1 - si w est un mot de Dyck, alors (w) est un mot de Dyck 2 - si w et w' sont des mots de Dyck, ww' est un mot de Dyck
|
|
- Daniel Rochette
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LANGAGES ET COMMUNICATION 4- Grammaires 4.1- Introduction Les schémas de définition récursive donnent lieu à une représentation particulièrement simple et commode sous la forme de grammaires. Prenons l'exemple du langage de Dyck, qui est le langage sur {(, )} des mots consistant en des structures parenthétiques bien équilibrées (par exemple : '(()(()))' ; '(())(()())' sont des mots de Dyck sur {(, )} mais pas: *'((())', *'(()()))(' ). On peut donner une définition inductive des mots de ce langage de la manière suivante: Cas de base : 0 - ε est un mot de Dyck ; Pas d'induction : 1 - si w est un mot de Dyck, alors (w) est un mot de Dyck 2 - si w et w' sont des mots de Dyck, ww' est un mot de Dyck On note alors comment on prouve facilement qu'un mot sur {(, )} est un mot de Dyck: par exemple : (()(()))' : 1 - ε est un mot de Dyck (clause n 0), 2 - donc (ε) c'est-à-dire () est un mot de Dyck (clause n 1), 3 - donc (()) est un mot de Dyck (clause n 1) 4 - donc ()(()) est un mot de Dyck (clause n 2) 5 - donc (()(())) est un mot de Dyck (clause n 1) On pourrait aussi définir la notion "être un mot de Dyck" par : est_un_mot_de_dyck : est_un_mot_de_dyck : est_un_mot_de_dyck : ε (est_un_mot_de_dyck) est_un_mot_de_dyck^est_un_mot_de_dyck En prenant une lettre majuscule S pour la notion "est_un_mot_de_dyck" est en remplaçant le ":" par une flèche (appelée flèche de réécriture) "---->", on obtient: 1 - S ----> ε 2 - S ----> ( S ) 3 - S ----> S S On aura alors, pour prouver que '(()(()))' est un mot de Dyck: 1 - S "axiome" 2 - (S) par (S S) par ((S) S) par (( ε ) S) = (() S) par 1 1
2 6 - (()( S )) par (()((S))) par (()(( ε ))) = (()(())) par 1 Autrement dit, on partira d'un symbole privilégié (ici "S") et on appliquera un certain nombre de fois les schémas de production φ ----> ψ jusqu'à obtenir le mot cherché. Ces "schémas de production" seront appelés "règles de réécriture" ou plus simplement : règles. On s'intéressera à l'ensemble des mots qu'on peut obtenir comme expressions terminales à partir d'un symbole S ("axiome") et en appliquant à chaque étape une règle. Nous allons obtenir de cette manière un moyen très général et efficace de description d'un langage. On pourra penser comme illustration à une petite "grammaire " du français. Supposons que nous voulions exprimer que: - toute phrase ("S") est une suite formée d'un groupe nominal (GN) et d'un groupe verbal (GV), - certains GN sont constitués d'un article (Art) suivi d'un nom (N); - d'autres GN d'un article (Art) suivi d'un nom (N) suivi d'un adjectif (Adj) - certains GV consistent en un simple verbe (intransitif) V i - d'autres en un verbe (transitif) V t suivi d'un GN Supposons d'autre part que nous ayons un "lexique", c'est-à-dire des mots du dictionnaire affectés de leur catégorie syntaxique : - fille, garçon sont des noms, - blonde est un adjectif, - la, le sont des articles, - embrasse est un verbe transitif, - dort est un verbe intransitif, alors nous pouvons exprimer toutes ces connaissances par une grammaire: S ----> GN GV GN ----> Art N GN ----> Art N Adj GV ----> V i GV ----> V t GN N ----> fille, garçon Adj ----> blonde Art ----> le, la V t ----> embrasse V i ----> dort et des phrases comme : 2
3 (1) le garçon embrasse la fille blonde ou (2) la fille dort sont obtenues comme expressions terminales de cette grammaire Définitions fondamentales Définition 1 : Grammaire Nous appelons grammaire la donnée de <V N, V T, S, R> où : V N est un ensemble fini non vide de symboles appelés symboles non-terminaux, V T est un ensemble fini de symboles appelés symboles terminaux (V N V T = Σ), S V N, symbole appelé axiome, R est un ensemble fini 1 de couples (φ, ψ) tels que : φ (V N V T )* {ε}, ψ (V N V T )*, en général notés : φ ----> ψ et appelés règles de réécriture. Définition 2 : Dérivation immédiate Etant donnée une grammaire G de vocabulaire non-terminal V N, de vocabulaire terminal V T et d'ensemble de règles R, et deux mots w et w' tels que w (V N V T )* {ε}et w' (V N V T )*, on dit que w permet de dériver immédiatement w' dans G, et on écrit : si et seulement si: w -- G w' il existe des mots α, β, u 1 et u 2 (u 1 (V N V T )* {ε}, α, β, u 2 (V N V T )*) tels que: w = α u 1 β w' = α u 2 β (u > u 2 ) R Définition 3 : Dérivation Dans les mêmes conditions que précédemment, on dira qu'un mot w permet de dériver un mot w' et on écrira : si et seulement si: w -- G * w' il existe une suite de mots w 0,, w 1,..., w k telle que: 1 certaines extensions de la notion de grammaire acceptent un ensemble infini de règles à condition qu'il soit récursif (par exemple: W- grammaires, Grammaires Syntagmatiques Généralisées etc.) 3
