Évaluation socio-économique des projets de transport

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Évaluation socio-économique des projets de transport"

Transcription

1 Évaluation socio-économique des projets de transport Quelques éléments sur l analyse coûts avantages Damien Grangeon Direction territoriale Centre-Est 23 juin 2015

2 Évaluation des projets d infrastructures et de services de transport au MEEM Instruction du Gouvernement du 16 juin 2014 relative à l évaluation des projets de transport Annule et remplace l instruction-cadre du 24 mars 2004, mise à jour le 27 mai Application des obligation réglementaires (renforcée depuis le 23 décembre 2013) Donne le cadre général et les principes de l évaluation des projets de transport - Évaluation en 3 volets : (1) analyse stratégique, (2) analyse des effets du projet, (3) synthèse - Proportionnalité : précision de l évaluation ~ importance des enjeux et ampleur du projet - Progressivité : précision de l évaluation ~ avancement

3 Évaluation des projets d infrastructures et de services de transport au MEEM Note technique de la DGITM du 27 juin 2014 relative à l évaluation des projets de transport Description de la méthode pour l évaluation - Disponible en ligne : - Prise en compte des recommandation figurant dans le rapport du CGSP relatif à l évaluation socio-économique des investissements publics (septembre 2013) : mise à jour du rapport dit «Boiteux 2»

4 Évaluation des projets d infrastructures et de services de transport au MEEM Fiches-outils du référentiel d évaluation des projets de transport Aides pour la mise en œuvre pratique de la note technique - 33 fiches disponibles en ligne à ce jour : - Format adapté à une évolution au cours du temps Rapport d étude sur l évaluation appliquée aux projets de gestion des trafics Éléments de méthode et d organisation pour la conduite de l évaluation - Disponible en ligne :

5 Analyse stratégique Définir le socle de la démarche d évaluation Description du contexte général du projet - Décrire le projet, les acteurs impliqués et leurs rôles - Tenir compte des orientations locales (PDU, SCoT ) - Définir les périmètres d observation (géographique et temporel) et un «scénario de référence» (= aménagements et évolutions futures de l offre de transport, exogènes au projet) Objectifs du projet - Définir des objectifs «opérationnels» (et les hiérarchiser) - Situer le projet par rapport à des objectifs ou des stratégies de niveau plus élevé (programme) Description de l option de référence et de l option de projet Recommandations pratiques déclinées dans 2 fiches-outils

6 Analyse des effets du projet Juger de l atteinte des objectifs du projet Mesure des impacts du projet (par rapport à l option de référence) - Retenir les indicateurs pertinents avec les objectifs du projet (et qui peuvent être mesurés) - Quantifier l évolution des indicateurs retenus ou, a minima, les qualifier - Recommandations pratiques déclinées dans 13 fiches-outils Bilan coûts avantages - Monétariser certains impacts quantifiés précédemment : lesquels? - Comparer les coûts et les avantages (monétaires ou monétarisés) du projet : comment? - Recommandations pratiques déclinées dans 8 fiches-outils Le bilan coûts avantages : un élément (parmi d autres) de l analyse des effets du projet

7 Bilan coûts avantages Données nécessaires Evolution des effets monétarisables du projet - Gains de temps pour les usagers - Gains de sécurité - Gains environnementaux (émissions de polluants, nuisances sonores, émissions de GES) - Gains financiers pour les usagers (carburants, entretien de leur véhicule ) - Hors transferts entre acteurs (pour éviter les doubles-comptes) - Nécessité de disposer d analyses de qualité et robustes pour ces effets Coûts du projet - Échéancier des coûts d investissement, de grosses réparations, de renouvellement des équipements - Chronique des coûts de fonctionnement et de maintenance (avec leur évolution dans le temps) - En euros constants (= hors inflation)

8 Bilan coûts avantages Méthode de calcul Impact quantifié => Avantage monétarisé - Valeurs tutélaires pour monétariser certains impacts quantifiés Une heure de temps gagné en 2014 «vaut» 8 pour certains usagers, et peut alors être comparée à des coûts d exploitation, d investissements - A un horizon donné Bilan sur la durée de vie du projet - Impacts quantifiés à plusieurs horizons - Chronique des avantages monétarisés (interpolations entre les différents horizons) Chronique des avantages monétarisés => Somme des avantages monétarisés - Taux d actualisation pour comparer des coûts et des avantages à des dates différentes L actualisation reflète la préférence pour le présent par rapport au futur : hors inflation, préfère-t-on avoir 100 aujourd hui ou 100*(1 + a) dans un an? La taux d actualisation a est fixé pour que les deux propositions soient équivalentes.

9 Bilan coûts avantages Calcul d indicateurs socio-économique Valeur actualisée nette socio-économique (VAN-SE) - VAN-SE = Somme des avantages actualisés coûts actualisés du projet - Pour classer des projets : si VAN-SE 1 > VAN-SE 2 > 0, alors les projets 1 et 2 se justifient et 1 est plus intéressant que 2 (du point de vue de l analyse coûts avantages) - Mais aussi VAN-SE par euro investi (= VAN-SE / coûts d investissements actualisés) pour exprimer l effet de levier de l investissement pour la collectivité - Et VAN-SE par euro public investi (= VAN-SE / coûts actualisés nets pour les finances publiques) pour tenir compte des contraintes budgétaires Taux de rentabilité interne (TRI) - TRI = Taux d actualisation qui annule la VAN-SE - Pour choisir des projets : si TRI > 4,5 % (taux d actualisation en vigueur), alors le projet se justifie (du point de vue de l analyse coûts avantages)

10 Résultats du bilan coûts avantages Quelques ordres de grandeur Poids de chaque avantage actualisé - Gains de temps pour les usagers 80 % - Gains de sécurité % - Gains environnementaux 1 % Autres effets du projet - Impacts quantifiés (ou impacts qualifiés) : - Mais non-monétarisés = 0 % dans le bilan coûts avantages - Ce qui ne veut pas dire que ces effets n ont pas de poids dans l évaluation du projet!

