Amorçage : tâche de recomposition de phrase. Tâche : écrire un texte argumentatif Manipulation de la conscience de soi :
|
|
- Odette Jean
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Amorçage : tâche de recomposition de phrase. Homme politique (débat, élections, corrompu ) Contrôle (vélo, introverti, voiture ) Tâche : écrire un texte argumentatif Manipulation de la conscience de soi : Tâche effectuée devant un miroir (+) ou non (-). Dijksterhuis & van Knippenberg (2000, Exp. 1)
2 Hypothèses : Amorçage Homme politique => écriture de textes plus longs que groupe contrôle Une conscience de soi élevée devrait diminuer les effets de l amorçage Dijksterhuis & van Knippenberg (2000, Exp. 1)
3 Dijksterhuis & van Knippenberg (2000, Exp. 1)
4 Bry, Meyer & Follenfant (2008)
5 1) Activation de stéréotypes liés à : Une catégorie : Professeur => intelligent Top model => peu intelligent Un exemplaire de la catégorie : Einstein => intelligent Claudia Schiffer => peu intelligente vs. vs. 2) Mesure des performances intellectuelles. 60 questions issues du Trivial Pursuit. Dijksterhuis, Spears et al. (1998)
6 Dijksterhuis, Spears et al Pourcentage moyen de réponses correctes Nature de l'amorçage Stupidité Type d'amorce Catégorie Type d'amorce Exemplaire Alors que l amorçage d une catégorie engendre un effet d assimilation, l amorçage d un exemplaire typique de la catégorie produit un effet de contraste. Dijksterhuis, Spears et al. (1998)
7 Processus : assimilation et contraste
8 !"#$"%&'()*)!"(+,")!"#$%&'(')%*"*+%,-.&'!"#$%!"#$%&"'()*+',-"&,.+/#+$("/"'(&,!"#$"%&&'()&#*'+"()!"#$"%&'#'(&) Dijksterhuis, Chartrand & Aarts (2007)
9 Assimilation production de comportements (ou jugements) qui vont dans le sens du contenu préalablement activé refléterait le chevauchement des structures liées à le représentation de l action et à l exécution de l action. Assimilation
10 Provine (1986)
11 James (1890) : principe idéomoteur «le simple fait de penser à une action augmente la probabilité d apparition de cette action» Bargh (1999) : lien Perception => Comportement lien direct et automatique entre ce qui est perçu et ce qui est fait Assimilation
12 Du côté des neurosciences Jeannerod et al. (1991) s imaginer en train de faire une action modifie les rythmes respiratoire et cardiaque Jeannerod (1997) Activation de zones cérébrales identiques (z. motrices) pour les actions imaginées et exécutées. Assimilation
13 Du côté des neurosciences Rizzolati (1996 ; 2009) : Neurones miroirs activés aussi bien lors de l observation que la production de comportements système neural unifiant perception et exécution des actions permet une compréhension directe des actions et des émotions sans médiation cognitive Assimilation
14 Contraste Contraste production de comportements (ou jugements) qui vont dans le sens contraire du contenu préalablement activé
15 Comment expliquer l apparition du contraste plutôt que de l assimilation? Dans le cadre du jugement 2 modèles : le modèle Interprétation/Comparaison (ICM) le modèle d Accessibilité Sélective (SAM) Assimilation vs Contraste
16 ICM Assimilation/contraste dépend de la processus engagé : Interprétation : assimilation Comparaison : contraste Assimilation vs Contraste
17 ICM Probabilité de contraste dépend de : la concrétude /distinctivité de l amorce la pertinence de l amorce pour la comparaison de l appartenance catégorielle (+ de comparaisons en intra qu en inter) Assimilation vs Contraste
18 SAM Assimilation et contraste proviennent d un processus de comparaison. C est la nature de la comparaison qui implique l apparition de contraste ou d assimilation Assimilation vs Contraste
19 SAM Traitement sur la base de l hypothèse de similarité : activation de contenus allant dans le sens de la similarité amorce-cible Assimilation Estimation sommaire de la similarité amorce-cible + - Traitement sur la base de l hypothèse de différence : activation de contenus allant dans le sens d une dissimilarité amorce-cible Contraste Assimilation vs Contraste