4 w 0 = w w k = w' pour tout i = 0... k 1, w i -- G w i+1 Remarque: la relation " --*" sur l'ensemble des mots est évidemment une relation transitive (contrairement à la relation " --" ), c'est même "la plus petite relation transitive contenant " --", ce qu'on appelle classiquement : la fermeture transitive de la relation " - -" (en général notée par un astérisque, d'où la notation utilisée ici). Définition 4 : on appelle dérivation dans une grammaire G toute suite d'expressions w 0,, w 1,..., w k telle que: pour tout i = 0... k 1, w i -- G w i+1. Définition 5 : Langage engendré par une grammaire Etant donnée une grammaire G sur V N V T, on appelle langage engendré par G et on note L(G) le langage : 2.3- Types de règles, types de langages Grammaires de type 1 L(G) = {σ V T ; S -- G * σ} Définition 6 : une grammaire G est dite de type 1 si et seulement si pour toute règle φ--->ψ qui lui appartient, on a : φ ψ (où w désigne la longueur du mot w). Exemple: la grammaire suivante, que nous appellerons désormais G abc est de type 1 car toutes ses règles sont "non-raccourcissantes", c'est-à-dire : pour chacune, la partie gauche est de longueur inférieure ou égale à la partie droite. V N = {S, B, C} ; V T = {a, b, c} S ----> asbc S ----> abc CB ----> BC bb ----> bb bc ----> bc cc ----> cc Exercice : a) faire des dérivations dans cette grammaire, b) les mots suivants appartiennent-ils au langage engendré par cette grammaire : baabab ; aaabbbccc ; abc ; abbccc ; aabcc? c) comment définir autrement le langage engendré par cette grammaire? Notons-le L abc Grammaires de type 2 Définition 7 : une grammaire est dite de type 2, ou : hors-contexte, ou : indépendante du contexte (anglais: context-free) si et seulement si elle est de type 1 avec de plus: la 4
5 partie gauche de toute règle est réduite à un seul symbole non-terminal. Autrement dit, les règles sont de la forme: X ----> ψ avec : X V N et ψ (V N V T )* Exemple : la grammaire suivante, que nous désignerons par G ab est de type 2: V N = {S } ; V T = {a, b} S ----> asb S ----> ab Nous dirons qu'un langage est hors-contexte ssi il est engendré par une grammaire horscontexte Grammaires de type 3 Définition 8 : une grammaire G est dite de type 3 ou linéaire ssi elle est linéaire à gauche ou à droite. Une grammaire G est dite linéaire à gauche (resp. à droite) ssi elle est de type 2 et de plus toutes ses règles sont de la forme : X ----> xx ou X ----> x avec : X V N et x V T (resp : X ----> Xx ou X ----> x avec : X V N et x V T ) Exemple : G 0 défini par : V N = {S, A, B} et V T = {a, b} S ----> aa A ----> aa A ----> bb B ----> bb B ----> b Un langage est dit linéaire ssi il est engendré par une grammaire linéaire : Types étendus et type 0 Les grammaires de types 1, 2, 3 ne permettent pas d'engendrer le mot vide. Les langages qu'elles engendrent ne contiennent donc pas le mot vide (puisqu'engendrer celui-ci supposerait qu'on ait au moins une règle raccourcissante, celle qui réécrit quelquechose en ε). Nous définissons donc les grammaires de types étendus 1, 2, 3 comme étant les grammaires de types respectifs 1, 2, 3 auxquelles on rajoute la possibilité de règles ayant ε en partie droite. Le type 0 sera accordé aux grammaires "en général", c'est-à-dire sans restriction particulière sur la forme des règles. 5
6 2.3.5 Remarques sur la classification des langages On obtient ainsi une hiérarchie des langages qui est une hiérarchie de complexité: en effet, on verra qu'il est plus facile de déterminer si un mot w appartient à un langage de type 3 qu'à un langage de type 2 et qu'il appartient à un langage de type 2 qu'à un langage de type 1. Comme on peut s'en douter, la notion de contexte joue un rôle important. Définition 9 : une règle est dite contextuelle ssi elle est de la forme : αxβ ----> αψβ (*) où α, ψ et β (V N V T )* et X V N Remarque : une règle hors-contexte (c'est-à-dire de type 2) est une règle contextuelle où α = β = ε. Dans le cas d'une règle de la forme (*), on dit aussi que X se réécrit ψ dans le contexte α_β. Ce qu'on peut aussi écrire : X ----> ψ/ [α_ β] où α, ψ et β (V N V T )* et X V N Théorème : pour toute grammaire de type 1, il existe une grammaire contextuelle qui engendre le même langage. Exemple : on vérifiera que la grammaire suivante, qui est contextuelle, engendre le langage L abc : S ----> asbc S ----> abc CB ----> CD CD ----> BD BD ----> BC bb ----> bb bc ----> bc cc ----> cc Remarque: on a bien dans cette grammaire : B se réécrit D dans le contexte gauche C_ (droite vide) et seulement dans ce contexte. Autrement, B se réécrit b dans le contexte gauche b_. Exercice : écrire une grammaire contextuelle d'un fragment du français qui tienne compte des faits suivants (un astérisque désigne une phrase non admise, c'est-à-dire agrammaticale) : le garçon embrasse la fille les garçons embrassent les filles *la garçon embrasse la fille *le garçon embrasse le fille *le garçon embrassent la fille *les garçons embrasse les filles 6
