Surplus distribuable et partage de la valeur ajoutée en France

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1 n 59 Juin 2009 Surplus distribuabl t partag d la valur ajouté n Franc L surplus distribuabl st la part d la croissanc du PIB disponibl pour améliorr la rémunération ds facturs d production. Il a un doubl origin : gains d productivité t évolution du prélèvmnt opéré par l rst du mond, au travrs ds variations ds trms d l'échang. C'st donc la part d la croissanc qui n'st pas affcté à la rémunération ds facturs d production additionnls, msuré au prix d'utilisation sur l marché intériur. C documnt a été élaboré sous la rsponsabilité d la dirction général du Trésor t d la Politiqu économiqu t n rflèt pas nécssairmnt la position du ministèr d l Économi, d l Industri t d l Emploi. L surplus distribuabl st réparti ntr ls administrations publiqus, via ds modifications d la fiscalité indirct, ls salariés t ls non salariés, via ds évolutions ds rémunérations horairs t ls détnturs du capital, via ds évolutions du rndmnt du capital. Dpuis ls annés 80, l surplus distribuabl a fortmnt diminué n moynn, n grand parti n raison du ralntissmnt d la croissanc d la productivité, qui a diminué d plus d 0,5 point d PIB. Dpuis l début ds annés 90, l surplus distribuabl annullmnt st n moynn infériur à un point d PIB. Dpuis ls annés 90, l'ssntil du surplus distribuabl a été consacré à l'augmntation d la rémunération du travail, c qui st conform à la répartition théoriqu lorsqu la croissanc st équilibré. La rémunération du capital a, ll, fluctué ntr l début ds annés 90 t ls annés 2000, prmttant d'absorbr ls évolutions d la fiscalité indirct. La baiss d la rémunération du travail dans la valur ajouté (VA) au cours ds annés 1980 st davantag la conséqunc d la substitution capital/travail, qu d'un baiss d la rémunération rlativ du travail par rapport au capital t n'st pas incompatibl avc un rdistribution du surplus n favur ds travaillurs. Dpuis l début ds annés 1990, la 5,00 stabilité du partag d la VA st la conjonction d la substitution capital/travail t d l'affctation du surplus 4,00 distribuabl à la rémunération du travail. 3,00 Répartition du surplus distribuabl dpuis 1979, n points d PIB Travail (salariés t non salariés) Capital APU (fiscalité indirct) Surplus distribuabl D un anné à l autr, la volatilité du surplus distribuabl st principalmnt lié à cll du prix d l énrgi. Cs chocs conjoncturls sont principalmnt amortis par la rémunération du capital. 2,00 n p t 1,00 d P I B 0,00-1,00 Sourcs : Ins, calculs DGTPE -2,

2 1. L surplus distribuabl st la part d la croissanc du PIB disponibl pour améliorr la rémunération ds facturs d production 1.1 L surplus distribuabl s calcul à partir ds compts annuls d la Nation L surplus distribuabl st la part d la croissanc du PIB disponibl pour améliorr la rémunération ds facturs d production. Il a un doubl origin : gains d productivité t évolution du prélèvmnt opéré par l rst du mond, au travrs ds variations ds trms d l'échang. C'st donc la part d la croissanc qui n'st pas affcté à la rémunération ds facturs d production additionnls, msuré au prix d'utilisation sur l marché intériur. Encadré 1 : Valorisation au «coût ds facturs» L surplus distribuabl s calcul à partir ds compts annuls d la Nation, comm la somm ds gains d productivité global ds facturs t ds trms d l'échang intériur. Ls gains d productivité sont calculés d façon comptabl, n rtranchant à l'évolution du PIB rél (Y), l'évolution ds différnts facturs d production valorisés aux prix d l'anné précédnt. Ls gains d productivité sont valorisés au coût ds facturs, c'st pourquoi ils sont corrigés d l'évolution ds impôts t subvntions indircts 1 (T). On