Algèbre relationnelle
|
|
- Véronique Briand
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 SB AD FC Janvier / 58 Introduction Introduction SB AD FC Janvier / 58
2 Introduction Le modèle relationnel Inventé par Codd (IBM) en 1970 Fondements théoriques basés sur la théorie des relations. Propose un modèle pour la modélisation et l interrogation de données Facile à traduire dans des langages réels (ex. SQL) SB AD FC Janvier / 58 Les tables/relations Les tables/relations SB AD FC Janvier / 58
3 Les tables/relations Relations Exemple ville : ensemble de noms de villes heure : ensemble de chaînes de caractères de la forme XYhZT où X,Y,Z,T sont des chiffres. Train h-dép dest h-arr prov 13h15 Lyon 15h15 Paris 13h22 Nantes 15h30 Paris Schéma : Train (h-dép: heure ; dest: ville ; h-arr:heure ; prov:ville) Arité : 4 Cardinalité : 2 SB AD FC Janvier / 58 Les tables/relations Exemple de Relation Exemple Table player dans la base tennis pid name gender code last_name first_name 71 Vince Spadea M USA Spadea Vince 72 Igor Andreev M RUS Andreev Igor 73 Jiri Vanek M CZE Vanek Jiri 74 Benjamin Becker M GER Becker Benjamin 75 Dudi Sela M ISR Sela Dudi SB AD FC Janvier / 58
4 Les tables/relations Sur la table player Une table comme player est un tableau à deux dimensions Chaque ligne ou tuple contient des informations concernant un individu (ici, un joueur de tennis professionnel). Ces informations sont des valeurs d attributs. Les attributs qui définissent le schéma de la table sont pid, name, gender, code, last_name, first_name. Dans la vie d un table, on ajoute, on supprime et on modifie souvent les lignes d une table. On modifie beaucoup plus rarement les attributs. SB AD FC Janvier / 58 Les tables/relations Schema de la table player Schema Le schéma nous donne la liste des colonnes et le type/domaine de chaque colonne. Le schéma nous indique de quoi les lignes sont faites. Table "tennis.player" Column Type Modifiers pid integer not null name character varying(30) default NULL::character varying gender character varying(1) default NULL::character varying code character varying(3) default NULL::character varying last_name character varying first_name character varying Indexes: "Player_pkey" PRIMARY KEY, btree (pid) SB AD FC Janvier / 58
5 Formalisation Formalisation SB AD FC Janvier / 58 Formalisation Un peu de formalisation Domaine : ensemble dénombrable d éléments, (entiers, chaines de caractères, date,... ) Un domaine peut se définir par extension (en donnant laliste de toutes les valeurs possibles) par intention (en en donnant une propriété caractéristique). Produit Cartésien d une liste de domaines D 1, D 2,..., D k, noté D 1 D 2 D k est l ensemble des k-uplets (ou tuples) où, pour chaque i, v i D i. (v 1, v 2,..., v k ) SB AD FC Janvier / 58
6 Formalisation Relations Définition Une relation est un sous-ensemble du produit cartésien D 1 D 2 D k où D 1,..., D k sont des domaines. Exemple D 1 = {1, 2, 5}, D 2 = {2, 4} D 1 D 2 = {(1, 2), (1, 4), (2, 2), (2, 4), (5, 2), (5, 4)} R = {(1, 2), (1, 4), (5, 2), (5, 4)} On peut représenter R par le tableau : SB AD FC Janvier / 58 Cardinalité et arité Cardinalité et arité SB AD FC Janvier / 58
7 Cardinalité et arité Relations Cardinalité d une relation R nombre de tuples (lignes) de R. Exemple Si R = D 1 D 2 alors R = D 1 D 2. Arité d une relation R Nombre de colonnes de la relation R (nombre d attributs qui constituent chaque tuple de R) On parle parfois de degré d une relation. Exemple Soit R D 1 D 2 D k, Arité de R = longueur d un tuple de R = k SB AD FC Janvier / 58 Cardinalité et arité Relations Domaine peut apparaitre plusieurs fois dans la définition d une même relation. Attribut : nom/rôle de la colonne Précise la sémantique de celle-ci. Pas deux attributs identiques dans une table. Schéma d une relation : liste des attributs et domaines de la relation. Peut se noter R(A 1 :D 1, A 2 :D 2,..., A k :D k ) où A i : attribut et D i : domaine. SB AD FC Janvier / 58
8 Clés et références Clés et références SB AD FC Janvier / 58 Clés et références Clés, références, etc Définition La clé d une relation est un ensemble minimal d attributs dont la valeur détermine complètement un tuple Ville(code_postal, nom, population) la valeur de code_postal détermine entièrement un tuple. Définition Une référence ou (clé étrangère) est un (groupe d ) attribut(s) dont les valeurs sont prises parmi celles d une clé d une autre table Ville(code_postal, nom, population) Departement(numero, nom, population, code_prefecture) la valeur de code_prefecture fait référence au code_postal de sa préfecture qui est une ville. SB AD FC Janvier / 58
9 Clés et références Schema de country_codes \d atp.country_codes Column Type Modifiers code character varying(3) not null country character varying(100) Indexes: "pk_country_codes" PRIMARY KEY, btree (code) Referenced by: TABLE "fk_player_code" CONSTRAINT "atp.player" FOREIGN KEY (code) REFERENCES atp.country_codes(code) SB AD FC Janvier / 58 Clés et références Schema de country_codes (suite) Identifiant code est une clé primaire ou identifiant pour la table country_code Référence Dans la table player, c est une clé étrangère ou référence qui permet de lier un tuple de player à un tuple de country_code SB AD FC Janvier / 58
10 Clés et références Résumé informel RELATION = TABLE A DEUX DIMENSIONS (NOM DE) COLONNE = ATTRIBUT EN-TÊTE DU TABLEAU = SCHEMA DE LA RELATION (description du type, définition intentionnelle) LIGNE = TUPLE ENSEMBLE DES LIGNES = CONTENU DE LA RELATION (*définition extensionnelle}) SB AD FC Janvier / 58 SB AD FC Janvier / 58
11 Une algèbre C est un ensemble E munis d opérations internes,, +,,.... Une opération prend en argument des (ou un) éléments de l ensemble et produit un élément de l ensemble. Exemple R muni de +,,, /,... C est une algèbre qui opère sur l ensemble des tables/relations. Dans un SGBD le langage de manipulation de données (SQL) met en oeuvre l algèbre relationnelle (et bien d autres choses). SB AD FC Janvier / 58 Opérateurs de base Opérateurs de base SB AD FC Janvier / 58