20 ICM et SAM permettent de prédire l assimilation ou le contraste dans le jugement sur la base de la relation amorcecible. Comment transposer aux effets sur le comportement? Introduction du soi dans l équation Assimilation vs contraste : du jugement au comportement
21 Problème : activer des concepts relativement similaires au Soi ICM : prédiction de contraste SAM : prédiction d assimilation Assimilation vs contraste : du jugement au comportement
22 Dijksterhuis, Spears et al. (1998) Catégorie : assimilation Exemplaire : contraste (moi < Einstein) Assimilation vs contraste : du jugement au comportement
23 Résultats plutôt en faveur de l ICM Prise en compte de la pertinence de la comparaison Aarts & Dijksterhuis (2002) LeBoeuf & Estes (2004) Assimilation vs contraste : du jugement au comportement
24 Amorçage : Animaux lents (escargot, tortue) vs rapides (gazelle, cheetah) Manipulation de la comparabilité entre animal et soi Insistance sur les similarités Insistance sur les différences Aarts & Dijksterhuis (2002)
25 VD : temps pour aller chercher un questionnaire dans une autre salle Quand comparabilité entre animal et soi + : effets de contraste - : effets d assimilation Résultats compatibles avec l ICM et inexplicables par SAM Aarts & Dijksterhuis (2002)
26 Reprise de Profs / Einstein en introduisant la pertinence de la comparaison : Penser à l amorce par rapport aux points sur lesquels ils : se ressemblent sont différents LeBoeuf & Estes (2004)
27 Résultats en faveur de l ICM : si similarités alors contraste si différences alors assimilation LeBoeuf & Estes (2004)
28 Extensions au travaux sur la voie trait / stéréotype Epley & Gilovich (1999) : Conformisme Kenneth et al. (2004) : Honnêteté Hertel & Kerr (2001) : Favoritisme intra groupe
STIMULER L INTELLIGENCE TERRITORIALE
STIMULER L INTELLIGENCE TERRITORIALE «Le numérique au service des territoires» Une démarche pour stimuler l innovation «La meilleure façon de prédire l avenir est de l inventer» Alain Kay, pionnier de
Plus en détailBureau : 238 Tel : 04 76 82 58 90 Email : dominique.muller@upmf-grenoble.fr
Dominique Muller Laboratoire Inter-universitaire de Psychologie Bureau : 238 Tel : 04 76 82 58 90 Email : dominique.muller@upmf-grenoble.fr Supports de cours : webcom.upmf-grenoble.fr/lip/perso/dmuller/m2r/acm/
Plus en détailPourquoi? Caroline Baillat CPC EPS Céret / Elisabeth Maroselli CPC EPS P3 Page 1
Pourquoi? Pour enrichir l'imaginaire et la créativité C'est le moyen privilégié pour que l'enfant ne reste pas au niveau d'images mentales stéréotypées mais aille vers d'autres modes originaux de représentation.
Plus en détaildonnées en connaissance et en actions?
1 Partie 2 : Présentation de la plateforme SPSS Modeler : Comment transformer vos données en connaissance et en actions? SPSS Modeler : l atelier de data mining Large gamme de techniques d analyse (algorithmes)
Plus en détailHD 5.60 : «Ecritures des opérations diverses»? La comptabilité libérale est une comptabilité simplifiée par rapport au plan comptable (PCG) de 1999.
15 octobre 2009 HD 5.60 : «Ecritures des opérations diverses»? Avec «Compta libérale» version 5.6 apparaît un nouveau journal, celui des écritures des opérations diverses. Jusqu à présent, vous vous en
Plus en détailVI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires
21 VI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires 22 PROJET I : Séquence 3 ORAL (Réception) Compréhension orale : Activité d écoute : 1 ère fiche pédagogique L objectif de cette séance est
Plus en détailNON-LINEARITE ET RESEAUX NEURONAUX
NON-LINEARITE ET RESEAUX NEURONAUX Vêlayoudom MARIMOUTOU Laboratoire d Analyse et de Recherche Economiques Université de Bordeaux IV Avenue. Leon Duguit, 33608 PESSAC, France tel. 05 56 84 85 77 e-mail
Plus en détail1. Qu est-ce que la conscience phonologique?
