Collecte de fonds et communication du PIDC
|
|
- Alain Rondeau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CI-16/BUR.60/11 1 er février 2016 Point de l ordre du jour soumis à l examen Collecte de fonds et communication du PIDC NOTE D INFORMATION RÉSUMÉ Le Bureau est invité à débattre des stratégies actuelles de collecte de fonds et de communication et à faire rapport sur sa propre action passée ou future dans le domaine. Définition de cibles pour la collecte de fonds et la communication 1. Contexte 2. Dernières évolutions concernant la collecte de fonds 3. Dernières évolutions concernant la stratégie de communication 4. Conclusion 1. CONTEXTE Une approche stratégique à moyen terme de la collecte de fonds a été soumise au Bureau en Les membres sont convenus que l objectif stratégique était de mettre le PIDC sur la voie d une croissance financière durable, sur la base des résultats probants enregistrés par le programme dans le domaine du développement des médias. La stratégie de collecte de fonds approuvée avait pour objectifs spécifiques : de porter le montant des fonds disponibles à au moins 1,5 million de dollars par an d ici à 2015 ; de porter le nombre de pays donateurs à 15 d ici à 2014 ; de mobiliser tous les membres afin qu ils participent activement à la collecte de fonds ; d identifier les acteurs et d élaborer les activités et les instruments nécessaires pour soutenir la collecte de fonds.
2 De même, le Bureau a examiné une stratégie générale de communication, visant à mobiliser la communauté internationale et les publics clés afin de renforcer le PIDC et d en accroître la visibilité et de contribuer ainsi à sa mission qui est de créer un environnement sain pour la croissance de médias libres, indépendants et pluralistes, en particulier dans les pays en développement et les pays en transition. La stratégie de communication avait pour objectifs spécifiques : d informer les publics clés (internes et externes) des activités du PIDC en matière de financement et de mise en œuvre de projets efficaces de développement des médias ; de renforcer et faire mieux connaître le rôle normatif du PIDC en tant qu unique programme intergouvernemental actif dans le domaine du développement des médias à l échelle mondiale ; de promouvoir et continuer de soutenir les initiatives spéciales du PIDC (telles que la promotion de la sécurité des journalistes et les indicateurs de développement des médias), eu égard à la nature holistique du développement des médias et à l importance de garantir un environnement qui y soit favorable ; de soutenir et promouvoir la mission de production de connaissances du PIDC auprès des publics clés ; de renforcer la visibilité du PIDC sur l Internet ; de maximiser le potentiel des différents acteurs concernés (le personnel de l UNESCO, les membres, le Président, les organismes bénéficiaires, les partenaires, etc.) dans le cadre d une approche collective visant à renforcer la visibilité du PIDC. À sa 59 e réunion, en mars 2015, et à la lumière des dernières évolutions concernant la collecte de fonds et la communication, le Bureau a décidé de : (i) demander à la Présidente et aux membres d intensifier leurs efforts pour collecter des fonds pour le PIDC, y compris sous forme de contributions en nature, et pour renforcer les ressources humaines du programme (par exemple, détachements de personnel) ; (ii) (iii) (iv) (v) presser ses membres d intervenir activement auprès de leurs gouvernements respectifs afin qu ils financent le PIDC dans le cadre des modalités convenues concernant le Compte spécial et le Fonds-en-dépôt, ne serait-ce que sous forme de contributions symboliques. Celles-ci pourraient être alors utilisées pour soutenir les initiatives spéciales et des projets spécifiques du programme et renforcer le sentiment d appropriation de l ensemble des membres, en particulier ceux qui en ont été les bénéficiaires dans le passé ; encourager ses membres à se faire les champions du PIDC, en faisant connaître ses activités et en renforçant son image aux niveaux international et national, partout et chaque fois que cela est possible ; prier le Secrétariat de continuer à mettre à sa disposition des matériels qui facilitent la tâche des membres, y compris la Présidente du PIDC, dans le domaine de la collecte de fonds et de la communication ; porter cette question à l attention du Conseil en vue de mobiliser plus avant le soutien de ses membres, compte tenu de ce que les faibles niveaux de financement actuels sont alarmants
