LES MÉLANOMES. Codes CIM 8: «172» CIM 9: «172» CIM 10: «C43»

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LES MÉLANOMES. Codes CIM 8: «172» CIM 9: «172» CIM 10: «C43»"

Transcription

1

2 ATLAS DE LA MORTALITÉ PAR CANCER EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ÉVOLUTION LES MÉLANOMES Codes CIM 8: «172» CIM 9: «172» CIM 10: «C43» DES ÉVOLUTIONS CONTRASTÉES, DIFFICILES À INTERPRÉTER Parmi les cancers de la peau, les mélanomes sont ceux qui entrainent le plus de décès. S ils constituent une faible part de la mortalité par cancer, ceux-ci méritent une attention particulière du fait de l accroissement important de l incidence et de la mortalité au cours des trente dernières années [Belot et al, 2008]. Comme dans tous les pays d Europe de l ouest et du nord [de Vries et al, 2003] [Grange, 2005], l augmentation du nombre des mélanomes en France au cours de la seconde moitié du 20 e siècle accompagne les nouvelles représentations du corps sain (teint halé) qui a favorisé les expositions solaires excessives. Le mélanome est la rencontre entre une exposition trop importante au soleil (et UV artificiels) et une nature de peau à risque. L évolution divergente des courbes de mortalité pour les mélanomes (en augmentation) et pour les autres cancers de la peau (en diminution) est cependant difficile à interpréter, pouvant exprimer soit une évolution dans le diagnostic et la certification des causes de décès, soit une diminution de certaines formes cutanées de cancer [Cherie-Chaline, 2004]. Seuls sont présentés les éléments cartographiques et graphiques des mélanomes. UNE GÉOGRAPHIE PEU STRUCTURÉE DE LA MORTALITÉ En fin de période, la mortalité par mélanome stagne(alors que l incidence continue d augmenter), traduisant l amélioration du dépistage précoce, l effet positif des campagnes de prévention et une prise en charge plus efficace [Rican et al, 2007]. EFFECTIFS DE DÉCÈS PAR MÉLANOME HOMMES/FEMMES - FRANCE MÉTROPOLITAINE hommes femmes >>>

3 ATLAS DE LA MORTALITÉ PAR CANCER EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ÉVOLUTION Les écarts de mortalité à l échelle des départements peuvent être importants mais ne révèlent pas de structures spatiales très marquées. Les faibles effectifs de décès favorisent une distribution aléatoire des taux, notamment pour les hommes. Ces distributions peu structurées, sont à souligner, au regard de l agencement très net de l incidence [Salem et al, 2006]. Cette différence entre la distribution de la mortalité et celle de l incidence souligne sans doute la capacité du système de soins à atténuer les disparités de mortalité. On note cependant pour les femmes une opposition, similaire à celle constatée en termes d'incidences, entre les régions bénéficiant de niveaux d ensoleillement importants, caractérisées par des faibles taux (Sud-ouest de la France, pourtour méditerranéen) et les régions situées au nord d une ligne La Rochelle Genève, caractérisées par des taux plus élevés. Pour les DOM, les niveaux d ensoleillement ne correspondent pas non plus à des niveaux de mortalité élevés, les faibles effectifs de décès rendent difficiles la comparaison avec la métropole. TAUX STANDARDISÉS DE MORTALITÉ PAR MÉLANOME HOMMES/FEMMES - FRANCE MÉTROPOLITAINE hommes femmes PART DE LA MORTALITÉ PAR MÉLANOME DANS LES DÉCÈS PAR CANCER - HOMMES/FEMMES - FRANCE MÉTROPOLITAINE hommes femmes

4 ATLAS DE LA MORTALITÉ PAR CANCER EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ÉVOLUTION RATIOS STANDARDISÉS DE MORTALITÉ PAR MÉLANOME DES HOMMES À L ÉCHELLE DÉPARTEMENTALE EN FRANCE MÉTROPOLITAINE = 100 (Taux = 0,89 pour hommes) 1982 = 100 (Taux = 1,51 pour hommes) 15.62% 18.75% = 100 (Taux = 1,86 pour hommes) 1999 = 100 (Taux = 2,22 pour hommes) 21.87% 16.66% >>>

5 152 ATLAS DE LA MORTALITÉ PAR CANCER EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ÉVOLUTION RATIOS STANDARDISÉS DE MORTALITÉ PAR MÉLANOME DES FEMMES À L ÉCHELLE DÉPARTEMENTALE EN FRANCE MÉTROPOLITAINE = 100 (Taux = 0,44 pour femmes) 1982 = 100 (Taux = 0,77 pour femmes) 12.5% 15.62% = 100 (Taux = 0, pour femmes) 1999 = 100 (Taux = 0,96 pour femmes) 21.87% 22.91%

6 ATLAS DE LA MORTALITÉ PAR CANCER EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ÉVOLUTION TAUX DE VARIATION ANNUEL MOYEN DE MORTALITÉ PAR MÉLANOME DES HOMMES À L ÉCHELLE DÉPARTEMENTALE EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ( ) TAUX DE VARIATION ANNUEL MOYEN DE MORTALITÉ PAR MÉLANOME DES FEMMES À L ÉCHELLE DÉPARTEMENTALE EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ( ) Taux en % 12,13 8,57 5,92 4,62 2,64 0,00-3,26 Absence d'information Taux en % 14,00 7, 4,52 3,56 2,23 0,00-0,96 Absence d'information 25.53% 26.37% >>>