1. Qu est-ce que la conscience phonologique? Définition La conscience phonologique est définie comme la connaissance consciente et explicite que les mots du langage sont formés d unités plus petites, à
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détail5.3. Bande numérique cartes numération et cartes à points pour apprendre les nombres de 0 à 99
5.3. Bande numérique cartes numération et cartes à points pour apprendre les nombres de 0 à 99 Niveau CP pistes pour le CE1 Modèle proposé : modèles de séance Hypothèse de la difficulté : pour les élèves
Plus en détailProjet SINF2275 «Data mining and decision making» Projet classification et credit scoring
Projet SINF2275 «Data mining and decision making» Projet classification et credit scoring Année académique 2006-2007 Professeurs : Marco Saerens Adresse : Université catholique de Louvain Information Systems
Plus en détailMATH0062-1 ELEMENTS DU CALCUL DES PROBABILITES
MATH0062-1 ELEMENTS DU CALCUL DES PROBABILITES REPETITIONS et PROJETS : INTRODUCTION F. Van Lishout (Février 2015) Pourquoi ce cours? Sciences appliquées Modélisation parfaite vs monde réel Comment réussir
Plus en détailConstruire un QCM (un questionnaire qui ne comporte uniquement ce type de questions)
Construire un QCM (un questionnaire qui ne comporte uniquement ce type de questions) Ce résumé est réalisé à partir du livre de D. LECLERCQ, «La conception des questions à choix multiple», Education 2000
Plus en détailFormation Pédagogique 3h
Formation Pédagogique 3h Carole MOULIN Conseillère Pédagogique généraliste Bourgoin 2 20 mars 2013 Ecrire c est: Copier Ecrire sans erreurs sous la dictée Concevoir et écrire une phrase, des phrases, un
Plus en détailL évaluation de la rentabilité d un investissement
L évaluation de la rentabilité d un investissement Formation des Responsables Énergie de la RBC Céline Martin ICEDD asbl 22 mars 2007 Situation de départ: le cas du remplacement d une chaudière On désire
Plus en détailLa construction du temps et de. Construction du temps et de l'espace au cycle 2, F. Pollard, CPC Bièvre-Valloire
La construction du temps et de l espace au cycle 2 Rappel de la conférence de Pierre Hess -Démarche de recherche: importance de se poser des questions, de chercher, -Envisager la démarche mentale qui permet
Plus en détailQuelques rappels concernant la méthode expérimentale
Quelques rappels concernant la méthode expérimentale 1. La Méthode expérimentale : Définition. Une définition classique de la méthode expérimentale est qu elle «correspond à la méthode d investigation
Plus en détailLes petits pas. Pour favoriser mon écoute. Où le placer dans la classe? Procédurier. Adapter les directives. Référentiel Présentation des travaux
Tombe facilement dans la lune (distraction interne) Compenser les déficits d attention des élèves ayant un TDAH : des moyens simples à proposer aux enseignants Line Massé Département de psychoéducation,
Plus en détailEn quoi consistera ce jeu?
1 Projet Comité d Education à la Santé et à la Citoyenneté inter degré Création jeu par les élèves de l école du Gliesberg, de l école Martin Schongauer et du collège Hans Arp de Strasbourg Création d
Plus en détailConvention de résidence
Convention de résidence Entre les soussignés : «Nom de la structure» Adresse : Téléphone : E-mail : Numéro de Siret : Représentée par : «Nom prénom», Ci-après dénommée «Nom de la structure» d une part,
Plus en détailConsigne : je remplis le tableau en tenant compte des informations de la ligne supérieure et de la colonne de gauche (droite pour les gauchers)
Découverte du monde : traiter deux informations Compétence : Savoir utiliser un tableau à double entrée. Matériel : - un plateau de jeu quadrillé : cinq lignes et cinq colonnes, - quatre pièces "couleur",
Plus en détailDéveloppement d un système de monitoring du bien-être des veaux en élevage
Développement d un système de monitoring du bien-être des veaux en élevage Joop LENSINK 1, Kees VAN REENEN 2, Hélène LERUSTE 1 1 Institut Supérieur d Agriculture (ISA) Lille, France 2 Animal Science Group,
Plus en détailSimulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 10 avril 2014 à 9 h 30 «Carrières salariales et retraites dans les secteurs et public» Document N 9 Document de travail, n engage pas le Conseil Simulation
Plus en détailRééducation des accidents vasculaires cérébraux
Module «Système nerveux central et MPR» Septembre 2008 Rééducation des accidents vasculaires cérébraux G. Rode, S. Jacquin-Courtois, A. Yelnik Ce document est le support des cours «AVC» faits lors de la
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailModèle de phases FlexWork: Sondage des entreprises et administrations suisses sur la flexibilité géographique et temporelle du travail
Institut de recherche et de développement coopératifs ifk Modèle de phases FlexWork: Sondage des entreprises et administrations suisses sur la flexibilité géographique et temporelle du travail Auteurs/Auteure:
Plus en détailQUESTIONNAIRE DE DIAGNOSTIC RAPIDE DES NIVEAUX DE CPO ET TMS EN ETABLISSEMENTS DE SOIN
NOTE EXPLICATIVE ORSOSA QUESTIONNAIRE DE DIAGNOSTIC RAPIDE DES NIVEAUX DE CPO ET TMS EN ETABLISSEMENTS DE SOIN Ce document détaille le contenu des questionnaires établis lors de la cohorte ORSOSA 1 et
Plus en détailJämes Ménétrey Diffusion http://cdm-it.epfl.ch COLLEGE DU MANAGEMENT DE LA TECHNOLOGIE. +4121 693 03 03 cdm-it.support@epfl.ch http://cdm-it.epfl.
