Infarctus du myocarde chez le sujet VIH : quelles particularités?
|
|
- Laure Fleury
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Mini-revue Sang Thrombose Vaisseaux 2008 ; 20, n 9 : Infarctus du myocarde chez le sujet VIH : quelles particularités? Franck Boccara, Catherine Meuleman, Stéphane Ederhy, Ghislaine Dufaitre, Fanny Douna, Emmanuelle Berthelot, Ariel Cohen Service de cardiologie, CHU Saint-Antoine, université Pierre-et-Marie-Curie, Paris, France <franck.boccara@sat.aphp.fr> Tirés à part : F. Boccara Résumé. L infection par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) est devenue, dans les pays industrialisés ayant accès au traitement antirétroviral depuis le milieu des années 1990, une maladie chronique avec son cortège de nouvelles complications. Des complications métaboliques (dyslipidémie, insulinorésistance) secondaires à ce même traitement sont apparues, favorisant l apparition d événements coronariens aigus par le biais d un processus d athérosclérose accélérée dont les mécanismes sont encore mal élucidés. Les décès par cause cardiovasculaire sont devenus la troisième cause de décès après les causes liées à l infection VIH elle-même et les cancers. L infarctus du myocarde est la complication cardiovasculaire la plus fréquemment rencontrée maintenant et survient en moyenne vers 50 ans chez des sujets fumeurs dyslipidémiques sous antirétroviraux. Plusieurs questions restent débattues : 1) quel est l impact du virus luimême? 2) Quel est le rôle exact des antirétroviraux et, parmi eux, quelles substances en particulier? 3) Et enfin, quel est le rôle de l immunité dans le développement de cette athérosclérose accélérée? Mots clés : virus de l immunodéficience humaine, maladie coronaire, inflammation, immunité Abstract Myocardial infarction in HIV carriers : specificities? Infection with the human immunodeficiency virus (HIV) has become a chronic disease in the industrialised countries with access to antiretroviral therapy since the middle 1990s with its retinue of new complications. Secondary metabolic complications (dyslipidaemia, insulin resistance) to these drugs have appeared predisposing to acute coronary events due to accelerated atherosclerosis, the mechanisms of which are not clearly understood. Cardiovascular disease has become the third most common cause of death after complications related to HIV infection itself and cancer. Myocardial infarction is now the most commonly observed cardiovascular complication, arising, in general, at about the age of 50 in subjects who smoke, have dyslipidaemia and are under antiretroviral treatment. Several questions are debated: what is the impact of the virus itself? What is the doi: /stv
2 precise role of the antiretrovirals and which drug in particular? And finally, what is the role of the immune system in the development of this accelerated atherosclerosis? Key words: acute coronary syndrome, HIV, atherosclerosis Copyright 2017 John Libbey Eurotext. Téléchargé par un robot venant de le 10/02/2017. Quarante millions de personnes dans le monde sont infectés par le virus de l immunodéficience humaine (VIH). Le traitement antirétroviral comporte habituellement 3 substances : 2 analogues nucléosidiques de la transcriptase inverse et une antiprotéase ou un nonanalogue de la transcriptase inverse conduisant à une spectaculaire réduction de la morbimortalité liée à l infection par le VIH. Les complications cardiovasculaires sont devenues la troisième cause de décès et la quatrième cause d hospitalisation des patients infectés par le VIH dans les pays industrialisés, après les causes imputables au Sida et infectieuses, carcinologiques et hépatiques [1]. Sur-risque cardiovasculaire L identification relativement récente d un «sur-risque» cardiovasculaire probablement lié à la conjugaison de divers facteurs de risque, dont le tabagisme et les troubles métaboliques (glucidolipidiques) dans une population «vieillissante», fait craindre une augmentation de la prévalence des événements cardiovasculaires, en particulier coronaires aigus, chez