Stockage physique des données. Type de mémoire. Organisation d un disque. Organisation physique des données 08/12/2009
|
|
- Geneviève Prudhomme
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Stockage physique des données Stockage des données: support, fonctionnement d un disque, RAID Organisation des fichiers: champs, enregistrements, blocs, techniques d accès 1 2 Type de mémoire Ordre de grandeur des accès mémoires Vitesse processeur Registre processeur Mémoire cache Mémoire centrale Mémoire secondaire (DD) Capacité Mémoire: Taille (en Mo), Temps d accès (secondes) Cache: Env. 1 Mo, -8 ( nanosecondes) Principale: Quelques Go, -8-7 (-0 nanosec.) Secondaire: Plusieurs centaines de Go, -2 ( millisecondes) Tertiaire: To, 1 seconde Mémoire tertiaire Un accès disque est environ un million de fois plus coûteux qu un accès en mémoire principale 3 4 Organisation physique des données Bases de données trop volumineuses pour tenir entièrement en mémoire centrale Conception physique de la base: responsabilité des administrateurs Pour chaque ensemble de données accédé, localisation sur le disque (position dans un segment), copie en mémoire centrale, traitement, puis, si modification, réécriture sur le disque Données stockées sur disque organisées en fichiers d enregistrement: Nécessité de pouvoir les localiser rapidement Minimiser le nombre d accès (accès disque dur lent) => Performance d un SGBD dépend de sa capacité à gérer efficacement les transferts disque-mémoire. Organisation d un disque Disque: généralement une surface magnétique, suite de 0 ou de 1, divisé en secteurs Un disque dur est généralement composé de plusieurs plateaux. Chaque plateau à 2 surfaces. Une tête de lecture est associé à chaque surface. Les têtes de lecture ne peuvent se déplacer individuellement. Une seul tête à la fois peut lire/écrire Les données d une surface sont inscrites sur des pistes disposés en cercle concentrique autours de l axe de rotation. Cylindre: ensembles des pistes des différentes surfaces situés à une même distance du centre Une piste est divisé en portions appelées secteur Un secteur est donc l unité d adresse et de transfert minimal Le système d exploitation impose généralement qu un fichier occupe un bloc (de 1 à N secteurs) 5 6 1
2 Disque Piste Secteur Plateau Tête de lecture/écriture Mémoire à accès direct Un disque à de 1 à N secteurs Cylindre Adresse d un secteur sur disque = (num surface, num piste, num secteur) Le contrôleur de disque effectue une conversion entre le numéro de secteur absolue (utilisé par le SE) et l adresse du secteur. 7 8 Délai accès donnée 1. Délai positionnement tête piste: temps nécessaire pour positionner la tête sur la bonne piste (seek time) 2. Délai latence: temps nécessaire pour que la tête de lecture atteigne le secteur demandé (rotational delay) 3. Temps transfert: temps nécessaire pour que le (ou les) secteur(s) soient lus et transférés (transfer time) La somme de ces délais détermine le temps d accès à un secteur (access time) Exemple caractéristique disque Seagate Barracuda Go Caractéristiques Performance Taux de transfert 300 Mo/s Cache 32 Mo Nombre de plateaux 2 (4 têtes de lecture) Nombre total secteurs (512) Nombre de cylindres Vitesse de rotation 70 tpm Délai de latence moyen 4.16 ms Temps de positionnement moyen 11 ms Fiabilité heures 9 Quelques calculs A partir de ces spécification, on peut calculer: 1. Nombre de secteurs par surface 2. Nombre moyen de secteur par piste 3. Nombre moyen d octets par piste et par cylindre 4. Délai de transfert pour 1 à N secteurs On peut en déduire un temps minimal, moyen et maximal de lecture d un ensemble de N secteurs. Optimisation: position des blocs Pour diminuer le temps d accès aux données, il peut être judicieux de positionner les données dans des secteurs proches Dans un même bloc (512o) Dans N blocs consécutifs (n*512o) Sur une même piste Sur un même cylindre Sur des pistes proches
3 Importance de la contiguïté physique Exemple: Transfert de 1 Mo: 00 secteurs de 512 octets Taux de transfert: 2Mo/s Temps déplacement tête (délai positionnement) : 6 ms Délai de rotation : 4ms Secteurs consécutifs TempsESDisque(1 Mo) = ms + 0ms = 5ms Secteurs dispersés aléatoirement (pire des cas) TempsESDisque(un secteur) = ms + 0,25ms =,25ms Total = 00,25 = 0 ms =,5 secs Optimisation: mémoire cache Afin de diminuer le nombre d accès le nombre d accès disque, il est possible de garder des blocs en mémoire. Un des paramétrages des SGBD consiste à leur attribuer une partie de la mémoire centrale qui servira principalement de cache. Clustering regrouper physiquement les données selon des schémas d accès logiques Optimisation: ordre des accès Entrelacement des demandes entraîne des lectures aléatoires sur le disque Solution: ordonner les lectures Exemple: L(1-16), L(2-23), L(1-18), L(2-24), L(1-17) Stockage dans une mémoire tampons Séquenceur L(1-16), L(1-17), L(1-18), L(2-23), L(2-24) Accès au disque Hit ratio Paramètre qui mesure l efficacité d une mémoire tampon est le hit ratio, défini comme suit : hit ratio = (nb de lectures logiques - nb lectures physiques) / nb de lectures logiques Si toutes les lectures logiques (demande de bloc) aboutissent à une lecture physique (accès au disque), le hit ratio est 0, S il n y a aucune lecture physique, le hit ratio est de Autres techniques Deux autres techniques permettent d optimiser les lectures. 1. Remplacement dans le cache: choisir le bloc à remplacer quand le cache est plein. 2. Lecture à l avance (appelée read ahead ou prefetching) Technologie RAID Stockage sur disque : point sensible des SGBD, pour les performances et pour la sécurité. On estime : risque de panne pour 1 disque pendant les prochains ans = 1 risque de panne pour 2 disques pendant les prochains 5 ans = 1 risque de panne pour 0 disques pendant le prochain mois = 1 RAID: Redundant Array Independant Disks La technologie RAID permet de Limiter le risque dû à une défaillance (redondance des données, réparties sur plusieurs disques) Optimiser les accès en répartissant les données sur plusieurs disques
