Chapitre II. La diode en commutation. Sommaire
|
|
- Thibaud Déry
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chapire La ioe en commuaion Sommaire 1 NTODUCTON SCHEMA EQUVALENT Eue e V F < V Eue e V F V LA DODE EST ALMENTEE PA UNE SOUCE DE TENSON COMMUTATON A LA FEMETUE Calcul u emps Calcul u emps Synhèse COMMUTATON A L'OUVETUE Calcul u emps e sockage s es charges libres Calcul u emps e sockage T es charges sockées LA DODE EST ALMENTEE PA UNE SOUCE DE COUANT COMMUTATON A LA FEMETUE COMMUTATON A L'OUVETUE PETES PA COMMUTATON CONCLUSON... 24
2 Chapire : La ioe en commuaion Chapire : La ioe en commuaion 1 nroucion l exise e nombreux ypes e ioes : Signal, égulaion, eresseur, Commuaion (schockley, schoky) Hyperfréquence e/ou aénuaeur (PN, snap off, ) Emission ou oscillaion (à effe gunn), A résisance négaive (unnel), A capacié variable, Touefois nous nous conenerons, ici, 'éuier une simple ioe à joncion PN. 1.1 SCHEMA EQUVALENT La caracérisique saique irece 'une joncion PN es la suivane : F F -1 Sens irec V F V0 VF V Figure 1 : Schéma 1 : Caracérisique saique irece 'une ioe Avec : F, couran irec (Forwar),, résisance ifférenielle, V F, ension irece, V 0, ension e seuil. On remarque eux zones e foncionnemen bien isinces : V F < V 0, V F V Eue e V F < V 0 La ioe es encore bloquée, seule la ension aux bornes varie, il n'y a praiquemen aucun couran. La joncion PN es soumise à un champ élecrique, onc es charges e même signe son accumulées aux exrémiés e la joncion. Par conséquen la ioe es équivalene à un conensaeur. C T V F V F Figure 2 : Quan V F < V 0 la ioe es équivalene à un conensaeur. Cours e commuaion version u 28/10/04 à 07:10 Diier Magnon Page 11
3 Chapire : La ioe en commuaion Ce conensaeur es i e TANSTON, on le noe C T Eue e V F V 0 La ioe es mainenan passane, la ension e le couran peuven varier. La joncion PN es oujours soumise à un champ élecrique, onc es charges e même signe son présenes aux exrémiés e la joncion. La ioe es encore équivalene à un conensaeur mais cee fois ci en parallèle avec une résisance, image e la ifficulé que les élecrons on à raverser la joncion PN. D'où le schéma équivalen à la joncion. P N Figure 3 : Quan V F V 0 la joncion PN présene les caracérisiques 'une résisance e 'un conensaeur en parallèle. Mais ce schéma n'es pas comple car il ne pren pas en compe la ension e seuil V 0. Le schéma équivalen comple es onc le suivan : C F V 0 C V F Avec : Figure 4 : Schéma équivalen à la ioe quan elle es passane., la résisance ifférenielle ou ynamique, C, le conensaeur e iffusion. emarque : Pour V F = V 0, le conensaeur C ne possèe aucune charge. 2 La ioe es alimenée par une source e ension 2.1 COMMUTATON A LA FEMETUE Soi le monage suivan : V F i() E1 e() D1 V () Figure 5 : Monage éuié Cours e commuaion version u 28/10/04 à 07:10 Diier Magnon Page 12
4 Chapire : La ioe en commuaion e() es un créneau suffisammen long evan le emps e commuaion u composan e elle sore qu'il soi vu pour ce insan précis comme un échelon. Alors nous le éfinissons comme sui : E 1 e() Figure 6 : Echelon appliqué au circui D Nous venons e voir que la mise en conucion se éroule en eux emps. Dans une première phase on peu calculer le emps 1 que la capacié e ransiion C T me à se charger. Dans une euxième phase, on calcul le emps 2 que la capacié C me à se charger Calcul u emps 1 Dans cee phase, la ension V F es inférieure au seuil e conucion V 0. La ioe es bloquée. Le schéma équivalen u monage es : i() E1 e() C V() Figure 7 : Schéma équivalen quan V ()<Vo. L éue précéene à monrer la ension aux bornes e la ioe es : ) = ( E1) e + V ( τ E avec τ=c (cf. équaion 3) 1 e V aein V 0 au bou 'un emps 1 el que : E 2 E1 = 1 τ ln (après 1 cee équaion n'es plus valable). V 0 E1 E 1 V 0 VF() e() 1 Figure 8 : Temps 1 pour lequel V ()=V 0. Cours e commuaion version u 28/10/04 à 07:10 Diier Magnon Page 13
5 Chapire : La ioe en commuaion Calcul u emps 2 Dans cee phase, la ension V es au moins égale à la ension e seuil V 0. La ioe conui. Son schéma équivalen es le suivan : i() E1 V () C Vc () V0 Figure 9 : Schéma équivalen quan V () V o. A l insan 1 où ce schéma evien vrai, la capacié e iffusion C ne possèe aucune charge. Par conséquen, elle va se charger jusqu à un poin e foncionnemen sable E 1 - F -V F (si F e V F son les valeurs finales u couran e e la ension). La commuaion e la ioe es alors erminée. Le calcul u emps 2 revien onc à celui u emps e charge e la C. Nous evons onc rouver l expression e la ension V c aux bornes e C. Pour cela nous uilisons le schéma équivalen obenu par applicaion u héorème e Thévenin au circui alimenan C. Soi le schéma suivan : i() A E1 V () B Vc() V0 Figure 10 : Eue u schéma équivalen e Thévenin aux bornes AB (quan V () V o ). Vu es bornes AB le circui es alimené par une ension E 1 -V 0 à ravers une résisance équivalene à //. Le schéma evien : // A E0 V c() C B Figure 11 : Schéma équivalen e Thévenin aux bornes AB (quan V () V o ). Cours e commuaion version u 28/10/04 à 07:10 Diier Magnon Page 14