7 2.4 - Dérivations et arbres de dérivation Ambiguïté syntaxique Il est facile de constater qu'il existe plusieurs dérivations pour un même mot (ou une même phrase) dans une grammaire donnée. Souvent, ces dérivations ne diffèrent entre elles que par une caractéristique inessentielle comme un ordre différent dans l'application de deux règles. D'autres fois cependant, elles diffèrent entre elles beaucoup plus fondamentalement. Considérons la grammaire suivante, faite pour rendre compte d'un fragment de l'anglais : V N = {S, GN, GV, N, V, Adj, Pronom} ; V T = {they, are, are flying, flying, planes} S ----> GN GV GN ----> Pronom GN ----> N GN ----> Adj N GV ----> V GN Pronom ----> they V ----> are V ----> are flying Adj ----> flying N ----> planes Il y a deux manières très différentes de dériver la phrase: they are flying planes. L'une correspond au sens qu'aurait la phrase française : ils pilotent des avions (forme progressive) et l'autre à celui qu'aurait : ce sont des avions en vol. On dit dans ce cas que la phrase est syntaxiquement ambiguë relativement à la grammaire donnée. Pour définir formellement cette notion d'ambiguïté, il faut passer par la notion d'arbre syntaxique Arbre syntaxique Définitions préliminaires : un arbre est une structure définie de la manière suivante : soit Σ un ensemble appelé ensemble des noeuds ou sommets, soit R une relation non-réflexive, anti-symétrique stricte et non-transitive, appelée relation de descendance immédiate, <Σ, R> est un arbre si et seulement si : il existe un et un seul élément ρ de Σ tel que: x xrρ, on l'appelle racine de l'arbre, il existe des éléments f 1,.., f n de Σ tels que : i y f i Ry, on les appelle feuilles et leur suite constitue la frontière de l'arbre, pour tout noeud ν de Σ différent de la racine, il existe un noeud µ de Σ tel que µrν, pour tous noeuds µ et ν de Σ, si µrν alors µ', si µ' µ : µ'rν On appelle relation de descendance la fermeture transitive R* de la relation de descendance immédiate R. Dans un arbre A, on dit que le noeud ν descend du noeud µ ou que ν est un descendant de µ ssi µr*ν. 7
8 On appelle sous-arbre d'un arbre donné A tout arbre obtenu en prenant un noeud quelconque dans A et l'ensemble de ses descendants. Définition 10 : étant donnée une expression w engendrée par une grammaire de type 2 G un arbre syntaxique de w sera un arbre défini de la manière suivante : sa racine est étiquetée S ses feuilles sont étiquetées par les lettres qui composent le mot w (ou: les mots qui composent la phrase w) (ou par ε), tout noeud intermédiaire est étiqueté par un symbole non-terminal, pour tout noeud non terminal ν étiqueté par un symbole non terminal N, si les descendants de ν sont des noeuds ν 1,..., ν k étiquetés A 1, A 2,..., A k, alors la grammaire G contient la règle N ----> A 1, A 2,..., A k. Dans un arbre de dérivation D associé à un mot w, on dit qu'un noeud N domine un sous-mot u si et seulement si u est la frontière d'un sous-arbre de D de racine N. Evidemment, la racine de D domine w. Théorème : étant donnée une grammaire hors-contexte G, un mot w est engendré par G si et seulement s'il existe un arbre syntaxique associé à w. Définition 11 : soit D un arbre de dérivation pour w relativement à une grammaire G, on dit qu'un sous-mot u est un constituant de type X dans w ssi il existe un noeud étiqueté X dominant u. Exemple : dans la grammaire d'un fragment de français vue dans l'introduction, une fille est un constituant de type GN, embrasse une fille est un constituant de type GV, embrasse est un constituant de type V, embrasse une n'est pas un constituant. La structure en constituants d'un mot (d'une phrase) peut être représentée par une structure de parenthèses étiquetée, ex : [[[un] Art [garçon] N ] GN [[embrasse] V [[une] Art [fille] N ] GN ] GV ] S Définition 12 : un mot w est dit ambigu pour une grammaire G ssi il admet plusieurs arbres de dérivations. Son degré d'ambiguïté est son nombre d'arbres de dérivations. Une grammaire G est dite ambiguë ssi elle engendre des mots ambigus. Un langage est dit intrinsèquement ambigu ssi il n'admet que des grammaires ambiguës. 8
