Apport de l Oncogériatrie à la prise en charge des patients atteints de cancers de la vessie localisés infiltrants
|
|
- Louis Leblanc
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Apport de l Oncogériatrie à la prise en charge des patients atteints de cancers de la vessie localisés infiltrants DU Oncogériatrie 20 fevrier 2014
2 Tumeur infiltrante Tumeur de infiltrante vessie de vessie du sujet du âgé sujet âgé Excellent cas pratique d oncogériatrie!!!
3 Maladie grave Terrain particulier comorbidités Traitement lourds standard options Retentissement ttt Tumeur infiltrante de vessie du sujet âgé
4 Maladie grave Terrain particulier comorbidités Traitement lourds standard options Retentissement ttt Tumeur infiltrante de vessie du sujet âgé Patients âgés Pc à court terme Recours à EOG Comorbidités Choix de stratégie thérapeutique QOL autonomie
5
6
7 Cancer Jan 1, 2011 Données SEER (sur 26% de la population américaine) + de pts Cystoprostatectomie entre 1988 et 2006
8
9 2 situations Patient âgé «fit» Toutes les options des patients plus jeunes vont pouvoir être proposées Chirurgie +/- CT Radio chimio
10 2 situations Patient âgé «unfit» Tumeur localisée symptomatique
11 Apport de l Oncogériatrie différent en fonction d objectif différents Guérir le patient en donnant le traitement le plus adapté À sa situation générale Ses comorbidités Ses souhaits
12 Apport de l Oncogériatrie différent en fonction d objectif différents La durée de vie n est pas l objectif C est la QDV OG=Aide à la décision Chirurgie Cystectomie résection Radiothérapie Palliative Hémostatique Abstention Accompagnement de cette décision
13 A qui proposer une évaluation gériatrique? < 5 min Facilement réalisable par - l oncologue - l urologue - une IDE de l équipe test de screening G8 Etude Oncodage Pierre Soubeyran Asco 2011 abst # 9001
14 G8 Un score 14 au questionnaire G8 permet de repérer les patients ayant au moins une anomalie lors de l évaluation gériatrique (Sensibilité 77%, Spécificité 64%) Les patients dépistés par le test G8 doivent bénéficier au minimum d une attention médicale renforcée Voire une évaluation gériatrique multidimensionnelle débouchant éventuellement sur une intervention gériatrique
15 L évaluation gériatrique multidimensionnelle EGM (1) Améliorer la connaissance du patient sous ses aspects Médicaux Psycho-cognitifs Fonctionnels Familiaux Identification des co-morbidités à haut risque de décompensation Dépistage des grands syndromes gériatriques (chutes, altérations intellectuelles ou thymiques, dénutrition, incontinence, ) Contribution à la mise au point d une prise en charge «sur-mesure» (2) Orientation vers l évaluation gériatrique approfondie * EGM = Evaluation Gériatrique Multidimensionnelle (1) Droz JP et al. Propositions pour l établissement d algorithmes décisionnels dans le cadre du traitement du sujet âgé présentant un cancer et une pathologie associée. Oncologie 2001;3: (2) Balducci L. New paradings for treating elderly patients with cancer: the comprehensive geriatric assessment and guidelines for supportive care. J Support Oncol 2003;1:30-37.