6 Chapire : La ioe en commuaion Avec : E 0 ( E V ) = Nous sommes en présence 'un sysème linéaire u premier orre on la réponse à un échelon es u ype : V c ( 0 τ ) = E (1 e ) avec τ = (// )C V c E0 0,95E 0 r Figure 12 : éponse 'un SL u 1 ème orre à un échelon. 2 es équivalen à un emps e réponse r. l peu êre éfini à 90 ou 95% e la valeur finale. 2 (90%) = 2,3τ e 2 (95%) = 3τ. * emarque : ans la plupar es cas >>. Or τ = * C soi τ C + Or pour 1, τ=c, comme C e C son u même orre e graneur, 2 sera négligeable evan 1 (cf. valeurs en TD) Synhèse La mise en conucion oale 'une ioe se fai en Cee somme es appelée emps e recouvremen irec ou Forwar ecovery Time, c'es-à-ire fr = Allure e la ension aux bornes e la ioe. VF e() Vc V0+E0 E0 0,95E0 V fr Figure 13 : Allure e la ension aux bornes e la ioe lors e la commuaion ON. Cours e commuaion version u 28/10/04 à 07:10 Diier Magnon Page 15
7 Chapire : La ioe en commuaion Pour la claré u schéma les échelles ne son pas respecées enre ensions négaive e posiive. En effe, E 0 es une rès faible valeur, e l'orre e la izaine e millivols Allure u couran ans la ioe A =0, le couran es maximum e n'es limié que par la résisance u circui, sa valeur vau E1 M =, ensuie le couran subi une écroissance exponenielle puisque c'es une charge e capacié. A = 1, la ioe commence à conuire e son schéma équivalen change. Le couran coninu sa écroissance jusqu'à sa valeur finale : E VF E V F = E1 F = (cf. remarque suivane) F = car V 0 <<E 1. i M 1>> 2 F 1 fr 2 Figure 14 : Allure u couran ans la ioe lors e la commuaion ON. emarque : On a vu que E0 = ( E1 V 0 ) e que >> + Si on race la roie e charge sur la caracérisique saique 'une ioe on obien : M(1) 1 2>1-1 Sens irec M(2) 2 V0 VF ension aux bornes e la ioe Figure 15 : Tension aux bornes e la ioe en foncion e la roie e charge. E1 V Cours e commuaion version u 28/10/04 à 07:10 Diier Magnon Page 16
8 Chapire : La ioe en commuaion La ension aux bornes e la ioe varie 'un V rès faible. Donc quan la ioe conui la ension à ces bornes es e l'orre e V COMMUTATON A L'OUVETUE Lorsque le créneau e la ension 'alimenaion passe e E 1 à la ioe va se bloquer. e() E 1 Figure 16 : Tension e blocage e la ioe. Là encore, le blocage n'es pas imméia. Dans un premier emps la ioe présene une impéance faible (elle es conucrice) jusqu'à complèe recombinaison es poreurs minoriaires e reconsiuion e la barrière e poeniel. En effe le conensaeur e iffusion C a emmagasiné es charges libres e le conensaeur e ransiion C a socké es charges qu'il fau mainenan évacuer. Donc le emps e recouvremen inverse épen e la charge sockée ans la joncion e e la urée e vie es poreurs c'es-à-ire e la imension e la joncion e u opage u crisal. Là encore, on rouve eux éapes ieniques aux précéenes avec chacune un schéma équivalen Calcul u emps e sockage s es charges libres Tan que V V 0 la ioe conui e la ension à ces bornes rese praiquemen consane (= E + VF V F V 0 ). Un couran (consan) négaif imporan raverse la ioe, il vau = 2. D1 V F Cs i () Figure 17 : Schéma e blocage e la ioe Cours e commuaion version u 28/10/04 à 07:10 Diier Magnon Page 17
9 Chapire : La ioe en commuaion emarque : Une ioe e roue libre cour-circuie sysémaiquemen la source quan celle-ci reevien posiive. Le schéma équivalen es oujours le même, soi : V F C Vc() V 0 i () Figure 18 : Schéma équivalen u monage si V () V o. ci, nous cherchons à calculer un emps e "ésockage" e charges appelé le emps e sockage (sorage ime) e noé s. Nous pouvons onc ravailler avec la graneur Q. Uilisons le schéma équivalen pour éuier le comporemen u sysème à un échelon e charge Q. C ic i Figure 19 : Schéma e Noron équivalen au monage si V () V o. Q Vc Q Q Donc = ic + i = + = + C Q Posons τ = C on a alors Q + τ = τ. Nous sommes en présence 'une équaion ifférenielle u premier orre analogue à celle que nous avions pour la ension V (). Avec τ ( Qs τ ) e + Q( ) = τ Q s = la quanié e charge libre sockée (coniion iniiale), τ = la quanié e charge vers laquelle on enrai si le processus coninuai. Cours e commuaion version u 28/10/04 à 07:10 Diier Magnon Page 18
10 Chapire : La ioe en commuaion Q Qs s Figure 20 : Allure e la écroissance es charges Q à l'ouverure e la ioe Par conséquen, les charges sockées seron évacuées quan Q( s )=0. Donc en se référan à l'expression générale 'un emps en foncion u logarihme u conexe on rouve : s = τ Q Q C E C E V s 1 0 τ ln Or s = 0 = ( 1 0 ) = τ = τ F τ + + E V D'où finalemen : F = s τ ln à parir e ce emps s, le conensaeur e iffusion C es échargé, la ioe n'es oujours pas bloquée, elle change e schéma équivalen Calcul u emps e sockage T es charges sockées C V () i() Figure 21 : Schéma équivalen au monage si V ()<V o. a = T, la valeur aux bornes e la ioe vau V 0, elle va écroîre jusqu'à en suivan la loi éjà évoquée. T es onc équivalen à un emps e réponse à 90 ou 95%. D'où : V ( ) = ( V0 ) e τ V 0 + 'où = (90%) = ln T r τ 0,1E 2 V V 0 T 0,9 Figure 22 : T = emps e réponse r qui perme 'affirmer que la ioe es bloquée. Cours e commuaion version u 28/10/04 à 07:10 Diier Magnon Page 19