les patients infectés par le VIH dans les années à venir. Kaplan et al. [2], aux Etats-Unis, ont montré que les patients infectés par le VIH présentaient une prévalence plus élevée de tabagisme actif, de dyslipidémie, de consommation alcoolique et de toxicomanie comparativement à des sujets non infectés du même âge alors que le niveau socio-économique était plus faible. C est ainsi que 17 % des sujets infectés par le VIH dans cette étude présentaient de façon significative un risque de Framingham de présenter un IDM, à 10 ans, supérieur à 25 % comparé à 11 % dans le groupe contrôle non VIH. Dans l étude prospective DAD [3, 4], 56 % des patients étaient des fumeurs actifs ou sevrés, 2,8 % diabétiques, 7,2 % hypertendus et 46 % présentaient une dyslipidémie. D autres facteurs de risque vasculaire ont été identifiés. Ainsi, la présence d une dysfonction endothéliale directement liée au traitement antirétroviral, le rôle de l infection elle-même et de l inflammation chronique, et les troubles de l hémostase favorisent, en synergie avec les autres facteurs de risque, la survenue d événements cardiovasculaires dans cette population [5]. Impact du traitement antirétroviral Les premiers cas cliniques isolés d infarctus du myocarde, chez des patients traités par antirétroviraux, ont été rapportés en 1998, deux ans après l avènement des antirétroviraux efficaces. Les études épidémiologiques [6-10] ont montré que l incidence de l infarctus du myocarde est plus élevée dans la population VIH que dans la population générale. Il est maintenant admis que la durée d exposition au traitement antirétroviral, et en particulier aux antiprotéases, est responsable d un sur-risque d IDM. Friis-Møller et al. [10] montrent que toute année d exposition supplémentaire aux antiprotéases augmente le risque d IDM de 16 % (RR = 1,16 ; IC 95 % [1,10-1,23]) après ajustement pour les facteurs de risque traditionnels d IDM. Si l on ajuste encore sur les paramètres lipidiques, ce risque diminue à 10 % par année supplémentaire et reste significatif (RR = 1,10 ; IC 95 % [1,04-1,18]), soulignant l impact probable direct du traitement par antiprotéases. Impact du virus et de l immunité L étude SMART [11], publiée en 2006, vient compliquer les choses. Cette étude compare 2 attitudes thérapeutiques chez le sujet infecté par le VIH sous antirétroviraux : soit un traitement antirétroviral continu ayant comme objectif une charge virale du VIH indétectable, soit un traitement discontinu («vacances thérapeutiques»). L étude SMART [11] a été arrêtée de façon inattendue avant sa fin prévue en raison d un plus grand nombre significatif d événements cardiovasculaires (ischémiques et autres), rénaux et hépatiques dans le groupe de traitement discontinu soulignant le rôle probable de l immunité dans la genèse des événements athérothrombotiques. Physiopathologie Plusieurs hypothèses physiopathologiques ont été soulevées en ce qui concerne l accélération de l athérosclérose coronaire chez les patients infectés par le VIH et sous traitement antirétroviral (figure 1). La dyslipidémie semble jouer un rôle central ; elle associe chez le patient infecté par 463
3 Traitement antirétroviral VIH Dyslipdémie ( HDLc, LDLc petites et denses, VLDL, TG) Insulino-résistance Diminution adiponectine Hyperactivité du SRA Stress oxydant activé Dysfonction endothéliale HypoHDLémie Activation du facteur tissulaire Hyperactivité immune (Lx T, chémokines) Hyperactivité inflammatoire (TNFα, IL6) Rôle des co-infections? : VHB, VHC Copyright 2017 John Libbey Eurotext. Téléchargé par un robot venant de le 10/02/2017. SRA : système rénine-angiotensine ; VHB : virus de l hépatite B ; VHC : virus de l hépatite C ; LX T : lymphocytes T. le VIH et sous antirétroviraux, le plus souvent, une hypo- HDLémie, une augmentation des triglycérides et une augmentation des particules faibles et denses de LDLcholestérol avec une efficacité moindre des statines chez ces patients. L inflammation et l infection chronique par le VIH, avec une augmentation de production des cytokines inflammatoires (TNF-alpha, interleukine-1, interleukine- 6), la dysfonction endothéliale secondaire à la dyslipidémie et au traitement, à l insulinorésistance, l augmentation du stress oxydatif, la présence de molécules d adhésion cellulaire, un état prothrombotique lié à l infection par le VIH et/ou au traitement antirétroviral favorisent les syndromes coronaires aigus. Enfin, récemment le débat a été relancé avec la parution d une étude de la cohorte Sabin et al. [12] montrant que l utilisation récente dans les 6 derniers mois de 2 analogues (abacavir et didanosine) augmentait le risque d IDM sans que l on puisse expliquer les causes nécessitant une confirmation à l aide d autres cohortes. Accélération de l athérosclérose Facteurs de risque classiques Vieillissement de la population infectée VIH Tabagisme accru, HTA, diabète Figure 1. Hypothèses physiopathologiques de l accélération de l athérosclérose chez le patient infecté par le VIH sous antirétroviraux. Caractéristiques de la maladie coronaire Dans les différentes études [13-17] évaluant cliniquement et angiographiquement la maladie coronaire chez le patient infecté par le VIH, on note que les patients avaient le plus souvent moins de 50 ans, une durée d infection et de traitement moyenne longue (> 8 ans) associée à un tabagisme important et une dyslipidémie induite par les antirétroviraux. En ce qui concerne l atteinte coronaire, peu d études ont comparé l aspect angiographique au cours des syndromes coronariens aigus entre patients infectés et non infectés par le VIH [13, 14, 17]. Il semble dans ces séries à faible effectif (20 à 50 patients) que l atteinte en termes de nombre de vaisseaux atteints, d extension et de sévérité de la maladie coronarienne soit identique dans les deux populations, avec une prévalence plus importante de l atteinte monotronculaire, ce qui est habituel chez les patients de moins de 50 ans présentant un IDM. Il est nécessaire de 464
4 réaliser des études avec de larges cohortes comparant l aspect clinique, biologique et angiographique du syndrome coronaire aigu (SCA) chez les sujets VIH en comparaison à des sujets témoins séronégatifs pour le VIH. Notre groupe mène actuellement une étude observationnelle comparative appelée PACS-HIV (Prognosis of Acute Coronary Syndrome in HIV-infected patients) avec un suivi post-sca de 3 ans, dont les résultats seront obtenus fin Pronostic de la maladie coronaire Matetzky et al. [13] ont montré qu il existait, après un IDM, plus de risque de récidive ischémique ou de resténose coronaire clinique chez le patient infecté par le VIH que chez le sujet non VIH. De la même manière, en cas d angioplastie sans stent, Hsue et al. [14] ont montré que la resténose clinique était plus fréquente chez le sujet VIH. Dans cette étude dont l effectif était faible, cette différence disparaissait après implantation d un stent. Notre groupe [17] a montré, dans une étude rétrospective, qu après angioplastie coronaire pour angor ou SCA, le taux d événements cardiovasculaires était identique entre les patients infectés par le VIH et ceux du groupe contrôle après un suivi de 20 mois. Enfin, l utilisation de stent actif reste discutée. En effet, aucune étude n a pu montrer un sur-risque de thrombose aiguë ou tardive dans cette population. Un seul cas clinique [18] a été rapporté chez un sujet VIH ayant présenté, deux ans après un IDM antérieur avec mise en place d un stent actif, une occlusion tardive six mois après l arrêt du clopidogrel. L utilisation de substances illicites est plus fréquente chez le sujet VIH, en particulier la cocaïne, pouvant favoriser la thrombose coronaire. Il est donc nécessaire de réaliser un interrogatoire exhaustif à la recherche de facteurs favorisant la thrombose de stent et, en particulier, l observance au traitement antiagrégant. Il semble conseillé chez des patients présentant des pathologies concomitantes, en particulier oncologiques (plus fréquentes chez les sujets VIH comparativement aux sujets séronégatifs), de ne pas utiliser ce type de stent en raison du risque hémorragique lié à la prise