3 et signifient que le PIDC fonctionne en deçà de son potentiel, de son échelle et de son impact optimaux. 2. DERNIÈRES ÉVOLUTIONS CONCERNANT LA COLLECTE DE FONDS On trouvera ci-après le montant des contributions reçues au cours des six dernières années. 55 e réunion (2011) 56 e réunion (2012) 57 e réunion (2013) 58 e réunion (2014) 59 e réunion (2015) 60 e réunion (2016) 1. Andorre Bangladesh Belgique Danemark Union européenne FIT (annoncés) 6. France Finlande , Allemagne Ghana Inde Israël Lettonie Pays-Bas Norvège Espagne , Suède Suisse Thaïlande États-Unis TOTAL ,448 $ É.-U. + Note : Les chiffres ci -dessus incluent les dépenses d appui au programme (10 %). Chiffres exprimés en dollars des États-Unis (sauf pour la somme annoncée par l UE) (annoncés) Les donateurs sont actuellement au nombre de neuf, contre six en Bien que l objectif de porter à 15 le nombre de donateurs n ait pas été atteint, il convient de saluer l augmentation générale du nombre de
4 pays donateurs. Cependant, il convient également de noter que le caractère symbolique de certains dons n a pas permis d accroître le niveau global de financement du Compte spécial du PIDC. En 2015, la Présidente du PIDC, assistée du Secrétariat, a continué de se réunir avec les États membres afin de les informer des réalisations du programme, ainsi que des obstacles à venir. En un an, elle a rendu visite à 30 délégations pour leur demander d envisager de contribuer au PIDC. À l issue des réunions, des propositions de projets et notes conceptuelles spécifiques ont été adressées au Secrétariat du programme pour répondre à cette demande. Le 29 septembre 2015, une réunion d avancement du PIDC a été organisée avec la participation des ambassadeurs et délégués des pays suivants : Algérie, Brésil, Espagne, Lettonie, Lituanie, Pays-Bas, Suisse et Turquie. La Présidente du PIDC a participé à la Commission V de la Conférence générale à sa 38 e session, et a informé les États membres des dernières réalisations du programme. Les résultats de celui-ci ont été salués par de nombreuses délégations, qui ont demandé qu il continue d être renforcé dans le cadre de l action globale du Secteur de la communication et de l information de l Organisation. À la demande des États membres, le programme du Secteur a fixé un nouveau résultat escompté 3, lié à l action du PIDC, qui donne plus de visibilité aux réalisations du programme et aidera, comme on peut l espérer, à en accroître les ressources. Le 10 novembre 2015, la Présidente du PIDC, assistée du Secrétariat, a réuni les pays nordiques dans le cadre d une manifestation distincte et leur a demandé de continuer d appuyer le programme. Elle a aussi fait le suivi des réunions précédentes avec les pays donateurs et a adressé des demandes de soutien aux membres du Conseil (nouveaux et actuels). 3. DERNIÈRES ÉVOLUTIONS CONCERNANT LA STRATÉGIE DE COMMUNICATION Depuis que la stratégie de communication a été examinée, dans le cadre de la 59 e réunion du PIDC, le Programme a été représenté à la plupart des manifestations organisées par le Secteur de la communication et de l information (ateliers, séminaires, tables rondes ), tant au Siège qu hors Siège. En outre, les publications du PIDC (ou les initiatives nées au titre des initiatives spéciales du programme) ont été systématiquement portées à la connaissance des participants à ces manifestations, ainsi qu à celle des parties intéressées, et diffusées auprès d eux. Les réunions interinstitutions du système des Nations Unies, les réunions d information du Secteur de la communication et de l information avec les États membres, les visites de la Présidente du PIDC et les manifestations liées au développement des médias ont été autant d occasions de continuer de mieux faire connaître le programme. Le PIDC a apporté son soutien à la conférence internationale organisée le 16 juin 2015 par l UNESCO, sur le thème «Les jeunes et Internet : combattre la radicalisation et l extrémisme», ainsi qu à la conférence internationale intitulée «Les organisations médiatiques se mobilisent pour la sécurité des professionnels des médias», tenue au Siège de l UNESCO, à Paris, le 5 février Il a été représenté au Forum mondial des médias, organisé par la Deutsche Welle Akademie à Bonn en juin La Présidente du programme a, quant à elle, pris part à un atelier intitulé 70 years of the UN From the past to the future: Fit for the purpose in the age of digital media? [Soixante-dix ans de l ONU Du passé à l avenir : quelle pertinence à l ère des médias numériques?], où les indicateurs de la viabilité des médias mis au point par le PIDC et la Deutsche Welle ont été présentés.