11 Chapire : La ioe en commuaion emarque : De la même manière que lors e la mise en conucion, le emps e charge/écharge u conensaeur e ransiion C es beaucoup plus long que le emps nécessaire à l'évacuaion es charges libres e C. Donc T >> s. e le emps e recouvremen inverse, reverse recovery ime rr = s + T T. V V T E0 T E0 V0 s rr s rr Dilaaion es échelles F F T T s rr s rr Figure 23: Allures es courans e ensions au blocage e la ioe. 3 La ioe es alimenée par une source e couran. Les schémas équivalens es eux phases V F < V 0 e V F V 0 son les mêmes. 3.1 COMMUTATON A LA FEMETUE En général, c'es le circui exérieur qui impose la viesse 'éablissemen u couran. Le i couran passe alors e 0 à avec une pene consane. L'évoluion e la ension aux bornes e la ioe épen e la pene e couran. Si elle es élevée, on observe un pic e ension, ans le cas conraire, la ension croî lenemen jusqu'à V F sa V 0. em : à fr, v () = 1,1 V F sa. i v V FP Vo fr Figure 24 : Allure es courans e ensions à la fermeure e la ioe Cours e commuaion version u 28/10/04 à 07:10 Diier Magnon Page 20
12 Chapire : La ioe en commuaion Tou se passe comme si la joncion PN présenai une résisance série e valeur élevée au ébu e la commuaion. Puis au fil e la mise en conucion e la joncion, la résisance série iminue jusqu'à une valeur finale 0. D'où la possibilié 'un pic e ension aux bornes e la ioe. On rerouve le emps e recouvremen irec (forwar recovery ime) fr e un nouveau poin à prenre en compe : V FP ou V FM soi le pic e ension (forwar peak volage). Sur les aa shee, cee valeur représene un maximum à ne pas épasser. 3.2 COMMUTATON A L'OUVETUE. Le schéma suivan perme 'envisager la commuaion souhaiée. E 1 l i D V 0 k Figure 25 : Type e schéma pouvan réaliser une elle commuaion. En général la viesse e écroissance u couran es limiée. Juse avan la coupure, le couran E es éabli à une valeur proche e 1. A =0, on ferme l'inerrupeur k. La ension es alors appliquée à la ioe par l'inerméiaire e l'inucance l. Les allures es courbes e ension e couran son les suivanes. FM= E 1/ couran F/ ( imposé par le circui ) V 0 ension a b c / ( épen e la ioe ) M Figure 26 : Allures es courans e ensions à l'ouverure e la ioe. Cours e commuaion version u 28/10/04 à 07:10 Diier Magnon Page 21
13 Chapire : La ioe en commuaion A l'insan =c le couran ans la ioe écroî avec une pene F/ imposée par le circui. Les charges sockées penan la conucion commencen à se recombiner, mais quan le couran s'annule il rese encore beaucoup e poreurs e la ioe rese conucrice penan le emps a. Le couran s'inverse e aein la valeur M. A ce insan, les charges éan praiquemen évacuées, la ioe s'ouvre e le couran s'annule, après un emps b, avec une pene / caracérisique e la srucure u reresseur. La ension aux bornes e la ioe rese voisine e zéro jusqu'au momen où le couran aein M. Ensuie la ension u circui V es brualemen appliquée avec, généralemen, une surension e, ans cerains cas, es oscillaions ues à la réponse es inucances e es capaciés parasies u circui au / généré par la ioe. On a couume e éfinir le emps e recouvremen inverse (reverse recovery ime) rr = a+b. Ce emps e la surface hachurée son plus ou moins long en foncion u ype e ioe uilisé. (reressemen, long ; snapp off e ioe SiC, cour). La surface hachurée représene la quanié e charges recouvrée que l on noe Qrr. On caracérise le recouvremen es ioes à l aie u rappor : S = b/a. 4 Peres 4.1 PETES EN CONDUCTON En conucion, la ension aux bornes e la ioe vau : v() = V0 + i(). l en résule que les peres par conucion P con son éfinies par : P = V + avec : F( av) F( rms) 2 con 0 F ( av) F ( rms) = le couran irec moyen ans la ioe, = le couran irec efficace ans la ioe. 4.2 PETES EN NVESE Les peres en inverse peuven êre esimée grâce à la relaion suivane : P = V (1 δ ) rev rev rev avec V rev e rev la ension e le couran inverses. La variable δ représene le rappor cyclique u couran irec ans la ioe. De façon générale, les peres en inverses son rès faibles, voire négligeables pour les reresseurs bipolaires. A noer que rev es proporionnel à la ension V rev e à la empéraure e joncion T j. l y a onc un risque emballemen si T j augmene!!! Cours e commuaion version u 28/10/04 à 07:10 Diier Magnon Page 22
14 Chapire : La ioe en commuaion 4.3 PETES PA COMMUTATON à la fermeure Les peres à la fermeure peuven êre évaluées en foncion e la formule suivane : Pon = WonF avec : (en J) l'énergie issipée à chaque commuaion, W on F (en Hz) la fréquence e commuaion. L énergie W on peu, quan à elle, êre évaluée selon la formule : W = k( V V ) on Fp F sa M fr k pren généralemen comme valeur ypique : 0,4. Les graneurs e cee formule son éfinies à la Figure A l ouverure Dioe e roue libre Les peres à l ouverure un ioe e roue libre peuven êre évaluées en foncion e la formule suivane : avec : P off W off = W F off (en J) l'énergie issipée à chaque commuaion, F (en Hz) la fréquence e commuaion. L énergie W off peu, quan à elle, êre évaluée selon la formule : 2 k SM W = off F k pren généralemen comme valeur ypique : 0,5. couran ension F/ fixé par le emps e commuaion u ransisor a M b Dioe e reressemen Les peres à l ouverure un ioe e reressemen peuven êre évaluées en foncion e la formule suivane : P = W F avec : off W off off (en J) l'énergie issipée à chaque commuaion, F (en Hz) la fréquence e commuaion. L énergie W off peu, quan à elle, êre évaluée selon la formule : 2 k SM 2 W = + 0,5l ou W =E Q off M off 2 rr F avec l, l inucance série u monage. Cours e commuaion version u 28/10/04 à 07:10 Diier Magnon Page 23
15 Chapire : La ioe en commuaion k pren généralemen comme valeur ypique : 0,5. couran F/=E 1 /L (fixé par l'inucance) ension a b M V =L. / Figure 27 : Formes 'ones approchées pour le calcul es peres par commuaion 'une ioe. 5 Conclusion La ioe es un es composans e puissance le plus uilisé. Elle es présene ans ous les converisseurs e onuleurs. C'es le composan e base e l'élecronique e puissance. Cours e commuaion version u 28/10/04 à 07:10 Diier Magnon Page 24