4 Niveaux RAID Grappe de disques: N disques si possibles de taille identique Il existe 7 niveaux principaux, numérotés de 0 à 6: niveau 0 : répartition des données sur plusieurs disques niveau 1 : réplication des données niveau 4 : reprise sur panne basée sur la parité niveau 5 : répartition de l information de parité niveau 6 : prise en compte de défaillances simultanées. RAID 0 Répartition des données sur plusieurs disques Les disques durs peuvent travailler en parallèle Exemple: Disk 1, Disk 2, un fichier de 4 blocs (F0, F1, F2, F3) F0, F2 écrit sur Disk 1 F1, F3 écrit sur Disk 3 Fiabilité: Aucune. La perte d un disque entraîne la perte des données Coût : Pas de redondance: tout l espace disque est utilisé 19 RAID 1 Miroitage des disques: Utilisation de N disques chaque disque contient une copie identiques des autres disques Capacité: La taille des donnée est égale à la taille du plus petit des disques de la grappe RAID 4 On dispose de n disques, tous de même taille. On introduit un disque de contrôle contenant la parité. Exemple (n=4) : D1: D2: D3: Coût: la taille des donnée représente environ 1/N de l espace mémoire totale). Chaque écriture sur un des disque entraîne une écriture sur chacun des disques Fiabilité: Il est possible de perdre N-1 disque et de toujours conserver les donnée Chaque bit du disque de contrôle donne la parité, pour le même bit, des autres disques : DC: 0101 =>permet la reprise sur panne en cas de défaillance d un seul disque Performances du RAID 4 Lectures : elles s effectuent de manière standard sur les disques de données Répartition : le RAID 4 distribue les blocs sur les n disques, ce qui permet d effectuer des lectures en parallèle. Écritures il faut tenir compte des versions avant et après mise à jour d un octet. Exemple : avant : après : 0100 Octet de mise à jour : On doit inverser les bits 2, 3, 5 du disque de parité RAID 5-6 Problème du RAID 4 : n fois plus d écritures sur le disque de contrôle. Solution RAID 5 : les blocs de parité sont distribués sur les n+1 disque. Exemple : D1: D2: D3: D4: 0101 Et si deux disques tombent en panne en même temps? RAID 6 : un codage plus sophistiqué permettant de récupérer deux défaillances simultanées. Cout de reconstruction des données après la perte de 2 disques couteux
5 Niveaux RAID combinés RAID 01 Mirroring de grappe en alterné Nécessite au minimum 4 disques Ecriture alternée (raid 0) puis mirroring (raid 1) RAID D abord mirroring (raid 1) puis écriture alternée (raid 0) RAID 05 Fichiers Une base de données = un ou plusieurs fichiers. Un fichier = un à plusieurs secteurs. Le SGBD choisit l organisation des fichiers : 1. l espace est-il bien utilisé? 2. est-il facile et efficace de faire une recherche? 3. est-il facile et efficace de faire une mise à jour? 4. les données sont-elles correctement représentées, et en sécurité? Tous les SGBD prennent en charge la gestion des fichiers et de leur contenu Enregistrements Un enregistrement: suite de champs stockant les valeurs des attributs Exemple: (idemp INTEGER, nom CHAR(128), iddept INTEGER) Enregistrements de taille fixe Chaque champ => nombre fixe d octets Remplissage par caractère neutre Type (SQL) Taille en octets INTEGER 4 FLOAT 4 DOUBLE 8 CHAR(M) M DATE 7 NUMBER(P,S) < P/2 VARCHAR2(M) M 27 nocatalogue ENTIER binaire 32 bits (4 octets) description CHAINE[30] un octet (ASCII 8 bits) par caractère (remplissage avec espaces) (30 octets) Total : 42 octets prixunitaire REEL point-flottant 64 bits (8 octets) 28 Tailles variables et valeurs NULL Lorsque tous les champs sont de taille fixe et ont une valeur, la taille d un enregistrement est constante Enregistrements de taille variable Frontières de champs et d enregistrements indicateur detaille en entête de chaque champ (descripteur de champ) Généralement, certains champs ont une taille variable ou peuvent avoir la valeur NULL: taillenocatalogue nocatalogue tailledescription description tailleprixunitaire prixunitaire Pour les champs de taille variable : on précède la valeur par la taille exacte (nombre d octets à lire), Pour les valeurs NULL : on peut indiquer une taille 0 (Oracle) ou définir un «flag» associé à cette valeur. délimiteur (code réservé) nocatalogue description index en entête de l'enregistrement (descripteur d'enregistrement) prixunitaire 29 nocatalogue description prixunitaire 30 5
6 Blocs et enregistrements Enregistrements de taille fixe On essaie d éviter qu un enregistrement chevauche deux blocs (pas toujours possible), Il est nécessaire d envisager le cas où la taille d un enregistrement varie, A chaque enregistrement on associe une adresse, on pourra ainsi accéder et lire tout l enregistrement directement à partir de son adresse, Le déplacement des enregistrement d un bloc à un autre doit être prévu. => l indexation des enregistrements. Pour une taille de bloc B et d enregistrement E, on a [B/R] enregistrements par bloc Exemple : B = 96, E = 84 donc [96/84] 48 enregistrements par bloc. L enregistrement 383 est dans le bloc [383/48] = 7, Le bloc 7 contient les enregistrements allant de (7*48) = 336 à (8*48 1) = 383, Un bloc peut être référencé par le fichier + le bloc + le numéro interne (ici F1.7.48) Enregistrement de taille variable Un enregistrement peut changer de taille (réorganisation interne du bloc), Un enregistrement peut être déplacé. Indirection Indirection: On associe à une adresse logique une adresse physique Indirection dans le bloc (solution Oracle) Au sein du bloc, on a une indirection pour obtenir les adresses des enregistrements Entête Espace libre Bloc F indirection Enregistrements Réorganisation du stockage L adressage indirect donne une certaine souplesse: si un enregistrement s agrandit, mais qu il reste de la place dans le bloc : une réorganisation interne suffit. sinon on le déplace et on crée un chaînage dans l entête du bloc. La création de chaînage pénalise les performances => si possible laisser de l espace libre dans un bloc. Exemple d évolution avec chaînage L enregistrement F s agrandit: Situation initiale Agrandissement de l enregistrement 46 Il reste suffisamment d espace libre dans le bloc Agrandissement de l enregistrement 46 Il ne reste plus suffisamment d espace libre dans le bloc. L enregistrement est déplacé