distingu comm facturs d production l stock d capital nt 2 (K), ls hurs travaillés ds salariés (L s ) t clls ds non salariés (L n ). La valur ajouté n volum (Y) put-êtr calculé n déflatant la valur ajouté n valur par l prix d marché ou par l «coût ds facturs». L coût ds facturs (CF) st l prix d marché (P) corrigé ds impôts (T) t subvntions (S) à la production. PY T S CF = = Y P T S PY Lorsqu l'on utilis l coût ds facturs, on fait implicitmnt l'hypothès qu ls impôts t subvntions à la production pèsnt d façon uniform sur l capital t sur l travail : ils n sont attribués à aucun ds facturs d production n particulir. A l'invrs, lorsqu l'on valoris au prix d marché, on fait l'hypothès implicit qu ls impôts t subvntions à la production pèsnt intégralmnt sur la rémunération du capital. Ainsi, un augmntation ds impôts à la production n'a pas d'ffts sur l partag d la VA lorsqu'll st msuré au coût ds facturs qu'll diminu, ni sur la part ds salairs dans la VA lorsqu cll-ci st valorisé au prix d marché. En outr, la part ds salairs dans la VA valorisé au coût ds facturs st systématiqumnt supériur à la part ds salairs dans la VA valorisé au prix d marché tant qu ls impôts à la production xcèdnt ls subvntions. En notant MS la mass salarial, EBE l'xcédnt brut d'xploitation, on a n fft : MS MS MS VA PM MS + EBE + T S < MS MS = = EBE VA CF L'évolution ds trms d l'échang st égal au différntil ntr l taux d croissanc du déflatur du PIB p t l taux d croissanc du prix d la dmand intériur, p di. La msur du surplus distribuabl résult donc d'un calcul comptabl, qui n fait aucun hypothès sur un qulconqu fonction d production ou sur ls détrminants du progrès tchniqu (qualité du travail ou du capital). C calcul dépnd n rvanch ds indicaturs choisis pour msurr ls facturs d production t notammnt l travail. L choix ds hurs pour ls salariés st consnsul. La répartition du rvnu ds ntrprnurs individuls ntr rémunération du capital t du travail st problématiqu. L'utilisation ds hurs pour ls ntrprnurs individuls prmt d disposr d'un msur cohérnt dans l tmps du factur travail. Mais ctt pratiqu sous-stim la rémunération du capital 3. En notant α la part du factur d production 4 i 1 i dans la valur ajouté lors d l'anné précédnt, l'xprssion du surplus distribuabl st donné par la formul suivant, avc x l taux d croissanc d x : SDa = Y α ls 1 L s α ln L n α 1 K 1 K α T 1 T + p p di Y K T Où : α ls 1 L s α ln 1 L n α K 1 α T 1 sont ls gains d productivité; t où : sont ls trms d l échang. p p di 1.2 L surplus distribuabl st réparti ntr ls administrations, ls travaillurs t ls détnturs du capital L surplus distribuabl st réparti ntr ls administrations publiqus, via ds modifications d la fiscalité indirct, ls salariés t ls non salariés, via ds évolutions ds rémunérations horairs t ls détnturs du capital, via ds évolutions du rndmnt du capital. Lorsqu la (1) La fiscalité indirct st composé ds impôts sur ls produits (dont la TVA à hautur d 64 %, la TIPP à hautur d 12 % t ls acciss) t ds impôts sur la production (dont la tax profssionnll à hautur d 30 %, ls taxs foncièrs à hautur d 27 % t ls divrss taxs sur la main d'œuvr à hautur d 28 %). (2) On utilis pour simplifir l stock d capital ds sociétés non financièrs t ntrprnurs individuls, mais l'analys pourrait êtr raffiné n introduisant l stock d capital ds ntrpriss financièrs t ds APU. (3) On attribu par hypothès l'nsmbl du rvnu mixt hors la consommation d capital fix au travail. (4) α i 1 st la part d la rémunération du factur i dans l PIB : EBE hors rvnu mixt, rémunération ds salariés, rvnu mixt corrigé d la consommation d capital fix ou fiscalité indirct. Par construction, la somm ds égal l'unité. α i 1 TRÉSOR-ÉCO n 59 Juin 2009 p.2

