Rappel : Relation de conjugaison = équation reliant les positions de l image et de l objet. Origine au Centre (On souhaite relier O A, O A et f ou f )
|
|
- Mauricette Marois
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 .6 Relations e Conjugaison (CH1 G1 7/12 Rappel : Relation e conjugaison = équation reliant les positions e l image et e l objet a) Relation e Conjugaison avec rigine au Centre rigine au Centre (n souhaite relier, et f ou f ) La clé : n exprime le granissement γ avec THLES ans les bons triangles rectangles 3 théorème e Thalès Possibles (mais 2 suffisent) Peut aussi être utilisée, mais onne un calcul plus long γ = = γ = = = = f n regroupe et on élimine ce qui nous érange : + f + ' ' γ = = = = = 1 = = f f f f 1 1 n passe e l autre coté : + = 1 f insi : Relation e conjugaison au sommet : γ = f UTLTE : btenir irectement les cooronnées e l image à partir e celle e l objet Remarque : La relation e conjugaison est la même pour les 2 types e lentilles (seul le signe e f change) b) Relation e Conjugaison avec rigine au oyer n peut préférer relier les positions es objets et images en les éfinissant epuis le foyer n cherche alors à relier,, et f ou f Le choix es triangles est ifférent : f γ = = = = γ = = = = f f γ = = f n regroupe : ' f 2 = (moins utilisée que l autre au sommet)
2 V Défauts es systèmes optiques (CH1 G1 8/12 berrations géométriques et chromatiques V.1 Rappel es Notions importantes : Stigmatisme : planétisme : Tous les rayons issus un point objet convergent en un unique point image Si le système est stigmatique pour un couple e points (, ), alors il l est pour tout couple (, ) ans les plans transversaux. L image un plan transversal est un plan transversal Conitions e Gauss : Travail avec es rayons PRXUX Proches e l axe optique Pourquoi? V.2 berrations géométriques : aiblement inclinés Dans les conitions e Gauss, les lentilles peuvent être consiérées stigmatiques et aplanétiques. Pourquoi travailler avec es rayons proches e l axe optique? Le stigmatisme (et l aplanétisme) n est pas u tout vérifié pour les rayons éloignés e l axe optique Pourquoi travailler avec es rayons peu inclinés i? Le stigmatisme n est pas u tout vérifié pour les rayons très inclinés L aplanétisme non plus, puisque les rayons issus e l infini ne focalisent plus ans le plan focal. Comment conserver un stigmatisme satisfaisant? Placer un iaphragme Travailler avec lentilles non sphériques V.3 berrations chromatiques Elimine les rayons non paraxiaux Diminue la luminosité e l image n λ = + λ L inice un verre épen en général e la longueur one après la loi e Cauchy ( ) 2 Lumière blanche (liées à la couleur e la lumière) λ > λ n < n Violet Rouge n a rouge violet rouge violet Donc le rouge est moins évié que le violet L image Rouge se forme après l image Violette Concrètement, l image une longueur one peut être nette, alors que les autres couleurs sont floues
3 V nstruments ptique (CH1 G1 9/12 V.1 bjet situé à l infini Principe : RL C Lune Lorsque les rayons provenant un objet viennent e très loin, ils sont quasiment parallèles. Prenons l exemple es rayons provenant e la lune (Rayon RL 17km) vus e la Terre (à une istance 384km) par un télescope e rayon r = 1m. r 7 9 insi : β arctan = 1, ra n peut supposer que les rayons arrivent parallèles Sur Terre Définition : Un objet est it placé à l infini si les rayons qu il émet sont tous parallèles Une image est ite placée à l infini si les rayons qui la forment sont tous parallèles r Lune C β r Remarque : Puisque les rayons sont parallèles jusqu à l infini, la taille e l objet/image est infinie. Un objet à l infini ne peut plus être caractérisé par sa taille (son iamètre ou son rayon). Comment caractériser un objet à l infini? Par son rayon angulaire apparent u son iamètre angulaire apparent 2 eil Exemple e la Lune : tan =.28 RL Diamètre angulaire (entre 2 rayons provenant e et C iamétralement opposés) : 2.57 Rayon angulaire apparent (entre 2 rayons provenant e et e : ( ) Utilité? Si on place un ŒL après l instrument : Pas e fatigue oculaire car pas besoin accommoer (L œil au repos regare à l infini) Si on place un autre instrument après : Pas e réglage nécessaire e la position car la lumière est la même partout 1 2 V.2 ème centré focal ou afocal? a) ème centré focal oyer bjet : Point ont l image est à l infini sur l axe optique oyer bjet REEL : oyer bjet VRTUEL : oyer mage : mage un objet placé à l infini sur l axe optique oyer mage REEL : Déplacement possible oyer mage VRTUEL : Déf : SYSTEME CL Qui possèe es foyers (fait converger ou iverger es faisceaux parallèles)