5 De même, la Présidente a participé à la conférence sur le rapprochement des cultures intitulée «Une humanité au-delà de la diversité», organisée dans le cadre du cinquième Forum international des organisations non gouvernementales entretenant des relations officielles avec l UNESCO, à Beijing, en juillet 2015, présentant deux exposés sur «Les jeunes et la radicalisation» et «Culture numérique, le cyberespace au service de la connaissance et du dialogue». Elle a aussi participé au Forum Women with the Wave de la manifestation sur la radiodiffusion pour tous organisée par l ABU à Istanbul, en octobre 2015, où elle a fait partie, en tant qu intervenante, d un panel de représentants clés des organisations du système des Nations Unies œuvrant dans le domaine de l inclusion de la femme dans les médias et la société. Enfin, le PIDC a été représenté à la conférence de l Alliance mondiale genre et médias (GAMAG), où la Présidente a animé le débat final de la réunion sur la coopération pour le développement international. Par ailleurs, deux projets soutenus par le PIDC ont été évoqués lors de l Assemblée générale de la GAMAG en décembre En ce qui concerne les ressources en ligne du PIDC, elles ont sans cesse été actualisées et mises en avant auprès des partenaires. De nombreux articles et photographies concernant la mise en œuvre des projets et des événements d ordre général du PIDC ont été publiés. Les unités hors Siège ont aussi fait la promotion du programme sur leurs pages respectives. Des informations sur les projets et les activités s y rapportant, présentées de manière attrayante, sont désormais aisément consultables sur les sites Web du Secteur de la communication et de l information et du PIDC. Un nouveau système en ligne de gestion des présentations de projets a été mis en place en Il facilite les processus de soumission, de mise en œuvre et d évaluation, ainsi que l archivage en ligne des documents relatifs aux projets, et comporte d autres procédures utiles qui ont été automatisées. Une base de données des contacts du PIDC, visant à faciliter l envoi aux partenaires et bénéficiaires du programme, par courrier électronique, des actualités et éléments d information pertinents, a été établie. Le PIDC a continué de mettre en avant la transparence du programme en s assurant que tous les rapports, comptes rendus d évaluation et documents soient systématiquement mis à disposition en ligne. Une nouvelle brochure a été publiée pour expliquer le fonctionnement du PIDC sous une forme visuellement attrayante, et informer les parties concernées des objectifs et des actions du programme. La communication sur les réseaux sociaux, en revanche, a laissé à désirer. Comme il a déjà été indiqué dans le rapport de la 59 e réunion du PIDC, la perte du poste occupé par un assistant affecté au PIDC à la fin de 2013 a affaibli la capacité du Secrétariat de mener à bien toutes les actions envisagées dans la stratégie de communication. La base de données des projets du PIDC offrait un accès public rapide aux informations relatives aux projets approuvés par le Bureau du PIDC depuis le lancement du programme ; malheureusement, là encore faute de ressources humaines suffisantes, la base de données a été actualisée pour la dernière fois en Les efforts pour s assurer le concours d experts associés, le renfort de personnel et la présence de stagiaires capables d assister le PIDC dans ses activités de communication ont été poursuivis. 4. CONCLUSION Sur la base des discussions sur les dernières évolutions en matière de collecte de fonds et de communication, le Bureau souhaitera peut-être : prier la Présidente et le Secrétariat de poursuivre les efforts actuels de collecte de fonds pour le PIDC, d analyser les priorités actuelles des plus importants donateurs des médias et de contacter ceux-ci pour leur présenter les propositions du PIDC ; d étendre ces efforts aux fondations privées et au secteur privé ; d aller au-delà des délégations permanentes et d envoyer des missions de collecte de fonds dans les capitales de pays stratégiques ; et d étudier la possibilité de
6 financement par l UE au titre des subventions thématiques/régionales de l Initiative pour la mise en œuvre accélérée (IMOA) ; prier le Secrétariat de mieux faire connaître l incidence réelle des microfinancements du PIDC, de souligner leur orientation, basée sur la gestion axée sur les résultats, et de faire ressortir leur rapport coût/efficacité ; prier le Secrétariat de renforcer les initiatives spéciales du PIDC et de continuer d asseoir les évaluations menées sur la base des indicateurs de développement des médias (IDM), de façon qu elles continuent d être intégrées aux plans nationaux de développement des médias. Assurer le suivi de ces évaluations, de sorte que chaque partie prenante discerne bien quel est son rôle et puisse le jouer ; prier le Secrétariat de promouvoir plus activement le caractère unique du mécanisme d établissement de rapports du PIDC sur la sécurité des journalistes et la question de l impunité, et d améliorer la stratégie d image du programme concernant cette importante initiative ; rappeler aux membres et du Conseil de presser activement leurs gouvernements respectifs de contribuer au programme, par l intermédiaire de ses deux modalités de financement à savoir le Compte spécial du PIDC (contributions volontaires, ou contributions à des projets spécifiques) et l IMOA, même de façon symbolique et/ou sous forme d une aide au personnel ; rappeler aux membres et du Conseil de se faire les champions du PIDC, en faisant connaître ses activités et en renforçant son image aux niveaux international et national, partout et chaque fois que cela est possible ; porter cette question à l attention du Conseil en vue de mobiliser plus avant le soutien de ses membres, en faisant ressortir le potentiel des ressources, de façon que le programme puisse fonctionner à son plein potentiel, à une échelle et une portée maximale.