11 Utilisation du bilan coûts - avantages Des recommandations pour fixer le cadre du calcul, mais ne pas hésiter à adapter / amender pour les mesures de gestion du trafic La condition : avoir une démarche transparente - Argumenter les adaptations / amendements par rapport aux recommandations - Détailler les hypothèses de calcul «non-conventionnelles» - Quantifier (ou qualifier) l effet des adaptations / amendements du calcul sur les résultats Un exemple : prendre en compte dans le calcul des impacts quantifiés, mais non-monétarisés aujourd hui - Proposer un (ou des) indicateur(s) pour mesurer ces impacts - Des valeurs tutélaires pour le confort ou la fiabilité des temps de parcours

12 Utilisation du bilan coûts - avantages Des effets sur le calcul des indicateurs socio-économiques - Procéder à des adaptations / amendements qui favorisent la rentabilité des mesures de gestion du trafic - Un exemple : la monétarisation des gains de fiabilité en termes de temps de parcours suite à la mise en service d une voie réservée à l entrée de Marseille sur l A7 18% 16% 14% 12% Après aménagement Avant aménagement D une différence de temps de parcours moyen (avant/après aménagement) à une comparaison de distribution des temps de parcours. Quels indicateurs? Quelles valorisations? 10% 8% 6% 4% 2% 0% 00:23 00:28 00:33 00:38 00:43 00:48 00:53 00:58 01:03 01:08 01:13

13 Utilisation du bilan coûts - avantages Quelques écueils à éviter L analyse coûts avantages doit être considérée pour ce qu elle est (ni plus, ni moins) - Une forme d analyse multi-critères, avec agrégation (calcul des indicateurs socio-économiques) et pondération (valeurs tutélaires) des effets pris en compte - Une information fournie dans le cadre de l évaluation du projet, comme les indicateurs d impacts quantifiés ou qualifiés L analyse coûts avantages ne doit pas biaiser l évaluation du projet - Ne pas limiter l analyse des impacts du projet aux impacts les plus fortement valorisés dans l analyse coûts avantages - Le projet peut viser des objectifs dont l atteinte est mesurée par des objectifs nonmonétarisables

14 Merci. Des questions?

La valeur présente (ou actuelle) d une annuité, si elle est constante, est donc aussi calculable par cette fonction : VA = A [(1-1/(1+k) T )/k]

La valeur présente (ou actuelle) d une annuité, si elle est constante, est donc aussi calculable par cette fonction : VA = A [(1-1/(1+k) T )/k] Evaluation de la rentabilité d un projet d investissement La décision d investir dans un quelconque projet se base principalement sur l évaluation de son intérêt économique et par conséquent, du calcul

Plus en détail

Présentation. Intervenant EURISTIC. Jean-Louis BAUDRAND Directeur associé

Présentation. Intervenant EURISTIC. Jean-Louis BAUDRAND Directeur associé Atelier ORAS Pilotage des rémunérations variables Groupe RH&M Le volet informatisation Jean-Louis BAUDRAND Directeur associé EURISTIC 4 février 2010 Présentation Intervenant EURISTIC Jean-Louis BAUDRAND

Plus en détail

Calcul économique privé

Calcul économique privé Année 2010-2011 Alain Marciano : L analyse coût avantage Licence Sciences Economiques 3, UM1 Plan chapitre Section 1. L agrégation des effets dans le temps : l actualisation Section 2. Les critères complémentaires

Plus en détail

Développement rural 2007-2013. Document d orientation

Développement rural 2007-2013. Document d orientation Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

L ANALYSE COUT-EFFICACITE

L ANALYSE COUT-EFFICACITE L ANALYSE COUT-EFFICACITE 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L analyse coût-efficacité est un outil d aide à la décision. Il a pour but d identifier la voie la plus efficace, du point de vue

Plus en détail

Version définitive approuvée après enquête publique

Version définitive approuvée après enquête publique Secteurs 3 et 4 de Marne-la-Vallée et communes environnantes Phase 3 Version définitive approuvée après enquête publique ROLAND RIBI & ASSOCIES Ingénieurs-conseils et urbanistes s.à.r.l. 15, avenue de

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information

Plus en détail

HSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT. 8 modules de management intégrés. www.red-on-line.net

HSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT. 8 modules de management intégrés. www.red-on-line.net HSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT 8 modules de management intégrés www.red-on-line.net www.red-on-line.net HSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT 1. 2. 3. 1. 4. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 5. 1.