4 b) ) ème centré afocala (CH1 G1 1/12 Déf: SYSTEME E CL Qui ne possèe pas e foyers (ils sont rejetés à l infini) l transforme un faisceau parallèle en un autre faisceau parallèle focal focal Un système afocal sera caractérisé par son GRSSSSEMENT NGULRE : ' G = V.3 Notions sur l oeil Description : ris : muscle entourant la pupille, recouvert e la cornée qui protège l oeil Pupille : joue le rôle un iaphragme (réglage e la quantité e lumière) Cristallin : joue le rôle une lentille éformable (istance focale variable selon l accommoation) Humeur vitrée = Substance transparente (95% eau) qui remplit la cavité oculaire Rétine = Capteur composé es - Cônes : vision es couleurs si la lumière est suffisante - âtonnets : Vision en noir et blanc sous faible intensité Nerf ptique = Liaison électrique avec le cerveau Œil Normal : L œil normal est it ŒL EMMETRPE U REPS = sans accommoer : La rétine se trouve sur le foyer image u cristallin L œil voit onc net les objets à l infini = l s agit u Punctum Remotum (PR = l infini) EN CCMMDNT (éformation u cristallin par les muscles ciliaires) : La istance focale u cristallin iminue pour que l image se forme encore sur la rétine Le PUNCTUM PRXMUM est le point le plus proche sur lequel l œil peut accommoer De manière commerciale, on accepte la valeur PP 25cm. insi, l œil peut voir e manière nette entre le PP et le PR PP 25cm PR = + Défauts e l œil : La Myopie : Cristallin trop convergent, l image se forme trop proche, avant la rétine Correction avec lentilles ivergentes PP et PR se rapprochent PP PR Hypermétropie : Cristallin trop peu convergent, l image se forme errière la rétine Correction avec lentilles convergentes PP PP et PR s éloignent PR stigmatie : Présence aberrations géométriques Cornée et cristallin non sphérique Correction avec es verres non sphériques Presbytie : Défaut accommoation es muscles qui perent en efficacité (avec l âge en général) Le PP s éloigne et le seul point visible evient le PR Correction avec verres à ouble foyer ou progressif PP PR
5 V.4 Quelques exemples instruments (CH1 G1 11/12 a) Collimateur Un collimateur est simplement une lentille convergente + un objet ponctuel sur son foyer objet bjectif : Envoyer une source ponctuelle non irective à l infini (voir TP) Remarque : Méthoe autocollimation Méthoe permettant e éterminer la position u foyer n place un miroir en sortie u collimateur Si la source est bien placée sur le foyer, alors elle coïncie avec sa propre image réfléchie ans le miroir (très utile en TP) b) Lunette astronomique l s agit un SYSTEME CL ayant pour objectif agranir un objet à l infini (voir TP) bjectif (Lentille côté objet) culaire (Lentille côté œil) ' Etoile à l infini ou objet très lointain mage interméiaire sur le plan focal e l objectif + Superposition un réticule mage renvoyée à l infini agranie pour l œil (Les plans focaux e l objectif et e l oculaire sont confonus) La lunette sera caractérisée par son grossissement angulaire G Exemples : = Lunette e Galilée : (simplifiée) Lunette e Képler : (simplifiée) bjectif Convergente culaire Convergent bjectif Convergente culaire Divergent c) Microscope bjectif (Lentille côté objet) culaire (Lentille côté œil) bjet très proche et e petite taille mage interméiaire agranie + Superposition un réticule ' mage renvoyée à l infini agranie pour l œil (mage interméiaire ans le plan focal e l oculaire)