L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE
L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE Source: Eurostat, 2014, sauf indication contraire Les données se rapportent aux ressortissants de pays tiers, dont le lieu de résidence habituel se trouvait dans un pays hors
Plus en détailLa BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière
La BRI Au service de la stabilité monétaire et financière Fondée le 17 mai 1930, la BRI est la plus ancienne organisation financière internationale. Outre son siège social, à Bâle (Suisse), elle possède
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE COMITÉ POUR LA PROTECTION DES BIENS CULTURELS EN CAS DE CONFLIT ARMÉ
CLT-10/CONF.204/6 PARIS, le 14 septembre 2010 Original anglais ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE COMITÉ POUR LA PROTECTION DES BIENS CULTURELS EN CAS DE CONFLIT
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE
Distribution limitée IFAP-2008/COUNCIL.V/3 4 février 2008 Original anglais ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE Conseil intergouvernemental du Programme Information
Plus en détailConseil économique et social
Nations Unies ECE/CECI/2015/7 Conseil économique et social Distr. générale 26 juin 2015 Français Original : anglais Commission économique pour l Europe Comité de l innovation, de la compétitivité et des
Plus en détailConférence des Parties à la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée
Nations Unies CTOC/COP/WG.5/2012/1 Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée Distr. générale 14 novembre 2011 Français Original: anglais Groupe
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailQuel est le temps de travail des enseignants?
Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans
Plus en détailPrincipaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)
55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États
Plus en détailConseil économique et social
Nations Unies Conseil économique et social ECE/CECI/CONF.10/1 Distr. générale 23 novembre 2010 Français Original: anglais Commission économique pour l Europe Comité de la coopération et de l intégration
Plus en détailLe Conseil d administration. L Article VI du Statut du PAM définit comme suit les fonctions du Conseil:
1. L E C O N S E I L D A D M I N I S T R A T I O N E T S E S F O N C T I O N S 1er janvier 1996, suite à l adoption de résolutions parallèles par l Assemblée générale des Nations Unies et la Conférence
Plus en détailBELGIQUE. Septième session de la Conférence des Etats Parties à la Convention relative aux Droits des Personnes handicapées
BELGIQUE Septième session de la Conférence des Etats Parties à la Convention relative aux Droits des Personnes handicapées Ouverture de la Conférence DECLARATION DE S.E. Mme BENEDICTE FRANKINET AMBASSADEUR
Plus en détailClick to edit Master title style
Le Service des délégués commerciaux MAECI: Orientation et rôle Investissement étranger direct (IED) Anderson Blanc Délégué commercial Click to edit Master title style Investissement & Innovation Coordonnateur
Plus en détailDU ROLE D UN BUREAU MILITAIRE AU SEIN D UNE MISSION PERMANENTE
DU ROLE D UN BUREAU MILITAIRE AU SEIN D UNE MISSION PERMANENTE Capitaine de vaisseau Ndome Faye, Conseiller Militaire à la Mission Permanente du Sénégal auprès des Nations unies à New York Dans certains
Plus en détailANNOTATIONS À L ORDRE DU JOUR PROVISOIRE
Distr. LIMITÉE LC/L.3659(CRM.12/2) 7 août 2013 FRANÇAIS ORIGINAL: ESPAGNOL Douzième Conférence régionale sur les femmes de l Amérique latine et des Caraïbes Saint-Domingue, 15-18 octobre 2013 ANNOTATIONS
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailSécurité nucléaire. Résolution adoptée le 26 septembre 2014, à la neuvième séance plénière
L atome pour la paix Conférence générale GC(58)/RES/11 Septembre 2014 Distribution limitée Français Original : anglais Cinquante-huitième session ordinaire Point 14 de l ordre du jour (GC(58)/22) Sécurité
Plus en détailCommission CI. Session d ouverture. Remarques d ouverture par le Président de la Commission CI
35 ème session de la Conférence Générale Commission CI Session d ouverture Remarques d ouverture par le Président de la Commission CI Mesdames, Messieurs, Buenas tardes, Bonjour, Good afternoon, Здравствуйте
Plus en détailJournal. Réunions officielles à venir. Lundi 8 décembre 2014
Journal 5 décembre 2014 COUR PENALE INTERNATIONALE TREIZIEME SESSION DE L ASSEMBLEE DES ÉTATS PARTIES NEW YORK, 8 17 DECEMBRE 2014 Réunions officielles à venir Première séance plénière Lundi 8 décembre
Plus en détailNom. les. autres États. n de l aviation. Organisation. ATConf/6-WP/49 14/2/12. Point 2 : 2.2. Examen de. des accords bilatéraux. consultées.
Nom Organisation n de l aviation civile internationale NOTE DE TRAVAIL ATConf/6-WP/49 14/2/12 SIXIÈME CONFÉRENCE MONDIALE DE TRANSPORT AÉRIEN Montréal, 18 22 mars 2013 Point 2 : 2.2 Examen de questions
Plus en détailRÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE
9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,
Plus en détail0.941.291 relative à l établissement d un bureau international des poids et mesures
Texte original 0.941.291 Convention relative à l établissement d un bureau international des poids et mesures Conclue à Paris le 20 mai 1875 Approuvée par l Assemblée fédérale le 2 juillet 1875 1 Instruments
Plus en détailS engager à agir pour le développement durable dans une période de changement
Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015
Plus en détailexécutif session Conseil h) Rapport CE/98/3 I) h) Original : anglais pour que 2. Les Membres publique du Groupe 3. La l OCDE, de travail II.