12 Opérateurs de base Liste des opérateurs L algèbre relationnelle comme Langage de Manipulation de données (LMD) Opérateurs de base Union Intersection Différence \ Projection Π Sélection σ Produit cartésien (déjà vu) Manipulent des relations pour produire d autres relations (le résultat) SB AD FC Janvier / 58 Opérateurs de base Projection Π La projection d une relation R de schéma R(A 1,..., A k ) sur les attributs A i1,..., A ip est la relation S de schéma S(A i1,..., A ip ) dont les tuples sont obtenus par élimination des attributs non mentionnés dans A i1,..., A ip (et par élimination des doublons). On note S = π Ai1,...,A i p (R). Élimination des doublons car une projection peut produire plusieurs fois le même tuple. SB AD FC Janvier / 58
13 Opérateurs de base Schema de tournament Column Type Modifiers tid integer not null default nextval('atp.tournament_tid_seq'::regclass) name character varying location character varying startdate date enddate date numrounds integer ttype character varying surface character varying outlier boolean SB AD FC Janvier / 58 Opérateurs de base Tuples de tournament tid name location startdate enddate rounds ttype surface 0 Australian Open Melbourne, Australia Singles Hard 1 Australian Open Melbourne, Australia Doubles Hard 2 French Open Roland Garros, Paris Singles Clay 3 French Open Roland Garros, Paris Doubles Clay 4 US Open Flushing Meadows, NY Singles Hard 5 US Open Flushing Meadows, NY Doubles Hard 6 Wimbledon London, Great Britain Singles Grass 7 Wimbledon London, Great Britain Doubles Grass 8 Heineken Open Auckland, New Zealand Singles Hard 9 Heineken Open Auckland, New Zealand Doubles Hard 10 Brasil Open 2007 Costa do Sauipe, Brasil Singles Clay 11 Brasil Open 2007 Costa do Sauipe, Brasil Doubles Clay 12 Countrywide Classic Los Angeles, CA, USA Singles Hard 13 Countrywide Classic Los Angeles, CA, USA Doubles Hard 14 BMW Open Munich, Germany Singles Clay SB AD FC Janvier / 58
14 Opérateurs de base Projection (exemple) Projection de la table tournament sur les colonnes location et surface location surface Melbourne, Australia Hard Auckland, New Zealand Hard Flushing Meadows, NY, USA Hard Munich, Germany Clay London, Great Britain Grass π location,surface tournament SB AD FC Janvier / 58 Opérateurs de base Sélection La sélection d une relation R par une condition C est une relation S de même schéma que R (même arité) dont les tuples sont ceux de R qui satisfont la condition C (cardinalité de S cardinalité de R) On note S = σ C (R). La condition C s exprime à l aide des noms d attributs de la relation ou de constantes (pour les opérandes) peut utiliser des opérateurs arithmétique de comparaisons (=,,,, <, >) ainsi que des connecteurs logique (,, ).. SB AD FC Janvier / 58
15 Opérateurs de base Sélection sur tournament Sélection des tuples pour lesquels l attribut ttype vaut 'Singles' tid name location startdate enddate rounds ttype surface 14 BMW Open Munich, Germany Singles Clay 12 Countrywide Classic Los Angeles, CA, Singles Hard 6 Wimbledon London, Great Britain Singles Grass 8 Heineken Open Auckland, New Zealand Singles Hard 0 Australian Open Melbourne, Australia Singles Hard 10 Brasil Open 2007 Costa do Sauipe, Brasil Singles Clay 2 French Open Roland Garros, Paris Singles Clay 4 US Open Flushing Meadows, NY, USA Singles Hard σ ttype= Singles tournament SB AD FC Janvier / 58 Opérateurs de base Renommage Renommage d une table consiste à renommer explicitement certains attributs. On peut souhaiter renommer des attributs pour mettre en correspondance deux schémas (préalable à certaines opérations binaires) traduire une base d usage internationale (localisation) Renommage dans country_codes pays Afghanistan Netherlands Antilles Albania Algeria Andorra code AFG AHO ALB ALG AND ρ country pays country_codes Cette opération ne change rien au contenu de la table, elle définit un nouveau schéma, avec un nouveau nom d attribut SB AD FC Janvier / 58
16 Opérateurs binaires Opérateurs binaires SB AD FC Janvier / 58 Opérateurs binaires Union et intersection L union et l intersection sont des opérations portant sur deux relations R 1 et R 2 de même schéma. T = R 1 R 2 est constituée des tuples appartenant à R 1 ou à R 2 mais pas nécessairement aux deux T = R 1 R 2 est constituée des tuples appartenant à R 1 et à R 2 Le schémas de R 1 R 2, R 1 R 2 est égal à celui de R 1 (et à celui de R 2!) SB AD FC Janvier / 58
17 Opérateurs binaires Différence ensembliste La différence de deux relations R 1 et R 2 (de même schéma) est une relation T de même schéma constituée des tuples appartenant à R 1 et n appartenant pas à R 2. On note T = R 1 R 2. Opération non commutative : R 1 R 2 R 2 R 1 (en général). #### Exemple On veut calculer la liste des joueurs qui ont participé à Roland Garros (French Open) mais pas à Wimbledon Il faut (et il suffit de) calculer la liste des pid des joueurs qui ont participé à Roland Garros, la liste des pid des joueurs qui ont participé à Wimbledon et faire la différence. SB AD FC Janvier / 58 Opérateurs binaires Produit Cartésien Déjà défini : construit des produits de relation. Le schéma de R 1 R 2 est la concaténation des schémas de R 1 et R 2 arité de R 1 R 2 = arité de R 1 arité de R 2 En algèbre relationnelle, cette opération est commutative : R 1 R 2 = R 2 R 1 cardinalité de R 1 R 2 = cardinalité de R 1 cardinalité de R 2 SB AD FC Janvier / 58
18 Opérateurs binaires Résumé Opérations ensemblistes classiques,,, \. Projection (π) : élimine des colonnes Sélection (σ) : élimine des lignes Pour interroger une BD, on combine ces opérateurs : π num (σ dest= Lyon (Train)) Numéro des trains dont la ville de destination est Lyon. SB AD FC Janvier / 58 Opérations complémentaires : les jointures Opérations complémentaires : les jointures SB AD FC Janvier / 58
19 Opérations complémentaires : les jointures Les jointures Opérations (très) pratiques pour la manipulation de données : les jointures. Jointure Jointure naturelle θ-jointure et équi-jointure Les jointures externes SB AD FC Janvier / 58 Opérations complémentaires : les jointures Jointure La jointure T = R 1 C R 2 de deux relations R 1 et R 2 sous la condition C est la relation T de schéma : la concaténation des schéma de R 1 et R 2 formée des tuples du produit cartésien R 1 R 2 qui satisfont la condition C SB AD FC Janvier / 58