Plus en détail

Continent africain / Evaluation de préjudice Les économistes apportent des réponses à 360 degrés lors des procédures litigieuses

Continent africain / Evaluation de préjudice Les économistes apportent des réponses à 360 degrés lors des procédures litigieuses Tribune Paris, le 19 janvier 2015 Continent africain / Evaluation de préjudice Les économistes apportent des réponses à 360 degrés lors des procédures litigieuses Par Gildas de Muizon (Directeur associé)

Plus en détail

Format de l avis d efficience

Format de l avis d efficience AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation

Plus en détail

La qualité des services mobiles en France métropolitaine

La qualité des services mobiles en France métropolitaine Juin 2014 La qualité des services mobiles en France métropolitaine Synthèse de l enquête 2014 ISSN : 2258-3106 Synthèse des résultats de l enquête 2014 de l ARCEP sur la qualité des services mobiles Ce

Plus en détail

Les transports intelligents enjeux et action publique. formation ENTE Aix 16 juin 2014 Patrick Gendre, CEREMA DTerMed

Les transports intelligents enjeux et action publique. formation ENTE Aix 16 juin 2014 Patrick Gendre, CEREMA DTerMed Les transports intelligents enjeux et action publique formation ENTE Aix 16 juin 2014 Patrick Gendre, CEREMA DTerMed 05/06/2014 Sommaire on ne traitera que de route et transports de personnes 1. présentation

Plus en détail

Ecrire pour le web. Rédiger : simple, concis, structuré. Faire (plus) court. L essentiel d abord. Alléger le style. Varier les types de contenus

Ecrire pour le web. Rédiger : simple, concis, structuré. Faire (plus) court. L essentiel d abord. Alléger le style. Varier les types de contenus Ecrire pour le web Un texte web de lecture aisée pour l internaute, l est aussi pour les moteurs de recherche ; l écriture peut ainsi être mise au service du référencement naturel. De façon complémentaire,

Plus en détail

Comment financer sa stratégie d efficacité énergétique

Comment financer sa stratégie d efficacité énergétique Partageons le succès de nos expériences Comment financer sa stratégie d efficacité énergétique Pascal Lesage Directeur Commercial 06 86 68 85 92 01 41 42 33 95 14 Novembre 2014 5 domaines d intervention

Plus en détail

ING Turbos Infinis. Avantages des Turbos Infinis Potentiel de rendement élevé. Pas d impact de la volatilité. La transparence du prix

ING Turbos Infinis. Avantages des Turbos Infinis Potentiel de rendement élevé. Pas d impact de la volatilité. La transparence du prix ING Turbos Infinis Produit présentant un risque de perte en capital et à effet de levier. Les Turbos sont émis par ING Bank N.V. et sont soumis au risque de défaut de l émetteur. ING Turbos Infinis Les

Plus en détail

Chapitre 4 : cas Transversaux. Cas d Emprunts

Chapitre 4 : cas Transversaux. Cas d Emprunts Chapitre 4 : cas Transversaux Cas d Emprunts Échéanciers, capital restant dû, renégociation d un emprunt - Cas E1 Afin de financer l achat de son appartement, un particulier souscrit un prêt auprès de

Plus en détail

Bien préparer la mise en place du nouveau modèle de financement

Bien préparer la mise en place du nouveau modèle de financement Bien préparer la mise en place du nouveau modèle Juillet 2013 Cette présentation générale a été élaborée à l intention des pays et des autres parties prenantes, aux fins de leur indiquer les principaux

Plus en détail

Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve

Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve Le tableau de bord On peut le définir comme la présentation synoptique d indicateurs relatifs au suivi d une bibliothèque, d un projet, d un service.

Plus en détail

L Application Performance Management pourquoi et pour quoi faire?

L Application Performance Management pourquoi et pour quoi faire? Management pourquoi et pour quoi faire? Un guide pratique pour comprendre l intérêt des solutions d Application Management, à l heure où les systèmes d information sont au cœur de l efficacité opérationnelle

Plus en détail

Chapitre 1 : principes d actualisation

Chapitre 1 : principes d actualisation Chapitre 1 : principes d actualisation 27.09.2013 Plan du cours Principes valeur actuelle arbitrage loi du prix unique Valeur temps valeur actuelle et valeur future valeur actuelle nette (VAN) annuités

Plus en détail

Analyse des risques financiers

Analyse des risques financiers Analyse des risques financiers Version du 1 er octobre 2014 Cette fiche s'adresse aux services de l État mandatés pour mener une analyse financière et est susceptible de contribuer à la définition du niveau

Plus en détail

Session Usager, Infrastructures, Réseaux sociaux et Transports intelligents

Session Usager, Infrastructures, Réseaux sociaux et Transports intelligents Session Usager, Infrastructures, Réseaux sociaux et Transports intelligents Président : Benoît CLOCHERET Artelia Modérateur : Christophe DESNOUAILLES Cerema Données mobiles : De la mobilité 2.0 au PDU

Plus en détail

Schéma du plan d affaires

Schéma du plan d affaires Plan d affaires Schéma du plan d affaires SOMMAIRE EXÉCUTIF DESCRIPTION DU PROJET OBJECTIFS FORME JURIDIQUE ÉQUIPE DIRIGEANTE MARKETING PRODUCTION SOUTIEN ADMINISTRATIF ANALYSE MARCHÉ ANALYSE MARKETING

Plus en détail

PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT

PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT LES NOUVEAUX BLEUS BUDGÉTAIRES ET LES PROJETS ANNUELS DE PERFORMANCES Les documents

Plus en détail

Exposé-sondage. Conseil des normes actuarielles. Avril 2013. Document 213018

Exposé-sondage. Conseil des normes actuarielles. Avril 2013. Document 213018 Exposé-sondage Révisions aux Normes de pratique applicables aux régimes de retraite Hypothèses pour les évaluations de liquidation hypothétique et de solvabilité Conseil des normes actuarielles Avril 2013