7 154 ATLAS DE LA MORTALITÉ PAR CANCER EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ÉVOLUTION TAUX STANDARDISÉS DE MORTALITÉ PAR MÉLANOME À L ÉCHELLE DÉPARTEMENTALE EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ( ) Hommes Femmes (Taux = 2,88 pour hommes) Taux pour hommes 4,97 4,48 3,49 2,75 2,28 1,46 0,74 (Taux = 1,91 pour femmes) Taux pour femmes 3,26 2,98 2,35 1, 1,63 0,91 0,00 25% 25% LE POINT SUR LES DONNÉES RÉCENTES DANS LES DOM EFFECTIFS, PARTS ET TAUX STANDARDISÉS DE MORTALITÉ PAR MÉLANOME DANS LES DOM HOMMES FEMMES Effectifs (1) Parts (2) Taux Effectifs (1) Parts (2) Taux moyens annuels des décès standardisés (3) moyens des décès standardisés (3) par cancer de décès annuels par cancer de décès Guadeloupe 0 1 0,5 0,8 Martinique 2 0,5 1,4 2 0,7 1,4 Guyane 0 0 Réunion 2 0,5 1,3 1 0,4 0, ,8 2, ,1 1,9 (1) valeur nulle = moins de 1 décès par an Source : CépiDC INSERM/INSEE (2) en pourcentage de tous les décès par cancer sur la période (3) Méthode directe, population de référence =, 1999, pour habitants

8 ATLAS DE LA MORTALITÉ PAR CANCER EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ÉVOLUTION

Observatoire des tarifs bancaires aux particuliers dans les DOM et la collectivité de Saint-Pierre-et-Miquelon

Observatoire des tarifs bancaires aux particuliers dans les DOM et la collectivité de Saint-Pierre-et-Miquelon Infos financières Avril 215 Observatoire des tarifs bancaires aux particuliers dans les DOM et la collectivité de Saint-Pierre-et-Miquelon L IEDOM établit l observatoire public des tarifs bancaires dans

Plus en détail

RISQUES SOLAIRES CE QU IL FAUT SAVOIR POUR QUE LE SOLEIL RESTE UN PLAISIR

RISQUES SOLAIRES CE QU IL FAUT SAVOIR POUR QUE LE SOLEIL RESTE UN PLAISIR RISQUES SOLAIRES CE QU IL FAUT SAVOIR POUR QUE LE SOLEIL RESTE UN PLAISIR PROFITEZ DU SOLEIL EN TOUTE SÉCURITÉ Nous profitons tous du soleil et en connaissons ses bienfaits : il dope le moral et favorise

Plus en détail

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au

Plus en détail

PROFITER DU SOLEIL EN TOUTE SÉRÉNITÉ. Les bons réflexes de prévention solaire

PROFITER DU SOLEIL EN TOUTE SÉRÉNITÉ. Les bons réflexes de prévention solaire PROFITER DU SOLEIL EN TOUTE SÉRÉNITÉ Les bons réflexes de prévention solaire LE SOLEIL et notre vitalité Rien ne vaut un rayon de soleil pour retrouver le sourire. C est un fait établi, le soleil joue

Plus en détail

Annexe 1 à l'acte d'engagement. Bordereaux des prix (lot 2)

Annexe 1 à l'acte d'engagement. Bordereaux des prix (lot 2) Annexe 1 à l'acte d'engagement Bordereaux des prix (lot 2) Procédure n MEN-SG-AOO-13066 Fourniture de licences VMware et réalisation de prestations associées couvrant les usages des agents des services

Plus en détail

DIAGNOSTIC SOLAIRE ÉVALUEZ VOTRE SENSIBILITÉ ET VOTRE RISQUE AU SOLEIL! INSTITUT FRANÇAIS SOLEIL & SANTÉ. www.ifss.fr

DIAGNOSTIC SOLAIRE ÉVALUEZ VOTRE SENSIBILITÉ ET VOTRE RISQUE AU SOLEIL! INSTITUT FRANÇAIS SOLEIL & SANTÉ. www.ifss.fr DIAGNOSTIC SOLAIRE ÉVALUEZ VOTRE SENSIBILITÉ ET VOTRE RISQUE AU SOLEIL! Association de médecins, de scientifiques et de spécialistes des UV, l Institut Français Soleil & Santé (IFSS) a pour vocation de

Plus en détail

Infos financières Avril 2013

Infos financières Avril 2013 Infos financières Avril 213 Observatoire des tarifs bancaires aux particuliers dans les DOM et la collectivité de Saint-Pierre-et-Miquelon L IEDOM établit l observatoire public des tarifs bancaires dans

Plus en détail

La Lettre de l IMSEPP

La Lettre de l IMSEPP La Lettre de l IMSEPP N 46 27 janvier 2015 Marché du travail 2014 en Martinique : Bilan d une année de demandes d emploi Page 1 16 Synthèse : Au mois de décembre 2014, la baisse tendancielle du nombre