20 Opérations complémentaires : les jointures Jointure π... (player C country_codes) last_name first_name country code gender Spadea Vince United States USA M Andreev Igor Russia RUS M Vanek Jiri Czech Republic CZE M Becker Benjamin Germany GER M Sela Dudi Israel ISR M Srichaphan Paradorn Thailand THA M Gicquel Marc France FRA M Jones Alun Australia AUS M Tsonga Jo-Wilfried France FRA M Lapentti Nicolas Ecuador ECU M {Jointure de player et de country_codes sur la condition player.code = country_codes.code, puis projection sur last_name, first_name, country, code, gender} SB AD FC Janvier / 58 Opérations complémentaires : les jointures Équi-Jointure et θ-jointure Équi-jointure La condition de jointure porte sur des attributs de types comparables et impose l égalité. Dans l exemple précédent, la jointure est une équi-jointure. θ-jointure condition de jointure entre attributs de types comparables et avec un opérateur différents de l égalité i.e. {<, >,,, }. SB AD FC Janvier / 58
21 Opérations complémentaires : les jointures Jointure naturelle R 1 d attributs A 1,.., A k, B 1,..., B h R 2 d attributs A 1,.., A k, C 1,..., C l A 1,..., A k : attributs communs. La jointure naturelle sur deux relations R 1 et R 2 est la relation d attributs A 1,.., A k, B 1,..., B h, C 1,..., C l définie par : σ A1,..,A k,b 1,...,B h,c 1,...,C l (R 1 C R 2 ) où C = R 1.A 1 = R 2.A 1... R 1.A h = R 2.A h Autrement dit, on réalise une équi-jointure sur tous les attributs communs et on ne garde qu un seul exemplaire de ces attributs communs par projection. Notation : R 1 R 2. Lorsqu on prend seulement une partie des attributs communs, on spécifie le nom de ceux-ci en indice. Exemple La jointure entre player et country_codes est une jointure naturelle (l attribut commun est code). SB AD FC Janvier / 58 Opérations complémentaires : les jointures Représentation graphique - arbre de requête π name,country σ gender= female code player country_codes Pour : π name,country σ gender= female (player code country_codes) SB AD FC Janvier / 58
22 Encore des opérations... Encore des opérations... SB AD FC Janvier / 58 Jointure externe Encore des opérations... 1 Perte d information dans jointure naturelle : les tuples ne satisfaisant pas la condition disparaissent. 2 On ajoute "symboliquement" une ligne dont les valeurs sont vides (ou avec valeur spéciale NULL) pour garder les tuples initiaux "non satisfaisants" après la jointure. SB AD FC Janvier / 58
23 Jointure externe (définition) Encore des opérations... Jointure externe à droite ext entre deux tables R et S, sous la condition C, est une table : - de même schéma que R C S - contenant les tuples de R C S... - et pour chaque tuple t 2 de S tel qu il n existe pas de tuple t 1 tel que (t 1, t 2 ) vérifie la condition C, un tuple de la forme (NULL, t 2 ) où les attributs provenant de R ne sont pas renseignés... - Notation R ext C S SB AD FC Janvier / 58 Jointure externe Jointure externe SB AD FC Janvier / 58
24 Jointure externe Jointure externe Jointure externe à droite entre player et country_code avec une equi-jointure sur l attribut commun code, puis sélection sur la condition last_name est nulle et projection sur quelques attributs provenant des tables player et country_codes (10 premiers résultats affichés). last_name first_name country code gender Venezuela VEN Tajikistan TJK Iraq IRQ Côte d Ivoire CIV Cameroon CMR Malaysia MAS Egypt EGY Indonesia INA Organization of Eastern Caribbean States (OECS) (Davis Cup Entity) ECA Saudi Arabia KSA A noter Dans un SGBD, les jointures externes sont un moyen commode pour réaliser la différence entre tables. SB AD FC Janvier / 58 Division Division SB AD FC Janvier / 58
25 Division Division Division de R par S relation R de schéma R(A 1, A 2,..., A k ) relation S de schéma S(A p+1,..., A k ) (Schema de S Schema de R) Définition La division (ou le quotient) de R par S est une relation T de schéma T (A 1,..., A p ) formée des tuples qui, concaténés à chaque tuple de S, donnent un tuple de R. Notation T = R S SB AD FC Janvier / 58 Division Tables played_in et registration Dans la base tennis, on trouve les tables registration et played_in, qui permettent de déterminer quels joueurs se sont inscrits à quel tournoi. Chaque tuple de played_in représente l inscription d un joueur ou d une équipe de double à un tournoi Column Type Modifiers tid integer not null registrnum integer not null seed integer - L attribut tid indique le tournoi concerné (un tuple de tournament identifié par son attribut tid. - L attribut registration est un numéro d inscription - L attribut seed, quand il est renseigné, permet de repérer les têtes de série. SB AD FC Janvier / 58
26 Division Table registration Si la base tennis ne concernait que des compétitions en simple (single), nous pourrions représenter les inscriptions de manière très simple : par des couples (tid,pid). Pour pouvoir représenter de façon homogène les inscriptions aux tournois en simple et en double, on a choisi d utiliser deux tables played_in et registration. SB AD FC Janvier / 58 Division Table registration (visualisation) \d atp.registration Column Type Modifiers registrnum integer not null pid integer Indexes: "fki_registration_played_in" btree (registrnum) Foreign-key constraints: "fk_registration_played_in" FOREIGN KEY (registrnum) REFERENCES atp.played_in(registrnum) "fk_registration_player" FOREIGN KEY (pid) REFERENCES atp.player(pid) "fk_registrnum_played_in" FOREIGN KEY (registrnum) REFERENCES atp.played_in(registrnum) ON UPDATE CASCADE ON DELETE CASCADE SB AD FC Janvier / 58
27 Division Table registration (suite) Pour chaque inscription à un tournoi (tuple de played_in identifié par registrnum), on trouvera un ou deux tuples dans registration. Ce ou ces tuples permettent de savoir quel(s) joueur(s) portent quels numéros d inscription. SB AD FC Janvier / 58 Division Division : les joueurs qui ont participé à tous les tournois du grand schlem au moins une fois Le grand schlem est formé par quatre tournois : Autralian Open, French Open, Wimbledon et US Open. Attention Cette question n est pas la même que la question : quels sont les joueurs qui ont participé à au moins un tournoi du grand schlem? Pourtant... Nous allons commencer par construire une requête qui correspond presque à cette question intermédiaire. Nous calculons les couples (tid,pid) qui correspondent à une inscription à un tournoi du grand schlem (table GSI). Pour répondre à la question de départ, il suffit de diviser GSI par sa projection sur tid SB AD FC Janvier / 58
