15 ème congrès du CLIN Vendredi 14 octobre 2015

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "15 ème congrès du CLIN Vendredi 14 octobre 2015"

Transcription

1 NOUVELLES RECOMMANDATIONS RELATIVES AU TRAITEMENT DES ENDOSCOPES SOUPLES THERMOSENSIBLES À CANAUX EN FRANCE 15 ème congrès du CLIN Vendredi 14 octobre 2015 Docteur Catherine CHAPUIS Equipe sectorielle de prévention du risque infectieux Hospices Civils de Lyon

2 Risque infectieux en endoscopie INFECTIONS ENDOGÈNES INFECTIONS EXOGÈNES Dispositifs médicaux Environnement PATIENT PATIENT Manuportée Piqûres PROFESSIONNELS Projections RISQUES PROFESSIONNELS

3 Gestion des risques en lien avec les endoscopes souples thermosensibles à canaux Traçabilité Contrôles microbiologiques Qualification Maintenance des équipements Formation des professionnels prétraitement Test d étanchéité Nettoyage/ écouvillonnage Traitement manuel ou automatisé Séchage Stockage Gestion de crise Organisation des locaux Matériovigilance 3

4 Contexte Risque infectieux en endoscopie Multiplicité et ancienneté des référentiels Publications récentes sur les duodénoscopes Nouveaux équipements Audit national 2015 Propias 2015

5 Objectif des nouvelles recommandations Regrouper et actualiser les documents antérieurs Document unique quelle que soit la spécialité Groupe de travail coordonné par le Dr J. Hajjar Relecture par sociétés savantes 18 fiches thématiques pratiques 5

6 Sommaire du guide technique 18 fiches Fiche 1 : Risques infectieux liés à l endoscopie Fiche 2 : Traitement manuel des endoscopes Fiche 3 : Traitement automatisé des endoscopes Fiche 4 : Traitement des endoscopes à risque particulier Fiche 5 : Stockage des endoscopes Fiche 6 : Stérilisation des endoscopes souples Fiche 7 : Endoscope à usage unique Fiche 8 : Contrôles microbiologiques en endoscopie Fiche 9 : Traçabilité en endoscopie Fiche 10 : Qualification, requalification, maintenance préventive/curative des équipements techniques Fiche 11 : Endoscope en prêt Fiche 12 : Effluents issus du traitement des endoscopes Fiche 13 : Locaux et aménagement d une unité d endoscopie Fiche 14 : Démarche qualité des soins en endoscopie Fiche 15 : Gestion des endoscopes en garde, les week-ends et jours fériés Fiche 16 : Formation du personnel Fiche 17 : Matériovigilance Fiche 18 : Alerte et gestion de crise 6

7 Processus de traitement des endoscopes Aspiration insufflation canaux Distinction propre / sale prétraitement Test d étanchéité Nettoyage/ écouvillonnage Traitement manuel ou automatisé Séchage Stockage 7

8 Processus de traitement des endoscopes Description, 2 phases prétraitement Test d étanchéité Nettoyage/ écouvillonnage Traitement manuel ou automatisé Séchage Stockage 8

9 Processus de traitement des endoscopes Liste des canaux Gestion des accessoires Écouvillons adaptés prétraitement Test d étanchéité Nettoyage/ écouvillonnage Traitement manuel ou automatisé Séchage Stockage 9

10 Sens d écouvillonnage++ Photos : LTA médical 10

11 Processus de traitement des endoscopes Qualité de l eau de rinçage terminal adaptée au type d endoscope Nettoyage/ Traitement prétraitement Test é manuel ou Séchage Stockage écouvillonnage automatisé 11

12 Processus de traitement des endoscopes Séchage à l air médical lorsque l endoscope n est pas réutilisé immédiatement prétraitement Test d étanchéité Nettoyage/ écouvillonnage Traitement manuel ou automatisé Séchage Stockage 12

13 Endoscopes à risque particulier Duodenoscopes, écho-endoscopes, vidéoendoscopes linéaires ou à ponction Recrudescence publications concernant des cas de transmission croisée lors d actes d endoscopie digestive depuis 2010 Colonisations ou infections en particulier avec des entérobactéries BMR et BHRe Forme épidémique Ross et al, Clinical endoscopy 2015 (E coli) Gastmeier et al, Infection 2014 (K Pneumoniae EPC) Epstein et al, Jama 2014 (E coli EPC) Alertes de matériovigilance

14 Ecouvillonnage et nettoyage des endoscopes à risque particulier Dans un produit détergent Matériel à usage unique adapté au modèle d endoscope Mobilisation du canal érecteur Après retrait du capuchon si applicable

15

16 Olympus TJF 160

17 Surveillance des endoscopes à risque Contrôles microbiologiques au moins trimestriels de chaque endoscope Maintenance annuelle