16 L évaluation gériatrique multidimensionnelle EGM Evaluation systématique Co-morbidités Statut nutritionnel Dépendance Prise médicamenteuse Vie sociale Fonctions sensorielles Thymie Cognition Equilibre et marche * EGM = Evaluation Gériatrique Multidimensionnelle
17 Comorbidités Liées au terrain Insuffisance rénale: Liée à l âge HTA Diabète Urétéro-hydronéphrose Médicaments, pdt contraste, gestes chirurgicaux Difficultés remplissage BPCO, insuffisance respiratoire tabac cardiopathie ischémique ou hypertensive surdité neuropathie périphérique
18 CIRS: cumulative illness rating scale Index de Kaplan Feinstein Score de Charlson ICD (index of coexistent disease) TIBI (total illness Burden Index)
19
20
21
22 Et bien sur l intervention Rôle du Centre d Evaluation et d Intervention Gériatrique Objectifs Retarder le processus d entrée ou l aggravation de la dépendance liée au cancer par: Evaluation et prise en charge des sujets âgés atteints de cancer, Aider les oncologues à adapter le projet thérapeutique, Elaboration d un plan personnalisé de soin personnalisé en oncogériatrie (en complément du traitement, aide à la mise en place et observance des soins de supports gériatriques) Aide à la selection des patients incluables dans des protocoles de recherche commun oncologues-gériatres
23 Plan personnalisé de prévention de la dépendance en oncogériatrie Avec l âge les situations sont plus souvent complexes: Exemple: Troubles cognitifs/ ou syndrome dépressif plus fréquent et risque de mauvaise participation du patient au projet thérapeutique. Isolement social, Réticence de la famille, Multiplications des acteurs dans la prise en charge: Médecin traitant, Gériatre, Oncologue, radiothérapeute, chirurgien, cardiologue, anesthésiste, IDE, auxiliaire de vie, aide ménagère, kinésithérapeute.. Difficulté de coordonner les différentes actions. Le médecin traitant se sent souvent exclue de la prise en charge Mauvaise transmission de l information entre les acteurs. Seulement 50 à 70 % des recommandations appliquées au décours de la consultation gériatrique +++
24 Plan personnalisé de prévention de la dépendance en oncogériatrie (2) Plan personnalisé indispensable en oncogériatrie Objectif double: Assurer la réussite du projet thérapeutique; Améliorer l application et le suivie des recommandations gériatriques. Développement de programmes de case management. Ex: expériences AMA., EMOG..
25 Prise en charge
26 Chirurgie
27 Résultats oncologiques de la chirurgie chez le sujet âgé H. Quitens Progrès en Urologie suppl. 3, S 131-S137 Globalement, résultats sont moins bon chez les patients âgés (Figueroa (Cancer 1998) survie à 5 ans [ 70: 63% : 53%]) Mais le bénéfice de la chir radicale persiste quelque soit l age par rapport à conservation (Chalmie BJU int 2008 données SEER) Délai de prise charge Biais de recrutement Prise en charge sub-optimale (qualité du curage)
28 chirurgie chez le sujet âgé Mortalité H. Quitens Progrès en Urologie suppl. 3, S 131-S137 Pas certain qu elle soit + importante même après 80 ans Sélection des patients Optimisation de la prise en charge chirurgicale et anesthésique Morbidité 28 à 64% essentiellement médicale Sd confusionnels, Infections pulmonaires Complications chirurgicales graves dépendent surtout des comorbidités
29 Chimiothérapie péri-opératoire
30 Chimiothérapie péri-opératoire des sujets âgés Difficultés d administration d une poly-chimiothérapie à base de Cis Platine chez des patients âgés liées Aux données de l évaluation gériatrique Aux comorbidités A une altération de la fonction rénale Au contexte post opératoire (Dash Cancer 2006) 40% de patients de + de 70 ans récusés pour une chimiothérapie adjuvante
31 Alternatives à la chirurgie Résections radio chimiothérapie Et formes dégradées
32 Résection isolée Peut représenter une option T2 uni-focale, < 3cm Survie sans récidive (Age moyen 67 ans) À 5 ans 45,8% À 10 ans 35,6% Solsona J Urol 1998 Le plus souvent option envisagée par défaut chez les SA
33 Radiothérapie Radiothérapie : efficace Irradiation conventionnelle : Gy % RC % de rechutes locales % de survie à 5 ans Facteurs pronostiques favorables : T2-T3a / Taille < 5 cm / Qualité de la RTU++ Pas d'urétéro-hydronéphrose Pas de CIS Réévaluation à 45 Gy Radiosensibilisation (CDDP, 5 FU...)