7 Recherche dans un fichier Rechercher d un enregistrement Méthode basique: parcourir séquentiellement le fichier. Mise à jour d un fichier Pour les UPDATE et DELETE : recherche de l enregistrement à modifier/supprimer dans le fichier. La performance du parcours est conditionnée par : la bonne utilisation de l espace (idéalement tous les blocs sont pleins), le stockage le plus contigu possible (même piste, même cylindre, ). La recherche sera beaucoup plus rapide si le fichier est trié sur la clé de recherche (recherche par dichotomie) Insertion d un n-uplet On souhaite d éviter de parcourir tout le fichier à chaque insertion pour rechercher un espace libre Solution 1: liste chaînée des espaces libres Solution 2: conserver une table des pages libres Libre? Espace Libre (octets) adresse O N 2 O 10 7 => Avantage: on peut facilement trouver l espace nécessaire Oracle Principales structures physiques dans ORACLE : 1. Bloc: unité physique d E/S. La taille d un bloc ORACLE est un multiple de la taille des blocs du système sous-jacent. 2. Extent: ensemble de blocs contigus contenant un même type d information. 3. Segment: ensemble d extent stockant un même type d objet logique (une table, un index...). 4. Tablespace Le paramétrage du stockage des données (fichier, quota, ) est spécifié dans un tablespace. 39 Tablespace Une base est divisée par l administrateur en tablespace. Chaque tablespace consiste en un (au moins) ou plusieurs fichiers. La notion de tablespace permet : 1. De contrôler l emplacement physique des données. (par ex. : le dictionnaire sur un disque, les données utilisateur sur un autre), 2. de régler l allocation de l espace (extensions), 3. de faciliter la gestion (sauvegarde, protection, ). Les utilisateurs sont assignés à un tablespace. Commandes tablespace Création: CREATE TABLESPACE TB1 DATAFILE fichiertb1.dat SIZE 0k REUSE AUTOEXTEND ON NEXT 0 MAXSIZE 0M; Désactiver tablespace ALTER TABLESPACE TB1 OFFLINE; Mettre en tablespaceen lecture seule ALTER TABLESPACE TB1 READ ONLY; Ajouter un nouveau fichier à un tablespace ALTER TABLESPACE ADD DATAFILE fichiertb2.dat SIZE 300 M; Placement d une table dans un tablespace CREATE TABLE emp( idemp INTEGER PRIMARY KEY ) TABLESPACE TB1;
8 Extent et segment L extent est une suite de blocs contigus. Le segment est un ensemble d extent contenant un objet logique. Les extents ne sont pas forcément continus sur le disque Tables, segments, extents et blocs Table Niveau logique Niveau physique Il existe plusieurs types de segments : segment de données (table), segment d index, rollback segment utilisé pour les transactions, lobsegment pour contenir les objets de grande taille segment temporaire (utilisé pour toute les opérations nécessitant un tri comme order by, distinct, group by, ) Bloc Oracle Gestion de l espace Entête (adresse du bloc, type de segment) Tables représentés dans le bloc Adresse des enregistrements Espace libre Enregistrements Au moment de la création de table, on peut spécifier la valeur des paramètres: PCTFREE: indique le pourcentage de l espace du bloc à réserver pour les mises à jour, PCTUSED: indique le pourcentage de l espace du bloc qui doit être libre pour pouvoir effectuer des insertions dans ce bloc. Oracle maintient une liste des blocs disponibles pour insertions. Exemple : 1. PCTFREE = 30% et PCTUSED=70% 2. PCTFREE = % et PCTUSED=80% Le second choix est plus efficace, mais plus risqué et plus coûteux Stockage et adressage des enregistrements En règle générale un enregistrement est stocké dans un seul bloc. Sinon l enregistrement est chainée sur plusieurs blocs consécutifs. L adresse physique d un enregistrement est le ROWID, construit à partir de 4 valeurs: 1. Le numéro du segment (000000), 2. Le numéro de fichier (FFF), 3. Le numéro du bloc (BBBBBB), 4. Le numéro du n-uplet dans le bloc (RRR). Exemple de ROWID: AAAAaoAATAAABrXAAE SELECT ROWID FROM emp;
9 Pourquoi indexer? En l absence d un index, seules solutions : Parcours séquentiel (complexité linéaire) Recherche par dichotomie si fichier trié (complexité logarithmique) Avec un index : Parcours de l index, puis accès direct à l enregistrement Mais attention : mises à jour plus coûteuses Cout des opérations: fichier non trié Fichiers non ordonnés: Type d organisation le plus simple. Les enregistrements sont placés dans le fichier dans l ordre de leur insertion. Insertions/modifications d un n-uplet : En moyenne F/2 bloc sont lues (donc transférées) si l enregistrement existe déjà F+1 pages transférées si la page n existe pas Effacement d un n-uplet : En moyenne F/2 blocs sont lues (donc transférées) si l enregistrement existe déjà F blocs transférées si l enregistrement n existe pas 49 Cout des opérations: fichier trié Les enregistrements sont ordonnés physiquement sur disque en fonction des valeurs d un de leurs champs (champ d ordonnancement). Généralement le champ d ordonnancement est la clé primaire Avantages : Les requêtes basées sur le champ d ordonnancement ont un coût moyen en log 2 par recherche binaire Adapté à la recherche de n-uplet successifs Aucun avantage si l accès se fait par d autres attributs que le champ d ordonnancement. Inconvénients : Le maintien de l ordre est couteux Pour N enregistrement, en moyenne, N/2 lectures pour trouver la position et N/2 écritures pour déplacer les enregistrements Indexage et hachage Sélection basée sur une clé d'accès recherche des informations associer à cette clé Ex: Chercher le salaire de l employé pour lequel idemp= Séquentiel lire tout le fichier en pire cas O(N) Indexage O(log(N)) sélection par intervalle Hachage ~O(1) Indexage Index valeur de la clé => adresse de(s) l'enregistrement Numéro Index de bloc Index dense: fichier, trié sur la clé, contenant tous les enregistrements 0 1 Cèdre en boule Epinette bleue Pommier Erable argenté Chêne Catalpa Génévrier Herbe à puce Sapin Poirier Numéro d'enregistrement relatif Fichier séquentiel indexé Non dense (seulement les adresses de bloc) Index plus petit Accès séquentiel rapide Difficile à maintenir (déplacement d un n-uplet) Index Numéro de bloc 0 1 Cèdre en boule Sapin Epinette bleue Chêne Erable argenté Herbe à puce Poirier Catalpa Pommier Génévrier Numéro d'enregistrement relatif