18 Enceinte de stockage des endoscopes Durée du stockage avant nouvelle désinfection Durée préconisée par le fabricant, mais sans excéder une semaine même si celle revendiquée par le fabricant supérieure Qualification de chaque «famille d endoscopes» Contrôles microbiologiques 18

19 Autres dispositifs de stockage Dispositifs de stockage récents séchage des canaux de l endoscope avec de l air filtré, injection de produit désinfectant, conditionnement de l endoscope et bac de transport dans un sachet sous vide partiel Conditions d utilisation identiques à celles des ESET y compris pour la durée maximale de stockage. Attention particulière à porter sur le maintien de l intégrité du conditionnement et du vide) 19

20 Autres perspectives Endoscopes à usage unique Totalement Avec canal opérateur incorporé dans la gaine à UU Stérilisation des endoscopes 20

21 Contrôles microbiologiques en endoscopie Contrôles bactériologiques des endoscopes en routine Plan échantillonnage Expression des résultats en UFC / 100 ml Seuils 21

22 Contrôles microbiologiques en endoscopie Contrôles ponctuels Acquisition (qualification) ou prêt d un appareil Retour de maintenance Alerte descendante de matériovigilance préconisant un contrôle Lors de la survenue de cas groupés d infections ou de colonisations chez les patients Dans tous ces cas, impératif d attendre le résultat avant de mettre en circulation l endoscope. 22

23 Contrôles microbiologiques en endoscopie Contrôles de l eau EBM : aucun contrôle si obtenue par filtration (filtres à usage unique) LDE : trimestriel pour l eau de fond de cuve comme pour l eau d alimentation ESET Contrôles de surfaces (4 points) Contrôles d air : optionnels 23

24 Qualifications et maintenances Qualification de l installation et opérationnelle responsabilité du fabricant ou distributeur Qualification des performances Responsabilité de l exploitant et s organisant en lien avec le fabricant Requalification Maintenance préventive et de réparation Responsabilité de l exploitant dès sa mise en service (matériel, équipements) Procédures de contrôle périodique visant à vérifier le bon état général des endoscopes (en relation avec la qualité de la désinfection notamment) 24

25 Endoscopes en prêt Contrat de mise à disposition ou location Destinataire du prêt considéré comme l exploitant Prévoir la qualification de l endoscope s il ne fait pas partie d une famille déjà utilisée dans l unité Prêteur comme utilisateur attestent d un traitement complet de l endoscope selon les bonnes pratiques lors de l envoi Contrôle microbiologique à prévoir à réception 25

26 Locaux Marche en avant Autres points Distincts pour le traitement et le stockage Centralisation et possibilité de traiter des endoscopes de spécialités différentes dans le même plateau technique Personnel dédié au traitement sous la vigilance de l IDE Actions de formation assurées par l établissement Référent endoscopie Pas de procédure dégradée en garde Alerte et gestion de crise 26

27 Au total Référentiel applicable à tous les secteurs et spécialités utilisant des endoscopes souples thermosensibles à canaux. Eléments de bonnes pratiques très détaillés et concrets ciblés sur les points critiques de la gestion du risque infectieux Perspectives d évolution intéressantes en particulier en matière de stockage. 27

Vous avez dit: armoires??

Vous avez dit: armoires?? Vous avez dit: armoires?? Prononcer : ESET Enceinte de Stockage des Endoscopes Thermosensibles Pr. René LAUGIER Dr. Joseph HAJJAR Recommandations de bonnes pratiques d utilisation des ESET Promoteurs :

Plus en détail

Les Infections Associées aux Soins

Les Infections Associées aux Soins Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999

Plus en détail

Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique

Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement

Plus en détail

ELEMENTS D'ASSURANCE QUALITE EN HYGIENE RELATIFS AU CONTRÔLE MICROBIOLOGIQUE DES ENDOSCOPES ET À LA TRAÇABILITE EN ENDOSCOPIE

ELEMENTS D'ASSURANCE QUALITE EN HYGIENE RELATIFS AU CONTRÔLE MICROBIOLOGIQUE DES ENDOSCOPES ET À LA TRAÇABILITE EN ENDOSCOPIE DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins Conseil supérieur d hygiène publique

Plus en détail

AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON

AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS

Plus en détail

«Bonnes pratiques de retraitement des dispositifs médicaux et audits des cabinets dentaires : des peurs à la réalité»

«Bonnes pratiques de retraitement des dispositifs médicaux et audits des cabinets dentaires : des peurs à la réalité» «Bonnes pratiques de retraitement des dispositifs médicaux et audits des cabinets dentaires : des peurs à la réalité» SSO-Fribourg, jeudi 12 février 2015 Dr Christine Cunier Adjointe du médecin-dentiste