Plus en détail

Annexe A de la norme 110

Annexe A de la norme 110 Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet

Plus en détail

Du diagnostic au Plan d Actions

Du diagnostic au Plan d Actions PDU DE LA COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DE ROYAN ATLANTIQUE (CARA) 2013-2022 Du diagnostic au Plan d Actions Réunions Publiques Automne 2012 1 Déroulé de la séance Rappel de la démarche (loi, diagnostic,

Plus en détail

L a d é m a r c h e e t l e s o u t i l s p r o p o s é s

L a d é m a r c h e e t l e s o u t i l s p r o p o s é s Guide méthodologique pour la construction d un bilan quantitatif et qualitatif des contrats de territoire. L a d é m a r c h e e t l e s o u t i l s p r o p o s é s Il est proposé de bâtir le bilan avec

Plus en détail

Contribution des industries créatives

Contribution des industries créatives RÉSUMÉ - Septembre 2014 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes de PIB et d emploi Évolution 2008-2011 2 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes

Plus en détail

Choix méthodologiques pour l évaluation économique à la HAS

Choix méthodologiques pour l évaluation économique à la HAS GUIDE MÉTHODOLOGIQUE Choix méthodologiques pour l évaluation économique à la HAS Octobre 2011 1 Haute Autorité de santé Service communication 2 avenue du Stade de France - F 93218 Saint-Denis La Plaine

Plus en détail

L évaluation de la rentabilité d un investissement

L évaluation de la rentabilité d un investissement L évaluation de la rentabilité d un investissement Formation des Responsables Énergie de la RBC Céline Martin ICEDD asbl 22 mars 2007 Situation de départ: le cas du remplacement d une chaudière On désire

Plus en détail

Instruments financiers et comptabilité de couverture : de nouveaux principes français en préparation

Instruments financiers et comptabilité de couverture : de nouveaux principes français en préparation Instruments financiers et comptabilité de couverture : de nouveaux principes français en préparation Conférence IMA du 05 avril 2012 Isabelle SAPET, Associée Programme 1. Introduction 2. Classification

Plus en détail

Démarche de guichet unique (Articuler et faciliter l'accès aux différents dispositifs) Diagnostic socio technique

Démarche de guichet unique (Articuler et faciliter l'accès aux différents dispositifs) Diagnostic socio technique FICHE N 7 ISOLATION POUR 1 DES COMBLES PERDUS AVEC LE PACTE ÉNERGIE SOLIDARITÉ La fiche a été créée le 22/08/13. VOLET 3 Organisation territoriale (management, coordination des acteurs, des réseaux, etc.)

Plus en détail

Rapport standard analyse des risques/stratégie d audit. Sommaire

Rapport standard analyse des risques/stratégie d audit. Sommaire Projet de mise en consultation du 9 septembre 2003 Circ.-CFB 0 / Annexe 1: Rapport standard analyse des risques/stratégie d audit Rapport standard analyse des risques/stratégie d audit Les sociétés d audit

Plus en détail

Programme national «très haut débit»

Programme national «très haut débit» Liberté. Égalité. Fraternité RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Programme national «très haut débit» - 1 - Sommaire I. ENJEU 3 II. DESCRIPTION GENERALE 4 III. PILOTAGE DU PROGRAMME 4 IV. PHASE DE LANCEMENT DU PROGRAMME

Plus en détail

Dématérialisation des factures du Secteur Public. Présentation de l obligation à la fédération des offices publics de l habitat 3 avril 2015

Dématérialisation des factures du Secteur Public. Présentation de l obligation à la fédération des offices publics de l habitat 3 avril 2015 Dématérialisation des factures du Secteur Public Présentation de l obligation à la fédération des offices publics de l habitat 3 avril 2015 1 La dématérialisation des factures 2 2008 : La première étape

Plus en détail

Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP

Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP

Plus en détail

Rendez-vous de Insee. «Des projections de ménages aux besoins. en logement» Mardi 11 décembre 2012. Annaïg LE MEUR, SIAL/DPH

Rendez-vous de Insee. «Des projections de ménages aux besoins. en logement» Mardi 11 décembre 2012. Annaïg LE MEUR, SIAL/DPH Rendez-vous de Insee «Des projections de ménages aux besoins en logement» Mardi 11 décembre 2012 Annaïg LE MEUR, SIAL/DPH SOMMAIRE 1. L'évaluation des besoins en logements menée en Pays de la Loire Contexte

Plus en détail

COMMUNIQUER PLUS AISÉMENT AVEC L AWEX.

COMMUNIQUER PLUS AISÉMENT AVEC L AWEX. COMMUNIQUER PLUS AISÉMENT AVEC L AWEX. Vade-mecum des moyens de communication électroniques de l AWEX pour les entreprises. W A L L O N I A E X P O R T & I N V E S T M E N T Agence wallonne à l Exportation

Plus en détail

COMPLETE RECYCLING OF CONCRETE. Socio economic and environmental analysis

COMPLETE RECYCLING OF CONCRETE. Socio economic and environmental analysis DIFFERENT INDUSTRIAL WAYS OF PRODUCTION OF NATURAL AND RECYCLED AGGREGATES IN NORTH-PAS DE CALAIS REGION. Socio economic and environmental analysis Prof. F. Buyle-Bodin (1), Prof. O. Blanpain (2) and Prof.