Conseil exécutif Quatre-vingt-dix-huitième session Saint-Jacques-de-Compostelle (Espagne), 4-6 juin 2014 Point 3 l) h) de l ordre du jour provisoire CE/98/3 I) h) Madrid, 15 avril 2014 Original : anglais
Plus en détailMobilité de l enseignement supérieur
Mobilité de l enseignement supérieur Guide financier 2014 1 SOMMAIRE Introduction... 3 Le calcul de la subvention par l agence... 4 Utilisation de la subvention par l établissement... 7 Exemple d allocation
Plus en détailCOMPRENDRE CE QU EST L OTAN
COMPRENDRE CE QU EST L OTAN LES ORIGINES DE L ALLIANCE Au lendemain de la seconde guerre mondiale, l Europe de l Est et l Europe de l Ouest se sont trouvées séparées par les divisions idéologiques et politiques
Plus en détailPréparez-vous au virement SEPA
OCTOBRE 2012 ENTREPRENEURS N 6 PAIEMENT LES MINI-GUIDES BANCAIRES www.lesclesdelabanque.com Le site pédagogique sur la banque et l argent Préparez-vous au virement SEPA FBF - 18 rue La Fayette - 75009
Plus en détailPAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE
Note Conceptuelle PAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE La Tunisie renouvelle son engagement pour le développement et la prospérité de l'afrique et des pays arabes, par l'organisation de la 8ème édition de
Plus en détailstatut de l office du haut commissaire des nations unies pour les réfugiés
statut de l office du haut commissaire des nations unies pour les réfugiés Résolution n o 428 (V) de l Assemblée générale du 14 décembre 1950 s t a t u t d u h a u t c o m m i s s a r i a t d e s n a
Plus en détailPréparez-vous au virement
octobre 2012 Entrepreneurs n 6 paiement Les mini-guides bancaires www.lesclesdelabanque.com Le site pédagogique sur la banque et l argent Préparez-vous au virement SEPA FBF - 18 rue La Fayette - 75009
Plus en détailConférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption
Nations Unies CAC/COSP/IRG/2015/2 Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Distr. générale 24 mars 2015 Français Original: anglais Groupe d examen de l application
Plus en détailORGANE INTERGOUVERNEMENTAL DE NEGOCIATION A/FCTC/INB6/DIV/4 DE LA CONVENTION-CADRE DE L OMS 28 janvier 2003 POUR LA LUTTE ANTITABAC Sixième session
ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE ORGANE INTERGOUVERNEMENTAL DE NEGOCIATION A/FCTC/INB6/DIV/4 DE LA CONVENTION-CADRE DE L OMS 28 janvier 2003 POUR LA LUTTE ANTITABAC Sixième session Participation des organisations
Plus en détailLe coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011
Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011 Un article de la loi de financement de la sécurité sociale 2010 aligne le coût de ce rachat
Plus en détailCONDITIONS CONTRACTUELLES APPLICABLES A L OPERATION «LES BONNES AFFAIRES MICROSOFT OFFRE MULTIPRODUITS»
DEFINITIONS CONDITIONS CONTRACTUELLES APPLICABLES A L OPERATION «LES BONNES AFFAIRES MICROSOFT OFFRE MULTIPRODUITS» «Remboursement» (en anglais, Cash Back) désigne la somme versée par Microsoft Ireland
Plus en détailCommission Communication et information. 37 e session de la Conférence générale OUVERTURE. Jānis Kārkliņš, ADG/CI
Commission Communication et information 37 e session de la Conférence générale OUVERTURE Jānis Kārkliņš, ADG/CI CI en bref LIBERTÉ D EXPRESSION ET DÉVELOPPEMENT DES MÉDIAS (FEM) DIVISION DES SOCIÉTÉS DU
Plus en détailCe chapitre offre un aperçu du processus de
Identification des be Introduction Ce chapitre offre un aperçu du processus de planification qui sert à déterminer les besoins des réfugiés, des apatrides et des autres personnes relevant de la compétence
Plus en détailSaint-Marin Allemagne. Monaco. Saint-Siège Andorre. Norvège. Slovaquie Autriche. Pays-Bas. Slovénie Belgique. Pologne. Suède Bulgarie.