Plus en détail

GAMME DE LDE DE GETINGE UN SYSTÈME PLUS SÛR DE TRAITEMENT DES ENDOSCOPES. Gamme de LDE de Getinge 1

GAMME DE LDE DE GETINGE UN SYSTÈME PLUS SÛR DE TRAITEMENT DES ENDOSCOPES. Gamme de LDE de Getinge 1 GAMME DE LDE DE GETINGE UN SYSTÈME PLUS SÛR DE TRAITEMENT DES ENDOSCOPES Gamme de LDE de Getinge 1 2 Gamme de LDE de Getinge TRAITEMENT DES ENDOS- COPES - RAPIDE ET À L ABRI DES ERREURS L augmentation

Plus en détail

Semaine Sécurité des patients

Semaine Sécurité des patients Bienvenue dans le «mystère de la chambre des erreurs»! Découvrez le tableau de synthèse des réponses du matériel nécessaire à la mise en place de la chambre des erreurs ainsi que les réponses attendues

Plus en détail

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections

Plus en détail

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité

Plus en détail

RECO. Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques R.470

RECO. Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques R.470 RECO DU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES ACTIVITES DE SERVICES 1 Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques Yves Cousson - INRS Pour vous aider à : réduire le bruit

Plus en détail

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux

Plus en détail

Résumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives

Résumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,

Plus en détail

Bio nettoyage au bloc opératoire

Bio nettoyage au bloc opératoire Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence

Plus en détail

GESTION DU RISQUE INFECTIEUX D ORIGINE ALIMENTAIRE DANS LES UNITES DE SOINS

GESTION DU RISQUE INFECTIEUX D ORIGINE ALIMENTAIRE DANS LES UNITES DE SOINS GESTION DU RISQUE INFECTIEUX D ORIGINE ALIMENTAIRE DANS LES UNITES DE SOINS C. DECADE -Dr L. MARTY -D. DEMONTROND Dr C.MANUEL - Dr R.CABRIT - Dr G.MANN Centre Médical de Forcilles 77150 FEROLLES-ATTILLY

Plus en détail

LA TRAÇABILITE DE A Z ET DE Z A AU CABINET DENTAIRE

LA TRAÇABILITE DE A Z ET DE Z A AU CABINET DENTAIRE LA TRAÇABILITE DE A Z ET DE Z A AU CABINET DENTAIRE 1 Introduction et définition de la traçabilité Les décès dus aux maladies nosocomiales, le scandale du sang contaminé ont rendu les patients anxieux

Plus en détail

CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015

CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 Professionnels de l alimentation 06.47.75.88.57 HQSA Consulting contact@hqsafrance.fr Numéro de déclaration de prestataire de formation : SIRET SIRET : 804 : 284 284 420

Plus en détail

CLUB AM N 14. MIFID ET GESTION PRIVEE : 2ème partie

CLUB AM N 14. MIFID ET GESTION PRIVEE : 2ème partie CLUB AM N 14 MIFID ET GESTION PRIVEE : 2ème partie Impacts MIF sur les systèmes d informations : Éléments de réponse grâce à un progiciel de gestion de portefeuilles Ordre du jour MIFID, un enjeu pour

Plus en détail

Présentation générale du Programme

Présentation générale du Programme Contexte Le Propias fait suite à Plan stratégique national 2009-2013 de prévention des infections associées aux soins Programme national de prévention des infections nosocomiales 2009-2013 (Propin) Programme

Plus en détail

Connaître les Menaces d Insécurité du Système d Information

Connaître les Menaces d Insécurité du Système d Information Connaître les Menaces d Insécurité du Système d Information 1. LES MENACES EXTERIEURES VIA L INTERNET ET INFORMATIQUE LES PROGRAMMES MALVEILLANTS : VIRUS / MALWARES LES SPYWARES (LOGICIELS-ESPIONS) : LOGICIEL

Plus en détail

L ENTRETIEN DES LOCAUX ET DES EQUIPEMENTS AU BLOC OPERATOIRE

L ENTRETIEN DES LOCAUX ET DES EQUIPEMENTS AU BLOC OPERATOIRE LUTTE CONTRE L INFECTION EN PERIODE PERI-OPERATOIRE mars 2010 L ENTRETIEN DES LOCAUX ET DES EQUIPEMENTS AU BLOC OPERATOIRE F. DUBOURDIEU Unité d Hygiène Hospitalière Hôpitaux Civils de Colmar Sommaire

Plus en détail

Content. Steriking Multi Seal Test Kit. Nettoyage et désinfection de haut niveau des dispositifs médicaux, endoscopes et matériel thermosensible.