3 2. Evolution du surplus distribuabl n Franc 2.1 L surplus distribuabl a diminué avc l ralntissmnt d la productivité Dpuis ls annés 80, l surplus distribuabl a fortmnt diminué n moynn, n grand parti n raison du ralntissmnt d la croissanc d la productivité, qui a croissanc st équilibré 5, l rndmnt du capital, la fiscalité t ls trms d l'échang sont stabls t l'intégralité du surplus distribuabl vint accroîtr ls rémunérations horairs du travail. diminué d plus d 0,5 pt d PIB dpuis ctt périod (cf. tablau 1). Dpuis l début ds annés 90, l surplus distribuabl st n moynn infériur à un point d PIB. Tablau 1 : répartition du surplus distribuabl n moynn par sous-périods dpuis 1979 Périods Surplus distribuabl Gains d productivité Variations ds trms d l échang ,6 1,7 0, ,9 1,0 0, a 0,7 0,8 0,1 a. calcul pour 2008 réalisé n utilisant l compt annul provisoir. Lctur : Au cours d la périod , l surplus distribuabl a rprésnté n moynn 1,6 pt d PIB par an, dont 1,7 pt lié à la croissanc d la PGF t 0,1 pt lié à la variation ds trms d l'échang. Sourcs : Ins, calculs DGTPE, moynns annulls, n points d PIB Comm ls trms d l'échang t la croissanc d la productivité ds facturs sont ds variabls très volatils, l surplus distribuabl a tndanc à varir fortmnt d'un anné sur l'autr. Il st donc snsibl à la conjonctur, notammnt aux variations du prix d l'énrgi. Ls ffts du prix d l'énrgi puvnt êtr isolés n calculant d façon comptabl la contribution ds prix d l'énrgi à la variation ds trms d l'échang, (cf. graphiqu 1) Graphiqu 1 : décomposition du surplus distribuabl dpuis 1979, n points d PIB Chang t autrs facturs xtériurs Productivité G lobal ds Facturs Contribution du prix d l'énrgi Surplus distribuabl 2 n p t s d P I B Sourcs : Ins, calculs DGTPE Ls phass d hauss rapid du prix du pétrol sont ainsi associés à un diminution du surplus tandis qu l contrchoc pétrolir d 1986 a été favorabl. 2.2 Dpuis ls annés 1990, l ssntil du surplus distribuabl rvint au travail L surplus distribuabl s répartit ntr ls travaillurs, ls détnturs du capital t ls administrations publiqus (APU). Ls APU captnt un parti du surplus distribuabl grâc aux changmnts d prix rlatif ds impôts t subvntions indircts. La variation ds prix d la fiscalité indirct put êtr la conséqunc d modifications ds taux d'imposition ou d'ffts d composition. S APU = α T ( P T P di ) La part du surplus distribuabl qui rst après ls modifications d la fiscalité st applé surplus distribué. L surplus distribué bénéfici n parti aux salariés t aux indépndants, via ds augmntations ds rémunérations horairs. L rst du surplus distribué vint accroîtr la rémunération du capital. (5) En régim d croissanc équilibré, touts ls variabls nominals croissnt au mêm taux, égal à la somm du taux d croissanc d l'fficacité du travail t du taux d'inflation ds prix d la valur ajouté. Ls grandurs xogèns (fiscalité, dépnss publiqus) sont stationnairs. Par suit, la répartition d la valur ajouté ntr ls divrs facturs d production st stabl. TRÉSOR-ÉCO n 59 Juin 2009 p.3

4 Pour calculr S i la part du surplus distribué qui va au factur i, on multipli donc la part d c factur dans la VA par l'accroissmnt d sa rémunération marginal rapporté au prix d la dmand intériur : S i = α i, t 1 ( R m i, t P di, t) Dpuis ls annés 90, l'ssntil du surplus distribuabl a été consacré à l'augmntation d la rémunération du travail, (cf. tablau 2), c qui st conform à la répartition théoriqu lorsqu la croissanc st équilibré (cf. ncadré 2). Toutfois, la rémunération du capital a ll, fluctué ntr l début ds annés 90 t ls annés 2000, prmttant d'absorbr ls évolutions d la fiscalité indirct. Encadré 2 : Régim d croissanc équilibré En régim d croissanc équilibré, touts ls