Jeunes demandeurs d asile tchétchènes jouant au centre d accueil de BialaPodlaska(Pologne). Albanie France Monaco Saint-Marin Allemagne Grèce Norvège Saint-Siège Andorre Hongrie Pays-Bas Slovaquie Autriche
Plus en détailNouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»
Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,
Plus en détailJanvier 2005 :FIREFOX PASSE LA BARRE SYMBOLIQUE DES 10%
intro Janvier 2005 :FIREFOX PASSE LA BARRE SYMBOLIQUE DES 10% Explorer 87,10% Firefox 10,11% Netscape 1,01% Safari 1,20% Opera 0,59% (Etude actualisée réalisée du 01/09/04 au 27/01/05 sur un échantillon
Plus en détailCONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A
CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,
Plus en détailSecond communiqué 1 Conférence mondiale 2015 sur la réduction des risques de catastrophe (3 e édition)
Second communiqué 1 Conférence mondiale 2015 sur la réduction des risques de catastrophe (3 e édition) Introduction Le 20 décembre 2013, l'assemblée générale des Nations unies a adopté une résolution en
Plus en détailDEVENIR UNE ONG PARTENAIRE OFFICIEL DE L UNESCO
DEVENIR UNE ONG PARTENAIRE OFFICIEL DE L UNESCO L'UNESCO s'appuie sur un éventail aussi large que diversifié de relations de collaboration et de partenariats dans toutes les régions du monde pour s acquitter
Plus en détail0.812.101. Convention pour la reconnaissance mutuelle des inspections concernant la fabrication des produits pharmaceutiques.
Texte original 0.812.101 Convention pour la reconnaissance mutuelle des inspections concernant la fabrication des produits pharmaceutiques Conclue à Genève le 8 octobre 1970 Approuvée par l Assemblée fédérale
Plus en détailTROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE
ORGANISATION FOR ECONOMIC CO-OPERATION AND DEVELOPMENT TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE 14-15 septembre 2006 Séoul, Corée Déclaration de Séoul (version définitive) CENTRE
Plus en détailLA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition
Plus en détailPolitique et critères de performance de l IFC en matière de viabilité sociale et environnementale Examen et actualisation
Politique et critères de performance de l IFC en matière de viabilité sociale et environnementale Examen et actualisation Vue d ensemble du Processus de consultation et de participation Société financière
Plus en détailPARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE
PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan
Plus en détailCommission des finances
Autorité internationale des fonds marins ISBA/21/FC/5 Commission des finances Distr. limitée 4 juin 2015 Français Original : anglais Vingt et unième session Kingston (Jamaïque) 13-24 juillet 2015 État
Plus en détailPrix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 366 Novembre 2012 Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011 OBRVATION ET STATISTIQU ÉNERG En 2011, le prix du gaz a augmenté dans tous
Plus en détailexigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.
R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,
Plus en détailLouvain School of Management The Preferred International Management School in Belgium CAMPUS UCL MONS
Louvain School of Management The Preferred International Management School in Belgium CAMPUS UCL MONS Our mission : Educating Responsible Leaders For a Responsible World LSM the Business School of UCL
Plus en détailLe virement SEPA. www.lesclesdelabanque.com. Novembre 2007 LES MINI-GUIDES BANCAIRES. Le site d informations pratiques sur la banque et l argent
027 www.lesclesdelabanque.com Le site d informations pratiques sur la banque et l argent Le virement SEPA LES MINI-GUIDES BANCAIRES FBF - 18 rue La Fayette - 75009 Paris cles@fbf.fr Novembre 2007 Ce mini-guide
Plus en détailDISPOSITIF D INTERVENTION REGIONALE AIDE À LA MOBILITE ETUDIANTE A L'ETRANGER Année universitaire 2015/2016
DISPOSITIF D INTERVENTION REGIONALE AIDE À LA MOBILITE ETUDIANTE A L'ETRANGER Année universitaire 2015/2016 OBJECTIFS - Soutenir la mobilité internationale des étudiants lorrains au sein des cursus universitaires
Plus en détailÉtude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS
Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS 23 mars 2015 Synthèse Avec plus de 12.000 évaluations
Plus en détailKit Demande de Bourse Etude Erasmus 2014-2016
CESI-ERA- 1415 - Informations Programme Erasmus ERASMUS 2014-2016 Période d Etude Note d information aux élèves Les élèves de l ei.cesi et d exia.cesi peuvent bénéficier d une bourse Erasmus : - pour une
Plus en détailGuide de préparation au virement SEPA pour les PME
Imprimé avec des encres végétales sur du papier PEFC par une imprimerie détentrice de la marque Imprim vert, label qui garantit la gestion des déchets dangereux dans les filières agréées. La certification
Plus en détaild autre part, par toutes personnes physique ou morale souhaitant procéder à un achat via le site
CONDITIONS GENERALES DE VENTE Les présentes conditions générales de vente, sont conclues d une part par la société LC TRUFFES au capital de 8000.00 dont le siège social est à Grenoble, 412 Route de Tullins