9 Exercices 1- Soit la grammaire : G ab définie par : V N = {S } ; V T = {a, b} S ----> asb S ----> ab Quel est le langage engendré par G ab? 2- Soit la grammaire G 0 définie par : V N = {S, A, B} et V T = {a, b} S ----> aa A ----> aa A ----> bb B ----> bb B ----> b Quel est le langage engendré par G 0? 3- Un programme de télévision se présente sous la forme d'un texte ainsi composé: jour de la semaine TF nouvelles 6.40 TF1 infos (etc.) France Télé-matin 8.30 xxx (etc.) FR Euronews 7.00 xxx (etc.) Canal blabla (etc.) arte la cinquième 6.00 les amphis de la cinquième, (etc) arte M Boulevard des clips etc. Donner une grammaire des programmes de télévision. Indiquer les terminaux, les nonterminaux, les règles. De quel type est la grammaire obtenue? Quelle méthode suggérez-vous pour connaître l'émission qui passe aujourd'hui à 16h30 sur FR3? 4- Le langage défini comme l'ensemble de tous les mots sur {a, b} qui contiennent exactement cinq 'a' est-il linéaire? Si oui, donner une grammaire. 5- Soit V T = {a, b, c,..., z}, V N = {S, T}. Quelle est la particularité des mots engendrés par la grammaire définie par les règles suivantes : S as bs cs... zs at T at bt ct... zt ε Nous appelons degré d'ambiguïté d'un mot le nombre d'arbres syntaxiques différents qu'il admet. Quel est le degré d'ambiguïté des mots suivants : totalitaire marchandage accident 9
10 Que mesure donc, dans le cas présent, le degré d'ambiguïté? 6- Démontrer que la grammaire suivante est ambiguë: V N = {E}, axiome : E, V T = {a, b, +, } E ----> E + E E ----> E E E ----> a E ----> b On décide de la désambiguiser en rendant prioritaire sur +, de sorte que seuls les arbres syntaxiques réunissant d'abord les produits en constituants puis les sommes soient acceptés. Quelle nouvelle grammaire faut-il écrire pour ne garder que les arbres désirables? Introduire les parenthèses. 7- Soit G la grammaire : V N = {S}, V T = {a} S ----> as S ----> aas S ----> a S ----> aa Quel est le degré d'ambiguïté du mot : aaaaa? 8- Soit la grammaire G donnée par : V N = {S, A, B}; V T = {a, b} S ----> ab A ----> a S ----> ba B ----> bs A ----> as B ----> abb A ----> baa B ----> b Quel langage engendre-t-elle? Le démontrer. 9- On peut représenter un arbre par une liste dont les éléments sont d'autres listes ou bien des "atomes". Les atomes, en ce cas, sont des symboles qui étiquettent les feuilles. On supposera que seules les feuilles sont étiquetées, pas les noeuds intermédiaires (comme la racine par exemple). Ainsi l'arbre suivant : a b a c a b b sera-t-il représenté par la liste : (((a)(b, a)(c))((a)(b, b))) Dessiner les arbres associés aux listes : (((((x))))) ; (a (b (c (d (e))))) ; ((a, (a, b)), (b, ((c, a)))) Donner un moyen simple de passage d'un arbre à une liste (sorte d'algorithme, qu'on n'explicitera pas complètement) et d'une liste à un arbre. Donner une grammaire des listes, où l'ensemble des terminaux est : V T = {(, ), a, b, c}. 10
Chap 4: Analyse syntaxique. Prof. M.D. RAHMANI Compilation SMI- S5 2013/14 1
Chap 4: Analyse syntaxique 1 III- L'analyse syntaxique: 1- Le rôle d'un analyseur syntaxique 2- Grammaires non contextuelles 3- Ecriture d'une grammaire 4- Les méthodes d'analyse 5- L'analyse LL(1) 6-
Plus en détailCalcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.
1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le
Plus en détailGrammaires d unification
Cours sur le traitement automatique des langues (IV) Violaine Prince Université de Montpellier 2 LIRMM-CNRS Grammaires d unification Grammaire catégorielle Grammaire syntagmatique généralisée (GPSG) Les
Plus en détailCH.6 Propriétés des langages non contextuels
CH.6 Propriétés des langages non contetuels 6.1 Le lemme de pompage 6.2 Les propriétés de fermeture 6.3 Les problèmes de décidabilité 6.4 Les langages non contetuels déterministes utomates ch6 1 6.1 Le
Plus en détailchapitre 4 Nombres de Catalan
chapitre 4 Nombres de Catalan I Dénitions Dénition 1 La suite de Catalan (C n ) n est la suite dénie par C 0 = 1 et, pour tout n N, C n+1 = C k C n k. Exemple 2 On trouve rapidement C 0 = 1, C 1 = 1, C
Plus en détailStructures algébriques
Structures algébriques 1. Lois de composition s Soit E un ensemble. Une loi de composition interne sur E est une application de E E dans E. Soient E et F deux ensembles. Une loi de composition externe
Plus en détail6. Les différents types de démonstrations
LES DIFFÉRENTS TYPES DE DÉMONSTRATIONS 33 6. Les différents types de démonstrations 6.1. Un peu de logique En mathématiques, une démonstration est un raisonnement qui permet, à partir de certains axiomes,
Plus en détailAngles orientés et trigonométrie
Chapitre Angles orientés et trigonométrie Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Trigonométrie Cercle trigonométrique. Radian. Mesure d un angle orienté, mesure principale.