Les circuits électriques en régime transitoire
Les circuis élecriques en régime ransioire 1 Inroducion 1.1 Définiions 1.1.1 égime saionnaire Un régime saionnaire es caracérisé par des grandeurs indépendanes du emps. Un circui en couran coninu es donc
Plus en détailCaractéristiques des signaux électriques
Sie Inerne : www.gecif.ne Discipline : Génie Elecrique Caracérisiques des signaux élecriques Sommaire I Définiion d un signal analogique page 1 II Caracérisiques d un signal analogique page 2 II 1 Forme
Plus en détailCARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME
CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEE 1 SYSTEE STABLE, SYSTEE INSTABLE 1.1 Exemple 1: Soi un sysème composé d une cuve pour laquelle l écoulemen (perurbaion) es naurel au ravers d une vanne d ouverure
Plus en détailExemples de résolutions d équations différentielles
Exemples de résoluions d équaions différenielles Table des maières 1 Définiions 1 Sans second membre 1.1 Exemple.................................................. 1 3 Avec second membre 3.1 Exemple..................................................
Plus en détailTB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2
enrées série TB logiciel d applicaion 2 enrées à émission périodique famille : Inpu ype : Binary inpu, 2-fold TB 352 Environnemen Bouon-poussoir TB 352 Enrée 1 sories 230 V Inerrupeur Enrée 2 Câblage sur
Plus en détailSciences Industrielles pour l Ingénieur
Sciences Indusrielles pour l Ingénieur Cenre d Inérê 6 : CONVERTIR l'énergie Compéences : MODELISER, RESOUDRE CONVERSION ELECTROMECANIQUE - Machine à couran coninu en régime dynamique Procédés de piloage
Plus en détailCours d électrocinétique :
Universié de Franche-Comé UFR des Sciences e Techniques STARTER 005-006 Cours d élecrocinéique : Régimes coninu e ransioire Elecrocinéique en régimes coninu e ransioire 1. INTRODUCTION 5 1.1. DÉFINITIONS
Plus en détail2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre.
1 Examen. 1.1 Prime d une opion sur un fuure On considère une opion à 85 jours sur un fuure de nominal 18 francs, e don le prix d exercice es 175 francs. Le aux d inérê (coninu) du marché monéaire es 6%
Plus en détailRecueil d'exercices de logique séquentielle
Recueil d'exercices de logique séquenielle Les bascules: / : Bascule JK Bascule D. Expliquez commen on peu modifier une bascule JK pour obenir une bascule D. 2/ Eude d un circui D Q Q Sorie A l aide d
Plus en détailVA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1
Universié Libre de Bruxelles Solvay Business School La valeur acuelle André Farber Novembre 2005. Inroducion Supposons d abord que le emps soi limié à une période e que les cash flows fuurs (les flux monéaires)
Plus en détailTexte Ruine d une compagnie d assurance
Page n 1. Texe Ruine d une compagnie d assurance Une nouvelle compagnie d assurance veu enrer sur le marché. Elle souhaie évaluer sa probabilié de faillie en foncion du capial iniial invesi. On suppose
Plus en détailCHAPITRE I : Cinématique du point matériel
I. 1 CHAPITRE I : Cinémaique du poin maériel I.1 : Inroducion La plupar des objes éudiés par les physiciens son en mouvemen : depuis les paricules élémenaires elles que les élecrons, les proons e les neurons
Plus en détailRappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION
2 IUT Blois Déparemen GTR J.M. Giraul, O. Bou Maar, D. Ceron M. Richard, P. Sevesre e M. Leberre. -TP- Modulaions digiales ASK - FSK IUT Blois Déparemen du Génie des Télécommunicaions e des Réseaux. Le
Plus en détailMATHEMATIQUES FINANCIERES
MATHEMATIQUES FINANCIERES LES ANNUITES INTRODUCTION : Exemple 1 : Une personne veu acquérir une maison pour 60000000 DH, pour cela, elle place annuellemen au CIH une de 5000000 DH. Bu : Consiuer un capial
Plus en détailLa rentabilité des investissements
La renabilié des invesissemens Inroducion Difficulé d évaluer des invesissemens TI : problème de l idenificaion des bénéfices, des coûs (absence de saisiques empiriques) problème des bénéfices Inangibles
Plus en détailLe mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 28 janvier 2009 9 h 30 «Les différens modes d acquisiion des drois à la reraie en répariion : descripion e analyse comparaive des echniques uilisées»
Plus en détailAMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE
AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE Dans e hapire l'amplifiaeur différeniel inégré sera oujours onsidéré omme parfai, mais la ension de sorie ne pourra prendre que deux valeurs : V sa e V
Plus en détailDocumentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1
Documenaion Technique de Référence Chapire 8 Trames ypes Aricle 8.14-1 Trame de Rappor de conrôle de conformié des performances d une insallaion de producion Documen valide pour la période du 18 novembre
Plus en détailThème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL
Fiche ors Thème : Elecricié Fiche 5 : Dipôle e dipôle Plan de la fiche Définiions ègles 3 Méhodologie I - Définiions oran élecriqe : déplacemen de charges élecriqes q a mesre d débi de charges donne l
Plus en détailOscillations forcées en régime sinusoïdal.