Plus en détailProgramme «Lecteurs Formateurs»
[Objectifs : Programme «Lecteurs Formateurs» Promotion de la langue française par l internationalisation des jeunes Jeunes diplômés en philologie romane, en traduction, en philologie classique ou autres
Plus en détail(Document adopté par la Commission le 19 janvier 2006)
Bilan de l application de la recommandation de la Commission nationale de l informatique et des libertés du 29 novembre 2001 sur la diffusion de données personnelles sur Internet par les banques de données
Plus en détailNOTE DE SYNTHÈSE DU REM (INFORM)
NOTE DE SYNTHÈSE DU REM (INFORM) Politiques, pratiques et données statistiques sur les mineurs isolés étrangers (MIE) dans les États membres de l UE et en Norvège 1. INTRODUCTION Cette note de synthèse
Plus en détailLES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013
LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz
Plus en détailProjets Eurêka. i s. E u r ê k a. f r a n ç a. i a t. S e c r é t a r. Innovation européenne Ouverture aux marchés Impact économique
S e c r é t a r i a t f r a n ç a i s Souplesse Réactivité Internationalisation Suivi personnalisé Financement E u r ê k a Projets Eurêka Innovation européenne Ouverture aux marchés Impact économique design
Plus en détailTHESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES
THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES I. SECTEURS D ACTIVITES - Aéronautique - Agriculture - Assurances - Banques (épargne, office des chèques postaux) - Bâtiment et génie civil - Communications - Postes - Télécommunications
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailVous avez eu ou élevé des enfants Vos droits
Salariés FÉVRIER 2014 Vous avez eu ou élevé des enfants Vos droits B Les majorations de durée d assurance B Le congé parental B La majoration pour 3 enfants Vous avez eu ou élevé des enfants Vous avez
Plus en détailECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social
Nations Unies Conseil économique et social ECE/AC.21/SC/2014/3 Distr. générale 10 septembre 2014 Français Original: anglais Commission économique pour l Europe Réunion de haut niveau sur les transports,
Plus en détail016276/EU XXIII.GP Eingelangt am 25/06/07
FR 016276/EU XXIII.GP Eingelangt am 25/06/07 FR FR COMMISSION DES COMMUNAUTÉS EUROPÉENNES Bruxelles, le 25.6.2007 COM(2007) 207 final RAPPORT DE LA COMMISSION AU PARLEMENT EUROPÉEN ET AU CONSEIL sur certains
Plus en détailDIRECTIVES CONCERNANT L UTILISATION DU NOM, DE L ACRONYME, DE L EMBLEME ET DES NOMS DE DOMAINE INTERNET DE L UNESCO
DIRECTIVES CONCERNANT L UTILISATION DU NOM, DE L ACRONYME, DE L EMBLEME ET DES NOMS DE DOMAINE INTERNET DE L UNESCO À compter du 1 er novembre 2007, l utilisation du nom, de l acronyme, de l emblème et
Plus en détailEn 2011, l investissement corporel brut
4.1 Investissement En 211, l investissement corporel brut hors apport des entreprises des secteurs principalement marchands non financiers et non agricoles s élève à 196 milliards d euros. Il s est redressé
Plus en détailFORMALITES DOUANIERES
FORMALITES DOUANIERES En France métropolitaine, pour les envois intra-métropole et vers les pays de l Union Européenne, toute vente de marchandise est soumise à la TVA. En revanche, les marchandises exportées
Plus en détailLA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015
LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 Table des matières Message du président-directeur général 3 Orientation gouvernementale 1 : Informer, sensibiliser, éduquer,
Plus en détailConseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR
Plus en détailBienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell. Guide de démarrage de votre nouveau service de Bell
Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell Guide de démarrage de votre nouveau service de Bell Table des matières Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell...
Plus en détailPourquoi la responsabilité sociétale est-elle importante?
Découvrir ISO 26000 La présente brochure permet de comprendre les grandes lignes de la Norme internationale d application volontaire, ISO 26000:2010, Lignes directrices relatives à la responsabilité. Elle
Plus en détailAssemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772
Nations Unies A/AC.105/772 Assemblée générale Distr.: Générale 7 décembre 2001 Français Original: Anglais Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique Rapport du deuxième Atelier
Plus en détailBase de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry *
Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry * 1) Base de données 2) Sources et définitions * Alix de Saint Vaulry est économiste au CEPII, responsable de la production de la base de données
Plus en détailCOMU 2252 - Séminaire de relations publiques et de communication d entreprise
Département de communication COMU 2252 - Séminaire de relations publiques et de communication d entreprise Proposition d action de communication Garcia Hernandez Alberto Keen Juliette Moerman Aurore Motin
Plus en détailImmobilier : le point sur la stratégie de rénovation des bâtiments à Genève