prolongée d aspirine et de clopidogrel sans qu aucune étude ne puisse pour le moment le prouver, mais cela semble plus raisonnable. Prise en charge Il n existe pas de recommandation spécifique dans la population infectée par le VIH. Il faut suivre les recommandations des sociétés savantes pour la prévention primaire et secondaire dans la population générale. L aspirine doit faire partie du traitement en prévention primaire quand le risque vasculaire à 10 ans, selon le score de Framingham, est supérieur à 15 %. En ce qui concerne le traitement de la dyslipidémie, une attention particulière doit être réalisée chez les patients infectés par le VIH, car plusieurs statines sont contre-indiquées en raison de l interaction avec le cytochrome P-450 3A4 et le traitement par antiprotéase (tableau 1). En effet, certaines statines (simvastatine et atorvastatine) voient leur taux plasmatique augmenté avec un risque accru de rhabdomyolyse. Il est donc actuellement conseillé de traiter une dyslipidémie chez les patients infectés par le VIH par la pravastatine, la fluvastatine ou la rosuvastatine plus puissante (essai comparatif rosuvastatine 10 mg/j versus pravastatine 40 mg/j, réalisé en France montrant une supériorité quasiment double de la rosuvastatine sur la baisse du LDL-cholestérol chez le sujet VIH sous antiprotéase incluant le ritonavir), car ces statines ne sont pas métabolisées par le CYP4503A4. L atorvastatine peut être utilisée à sa dose la plus faible de 10 mg/j avec précaution (dosage CPK rapproché). La place des fibrates reste entière en cas d hypertriglycéridémie menaçante pour Tableau I. Principaux médicaments cardiologiques interagissant avec le traitement antirétroviral anti-vih Classe d antirétroviral Molécules Interaction avec molécule cardiologique Analogue non nucléosidique de la transcriptase inverse Efavirenz (Sustiva ) Névirapine (Viramune ) Warfarine Inhibiteurs calciques Bêtabloquants Quinidine Inhibiteur de protéase Ritonavir (Norvir ) Saquinavir (Invirase, Fortovase ) Amprénavir (Agénérase, Telzir ) Indinavir (Crixivan ) Nelfinavir (Viracept ) Tipranavir Antibiotique Triméthorpine/sulfaméthoxazole (Bactrim ) Toutes les substances métabolisées par le cytochrome P450 3A4 : amiodarone, lidocaïne, quinidine, warfarine, simvastatine, atorvastatine, inhibiteurs calciques, bêtabloquants, sildénafil, cyclosporine, tacrolimus Toutes les substances métabolisées par le cytochrome P450 3A4 Risque allongement QT 465
5 diminuer le risque de pancréatite aiguë. Il est nécessaire de réaliser le sevrage tabagique en cas d accumulation des facteurs de risque cardiovasculaire, car il semble bien que le cocktail tabac et antiprotéase soit explosif d autant plus que s y associe une dyslipidémie. Particularités Les différences cliniques du SCA chez le sujet VIH, si on le compare aux sujets séronégatifs de même âge, semblent donc faibles avec une prévalence accrue de sujets toxicomanes chez les sujets VIH, mais avec un tabagisme très important dans les deux populations. La médiane de survenue du SCA est de dix ans moindre chez les sujets VIH par rapport à la population générale (50 versus ans), soulignant un processus d athérosclérose accélérée et/ou de vieillissement vasculaire précoce. Du point de vue biologique, la présence d une hypertriglycéridémie associée à un syndrome d insulinorésistance semble plus fréquente. En ce qui concerne l aspect angiographique, il ne semble pas différé par rapport à des sujets témoins du même âge mais ces données doivent être prises avec précaution en raison du manque d études avec des effectifs importants. Enfin, c est sur le pronostic à moyen et long terme après un SCA que doivent se porter les études cliniques pour permettre d améliorer la prise en charge du SCA dans cette population spécifique. Par ailleurs, le cardiologue doit prendre en considération les interactions potentielles importantes entre les antirétroviraux et les médicaments cardiologiques (tableau 1). Conclusion Les médecins prenant en charge les patients infectés par le VIH doivent maintenant faire face aux