Conrôle des prérequis : Oscillaions forcées en régime sinusoïdal. - a- Rappeler l expression de la période en foncion de la pulsaion b- Donner l expression de la période propre d un circui RLC série -
Plus en détailTD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton)
TD/TP : Taux d un emprun (méhode de Newon) 1 On s inéresse à des calculs relaifs à des remboursemens d empruns 1. On noera C 0 la somme emprunée, M la somme remboursée chaque mois (mensualié), le aux mensuel
Plus en détailChapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement
Chapire 2 L invesissemen. Les principales caracérisiques de l invesissemen.. Définiion de l invesissemen Définiion générale : ensemble des B&S acheés par les agens économiques au cours d une période donnée
Plus en détailLes solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2
Les soluions solides e les diagrammes d équilibre binaires 1. Les soluions solides a. Descripion On peu mélanger des liquides par exemple l eau e l alcool en oue proporion, on peu solubiliser un solide
Plus en détailF 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0
Correcion de l exercice 2 de l assisana pré-quiz final du cours Gesion financière : «chéancier e aux de renabilié inerne d empruns à long erme» Quesion : rappeler la formule donnan les flux à chaque échéance
Plus en détailIntégration de Net2 avec un système d alarme intrusion
Ne2 AN35-F Inégraion de Ne2 avec un sysème d alarme inrusion Vue d'ensemble En uilisan l'inégraion d'alarme Ne2, Ne2 surveillera si l'alarme inrusion es armée ou désarmée. Si l'alarme es armée, Ne2 permera
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A
UIMBERTEAU UIMBERTEAU TRAVAUX PRATIQUES 5 ISTALLATIO ELECTRIQUE DE LA CAE D'ESCALIER DU BATIMET A ELECTROTECHIQUE Seconde B.E.P. méiers de l'elecroechnique ELECTROTECHIQUE HABITAT Ver.. UIMBERTEAU TRAVAUX
Plus en détailFinance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET
Finance 1 Universié d Evry Val d Essonne éance 2 Philippe PRIAULET Plan du cours Les opions Définiion e Caracérisiques Terminologie, convenion e coaion Les différens payoffs Le levier implicie Exemple
Plus en détailAnnuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t
Annuiés I Définiion : On appelle annuiés des sommes payables à inervalles de emps déerminés e fixes. Les annuiés peuven servir à : - consiuer un capial ( annuiés de placemen ) - rembourser une dee ( annuiés
Plus en détailCahier technique n 114
Collecion Technique... Cahier echnique n 114 Les proecions différenielles en basse ension J. Schonek Building a ew Elecric World * Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés
Plus en détailImpact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite
DOCUMENT DE TRAVAIL 2003-12 Impac du vieillissemen démographique sur l impô prélevé sur les rerais des régimes privés de reraie Séphane Girard Direcion de l analyse e du suivi des finances publiques Ce
Plus en détailCHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3
Chapire Eercices de snhèse 6 CHAPITRE EXERCICES..a), ±,55 b) 97,75 ±,455 c) 95,5 ±,475.±,6π cm.a) 44,, erreur absolue de,5 e erreur relaive de, % b) 5,56, erreur absolue de,5 e erreur relaive de,9 % 4.a)
Plus en détailLE PARADOXE DES DEUX TRAINS
LE PARADOXE DES DEUX TRAINS Énoné du paradoxe Déaillons ou d abord le problème dans les ermes où il es souen présené On dispose de deux oies de hemins de fer parallèles e infinimen longues Enre les deux
Plus en détailLe mécanisme du multiplicateur (dit "multiplicateur keynésien") revisité
Le mécanisme du muliplicaeur (di "muliplicaeur kenésien") revisié Gabriel Galand (Ocobre 202) Résumé Le muliplicaeur kenésien remone à Kenes lui-même mais il es encore uilisé de nos jours, au moins par
Plus en détailMathématiques financières. Peter Tankov
Mahémaiques financières Peer ankov Maser ISIFAR Ediion 13-14 Preface Objecifs du cours L obje de ce cours es la modélisaion financière en emps coninu. L objecif es d un coé de comprendre les bases de
Plus en détailRisque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE
Ce aricle es disponible en ligne à l adresse : hp://www.cairn.info/aricle.php?id_revue=ecop&id_numpublie=ecop_149&id_article=ecop_149_0073 Risque associé au conra d assurance-vie pour la compagnie d assurance
Plus en détailTHÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques
Universié de Paris I Panhéon Sorbonne U.F.R. de Sciences Économiques Année 2011 Numéro aribué par la bibliohèque 2 0 1 1 P A 0 1 0 0 5 7 THÈSE Pour l obenion du grade de Doceur de l Universié de Paris
Plus en détailDE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT
DE L'ÉALUAION DU RISQUE DE CRÉDI François-Éric Racico * Déparemen des sciences adminisraives Universié du Québec, Ouaouais Raymond héore Déparemen Sraégie des Affaires Universié du Québec, Monréal RePAd
Plus en détail3 POLITIQUE D'ÉPARGNE
3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3. L épargne exogène e l'inefficience dynamique 3. Le modèle de Ramsey 3.3 L épargne opimale dans le modèle AK L'épargne des sociéés dépend largemen des goûs des agens, de faceurs
Plus en détailCOURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr
COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE Obje de la séance 3 : dans la séance 2, nous avons monré commen le besoin de financemen éai couver par des
Plus en détailSYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE
SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE Le seul ballon hybride solaire-hermodynamique cerifié NF Elecricié Performance Ballon hermodynamique 223 lires inox 316L Plaque évaporarice
Plus en détail2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE
009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, 1948-008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE DE LA FORME FAIBLE Thi Hong Van HOANG Efficience informaionnelle des marchés de l or
Plus en détailMémoire présenté et soutenu en vue de l obtention
République du Cameroun Paix - Travail - Parie Universié de Yaoundé I Faculé des sciences Déparemen de Mahémaiques Maser de saisique Appliquée Republic of Cameroon Peace Wor Faherland The Universiy of Yaoundé
Plus en détailFiles d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little.