CONSEIL EXÉCUTIF EB136/39 Cent trente-sixième session 12 décembre 2014 Point 13.2 de l ordre du jour provisoire Immobilier : le point sur la stratégie de rénovation des bâtiments à Genève Rapport du Directeur
Plus en détailPROGRAMME ERASMUS+ Toute mobilité Erasmus+, financée ou non par la bourse, doit faire l objet de justification sur la base des documents suivants
PROGRAMME ERASMUS+ Le programme Erasmus+ concerne les mobilités réalisées dans le cadre d un des accords Erasmus de Sciences Po Grenoble dans les pays suivants : 27 Etats membres de l Union Européenne
Plus en détailACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944
ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944 Entrée en vigueur : L Accord est entré en vigueur le 30 janvier 1945. Situation : 130 parties. Cette liste
Plus en détaill entrepreneuriat social
L Initiative pour l entrepreneuriat social de la Commission européenne Marché intérieur et services La version électronique de la présente brochure est disponible à l adresse : http://ec.europa.eu/internal_market/publications/docs/sbi-brochure/sbi-brochure-web_fr.pdf
Plus en détailPROTOCOLE RELATIF À L ARRANGEMENT DE MADRID CONCERNANT L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES MARQUES
PROTOCOLE RELATIF À L ARRANGEMENT DE MADRID CONCERNANT L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES MARQUES adopté à Madrid le 27 juin 1989, modifié le 3 octobre 2006 et le 12 novembre 2007 Liste des articles du
Plus en détailConférence des Parties à la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée
Nations Unies CTOC/COP/2008/INF.1 Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée Distr. générale 6 juin 2008 Français Original: anglais Quatrième
Plus en détaile-mail : bcf.courrier@bcf.asso.fr site internet : www.bcf.asso.fr. ASSURANCE FRONTIÈRE --------------------- CAHIER DES CHARGES
BUREAU CENTRAL FRANÇAIS DES SOCIÉTÉS D ASSURANCES CONTRE LES ACCIDENTS D AUTOMOBILES Adresser toute correspondance : 1, rue Jules Lefebvre 75431 PARIS CEDEX 09 Téléphone : 01 53 21 50 80 Télécopieur :
Plus en détailLES RELATIONS INTERNATIONALES. du Conseil national de l Ordre des médecins
LES RELATIONS INTERNATIONALES du Conseil national de l Ordre des médecins 02_ LES RELATIONS INTERNATIONALES DE L ORDRE DES MÉDECINS UN MÊME ENGAGEMENT, D R PATRICK BOUET Président du Conseil national de
Plus en détailLivre blanc Compta Le SEPA : Comment bien préparer sa migration?
Livre blanc Compta Le SEPA : Comment bien préparer sa migration? Notre expertise en logiciels de gestion et rédaction de livres blancs Compta Audit. Conseils. Cahier des charges. Sélection des solutions.
Plus en détailIntraday Pricing Service. Votre traitement instantané quand vous le souhaitez.
Intraday Pricing Service Votre traitement instantané quand vous le souhaitez. Intraday Pricing Service associe une base de données sur les instruments financiers d envergure internationale à un système
Plus en détailNotice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013
Notice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013 Date: 15 Février 2013 Pays Intitulé de la mission : République Démocratique du Congo RDC Sélection d un consultant Chef d équipe pour l élaboration
Plus en détailConseil économique et social
NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. GÉNÉRALE ECE/CECI/CONF.5/1 17 mars 2009 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE COMITÉ DE LA COOPÉRATION ET DE L INTÉGRATION ÉCONOMIQUES
Plus en détailEtablissant des exigences techniques pour les virements et les prélèvements en euros et modifiant le règlement (CE) n 924/2009
Proposition de RÈGLEMENT DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL Etablissant des exigences techniques pour les virements et les prélèvements en euros et modifiant le règlement (CE) n 924/2009 Position du BEUC
Plus en détailAtlas économique de Paris 2013 du greffe du tribunal de commerce de Paris
Atlas économique de Paris 213 du greffe du tribunal de commerce de Paris Sommaire INTRODUCTION... 3 PARTIE 1 PARIS DANS SA GLOBALITÉ... 4 GÉOGRAPHIE DES ENTREPRISES PARISIENNES... 5 DENSITÉ DES ENTREPRISES
Plus en détailCatalogues des offres mobiles
Catalogues des offres mobiles Coriolis Télécom Coriolis Télécom, société française pionnière des communications mobiles, est devenue un pilier sur le marché des télécommunications avec 60 000 entreprises
Plus en détailFlotte Automobile (-3,5t)
Flotte Automobile (-3,5t) ASSISTANCE AUX ENTREPRISES Votre parc toujours en mouvement Panne, accident, vol, gestion... AXA Assistance vous simplifie la vie à tous les niveaux. Un simple véhicule immobilisé
Plus en détailCONVENTION EUROPEENNE DU PAYSAGE Convention de Florence
Strasbourg, 19 février 2007 T- FLOR (2007) 12 CONVENTION EUROPEENNE DU PAYSAGE Convention de Florence CONFERENCE DU CONSEIL DE L EUROPE SUR «LA CONVENTION EUROPEENNE DU PAYSAGE» Conseil de l Europe Palais
Plus en détailLA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI»
LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI» La SOPARFI n'est pas régie par une loi spécifique, mais se définit comme une société de capitaux luxembourgeoise soumise à une fiscalité tant directe
Plus en détail