complications d une maladie chronique et aux effets secondaires du traitement au long cours sans remettre en cause son efficacité immunovirologique (qui reste le premier objectif du praticien). L athérosclérose, en particulier coronaire, est devenue la première complication cardiovasculaire, devenant ainsi la troisième cause de mortalité des patients infectés par le VIH aux Etats-Unis et la quatrième cause en France après les causes infectieuses, cancéreuses et hépatiques. Il est nécessaire d évaluer le risque cardiovasculaire de ces patients en début et en cours de traitement pour tenter de réduire ce sur-risque d IDM en particulier chez les patients âgés de plus de 45 ans, fumeurs, dyslipidémiques avec une longue durée d infection et de traitement. Références 1. Kwong GPS, Azra CG, Rode RA, et al. Comparison of the risks of atherosclerotic events versus death from others causes associated with antiretroviral use. AIDS 2006 ; 20 : Kaplan RC, Kingsley LA, Sharrett AR, et al. Ten-year predicted coronary heart disease risk in HIV-infected men and women. Clin Infect Dis 2007 ; 45 : Friis-Moller N, Weber R, Reiss P, et al., DAD study group. Cardiovascular disease risk factors in HIV patients-association with antiretroviral therapy. Results from the DAD study. AIDS 2003 ; 17 : Friis-Møller N, Sabin CA, Weber R, et al., Data Collection on Adverse Events of Anti-HIV Drugs (DAD) Study Group. Combination antiretroviral therapy and the risk of myocardial infarction. NEnglJMed2003 ; 349 : Dubé MP, Lipshultz SE, Fichtenbaum CJ, Greenberg R, Schecter AD, Fisher SD. Working Group 3. Effects of HIV infection and antiretroviral therapy on the heart and vasculature. Circulation 2008 ; 118 : e36-e Holmberg SD, Moorman AC, Williamson JM, et al. HIV Outpatient Study (HOPS) investigators. Protease inhibitors and cardiovascular outcomes in patients with HIV-1. Lancet 2002 ; 360 : Bozzette SA, Ake CF, Tam HK, Chang SW, Louis TA. Cardiovascular and cerebrovascular events in patients treated for human immunodeficiency virus infection. NEnglJMed2003 ; 348 : Klein D, Hurley LB, Quesenberry CPJ, Sidney S. Do protease inhibitors increase the risk for coronary heart disease in patients with HIV-1 infection? J Acquir Immune Defic Synd 2002 ; 30 : Mary-Krause M, Cotte L, Simon A, Partisani M, Costagliola D, The Clinical Epidemiology Group from the French Hospital Database. Increased risk of myocardial infarction with duration of protease inhibitor therapy in HIV-infected men. AIDS 2003 ; 17 : Friis-Møller N, Reiss P, Sabin CA, et al., DAD Study Group. Class of antiretroviral drugs and the risk of myocardial infarction. N Engl J Med 2007 ; 356 : El-Sadr WM, Lundgren JD, Neaton JD, et al., Strategies for Management of Antiretroviral Therapy (SMART) Study Group. CD4+ countguided interruption of antiretroviral treatment. NEnglJMed2006 ; 355 : Sabin CA, Worm SW, Weber R, et al., DAD Study Group. Use of nucleoside reverse transcriptase inhibitors and risk of myocardial infarction in HIV-infected patients enrolled in the DAD study : a multi-cohort collaboration. Lancet 2008 ; 371 : Matetzky S, Domingo M, Kar S, et al. Acute myocardial infarction in human immunodeficiency virus-infected patients. Arch Intern Med 2003 ; 163 : Hsue PY, Giri K, Erickson S, et al. Clinical features of acute coronary syndromes in patients with human immunodeficiency virus infection. Circulation 2004 ; 109 : Ambrose JA, Gould RB, Kurian DC, et al. Frequency of and outcome of acute coronary syndromes in patients with human immunodeficiency virus infection. Am J Cardiol 2003 ; 92 : Varriale P, Saravi G, Hernandez E, Carbon F.Acute myocardial infarction in patients infected with human immunodeficiency virus. Am Heart J 2004 ; 147 : Boccara F, Teiger E, Cohen A, et al. Percutaneous coronary intervention in HIV infected patients. immediate results and long term prognosis. Heart 2006 ; 92 : Stöllberger C,Armbruster C, Gmeinhart B, Finsterer J. Thrombosis of a drug-eluting stent after almost 2 years in an HIV-infected patient. AIDS 2007 ; 21 :
Cœur et VIH : que doit-on savoir?