Plus en détailt 100. = 8 ; le pourcentage de réduction est : 8 % 1 t Le pourcentage d'évolution (appelé aussi taux d'évolution) est le nombre :
Terminale STSS 2 012 2 013 Pourcentages Synthèse 1) Définition : Calculer t % d'un nombre, c'est multiplier ce nombre par t 100. 2) Exemples de calcul : a) Calcul d un pourcentage : Un article coûtant
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailUniversité Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010. Applications
Université Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010 Applications 1 Introduction Une fonction f (plus précisément, une fonction réelle d une variable réelle) est une règle qui associe à tout réel x au
Plus en détailThéorie des Langages
Théorie des Langages Analyse syntaxique descendante Claude Moulin Université de Technologie de Compiègne Printemps 2010 Sommaire 1 Principe 2 Premiers 3 Suivants 4 Analyse 5 Grammaire LL(1) Exemple : Grammaire
Plus en détailRaisonnement par récurrence Suites numériques
Chapitre 1 Raisonnement par récurrence Suites numériques Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Raisonnement par récurrence. Limite finie ou infinie d une suite.
Plus en détailCHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques
CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques VIII. 1 Ce chapitre porte sur les courants et les différences de potentiel dans les circuits. VIII.1 : Les résistances en série et en parallèle On
Plus en détailChapitre 2. Eléments pour comprendre un énoncé
Chapitre 2 Eléments pour comprendre un énoncé Ce chapitre est consacré à la compréhension d un énoncé. Pour démontrer un énoncé donné, il faut se reporter au chapitre suivant. Les tables de vérité données
Plus en détailAlgorithmes d'apprentissage
Algorithmes d'apprentissage 1 Agents qui apprennent à partir d'exemples La problématique : prise de décision automatisée à partir d'un ensemble d'exemples Diagnostic médical Réponse à une demande de prêt
Plus en détailLe théorème de Thalès et sa réciproque
Le théorème de Thalès et sa réciproque I) Agrandissement et Réduction d une figure 1) Définition : Lorsque toutes les longueurs d une figure F sont multipliées par un même nombre k on obtient une autre
Plus en détailCONJUGUÉ D'UN POINT PAR RAPPORT À UN TRIANGLE
CONJUGUÉ D'UN POINT PAR RAPPORT À UN TRIANGLE Jean Luc Bovet, Auvernier L'article de Monsieur Jean Piquerez (Bulletin de la SSPMP No 86), consacré aux symédianes me paraît appeler une généralisation. En
Plus en détailNote de cours. Introduction à Excel 2007
Note de cours Introduction à Excel 2007 par Armande Pinette Cégep du Vieux Montréal Excel 2007 Page: 2 de 47 Table des matières Comment aller chercher un document sur CVMVirtuel?... 8 Souris... 8 Clavier
Plus en détailCHAPITRE V SYSTEMES DIFFERENTIELS LINEAIRES A COEFFICIENTS CONSTANTS DU PREMIER ORDRE. EQUATIONS DIFFERENTIELLES.
CHAPITRE V SYSTEMES DIFFERENTIELS LINEAIRES A COEFFICIENTS CONSTANTS DU PREMIER ORDRE EQUATIONS DIFFERENTIELLES Le but de ce chapitre est la résolution des deux types de systèmes différentiels linéaires
Plus en détail1 radian. De même, la longueur d un arc de cercle de rayon R et dont l angle au centre a pour mesure α radians est α R. R AB =R.
Angles orientés Trigonométrie I. Préliminaires. Le radian Définition B R AB =R C O radian R A Soit C un cercle de centre O. Dire que l angle géométrique AOB a pour mesure radian signifie que la longueur
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détailI. Ensemble de définition d'une fonction
Chapitre 2 Généralités sur les fonctions Fonctions de références et fonctions associées Ce que dit le programme : Étude de fonctions Fonctions de référence x x et x x Connaître les variations de ces deux
Plus en détail5 ème Chapitre 4 Triangles
5 ème Chapitre 4 Triangles 1) Médiatrices Définition : la médiatrice d'un segment est l'ensemble des points équidistants des extrémités du segment (cours de 6 ème ). Si M appartient à la médiatrice du
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailCours 02 : Problème général de la programmation linéaire
Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la Programmation Linéaire. 5 . Introduction Un programme linéaire s'écrit sous la forme suivante. MinZ(ou maxw) =
Plus en détailLe produit semi-direct
Le produit semi-direct Préparation à l agrégation de mathématiques Université de Nice - Sophia Antipolis Antoine Ducros Octobre 2007 Ce texte est consacré, comme son titre l indique, au produit semi-direct.
Plus en détailGéométrie dans l espace Produit scalaire et équations
Chapitre 11. 2ème partie Géométrie dans l espace Produit scalaire et équations Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES 2ème partie Produit scalaire Produit scalaire
Plus en détailChapitre 2. Matrices
Département de mathématiques et informatique L1S1, module A ou B Chapitre 2 Matrices Emmanuel Royer emmanuelroyer@mathuniv-bpclermontfr Ce texte mis gratuitement à votre disposition a été rédigé grâce
Plus en détailExo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2.