Plus en détail

4. Résultats et discussion

4. Résultats et discussion 17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les

Plus en détail

CHAPITRE 2. Population, ménages et familles

CHAPITRE 2. Population, ménages et familles CHAPITRE 2 Population, ménages et familles Les faits saillants Enquête sur les conditions de vie en Haïti Distribution spatiale, structure par âge et par sexe de la population Le taux d urbanisation de

Plus en détail

OBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES IEDOM

OBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES IEDOM OBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES IEDOM RAPPORT D ACTIVITÉ 2011 INSTITUT D ÉMISSION DES DÉPARTEMENTS D OUTRE-MER Établissement public national 164, rue de Rivoli - 75001 PARIS Tél. 01 53 44 41 41 Rapport

Plus en détail

Barome tre DegroupTest des connexions Internet fixes du premier semestre 2013

Barome tre DegroupTest des connexions Internet fixes du premier semestre 2013 Barome tre DegroupTest des connexions Internet fixes du premier semestre 2013 L internaute français surfe en moyenne à un débit de 8,76 Mb/s L analyse des résultats des 3,9 millions de tests de débit effectués

Plus en détail

CoordinationNationaleInfirmière

CoordinationNationaleInfirmière CoordinationNationaleInfirmière Direction générale de l action sociale Sous-direction des institutions, des affaires juridiques et financières Bureau de la réglementation financière et comptable (5B) Circulaire

Plus en détail

Estimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans

Estimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Estimations des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Stanislas Spilka, Olivier Le Nézet et François Beck Note 2015-02 du 21 avril 2015 L enquête ESCAPAD Cette note présente les premières exploitations

Plus en détail

3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT

3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 - L offre d hébergement Définitions Dans ce chapitre sont présentés les parcs d hébergement marchand et non marchand qui constituent l offre touristique française. Le

Plus en détail

LES PERTES DE RENDEMENT PEUVENT ÊTRE ÉVITÉES

LES PERTES DE RENDEMENT PEUVENT ÊTRE ÉVITÉES MONITORING À DISTANCE LES INSTALLATIONS PHOTOVOLTAÏQUES LIVRENT DES RENDEMENTS OPTIMAUX UNIQUEMENT SI ELLES FONCTIONNENT CORRECTEMENT. LES DÉFAUTS TECHNIQUES OU LES PANNES DUES À L USURE NE PEUVENT PAS

Plus en détail

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les

Plus en détail

QUIZ 260-81512-B SE PROTÉGER DU SOLEIL, C EST PROTÉGER SA SANTÉ

QUIZ 260-81512-B SE PROTÉGER DU SOLEIL, C EST PROTÉGER SA SANTÉ QUIZ? 260-81512-B SE PROTÉGER DU SOLEIL, C EST PROTÉGER SA SANTÉ Testez vos enfants 10 questions pour jouer avec vos enfants 2. Nous sommes tous sensibles au soleil. VRAI! Le soleil est dangereux pour

Plus en détail

Dépistage du cancer colorectal :

Dépistage du cancer colorectal : Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990

Plus en détail

Autoconsommation d énergie photovoltaïque

Autoconsommation d énergie photovoltaïque Autoconsommation d énergie photovoltaïque Principe et intérêt de l autoconsommation de l électricité photovoltaïque Atelier technique PV-NET Mardi 3 décembre 2013 Marc Niell Ingénieur chargé d affaires

Plus en détail

LA SOLAIRE ATTITUDE EN FRANCHE COMTE ASFODER PLAN CANCER 2002-2008. Dépistage - Prévention - Information solaire en Franche Comté

LA SOLAIRE ATTITUDE EN FRANCHE COMTE ASFODER PLAN CANCER 2002-2008. Dépistage - Prévention - Information solaire en Franche Comté 1 LA SOLAIRE ATTITUDE EN FRANCHE COMTE ASFODER PLAN CANCER 2002-2008 Dépistage - Prévention - Information solaire en Franche Comté GENERALITES En 2008, les cancers de la peau sont les cancers les plus

Plus en détail

DASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006

DASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006 DASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006 Place des Nouveaux Tests de Dosage de L INTERFERON GAMMA dans le diagnostic de la Tuberculose Fadi ANTOUN, Cellule Tuberculose DASES Le Quotidien du Médecin 2005

Plus en détail

Le baccalauréat 2007 Les caractéristiques de la session 2007

Le baccalauréat 2007 Les caractéristiques de la session 2007 Les caractéristiques de la session 2007 24 sur 108 Les nouveautés de la session 2007 La session 2007 du baccalauréat général, technologique ou professionnel, est globalement à l image de la session 2006.