6 V.4 Quelques exemples instruments - SUTE ) Grossissement commercial une loupe (CH1 G1 12/12 Une loupe est tout simplement une lentille convergente. Lorsque l objet est placé entre le sommet e la lentille et son foyer objet, L image est agranie, virtuelle, et à l enroit. mage agranie, virtuelle, à l enroit bjet à agranir eil Pour mesurer le grossissement, on oit comparer eux angles : G = Diam ètre angulaire m axim al e l'im age à travers la loupe Diam ètre angulaire e l'objet à l'oeil nu au PP (25cm ) Représentons ces eux situations : = Cas limite au foyer u PR eil = Cas sans loupe u PP eil = rctan ( / f ) / f = rctan ( / PP ) / PP insi : G = PP f Par exemple si on onne un grossissement G = 5 pour une loupe, il s agit en fait une lentille e istance focale PP 25cm f = = = 5cm G 4 e) Spectrogoniomètre (utilisé en TP) Le spectrogoniomètre est un instrument permettant e mesurer précisément es angles, à l aie un collimateur et une lunette e visée à l infini. Les rayons peuvent être éviés par es prismes, es miroirs ou es réseaux (2 ème année). La escription complète u spectrogoniomètre est étaillée ans le TP5 ptique Source ien penser aux réglages : Collimateur Réglage e la lunette - Distance réticule-objectif (réticule irect) - Distance réticule-objectif par autocollimation Lunette Réglage u collimateur - Distance fente-lentille par autocollimation - lignement e la source et e la lunette eil
Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE
Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE Année 2006 2007 Table des matières 1 Les grands principes de l optique géométrique 1 1 Principe de Fermat............................... 1 2 Rayons lumineux.
Plus en détailChapitre 2 : étude sommaire de quelques instruments d optique 1 Grandeurs caractéristiques des instruments d optique Grossissement
Chapitre 2 : étude sommaire de quelques instruments d optique 1 Grandeurs caractéristiques des instruments d optique Grossissement Puissance Pouvoir de résolution ou pouvoir séparateur Champ 2 l œil comme
Plus en détail7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision.
7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7.1 Pour la myopie (mauvaise vue de loin) : Test de vision de loin Sur le mur d un pièce, fixez l illustration ci-dessous que vous
Plus en détailSéquence 1. Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique. Sommaire
Séquence 1 Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique Sommaire 1. Physique : Couleur, vision et image Résumé Exercices 2. Chimie : La réaction chimique Résumé Exercices Séquence 1 Chapitre
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailLes bases de l optique
Vision to Educate Les 10 pages essentielles Edition 2014 Introduction Edito Si résumer le métier d opticien dans un livret de 12 pages n est pas possible, nous avons essayé dans ce document d apporter
Plus en détailSur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile
Sur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile W. Lermantoff To cite this version: W. Lermantoff. Sur le grossissement
Plus en détail"La collimation est la première cause de mauvaises images dans les instruments amateurs" Walter Scott Houston
"La collimation est la première cause de mauvaises images dans les instruments amateurs" Walter Scott Houston F.Defrenne Juin 2009 Qu est-ce que la collimation en fait? «Newton»? Mais mon télescope est
Plus en détailOPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS
OPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS PR. MUSTAPHA ABARKAN EDITION 014-015 Université Sidi Mohamed Ben Abdallah de Fès - Faculté Polydisciplinaire de Taza Département Mathématiques, Physique et Informatique
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Approche d'un projecteur de diapositives...2 I.Questions préliminaires...2 A.Lentille divergente...2 B.Lentille convergente et
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailPROPRIÉTÉS D'UN LASER
PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)
Plus en détailÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique?
ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? Temps de préparation :...2 h 15 minutes Temps de présentation devant le jury
Plus en détailLa spectrophotométrie
Chapitre 2 Document de cours La spectrophotométrie 1 Comment interpréter la couleur d une solution? 1.1 Décomposition de la lumière blanche En 1666, Isaac Newton réalise une expérience cruciale sur la
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailActivité scientifique et recherche :
L INSTITUT DE L ŒIL Notre Mission: L Institut de l Œil de Montréal a pour mission d offrir à chaque patient, une évaluation individuelle de l état de santé de ses yeux, qui tient compte de l ensemble de
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailMémento à l usage du personnel des laboratoires
Mémento à l usage du personnel des laboratoires sécurité laser édition février 2005 Pôle Maîtrise des Risques Direction de la Protection et de la Sûreté Nucléaire Symbole des nouvelles technologies, l
Plus en détailFaculté de physique LICENCE SNV EXERCICES PHYSIQUE Par MS. MAALEM et A. BOUHENNA Année universitaire 2010-2011
Faculté de physique LICENCE SNV L1 EXERCICES DE PHYSIQUE Par Année universitaire 2010-2011 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE: GÉNÉRALITÉS ET MIROIR PLAN Ex. n 1: Citer quelques systèmes optiques, d'usage courant. Ex.
Plus en détailHydrodynamique des lits fluidisés en régime de bullage
Hyroynamique es lits fluiisés en régime e ullage M. HEMATI Régime e ullage. La plupart es lits fluiisés inustriels fonctionnent en régime e ullage. Ce régime est oservé ès que la vitesse u gaz épasse la
Plus en détail1S9 Balances des blancs
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailLa recherche d'indices par fluorescence
La recherche d'indices par fluorescence Ces sources d éclairage à haute intensité permettent, en fluorescence, la mise en évidence d indices qui ne sont pas visibles ou peu à l oeil nu. Ex : empreintes
Plus en détailMeine Flüssigkeit ist gefärbt*, comme disaient August Beer (1825-1863) et Johann Heinrich Lambert (1728-1777)
1ère S Meine Flüssigkeit ist gefärbt*, comme disaient August Beer (1825-1863) et Johann Heinrich Lambert (1728-1777) Objectif : pratiquer une démarche expérimentale pour déterminer la concentration d une
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détailpka D UN INDICATEUR COLORE
TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailL'ORDINATEUR ET LA VUE
45 L'ORDINATEUR ET LA VUE On parle beaucoup des troubles liés au travail devant écran d'ordinateur. Qu'en est-il des recherches dans ce domaine? On peut dire que les problèmes de la vision sur écran en
Plus en détailLA CHIRURGIE DE LA CATARACTE. Comment se déroule la chirurgie de la cataracte?
LA CHIRURGIE DE LA CATARACTE Comment se déroule la chirurgie de la cataracte? Une intervention de routine En France, plus de 500 000 chirurgies de la cataracte sont réalisées chaque année. L intervention
Plus en détailLE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS
LE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS DOCUMENT ÉTABLI PAR LA COMMISSION PARITAIRE SANTÉ ET PRÉVENTION DES RISQUES DES TÉLÉCOMMUNICATIONS LE CONTEXTE Quel que soit le secteur d activité,
Plus en détailBien voir pour bien conduire
Bien voir pour bien conduire Bien voir pour sa sécurité Que signifie avoir une bonne vue? Voir bien donne plus d assurance sur la route. Diverses études récentes prouvent qu une bonne vue et une perception
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailImmersion - Vision 3D dans la RV.
Cours RVS Master II IVA Immersion - Vision 3D dans la RV. Cours de Réalité Virtuelle et Simulation Master II - IVA A. Mebarki - Maître de Conférences Département d'informatique Faculté des Mathématiques
Plus en détailSavoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée
Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement
Plus en détailDécouvrir la voûte céleste c est avant tout une balade dans le ciel qui nous entoure. Mais pour se promener d une étoile ou d une galaxie à une
Patrice Octobre 2012 Découvrir la voûte céleste c est avant tout une balade dans le ciel qui nous entoure. Mais pour se promener d une étoile ou d une galaxie à une autre, il faut savoir où regarder dans
Plus en détailSpectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :
Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailNi tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer
Ni tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer BUT : Etudier les synthèses additives et soustractives Comprendre la notion de couleur des objets COMPETENCES : Rechercher et trier des informations
Plus en détailLunettes et Maquillage TECHNIQUE MAQUILLAGE
TECHNIQUE MAQUILLAGE 20 Lunettes et Maquillage Comment se maquiller quand on porte des lunettes ou des lentilles? Quelle monture privilégier en fonction de sa forme de visage? Quelles couleurs choisir?