28 Division Division : les joueurs qui ont participé à tous les tournois du grand schlem (... ) Calcul des tid des tournois du grand schlem GS π tid σ name ( FrenchOpen,..., Wimbledon )tournament Calcul des couples (tid,pid) correspondant aux jours participant à au moins un tournoi du grand schlem} GSI π tid,pid (GS played_in registration) Les pid des joueurs ayant participé à tous les tournois du grand schlem R GSI (π tid GSI) SB AD FC Janvier / 58 Les opérateurs de base et les autres Les opérateurs de base et les autres SB AD FC Janvier / 58
29 Les opérateurs de base et les autres Interdéfinissabilité des opérateurs L union, la différence, le produit cartésien, la sélection et la projection sont suffisants pour définir tous les opérateurs que l on a vu. Mais avoir un panel plus large d opérateurs simplifie l écriture des requêtes. Quelques définitions Pour la Jointure : R C S σ C (R S) Pour l intersection : A B = A B ((B A) (A B)) SB AD FC Janvier / 58 Les opérateurs de base et les autres Définition de la division R de schéma R(A 1, A 2,..., A k ), S de schéma S(A p+1,..., A k ) La relation T = R S de schéma T (A 1,..., A p ). π A1,...,A p π A1,...,A p R R π A1,...,A p S R SB AD FC Janvier / 58
Bases de Données relationnelles et leurs systèmes de Gestion
III.1- Définition de schémas Bases de Données relationnelles et leurs systèmes de Gestion RAPPELS Contraintes d intégrité sous Oracle Notion de vue Typage des attributs Contrainte d intégrité Intra-relation
Plus en détailLangage SQL : créer et interroger une base
Langage SQL : créer et interroger une base Dans ce chapitre, nous revenons sur les principales requêtes de création de table et d accès aux données. Nous verrons aussi quelques fonctions d agrégation (MAX,
Plus en détailIntroduction au Système de Gestion de Base de Données et aux Base de Données
Introduction au Système de Gestion de Base de Données et aux Base de Données Formation «Gestion des données scientifiques : stockage et consultation en utilisant des bases de données» 24 au 27 /06/08 Dernière
Plus en détail1 Introduction et installation
TP d introduction aux bases de données 1 TP d introduction aux bases de données Le but de ce TP est d apprendre à manipuler des bases de données. Dans le cadre du programme d informatique pour tous, on
Plus en détailLes bases de données
Les bases de données Introduction aux fonctions de tableur et logiciels ou langages spécialisés (MS-Access, Base, SQL ) Yves Roggeman Boulevard du Triomphe CP 212 B-1050 Bruxelles (Belgium) Idée intuitive
Plus en détailLangage SQL (1) 4 septembre 2007. IUT Orléans. Introduction Le langage SQL : données Le langage SQL : requêtes
Langage SQL (1) Sébastien Limet Denys Duchier IUT Orléans 4 septembre 2007 Notions de base qu est-ce qu une base de données? SGBD différents type de bases de données quelques systèmes existants Définition
Plus en détailLe langage SQL Rappels
Le langage SQL Rappels Description du thème : Présentation des principales notions nécessaires pour réaliser des requêtes SQL Mots-clés : Niveau : Bases de données relationnelles, Open Office, champs,
Plus en détailBases de Données. Plan
Université Mohammed V- Agdal Ecole Mohammadia d'ingénieurs Rabat Bases de Données Mr N.EL FADDOULI 2014-2015 Plan Généralités: Définition de Bases de Données Le modèle relationnel Algèbre relationnelle
Plus en détailLe Langage De Description De Données(LDD)
Base de données Le Langage De Description De Données(LDD) Créer des tables Décrire les différents types de données utilisables pour les définitions de colonne Modifier la définition des tables Supprimer,
Plus en détailPlan. Bases de Données. Sources des transparents. Bases de SQL. L3 Info. Chapitre 4 : SQL LDD Le langage de manipulation de données : LMD
Plan Bases de Données L3 Info Céline Rouveirol 2010-2011 Bases de Données 1 / 77 Sources des transparents Bases de Données 2 / 77 Bases de SQL - M.P. Dorville/F. Goasdoué, LRI, Université Paris Sud - V.
Plus en détailChapitre 3 LE MODELE RELATIONNEL ET SQL (DDL)
Chapitre 3 LE MODELE RELATIONNEL ET SQL (DDL) Un modèle de données définit un mode de représentation de l information selon trois composantes : 1. Des structures de données. 2. Des contraintes qui permettent
Plus en détailBases de Données Relationnelles. Le Modèle Relationnel
Bases de Données Relationnelles Le Modèle Relationnel Le modèle relationnel modèle de niveau logique modèle simple : deux concepts relation (table) attribut (colonne) défini par Ted Codd en 1970 ; prix
Plus en détailCours Base de données relationnelles. M. Boughanem, IUP STRI
Cours Base de données relationnelles 1 Plan 1. Notions de base 2. Modèle relationnel 3. SQL 2 Notions de base (1) Définition intuitive : une base de données est un ensemble d informations, (fichiers),
Plus en détailLe langage SQL (première partie) c Olivier Caron
Le langage SQL (première partie) 1 Plan Le S.G.B.D. postgres Le langage SQL Langage de manipulation de données Langage de requêtes 2 Quelques mots sur Postgres (1/2) Travaux de Stonebraker (Univ. Berkeley)
Plus en détail1. Qu'est-ce que SQL?... 2. 2. La maintenance des bases de données... 2. 3. Les manipulations des bases de données... 5
1. Qu'est-ce que SQL?... 2 2. La maintenance des bases de données... 2 2.1 La commande CREATE TABLE... 3 2.2 La commande ALTER TABLE... 4 2.3 La commande CREATE INDEX... 4 3. Les manipulations des bases
Plus en détailLe langage SQL pour Oracle - partie 1 : SQL comme LDD
Le langage SQL pour Oracle - partie 1 : SQL comme LDD 1 SQL : Introduction SQL : Structured Query Langage langage de gestion de bases de donn ees relationnelles pour Définir les données (LDD) interroger
Plus en détailTP Contraintes - Triggers
TP Contraintes - Triggers 1. Préambule Oracle est accessible sur le serveur Venus et vous êtes autorisés à accéder à une instance licence. Vous utiliserez l interface d accés SQL*Plus qui permet l exécution
Plus en détailINSTITUT NATIONAL DES TELECOMMUNICATIONS CONTROLE DES CONNAISSANCES. 2. Les questions sont indépendantes les unes des autres.