Cœur et VIH : que doit-on savoir? RÉSUMÉ : L infection par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) est devenue dans les pays ayant accès au traitement antirétroviral hautement efficace disponible
Plus en détailRISQUE CARDIOVASCULAIRE et INFECTION PAR LE VIH
RISQUE CARDIOVASCULAIRE et INFECTION PAR LE VIH Correspondances en Risque CardioVasculaire Cardiovascular risk in HIV-infected patients Franck BOCCARA, Stéphane EDERHY, Catherine MEULEMAN, Sandra JANOWER,
Plus en détailAtteinte cardiovasculaire au cours de l infection par le VIH
Atteinte cardiovasculaire au cours de l infection par le VIH F. Boccara, C. Meuleman, S. Ederhy, G. Dufaitre, F. Douna, S. Lang, A. Cohen Service de Cardiologie, CHU St Antoine, Université Pierre et Marie
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailCARDIOLOGIE. Conférences scientifiques
www.cardiologieconferences.ca NOVEMBRE 24 volume IX, numéro 9 CARDIOLOGIE Conférences scientifiques COMPTE RENDU DES CONFÉRENCES SCIENTIFIQUES DE LA DIVISION DE CARDIOLOGIE, HÔPITAL ST. MICHAEL S, UNIVERSITÉ
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailSyndromes coronaires aigus
CONGRES American College of Cardiology J.P. COLLET Service de Cardiologie, Hôpital Pitié-Salpêtrière, PARIS. Syndromes coronaires aigus L American College of Cardiology a encore montré le grand dynamisme
Plus en détailLettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives?
Lettre à l éditeur Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles perspectives? HIV Antiretroviral Drug Resistance: What s new in Mali? What is the future? Maiga AI 1,2, Sangare
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détail16/04/03 Confidentiel
MEMORANDUM DATE : 16/04/03 DE : RE : FRANÇOIS HOUYEZ NOTE SUR LE RISQUE DE MALADIE CARDIO-VASCULAIRE ET TRAITEMENT HAART NOTE: DES INFORMATIONS CONTENUES DANS CE RAPPORT PEUVENT ETRE CONFIDENTIELLES. ELLES
Plus en détailEvaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI
Evaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI La pression artérielle normale n existe plus. L hypertension artérielle n existe plus. On soigne un risque cardiovasculaire. Plus celui-ci est élevé
Plus en détailVIH & Interactions Médicamenteuses
VIH & Interactions Médicamenteuses L ABC en quizz K. De Heller & M.Cavassini MIN-IAL, le 21 avril 2005 Ce que je ne vais pas aborder Les interactions médicamenteuses entre les différents antirétroviraux!!!
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailFarzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France. Probability of cardiovascular events. Mortalité CV
Nouveautés dans le diagnostique et le traitement de la maladie coronaire du dialysé Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France Probability of cardiovascular events Mortalité
Plus en détailPrimeurs en cardiologie I
Primeurs en cardiologie I Chicago Emmanuèle Garnier Le congrès de l American College of Cardiology (ACC), qui avait lieu du 29 mars au 1 er avril, a permis le dévoilement en primeur de nombreux résultats
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailPour la prévention des maladies cardiovasculaires dans le diabète, le taux d'hba1c cible recommandé est <7,0% (<53 mmol / mol).