10 Index séquentiel hiérarchique Niveau 1 d'index Zone de débordement Niveau 2 d'index Réorganisations chroniques Cèdre en boule.99 Sapin Epinette bleue Chêne Erable argenté Herbe à puce Poirier Catalpa Pommier Génévrier Indexage par Arbre-B et variantes Arbre-B (B-arbre, B-tree) forme d index hiérarchique équilibré O(log(N)) en pire cas Réoganisation dynamique division/fusion des blocs taux d occupation minimum de % Arbre-B+ Hypothèse initiale : clé simple et unique Nœud = bloc Structure d une feuille FBM f : nombre de clé maximum par feuille 1. Remplie à moitié au minimum FBM f /2 nombre de clés FBM f 2. Clés triées : i < j C i < C j 3. Clésd'une feuille < clésde lasuivante Au même niveau (équilibré) Espace C 1 R 1... C n R n S libre Bloc C i : Clé R i : reste de l'enregistrement ou référence S : Pointeur sur le bloc suivant dans la liste des feuilles Structure d un bloc interne Rechercher la clé Remplie à moitié au minimum: Ordre I /2 nombre de pointeurs Ordre I 2. Clés triées : i < j C i < C j 3. C i-1 <= Clés sous P i-1 < C i P 1 C 1 P 2... C i-1 P i-1 C i... P n-1 C n-1 P n Espace libre Bloc C < C 1 C i-1 <= C < C i C n-1 <= C 59
11 Complexité de la recherche et hauteur de l'arbre FBM f = et Ordre I = 0 Hauteur = nombre de niveaux Hauteur 2 N 2 * = clés (pire cas) Hauteur 3 N 2 * 0 * = clés Hauteur 4 N 2 * 0 * 0 * = clés Hauteur 5 N 2 * 0 * 0 * 0 * = clés Hauteur H N 2* Ordre I /2 H-2 * FBM f /2 pour H 2 H 2 + log OrdreI /2 (N /(2* FBM f /2 )) O(log N) Hauteur moyenne H ~ 1 + log OrdreMoyenI (N / FB f ) OrdreMoyen I = 2/3 Ordre I FB f = 2/3 FBM f Insertion dans un arbre-b+ FBM = 3, Ordre I = Débordement et division Insertion de 30 Débordement et la division du bloc 0 est promue Nouvelle racine Insertion de 25 Insertion de Débordement et la division du bloc 0 25 est promue
12 Insertion de Insertion de Débordement et la division du bloc 1 est promue Insertion de Insertion de 45 Division du bloc 1 est promue Division de la racine Suppression dans un arbre-b+ Cas simple minimum préservé pas la première 25 Première clé du bloc et pas la première feuille Remplacer dans le parent (si pas «aîné»)
13 Première clé du bloc et pas la première feuille Remonter tant que l'enfant est l «aîné» Violation du minimum : redistribution si possible Ajuster séparateur Bloc Bloc Violation du minimum : fusion Violation de la règle du minimum Fusion des deux frères Cas de fusion de feuilles et de redistribution au niveau du parent 25 Violation de la règle du minimum Fusion des deux frères Redistribution Violation de la règle du minimum Cas de fusion de feuilles et de redistribution au niveau du parent (suite) Violation de la règle du minimum Cas de fusion en cascade 25 Redistribution Violation de la règle du minimum Fusion des deux frères Violation de la règle du minimum Fusion des deux frères
14 Cas de fusion en cascade (suite) : réduction de la hauteur Violation de la règle du minimum 25 Fusion des deux frères
Techniques de stockage. Techniques de stockage, P. Rigaux p.1/43
Techniques de stockage Techniques de stockage, P. Rigaux p.1/43 Techniques de stockage Contenu de ce cours : 1. Stockage de données. Supports, fonctionnement d un disque, technologie RAID 2. Organisation
Plus en détailStructure fonctionnelle d un SGBD
Fichiers et Disques Structure fonctionnelle d un SGBD Requetes Optimiseur de requetes Operateurs relationnels Methodes d acces Gestion de tampon Gestion de disque BD 1 Fichiers et Disques Lecture : Transfert
Plus en détailCours Bases de données 2ème année IUT
Cours Bases de données 2ème année IUT Cours 13 : Organisation d une base de données, ou comment soulever (un peu) le voile Anne Vilnat http://www.limsi.fr/individu/anne/cours Plan 1 Les clusters de table
Plus en détailIntroduction aux SGBDR
1 Introduction aux SGBDR Pour optimiser une base Oracle, il est important d avoir une idée de la manière dont elle fonctionne. La connaissance des éléments sous-jacents à son fonctionnement permet de mieux
Plus en détailECR_DESCRIPTION CHAR(80), ECR_MONTANT NUMBER(10,2) NOT NULL, ECR_SENS CHAR(1) NOT NULL) ;
RÈGLES A SUIVRE POUR OPTIMISER LES REQUÊTES SQL Le but de ce rapport est d énumérer quelques règles pratiques à appliquer dans l élaboration des requêtes. Il permettra de comprendre pourquoi certaines
Plus en détailChapitre V : La gestion de la mémoire. Hiérarchie de mémoires Objectifs Méthodes d'allocation Simulation de mémoire virtuelle Le mapping
Chapitre V : La gestion de la mémoire Hiérarchie de mémoires Objectifs Méthodes d'allocation Simulation de mémoire virtuelle Le mapping Introduction Plusieurs dizaines de processus doivent se partager
Plus en détailLe Langage De Description De Données(LDD)
Base de données Le Langage De Description De Données(LDD) Créer des tables Décrire les différents types de données utilisables pour les définitions de colonne Modifier la définition des tables Supprimer,
Plus en détail6 - Le système de gestion de fichiers F. Boyer, UJF-Laboratoire Lig, Fabienne.Boyer@imag.fr
6 - Le système de gestion de fichiers F. Boyer, UJF-Laboratoire Lig, Fabienne.Boyer@imag.fr Interface d un SGF Implémentation d un SGF Gestion de la correspondance entre la structure logique et la structure
Plus en détailGestion de mémoire secondaire F. Boyer, Laboratoire Sardes Fabienne.Boyer@imag.fr
Gestion de mémoire secondaire F. Boyer, Laboratoire Sardes Fabienne.Boyer@imag.fr 1- Structure d un disque 2- Ordonnancement des requêtes 3- Gestion du disque - formatage - bloc d amorçage - récupération
Plus en détailBases de Données relationnelles et leurs systèmes de Gestion
III.1- Définition de schémas Bases de Données relationnelles et leurs systèmes de Gestion RAPPELS Contraintes d intégrité sous Oracle Notion de vue Typage des attributs Contrainte d intégrité Intra-relation
Plus en détailTP Contraintes - Triggers
TP Contraintes - Triggers 1. Préambule Oracle est accessible sur le serveur Venus et vous êtes autorisés à accéder à une instance licence. Vous utiliserez l interface d accés SQL*Plus qui permet l exécution
Plus en détailTP11 - Administration/Tuning
TP11 - Administration/Tuning MIAGE #3-2006/2007 January 9, 2007 1 Architecture physique d une base Oracle 1.1 La structure physique Une base de données Oracle est composé de fichiers (au sens du système
Plus en détailMaster Exploration Informatique des données DataWareHouse
Master Exploration Informatique des données DataWareHouse Binôme Ahmed BENSI Enseignant tahar ARIB SOMMAIRE I. Conception...1 1. Contexte des contrats...1 2. Contexte des factures...1 II. Modèle physique...2
Plus en détailAdministration de Bases de Données : Optimisation
Administration de Bases de Données : Optimisation FIP 2 année Exercices CNAM Paris Nicolas.Travers(at) cnam.fr Table des matières 1 Stockagedans unsgbd 3 1.1 Stockage.............................................