grandurs croissnt à un taux constant. Par définition, l'mploi (salarié t non salarié) croît ainsi au mêm rythm qu la population activ, n. On put démontrr qu si X t, Y t t Z t sont trois variabls qui croissnt à ds taux constants t tlls qu pour tout t, X t = Y t + Z t, alors cs trois variabls croissnt au mêm taux. Pour c fair, notons g x, g y, g z ls taux d croissancs. Alors pour tout t > 0, on a : X 0 g x t Y 0 g y t Z 0 g z t ( = + t la valur d X à l'instant initial s'écrit X 0 Y 0 g y g x )t ( Z 0 g z g x )t = +. Comm ctt valur st indépndant d t, on a obligatoirmnt, g x = g y = g z. Par suit, n régim d croissanc équilibré, touts ls composants du PIB doivnt croîtr au mêm taux. L taux d croissanc d l'invstissmnt, t par suit l taux d croissanc du capital sont donc égaux au taux d croissanc du PIB. Y = C + I+ G+ X M Y = I = K = C L mêm raisonnmnt appliqué à l'équilibr rssourcs-mplois n valur impliqu qu tous ls prix croissnt au mêm taux. P = P c = P i = P k = P di La variation ds trms d l'échang st donc null n régim d croissanc équilibré. Comm la distribution du rvnu st toujours décrit par l'équation comptabl suivant, on a : PY = rp K K + WL+ T S P + Y = r + P K + K = W + L = T = S En régim d croissanc équilibré, ls impôts, ls subvntions, la mass salarial t ls rvnus du capital croissnt au mêm taux, l taux d croissanc du PIB nominal. En combinant ls équations précédnts, on n déduit qu l taux d rndmnt du capital st constant n régim d croissanc équilibré. r = Y K + P P K = 0 D plus, la part ds salairs dans la valur ajouté st égalmnt constant. WL W 0 PY ---- P Y = = -- L L salair rél croît donc comm la productivité apparnt du travail. En utilisant ls résultats précédnts t l fait qu a = 1 i, l surplus distribuabl dvint : i Sda = ( Y L )( αls + α ls ) L surplus distribuabl st donc égal au taux d croissanc d la productivité du travail qu multipli la part ds salairs dans la VA, c qui corrspond xactmnt aux augmntations d salair. L'intégralité du surplus distribuabl st bin distribué aux travaillurs. Un autr manièr d voir c résultat st d constatr qu comm l rndmnt du capital st constant, l'intégralité ds rvnus du capital st utilisé pour accroîtr ls facturs d production. Sourcs : Ins, calculs DGTPE 5,00 Graphiqu 2 : répartition du surplus distribuabl dpuis 1979, n points d PIB Travail (salariés t non salariés) Capital 4,00 APU (fiscalité indirct) Surplus distribuabl 3,00 2,00 n p t 1,00 d P I B 0,00-1,00-2, Sourc : Ins, calculs DGTPE TRÉSOR-ÉCO n 59 Juin 2009 p.4

5 Tablau 2 : répartition du surplus distribuabl n moynn annull par sous-périod dpuis 1979 Surplus distribuabl Part du surplus capté par... Périods En points d PIB...l travail...l capital...la fiscalité indirct ,6 65 % 31 % 5 % ,9 107 % 13 % 6 % ,7 113 % 6 % 19 % Croissanc équilibré a 100 % 0 % 0 % a. Calcul théoriqu d'après ls caractéristiqus d l'économi français n moynn sur périod longu. Lctur : Au cours d la périod , l surplus distribuabl a rprésnté n moynn 0,7 pt d PIB par an, dont 6 % ont accru la rémunération du capital. Sur la mêm périod, l'augmntation d la rémunération du travail a xcédé l surplus, rprésntant 113 % d sa valur, c qui a été compnsé par la diminution d la fiscalité indirct à hautur d 19 % du surplus. Sourc : Ins, calculs DGTPE 2.3 Ls évolutions du partag d la VA n sont pas xpliqués par clls du surplus distribuabl Ls évolutions du partag d la VA sont l rflt d la substitution du capital au travail avant d êtr clui d l évolution du surplus distribuabl t d son partag. A la suit ds chocs pétrolirs, la répartition d la valur ajouté s'st déformé d façon notabl dans ls annés 70. L'indxation ds salairs sur ls prix à la consommation, tirés à la hauss par l'augmntation