Content. Steriking Multi Seal Test Kit. Nettoyage et désinfection de haut niveau des dispositifs médicaux, endoscopes et matériel thermosensible. HOSPITHERA NEWSFLASH n 2 Sterilization & Hygiene 09/2013 Content Steriking Multi Seal Test Kit Combine les tests qualitatifs de votre soudeuse. p2 Aniosept Activ 2% Nettoyage et désinfection de haut niveau

Plus en détail

CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS

CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS (1/30pages) CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS ANNEE : 2015 Date de mise à jour : 09/03/2015 1 - Microbiologie des eaux - Microbiologie des aliments Formation technique de Microbiologie HYGIÈNE

Plus en détail

de propreté est-il garanti? des Hôpitaux Universitaires de Genève

de propreté est-il garanti? des Hôpitaux Universitaires de Genève Nettoyage des instruments creux: le niveau d assurance de propreté est-il garanti? Retour d expérience à la stérilisation centrale des Hôpitaux Universitaires de Genève Hervé Ney JNSS Fribourg 2010 1 Hervé

Plus en détail

Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012

Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Pr Coordonnateur Groupe de Pilotage du Programme National de Lutte contre les Infections Nosocomiales Séminaire National

Plus en détail

Recommandations de la Société française d Endoscopie Digestive pour l organisation et le fonctionnement d un plateau technique en endoscopie digestive

Recommandations de la Société française d Endoscopie Digestive pour l organisation et le fonctionnement d un plateau technique en endoscopie digestive Acta Endosc. DOI 10.1007/s10190-013-0334-4 RECOMMANDATIONS DE LA SFED / SFED RECOMMENDATIONS Recommandations de la Société française d Endoscopie Digestive pour l organisation et le fonctionnement d un

Plus en détail

Documentation Ellipses Windows. Auteur : Léonard FRECHET Date : 10/01/07 Diffusion : Publique ELLIPSES 2000. Envoi Automatisé de SMS Ellipses SMS

Documentation Ellipses Windows. Auteur : Léonard FRECHET Date : 10/01/07 Diffusion : Publique ELLIPSES 2000. Envoi Automatisé de SMS Ellipses SMS ELLIPSES 2000 Envoi Automatisé de SMS Ellipses SMS SOMMAIRE I. Introduction à Ellipses SMS... 3 II. Deux modes de fonctionnement... 3 1. Au travers d Ellipses 2000... 3 2. Utilisation normale (en vue d

Plus en détail

CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE RECOMMANDATIONS EN MATIERE DE STERILISATION. <---- Cliquez. Table des matières

CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE RECOMMANDATIONS EN MATIERE DE STERILISATION. <---- Cliquez. Table des matières CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE RECOMMANDATIONS EN MATIERE DE STERILISATION Table des matières

Plus en détail

La Business Intelligence en toute simplicité :

La Business Intelligence en toute simplicité : MyReportle reporting sous excel La Business Intelligence en toute simplicité : Concevez, partagez, actualisez! En rendant les données accessibles aux personnes habilitées dans l entreprise (comptabilité,

Plus en détail

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle audit, conseil et formation professionnelle Stage 1 Bonnes pratiques d hygiène en restauration collective 19 et 26 novembre Stage 2 Règles d hygiène lors du service 3 décembre Stage 3 Le nettoyage et la

Plus en détail

OpenScribe L ECM Sagem. Pour maîtriser simplement tous les flux d informations

OpenScribe L ECM Sagem. Pour maîtriser simplement tous les flux d informations OpenScribe L ECM Sagem. Pour maîtriser simplement tous les flux d informations Solution complète clé en main pour la gestion des flux d informations Gestion du cycle de vie du document actif Partage et

Plus en détail

La numérisation augmente l efficacité, la sécurité et la fiabilité des flux d informations et des processus commerciaux.

La numérisation augmente l efficacité, la sécurité et la fiabilité des flux d informations et des processus commerciaux. 1 Forte de son statut d expert dans la transmission des informations et de son savoir-faire technique, la Poste joue un rôle important. Elle met à disposition des composants d infrastructure sur trois

Plus en détail

AUDIT 2009 des UCPC de Lorraine

AUDIT 2009 des UCPC de Lorraine AUDIT 2009 des UCPC de Lorraine Nom de l'établissement Date Nombre de préparations / an : Date d'installation: Personnes présentes Nom / Prénom Fonction Signature Réseau Oncolor 2010 1 SOMMAIRE Page I

Plus en détail

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE

PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium

Plus en détail

PREPARATION (NETTOYAGE, DESINFECTION ET STERILISATION) D AIGUILLES MEDICALES, DE RACCORDS, DE ROBINETS ET D AIGUILLES CHIRURGICALES A SUTURE UNIMED

PREPARATION (NETTOYAGE, DESINFECTION ET STERILISATION) D AIGUILLES MEDICALES, DE RACCORDS, DE ROBINETS ET D AIGUILLES CHIRURGICALES A SUTURE UNIMED U N I M E D S.A. CM/07.12.04 NETSTERIL.SPN Approuvé par/le: Claude Borgeaud / 08.10.13 PREPARATION (NETTOYAGE, DESINFECTION ET STERILISATION) D AIGUILLES MEDICALES, DE RACCORDS, DE ROBINETS ET D AIGUILLES

Plus en détail

Pôle Le Cabinet du Futur. La technologie au service de la productivité

Pôle Le Cabinet du Futur. La technologie au service de la productivité La technologie au service de la productivité Intervenants Nicolas Catel Expert comptable, commissaire aux comptes Valérie Beyaert Diplômée d expertise comptable Laurent Gaudy Consultant en management,

Plus en détail

Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE

Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE DEPARTEMENT ENVELOPPES ET REVETEMENTS Constructions Légères et Couvertures Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE Livraison Cahier V1 de Mars 2010

Plus en détail

Qualité Sécurité Environnement

Qualité Sécurité Environnement Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...