Plus en détail

Observer dans la durée les atteintes aux voitures

Observer dans la durée les atteintes aux voitures Observer dans la durée les atteintes aux voitures I. Une baisse continue À l échelle nationale 1, le seul indicateur qui permette de suivre l évolution des atteintes aux véhicules sur le long terme est

Plus en détail

IMMOBILIER D ENTREPRISE CROISSANT OUEST POINT SECOND SEMESTRE 2013

IMMOBILIER D ENTREPRISE CROISSANT OUEST POINT SECOND SEMESTRE 2013 IMMOBILIER D ENTREPRISE CROISSANT OUEST POINT SECOND SEMESTRE 2013 68 avenue des Guilleraies 92000 NANTERRE Téléphone : 01 55 17 00 00 Fax : 09 81 70 68 48 Mail : contact@street-office.fr DECEMBRE 2013

Plus en détail

La protection sociale obligatoire du chef d entreprise indépendant

La protection sociale obligatoire du chef d entreprise indépendant La protection sociale obligatoire du chef d entreprise indépendant www.rsi.fr Le RSI a pour mission d assurer la protection sociale obligatoire de 6,1 millions de chefs d entreprise indépendants actifs

Plus en détail

FIP PME 974 n 3. FIP éligible à la réduction d ISF* ou IR*

FIP PME 974 n 3. FIP éligible à la réduction d ISF* ou IR* la marque d OTC Asset Management FIP PME 974 n 3 FIP éligible à la réduction d ISF* ou IR* Agrément AMF du 03.10.2014 sous le numéro FNS 20140038 Document non contractuel édité en octobre 2014. Ce document

Plus en détail

Pour un bronzage sage. Guide pour un utilisateur averti de banc solaire

Pour un bronzage sage. Guide pour un utilisateur averti de banc solaire Pour un bronzage sage Guide pour un utilisateur averti de banc solaire -18 C est surtout durant les longs mois d hiver que le manque de soleil incite les amateurs de soleil à aller le chercher ailleurs

Plus en détail

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de

Plus en détail

La Transparence des Coûts en Microfinance Mise en oeuvre de la Transparence en Afrique de L Ouest

La Transparence des Coûts en Microfinance Mise en oeuvre de la Transparence en Afrique de L Ouest La Transparence des Coûts en Microfinance Mise en oeuvre de la Transparence en Afrique de L Ouest MicroFinance Transparency Initiative sur la Transparence des Coûts en Afrique de l Ouest Juillet 2010 Plan

Plus en détail

Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours.

Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours. Dans un siècle, il y a 100 ans. Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours. Dans un trimestre, il y a 3 mois.

Plus en détail

ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21

ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21 ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21 HYGIENE ET SÉCURITÉ JUIN 2001 Francis MINIER Inspecteur d Hygiène et de Sécurité Correspondant académique à la sécurité Tel : 02 38 79 46 64 Secrétariat

Plus en détail

Commentaire. Décision n 2013-301 QPC du 5 avril 2013. Mme Annick D. épouse L.

Commentaire. Décision n 2013-301 QPC du 5 avril 2013. Mme Annick D. épouse L. Commentaire Décision n 2013-301 QPC du 5 avril 2013 Mme Annick D. épouse L. (Cotisations et contributions sociales des travailleurs non salariés non agricoles outre-mer) La Cour de cassation a renvoyé

Plus en détail

DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES TAXE SUR LA VALEUR AJOUTÉE ET TAXES ASSIMILÉES NOTICE POUR REMPLIR LA DÉCLARATION N 3517-S CA12/CA12 E

DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES TAXE SUR LA VALEUR AJOUTÉE ET TAXES ASSIMILÉES NOTICE POUR REMPLIR LA DÉCLARATION N 3517-S CA12/CA12 E N 51306 # 05 N 3517-S NOT-CA12/CA12E @ Internet DGFiP DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES TAXE SUR LA VALEUR AJOUTÉE ET TAXES ASSIMILÉES NOTICE POUR REMPLIR LA DÉCLARATION N 3517-S CA12/CA12 E Ce

Plus en détail

Baromètre DegroupTest des connexions Internet fixes du premier semestre 2014

Baromètre DegroupTest des connexions Internet fixes du premier semestre 2014 Baromètre DegroupTest des connexions Internet fixes du premier semestre 2014 Rectificatif du 03/10/2014 L analyse des résultats des 3,46 millions de tests de débit effectués depuis une connexion xdsl ou

Plus en détail

F.Benabadji Alger 22.11.13

F.Benabadji Alger 22.11.13 F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes

Plus en détail

L'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer

L'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer Inspection générale des affaires sociales RM2014-090R Inspection générale de l administration N 14-122/14-077/01 L'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer SYNTHESE Établie par Michel

Plus en détail

Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test»

Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test» Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test» Dossier de presse Juin 2008 Sida : le test du dépistage encore trop peu souvent associé à l arrêt du préservatif dans le couple Situation de l infection

Plus en détail

Qui peut être élu conseiller municipal, devenir maire ou adjoint? Les règles d inéligibilités et d incompatibilités

Qui peut être élu conseiller municipal, devenir maire ou adjoint? Les règles d inéligibilités et d incompatibilités Département Administration et gestion communale JM/JR/MK Note n 78 Affaire suivie par : Judith MWENDO (tél. 01 44 18 13 60) et Julie ROUSSEL (tél. 01 44 18 51 95) Paris, le 8 août 2013 Qui peut être élu

Plus en détail

Tableau de bord Tableau de bord. Le diabète. à La Réunion

Tableau de bord Tableau de bord. Le diabète. à La Réunion Tableau de bord Tableau de bord Le diabète à La Réunion Décembre 2012 2 Sommaire Introduction 4 Définitions 6 Répertoire des sigles 7 Contexte 8 Prévalence du diabète traité à La Réunion 10 Admissions