Eo7 Calculs de déterminants Fiche corrigée par Arnaud Bodin Eercice Calculer les déterminants des matrices suivantes : Correction Vidéo ( ) 0 6 7 3 4 5 8 4 5 6 0 3 4 5 5 6 7 0 3 5 4 3 0 3 0 0 3 0 0 0 3
Plus en détailAC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =
LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste
Plus en détailI - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES
I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et
Plus en détailExercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détailAlgorithmes de recherche
Algorithmes de recherche 1 Résolution de problèmes par recherche On représente un problème par un espace d'états (arbre/graphe). Chaque état est une conguration possible du problème. Résoudre le problème
Plus en détailDébuter avec Excel. Excel 2007-2010
Débuter avec Excel Excel 2007-2010 Fabienne ROUX Conseils & Formation 10/04/2010 TABLE DES MATIÈRES LE RUBAN 4 LE CLASSEUR 4 RENOMMER LES FEUILLES DU CLASSEUR 4 SUPPRIMER DES FEUILLES D UN CLASSEUR 4 AJOUTER
Plus en détailDéveloppements limités. Notion de développement limité
MT12 - ch2 Page 1/8 Développements limités Dans tout ce chapitre, I désigne un intervalle de R non vide et non réduit à un point. I Notion de développement limité Dans tout ce paragraphe, a désigne un
Plus en détailComparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10
PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?
Plus en détailTravaux pratiques. Compression en codage de Huffman. 1.3. Organisation d un projet de programmation
Université de Savoie Module ETRS711 Travaux pratiques Compression en codage de Huffman 1. Organisation du projet 1.1. Objectifs Le but de ce projet est d'écrire un programme permettant de compresser des
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé 2012-2013 1 Petites questions 1 Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? Réponse : Non, car le complémentaire de ], 0[ n est pas ouvert.
Plus en détailUniversité Ibn Zohr Excel Résume de cours
Le logiciel Excel: Excel est un tableur qui permet de saisir des données, de les afficher et de faire des traitements sur ces données. Les originalités du tableur sont l'organisation des données et les
Plus en détailInformatique Théorique : Théorie des Langages, Analyse Lexicale, Analyse Syntaxique Jean-Pierre Jouannaud Professeur
Université Paris-Sud Licence d Informatique Informatique Théorique : Théorie des Langages, Analyse Lexicale, Analyse Syntaxique Jean-Pierre Jouannaud Professeur Adresse de l auteur : LIX École Polytechnique
Plus en détailEnoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé.
Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé. I- ACTIVITES NUMERIQUES (12 points) Exercice 1 (3 points) On considère
Plus en détailDualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies
Chapitre 6 Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies Nous allons maintenant revenir sur les espaces L p du Chapitre 4, à la lumière de certains résultats du Chapitre 5. Sauf mention
Plus en détailFondements de l informatique Logique, modèles, et calculs
Fondements de l informatique Logique, modèles, et calculs Cours INF423 de l Ecole Polytechnique Olivier Bournez Version du 20 septembre 2013 2 Table des matières 1 Introduction 9 1.1 Concepts mathématiques........................
Plus en détailRappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie
Rappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie 1 Définition des nombres complexes On définit sur les couples de réels une loi d addition comme suit : (x; y)
Plus en détailOptimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications
Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications A. Optimisation sans contrainte.... Généralités.... Condition nécessaire et condition suffisante
Plus en détailReprésentation d un entier en base b
Représentation d un entier en base b 13 octobre 2012 1 Prérequis Les bases de la programmation en langage sont supposées avoir été travaillées L écriture en base b d un entier est ainsi défini à partir
Plus en détailSeconde et première Exercices de révision sur les probabilités Corrigé
I_ L'univers. _ On lance simultanément deux dés indiscernables donc il n'y a pas d'ordre. Il y a répétition, les dbles. On note une issue en écrivant le plus grand chiffre puis le plus petit. 32 signifie
Plus en détailCORRIGE LES NOMBRES DECIMAUX RELATIFS. «Réfléchir avant d agir!»
Corrigé Cours de Mr JULES v3.3 Classe de Quatrième Contrat 1 Page 1 sur 13 CORRIGE LES NOMBRES DECIMAUX RELATIFS. «Réfléchir avant d agir!» «Correction en rouge et italique.» I. Les nombres décimaux relatifs.
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailFonctions homographiques
Seconde-Fonctions homographiques-cours Mai 0 Fonctions homographiques Introduction Voir le TP Géogébra. La fonction inverse. Définition Considérons la fonction f définie par f() =. Alors :. f est définie
Plus en détailTaux d évolution moyen.
Chapitre 1 Indice Taux d'évolution moyen Terminale STMG Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Indice simple en base 100. Passer de l indice au taux d évolution, et réciproquement.
Plus en détailMicrosoft Excel 2007. Présentation du tableur Excel
Microsoft Excel 2007 Présentation du tableur Excel 1 Interface d'excel 2007 Excel 2007 se distingue des versions précédentes par son interface plus intuitive et accessible. Les nouveautés sont multiples
Plus en détail1 Définition et premières propriétés des congruences
Université Paris 13, Institut Galilée Département de Mathématiques Licence 2ème année Informatique 2013-2014 Cours de Mathématiques pour l Informatique Des nombres aux structures Sylviane R. Schwer Leçon
Plus en détailLogique. Plan du chapitre
Logique Ce chapitre est assez abstrait en première lecture, mais est (avec le chapitre suivant «Ensembles») probablement le plus important de l année car il est à la base de tous les raisonnements usuels
Plus en détail3 ème 2 DÉVELOPPEMENT FACTORISATIONS ET IDENTITÉS REMARQUABLES 1/5 1 - Développements
3 ème 2 DÉVELOPPEMENT FACTORISATIONS ET IDENTITÉS REMARQUABLES 1/5 1 - Développements Développer une expression consiste à transformer un produit en une somme Qu est-ce qu une somme? Qu est-ce qu un produit?