Discussion par le Dr Boustani : les nouvelles recommandations européennes sur la prévention nous invitent à une révolution intellectuelle dans l identification des patients à risques. La majorité des cardiologues,
Plus en détailNouvelles lignes directrices sur les lipides mieux cibler pour mieux traiter
L athérosclérose coronarienne Nouvelles lignes directrices sur les lipides mieux cibler pour mieux traiter 1 Jean Grégoire et Ragui Ibrahim Vous êtes à votre cabinet le premier lundi de janvier, premier
Plus en détailAu cours des deux dernières décennies, et
Les nouveaux inhibiteurs du récepteur P2Y12 : un effet classe? pour quels patients? New P2Y12 receptor inhibitors: a class effect? for which patients? J. Silvain*, T. Cuisset** J. Silvain * Institut de
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailRisque Cardiovasculaires au cours des Vascularites et des pathologies inflammatoires chroniques
Risque Cardiovasculaires au cours des Vascularites et des pathologies inflammatoires chroniques Dr Jérôme CONNAULT Service de Médecine Interne et Vasculaire CHU Nantes Société Algérienne de Médecine Interne
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailLa mesure de la réserve coronaire
Revues Générales Qu est-ce que la FFR? Comment l utiliser? réalités Cardiologiques # 291_Janvier/Février 2013 Résumé : La mesure de la réserve coronaire (FFR : Fractional Flow Reserve) s est imposée depuis
Plus en détailDiabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question
Diabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question Eugène Sobngwi, MD, PhD Service d Endocrinologie d Diabétologie Hôpital Saint-Louis, Paris 10 / INSERM U 671 Le diabète sucré en
Plus en détailSystème cardiovasculaire - CV CV111 CV110. aliskirène Rasilez
aliskirène Rasilez CV111 Pour le traitement de l hypertension artérielle, en association avec au moins un agent antihypertenseur, si échec thérapeutique, intolérance ou contre-indication à un agent de
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailPRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE DU PATIENT DYSLIPIDÉMIQUE ARGUMENTAIRE
PRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE DU PATIENT DYSLIPIDÉMIQUE ARGUMENTAIRE Ce document est une actualisation des Recommandations de Bonne Pratique "Prise en charge des dyslipidémies" publiées par l'afssaps en
Plus en détailLe VIH et votre apparence physique
Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailABL and Evivar Medical for Strategic Partnership and Alliance in HIV and Hepatitis
ABL and Evivar Medical for Strategic Partnership and Alliance in HIV and Hepatitis Conférence de Presse ABL SA - Chambre de Commerce de Luxembourg - Mardi 29 Septembre 2009, 18h Annonce de Presse ABL and
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailTraitement des hépatites virales B et C
Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailLes anticoagulants oraux: des AVK aux «NOACs» NOACs ou NACOs? Bandes des rues de Mexico responsables d incivilités permanentes
Les anticoagulants oraux: des AVK aux «NOACs» NOACs ou NACOs? NACO: Contraction de «Narcissistes compacts» Bandes des rues de Mexico responsables d incivilités permanentes Les Nacos ne boivent pas d alcool
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailPoint d information Avril 2012. Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir
Point d information Avril 2012 Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir Le dabigatran (PRADAXA), inhibiteur direct de la thrombine,
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?
Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailObésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition
Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,
Plus en détailLes Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes
Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes 1 Marché global des anticoagulants Un Marché en explosion: 6 milliards de $ en 2008 9 milliards de $ attenduen
Plus en détailPREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailÉvaluation des soins et surveillance des maladies cardiovasculaires : Pouvons-nous faire confiance aux données médico-administratives hospitalières?
Évaluation des soins et surveillance des maladies cardiovasculaires : Pouvons-nous faire confiance aux données médico-administratives hospitalières? Étude faite en collaboration entre l Institut national
Plus en détailNouveau patient coronarien au cabinet comment lui faire avaler la «pilule»?