Plus en détailSystèmes d Exploitation - ENSIN6U3. Aix-Marseille Université
Systèmes d Exploitation - ENSIN6U3 Systèmes de gestion de fichiers - SGF Leonardo Brenner 1 Jean-Luc Massat 2 1 Leonardo.Brenner@univ-amu.fr 2 Jean-Luc.Massat@univ-amu.fr Aix-Marseille Université Faculté
Plus en détailSQL. Oracle. pour. 4 e édition. Christian Soutou Avec la participation d Olivier Teste
Christian Soutou Avec la participation d Olivier Teste SQL pour Oracle 4 e édition Groupe eyrolles, 2004, 2005, 2008, 2010, is BN : 978-2-212-12794-2 Partie III SQL avancé La table suivante organisée en
Plus en détailMise en oeuvre TSM 6.1
Mise en oeuvre TSM 6.1 «Bonnes pratiques» pour la base de données TSM DB2 Powered by Qui sommes nous? Des spécialistes dans le domaine de la sauvegarde et de la protection des données 10 ans d expertise
Plus en détailNotion de base de données
Notion de base de données Collection de données opérationnelles enregistrées sur un support adressable et utilisées par les systèmes et les applications Les données doivent être structurées indépendamment
Plus en détailSYSTÈME DE GESTION DE FICHIERS
SYSTÈME DE GESTION DE FICHIERS - DISQUE 1 Les couches logiciels réponse requête Requêtes E/S Système E/S Pilote E/S Interruptions utilisateur traitement S.E. commandes S.E. S.E. matériel Contrôleur E/S
Plus en détailLa présente publication est protégée par les droits d auteur. Tous droits réservés.
Editeur (Medieninhaber/Verleger) : Markus Winand Maderspergerstasse 1-3/9/11 1160 Wien AUSTRIA Copyright 2013 Markus Winand La présente publication est protégée par les droits d auteur.
Plus en détailSYSTÈME DE GESTION DE FICHIERS SGF - DISQUE
SYSTÈME DE GESTION DE FICHIERS SGF - DISQUE C.Crochepeyre MPS_SGF 2000-20001 Diapason 1 Les couches logiciels réponse SGF requête matériel matériel Requêtes E/S Système E/S Pilote E/S Interruptions Contrôleur
Plus en détailRappels sur les fichiers
Rappels sur les fichiers Bernard ESPINASSE Professeur à Aix-Marseille Université (AMU) Ecole Polytechnique Universitaire de Marseille Mars 2013 1. Généralités sur les mémoires 2. Généralités sur les fichiers
Plus en détailCréation et Gestion des tables
Création et Gestion des tables Version 1.0 Z Grégory CASANOVA 2 Sommaire 1 Introduction... 3 2 Pré-requis... 4 3 Les tables... 5 3.1 Les types de données... 5 3.1.1 Les types de données Sql Server... 5
Plus en détailLe langage SQL pour Oracle - partie 1 : SQL comme LDD
Le langage SQL pour Oracle - partie 1 : SQL comme LDD 1 SQL : Introduction SQL : Structured Query Langage langage de gestion de bases de donn ees relationnelles pour Définir les données (LDD) interroger
Plus en détail4D v11 SQL Release 5 (11.5) ADDENDUM
ADDENDUM Bienvenue dans la release 5 de 4D v11 SQL. Ce document présente les nouveautés et modifications apportées à cette nouvelle version du programme. Prise en charge de nouvelles plates-formes La release
Plus en détail1. Qu'est-ce que SQL?... 2. 2. La maintenance des bases de données... 2. 3. Les manipulations des bases de données... 5
1. Qu'est-ce que SQL?... 2 2. La maintenance des bases de données... 2 2.1 La commande CREATE TABLE... 3 2.2 La commande ALTER TABLE... 4 2.3 La commande CREATE INDEX... 4 3. Les manipulations des bases
Plus en détailOptimisations des SGBDR. Étude de cas : MySQL
Optimisations des SGBDR Étude de cas : MySQL Introduction Pourquoi optimiser son application? Introduction Pourquoi optimiser son application? 1. Gestion de gros volumes de données 2. Application critique
Plus en détailPartie 7 : Gestion de la mémoire
INF3600+INF2610 Automne 2006 Partie 7 : Gestion de la mémoire Exercice 1 : Considérez un système disposant de 16 MO de mémoire physique réservée aux processus utilisateur. La mémoire est composée de cases
Plus en détailBases de Données Avancées
1/116 Bases de Données Avancées Implantation d une BD Thierry Hamon Bureau H202 - Institut Galilée Tél. : 33 1.48.38.35.53 Bureau 150 LIM&BIO EA 3969 Université Paris 13 - UFR Léonard de Vinci 74, rue
Plus en détailPrésentation du module Base de données spatio-temporelles
Présentation du module Base de données spatio-temporelles S. Lèbre slebre@unistra.fr Université de Strasbourg, département d informatique. Partie 1 : Notion de bases de données (12,5h ) Enjeux et principes
Plus en détail4. Utilisation d un SGBD : le langage SQL. 5. Normalisation
Base de données S. Lèbre slebre@unistra.fr Université de Strasbourg, département d informatique. Présentation du module Contenu général Notion de bases de données Fondements / Conception Utilisation :
Plus en détailOn distingue deux grandes catégories de mémoires : mémoire centrale (appelée également mémoire interne)
Mémoire - espace destiné a recevoir, conserver et restituer des informations à traiter - tout composant électronique capable de stocker temporairement des données On distingue deux grandes catégories de
Plus en détailNœud Suisse du Projet International GBIF (Global Biodiversity Information Facility)
Nœud Suisse du Projet International GBIF (Global Biodiversity Information Facility) Présentation de la solution de backup Oracle de la base de données test GBIF et déploiement de la solution en production
Plus en détailBases de données et sites WEB
Bases de données et sites WEB Cours2 : Sécurité et contrôles d accès Anne Doucet 1 Authentification Autorisation Privilèges Rôles Profils Limitations de ressources Plan Audit Contrôle d accès via les vues
Plus en détailI4 : Bases de Données
I4 : Bases de Données Passage de UML au modèle relationnel Georges LOUIS Département Réseaux et Télécommunications Université de La Rochelle Module I4 2008-2009 1 G.Louis Sommaire 1 Des classes aux tables
Plus en détailComme chaque ligne de cache a 1024 bits. Le nombre de lignes de cache contenu dans chaque ensemble est:
Travaux Pratiques 3. IFT 1002/IFT 1005. Structure Interne des Ordinateurs. Département d'informatique et de génie logiciel. Université Laval. Hiver 2012. Prof : Bui Minh Duc. Tous les exercices sont indépendants.