Cours de Tronc Commun Scienifique Recherche Opéraionnelle Les files d aene () Les files d aene () Frédéric Sur École des Mines de Nancy www.loria.fr/ sur/enseignemen/ro/ 5 /8 /8 Exemples de files d aene
Plus en détailCahier technique n 141
Collecion Technique... Cahier echnique n 141 Les perurbaions élecriques en BT R. Calvas Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés à l inenion des ingénieurs e echniciens
Plus en détailNUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION
, Chapire rminale S NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION I TRANSMISSION DE L'INFORMATION ) Signal e informaion ) Chaîne de ransmission de l informaion La chaîne de ransmission d informaions es
Plus en détailB34 - Modulation & Modems
G. Pinson - Physique Appliquée Modulaion - B34 / Caracérisiques d'un canal de communicaion B34 - Modulaion & Modems - Définiions * Half Duplex ou simplex : ransmission un sens à la fois ; exemple : alky-walky
Plus en détailFonction dont la variable est borne d intégration
[hp://mp.cpgedpydelome.fr] édié le 1 jille 14 Enoncés 1 Foncion don la variable es borne d inégraion Eercice 1 [ 1987 ] [correcion] Soi f : R R ne foncion conine. Jsifier qe les foncions g : R R sivanes
Plus en détailFiltrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB)
Filrage opimal par Mohamed NAJIM Professeur à l École naionale supérieure d élecronique e de radioélecricié de Bordeaux (ENSERB) Filre adapé Définiions Filre adapé dans le cas de brui blanc 3 3 Cas d un
Plus en détailEcole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau
Ecole des HEC Universié de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE Eric Jondeau FINANCE EMPIRIQUE La prévisibilié des rendemens Eric Jondeau L hypohèse d efficience des marchés Moivaion L idée de base de l hypohèse
Plus en détailMIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie.
/ VARIATION/ ACCOMP PLAY/PAUSE REW TUNE/MIDI 3- LESSON 1 2 3 MIDI Qu es-ce que MIDI? MIDI es l acronyme de Musical Insrumen Digial Inerface, une norme inernaionale pour l échange de données musicales enre
Plus en détailArticle. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle
Aricle «Les effes à long erme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel e Berrand Wigniolle L'Acualié économique, vol 79, n 4, 003, p 457-480 Pour cier ce aricle, uiliser l'informaion suivane
Plus en détailCHELEM Commerce International
CHELEM Commerce Inernaional Méhodes de consrucion de la base de données du CEPII Alix de SAINT VAULRY Novembre 2013 1 Conenu de la base de données Flux croisés de commerce inernaional (exporaeur, imporaeur,
Plus en détailIntroduction : Les modes de fonctionnement du transistor bipolaire. Dans tous les cas, le transistor bipolaire est commandé par le courant I B.
Introduction : Les modes de fonctionnement du transistor bipolaire. Dans tous les cas, le transistor bipolaire est commandé par le courant. - Le régime linéaire. Le courant collecteur est proportionnel
Plus en détailRelation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée.
Relaion enre la Volailié Implicie e la Volailié Réalisée. Le cas des séries avec la coinégraion fracionnaire. Rappor de Recherche Présené par : Mario Vázquez Velasco Direceur de Recherche : Benoî Perron
Plus en détailSélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1
ASAC 008 Halifax, Nouvelle-Écosse Jacques Sain-Pierre (Professeur Tiulaire) Chawki Mouelhi (Éudian au Ph.D.) Faculé des sciences de l adminisraion Universié Laval Sélecion de porefeuilles e prédicibilié
Plus en détailCONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES
CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES Thomas Jeanjean To cie his version: Thomas Jeanjean. CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES. 22ÈME
Plus en détailSéquence 2. Pourcentages. Sommaire
Séquence 2 Pourcenages Sommaire Pré-requis Évoluions e pourcenages Évoluions successives, évoluion réciproque Complémen sur calcularices e ableur Synhèse du cours Exercices d approfondissemen 1 1 Pré-requis
Plus en détailConvertisseurs statiques d'énergie électrique
Convertisseurs statiques d'énergie électrique I. Pourquoi des convertisseurs d'énergie électrique? L'énergie électrique utilisée dans l'industrie et chez les particuliers provient principalement du réseau
Plus en détailNo 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa
No 996 3 Décembre La coordinaion inerne e exerne des poliiques économiques : une analyse dynamique Fabrice Capoën Pierre Villa CEPII, documen de ravail n 96-3 SOMMAIRE Résumé...5 Summary...7. La problémaique...9
Plus en détailN d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006)
N d ordre Année 28 HESE présenée devan l UNIVERSIE CLAUDE BERNARD - LYON pour l obenion du DILOME DE DOCORA (arrêé du 7 aoû 26) présenée e souenue publiquemen le par M. Mohamed HOUKARI IRE : Mesure du
Plus en détailCHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES?