COLLEGE DU MANAGEMENT DE LA TECHNOLOGIE EPFL CDM-IT ODY 2 18 Bat. Odyssea Station 5 CH 1015 Lausanne Téléphone : E-mail : Site web : +4121 693 03 03 cdm-it.support@epfl.ch http://cdm-it.epfl.ch Titre de
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailComparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne
Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Dans la perspective de la première conférence franco-allemande sur l énergie qui se tiendra le 2 juillet prochain à Paris 1, il paraît
Plus en détailC est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de
C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de connaissances, la pratique d habilités ou le développement d
Plus en détailRéglementation de l'activité bancaire
Annexe 1 La nature des garanties qui sous-tend une adjudication de crédit sont classées comme suit : Effets de Première Catégorie : 1 Bons du Trésor Bons d équipement Effets représentatifs de crédits bancaires
Plus en détailSÉANCE DU 27 FEVRIER 2015
Convocation du 13 février 2015 SÉANCE DU 27 FEVRIER 2015 Logement communal n 2 : Le Conseil Municipal prend connaissance du courrier de Mr Rémi CRESPIN concernant son souhait d accéder à partir du 02 janvier
Plus en détailDifférencier, d accord oui mais comment organiser sa classe.
Différencier, d accord oui mais comment organiser sa classe. Quand on est convaincu que l on ne peut pas travailler tout le temps avec toute sa classe en même temps et que l on souhaite mettre en place
Plus en détailCHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES
CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES Méthode de sélection: les dispositions qui suivent s appliquent lorsqu elles ne sont pas contraires à celles préconisées dans les
Plus en détailArgument-fetching dataflow machine de G.R. Gao et J.B. Dennis (McGill, 1988) = machine dataflow sans flux de données
EARTH et Threaded-C: Éléments clés du manuel de références de Threaded-C Bref historique de EARTH et Threaded-C Ancêtres de l architecture EARTH: Slide 1 Machine à flux de données statique de J.B. Dennis
Plus en détailMesure agnostique de la qualité des images.
Mesure agnostique de la qualité des images. Application en biométrie Christophe Charrier Université de Caen Basse-Normandie GREYC, UMR CNRS 6072 Caen, France 8 avril, 2013 C. Charrier NR-IQA 1 / 34 Sommaire
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailINSTALLATION ET CONFIGURATION DE OPENLDAP
INSTALLATION ET CONFIGURATION DE OPENLDAP Ce document a pour intérêt de décrire les étapes de l installation et de la configuration de l outil OpenLDAP sous l OS FreeBSD 4.8 Installation et Configuration
Plus en détailAnalyse statistique de données qualitatives et quantitatives en sciences sociales : TP RÉGRESSION LOGISTIQUE (MODÈLES CHAPITRE 1)
Analyse statistique de données qualitatives et quantitatives en sciences sociales : TP RÉGRESSION LOGISTIQUE (MODÈLES CHAPITRE 1) Modèles de régression logistique à réaliser Une explicative catégorielle
Plus en détailFondation JAE Une expertise reconnue
Fondation JAE Une expertise reconnue Créée à Lyon en 1991, la fondation JAE est devenue en 15 ans un éditeur et concepteur d outils reconnu par l ensemble des professionnels de l orientation, de la formation
Plus en détailLivre blanc. Au cœur de Diskeeper 2010 avec IntelliWrite
Livre blanc Au cœur de Diskeeper 2010 avec IntelliWrite AU CŒUR DE DISKEEPER 2010 AVEC INTELLIWRITE Table des matières PRÉSENTATION DE LA TECHNOLOGIE INTELLIWRITE 1 TEST DE PERFORMANCE D INTELLIWRITE 2
Plus en détailTable des matières PRESENTATION DU LANGAGE DS2 ET DE SES APPLICATIONS. Introduction
PRESENTATION DU LANGAGE DS2 ET DE SES APPLICATIONS Depuis SAS 9.2 TS2M3, SAS propose un nouveau langage de programmation permettant de créer et gérer des tables SAS : le DS2 («Data Step 2»). Ces nouveautés
Plus en détailACCUEILLIR UNE PERSONNE EN SITUATION DE HANDICAP
ACCUEILLIR UNE PERSONNE EN SITUATION DE HANDICAP COMMENT ACCUEILLIR UNE PERSONNE HANDICAPÉE AU SEIN DE SON SERVICE OU DE SON ÉTABLISSEMENT? Organiser une première prise de contact Une première rencontre
Plus en détailCOMPETENCE DE NIVEAU N1
GROUPE DES ACTIVITES ATHLETIQUES DEMI FOND Réaliser une performance motrice maximale mesure à une échéance donnée COMPETENCE DE NIVEAU N1 Compétences attendues dans l APSA Réaliser la meilleure performance
Plus en détailUne fréquence peut-elle être instantanée?