Plus en détailAdministration des bases de données relationnelles Part I
Administration des bases de données relationnelles Part I L administration des bases de données requiert une bonne connaissance - de l organisation et du fonctionnement interne du SGBDR : structures logiques
Plus en détailGuide pour l Installation des Disques Durs SATA et la Configuration RAID
Guide pour l Installation des Disques Durs SATA et la Configuration RAID 1. Guide pour l Installation des Disques Durs SATA... 2 1.1 Installation de disques durs Série ATA (SATA)... 2 2. Guide de Configurations
Plus en détail1. Qu'est qu'un tablespace?
1/14 1. Qu'est qu'un tablespace? Un tablespace est un espace logique qui contient les objets stockés dans la base de données comme les tables ou les indexes. Un tablespace est composé d'au moins un datafile,
Plus en détailTravaux pratiques. Compression en codage de Huffman. 1.3. Organisation d un projet de programmation
Université de Savoie Module ETRS711 Travaux pratiques Compression en codage de Huffman 1. Organisation du projet 1.1. Objectifs Le but de ce projet est d'écrire un programme permettant de compresser des
Plus en détailSystèmesdegestionde. basesdedonnées
M1 STIC SGBD D'après une histoire originale de T Grison Systèmesdegestionde basesdedonnées Notes de cours Sommaire 1 Gestion des données 7 1 Architecture globale d'oracle 7 1 Exécution d'une requête 7
Plus en détailLes bases de données
Les bases de données Introduction aux fonctions de tableur et logiciels ou langages spécialisés (MS-Access, Base, SQL ) Yves Roggeman Boulevard du Triomphe CP 212 B-1050 Bruxelles (Belgium) Idée intuitive
Plus en détailPartie II Cours 3 (suite) : Sécurité de bases de données
Partie II Cours 3 (suite) : Sécurité de bases de données ESIL Université de la méditerranée Odile.Papini@esil.univ-mrs.fr http://odile.papini.perso.esil.univmed.fr/sources/ssi.html Plan du cours 1 Introduction
Plus en détailLangage propre à Oracle basé sur ADA. Offre une extension procédurale à SQL
Cours PL/SQL Langage propre à Oracle basé sur ADA Offre une extension procédurale à SQL PL/SQL permet d utiliser un sous-ensemble du langage SQL des variables, des boucles, des alternatives, des gestions
Plus en détailBases de données et sites WEB Licence d informatique LI345
Bases de données et sites WEB Licence d informatique LI345 Anne Doucet Anne.Doucet@lip6.fr http://www-bd.lip6.fr/ens/li345-2013/index.php/lescours 1 Contenu Transactions en pratique Modèle relationnel-objet
Plus en détailTP Administration Oracle
Ingénieurs 2000 Informatique et Réseaux TP Administration Oracle DIOP Ngoné ESSAIDI Abderrahim Février 2008 1 Sommaire Sommaire... 2 Introduction... 3 1. Déploiement d application... 4 1.1 Résumé du besoin...
Plus en détailBases de données documentaires et distribuées Cours NFE04
Bases de données documentaires et distribuées Cours NFE04 Introduction a la recherche d information Auteurs : Raphaël Fournier-S niehotta, Philippe Rigaux, Nicolas Travers prénom.nom@cnam.fr Département
Plus en détailPartie 0 : Gestion des tablespace et des utilisateurs... 3
Sommaire Partie 0 : Gestion des tablespace et des utilisateurs... 3 1- Créer deux TableSpaces votre_nom-tbs et Votre_nom-TempTBS :... 3 2. Créer un utilisateur qui porte votre nom :... 3 3. Attribuer à
Plus en détailÉvaluation et optimisation de requêtes
Évaluation et optimisation de requêtes Serge Abiteboul à partir de tranparents de Philippe Rigaux, Dauphine INRIA Saclay April 3, 2008 Serge (INRIA Saclay) Évaluation et optimisation de requêtes April
Plus en détailMicro ordinateur & Périphériques Mémoire de masse Disque dur (SOLUTION)
Ressources : www.sen-bretagne.net, rubrique VANNES/Télécom&Réseaux/CI4 Traitement num./ Table des matières 1.Introduction...1 2.Constitution...1 3.Lecture et enregistrement...2 3.1.Principe du stockage
Plus en détailIV- Comment fonctionne un ordinateur?