34 Radiochimiothérapie N Pts Protocole %RC % % SG cons vessie Dunst 245 T1-3 RT+ CDDP Housset 120 T2-4 RT + 5FU-CDDP (3 ans) Kachnik 106 T2-4 CMV RT+CDDP Russel 34 T2-4 RT + 5FU (4 ans) Chauvet 138 T2-4 RT + CDDP Tester 91 T2-4 CMV RT+CDDP (4 ans) Chauvet 38 T2-4 RT + CDDP+ 5FU James 360 RT+ 5FU Mitomycine C
35 BC2001: Loco-Regional Disease Free Survival James et al, NEJM, :
36 Radiochimiothérapie Peu de données spécifiques chez le sujet âgé Option souvent envisagée par défaut Difficultés à réaliser le traitement optimal Notamment la chimiothérapie 4% de mortalité liée au traitement Shipley Problématique de la qualité de vie urinaire à distance
37 Synthèse
38 Tumeur infiltrante de vessie du sujet âgé Le pilier du traitement reste: la chirurgie radicale Maintient un bénéfice même chez les patients très âgés Morbi-mortalité satisfaisante Évaluation préalable des patient Optimisation de la prise en charge L indication d une chimiothérapie péri-opératoire relève d une évaluation au cas par cas Il existe des alternatives à la chirurgie radicale envisagées: Soit dans le cadre de leur indication optimale Soit par défaut
39 Patient âgé «Fit» Situation 1 Prise en charge habituelle 15 G8 Evoquer avec le patient Chirurgie La chimio néoadjuvante (fonction rénale normale) Les traitements conservateurs Cs ONCO gériatrie
40 G8 Patient âgé «Unfit» Situation 2 PEC onco GERIATRIQUE Evoquer avec les gériatres La prise en charge chirurgicale Avec prise en charge gériatrique Pré et post op OUI Conditionnement Chirurgie réhabilitation NON Discussion de la meilleure prise en charge palliative
41 Décision multidisciplinaire Avis urologue Avis anesthésiste Cs Oncogériatrie Patient et famille GAIN RISQUE
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailEntretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC
Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailCHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES
CHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES 1 EPIDEMIOLOGIE 28 000 nouveaux cas/an 4ème rang des cancers Sex ratio 6,1 Mortalité > 27 000/an Âge médian H 67 ans, F 68 ans 2 1 Taux annuel ajusté
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailLa chirurgie dans la PC
La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit
Plus en détailRéseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP
Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailMaurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC
Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins
Plus en détailLa formation comme levier de changement des pratiques
Place des pharmaciens d officine au sein du réseau Onco 94 Ouest La formation comme levier de changement des pratiques 2 ème congrès des Réseaux de cancérologie Rouen Atelier : place de la formation 3
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailLa recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux
La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailDIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE. Responsables de l enseignement :
DIU de rééducation pelvi-périnéale DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE Responsables de l enseignement : Pr. Gérard AMARENCO (UPMC), Pr. Michel COSSON (CHU Lille), Pr. Gilberte ROBAIN (UPMC) 1. Cible La
Plus en détailCancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature
Cancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature Situation en 2011 M CHAKRA Secteur Oncologie Thoracique CHU Arnaud de Villeneuve, Montpelier Qu est ce qu un sujet âgé? 70 ans est habituellement considéré
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailLa santé bucco-dentaire au cabinet OMS. Problèmes majeurs. Santé bucco-dentaire et santé générale. Santé. Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire
La santé bucco-dentaire au cabinet Santé OMS Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire Colloque MPr 14 septembre 2011 Dr J-P Carrel Division de stomatologie, chirurgie orale et radiologie dento-maxillo-faciale
Plus en détailPLEINS FEUX SUR LE RC EXAMENS SYSTEMATIQUES ET PREVENTION
PLEINS FEUX SUR LE RC SFMG - 2009 EXAMENS SYSTEMATIQUE ET PREVENTION est le résultat de consultation le plus fréquemment relevé par les médecins généralistes de l OMG. Voir là. Pour mieux vous familiariser
Plus en détailMarseille 21 > 23. Novembre
Marseille P a R C C H A N O T 21 > 23 Novembre 2013 PROGRAMME PROVISOIRE APPEL À COMMUNICATION INSCRIPTION Conférences plénières Le sommeil des animaux I. Tobler Syndrome d apnée : potentiel des biomarqueurs
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailPublicité Une nouvelle vision de la complémentaire santé
Publicité Une nouvelle vision de la complémentaire santé Swiss santé, Ma formule Édito Swiss santé, Ma formule Créez votre complémentaire santé personnalisée Rester en bonne santé est ce qu il y a de plus
Plus en détailChimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules. Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015
Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015 Cas clinique Mr A.S agé de 55 ans grand tabagique consulte aux urgences pour céphalées évoluant depuis
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie
INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée
Plus en détailL Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien
L Incontinence Urinaire au FEMININ Dr Isabelle Kaelin-Gambirasio Erika Vögele Dr Johanna Sommer Examen pelvien Inspection : Atrophie vulvovaginale Inflammation vaginale Pertes d urines à la toux Prolapsus
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailLa recherche en urologie à l hôpital Foch... p.2-4 ACTUALITÉ
DOSSIER La recherche en urologie à l hôpital Foch............. p.2-4 ACTUALITÉ Inauguration du service d oncologie..........................p.5 Actualités de l hôpital Foch...................................p.6
Plus en détailEvaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés
Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution
Plus en détailPRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI)
PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI) 2 Défibrillateur Automatique Implantable SOMMAIRE Introduction Indications Principe du DAI Historique Composants et structure
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailSYNDICAT NATIONAL DE L ENSEIGNEMENT PRIVE
SYNEP Le «+ santé» Le «+ santé» est une mutuelle santé réservée aux adhérents de la CFECGC, à des conditions préférentielles négociées par la CFECGC en décembre 2007. Le «+ santé», mis à disposition des
Plus en détailGestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional
Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailChirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients?