CHAPITRE RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? Les réponses de la poliique monéaire aux chocs d inflaion mondiaux on varié d un pays à l aure Le degré d exposiion
Plus en détailChapitre 9. Contrôle des risques immobiliers et marchés financiers
Capire 9 Conrôle des risques immobiliers e marcés financiers Les indices de prix immobiliers ne son pas uniquemen des indicaeurs consruis dans un bu descripif, mais peuven servir de référence pour le conrôle
Plus en détailCANAUX DE TRANSMISSION BRUITES
Canaux de ransmissions bruiés Ocobre 03 CUX DE TRSISSIO RUITES CORRECTIO TRVUX DIRIGES. oyer Canaux de ransmissions bruiés Ocobre 03. RUIT DE FOD Calculer le niveau absolu de brui hermique obenu pour une
Plus en détailGUIDE DES INDICES BOURSIERS
GUIDE DES INDICES BOURSIERS SOMMAIRE LA GAMME D INDICES.2 LA GESTION DES INDICES : LE COMITE DES INDICES BOURSIERS.4 METHODOLOGIE ET CALCUL DE L INDICE TUNINDEX ET DES INDICES SECTORIELS..5 I. COMPOSITION
Plus en détailUniversité Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD
LA COUCHE PHYSIQUE 1 FONCTIONS GENERALES Cee couche es chargée de la conversion enre bis informaiques e signaux physiques Foncions principales de la couche physique : définiion des caracérisiques de la
Plus en détailLes Comptes Nationaux Trimestriels
REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Parie ---------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ---------- REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work Faherland ---------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS ----------
Plus en détailEvaluation des Options avec Prime de Risque Variable
Evaluaion des Opions avec Prime de Risque Variable Lahouel NOUREDDINE Correspondance : LEGI-Ecole Polyechnique de Tunisie, BP : 743,078 La Marsa, Tunisie, Insiu Supérieur de Finance e de Fiscalié de Sousse.
Plus en détailSommaire de la séquence 12
Sommaire de la séquence 12 Séance 1........................................................................................................ Je prends un bon dépar.......................................................................................
Plus en détailDESSd ingéniérie mathématique Université d Evry Val d Essone Evaluations des produits nanciers
DESSd ingéniérie mahémaique Universié d Evry Val d Essone Evaluaions des produis nanciers Véronique Berger Cours Janvier-Mars 2003 version du 27 mars 2003 Conens I Présenaion du plan de cours 3 II Insrumens
Plus en détailCopules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie
Copules e dépendances : applicaion praique à la déerminaion du besoin en fonds propres d un assureur non vie David Cadoux Insiu des Acuaires (IA) GE Insurance Soluions 07 rue Sain-Lazare, 75009 Paris FRANCE
Plus en détailBILAN EN ELECTRICITE : RC, RL ET RLC
IN N TIIT :, T I. INTNSIT : = dq d en couran varable I = Q en couran connu Méhode générale d éablssemen des équaons dfférenelles : lo d addvé des ensons pus relaons dq caracérsques :, lo d Ohm u = aux
Plus en détailNed s Expat L assurance des Néerlandais en France
[ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS Ned s Expa L assurance des Néerlandais en France 2015 Découvrez en vidéo pourquoi les expariés en France choisissen APRIL Inernaional pour leur assurance sané : Suivez-nous
Plus en détailCalcul Stochastique 2 Annie Millet
M - Mahémaiques Appliquées à l Économie e à la Finance Universié Paris 1 Spécialié : Modélisaion e Méhodes Mahémaiques en Économie e Finance Calcul Sochasique Annie Mille 15 14 13 1 11 1 9 8 7 6 5 4 3
Plus en détailMODÈLE BAYÉSIEN DE TARIFICATION DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHICULES
Cahier de recherche 03-06 Sepembre 003 MODÈLE BAYÉSEN DE TARFCATON DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHCULES Jean-François Angers, Universié de Monréal Denise Desardins, Universié de Monréal Georges Dionne,
Plus en détailSURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES
Ankara Üniversiesi SBF Dergisi, Cil 66, No. 4, 2011, s. 125-152 SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES Dr. Akın Usupbeyli
Plus en détailPREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE. La Liquidité - De la Microstructure à la Gestion du Risque de Liquidité
PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE Erwan Le Saou - Novembre 2000. 13 La microsrucure des marchés financiers ne serai cerainemen pas au cenre d une liéraure abondane si le concep de liquidié n
Plus en détailMINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES
Un Peuple - Un Bu Une Foi MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES DIRECTION DE LA PREVISION ET DES ETUDES ECONOMIQUES Documen d Eude N 08 ENJEUX ECONOMIQUES ET COMMERCIAUX DE L ACCORD DE PARTENARIAT ECONOMIQUE
Plus en détailSéminaire d Économie Publique
Séminaire d Économie Publique Les niveaux de dépenses d'infrasrucure son-ils opimaux dans les pays en développemen? Sonia Bassi, LAEP Discuan : Evans Salies, MATISSE & ADIS, U. Paris 11 Mardi 8 février
Plus en détailCours Thème VIII.3 CONVERSION STATIQUE D'ÉNERGIE
ours hème VIII.3 ONVSION SAIQU D'ÉNGI 3- Famlles de conversseurs saques Suvan le ype de machne à commander e suvan la naure de la source de pussance, on dsngue pluseurs famlles de conversseurs saques (schéma
Plus en détailCoaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS
Coaching - accompagnemen personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agens e les cadres dans le développemen de leur poeniel OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Le coaching es une démarche s'inscrivan dans
Plus en détailn 1 LES GRANDS THÈMES DE L ITB > 2009 Les intérêts simples et les intérêts composés ( ) C T D ( en mois)
LES GRANDS THÈMES DE L ITB Les iérês simples e les iérês composés RAPPELS THÉORIQUES Les iérês simples : l'iérê «I» es focio de la durée «D» (jour, quizaie, mois, rimesre, semesre, aée) de l'opéraio (placeme
Plus en détailL impact de l activisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Investisseurs Institutionnels.