1 IV- Comment fonctionne un ordinateur? L ordinateur est une alliance du hardware (le matériel) et du software (les logiciels). Jusqu à présent, nous avons surtout vu l aspect «matériel», avec les interactions
Plus en détailLe Langage SQL version Oracle
Université de Manouba École Supérieure d Économie Numérique Département des Technologies des Systèmes d Information Le Langage SQL version Oracle Document version 1.1 Mohamed Anis BACH TOBJI anis.bach@isg.rnu.tn
Plus en détailGuide pour l Installation des Disques Durs SATA et la Configuration RAID
Guide pour l Installation des Disques Durs SATA et la Configuration RAID 1. Guide pour l Installation des Disques Durs SATA... 2 1.1 Installation de disques durs Série ATA (SATA)... 2 2. Guide de Configurations
Plus en détailPHP 5. La base de données MySql. A. Belaïd 1
PHP 5 La base de données MySql A. Belaïd 1 Base de données C est quoi une base de données? Une base de données contient une ou plusieurs tables, chaque table ayant un ou plusieurs enregistrements Exemple
Plus en détailEncryptions, compression et partitionnement des données
Encryptions, compression et partitionnement des données Version 1.0 Grégory CASANOVA 2 Compression, encryption et partitionnement des données Sommaire 1 Introduction... 3 2 Encryption transparente des
Plus en détailLa mémoire. Un ordinateur. L'octet. Le bit
Introduction à l informatique et à la programmation Un ordinateur Un ordinateur est une machine à calculer composée de : un processeur (ou unité centrale) qui effectue les calculs une mémoire qui conserve
Plus en détailTests de performance du matériel
3 Tests de performance du matériel Après toute la théorie du dernier chapitre, vous vous demandez certainement quelles sont les performances réelles de votre propre système. En fait, il y a plusieurs raisons
Plus en détailArchitecture des ordinateurs
Architecture des ordinateurs Cours 4 5 novembre 2012 Archi 1/22 Micro-architecture Archi 2/22 Intro Comment assembler les différents circuits vus dans les cours précédents pour fabriquer un processeur?
Plus en détailCours Bases de données 2ème année IUT
Cours Bases de données 2ème année IUT Cours 12 : Concurrence d accès Anne Vilnat http://www.limsi.fr/individu/anne/cours Plan 1 Accès concurrents Définitions Verrous Collisions Niveaux de cohérence Blocage
Plus en détail«clustering» et «load balancing» avec Zope et ZEO
IN53 Printemps 2003 «clustering» et «load balancing» avec Zope et ZEO Professeur : M. Mignot Etudiants : Boureliou Sylvain et Meyer Pierre Sommaire Introduction...3 1. Présentation générale de ZEO...4
Plus en détailArchitecture des ordinateurs Introduction à l informatique
Architecture des ordinateurs Introduction à l informatique 17 septembre 2004 1 2 3 4 5 6 Les interrupteurs... 0V 5V Ce sont des composants électroniques qui laissent pser un courant principal lorsque la
Plus en détailArchitectures, modèles et langages de données
Architectures, modèles et langages de données OLAP Hypercube Ingénierie des bases de données Fascicule 3 c,d Volume I Langage SQL, indexation et vue relationnelle André Gamache 2005 Architectures, Modèles
Plus en détail420-PK6-SL Banques de données Avancées UTILISATEURS
420-PK6-SL Banques de données Avancées Gestion des UTILISATEURS RÈGLES DE NOMENCLATURE Un UTILISATEUR Oracle est : Une connexion à Oracle Un nom de connexion"login" Un détenteur de droits et privilèges
Plus en détail<Insert Picture Here> Solaris pour la base de donnés Oracle
Solaris pour la base de donnés Oracle Alain Chéreau Oracle Solution Center Agenda Compilateurs Mémoire pour la SGA Parallélisme RAC Flash Cache Compilateurs
Plus en détailPARAGON Disk Wiper. Guide de l utilisateur. Paragon Technology GmbH, System Programmierung. Copyright Paragon Technology GmbH
PARAGON Disk Wiper Guide de l utilisateur Paragon Technology GmbH, System Programmierung Copyright Paragon Technology GmbH Publié par : Paragon Technology GmbH System Programming Pearl-Str. 1 D-79426 Buggingen
Plus en détailProcédure serveur : gestion des environnements X3 et bases de données ORACLE
Procédure serveur : gestion des environnements X3 et bases de données ORACLE LUIS Maxime Un environnement X3 se définit en plusieurs parties selon le schéma suivant : Serveur Traitement Base de donnée
Plus en détailEX4C Systèmes d exploitation. Séance 14 Structure des stockages de masse
EX4C Systèmes d exploitation Séance 14 Structure des stockages de masse Sébastien Combéfis mardi 3 mars 2015 Ce(tte) œuvre est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution
Plus en détailenvironnements SQL Server?
Comment booster les performances de vos environnements SQL Server? performance technology Innovators in Performance and Reliability Technologies Comment booster les performances de vos environnements SQL
Plus en détailOlivier Mondet http://unidentified-one.net
T-GSI Ch.4 Le Langage SQL LDD, LCD Cet exercice guidé reprend le plan suivis lors de l intervention de formation faite pour l académie de Versailles. L objectif principal visait en la présentation du langage
Plus en détailCours 6. Sécurisation d un SGBD. DBA - M1ASR - Université Evry 1
Cours 6 Sécurisation d un SGBD DBA - M1ASR - Université Evry 1 Sécurisation? Recette d une application Vérification des fonctionnalités Vérification de l impact sur le SI existant Gestion du changement
Plus en détailSauvegarde collaborative entre pairs Ludovic Courtès LAAS-CNRS
Sauvegarde collaborative entre pairs 1 Sauvegarde collaborative entre pairs Ludovic Courtès LAAS-CNRS Sauvegarde collaborative entre pairs 2 Introduction Pourquoi pair à pair? Utilisation de ressources
Plus en détailHiérarchie matériel dans le monde informatique. Architecture d ordinateur : introduction. Hiérarchie matériel dans le monde informatique
Architecture d ordinateur : introduction Dimitri Galayko Introduction à l informatique, cours 1 partie 2 Septembre 2014 Association d interrupteurs: fonctions arithmétiques élémentaires Elément «NON» Elément
Plus en détailCREATION WEB DYNAMIQUE
CREATION WEB DYNAMIQUE IV ) MySQL IV-1 ) Introduction MYSQL dérive directement de SQL (Structured Query Language) qui est un langage de requêtes vers les bases de données relationnelles. Le serveur de
Plus en détail1. Systèmes d entrée/sortie 2. Systèmes de fichiers 3. Structure de mémoire de masse (disques)
Chapitre 4 Le système de Gestion de Fichiers 1. Systèmes d entrée/sortie 2. Systèmes de fichiers 3. Structure de mémoire de masse (disques) 1 Systèmes d entrée/sortie Concepts importants : Matériel E/S