Plus en détail

Sage 30 pour les petites entreprises

Sage 30 pour les petites entreprises Informations France : 0 825 825 603 (0.15 TTC/min) Informations Export : +33 (0)5 56 136 988 (hors France métropolitaine) www.sage.fr/pme Sage 30 pour les petites entreprises Abordez votre gestion en toute

Plus en détail

5. Matériaux en contact avec l eau

5. Matériaux en contact avec l eau Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte

Plus en détail

A LIRE IMPERATIVEMENT AVANT TOUTE UTILISATION A REMETTRE A L UTILISATEUR ET A CONSERVER

A LIRE IMPERATIVEMENT AVANT TOUTE UTILISATION A REMETTRE A L UTILISATEUR ET A CONSERVER 4 Le Pas du Château 85670 SAINT PAUL MONT PENIT TEL : 02-51-98-55-64 FAX : 02-51-98-59-07 EMAIL : info@medicatlantic.fr Site Internet : http//: www.winncare.fr MANUEL D UTILISATION Des Systèmes d Aide

Plus en détail

DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER

DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER OBJECTIFS Réaliser le dossier dans chaque domaine de diagnostique immobilier : amiante, plomb, diagnostic de performance énergétique, termites, gaz et installations intérieures électriques, mesurage des

Plus en détail

Recommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation

Recommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation Réanimation 2002 ; 11 : 250-6 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069302002414/FLA RECOMMANDATIONS Recommandations des experts de la Société de réanimation

Plus en détail

COMPÉTITIVITÉ ÉCONOMIQUE DU MAROC

COMPÉTITIVITÉ ÉCONOMIQUE DU MAROC COMPÉTITIVITÉ ÉCONOMIQUE DU MAROC DEVELOPPEMENT DE LA FILIERE CAPRIERE A SAFI ET ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION D ENTREPRISES AGROALIMENTAIRES MARS 2012 DOCUMENT 62 Ce document a été préparé par DAI

Plus en détail

FORMATION À LA GESTION DES ARCHIVES

FORMATION À LA GESTION DES ARCHIVES FORMATION À LA GESTION DES ARCHIVES Conserver des documents numériques CONSERVER DES DOCUMENTS NUMÉRIQUES Conseils pratiques pour la gestion et la conservation de votre information numérique Méthodes de

Plus en détail

GESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck

GESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck GESTION DE STOCK July 2009 Hilde De Boeck Table des matières Introduction Organisation du stock centrale 1. Gestionnaire de stock 2. Stockage: - Les Conditions - Rangement des produits 3. Les outils de

Plus en détail

Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)

Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances

Plus en détail

BILLON, C. BURNAT, S.DELLION C. FORTAT, M. PALOMINO O. PATEY

BILLON, C. BURNAT, S.DELLION C. FORTAT, M. PALOMINO O. PATEY Gestion d une épidémie de Klebsiella pneumoniae (Kpn) productrice de carbapénèmase OXA 48 dans un service de Maladies nfectieuses et Tropicales francilien. C. BLLON, C. BURNAT, S.DELLON C. FORTAT, M. PALOMNO

Plus en détail

REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CQP AIDE DENTAIRE

REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CQP AIDE DENTAIRE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CQP AIDE DENTAIRE 1 ACTIVITES TECHNIQUES AIDE DENTAIRE / GESTION DU RISQUE INFECTIEUX Préparer et entretenir la salle de soins Entretenir la salle de stérilisation

Plus en détail

GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE

GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE Actualisation Mai 2012 Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE

Plus en détail

La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand

La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand 1 Quelles questions se poser? 1. La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle efficace? 2. Combien coûtent les colonisations/infections

Plus en détail

Mise en œuvre de l accréditation dans un laboratoire de biologie médicale privé

Mise en œuvre de l accréditation dans un laboratoire de biologie médicale privé Mise en œuvre de l accréditation dans un laboratoire de biologie médicale privé SELARL ANALYS / SELARL ANALYS-I Une démarche d accréditation multisites Journée du 29 Juin 2010 Thierry Avellan tavellan@free.fr

Plus en détail

Fiche de poste : Agent d entretien FICHE DE POSTE. AGENT d ENTRETIEN 1/7

Fiche de poste : Agent d entretien FICHE DE POSTE. AGENT d ENTRETIEN 1/7 FICHE DE POSTE AGENT d ENTRETIEN Fiche de poste actualisée le lundi 18 février 2013 1/7 1 SOMMAIRE 2 Positionnement... 3 3 Relations internes et externes... 3 4 Presentation du service entretien... 4 5