L athérosclérose coronarienne Nouveau patient coronarien au cabinet comment lui faire avaler la «pilule»? Serge Doucet 4 Vous suiviez Richard, un homme de 46 ans, depuis quelques années pour une hypertension
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailLES FACTEURS DE RISQUE
LES FACTEURS DE RISQUE C EST QUOI UN FACTEUR DE RISQUE? C est une caractéristique lié à une personne, à son environnement à sa culture, à son mode de vie qui entraine pour elle une probabilité plus importante
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailColette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE
Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailCo-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC
Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Abdelfattah CHAKIB Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca Service des maladies infectieuses, CHU Ibn Rochd 06 61 42 91 64 afchakib@gmail.com
Plus en détailL investigation chez la personne infectée par le VIH
P O U R Q U O I P A R L E R D U V I H E N 2 0 0 4? 2 L investigation chez la personne infectée par le VIH quand et comment utiliser les différents tests de laboratoire? par Harold Dion Paul, un homme de
Plus en détailSUIVI MÉDICAL DU DIABÈTE CHEZ LES ASSURÉS DE LA MGEN
SUIVI MÉDICAL DU DIABÈTE CHEZ LES ASSURÉS DE LA MGEN K. Cosker, C. Sevilla-Dedieu, F. Gilbert, P. Lapie-Legouis, R. Cecchi-Tenerini Fondation d entreprise MGEN pour la santé publique 1 Contexte Les différents
Plus en détailSuivi de l effet pharmacologique et efficacité anti-thrombotique des antiplaquettaires
Suivi de l effet pharmacologique et efficacité anti-thrombotique des antiplaquettaires Nadine Ajzenberg Laboratoire d hématologie & INSERM U698 Hôpital Bichat nadine.ajzenberg@bch.aphp.fr 3/12/12 Plan
Plus en détailAntiagrégants plaquettaire, anticoagulant et gestes en rhumatologie
Antiagrégants plaquettaire, anticoagulant et gestes en rhumatologie Christophe Meune Service de Cardiologie- Hôpital Avicenne Expérience douloureuse Homme de 56 ans 40 PA Aspirine à faible dose pour un
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailTUBERCULOSE Nouveautés 2009
TUBERCULOSE Nouveautés 2009 Dr Grégoire Gex Rencontres Genevoises de Pneumologie Avril 2010 Introduction 6044 articles dans PubMed avec Tuberculose dans titre en 2009 Stratégie de recherche : Sélections
Plus en détailActivité physique et diabète de type 2
Activité physique et diabète de type 2 D après le référentiel de la Société francophone du diabète : Duclos M et al, Médecine des maladies Métaboliques. 2011; 6 : 80-96 Forum Santé Vertolaye Le 10/10/2013
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailLe rivaroxaban contre la fibrillation auriculaire lorsque la warfarine ne va pas?
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Le rivaroxaban contre la fibrillation auriculaire lorsque la warfarine ne va pas? Mario Wilhelmy et Sarah Janecek Vous voulez prescrire...? Lisez ce qui
Plus en détailCours de Mme Ollivier. Le 17.12.2008
Pharmacologie de la pathologie VIH : Les anti-rétroviraux Rôle infirmier dans la prise en charge du patient sous ARTV : éducation, prévention et gestion des effets secondaires Cours de Mme Ollivier Le
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailUn diabète de type 2. Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec. Atelier animé par :
Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec Un diabète de type 2 Atelier animé par : Pr Martine Duclos CHU Montpied, Clermont-ferrand Dr Julien Aucouturier UFR STAPS, Lille Séminaire interactif
Plus en détailAprès la prévention veineuse
Les nouveaux anticoagulants oraux s attaquent à l embolie pulmonaire Résumé : Les nouveaux anticoagulants oraux vont transformer la prise en charge de la maladie thromboembolique veineuse, que ce soit
Plus en détailvers le déclin d endoprothèses pharmacoactives? G de Gevigney Hôpital cardiologique Lyon, France
Après s l enthousiasme l initial, vers le déclin d des endoprothèses pharmacoactives? G de Gevigney Hôpital cardiologique Lyon, France Grand progrès s technologique, mais 1. Aucun bénéfice b sur la mortalité
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailEn dehors de la FA, quelles sont les autres indications validées ou à venir?
En dehors de la FA, quelles sont les autres indications validées ou à venir? L intérêt des NACOs ne se limite pas à la prévention du risque thrombo-embolique dans la FA non valvulaire. En effet, ces molécules
Plus en détailadhésion thérapeutique
adhésion thérapeutique aux antiagrégants CHEZ LE PATIENT CORONARIEN D. Le g r a n d (1), V. Le g r a n d (2) RÉSUMÉ : Le traitement antiagrégant a prouvé son intérêt clinique chez les patients à haut risque
Plus en détailTraitement de l hépatite C chez le sujet infecté par le VIH Actualités 2004
Traitement de l hépatite C chez le sujet infecté par le VIH Actualités 2004 Pr C. PERRONNE Service des Maladies Infectieuses et Tropicales Hôpital Raymond Poincaré Faculté de Médecine Paris - Ile de France
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détail