INSTITUT NATIONAL DES TELECOMMUNICATIONS CONTROLE DES CONNAISSANCES Durée : 1h30 Date : 17/05/2006 Coordonnateurs : Amel Bouzeghoub et Bruno Defude Documents autorisés : ceux distribués en cours Avertissements
Plus en détailOpenPaaS Le réseau social d'entreprise
OpenPaaS Le réseau social d'entreprise Spécification des API datastore SP L2.3.1 Diffusion : Institut MinesTélécom, Télécom SudParis 1 / 12 1OpenPaaS DataBase API : ODBAPI...3 1.1Comparaison des concepts...3
Plus en détail16H Cours / 18H TD / 20H TP
INTRODUCTION AUX BASES DE DONNEES 16H Cours / 18H TD / 20H TP 1. INTRODUCTION Des Fichiers aux Bases de Données 2. SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES 2.1. INTRODUCTION AUX SYSTEMES DE GESTION DE BASES
Plus en détailI4 : Bases de Données
I4 : Bases de Données Passage de UML au modèle relationnel Georges LOUIS Département Réseaux et Télécommunications Université de La Rochelle Module I4 2008-2009 1 G.Louis Sommaire 1 Des classes aux tables
Plus en détailLe Langage SQL version Oracle
Université de Manouba École Supérieure d Économie Numérique Département des Technologies des Systèmes d Information Le Langage SQL version Oracle Document version 1.1 Mohamed Anis BACH TOBJI anis.bach@isg.rnu.tn
Plus en détailECR_DESCRIPTION CHAR(80), ECR_MONTANT NUMBER(10,2) NOT NULL, ECR_SENS CHAR(1) NOT NULL) ;
RÈGLES A SUIVRE POUR OPTIMISER LES REQUÊTES SQL Le but de ce rapport est d énumérer quelques règles pratiques à appliquer dans l élaboration des requêtes. Il permettra de comprendre pourquoi certaines
Plus en détailMySQL / SQL EXEMPLES
MySQL_exemples_janv04_mpT EXEMPLES 1 MySQL / SQL EXEMPLES Typologie du langage Il est possible d'inclure des requêtes SQL dans un programme écrit dans un autre langage (en langage C par exemple), ainsi
Plus en détailCOURS de BASES de DONNEES
COURS de BASES de DONNEES Céline Robardet INSA-Lyon Point de départ Une base de données est une collection de données ayant une origine commune Un Système de Gestion de Base de Données (SGBD) est un logiciel
Plus en détailExemple accessible via une interface Web. Bases de données et systèmes de gestion de bases de données. Généralités. Définitions
Exemple accessible via une interface Web Une base de données consultable en ligne : Bases de données et systèmes de gestion de bases de données The Trans-atlantic slave trade database: http://www.slavevoyages.org/tast/index.faces
Plus en détailVincent Augusto 2010-2011
le des Systèmes Vincent Augusto École Nationale Supérieure des Mines de Saint-Étienne 2010-2011 Un 1/73 le des Un 2/73 1 2 3 4 le 5 6 7 8 Un le des Un 3/73 Contenu du cours : Techniques pour l analyse
Plus en détailOlivier Mondet http://unidentified-one.net
T-GSI Ch.4 Le Langage SQL LDD, LCD Cet exercice guidé reprend le plan suivis lors de l intervention de formation faite pour l académie de Versailles. L objectif principal visait en la présentation du langage
Plus en détailSQL. Oracle. pour. 4 e édition. Christian Soutou Avec la participation d Olivier Teste
Christian Soutou Avec la participation d Olivier Teste SQL pour Oracle 4 e édition Groupe eyrolles, 2004, 2005, 2008, 2010, is BN : 978-2-212-12794-2 Partie III SQL avancé La table suivante organisée en
Plus en détailBases de Données Avancées
1/62 Bases de Données Avancées Introduction & Rappel Conception et Modélisation Thierry Hamon Bureau H202 - Institut Galilée Tél. : 33 1.48.38.35.53 Bureau 150 LIM&BIO EA 3969 Université Paris 13 - UFR
Plus en détailPHP 5. La base de données MySql. A. Belaïd 1
PHP 5 La base de données MySql A. Belaïd 1 Base de données C est quoi une base de données? Une base de données contient une ou plusieurs tables, chaque table ayant un ou plusieurs enregistrements Exemple
Plus en détailCréation et Gestion des tables
Création et Gestion des tables Version 1.0 Z Grégory CASANOVA 2 Sommaire 1 Introduction... 3 2 Pré-requis... 4 3 Les tables... 5 3.1 Les types de données... 5 3.1.1 Les types de données Sql Server... 5
Plus en détailCours SGBD 1. Concepts et langages des Bases de Données Relationnelles
Cours SGBD 1 Concepts et langages des Bases de Données Relationnelles SUPPORT DE COURS IUT de Nice Département INFORMATIQUE IUT de Nice - Cours SGBD1 1 Plan Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3 Chapitre 4
Plus en détailBases de données relationnelles & SQL
Bases de données relationnelles & SQL Objectifs Appréhender les concepts du modèle relationnel. Etre capable de concevoir un schéma relationnel. Etre capable de créer une base de données relationnelle
Plus en détailBases de données - Modèle relationnel
Bases de données - Modèle relationnel Introduction SITE :http://www.univ-orleans.fr/lifo/members/mirian.halfeld/ BD - Mírian Halfeld-Ferrari p. 1 Les bases de données - Bibliographie Ullman and Widom,
Plus en détailIntégrité des données
. Contraintes d intégrité : Définition et objectif Intégrité des données Définition des contraintes Vérification des contraintes Contrainte d'intégrité : propriété sémantique que doivent respecter les
Plus en détailModèle Entité/Association
Base de données Modèle Entité/Association L3 Informatique Antoine Spicher antoine.spicher@u-pec.fr Contexte du cours Organisation du cours 1 ère partie (C. D.) Modèle et algèbre relationnel Langage SQL
Plus en détailCOMMANDES SQL... 2 COMMANDES DE DEFINITION DE DONNEES... 2