Fréquence? Variable? Instantané vs. local? Conclure? Une fréquence peut-elle être instantanée? Patrick Flandrin CNRS & École Normale Supérieure de Lyon, France Produire le temps, IRCAM, Paris, juin 2012
Plus en détail.. -... -... Mention : En débat
Page 1 sur 6 Point du programme Domaine d'activité : LE MONDE CONSTRUIT PAR L'HOMME FAIRE ROULER - "Petites Voitures" CYCLE II Objectifs généraux Comment fabriquer une petite voiture capable de rouler
Plus en détailBilan Protection Sociale & Rémunération. Etude réalisée pour Monsieur DUPONT. Le 25/04/2008
Bilan Protection Sociale & Rémunération Etude réalisée pour Monsieur DUPONT Le 25/04/2008 Contact : Madame MARTIN Casagande & Associés, Membre de PRAGMA 1 LES OBJECTIFS DE L ETUDE Votre système de rémunération
Plus en détailContents. 1 Introduction Objectifs des systèmes bonus-malus Système bonus-malus à classes Système bonus-malus : Principes
Université Claude Bernard Lyon 1 Institut de Science Financière et d Assurances Système Bonus-Malus Introduction & Applications SCILAB Julien Tomas Institut de Science Financière et d Assurances Laboratoire
Plus en détailSOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... LES MESURES
SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... LES MESURES MES 1 Les mesures de longueurs MES 2 Lecture de l heure MES 3 Les mesures de masse MES 4 Comparer des longueurs, périmètres.
Plus en détail«Dire et écrire» pour réaliser une composition en travail collaboratif en géographie. Agnès Dullin, lycée J. Racine 20 rue du Rocher, 75008 Paris
«Dire et écrire» pour réaliser une composition en travail collaboratif en géographie Agnès Dullin, lycée J. Racine 20 rue du Rocher, 75008 Paris OBJECTIFS 1- Niveau et insertion dans la programmation 2-
Plus en détailCI1 - A quel besoin répond un objet technique?
CI1 - A quel besoin répond un objet technique? 1. Distinguer en le justifiant objets naturels et objets techniques. Qu est ce qu un objet naturel? Qu est ce qu un objet technique? Compléter le tableau
Plus en détailÉcole : Maternelle. Livret de suivi de l élève. Nom : Prénom : Date de naissance : Année d entrée à l école maternelle :
École : Maternelle Livret de suivi de l élève Nom : Prénom : Date de naissance : Année d entrée à l école maternelle : Livret de suivi de l élève à l école maternelle Chaque compétence est évaluée selon
Plus en détailDemande d admission au Centre pédagogique Lucien-Guilbault Secteur primaire
Date d envoi : Demande d admission au Centre pédagogique Lucien-Guilbault Secteur primaire QUESTIONNAIRE AU TITULAIRE Ce document doit être complété par le titulaire de classe et/ou par l orthopédagogue
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailLe Focus Group. - Bases de données, personnes ayant déjà participé à des expériences et acceptant de participer à des études ultérieures.
Le Focus Group I. Définition «Le Focus groupe est une discussion de groupe ouverte, organisée dans le but de cerner un sujet ou une série de questions pertinents (Kitzinger, Markova, & Kalampalikis, 2004).