Plus en détail

Towards realistic modeling of IP-level topology dynamics

Towards realistic modeling of IP-level topology dynamics Towards realistic modeling of IP-level topology dynamics Clémence Magnien, Amélie Medem, Fabien Tarissan LIP6, CNRS et UPMC Sorbonne Universités Algotel 2012 Mai 2012 La Grande Motte, Hérault, France Etude

Plus en détail

Les Ultra-marins ont de l audace - Rapport d étude -

Les Ultra-marins ont de l audace - Rapport d étude - Les Ultra-marins ont de l audace - Rapport d étude - Contact : Julien Goarant Directeur de clientèle Tel : 01 80 48 30 80 Email Tél : jgoarant@opinion-way.com 01.78.94.89.87 Juin 2013 Méthodologie Echantillon

Plus en détail

Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque

Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque I- Présentation Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque L énergie solaire photovoltaïque est une forme d énergie renouvelable. Elle permet de produire de l électricité par transformation d

Plus en détail

Fiche d application Aération. Ventilation d hygiène des pièces de service BÂTIMENTS D HABITATION NEUFS. Réglementations Thermique Acoustique Aération

Fiche d application Aération. Ventilation d hygiène des pièces de service BÂTIMENTS D HABITATION NEUFS. Réglementations Thermique Acoustique Aération Réglementations Thermique Acoustique Aération Fiche d application Aération Départements d Outre-Mer Version 1.0 Ventilation d hygiène des pièces de service BÂTIMENTS D HABITATION NEUFS Ministère de l'écologie,

Plus en détail

Les systèmes d'information et d'alerte par SMS Vers une stratégie de communication directe

Les systèmes d'information et d'alerte par SMS Vers une stratégie de communication directe CLEVER SMS - MEMO GUARD Marketing direct, e-démocratie, gestion de crise. 1 Le SMS, une opportunité à saisir SMS : Short Message Service Taux de lecture dépassant les 90% Taux de retour supérieur aux autres

Plus en détail

Télésuivi et Analyse des performances énergétiques des installations photovoltaïques - TECSOL PV ANALYTICS. www.tecsol-analytics.

Télésuivi et Analyse des performances énergétiques des installations photovoltaïques - TECSOL PV ANALYTICS. www.tecsol-analytics. Télésuivi et Analyse des performances énergétiques des installations photovoltaïques - TECSOL PV ANALYTICS www.tecsol-analytics.com michel.marcenac@tecsol.fr DEC 2011 L expérience TECSOL Bureau d étude

Plus en détail

OBSÈQUES. La clé de la sérénité. Du 15/10 au 31/12/2010. ème Temps Fort 2010 : en un seul contrat... c est le paradis! Le paradis existe!

OBSÈQUES. La clé de la sérénité. Du 15/10 au 31/12/2010. ème Temps Fort 2010 : en un seul contrat... c est le paradis! Le paradis existe! Information Salariés Affiche_Adep_Obseques 22/09/10 15:32 Page 1 2 La clé de la sérénité en un seul contrat... c est le paradis! ème Temps Fort 2010 : OBSÈQUES Du 15/10 au 31/12/2010 Affiche_Adep_Obseques_Re?union

Plus en détail

BANQUE FRANÇAISE MUTUALISTE LA BANQUE DES AGENTS DU SECTEUR PUBLIC

BANQUE FRANÇAISE MUTUALISTE LA BANQUE DES AGENTS DU SECTEUR PUBLIC BANQUE FRANÇAISE MUTUALISTE LA BANQUE DES AGENTS DU SECTEUR PUBLIC DOSSIER DE PRESSE Contact presse Caroline Weill cweill@selfimage.fr 01 47 04 12 52 Audrey Peauger apeauger@selfimage.fr 01 47 04 12 53

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales

1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales Quinzième inventaire Édition 2013 La production d électricité d origine renouvelable dans le monde Collection chiffres et statistiques Cet inventaire a été réalisé par Observ ER et la Fondation Énergies

Plus en détail

SOMMAIRE. I - Synthèse de l'activité 2014... 2. II - Secteur "Logement" métropole... 4

SOMMAIRE. I - Synthèse de l'activité 2014... 2. II - Secteur Logement métropole... 4 SOMMAIRE I - Synthèse de l'activité 2014... 2 II - Secteur "Logement" métropole... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS + EXISTANTS... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS... 9 ACTIVITE LOGEMENTS EXISTANTS... 13 ACTIVITE

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

SUIVI MÉDICAL DU DIABÈTE CHEZ LES ASSURÉS DE LA MGEN

SUIVI MÉDICAL DU DIABÈTE CHEZ LES ASSURÉS DE LA MGEN SUIVI MÉDICAL DU DIABÈTE CHEZ LES ASSURÉS DE LA MGEN K. Cosker, C. Sevilla-Dedieu, F. Gilbert, P. Lapie-Legouis, R. Cecchi-Tenerini Fondation d entreprise MGEN pour la santé publique 1 Contexte Les différents

Plus en détail

De tout temps le chauffage fit partie des préoccupations de

De tout temps le chauffage fit partie des préoccupations de C.I.02 Niv.2 ACTIVITÉ N 7 Choix de solution technique Chauffer son logement Quel solution de chauffage choisir? De tout temps le chauffage fit partie des préoccupations de l homme. En plus d être une façon