Plus en détailMise en place Active Directory / DHCP / DNS
Mise en place Active Directory / DHCP / DNS Guillaume Genteuil Période : 2014 Contexte : L entreprise Diamond Info localisé en Martinique possède une cinquantaine de salariés. Basé sur une infrastructure
Plus en détailNotes de cours : bases de données distribuées et repliquées
Notes de cours : bases de données distribuées et repliquées Loïc Paulevé, Nassim Hadj-Rabia (2009), Pierre Levasseur (2008) Licence professionnelle SIL de Nantes, 2009, version 1 Ces notes ont été élaborées
Plus en détailPerformances. Gestion des serveurs (2/2) Clustering. Grid Computing
Présentation d Oracle 10g Chapitre VII Présentation d ORACLE 10g 7.1 Nouvelles fonctionnalités 7.2 Architecture d Oracle 10g 7.3 Outils annexes 7.4 Conclusions 7.1 Nouvelles fonctionnalités Gestion des
Plus en détailLangage SQL : créer et interroger une base
Langage SQL : créer et interroger une base Dans ce chapitre, nous revenons sur les principales requêtes de création de table et d accès aux données. Nous verrons aussi quelques fonctions d agrégation (MAX,
Plus en détailChapitre 4 : Les mémoires
1. Introduction: Chapitre 4 : Les mémoires Nous savons que dans un ordinateur toutes les informations : valeur numérique, instruction, adresse, symbole (chiffre, lettre,... etc.) sont manipulées sous une
Plus en détailSGBDR. Systèmes de Gestion de Bases de Données (Relationnelles)
SGBDR Systèmes de Gestion de Bases de Données (Relationnelles) Plan Approches Les tâches du SGBD Les transactions Approche 1 Systèmes traditionnels basés sur des fichiers Application 1 Gestion clients
Plus en détailCours Bases de données
Informations sur le cours Cours Bases de données 9 (10) séances de 3h Polycopié (Cours + TD/TP) 3 année (MISI) Antoine Cornuéjols www.lri.fr/~antoine antoine.cornuejols@agroparistech.fr Transparents Disponibles
Plus en détailWindows Front-End Installation Guide HOPEX V1R1 FR
Révisé le : 5 novembre 2013 Créé le : 31 octobre 2013 Auteur : Jérôme Horber SOMMAIRE Résumé Ce document décrit les procédures et les paramétrages techniques nécessaires à l'installation, à la mise à jour
Plus en détailModélisation et Gestion des bases de données avec mysql workbench
Modélisation et Gestion des bases de données avec mysql workbench par novembre 2011 Table des matières 1 Installation 3 1.1 Ecran de chargement 3 1.2 Page d accueil 3 2 Réalisation d une base de données
Plus en détailARBRES BINAIRES DE RECHERCHE
ARBRES BINAIRES DE RECHERCHE Table de symboles Recherche : opération fondamentale données : éléments avec clés Type abstrait d une table de symboles (symbol table) ou dictionnaire Objets : ensembles d
Plus en détailBases de Données. Plan
Université Mohammed V- Agdal Ecole Mohammadia d'ingénieurs Rabat Bases de Données Mr N.EL FADDOULI 2014-2015 Plan Généralités: Définition de Bases de Données Le modèle relationnel Algèbre relationnelle
Plus en détailGestion des utilisateurs et de leurs droits
Gestion des utilisateurs et de leurs droits Chap. 12, page 323 à 360 Lors de la création d'un utilisateur vous devez indiquer son nom, ses attributs, son profil, la méthode d'authentification (par le SE
Plus en détailSQL Historique 1982 1986 1992
SQL Historique 1950-1960: gestion par simple fichier texte 1960: COBOL (début de notion de base de données) 1968: premier produit de sgbdr structuré (IBM -> IDMS) 1970-74: élaboration de l'outil d'analyse
Plus en détailCréer le schéma relationnel d une base de données ACCESS
Utilisation du SGBD ACCESS Polycopié réalisé par Chihab Hanachi et Jean-Marc Thévenin Créer le schéma relationnel d une base de données ACCESS GENERALITES SUR ACCESS... 1 A PROPOS DE L UTILISATION D ACCESS...
Plus en détailCOMMANDES SQL... 2 COMMANDES DE DEFINITION DE DONNEES... 2
SQL Sommaire : COMMANDES SQL... 2 COMMANDES DE DEFINITION DE DONNEES... 2 COMMANDES DE MANIPULATION DE DONNEES... 2 COMMANDES DE CONTROLE TRANSACTIONNEL... 2 COMMANDES DE REQUETE DE DONNEES... 2 COMMANDES
Plus en détailOra2Pg Performances. (C) 2013 Gilles Darold
Ora2Pg Performances (C) 2013 Gilles Darold Gilles Darold Consultant @ Dalibo Auteur d'ora2pg Auteur de PgBadger Auteur de pgformatter Et autres => http://www.darold.net/ Cas pratique Migration d'une base
Plus en détailAdministration des Bases de Données Oracle
Administration des Bases de Données Oracle Plan Introduction à l administration de données Structure d une base de données Architecture interne d Oracle Sécurité des données Utilitaires Administration
Plus en détailProgrammation parallèle et distribuée
Programmation parallèle et distribuée (GIF-4104/7104) 5a - (hiver 2015) Marc Parizeau, Département de génie électrique et de génie informatique Plan Données massives («big data») Architecture Hadoop distribution
Plus en détail6. Hachage. Accès aux données d'une table avec un temps constant Utilisation d'une fonction pour le calcul d'adresses
6. Hachage Accès aux données d'une table avec un temps constant Utilisation d'une fonction pour le calcul d'adresses PLAN Définition Fonctions de Hachage Méthodes de résolution de collisions Estimation
Plus en détailBases de données Cours 1 : Généralités sur les bases de données
Cours 1 : Généralités sur les bases de données POLYTECH Université d Aix-Marseille odile.papini@univ-amu.fr http://odile.papini.perso.esil.univmed.fr/sources/bd.html Plan du cours 1 1 Qu est ce qu une
Plus en détailL exclusion mutuelle distribuée
L exclusion mutuelle distribuée L algorithme de L Amport L algorithme est basé sur 2 concepts : L estampillage des messages La distribution d une file d attente sur l ensemble des sites du système distribué
Plus en détailIFT3030 Base de données. Chapitre 2 Architecture d une base de données
IFT3030 Base de données Chapitre 2 Architecture d une base de données Plan du cours Introduction Architecture Modèles de données Modèle relationnel Algèbre relationnelle SQL Conception Fonctions avancées
Plus en détailVous êtes bien à la bonne présentation, c est juste que je trouvais que le titre de cette présentation étais un peu long,
Vous êtes bien à la bonne présentation, c est juste que je trouvais que le titre de cette présentation étais un peu long, en fait ça me faisait penser au nom d un certain projet gouvernemental je me suis
Plus en détail3. La SGA ou System global Area
1/11 L'instance Oracle Oracle est une base de données composée de 3 parties différentes : L'instance Les fichiers de données Les fichiers de données facultatifs (fichier d'initialisation, fichier de mots
Plus en détail