Plus en détail

EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE

EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE (Préparation : 5 heures -- Exposé et Questions : 1 heure) Rapport établi par : P.J. BARRE, E. JEAY, D. MARQUIS, P. RAY, A. THIMJO 1. PRESENTATION DE L EPREUVE 1.1.

Plus en détail

CORRIGES DES CAS TRANSVERSAUX. Corrigés des cas : Emprunts

CORRIGES DES CAS TRANSVERSAUX. Corrigés des cas : Emprunts CORRIGES DES CAS TRANSVERSAUX Corrigés des cas : Emprunts Remboursement par versements périodiques constants - Cas E1 Objectifs : Construire un échéancier et en changer la périodicité, Renégocier un emprunt.

Plus en détail

Le nouveau programme national de renouvellement urbain. CRDSU septembre 2014

Le nouveau programme national de renouvellement urbain. CRDSU septembre 2014 Le nouveau programme national de renouvellement urbain CRDSU septembre 2014 Un nouveau programme de renouvellement urbain! Un projet à l échelle de l agglomération, un projet intégré : le contrat de ville!

Plus en détail

Management des organisations

Management des organisations Management des organisations Rénovation Voie Technologique Tertiaire, de STG vers STMG Académie de Lyon Présentation de scenarii pédagogiques Classe de 1STMG Rappels Une approche dynamique : méthodes actives

Plus en détail

Tableau de Bord. Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication

Tableau de Bord. Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication Bande de Com! Tableau de Bord Julien Pansier PROJET Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication 1.1.1 Prise en charge du dossier de l annonceur C11.1. S approprier la demande de l annonceur - Comprendre

Plus en détail

PASCAL DECARY DIRECTEUR ACHATS GROUPE REDACTEUR : BENJAMIN HULOT VERSION - DATE : V1 : 08-12-2014 DATE D APPLICATION : 01-01-2014

PASCAL DECARY DIRECTEUR ACHATS GROUPE REDACTEUR : BENJAMIN HULOT VERSION - DATE : V1 : 08-12-2014 DATE D APPLICATION : 01-01-2014 PROCEDURE DE GESTION GROUPE REPORTING ACHATS DD DAG PASCAL DECARY DIRECTEUR ACHATS GROUPE REDACTEUR : BENJAMIN HULOT VERSION - DATE : V1 : 08-12-2014 DATE D APPLICATION : 01-01-2014 OBJECTIF 1. Définition

Plus en détail

V- Conclusion: La relation Marché / Emploi / Formation Prévision à l horizon 2014

V- Conclusion: La relation Marché / Emploi / Formation Prévision à l horizon 2014 V- Conclusion: La relation Marché / Emploi / Formation A- Les marchés du Bâtiment à l horizon 2014 1. Scénario prospectif sur le territoire de la Les prévisions à horizon 2014 reposent sur plusieurs hypothèses

Plus en détail

Convention collective de la production cinématographique : Etude d'impact sur le texte signé le 19 janvier 2012

Convention collective de la production cinématographique : Etude d'impact sur le texte signé le 19 janvier 2012 AFPF APC APFP SPI UPF Convention collective de la production cinématographique : Etude d'impact sur le texte signé le 19 janvier 2012 Notre étude d impact a été réalisée à partir de données objectives

Plus en détail

Chapitre 2. Valeur temps de l argent : arbitrage, actualisation et capitalisation

Chapitre 2. Valeur temps de l argent : arbitrage, actualisation et capitalisation Fondements de Finance Chapitre 2. Valeur temps de l argent : arbitrage, actualisation et capitalisation Cours proposé par Fahmi Ben Abdelkader Version étudiants Février 2012 1 Préambule «Time is money»

Plus en détail

Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé

Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé en vue de l obtention du titre de "Conseiller ère diplômé e en orientation professionnelle, universitaire et de carrière" par la validation

Plus en détail

CPOM 2013-2018. Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France

CPOM 2013-2018. Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France CPOM 2013-2018 Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France FICHE D AIDE AU DIAGNOSTIC ET A LA NEGOCIATION Annexe 2 Moyens Volet 3

Plus en détail

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX

Plus en détail

Plan de professionnalisation des adultes-relais de la Martinique

Plan de professionnalisation des adultes-relais de la Martinique Plan de professionnalisation des adultes-relais de la Martinique Les acteurs du programme Un plan national de professionnalisation à destination des adultes-relais qui se décline au plan territorial sur

Plus en détail

Benchmark sur le processus de consolidation. Analyse portant sur les sociétés du CAC 40 Décembre 2012

Benchmark sur le processus de consolidation. Analyse portant sur les sociétés du CAC 40 Décembre 2012 Benchmark sur le processus de consolidation Analyse portant sur les sociétés du CAC 40 Décembre 2012 Introduction La communication financière est un enjeu majeur pour l ensemble des sociétés. La volonté

Plus en détail

Fonds de placement Le modèle adapté à chaque type d investisseur.

Fonds de placement Le modèle adapté à chaque type d investisseur. Fonds de placement Le modèle adapté à chaque type d investisseur. Bienvenue. Des arguments qui comptent Les points forts des fonds de placement du Credit Suisse. De nets avantages Les fonds de placement:

Plus en détail

Table des matières. Avant-propos...

Table des matières. Avant-propos... Table des matières Avant-propos................................................. XI Chapitre 1 Découvrir Project 2013.......................... 1 1.1 Introduction.............................................