SQL Sommaire : COMMANDES SQL... 2 COMMANDES DE DEFINITION DE DONNEES... 2 COMMANDES DE MANIPULATION DE DONNEES... 2 COMMANDES DE CONTROLE TRANSACTIONNEL... 2 COMMANDES DE REQUETE DE DONNEES... 2 COMMANDES
Plus en détailLangage propre à Oracle basé sur ADA. Offre une extension procédurale à SQL
Cours PL/SQL Langage propre à Oracle basé sur ADA Offre une extension procédurale à SQL PL/SQL permet d utiliser un sous-ensemble du langage SQL des variables, des boucles, des alternatives, des gestions
Plus en détailDossier I Découverte de Base d Open Office
ETUDE D UN SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES RELATIONNELLES Définition : Un SGBD est un logiciel de gestion des données fournissant des méthodes d accès aux informations. Un SGBDR permet de décrire
Plus en détailPartie 0 : Gestion des tablespace et des utilisateurs... 3
Sommaire Partie 0 : Gestion des tablespace et des utilisateurs... 3 1- Créer deux TableSpaces votre_nom-tbs et Votre_nom-TempTBS :... 3 2. Créer un utilisateur qui porte votre nom :... 3 3. Attribuer à
Plus en détailBases de données. Yamine AIT AMEUR. INPT-ENSEEIHT DIMA 2 Rue Charles Camichel 31071 Toulouse Cedex 7
Bases de données Yamine AIT AMEUR INPT-ENSEEIHT DIMA 2 Rue Charles Camichel 31071 Toulouse Cedex 7 Première partie Introduction 1 Généralités et notions de base Première partie Introduction 1 Généralités
Plus en détailPour les débutants. langage de définition des données
Pour les débutants SQL : langage de définition des données Les bases de données sont très utilisées dans les applications Web. La création, l interrogation et la manipulation des données de la base sont
Plus en détailLicence de MIDO - 3ème année Spécialités Informatique et Mathématiques Appliquées
Licence de MIDO - 3ème année Spécialités Informatique et Mathématiques Appliquées ANNEE 2014 / 2015 Désignation de l enseignement : Bases de données Nom du document : TP SQL sous PostgreSQL Rédacteur :
Plus en détailIntégrité sémantique dans les bases de données relationnelles
Intégrité sémantique dans les bases de données relationnelles 1 - Intégrité sémantique Bernard ESPINASSE Professeur à Aix-Marseille Université (AMU Ecole Polytechnique Universitaire de Marseille Fev. 2013
Plus en détailA QUOI SERVENT LES BASES DE DONNÉES?
BASE DE DONNÉES OBJET Virginie Sans virginie.sans@irisa.fr A QUOI SERVENT LES BASES DE DONNÉES? Stockage des informations : sur un support informatique pendant une longue période de taille importante accès
Plus en détailCompétences Business Objects - 2014
Compétences Business Objects - 2014 «Mars-Juin 2014. Réf : Version 1 Page 1 sur 34 Sommaire CONTEXTE DE LA REMISE A NIVEAU EN AUTOFORMATION... 3 1. MODELISATION... 4 1.1 DESCRIPTION FONCTIONNEL DE L'APPLICATION
Plus en détailRappel sur les bases de données
Rappel sur les bases de données 1) Généralités 1.1 Base de données et système de gestion de base de donnés: définitions Une base de données est un ensemble de données stockées de manière structurée permettant
Plus en détailConception des bases de données : Modèle Entité-Association
Conception des bases de données : Modèle Entité-Association La modélisation d un problème, c est-à-dire le passage du monde réel à sa représentation informatique, se définit en plusieurs étapes pour parvenir
Plus en détailBases de données relationnelles
Bases de données relationnelles Système de Gestion de Bases de Données Une base de données est un ensemble de données mémorisé par un ordinateur, organisé selon un modèle et accessible à de nombreuses
Plus en détailBases de Données. Le cas des BD relationnelles ouverture sur les BD relationnelles spatiales Séance 2 : Mise en oeuvre
Bases de Données Le cas des BD relationnelles ouverture sur les BD relationnelles spatiales Séance 2 : Mise en oeuvre Synthèse : conception de BD langage de modélisation famille de SGBD SGBD Analyse du
Plus en détailLE LANGAGE SQL2 1. INTRODUCTION
LE LANGAGE SQL2 1. INTRODUCTION Les serveurs de données relationnels présentent aujourd hui une interface externe sous forme d un langage de recherche et mise à jour, permettant de spécifier les ensembles
Plus en détailUML et les Bases de Données
CNAM UML et les Bases de Données UML et les Bases de Données. Diagramme de classes / diagramme d objets (UML)...2.. Premier niveau de modélisation des données d une application...2.2. Les éléments de modélisation...2.2..
Plus en détailInitiation à SQL. Le langage de communication avec une base de données relationnelles. Application avec PostgreSQL. Nathalie Camelin 2011/2012
Initiation à SQL Le langage de communication avec une base de données relationnelles Application avec PostgreSQL Nathalie Camelin 2011/2012 Université du Maine Institut Claude Chappe D'après Levy Estève
Plus en détailSGBDR. Systèmes de Gestion de Bases de Données (Relationnelles)
SGBDR Systèmes de Gestion de Bases de Données (Relationnelles) Plan Approches Les tâches du SGBD Les transactions Approche 1 Systèmes traditionnels basés sur des fichiers Application 1 Gestion clients
Plus en détailGestion des transactions et accès concurrents dans les bases de données relationnelles
Gestion des transactions et accès concurrents dans les bases de données relationnelles Bernard ESPINASSE Professeur à Aix-Marseille Université (AMU) Ecole Polytechnique Universitaire de Marseille Fev.