violnt ds prix du pétrol, a conduit à un hauss d la part ds salairs dans la valur ajouté, qui st passé d 67 à 75 % n qulqus annés. La décnni 80 a été marqué par un rtour à l'équilibr. La désinflation s'st traduit par un diminution d l'mploi t un baiss d la part ds salairs dans la valur ajouté. Ctt périod d désinflation s'st accompagné d'un baiss d la part du surplus distribué aux travaillurs, qui n'ont bénéficié qu ds dux tirs du surplus (cf. tablau 2). Mais ctt diminution a accompagné l mouvmnt d substitution capital/travail. Ls hurs travaillés ont diminué d'nviron 10 % ntr 1978 t 1986, ssntillmnt du fait d la baiss d l'mploi non salarié dans l sctur agricol. A l'invrs, l stock d capital rapporté au PIB a crû d 5 % sur la mêm périod, favorisé par l'ouvrtur ds marchés financirs. Dpuis la fin ds annés 80, la part ds salairs dans la valur ajouté st rsté stabl, n raison d la désindxation ds salairs, tandis qu ls hurs travaillés t l stock d capital s sont progrssivmnt accrus. Dpuis ls annés 90, la quasi-intégralité du surplus distribuabl a été distribué aux travaillurs. Graphiqu 3 : évolution du partag d la VA t ds facturs d production n Franc, indics bass 100 n Part d la rém unération du travail dans la VA Stock d capital rapporté au PIB H u r s travaillé s total s Sourc : Ins 3. L lin ntr surplus distribuabl t conjontur 3.1 La volatilité du surplus st principalmnt la conséqunc d cll ds prix d l énrgi Ls évolutions du surplus distribuabl rprésntés sur l graphiqu 1 indiqunt qu l surplus distribuabl st volatil. La conjonctur put a priori jour à dux nivaux, via ls gains d productivité d'un part t via ls trms d l'échang d'autr part. En pratiqu, ls variations ds gains d productivité ont ds ffts limités sur l'évolution du surplus distribuabl (cf. tablau 4) car n cas d rtournmnt d l'activité, TRÉSOR-ÉCO n 59 Juin 2009 p.5

6 la baiss ds facturs d production, l'mploi t l'invstissmnt, absorbnt un parti important du choc. En rvanch, ls variations ds trms d l'échang intériur ont un influnc important sur l'évolution du surplus distribuabl, via d'un part ls évolutions du chang t d'autrs part clls ds prix d l'énrgi. L'appréciation d l'uro par rapport au dollar 6 amélior ls trms d l'échang à court trm car l prix ds importations (n uros) diminu, baiss qui doit s transmttr n parti au prix d la dmand intériur. En pratiqu, ls ffts dircts d'un appréciation d l'uro par rapport au dollar sur l surplus distribuabl s'avèrnt négligabls, mêm lors d forts variations du chang comm n 2007 t Ls prix d l'énrgi par contr ont ds ffts importants. Il y a dux raisons à cla. D'un part ls variations ds taux d chang sont baucoup moins ampls qu clls d l'énrgi. D'autr part, l'élasticité du prix d la dmand intériur au taux d chang d l'uro/dollar st plus faibl qu l'élasticité du mêm prix au prix du baril d pétrol 7. Ls évolutions récnts d la conjonctur illustrnt bin cs résultats. L prix du pétrol a baucoup fluctué dpuis 2005, avc un hauss d l'ordr d 18 % n 2006 puis d 40 % n La parité uro/dollar a égalmnt cru d 8,7 % n 2007 puis d 7,3 % n 2008 (cf. tablau 3). En utilisant ls élasticités ds trms d l'échang au prix du pétrol t au taux d chang stimés par ds modèls macroéconomiqus, il st possibl d calculr ls contributions d cs chocs conjoncturls aux évolutions du surplus distribuabl (cf. ncadré 3). En 2006 comm n 2008, la hauss ds prix du pétrol a u un impact négatif prononcé sur ls trms d l'échang intériur. La contribution ds autrs facturs, hors chang t énrgi st structurllmnt positiv, c qui st dû au faibl dynamism ds prix d'importations n raison d l'ouvrtur aux économis émrgnts (mais aussi à d'évntulls rrurs d msurs). Encadré 3 : Trms d l'échang intériur Ls trms d l'échang