Plus en détailDirection Générale des Services du Trésor 12/03/2012 2
Direction Générale des Services du Trésor 12/03/2012 2 SÉMINAIRE DE FORMATION SUR LA COMPTABILITÉ AUXILIAIRE DES ETABLISSEMENTS PUBLICS NATIONAUX, DES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, DES ADMINISTRATIONS
Plus en détailSynopsis : Découverte du zémidjan (taxi-moto), le principal moyen de transport à Cotonou au Bénin.
Le chauffeur «zém» Thèmes Questions de société, vie quotidienne Concept Le webdocumentaire Indépendances africaines, documentaire conçu spécifiquement pour le web, offre un voyage dans 16 pays d Afrique
Plus en détailL État du commerce électronique dans l industrie du sport au Canada
L État du commerce électronique dans l industrie du sport au Canada Mars 2002 icongo, Inc 740, rue St Maurice, bureau 602 Montréal, (Québec) Canada H3C 1L5 Tél. : 514-866-2664 Télécopieur : 514-866-8404
Plus en détailChapitre 0 Introduction à la cinématique
Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à
Plus en détailFormation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA)
Formation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA) Que devons nous savoir? Utiliser en toute sécurité un défibrillateur semi-automatique au cours de la réanimation cardio-pulmonaire Durée
Plus en détailOrganiser des séquences pédagogiques différenciées. Exemples produits en stage Besançon, Juillet 2002.
Cycle 3 3 ème année PRODUCTION D'ECRIT Compétence : Ecrire un compte rendu Faire le compte rendu d'une visite (par exemple pour l'intégrer au journal de l'école ) - Production individuelle Précédée d'un
Plus en détailINF6304 Interfaces Intelligentes
INF6304 Interfaces Intelligentes filtres collaboratifs 1/42 INF6304 Interfaces Intelligentes Systèmes de recommandations, Approches filtres collaboratifs Michel C. Desmarais Génie informatique et génie
Plus en détailORDONNANCEMENT CONJOINT DE TÂCHES ET DE MESSAGES DANS LES RÉSEAUX TEMPS RÉELS 4. QUELQUES EXEMPLES DU DYNAMISME ACTUEL DU TEMPS RÉEL
i LE TEMPS RÉEL 1. PRÉSENTATION DU TEMPS RÉEL 1.1. APPLICATIONS TEMPS RÉEL 1.2. CONTRAINTES DE TEMPS RÉEL 2. STRUCTURES D'ACCUEIL POUR LE TEMPS RÉEL 2.1. EXÉCUTIFS TEMPS RÉEL 2.2. RÉSEAUX LOCAUX TEMPS
Plus en détailChap III : Les tableaux
Chap III : Les tableaux Dans cette partie, on va étudier quelques structures de données de base tels que : Les tableaux (vecteur et matrice) Les chaînes de caractères LA STRUCTURE DE TABLEAU Introduction
Plus en détailAIKO/MIKRA KIT. Sch./Ref. 1783/651. Ver 1.1
AIKO/MIKRA KIT Sch./Ref. 1783/51 Ver 1.1 OUT IN 1 2 alimentation 1083/20 aansluiting van basiskit 1783/51 Raccordement du kit 1783/51 base schéma 51/11 OUT IN OUT IN 1 2 alimentation 1083/20 aansluiting
Plus en détailUtiliser un tableau à double entrée «Les véhicules»
«Les véhicules» 16-41 Niveau 4 Entraînement 1 Objectifs Applications Matériel Consignes Remarques Transferts possibles Individualisation Oui. S'entraîner à utiliser ou à réaliser un tableau qui doit être
Plus en détailCours d introduction à l informatique. Partie 2 : Comment écrire un algorithme? Qu est-ce qu une variable? Expressions et instructions
Cours d introduction à l informatique Partie 2 : Comment écrire un algorithme? Qu est-ce qu une variable? Expressions et instructions Qu est-ce qu un Une recette de cuisine algorithme? Protocole expérimental
Plus en détailLeçon 1 : Les principaux composants d un ordinateur
Chapitre 2 Architecture d un ordinateur Leçon 1 : Les principaux composants d un ordinateur Les objectifs : o Identifier les principaux composants d un micro-ordinateur. o Connaître les caractéristiques