Plus en détailChapitre 1 I:\ Soyez courageux!
Chapitre 1 I:\ Soyez courageux! Pour ne rien vous cacher, le langage d'assembleur (souvent désigné sous le terme "Assembleur", bien que ce soit un abus de langage, puisque "Assembleur" désigne le logiciel
Plus en détailReprésentation géométrique d un nombre complexe
CHAPITRE 1 NOMBRES COMPLEXES 1 Représentation géométrique d un nombre complexe 1. Ensemble des nombres complexes Soit i le nombre tel que i = 1 L ensemble des nombres complexes est l ensemble des nombres
Plus en détailChp. 4. Minimisation d une fonction d une variable
Chp. 4. Minimisation d une fonction d une variable Avertissement! Dans tout ce chapître, I désigne un intervalle de IR. 4.1 Fonctions convexes d une variable Définition 9 Une fonction ϕ, partout définie
Plus en détailIntroduction a l'algorithmique des objets partages. Robert Cori. Antoine Petit. Lifac, ENS Cachan, 94235 Cachan Cedex. Resume
Introduction a l'algorithmique des objets partages Bernadette Charron{Bost Robert Cori Lix, Ecole Polytechnique, 91128 Palaiseau Cedex, France, charron@lix.polytechnique.fr cori@lix.polytechnique.fr Antoine
Plus en détailInitiation à la programmation en Python
I-Conventions Initiation à la programmation en Python Nom : Prénom : Une commande Python sera écrite en caractère gras. Exemples : print 'Bonjour' max=input("nombre maximum autorisé :") Le résultat de
Plus en détail2.4 Représentation graphique, tableau de Karnaugh
2 Fonctions binaires 45 2.4 Représentation graphique, tableau de Karnaugh On peut définir complètement une fonction binaire en dressant son tableau de Karnaugh, table de vérité à 2 n cases pour n variables
Plus en détailLes indices à surplus constant
Les indices à surplus constant Une tentative de généralisation des indices à utilité constante On cherche ici en s inspirant des indices à utilité constante à définir un indice de prix de référence adapté
Plus en détailCorps des nombres complexes, J Paul Tsasa
Corps des nombres complexes, J Paul Tsasa One Pager Février 2013 Vol. 5 Num. 011 Copyright Laréq 2013 http://www.lareq.com Corps des Nombres Complexes Définitions, Règles de Calcul et Théorèmes «Les idiots
Plus en détailPremiers exercices d Algèbre. Anne-Marie Simon
Premiers exercices d Algèbre Anne-Marie Simon première version: 17 août 2005 version corrigée et complétée le 12 octobre 2010 ii Table des matières 1 Quelques structures ensemblistes 1 1.0 Ensembles, relations,
Plus en détailPlanche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé
Planche n o Fonctions de plusieurs variables Corrigé n o : f est définie sur R \ {, } Pour, f, = Quand tend vers, le couple, tend vers le couple, et f, tend vers Donc, si f a une limite réelle en, cette
Plus en détailChapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme
Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet
Plus en détailRéalisabilité et extraction de programmes
Mercredi 9 mars 2005 Extraction de programme: qu'est-ce que c'est? Extraire à partir d'une preuve un entier x N tel que A(x). π x N A(x) (un témoin) (En fait, on n'extrait pas un entier, mais un programme
Plus en détailUniversité de Bangui. Modélisons en UML
Université de Bangui CRM Modélisons en UML Ce cours a été possible grâce à l initiative d Apollinaire MOLAYE qui m a contacté pour vous faire bénéficier de mes connaissances en nouvelles technologies et
Plus en détailProjet d informatique M1BI : Compression et décompression de texte. 1 Généralités sur la compression/décompression de texte
Projet d informatique M1BI : Compression et décompression de texte Le but de ce projet est de coder un programme réalisant de la compression et décompression de texte. On se proposera de coder deux algorithmes
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur
Plus en détailActivités numériques [13 Points]
N du candidat L emploi de la calculatrice est autorisé. Le soin, la qualité de la présentation entrent pour 2 points dans l appréciation des copies. Les résultats seront soulignés. La correction est disponible
Plus en détailImage d un intervalle par une fonction continue
DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction
Plus en détailPROBLEME(12) Première partie : Peinture des murs et du plafond.
PROBLEME(12) Une entreprise doit rénover un local. Ce local a la forme d'un parallélépipède rectangle. La longueur est 6,40m, la largeur est 5,20m et la hauteur est 2,80m. Il comporte une porte de 2m de
Plus en détailDérivation CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES
Capitre 4 Dérivation Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Dérivation Nombre dérivé d une fonction en un point. Tangente à la courbe représentative d une fonction dérivable
Plus en détailCalcul différentiel sur R n Première partie
Calcul différentiel sur R n Première partie Université De Metz 2006-2007 1 Définitions générales On note L(R n, R m ) l espace vectoriel des applications linéaires de R n dans R m. Définition 1.1 (différentiabilité
Plus en détailOptimisation des fonctions de plusieurs variables
Optimisation des fonctions de plusieurs variables Hervé Hocquard Université de Bordeaux, France 8 avril 2013 Extrema locaux et globaux Définition On étudie le comportement d une fonction de plusieurs variables
Plus en détailManuel d utilisation 26 juin 2011. 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2
éducalgo Manuel d utilisation 26 juin 2011 Table des matières 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2 2 Comment écrire un algorithme? 3 2.1 Avec quoi écrit-on? Avec les boutons d écriture........