Plus en détail

Date limite de remise des dossiers de réponse :

Date limite de remise des dossiers de réponse : REGLEMENT DE L APPEL A MANIFESTATION D INTÉRÊT POUR LA MISE EN ŒUVRE DU TROISIEME SEGMENT DU SERVICE PUBLIC REGIONAL DE LA FORMATION (SPRF) SOUS FORME D UN SERVICE D INTERET ECONOMIQUE GENERAL (SIEG) TERRITRORIALISE

Plus en détail

La cotation Banque de France

La cotation Banque de France ENTREPRISES PROFESSION BANCAIRE La cotation Banque de France Guide de référence 2011 Une référence pour le dialogue entre la banque et l entreprise Sommaire LA COTATION BANQUE DE FRANCE 1.1. UNE COTATION

Plus en détail

Stratégie de rémunération

Stratégie de rémunération CONSULTING Offre Conseil RH Stratégie de rémunération La stratégie de rémunération est un facteur de stabilité et de performance de l'entreprise. GFI Consulting vous accompagne en mettant en cohérence

Plus en détail

Quels liens entre les modèles et la réalité? Mathilde Jung Université d été / Lundi 9 Juillet 2012 AG2R LA MONDIALE

Quels liens entre les modèles et la réalité? Mathilde Jung Université d été / Lundi 9 Juillet 2012 AG2R LA MONDIALE Quels liens entre les modèles et la réalité? Mathilde Jung Université d été / Lundi 9 Juillet 2012 AG2R LA MONDIALE Solvabilité 2, une réforme en 3 piliers Les objectifs : Définir un cadre harmonisé imposant

Plus en détail

Modèle Cobit www.ofppt.info

Modèle Cobit www.ofppt.info ROYAUME DU MAROC Office de la Formation Professionnelle et de la Promotion du Travail Modèle Cobit DIRECTION RECHERCHE ET INGENIERIE DE FORMATION SECTEUR NTIC Sommaire 1. Introduction... 2 2. Chapitre

Plus en détail

Qu est-ce que l effet de levier?

Qu est-ce que l effet de levier? EMPRUNTER POUR INVESTIR : CE N EST PAS POUR TOUT LE MONDE Qu est-ce que l effet de levier? L effet de levier consiste à investir en empruntant une partie ou la totalité des sommes. De cette façon, vous

Plus en détail

Audit de modernisation relatif à l archivage. Rapport interministériel complémentaire

Audit de modernisation relatif à l archivage. Rapport interministériel complémentaire 1 Audit de modernisation relatif à l archivage Rapport interministériel complémentaire Mars 2007 Audit archivage Constats Audits de modernisation 1. Cadre de l audit L audit de modernisation sur l archivage

Plus en détail

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections

Plus en détail

Note de service À : De :

Note de service À : De : Note de service À : De : Tous les Fellows, affiliés, associés et correspondants de l Institut canadien des actuaires et autres parties intéressées Jim Christie, président Conseil des normes actuarielles

Plus en détail

L ORSA : quelles conséquences sur le pilotage stratégique de l entreprise?

L ORSA : quelles conséquences sur le pilotage stratégique de l entreprise? Conseil en Organisation et Management secteur assurance L ORSA : quelles conséquences sur le pilotage stratégique de l entreprise? 24 novembre 2010 Sommaire Ce qui se dit sur l ORSA L ORSA et le modèle

Plus en détail

LES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1

LES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1 LES SIIC et la retraite Étude réalisée par Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF Les SIIC et la retraite 1 23 juin 2014 2 Les SIIC et la retraite La retraite est, avec l emploi et

Plus en détail

Réussir l externalisation de sa consolidation

Réussir l externalisation de sa consolidation Réussir l externalisation de sa consolidation PAR ERWAN LIRIN Associé Bellot Mullenbach et Associés (BMA), activité Consolidation et Reporting ET ALAIN NAULEAU Directeur associé Bellot Mullenbach et Associés

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

15/02/2009. Le calcul des intérêts. Le calcul des intérêts. Le calcul des intérêts Les intérêts simples. Le calcul des intérêts Les intérêts simples

15/02/2009. Le calcul des intérêts. Le calcul des intérêts. Le calcul des intérêts Les intérêts simples. Le calcul des intérêts Les intérêts simples Le taux d intérêt Comparer ce qui est comparable 2 Chapitre 1 La valeur du temps Aide-mémoire - 2009 1 Deux sommes de même montant ne sont équivalentes que si elles sont considérées à une même date. Un

Plus en détail

ACCORD DU 27 NOVEMBRE 2013

ACCORD DU 27 NOVEMBRE 2013 MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3364 Convention collective nationale RÉGIME SOCIAL DES INDÉPENDANTS IDCC : 2796. Personnel de direction Brochure

Plus en détail

Le choc de l ANI sur le paysage concurrentiel quelles stratégies de conquête des entreprises?