Plus en détailJeux mathématiques en maternelle. Activités clés. Jeu des maisons et des jardins (Yvette Denny PEMF)
Activités clés NIVEAU : PS/MS Jeu des maisons et des jardins (Yvette Denny PEMF) Compétences Construire les premiers nombres dans leur aspect cardinal Construire des collections équipotentes Situation
Plus en détailMortalité observée et mortalité attendue au cours de la vague de chaleur de juillet 2006 en France métropolitaine
Mortalité observée et mortalité attendue au cours de la vague de chaleur de uillet en France métropolitaine FOUILLET A 1, REY G 1, JOUGLA E, HÉMON D 1 1 Inserm, U75, Villeuif, France. Inserm CépiDc, IFR9,
Plus en détailRISQUE SPORTIF ET ASSURANCE
RISQUE SPORTIF ET ASSURANCE 1 SOMMAIRE I. NOTION DE RESPONSABILITES A. La responsabilité civile 1. La responsabilité civile délictuelle 2. La responsabilité civile contractuelle B. La responsabilité pénale
Plus en détailCours Informatique de base INF-B101-2. Alphabétisation
Cours Informatique de base INF-B101-2 Alphabétisation Présentation du cours Informatique de base «La curiosité mène à tout : parfois à écouter aux portes, parfois à découvrir l'amérique.» José Maria Eça
Plus en détailTP Codage numérique des caractères. Un ordinateur ne manipule que des 0 et des 1 : Comment alors code-t-il du texte?
TP Codage numérique des caractères Un ordinateur ne manipule que des 0 et des 1 : Comment alors code-t-il du texte? I Le code ASCII 1. Une première approche Ouvrir un fichier Excell Sur la ligne 1 du tableau,
Plus en détailLa mondialisation des tâches informatiques
Chapitre 1 La mondialisation des tâches informatiques Quel que soit le domaine que l on observe, les économies engendrées par l outsourcing, aussi appelé offshore ou délocalisation, sont considérables.
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détailTP 1. Prise en main du langage Python
TP. Prise en main du langage Python Cette année nous travaillerons avec le langage Python version 3. ; nous utiliserons l environnement de développement IDLE. Étape 0. Dans votre espace personnel, créer
Plus en détailCOMMUNICATION DE LA COMMISSION RELATIVE A LA METHODOLOGIE D ANALYSE DES AIDES D ETAT LIEES A DES COUTS ECHOUES
COMMUNICATION DE LA COMMISSION RELATIVE A LA METHODOLOGIE D ANALYSE DES AIDES D ETAT LIEES A DES COUTS ECHOUES 1. INTRODUCTION La directive 96/92/CE du Parlement européen et du Conseil du 19 décembre 1996
Plus en détailAuxiliaire avoir au présent + participe passé
LE PASSÉ COMPOSÉ 1 1. FORMATION DU PASSÉ COMPOSÉ Formation : Auxiliaire avoir au présent + participe passé PARLER MANGER REGARDER J ai parlé Tu as parlé Il/elle/on a parlé Nous avons parlé Vous avez parlé
Plus en détailDirectives sur la publicité de TF1 Fenêtre publicitaire en Suisse
Directives sur la publicité de TF1 Fenêtre publicitaire en Suisse Ringier Romandie Service TV commercialise en exclusivité la fenêtre publicitaire en Suisse pour la chaîne de TV TF1. Les Conditions commerciales
Plus en détailAnalyses de Variance à un ou plusieurs facteurs Régressions Analyse de Covariance Modèles Linéaires Généralisés
Analyses de Variance à un ou plusieurs facteurs Régressions Analyse de Covariance Modèles Linéaires Généralisés Professeur Patrice Francour francour@unice.fr Une grande partie des illustrations viennent
Plus en détailPASS v2.0 : solution d authentification unique basée sur les composants Shibboleth Service Provider v2.5.1 et Identity Provider v2.3.