Plus en détailPour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Les pages qui suivent comportent, à titre d exemples, les questions d algèbre depuis juillet 003 jusqu à juillet 015, avec leurs solutions. Pour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Plus en détailCours de Master Recherche
Cours de Master Recherche Spécialité CODE : Résolution de problèmes combinatoires Christine Solnon LIRIS, UMR 5205 CNRS / Université Lyon 1 2007 Rappel du plan du cours 16 heures de cours 1 - Introduction
Plus en détailIntroduction. I Étude rapide du réseau - Apprentissage. II Application à la reconnaissance des notes.
Introduction L'objectif de mon TIPE est la reconnaissance de sons ou de notes de musique à l'aide d'un réseau de neurones. Ce réseau doit être capable d'apprendre à distinguer les exemples présentés puis
Plus en détailSeconde Généralités sur les fonctions Exercices. Notion de fonction.
Seconde Généralités sur les fonctions Exercices Notion de fonction. Exercice. Une fonction définie par une formule. On considère la fonction f définie sur R par = x + x. a) Calculer les images de, 0 et
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailJeux de caracte res et encodage (par Michel Michaud 2014)
Jeux de caracte res et encodage (par Michel Michaud 2014) Les ordinateurs ne traitent que des données numériques. En fait, les codages électriques qu'ils conservent en mémoire centrale ne représentent
Plus en détailCorrection de l examen de la première session
de l examen de la première session Julian Tugaut, Franck Licini, Didier Vincent Si vous trouvez des erreurs de Français ou de mathématiques ou bien si vous avez des questions et/ou des suggestions, envoyez-moi
Plus en détailProblème 1 : applications du plan affine
Problème 1 : applications du plan affine Notations On désigne par GL 2 (R) l ensemble des matrices 2 2 inversibles à coefficients réels. Soit un plan affine P muni d un repère (O, I, J). Les coordonnées
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailaux différences est appelé équation aux différences d ordre n en forme normale.
MODÉLISATION ET SIMULATION EQUATIONS AUX DIFFÉRENCES (I/II) 1. Rappels théoriques : résolution d équations aux différences 1.1. Équations aux différences. Définition. Soit x k = x(k) X l état scalaire
Plus en détailIntroduction à la théorie des graphes. Solutions des exercices
CAHIERS DE LA CRM Introduction à la théorie des graphes Solutions des exercices Didier Müller CAHIER N O 6 COMMISSION ROMANDE DE MATHÉMATIQUE 1 Graphes non orientés Exercice 1 On obtient le graphe biparti
Plus en détailscientifique de Kourou (présence du on) mois, avant, quelques jours, avant, à partir de, le dernier jour.
Faire de la grammaire au CE2 Période 3 Semaine 2 Le lancement d'un satellite Jour Activités Déroulement Matériel J1 Lecture et compréhension de l histoire Activités sur le texte - De quoi parle ce document?
Plus en détailConstruction d un cercle tangent à deux cercles donnés.
Préparation au CAPES Strasbourg, octobre 2008 Construction d un cercle tangent à deux cercles donnés. Le problème posé : On se donne deux cercles C et C de centres O et O distincts et de rayons R et R
Plus en détailComplexité. Licence Informatique - Semestre 2 - Algorithmique et Programmation
Complexité Objectifs des calculs de complexité : - pouvoir prévoir le temps d'exécution d'un algorithme - pouvoir comparer deux algorithmes réalisant le même traitement Exemples : - si on lance le calcul
Plus en détailPremière partie. Préliminaires : noyaux itérés. MPSI B 6 juin 2015
Énoncé Soit V un espace vectoriel réel. L espace vectoriel des endomorphismes de V est désigné par L(V ). Lorsque f L(V ) et k N, on désigne par f 0 = Id V, f k = f k f la composée de f avec lui même k
Plus en détail3. Conditionnement P (B)
Conditionnement 16 3. Conditionnement Dans cette section, nous allons rappeler un certain nombre de définitions et de propriétés liées au problème du conditionnement, c est à dire à la prise en compte
Plus en détail3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailINF 232: Langages et Automates. Travaux Dirigés. Université Joseph Fourier, Université Grenoble 1 Licence Sciences et Technologies
INF 232: Langages et Automates Travaux Dirigés Université Joseph Fourier, Université Grenoble 1 Licence Sciences et Technologies Année Académique 2013-2014 Année Académique 2013-2014 UNIVERSITÉ JOSEPH
Plus en détailFctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines
FctsAffines.nb 1 Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008 Fonctions affines Supports de cours de mathématiques de degré secondaire II, lien hpertete vers la page mère http://www.deleze.name/marcel/sec2/inde.html
Plus en détailUne forme générale de la conjecture abc
Une forme générale de la conjecture abc Nicolas Billerey avec l aide de Manuel Pégourié-Gonnard 6 août 2009 Dans [Lan99a], M Langevin montre que la conjecture abc est équivalente à la conjecture suivante
Plus en détailLa fonction exponentielle
DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 novembre 204 à :07 La fonction exponentielle Table des matières La fonction exponentielle 2. Définition et théorèmes.......................... 2.2 Approche graphique de la fonction
Plus en détail