Le choc de l ANI sur le paysage concurrentiel quelles stratégies de conquête des entreprises? Le choc de l ANI sur le paysage concurrentiel quelles stratégies de conquête des entreprises? Introduction: Michel COLLOMBET 1 Des rebondissements depuis dix mois Etape 1 : La couverture collective pour

Plus en détail

Sage 30 pour les petites entreprises

Sage 30 pour les petites entreprises Informations France : 0 825 825 603 (0.15 TTC/min) Informations Export : +33 (0)5 56 136 988 (hors France métropolitaine) www.sage.fr/pme Sage 30 pour les petites entreprises Abordez votre gestion en toute

Plus en détail

Améliorer l efficacité de votre fonction RH

Améliorer l efficacité de votre fonction RH Améliorer l efficacité de votre fonction RH Des tendances accentuées par un environnement économique et social en constante évolution La fonction RH doit répondre à des exigences croissantes en termes

Plus en détail

RÉFÉRENTIEL COMMUN DE CERTIFICATION REFERENTIEL CERTIFICATION V43 10-11-07 1

RÉFÉRENTIEL COMMUN DE CERTIFICATION REFERENTIEL CERTIFICATION V43 10-11-07 1 RÉFÉRENTIEL COMMUN DE CERTIFICATION REFERENTIEL CERTIFICATION V43 10-11-07 1 A1.1 Recherche de clientèle et contact A 1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTÈLE Tâches Compétences professionnelles Attitudes

Plus en détail

Pôle Performance Industrielle Durable. Page 1 Rencontre SEE Le 20/05/2014 Lille. Innover

Pôle Performance Industrielle Durable. Page 1 Rencontre SEE Le 20/05/2014 Lille. Innover Page 1 Innover en mécanique Page 2 Rencontre Solutions Energie Entreprises Lille le 20 mai 2014 Atelier : «Audit énergétique obligatoire : quelles sont les entreprises concernées?» Eric SENECHAL-CETIM

Plus en détail

Analyse financière et économique de projets

Analyse financière et économique de projets Commission Européenne EuropeAid Analyse financière et économique de projets Syllabus Cours de base Help desk EcoFin 2004 Table des matières I. INTRODUCTION...5 Structure du document...5 Objectifs du cours...5

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. II. La théorie de la valeur... 20 A. Les notions de base de mathématiques financières... 20 B. Les annuités constantes...

TABLE DES MATIÈRES. II. La théorie de la valeur... 20 A. Les notions de base de mathématiques financières... 20 B. Les annuités constantes... TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE 1 La valeur et le temps... 15 I. De la difficulté d estimer la valeur d un bien... 15 A. La valeur est une rente... 16 B. La valeur est un retour sur investissement... 18 II.

Plus en détail

Identification, évaluation et gestion des incidents

Identification, évaluation et gestion des incidents Identification, évaluation et gestion des incidents De la cartographie des risques à la mise en place de la base incidents Xavier DIVAY Responsable de la conformité et du contrôle permanent QUILVEST BANQUE

Plus en détail

MEGA Application Portfolio Management. Guide d utilisation

MEGA Application Portfolio Management. Guide d utilisation MEGA Application Portfolio Management Guide d utilisation MEGA 2009 SP5 R7 2ème édition (novembre 2012) Les informations contenues dans ce document pourront faire l objet de modifications sans préavis

Plus en détail

C11.2 Identifier les solutions à mettre en œuvre C11.3 Préparer le cahier des charges

C11.2 Identifier les solutions à mettre en œuvre C11.3 Préparer le cahier des charges Classe de situation (3) Clas.1.1. Conduite d'un projet de F1 Mise en œuvre et suivi de projets de (3 classes de situations / 10 situations / 12 compétences) Situations (4+2+4) Compétences (6+2+4) Compétences

Plus en détail

LISTE D EXERCICES 2 (à la maison)

LISTE D EXERCICES 2 (à la maison) Université de Lorraine Faculté des Sciences et Technologies MASTER 2 IMOI, parcours AD et MF Année 2013/2014 Ecole des Mines de Nancy LISTE D EXERCICES 2 (à la maison) 2.1 Un particulier place 500 euros

Plus en détail

Mercredi 10 juin 2015 20h30-22h30

Mercredi 10 juin 2015 20h30-22h30 CONSEIL DE QUARTIER DU GUICHET Mercredi 10 juin 2015 20h30-22h30 ORDRE DU JOUR 1- Présentation du budget de la ville 2015 : serré et responsable. 2- Révision du Plan Local d Urbanisme : objectifs, cadre

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. Avant-propos... Remerciements... CHAPITRE 1 LA COMPTABILITÉ DE MANAGEMENT... 1

TABLE DES MATIÈRES. Avant-propos... Remerciements... CHAPITRE 1 LA COMPTABILITÉ DE MANAGEMENT... 1 TABLE DES MATIÈRES Avant-propos........................................................... Remerciements......................................................... V VII CHAPITRE 1 LA COMPTABILITÉ DE MANAGEMENT................

Plus en détail

Guide d auto-évaluation

Guide d auto-évaluation REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE ----------- Autorité nationale d Assurance Qualité de l Enseignement supérieur ANAQ-Sup Guide d auto-évaluation

Plus en détail

Bâtir un système intégré

Bâtir un système intégré Florence GILLET-GOINARD Bâtir un système intégré Qualité/Sécurité/Environnement De la qualité au QSE Groupe Eyrolles, 2006 ISBN : 2-7081-3651-8 CHAPITRE 1 Un système intégré, quels enjeux? 1. QU EST-CE

Plus en détail

Informations financières concernant le patrimoine, la situation financière et les résultats de l émetteur

Informations financières concernant le patrimoine, la situation financière et les résultats de l émetteur COMPTES CONSOLIDÉS 2013 Informations financières concernant le patrimoine, la situation financière et les résultats de l émetteur 1 Informations financières historiques 3 Comptes de résultat consolidés

Plus en détail

Avis de l IRSN sur la tenue en service des cuves des réacteurs de 900 MWe, aspect neutronique et thermohydraulique