L impac de l acivisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Invesisseurs Insiuionnels. Fabrice HERVE * Docoran * Je iens à remercier ou pariculièremen Anne Lavigne e Consanin Mellios
Plus en détailEVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS
EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS CEDRIC TAPSOBA Diplômé IDS Inern/ CARE Regional Program Coordinaor and Gender Specialiy Service from USAID zzz WA-WASH Program Tel: 70 77 73 03/
Plus en détailUn modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA
Un modèle de proecion pour des conras de reraie dans le cadre de l ORSA - François Bonnin (Hiram Finance) - Floren Combes (MNRA) - Frédéric lanche (Universié Lyon 1, Laboraoire SAF) - Monassar Tammar (rim
Plus en détailSurface de Volatilité et Introduction au Risque de Crédit
Modèles de Taux, Surface de Volailié e Inroducion au Risque de Crédi Alexis Fauh Universié Lille I Maser 2 Mahémaiques e Finance Spécialiés Mahémaiques du Risque & Finance Compuaionelle 214/215 spread
Plus en détailGESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003
GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, aoû 2003 Thomas JEANJEAN 2 Cahier de recherche du CEREG n 2003-13 Résumé : Depuis une vingaine d années, la noion d accruals discréionnaires
Plus en détailSOMMAIRE. B5.1 Première approche
APPROCHE THEORIQE LES COMPOSANTS ELECTRONIQES B5 LES IOES SOMMAIRE B5.1 Première approche B5.2 e la jonction PN à la diode B5.3 Caractéristique d'une diode B5.4 Mécanisme de conduction d'une diode B5.5
Plus en détailOBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION
Formaion assurance-vie e récupéraion: Quand e Commen récupérer? (Ref : 3087) La maîrise de la récupéraion des conras d'assurances-vie requalifiés en donaion OBJECTIFS Appréhender la naure d un conra d
Plus en détailEPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION *
EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * Alexis Direr (1) Version février 2008 Docweb no 0804 Alexis Direr (1) : Universié de Grenoble e LEA (INRA, PSE). Adresse : LEA, 48 bd Jourdan 75014 Paris. Téléphone
Plus en détailTD 11. Les trois montages fondamentaux E.C, B.C, C.C ; comparaisons et propriétés. Association d étages. *** :exercice traité en classe.
TD 11 Les trois montages fondamentaux.,.,. ; comparaisons et propriétés. Association d étages. *** :exercice traité en classe ***exercice 11.1 On considère le montage ci-dessous : V = 10 V R 1 R s v e
Plus en détailS euls les flux de fonds (dépenses et recettes) définis s ent l investissement.
Choix d ives i s s eme e cer iude 1 Chapire 1 Choix d ivesissemes e ceriude. Défiiio L es décisios d ivesissemes fo parie des décisios sraégiques de l erepris e. Le choix ere différes projes d ivesisseme
Plus en détailPour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer,
En France, l invesissemen des enreprises reparira--il en 2014? Jean-François Eudeline Yaëlle Gorin Gabriel Sklénard Adrien Zakharchouk Déparemen de la conjoncure Pour 2014, le ryhme de la reprise économique
Plus en détailEstimation des matrices de trafics
Cédric Foruny 1/5 Esimaion des marices de rafics Cedric FORTUNY Direceur(s) de hèse : Jean Marie GARCIA e Olivier BRUN Laboraoire d accueil : LAAS & QoSDesign 7, av du Colonel Roche 31077 TOULOUSE Cedex
Plus en détailLe passage des retraites de la répartition à la capitalisation obligatoire : des simulations à l'aide d'une maquette
No 2000 02 Janvier Le passage des reraies de la répariion à la capialisaion obligaoire : des simulaions à l'aide d'une maquee Pierre Villa CEPII, documen de ravail n 2000-02 TABLE DES MATIÈRES Résumé...
Plus en détailLe développement de l assurance des catastrophes naturelles: facteur de développement économique
ARTICLES ARTICLES PROFESSIONNELS ACADÉMIQUES PROFESSIONAL ACADEMIC ARTICLES ARTICLES Assurances e gesion des risques, vol. 79(1-2), avril-juille 2011, 1-30 Insurance and Risk Managemen, vol. 79(1-2), April-July
Plus en détailNon-résonance entre les deux premières valeurs propres d un problème quasi-linéaire
Non-résonance enre les deux premières valeurs propres d un problème quasi-linéaire AREl Amrouss MMoussaoui Absrac We consider he quasilinear Dirichle boundary value problem (φ p (u )) = f(u)+h(x),u(a)=u(b)=0,
Plus en détailThème : Essai de Modélisation du comportement du taux de change du dinar algérien 1999-2007 par la méthode ARFIMA
République Algérienne Démocraique e Populaire Minisère de l enseignemen Supérieur e de la Recherche Scienifique Universié Abou-Bakr BELKAID Tlemcen- Faculé des Sciences Economique, de Gesion e des Sciences
Plus en détailPouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin
C N R S U N I V E R S I T E D A U V E R G N E F A C U L T E D E S S C I E N C E S E C O N O M I Q U E S E T D E G E S T I O N CENTRE D ETUDES ET DE RECHERCHES SUR LE DEVELOPPEMENT INTER NATIONAL Pouvoir
Plus en détailN 2008 09 Juin. Base de données CHELEM commerce international du CEPII. Alix de SAINT VAULRY
N 2008 09 Juin Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY N 2008-09 Juin Base de données CHELEM
Plus en détailPARTIAL DIFFERENTIAL EQUATIONS. On global discontinuous solutions of Hamilton-Jacobi equations.
EQUATIONS AUX DERIVEES PARTIELLES. Sur des soluions globales disconinues des équaions d Hamilon-Jacobi, par Gui-Qiang Chen e Bo Su Résumé. On éabli l unicié des soluions de viscosié semiconinues classiques
Plus en détail