Plus en détail

Authentification, Sécurisation, & Tracking de vos équipements et produits

Authentification, Sécurisation, & Tracking de vos équipements et produits Authentification, Sécurisation, & Tracking de vos équipements et produits La sécurisation de vos produits par l implémentation d une solution fiable, économique et performante Sommaire 1. L intérêt de

Plus en détail

Sommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013

Sommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013 La base documentaire a été complètement révisée pour être en conformité avec cette version 2012 de l ISO 15189. La cartographie des différents processus du LBM a également été modifiée (suppression du

Plus en détail

Crise, transmission, concurrence L entreprise face à ses mutations

Crise, transmission, concurrence L entreprise face à ses mutations 11ème Université Interprofessionnelle Mercredi 25 septembre 2013 Espace Tête d Or - Villeurbanne Crise, transmission, concurrence L entreprise face à ses mutations Atelier n 1 Audit social et diagnostic

Plus en détail

Logiciel promoteur / aménageur - Logiciel promoteur / aménageur - Logiciel promoteur / aménageur - Logiciel promoteur / aménageur - Logiciel

Logiciel promoteur / aménageur - Logiciel promoteur / aménageur - Logiciel promoteur / aménageur - Logiciel promoteur / aménageur - Logiciel Promoteur Constructeur Lotiisseur Aménageur Marchands de biiens Solution Promoteur - Aménageur Solution Promoteur - Aménageur Le logiciel prêt à l emploi avec une grande souplesse de paramétrage, Souple

Plus en détail

1 Introduction 2. 1.1 Description 2. 1.2 Accessoires et numéros de pièces 2. 1.3 Caractéristiques 3. 1.4 Aspects réglementaires 3. 2 Mise en service 4

1 Introduction 2. 1.1 Description 2. 1.2 Accessoires et numéros de pièces 2. 1.3 Caractéristiques 3. 1.4 Aspects réglementaires 3. 2 Mise en service 4 Table des matières 1 Introduction 2 1.1 Description 2 1.2 Accessoires et numéros de pièces 2 1.3 Caractéristiques 3 1.4 Aspects réglementaires 3 2 Mise en service 4 2.1 Déballage et inspection 4 2.2 Batterie

Plus en détail

Diriger comme un pilote. Analyses économiques & Techniques aéronautiques au service de la croissance

Diriger comme un pilote. Analyses économiques & Techniques aéronautiques au service de la croissance Diriger comme un pilote Analyses économiques & Techniques aéronautiques au service de la croissance 1 2 3 4 Diriger comme un pilote Une nouvelle vision du management Le cockpit Un laboratoire pour la prise

Plus en détail

1 LES MESURES DE SÉCURITÉ PCI SONT-ELLES ADAPTÉES AU MARCHÉ FRANÇAIS?

1 LES MESURES DE SÉCURITÉ PCI SONT-ELLES ADAPTÉES AU MARCHÉ FRANÇAIS? 1 LES MESURES DE SÉCURITÉ PCI SONT-ELLES ADAPTÉES AU MARCHÉ FRANÇAIS? Au titre de sa mission de suivi des politiques de sécurité mises en œuvre par les émetteurs et les accepteurs, l Observatoire a souhaité,

Plus en détail

A. Le contrôle continu

A. Le contrôle continu L audit d achat est une action volontaire décidée par l entreprise avec pour objet d apprécier la qualité de l organisation de sa fonction achats et le niveau de performance de ses acheteurs. L audit achat

Plus en détail

Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes. Système

Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes. Système Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes Système Nouvelle norme en résection hystéroscopique Truclear apporte une précision, une clarté et une efficacité sans précédents pour réséquer

Plus en détail

Compte Qualité. Maquette V1 commentée

Compte Qualité. Maquette V1 commentée Compte Qualité Maquette V1 commentée Élaborée suite à l expérimentation conduite par la Haute Autorité de santé au second semestre 2013 auprès de 60 établissements testeurs. Direction de l Amélioration

Plus en détail

Édito. Bonne lecture! Catherine DI FOLCO, Présidente du Centre de gestion de la fonction publique territoriale du Rhône et de la Métropole de Lyon

Édito. Bonne lecture! Catherine DI FOLCO, Présidente du Centre de gestion de la fonction publique territoriale du Rhône et de la Métropole de Lyon Édito L année 2014 a constitué pour le Centre de gestion du Rhône et de la Métropole de Lyon une année forte d évolutions et de renouvellement avec en parallèle la poursuite des nombreuses activités qui

Plus en détail

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004 Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)

Plus en détail

Rapport de stage. «Travail préparatoire à l estimation du coût d une bonne qualité des eaux de baignade sur le littoral Aquitain»

Rapport de stage. «Travail préparatoire à l estimation du coût d une bonne qualité des eaux de baignade sur le littoral Aquitain» GRAPE-CEEP Rapport de stage «Travail préparatoire à l estimation du coût d une bonne qualité des eaux de baignade sur le littoral Aquitain» Vallette Jean-Vincent Master II Gestion des Ressources Naturelles

Plus en détail

Cette solution s adresse aussi bien aux PME/PMI qu aux grands groupes, qu ils disposent ou non d une structure de veille dédiée.