Avis de l IRSN sur la tenue en service des cuves des réacteurs de 900 MWe, aspect neutronique et thermohydraulique Avis DSR/2010-065 26 février 2010 Avis de l IRSN sur la tenue en service des cuves des réacteurs de 900 MWe, aspect neutronique et thermohydraulique Par lettre du 19 février 2009, l Autorité de sûreté

Plus en détail

Réglementés d électricité

Réglementés d électricité Fin des Tarifs Réglementés d électricité Bienvenue dans un monde nouveau 7 RepÈres pour vous y retrouver sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Quels sont les sites concernés par la fin des tarifs? 1 Q uels sont les sites

Plus en détail

N o t e m é t h o d o l o g i q u e. Art. 60 du règlement n 1083/2006 et art. 13 du règlement n 1828/2006 - voir annexe n 1.

N o t e m é t h o d o l o g i q u e. Art. 60 du règlement n 1083/2006 et art. 13 du règlement n 1828/2006 - voir annexe n 1. Modalités de réalisation du contrôle de service fait des opérations cofinancées au titre des programmes du Fonds social européen, pour la période 2007-2013 N o t e m é t h o d o l o g i q u e Sources règlementaires

Plus en détail

blgpec : Où en est mon établissement? Sommaire :

blgpec : Où en est mon établissement? Sommaire : 2 Sommaire : INTRODUCTION / PRESENTATION La GPEC, pourquoi?... 3 La GPEC, c est quoi?... 4 La GPEC, comment?... 5 Les objectifs du guide... 6 Comment utiliser ce guide?... 7 LE GUIDE D AUTODIAGNOSTIC Projet

Plus en détail

COMPTES CONSOLIDÉS2014

COMPTES CONSOLIDÉS2014 COMPTES CONSOLIDÉS 2014 Informations financières concernant le patrimoine, la situation financière et les résultats de l émetteur 1 Informations financières historiques 3 Comptes de résultat consolidés

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE 06/2015 OPÉRATION PROGRAMMÉE D AMÉLIORATION DE L HABITAT

DOSSIER DE PRESSE 06/2015 OPÉRATION PROGRAMMÉE D AMÉLIORATION DE L HABITAT DOSSIER DE PRESSE 06/2015 OPÉRATION PROGRAMMÉE D AMÉLIORATION DE L HABITAT O.P.A.H. multisites de la CCPRO, présentation de la démarche Dans le cadre de son Programme Local de l Habitat, la CCPRO a lancé,

Plus en détail

FACE AUX DÉFIS ÉCOLOGIQUES

FACE AUX DÉFIS ÉCOLOGIQUES L ENVIRONNEMENT EN FRANCE 2 FACE AUX DÉFIS ÉCOLOGIQUES des initiatives locales et des actions de long terme VERS UN RAPPROCHEMENT DES ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES ET DE L ENVIRONNEMENT? INTRODUCTION L OBSERVATION

Plus en détail

- 01 - GESTION DES INVESTISSEMENTS RENTABILITE ECONOMIQUE

- 01 - GESTION DES INVESTISSEMENTS RENTABILITE ECONOMIQUE - 01 - GESTION DES INVESTISSEMENTS RENTABILITE ECONOMIQUE Objectif(s) : o Choix des investissements et rentabilité économique : Capacité d'autofinancement prévisionnelle ; Flux nets de trésorerie ; Evaluations.

Plus en détail

Contenu de l action de formation BTS Management des Unités Commerciales

Contenu de l action de formation BTS Management des Unités Commerciales Contenu de l action de formation BTS Management des Unités Commerciales La fonction commerciale a évolué vers une personnalisation de l offre et de la relation client ainsi qu au développement des services

Plus en détail

Calcul du Coût Global Objectifs, méthodologie et principes d application selon la Norme ISO/DIS 15686-5

Calcul du Coût Global Objectifs, méthodologie et principes d application selon la Norme ISO/DIS 15686-5 Calcul du Coût Global Objectifs, méthodologie et principes d application selon la Norme ISO/DIS 15686-5 principes d application selon la Norme ISO/DIS 15686-5 Page 1/23 Sommaire 1. Enjeux et fondements

Plus en détail

FISCALITÉ ET BUSINESS PLAN : DE LA DÉDUCTIBILITÉ DES CHARGES FINANCIÈRES

FISCALITÉ ET BUSINESS PLAN : DE LA DÉDUCTIBILITÉ DES CHARGES FINANCIÈRES FISCALITÉ ET BUSINESS PLAN : DE LA DÉDUCTIBILITÉ DES CHARGES FINANCIÈRES Pierre Astolfi et Olivier Ramond SFEV Matinale du 17 avril 2013 INTRODUCTION (1/2) Depuis 2006, 4 enjeux en matière de construction

Plus en détail

Déjeuner EIM 360 - Enterprise Information Management. Mardi 16 novembre 2010 Restaurant l Amourette Montreuil Thomas Dechilly CTO Sollan

Déjeuner EIM 360 - Enterprise Information Management. Mardi 16 novembre 2010 Restaurant l Amourette Montreuil Thomas Dechilly CTO Sollan Déjeuner EIM 360 - Enterprise Information Management Mardi 16 novembre 2010 Restaurant l Amourette Montreuil Thomas Dechilly CTO Sollan (Extract du livre blanc) Introduction... 2 Continuité des pratiques

Plus en détail