Plus en détail

Hôtel de Région Lundi 1er juillet 2013. Chauffe - Eau Solaire Individuel (CESI) Un dispositif d aide à l acquisition pour les particuliers

Hôtel de Région Lundi 1er juillet 2013. Chauffe - Eau Solaire Individuel (CESI) Un dispositif d aide à l acquisition pour les particuliers Hôtel de Région Lundi 1er juillet 2013 Chauffe - Eau Solaire Individuel (CESI) Un dispositif d aide à l acquisition pour les particuliers Le CESI : les atouts de l énergie solaire thermique pour la Martinique

Plus en détail

Tarif. Ligne Analogique. 1. Mise en service. Les prix sont indiqués en euro hors taxes.

Tarif. Ligne Analogique. 1. Mise en service. Les prix sont indiqués en euro hors taxes. Tarif Analogique Les prix sont indiqués en euro hors taxes. 1. Mise en service La mise en service inclut, au cas où l installation du Client n en possède pas, la fourniture : - d une (ou 2) prise(s) téléphonique

Plus en détail

RISQUES NATURELS ET TECHNOLOGIQUES FORMATION A LA REALISATION DES DOSSIERS D INFORMATION REGLEMENTAIRE DES ACQUEREURS ET LOCATAIRES

RISQUES NATURELS ET TECHNOLOGIQUES FORMATION A LA REALISATION DES DOSSIERS D INFORMATION REGLEMENTAIRE DES ACQUEREURS ET LOCATAIRES RISQUES NATURELS ET TECHNOLOGIQUES FORMATION A LA REALISATION DES DOSSIERS D INFORMATION REGLEMENTAIRE DES ACQUEREURS ET LOCATAIRES SOMMAIRE MODALITES DES FORMATIONS...3 Modalités pratiques...3 Modalités

Plus en détail

La tendance à la réduction du format des quotidiens. Quel impact sur l efficacité publicitaire?

La tendance à la réduction du format des quotidiens. Quel impact sur l efficacité publicitaire? La tendance à la réduction du format des quotidiens Quel impact sur l efficacité publicitaire? 1 La réduction du format : pourquoi? une réponse aux attentes des lecteurs (en particulier urbains, mais aussi

Plus en détail

SOMMAIRE INTRODUCTION... 3

SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 I - PRESENTATION DE L ENQUETE... 5 A - OBJECTIFS DE L ENQUETE...5 B - CHAMP DE L ENQUETE...5 C - DETERMINATION DES «GROUPES» DE SOCIETES...6 II - VUE D ENSEMBLE DES CESSIONS...

Plus en détail

IPL SHR MED-120C+ Super Hair Removal, dépilation permanente

IPL SHR MED-120C+ Super Hair Removal, dépilation permanente IPL SHR MED-120C+ Super Hair Removal, dépilation permanente M o d e d ' e m p l o i La dernière version de cette brochure est disponible sur notre site www.ophethom.com dans l espace professionnel Traduction

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX

Plus en détail

Les diplômes. Session 2008

Les diplômes. Session 2008 note d informationdécembre 09.28 À la session 2008, 444 0 diplômes de l enseignement professionnel des niveaux IV et V ont été délivrés en France par le ministère de l Éducation nationale. Ce nombre atteint

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

TOUTSURLENVIRONNEMENT.FR

TOUTSURLENVIRONNEMENT.FR TOUTSURLENVIRONNEMENT.FR GUIDE POUR LE REFERENCEMENT DES RESSOURCES VERSION 2- FEVRIER 2009 1/20 SOMMAIRE Toutsurlenvironnement.fr et le Grenelle Environnement... 4 Les ressources décrites dans le portail...

Plus en détail

Depuis déjà plusieurs années, consommation et production mondiales évoluent quasiment au même rythme.

Depuis déjà plusieurs années, consommation et production mondiales évoluent quasiment au même rythme. 37 Introduction Introduite en 1638, la culture de la canne connaît son apogée dans les années 60 avec une production annuelle de plus de 1,5 millions de tonnes. Depuis 1965, l'évolution de la filière est

Plus en détail

Exercice du cours Gestion Financière à Court Terme : «Analyse d un reverse convertible»

Exercice du cours Gestion Financière à Court Terme : «Analyse d un reverse convertible» Exercice du cours Gestion Financière à Court Terme : «Analyse d un reverse convertible» Quand la trésorerie d une entreprise est positive, le trésorier cherche le meilleur placement pour placer les excédents.