Cette solution s adresse aussi bien aux PME/PMI qu aux grands groupes, qu ils disposent ou non d une structure de veille dédiée. PRESENTATION QUI SOMMES-NOUS? La société VIEDOC, formée d ingénieurs expérimentés, conseille depuis 2004 les entreprises dans les domaines de la veille, de l intelligence économique et de l innovation.

Plus en détail

BOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes

BOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes 1. ENTRETIEN À L OUVERTURE D UNE SALLE D OPÉRATION NON UTILISÉE AU DELÀ DE 24 H Nettoyer les surfaces (table d opération, table d instruments, éclairage opératoire, appareil d anesthésie), avec un chiffon

Plus en détail

PM&A Gestion. APRIL Patrimoine. AXERIA Vie. www.april-patrimoine.fr

PM&A Gestion. APRIL Patrimoine. AXERIA Vie. www.april-patrimoine.fr APRIL Patrimoine Spécialiste de l épargne, de la retraite et de la gestion de patrimoine, APRIL Patrimoine est une société d APRIL Group. Elle conçoit ses produits, assure leur gestion administrative et

Plus en détail

Cegid Business Paie. Mise à jour plan de paie 01/01/2014. Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025

Cegid Business Paie. Mise à jour plan de paie 01/01/2014. Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025 Cegid Business Paie Mise à jour plan de paie 01/01/2014 Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025 Mise à jour plan de paie Janvier 2014 Sommaire 1. NOUVELLES VALEURS... 4 Eléments nationaux... 4

Plus en détail

GENER'ACTION Formation

GENER'ACTION Formation GENER'ACTION Formation Actions et formations dans le domaine de la gérontologie sociale GENER'ACTION Formation est une association loi 1901 à but non lucratif dont l'objet est de : Permettre de maintenir

Plus en détail

MyReport, LE REPORTING SOUS EXCEL

MyReport, LE REPORTING SOUS EXCEL MyReport, LE REPORTING SOUS EXCEL De la simplicité d Excel à l autonomie des utilisateurs Avec MyReport : De la manipulation en moins. De l analyse en plus! Tous les services de l entreprise utilisent

Plus en détail

LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire. Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015

LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire. Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015 LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015 1 SOINS DE BOUCHE ENTRETIEN DES PROTHESES DENTAIRES L état bucco-dentaire est souvent préoccupant

Plus en détail

HOPITECH 2011 - BORDEAUX. L'informatisation de la fonction restauration pour une meilleure gestion

HOPITECH 2011 - BORDEAUX. L'informatisation de la fonction restauration pour une meilleure gestion L'informatisation de la fonction restauration pour une meilleure gestion PEDRON Denis Référent Restauration Département de la Politique Logistique Secretariat Général PLAN de L INTERVENTION Historique

Plus en détail

Construire un plan de nettoyage et de désinfection

Construire un plan de nettoyage et de désinfection Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services généraux

Plus en détail

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,

Plus en détail

ARCHIVES NATIONALES. Versement 19900617

ARCHIVES NATIONALES. Versement 19900617 Versement 19900617 MINISTERE : EQUIPEMENT, LOGEMENT, TRANPORTS ET MER DIRECTION : AFFAIRES ECONOMIQUES ET INTERNATIONALES SOUS-DIRECTION : ACTIONS ECONOMIQUES SOCIALES ET REGLEMENTAIRES Sommaire Art 1-149

Plus en détail

POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE

POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE COMMENT REHABILITER UN CHATEAU D EAU? INTRODUCTION Historique de la construction: Construits entre 1920 et 1980, mais depuis 1950 pour 70% du parc actuel.

Plus en détail

Réduire ses coûts d exploitation avec une solution de gestion des outputs et des impressions

Réduire ses coûts d exploitation avec une solution de gestion des outputs et des impressions Réduire ses coûts d exploitation avec une solution de gestion des outputs et des impressions Etude de Cas Le contexte Pour ses besoins internes et externes, une grande banque européenne imprimait en 2012

Plus en détail

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE

Plus en détail

800_Pajol Cpt au 31-01-2011 inclus. Complexe Sportif PAJOL SOLUTION RADIER. Finitions Scellements et calfeutrements Coulage plancher.