Plus en détailDéveloppement de base de données Microsoft SQL Server 2012. Durée : 5 jours Référence : DPSQL12. Contenu
Développement de base de données Microsoft SQL Server 2012 Durée : 5 jours Référence : DPSQL12 Cette formation permet aux participants de maîtriser les fonctionnalités de Microsoft SQL Server 2012 telles
Plus en détailTable des matières. Avant-propos
Table des matières Avant-propos v Table des matières xi 1 Introduction aux systèmes de gestion de bases de données 1 1.1 Donnée et type de données 2 1.2 Donnée et information 2 1.3 Donnée simple et complexe
Plus en détailCours Bases de données
Informations sur le cours Cours Bases de données 9 (10) séances de 3h Polycopié (Cours + TD/TP) 3 année (MISI) Antoine Cornuéjols www.lri.fr/~antoine antoine.cornuejols@agroparistech.fr Transparents Disponibles
Plus en détailLes BASES de DONNEES dans WampServer
Les BASES de DONNEES dans WampServer 1 Définitions Générales Une base de données (BDD) permet d'enregistrer, de stocker, de ranger des données de façon organisée et hiérarchisée. SQL est le langage qui
Plus en détailCours de bases de données. Philippe Rigaux
Cours de bases de données Philippe Rigaux 13 juin 2001 2 TABLE DES MATIÈRES 3 Table des matières 1 Introduction 7 2 Présentation générale 9 2.1 Données, Bases de données et SGBD.............................
Plus en détailPrésentation du module Base de données spatio-temporelles
Présentation du module Base de données spatio-temporelles S. Lèbre slebre@unistra.fr Université de Strasbourg, département d informatique. Partie 1 : Notion de bases de données (12,5h ) Enjeux et principes
Plus en détailIntroduction aux Bases de Données
Introduction aux Bases de Données I. Bases de données I. Bases de données Les besoins Qu est ce qu un SGBD, une BD Architecture d un SGBD Cycle de vie Plan du cours Exemples classiques d'applications BD
Plus en détail1. Base de données SQLite
Dans ce TP, nous allons voir comment créer et utiliser une base de données SQL locale pour stocker les informations. La semaine prochaine, ça sera avec un WebService. On repart de l application AvosAvis
Plus en détail4. Utilisation d un SGBD : le langage SQL. 5. Normalisation
Base de données S. Lèbre slebre@unistra.fr Université de Strasbourg, département d informatique. Présentation du module Contenu général Notion de bases de données Fondements / Conception Utilisation :
Plus en détailBases de données cours 1
Bases de données cours 1 Introduction Catalin Dima Objectifs du cours Modèle relationnel et logique des bases de données. Langage SQL. Conception de bases de données. SQL et PHP. Cours essentiel pour votre
Plus en détaildonnées en connaissance et en actions?
1 Partie 2 : Présentation de la plateforme SPSS Modeler : Comment transformer vos données en connaissance et en actions? SPSS Modeler : l atelier de data mining Large gamme de techniques d analyse (algorithmes)
Plus en détailBases de données avancées Introduction
Bases de données avancées Introduction Dan VODISLAV Université de Cergy-Pontoise Master Informatique M1 Cours BDA Plan Objectifs et contenu du cours Rappels BD relationnelles Bibliographie Cours BDA (UCP/M1)
Plus en détailFileMaker 13. Guide de référence SQL
FileMaker 13 Guide de référence SQL 2013 FileMaker, Inc. Tous droits réservés. FileMaker, Inc. 5201 Patrick Henry Drive Santa Clara, Californie 95054 FileMaker et Bento sont des marques commerciales de
Plus en détailLa présente publication est protégée par les droits d auteur. Tous droits réservés.
Editeur (Medieninhaber/Verleger) : Markus Winand Maderspergerstasse 1-3/9/11 1160 Wien AUSTRIA Copyright 2013 Markus Winand La présente publication est protégée par les droits d auteur.
Plus en détailBases de données élémentaires Maude Manouvrier
Licence MI2E- 1ère année Outils en Informatique Bases de données élémentaires Maude Manouvrier Définitions générales et positionnement du cours dans la formation Vocabulaire relatif aux bases de données
Plus en détailSybase Adaptive Server Enterprise 15
Sybase Adaptive Server Enterprise 15 Prêt pour Sybase Adaptive Server Enterprise 15? Novembre 2006 Documentation technique # 29 Introduction Cette présentation liste les fonctionnalités importantes de
Plus en détailSQL Historique 1982 1986 1992
SQL Historique 1950-1960: gestion par simple fichier texte 1960: COBOL (début de notion de base de données) 1968: premier produit de sgbdr structuré (IBM -> IDMS) 1970-74: élaboration de l'outil d'analyse
Plus en détailConception d une base de données
Conception d une base de données Cyril Gruau 17 octobre 2005 (corrigé le 13 juillet 2006) Résumé Ce support de cours regroupe quelques notions concernant le modélisation conceptuelle de système d information
Plus en détailMapReduce. Malo Jaffré, Pablo Rauzy. 16 avril 2010 ENS. Malo Jaffré, Pablo Rauzy (ENS) MapReduce 16 avril 2010 1 / 15
MapReduce Malo Jaffré, Pablo Rauzy ENS 16 avril 2010 Malo Jaffré, Pablo Rauzy (ENS) MapReduce 16 avril 2010 1 / 15 Qu est ce que c est? Conceptuellement Données MapReduce est un framework de calcul distribué
Plus en détailOra2Pg Performances. (C) 2013 Gilles Darold
Ora2Pg Performances (C) 2013 Gilles Darold Gilles Darold Consultant @ Dalibo Auteur d'ora2pg Auteur de PgBadger Auteur de pgformatter Et autres => http://www.darold.net/ Cas pratique Migration d'une base
Plus en détailChapitre 5 LE MODELE ENTITE - ASSOCIATION
Chapitre 5 LE MODELE ENTITE - ASSOCIATION 1 Introduction Conception d une base de données Domaine d application complexe : description abstraite des concepts indépendamment de leur implémentation sous
Plus en détailBases de données Outils de gestion
11/03/2010 Bases de données Outils de gestion Mise en place d outils pour gérer, stocker et utiliser les informations d une recherche biomédicale ent réalisé par L. QUINQUIS d épidémiologie et de biostatistique
Plus en détailINTRODUCTION AU DATA MINING
INTRODUCTION AU DATA MINING 6 séances de 3 heures mai-juin 2006 EPF - 4 ème année - Option Ingénierie d Affaires et de Projets Bertrand LIAUDET TP DE DATA MINING Le TP et le projet consisteront à mettre
Plus en détail... /5. Bases de Données I (J. Wijsen) 23 janvier 2009 NOM + PRENOM : Orientation + Année : Cet examen contient 11 questions.