Plus en détail

Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015

Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Logements neufs / logements d occasion 7 700 logements d occasion vendus en 2013 dans l aire urbaine

Plus en détail

Baccalauréat ES/L Amérique du Sud 21 novembre 2013

Baccalauréat ES/L Amérique du Sud 21 novembre 2013 Baccalauréat ES/L Amérique du Sud 21 novembre 2013 A. P. M. E. P. EXERCICE 1 Commun à tous les candidats 5 points Une entreprise informatique produit et vend des clés USB. La vente de ces clés est réalisée

Plus en détail

Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon

Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto

Plus en détail

GUIDE DES TARIFS SFR.RE GRAND PUBLIC ET PROFESSIONNELS AOÛT 2015. SFR GUIDE_TARIFS 0815_reu.indd 1 23/07/2015 10:06

GUIDE DES TARIFS SFR.RE GRAND PUBLIC ET PROFESSIONNELS AOÛT 2015. SFR GUIDE_TARIFS 0815_reu.indd 1 23/07/2015 10:06 GUIDE DES TARIFS GRAND PUBLIC ET PROFESSIONNELS AOÛT 2015 SFR.RE SFR GUIDE_TARIFS 0815_reu.indd 1 23/07/2015 10:06 SFR Réunion Société Réunionnaise du Radiotéléphone Siège Social - 21, rue Pierre Aubert

Plus en détail

Apprivoisons le soleil!

Apprivoisons le soleil! Apprivoisons le soleil! une initiative de la Communauté française 1. Sommaire soleil et plaisir, bien-être soleil et risques pour la santé soleil et prévention baignades et bains de soleil activités sportives

Plus en détail

Etude statistique des données fournies par la CCIJP

Etude statistique des données fournies par la CCIJP Etude statistique des données fournies par la CCIJP Sommaire Introduction : Stagnation du nombre de cartes accordées en 2012... 4 1. Dans quels secteurs d activité les journalistes encartés travaillent-ils?

Plus en détail

Faut-il développer la scolarisation à deux ans?

Faut-il développer la scolarisation à deux ans? Faut-il développer la scolarisation à deux ans? 01 L école maternelle française est fréquemment citée comme l un des points forts de notre système éducatif et la pression de certaines familles est aujourd'hui

Plus en détail

e-mail : bcf.courrier@bcf.asso.fr site internet : www.bcf.asso.fr. ASSURANCE FRONTIÈRE --------------------- CAHIER DES CHARGES

e-mail : bcf.courrier@bcf.asso.fr site internet : www.bcf.asso.fr. ASSURANCE FRONTIÈRE --------------------- CAHIER DES CHARGES BUREAU CENTRAL FRANÇAIS DES SOCIÉTÉS D ASSURANCES CONTRE LES ACCIDENTS D AUTOMOBILES Adresser toute correspondance : 1, rue Jules Lefebvre 75431 PARIS CEDEX 09 Téléphone : 01 53 21 50 80 Télécopieur :

Plus en détail

Diagnostic de la stabilité des peuplements à l aide des données de l IFN

Diagnostic de la stabilité des peuplements à l aide des données de l IFN GIP Ecofor Diagnostic de la stabilité des peuplements à l aide des données de l IFN P. Riou-Nivert (IDF) avec J.-C. Hervé (Engref/IFN), B. Piton (Engref), T. Belouard, J.-P. Renaud, C. Cluzeau, A. Colin

Plus en détail

INF6304 Interfaces Intelligentes

INF6304 Interfaces Intelligentes INF6304 Interfaces Intelligentes filtres collaboratifs 1/42 INF6304 Interfaces Intelligentes Systèmes de recommandations, Approches filtres collaboratifs Michel C. Desmarais Génie informatique et génie

Plus en détail

PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015. Bilan régional des activités 2012 2013

PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015. Bilan régional des activités 2012 2013 PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015 Bilan régional des activités 2012 2013 PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015 Bilan régional des activités 2012 2013 est une production

Plus en détail

Profits et rendements maximum.

Profits et rendements maximum. Profits et rendements maimum. Nos services d eploitation et de maintenance pour centrales solaires Tout pour le bon fonctionnement de votre installation. Un service complet pour une eploitation sans soucis

Plus en détail

Rapport de recommandations

Rapport de recommandations Comment s assurer que les personnes souffrant d ostéo-arthrite et d arthrite rhumatoïde reçoivent des soins optimaux de par l Europe: recommandations EUMUSC.NET En partenariat avec EULAR et 22 centres

Plus en détail

Présentation de G2J. Spécialiste de la prestation de services en vidéoconférence. Avril 2009

Présentation de G2J. Spécialiste de la prestation de services en vidéoconférence. Avril 2009 Présentation de G2J Spécialiste de la prestation de services en vidéoconférence Avril 2009 1 G2J sur un marché en forte croissance L utilisation de la vidéoconférence connait actuellement une très forte

Plus en détail

Catalogues des offres mobiles

Catalogues des offres mobiles Catalogues des offres mobiles Coriolis Télécom Coriolis Télécom, société française pionnière des communications mobiles, est devenue un pilier sur le marché des télécommunications avec 60 000 entreprises

Plus en détail

Mobilité du trait de côte et cartographie historique

Mobilité du trait de côte et cartographie historique Mobilité du trait de côte et cartographie historique 1 Frédéric POUGET Université de La Rochelle UMR 6250 LIENSS (Littoral Environnement et SociétéS) Colloque Les littoraux à l heure du changement climatique

Plus en détail

Le cancer. les régions de France. dans. Mortalité Incidence Affections de longue durée Hospitalisations. Collection «Les études du réseau des ORS»

Le cancer. les régions de France. dans. Mortalité Incidence Affections de longue durée Hospitalisations. Collection «Les études du réseau des ORS» F N O R S Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS de Bretagne, Franche-Comté, Languedoc-Roussillon, Limousin, Pays de la Loire, Rhône-Alpes Le cancer dans les régions de Mortalité