intériur sont définis comm l ratio du prix du PIB, P (ou d la valur ajouté) t l prix d la dmand intériur, P di. P TEI = P di Il s'agit donc du prix rlatif ds bins t srvics qui procurnt d l'utilité aux résidnts t d la valur ajouté. Plus c ratio st élvé, plus ls résidnts puvnt acquérir un grand quantité d bins t srvics, disponibls sur l marché intériur, grâc à la vnt d'un mêm quantité d valur ajouté domstiqu. C ratio st dans l cas général différnt d l'unité car un parti important ds bins t srvics disponibls sur l marché intériur, t utilisés pour la consommation ou l'invstissmnt, st importé. L prix d la dmand intériur st donc un fonction du prix domstiqu P t du prix d'import P. On put alors rlir ls variations marginals du prix d la dmand intériur à clls du prix d la VA domstiqu t du prix d'import, avc a t b compris ntr 0 t 1 : En ajoutant l'hypothès d'homogénéité dynamiqu ds prix, mpiriqumnt vérifié à long trm, on a a + b = 1. La variation ds trms d l'échang put alors s'écrir n fonction d la variation ds prix d la VA domstiqu t d'import comm : TEI = P P di = P ( a P + ( 1 a)p ) = ( 1 a) ( P P ) Dpuis la fin ds annés 90, la contribution d la variation ds trms d l'échang intériur au surplus distribuabl st structurllmnt positiv. Cci s'xpliqu par l fait qu'un part croissant ds bins t srvics sur l marché intériur st importé d pays émrgnts où ls gains d productivité sont plus importants qu'n Franc. Ctt fort croissanc d la productivité a été réprcuté dans ls prix d'imports qui ont crû moins vit qu ls prix d la valur ajouté n Franc On put évalur ls ffts ds variations du prix du pétrol sur ls évolutions ds trms d l'échang intériur n décomposant comm précédmmnt l prix d la dmand intériur. Au prmir ordr, la variation du prix d l'échang intériur st égal à la part d l'énrgi dans la dmand intériur qu multipli la variation du prix d l'énrgi, P, à laqull on doit ajoutr ls contributions ds autrs facturs P x. P di Ls contributions ds autrs facturs, comm l chang où ls prix d'importations autrs qu l'énrgi, sont calculés d façon comptabl n invrsant l'équation précédnt. Pour déduir l'évolution du prix d l'énrgi ds variations du prix du pétrol, P o, on utilis l'équation autorégrssiv dérivé du modèl Msang a suivant : P t, = 078P, ot, + ( 091, 078, )P ot, 1 + ( 095, 091, )P ot, 2 Au bout d trois ans, ls variations ds prix du pétrol n'ont plus d'impact significatif sur ls variations du prix d l'énrgi. a. C. Klin t O. Simon «L modèl mésang, un réstimation», Documnt d travail d la DGTPE, 2009, à paraîtr. P di = = ap + bp P + ( 1 )P x (6) On raisonn ici touts choss égals par aillurs, sans prndr n compt l'fft négatif d'un appréciation d l'uro sur ls xportations. D tls ffts sont inclus dans ls variations d la productivité global ds facturs (PGF). (7) L pétrol rprésnt n fft un part important ds importations d la Franc hors zon uro. TRÉSOR-ÉCO n 59 Juin 2009 p.6

7 Tablau 3 : évolution ds trms d l échang intériur t contribution ds chocs intrnationaux Annés Chocs conjoncturls Baril d brnt (uros) Euro/USD Trms d l échang intériur Chang uro/ USD dont... Prix d l énrgi Autrs facturs ,97 1, ,90 1,26 0,19 0,01 0,43 0, ,67 1,37 0,01 0,02 0,12 0, a 65,30 1,47 0,35 0,02 0,64 1,01 a. Calcul pour 2008 réalisé n utilisant l compt annul provisoir. Lctur : L prix moyn du baril d Brnt était d 43,9 au cours d l'anné En 2006, ls trms d l'échang intériur ont diminué d 0,19 %, dont un baiss d 0,01 % lié aux variations d l'uro, un baiss d 0,43 % lié au prix du baril t un augmntation d 0,26 % lié à l'évolution ds prix étrangrs touts choss égals par aillurs. Sourcs : Ins, calculs DGTPE à partir ds élasticités du modèl Msang 3.2 Ls chocs conjoncturls sont ssntillmnt amortis par la