Bases de Données I (J. Wijsen) 23 janvier 2009 NOM + PRENOM : Orientation + Année : Cet examen contient 11 questions. Question 1 Donnez la traduction en modèle relationnel du schéma Entité-Association
Plus en détailPrincipes de la conception des bases de données
BDD Principes de la conception des bases de données stph.crzt.fr/bdd STÉPHANE CROZAT Paternité - Partage des Conditions Initiales à l'identique : http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.0/fr/ 10 juillet
Plus en détailCours Bases de données 2ème année IUT
Cours Bases de données 2ème année IUT Cours Bilan : Des vues à PL/SQL corrigé Anne Vilnat http://www.limsi.fr/individu/anne/cours Plan 1 Cas exemple 2 Les tables... 3 Vues et index 4 Privilèges 5 Fonctions
Plus en détailPartie II Cours 3 (suite) : Sécurité de bases de données
Partie II Cours 3 (suite) : Sécurité de bases de données ESIL Université de la méditerranée Odile.Papini@esil.univ-mrs.fr http://odile.papini.perso.esil.univmed.fr/sources/ssi.html Plan du cours 1 Introduction
Plus en détailModule Administration BD Chapitre 1 : Surcouche procédurale dans les SGBDS
Module Administration BD Chapitre 1 : Surcouche procédurale dans les SGBDS 1. Introduction Nous allons aborder la notion de surcouche procédurale au sein des SGBDS relationnels tels que Oracle (PLSQL)
Plus en détailCours 3. Développement d une application BD. DBA - Maîtrise ASR - Université Evry
Cours 3 Développement d une application BD 1 Plan du cours Gestion de la sécurité des données Optimisation des schémas de bases via la dénormalisation Utilisation de vues Placement du code applicatif dans
Plus en détail14/04/2014. un ensemble d'informations sur un sujet : exhaustif, non redondant, structuré, persistant. Gaëlle PERRIN SID2 Grenoble.
Gaëlle PERRIN SID2 Grenoble Le 10/04/2014 Base de Données (BD) : une grande quantité de données, centralisées ou non, servant pour les besoins d'une ou plusieurs applications, interrogeables et modifiables
Plus en détailCréer le schéma relationnel d une base de données ACCESS
Utilisation du SGBD ACCESS Polycopié réalisé par Chihab Hanachi et Jean-Marc Thévenin Créer le schéma relationnel d une base de données ACCESS GENERALITES SUR ACCESS... 1 A PROPOS DE L UTILISATION D ACCESS...
Plus en détailBases de données. Chapitre 1. Introduction
Références : Bases de données Pierre Wolper Email : pw@montefiore.ulg.ac.be URL : http : //www.montefiore.ulg.ac.be/~pw/ http : //www.montefiore.ulg.ac.be/ ~pw/cours/bd.html Henry F. Korth, Abraham Silberschatz,
Plus en détailAccess et Org.Base : mêmes objectifs? Description du thème : Création de grilles d écran pour une école de conduite.
Access et Org.Base : mêmes objectifs? Description du thème : Création de grilles d écran pour une école de conduite. Mots-clés : Niveau : Bases de données relationnelles, Open Office, champs, relations,
Plus en détailModélisation et Gestion des bases de données avec mysql workbench
Modélisation et Gestion des bases de données avec mysql workbench par novembre 2011 Table des matières 1 Installation 3 1.1 Ecran de chargement 3 1.2 Page d accueil 3 2 Réalisation d une base de données
Plus en détailCREATION WEB DYNAMIQUE
CREATION WEB DYNAMIQUE IV ) MySQL IV-1 ) Introduction MYSQL dérive directement de SQL (Structured Query Language) qui est un langage de requêtes vers les bases de données relationnelles. Le serveur de
Plus en détailÉvaluation et optimisation de requêtes
Évaluation et optimisation de requêtes Serge Abiteboul à partir de tranparents de Philippe Rigaux, Dauphine INRIA Saclay April 3, 2008 Serge (INRIA Saclay) Évaluation et optimisation de requêtes April
Plus en détailCours d initiation à la programmation en C++ Johann Cuenin
Cours d initiation à la programmation en C++ Johann Cuenin 11 octobre 2014 2 Table des matières 1 Introduction 5 2 Bases de la programmation en C++ 7 3 Les types composés 9 3.1 Les tableaux.............................
Plus en détailIntroduction aux bases de données. Généralités sur les bases de données. Fonctions d'un SGBD. Définitions. Indépendance par rapport aux traitements
Introduction aux bases de données Université de Nice Sophia-Antipolis Version 2.1-5/12/2000 Richard Grin Généralités sur les bases de données R. Grin SGBD 2 Définitions Une base de données est un ensemble
Plus en détailComprendre les bases de données
Comprendre les bases de données Auteur : Hervé LEFEBVRE 9 mars 2002 Version compilée des articles parus sur , ce document reprends l introduction à Postgresql
Plus en détailMaster Exploration Informatique des données DataWareHouse
Master Exploration Informatique des données DataWareHouse Binôme Ahmed BENSI Enseignant tahar ARIB SOMMAIRE I. Conception...1 1. Contexte des contrats...1 2. Contexte des factures...1 II. Modèle physique...2
Plus en détailMejdi BLAGHGI & Anis ASSÈS
Ministère de l Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de la Technologie Direction Générale des Etudes Technologiques Institut Supérieur des Etudes Technologiques de Djerba Support de Cours
Plus en détailINTRODUCTION : Données structurées et accès simplifié
INTRODUCTION : Données structurées et accès simplifié À l'origine de l'informatique, le stockage d'information se faisait sur cartes perforées. Ces supports pauvres ne permettaient pas de définir la structuration
Plus en détailBases de données. PTSI Lycée Eiffel. 28 février 2014
Bases de données PTSI Lycée Eiffel 28 février 2014 Introduction Pour ce troisième chapître, nous allons mettre de côté notre apprentissage de Pyhton pour nous intéresser à un sujet fondamental dans l informatique
Plus en détail