800_Pajol Cpt au 31-01-2011 inclus. Complexe Sportif PAJOL SOLUTION RADIER. Finitions Scellements et calfeutrements Coulage plancher. 800_Pajol Cpt au 31-01-2011 inclus Complexe Sportif PAJOL SOLUTION RADIER BILAN MAIN D' ŒUVRE RECAP COD DESIGNATIONS Bud AVANCMT CREDIT DEPENSE ECART ACT 14 817,00 106,00 14 817,00 3,65% 541,45 570,00-28,55

Plus en détail

Serveur Hôte : Serveur physique configuré et administré par GROUPE PULSEHEBERG.

Serveur Hôte : Serveur physique configuré et administré par GROUPE PULSEHEBERG. Conditions Générales de Vente et d Utilisation (CGV / CGU) Lexique Serveur Hôte : Serveur physique configuré et administré par GROUPE PULSEHEBERG. Hébergement mutualisé : Également appelé hébergement web,

Plus en détail

La version électronique fait foi

La version électronique fait foi Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.

Plus en détail

Le premier dispositif 4 en 1.

Le premier dispositif 4 en 1. TETHYS H10 Le premier dispositif 4 en 1. Décontamination, nettoyage, désinfection et séchage en un seul passage pour un flux de travail plus simple, plus rapide et plus efficace. Tethys H10 est le premier

Plus en détail

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement

Plus en détail

La Gestion des Frais Professionnels

La Gestion des Frais Professionnels La Gestion des Frais Professionnels PROGEE R.C.S. Paris A 439 273 350 7, rue Chernoviz - 75016 Paris e-mail : alain.benita@progee.fr GSM : +33(0)6 07 82 30 30 Tel. : +33(0)1 40 50 64 93 LES BENEFICES CLIENT

Plus en détail

Objet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution

Objet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution Ordre de méthode Direction générale de l'alimentation Sous-direction de la sécurité sanitaire des aliments Bureau des établissements d'abattage et de découpe 251 rue de Vaugirard 75 732 PARIS CEDEX 15

Plus en détail

Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau

Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau Thierry POLATO Agence Régionale de Santé Pays de la Loire Délégation territoriale de Maine-et-Loire

Plus en détail

Bac Pro Gestion-Administration. Nice - Formation Académique des 10 et 17 février 2012 1

Bac Pro Gestion-Administration. Nice - Formation Académique des 10 et 17 février 2012 1 Bac Pro Gestion-Administration Nice - Formation Académique des 10 et 17 février 2012 1 Exemples de scénarios pédagogiques sur les trois années de formation D après l Académie de Toulouse 2 A partir des

Plus en détail

BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents

BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation

Plus en détail

Les moyens de financement mobilisables par les entreprises de la Plasturgie

Les moyens de financement mobilisables par les entreprises de la Plasturgie Les moyens de financement mobilisables par les entreprises de la Plasturgie Les entreprises industrielles s appuient régulièrement sur des moyens de financement autres que les fonds propres, afin de développer

Plus en détail

PROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE

PROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE Département Calvados Institution Interdépartementale du Bassin de l Orne PROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE RT DSD 10015EZ phase1-017

Plus en détail

4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES

4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES PROTOCOLE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES TRANSPORTS SANITAIRES ET DE LEURS MATERIELS Selon les protocoles du CLIN, du SMUR 54 et du Groupe Synapse (69) Pour assurer une efficacité optimale du nettoyage

Plus en détail

Industrie des cartes de paiement (PCI) Norme de sécurité des données Récapitulatif des modifications de

Industrie des cartes de paiement (PCI) Norme de sécurité des données Récapitulatif des modifications de Industrie des cartes de paiement (PCI) Norme de sécurité des données Récapitulatif des modifications de la norme PCI DSS entre les versions 2.0 et 3.0 Novembre 2013 Introduction Ce document apporte un

Plus en détail

Votre expert en flux documentaires et logistiques. Prestations audit/conseils

Votre expert en flux documentaires et logistiques. Prestations audit/conseils Votre expert en flux documentaires et logistiques Prestations audit/conseils 1. ConseiL optimisation d exploitation courrier 2. Conseil Aménagements 3. Conseil en procédures de gestion courrier 4. Accompagnement

Plus en détail

MyReport, une gamme complète. La Business Intelligence en toute simplicité : Concevez, partagez, actualisez! pour piloter votre activité au quotidien.

MyReport, une gamme complète. La Business Intelligence en toute simplicité : Concevez, partagez, actualisez! pour piloter votre activité au quotidien. MyReportle reporting sous excel La Business Intelligence en toute simplicité : Concevez, partagez, actualisez! MyReport, une gamme complète pour piloter votre activité au quotidien. En rendant les données

Plus en détail

Quelles sont les principales formules utiles pour l étude de cas de vente?

Quelles sont les principales formules utiles pour l étude de cas de vente? Quelles sont les principales formules utiles pour l étude de cas de vente? Approvisionnement et gestion des stocks : des quantités vendues dans un Du stock initial, final et des livraisons, des commandes

Plus en détail