PREM IE R M IN IS T R E Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale Agence nationale de la sécurité des systèmes d information PASS v2.0 : solution d authentification unique basée sur
Plus en détailQuelques informations récentes à relayer dans vos réseaux
Quelques informations récentes à relayer dans vos réseaux ❶ Le 1 er octobre 2013, ouverture du Site ABCD de l égalité : url : www.cndp.fr/abcd-de-l-egalite ❷ Sept. 2013, lancement du concours national
Plus en détailOutils numériques collaboratifs
Outils numériques collaboratifs TBI, projecteurs interactifs Sylvain DENIS Pedago-TIC 03 février 2013 Sylvain DENIS (Pedago-TIC) Outils numériques collaboratifs 03 février 2013 1 / 41 Plan 1 TBI, Projecteur
Plus en détailCOR-E : un modèle pour la simulation d agents affectifs fondé sur la théorie COR
COR-E : un modèle pour la simulation d agents affectifs fondé sur la théorie COR SABRINA CAMPANO DIRECTION: NICOLAS SABOURET ENCADREMENT : NICOLAS SABOURET, VINCENT CORRUBLE, ETIENNE DE SEVIN SOUTENANCE
Plus en détailCompte-rendu d une expérience Un album à jouer... Le château de Radégou
Compte-rendu d une expérience Un album à jouer... Le château de Radégou (Publié par la revue EPS1) Deux classes... TPS/PS : Julie NIELSEN MS/GS : Karine BONIFACE (Mail : ec-taulignan@montelimar.ac-grenoble.fr)
Plus en détailL ANALYSE COUT-EFFICACITE
L ANALYSE COUT-EFFICACITE 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L analyse coût-efficacité est un outil d aide à la décision. Il a pour but d identifier la voie la plus efficace, du point de vue
Plus en détailL évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement
L évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement Johann Jacob, M.A.P. et Richard Marceau, Ph. D. Centre de recherche et d expertise en évaluation (CREXE) Colloque annuel
Plus en détailDESCRIPTEURS NIVEAU A2 du Cadre européen commun de référence pour les langues
DESCRIPTEURS NIVEAU A2 du Cadre européen commun de référence pour les langues ACTIVITÉS DE COMMUNICATION LANGAGIÈRE ET STRATÉGIES Activités de production et stratégies PRODUCTION ORALE MONOLOGUE SUIVI
Plus en détailLES TROUBLES DU GRAPHISME LA RÉÉDUCATION: QUAND ET COMMENT PASSER PAR L ORDINATEUR?
LES TROUBLES DU GRAPHISME LA RÉÉDUCATION: QUAND ET COMMENT PASSER PAR L ORDINATEUR? BUJWID Alexandra Ergothérapeute SMPRE CRTLA CHU RENNES Octobre 2012 L écriture est un geste complexe L écriture est une
Plus en détailThomas Dutronc : Demain
Thomas Dutronc : Demain Paroles et musique : Thomas Dutronc Mercury / Universal Music Thèmes La conception de la vie, la joie de vivre, l insouciance. Objectifs Objectifs communicatifs : Donner son avis,
Plus en détailUNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU
Odile VERBAERE UNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU Résumé : Cet article présente une réflexion sur une activité de construction de tableau, y compris
Plus en détailConcours de Twittérature «Moi, les arts et la culture»
Concours de Twittérature «Moi, les arts et la culture» Ce concours est inspiré et adapté du concours de twittérature du REFER (refer-edu.org). Chers enseignants et intervenants jeunesse, L organisme Culture
Plus en détailLa structure du texte explicatif (sec. 3)
Phase de questionnement (Pourquoi?) : (environ 40 à 50 mots) prépare le lecteur et elle fournit une vision globale de ce dont il va être question dans le texte. Sujet amené Historique Actuelle L idée générale
Plus en détailCorrection de l examen de la première session
de l examen de la première session Julian Tugaut, Franck Licini, Didier Vincent Si vous trouvez des erreurs de Français ou de mathématiques ou bien si vous avez des questions et/ou des suggestions, envoyez-moi
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailLe fonds d amorçage 2013-2014 et 2014-2015
Lundi Mardi Mercredi Jeudi Le fonds d amorçage 2013-2014 et 2014-2015 ADDITIF AU GUIDE PRATIQUE SUR LES NOUVEAUX RYTHMES À L ÉCOLE PRIMAIRE Vendredi GUIDE PRATIQUE LES NOUVEAUX RYTHMES À L ÉCOLE PRIMAIRE
Plus en détailOptions et Swap sur intérêt
Options et Swap sur intérêt Risk Management - TP 3-1 - Exercice1 : choix de deux options J ai décidé d utiliser le site Swissquote pour cette recherche. Toutefois j ai préféré prendre des warrants (certificats
Plus en détailGuide d utilisation du logiciel
Guide d utilisation du logiciel Version adaptée du guide d utilisateur Compilatio.net Version 4 Octobre 2013 POURQUOI UTILISER COMPILATIO.NET?... 3 OBTENIR SON PROPRE COMPTE «ENSEIGNANT»... 4 SE BRANCHER...
Plus en détail