseuse

Le don de moelle osseuse Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don

Plus en détail

Institut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010

Institut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010 C. Gable - DUHAM 2010 Les orthèses provisoires en pathologie traumatique LES FRACTURES DIGITALES LA MAIN COMPLEXE LES ENTORSES DIGITALES Institut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010 Colette Gable,

Plus en détail

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

LA REEDUCATION APRES UNE PROTHESE DE HANCHE. Consultation d Orthopédie 02 477 60 21

LA REEDUCATION APRES UNE PROTHESE DE HANCHE. Consultation d Orthopédie 02 477 60 21 Information pour les patients LA REEDUCATION APRES UNE PROTHESE DE HANCHE Prof. dr. Thierry Scheerlinck Service d Orthopédie et de Traumatologie Consultation d Orthopédie 02 477 60 21 Madame, Monsieur,

Plus en détail

Apport de l IRM dans la

Apport de l IRM dans la Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction

Plus en détail

INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE

INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février

Plus en détail

L'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes

L'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué

Plus en détail

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de

Plus en détail

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son

Plus en détail

Nous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse

Nous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe

Plus en détail