Plus en détail

simulation c est [parfois] formidable

simulation c est [parfois] formidable La simulation c est [parfois] formidable Thierry PELACCIA Faculté de médecine de Strasbourg SAMU - CESU 67 La simulation c est [parfois] formidable Thierry PELACCIA Faculté de médecine de Strasbourg SAMU

Plus en détail

DÉCLARATION PAR UN RÉSIDENT

DÉCLARATION PAR UN RÉSIDENT N 3916 N 11916 * 05 N 50869 # 05 DÉCLARATION PAR UN RÉSIDENT D UN COMPTE OUVERT HORS DE FRANCE 1. IDENTITÉ DU (OU DES) DÉCLARANT(S) (CODE GÉNÉRAL DES IMPÔTS : ART. 1649 A, 2 e ET 3 e AL. ; ART. 1758 ET

Plus en détail

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.

Plus en détail

Le solaire: état des lieux de la réglementation internationale & évolution des projets des normes ISO en cours

Le solaire: état des lieux de la réglementation internationale & évolution des projets des normes ISO en cours Le solaire: état des lieux de la réglementation internationale & évolution des projets des normes ISO en cours La réglementation r en Europe Directive 76/768/CEE, les produits de protection solaire Cosmétiques

Plus en détail

IFT3913 Qualité du logiciel et métriques. Chapitre 2 Modèles de processus du développement du logiciel. Plan du cours

IFT3913 Qualité du logiciel et métriques. Chapitre 2 Modèles de processus du développement du logiciel. Plan du cours IFT3913 Qualité du logiciel et métriques Chapitre 2 Modèles de processus du développement du logiciel Plan du cours Introduction Modèles de processus du développement du logiciel Qualité du logiciel Théorie

Plus en détail

Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes

Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes Pages 4 à 48 barèmes 4 à 48 donnes Condensé en une page: Page 2 barèmes 4 à 32 ( nombre pair de donnes ) Page 3 Tous les autres barèmes ( PV de

Plus en détail

REPONSE AUX QUESTIONS PORTANT SUR LA MISE EN CONCURRENCE DES CONTRATS ACS. Document du 20 janvier 2015. I. Candidature

REPONSE AUX QUESTIONS PORTANT SUR LA MISE EN CONCURRENCE DES CONTRATS ACS. Document du 20 janvier 2015. I. Candidature REPONSE AUX QUESTIONS PORTANT SUR LA MISE EN CONCURRENCE DES CONTRATS ACS Document du 20 janvier 2015 I. Candidature Un organisme complémentaire qui ne dispose pas de l agrément dit «branche 2» peut-il

Plus en détail

DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT?

DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT? DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT? Notions Celles que vous devez déjà connaître : Liste page 12 du manuel : si vous ne les connaissez pas, il faut reprendre vos cours

Plus en détail

BNPE, Banque Nationale des Prélèvements d Eau : un outil fédérateur pour la connaissance des pressions quantitatives sur la ressource en eau

BNPE, Banque Nationale des Prélèvements d Eau : un outil fédérateur pour la connaissance des pressions quantitatives sur la ressource en eau BNPE, Banque Nationale des Prélèvements d Eau : un outil fédérateur pour la connaissance des pressions quantitatives sur la ressource en eau Laurence Chery, Celine Nowak, Anthony Mauclerc, Bernard Hypolyte,

Plus en détail

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL Etat du tissu associatif et bilan de l emploi du secteur non lucratif en 2013 En bref Le Centre de ressources DLA (CRDLA) du champ social, médico-social et santé poursuit son

Plus en détail

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards

Plus en détail

Épilation au laser Fiche client (e) / Questionnaire. Nom du client : Adresse : Ville : Province : Code postal : Téléphone au domicile : Au travail :

Épilation au laser Fiche client (e) / Questionnaire. Nom du client : Adresse : Ville : Province : Code postal : Téléphone au domicile : Au travail : Épilation au laser Fiche client (e) / Questionnaire Nom du client : Date : Adresse : Ville : Province : Code postal : Téléphone au domicile : Au travail : Femme Homme Référé par : Date de naissance : Régions

Plus en détail

LA GESTION DES MOYENS DE PAIEMENT

LA GESTION DES MOYENS DE PAIEMENT Phovoir 02 L activité de l Institut d émission des départements d outre-mer LA GESTION DES MOYENS DE PAIEMENT La mise en circulation de la monnaie fiduciaire Les signes monétaires, billets et pièces, qui

Plus en détail

Bienvenue sur l aide en ligne du simulateur Marketing Direct

Bienvenue sur l aide en ligne du simulateur Marketing Direct Bienvenue sur l aide en ligne du simulateur Marketing Direct I - Aide à la navigation Le développement de ce site s'efforce de respecter au mieux les critères d'accessibilité de façon à faciliter la consultation

Plus en détail

Lancement de l expérimentation * en Corse

Lancement de l expérimentation * en Corse DOSSIER DE PRESSE 12 OCTOBRE 2011 Lancement de l expérimentation * en Corse Pour tester en milieu insulaire les «systèmes électriques intelligents» * Millener : Mille installations de gestion énergétique

Plus en détail