rémunération du capital La conjonctur a aussi ds ffts sur la répartition du surplus. Pour s fair un idé d tls ffts, on put tracr ls évolutions ds composants du surplus dpuis 1979, (cf. graphiqu 2). Conformémnt à la théori, la part du surplus qui bénéfici au travail 8 st la plus important t la plus stabl. En périod d rtournmnt d la conjonctur, il smbl qu c soit la rémunération du capital qui amortiss l choc (cf. tablau 4). Tablau 4 : répartition du surplus distribuabl t croissanc économiqu, n points d PIB ( ) Part du surplus capté par... Croissanc du PIB Nombr d annés Surplus moyn...la fiscalité indirct...l travail...l capital Infériur à 1,1 % 7 0,06 0,106 0,68 0,68 Entr 1,2 t 2,4 % 16 1,29 0,03 0,88 0,39 Supériur à 2,5 % 7 1,53 0,12 1,31 0,35 Moynn a 29 1,13 0,00 0,93 0,13 a. Lctur : n moynn, ls annés où la croissanc du PIB était infériur à 1,1 %, l surplus distribuabl était d 0,06 point d PIB, réparti ntr un augmntation d 0,68 point d PIB d la rémunération du travail compnsé par un baiss d 0,68 point d PIB d la rémunération du capital. Sourcs : Ins, calculs DGTPE En c qui concrn l'impact ds chocs pétrolirs, il smblrait qu la réduction du surplus induit par un hauss brutal ds prix d l'énrgi soit n grand parti amorti par un diminution d la rémunération du capital (cf. tablau 5). Jusqu dans ls annés 2000, la part du surplus capté par l travail a tndanc à augmntr lors ds périods d hauss ds prix d l'énrgi t à diminur lors ds périods d baiss. Ctt propriété st moins ntt sur la drnièr phas d hauss du pétrol ( ) : l travail a capté un part du surplus infériur tant à la part capté dans ls épisods d stabilité ds prix d l'énrgi qu'à la part théoriqu capté sur longu périod. (8) Via l accroissmnt d la rémunération ds salariés comm ds ntrprnurs individuls. TRÉSOR-ÉCO n 59 Juin 2009 p.7

8 Tablau 5 : répartition du surplus distribuabl slon ls périods d hauss t d baiss du prix du pétrol Périods Prix du baril d pétrol surplus moyn...la fiscalité indirct Part du surplus capté par......l travail...l capital Hauss 1,08 8 % 110 % 40 % Baiss 2,17 3 % 19 % 78 % Hauss 1,34 27 % 116 % 11 % Autrs a Hauss 0,57 1 % 62 % 38 Moynn ,06 1 % 104 % 6 % Croissanc équilibré b 0 % 100 % 0 % a. Moynns calculés sur ls périods 1985, t b. Calcul théoriqu d après ls caractéristiqus d l économi français n moynn sur longu périod. Lctur : Au cours d la périod , qui a connu un fort hauss ds prix du pétrol, la croissanc annull du surplus a été d 1,08 point d PIB n moynn. La fiscalité indirct a capté 8 % d c surplus tandis qu la hauss d la rémunération du travail a rprésnté 110 % d la croissanc du surplus. A l'invrs, la baiss d la rémunération du capital a rprésnté 40 % d la croissanc du surplus sur la périod. Sourcs : Ins, calculs DGTPE Paul CAHU Éditur : Ministèr d l Économi, d l Industri t d l Emploi Dirction général du Trésor t d la Politiqu économiqu 139, ru d Brcy Paris CEDEX 12 Dirctur d la Publication : Philipp Bouyoux Rédactur n chf : Jan-Paul DEPECKER ( ) trsor-co@dgtp.fr Mis n pag : Marys Dos Santos ISSN Drnirs numéros parus Mai 2009 n 58. Enquêt ménags t comportmnt d consommation n Franc Slim DALI n 57. Saisis immobilièrs aux États-Unis t prts ds institutions financièrs Stéphan SORBE Avril 2009 n 56. Politiqus monétairs non convntionnlls : un bilan Antoin BOUVERET, Abdnor BRAHMI, Yannick KALANTZIS, Alxandra OLMEDO, Stéphan SORBE n 55. La situation économiqu mondial au printmps 2009 Aurélin FORTIN, Antoin BOUVERET Mars 2009 n 54. L apparil xportatur français : un réalité plurill Raphaël CANCÉ n 53. Ls margs dans la filièr agro-alimntair n Franc Étinn CHANTREL, Pirr-Emmanul LECOCQ TRÉSOR-ÉCO n 59 Juin 2009 p.8

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