HigHligHts 2012: CHiRURgiE Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? Lukasz Filip Grochola a, Hubert John b, Thomas Hess c, Stefan Breitenstein d a Clinique de chirurgie
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailPlace de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées. The role of surgery in the era of targeted therapy. * Non ouvert en France.
dossier thématique Place de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées The role of surgery in the era of targeted therapy P. Bigot*, J.C. Bernhard** Points forts» En association avec l immunothérapie,
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailSADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)
SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailSession Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr
Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailCher adhérent, chère adhérente,
Services proposés par Cher adhérent, chère adhérente, Votre carte d adhérent à la Mutuelle des Pays de Vilaine comporte la mention : «Tiers Payant limité aux Professionnels agréés Santéclair et aux centres
Plus en détailDanielle D Amour, inf. Ph.D. IUFRS 24 février 2011
+ Miser sur le renouvellement de l organisation des services infirmiers pour améliorer la qualité et la sécurité des soins Danielle D Amour, inf. Ph.D. IUFRS 24 février 2011 + Membres de l équipe Carl-Ardy
Plus en détailLA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT!
LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! Douleur induite Douleur induite Douleur de courte durée, causée par le soignant ou une thérapeutique dans des circonstances de survenue prévisibles et susceptibles
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailPLAQUETTE D INFORMATION
Mutuelle du personnel du groupe Société Générale PLAQUETTE D INFORMATION Registre National des Mutuelles N 784 410 805 Juillet 2010 Comment calculer un taux de remboursement de Mutuelle? Les remboursements
Plus en détailSimple efficace. pour garantir la santé de vos salariés!
Simple efficace pour garantir la santé de vos salariés! AVEC SEREO Mutuelle, PRIVILÉGIEZ SIMPLICITÉ ET PERFORMANCE pour bien protéger et fidéliser vos salariés Une couverture au plus près de vos attentes
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailAUDIT BLOC OPERATOIRE
AUDIT BLOC OPERATOIRE Forum Octobre 2006 G.Bossuat, inf, HPCI, CHUV 1 Rappel théorique Audit vient du mot latin «audire», écouter. L audit, est un processus méthodique, indépendant et documenté permettant
Plus en détailActualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque
Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailquelques points essentiels
actualisation de la conférence d experts sur l intubation difficile: SFAR, SRLF, SFMU, ADARPEF, CARO et CARORL quelques points essentiels Ann Fr Anesth Reanim 2008;27:3-14 - ventilation au masque difficile
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailMONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013
MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op
Plus en détailINAUGURATION Du service de Pédiatrie Dossier de presse JEUDI 14 NOVEMBRE 2013
Dossier de presse INAUGURATION Du service de Pédiatrie JEUDII 14 NOVEMBRE 2013 Le dossier Le service de Pédiatrie Introduction La Pédiatrie : Ses activités Quelques données chiffrées Son fonctionnement
Plus en détailrecommandations pour les médecins de famille
BPCO: recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille Dr. med. Werner Karrer, Prof. Dr. med. Jörg D. Leuppi Les médecins de famille jouent un rôle central
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailClinique de chirurgie dentaire (Budapest) Résultat Audit
Clinique de chirurgie dentaire (Budapest) Résultat Audit Cet audit se présente sous forme d affirmations ou d infirmations à des critères simples, qui regroupées par thème, permettent de définir la qualité
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détail