Plus en détailTP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler
TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailÉtude et modélisation des étoiles
Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur
Plus en détailComment fabriquer un miroir de télescope?
Comment fabriquer un miroir de télescope? Origine et historique du projet: Le concours «olympiades de physique» étant consacré plus particulièrement cette année à l'astronomie, un groupe de lycéens de
Plus en détailChoisir entre le détourage plume et le détourage par les couches.
Choisir entre le détourage plume et le détourage par les couches. QUEL CHOIX D OUTILS ET QUELLE METHODE, POUR QUEL OBJECTIF? Il existe différentes techniques de détourage. De la plus simple à la plus délicate,
Plus en détailTITRE PARTIE TITRE SECTION. Faire des anaglyphes avec CatiaV5
TITRE PARTIE TITRE SECTION Faire des anaglyphes avec CatiaV5 1 SOMMAIRE SOMMAIRE 1. QU'EST-CE QU'UN ANAGLYPHE? 3 2. LES LOGICIELS A INSTALLER 5 3. CREATION D'UN ANAGLYPHE FIXE 6 4. CREATION D'UN ANAGLYPHE
Plus en détaileduscol Ressources pour le lycée général et technologique Physique - Chimie Ressources pour la classe de première générale et technologique Série S
eduscol Ressources pour le lycée général et technologique Ressources pour la classe de première générale et technologique Physique - himie Série S es documents peuvent être utilisés et modifiés librement
Plus en détailI - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES
I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et
Plus en détailLa magnitude des étoiles
La magnitude des étoiles 1.a. L'éclat d'une étoile L'éclat d'une étoile, noté E, est la quantité d'énergie arrivant par unité de temps et par unité de surface perpendiculaire au rayonnement. Son unité
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailLes deux points les plus proches
MPSI Option Informatique Année 2001, Deuxième TP Caml Vcent Simonet (http://cristal.ria.fr/~simonet/) Les eux pots les plus proches Lors e cette séance, nous allons nous téresser au problème suivant :
Plus en détailPlan du cours : électricité 1
Semestre : S2 Module Physique II 1 Electricité 1 2 Optique géométrique Plan du cours : électricité 1 Partie A : Electrostatique (discipline de l étude des phénomènes liés aux distributions de charges stationnaires)
Plus en détailCollimateur universel de réglage laser
Collimateur universel de réglage laser Manuel de l utilisateur Réf. WG-840 Mise à jour 27.08.2013 En projetant un rayon laser dans l axe du canon de votre arme à feu, ce collimateur universel de réglage
Plus en détailAiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon. Rapport de mesure
AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon Rapport de mesure Référence : 2010-44001 FJ Référence 2010-44001 Client Airylab Date 28/10/2010 Type d'optique Lunette 150/1200 Opérateur FJ Fabricant
Plus en détailCOTTAZ Céline DESVIGNES Emilie ANTHONIOZ-BLANC Clément VUILLERMET DIT DAVIGNON Nicolas. Quelle est la trajectoire de la Lune autour de la Terre?
COTTAZ Céline DESVIGNES Emilie ANTHONIOZ-BLANC Clément VUILLERMET DIT DAVIGNON Nicolas Quelle est la trajectoire de la Lune autour de la Terre? Terminale S1 Lycée Elie Cartan Olympiades de Physiques 2003-2004
Plus en détailAUTOPORTE III Notice de pose
AUTOPORTE III Notice de pose Vous avez acquis le système AUTOPORTE, nous vous en remercions. Veuillez lire attentivement cette notice, vous serez à même de faire fonctionner correctement ce système. FONCTIONNEMENT
Plus en détailStation Totale Geomax Série Zoom30
Station Totale Geomax Série Zoom30 GeoMax Profil de l entreprise GeoMax est une entreprise fort de solides positions sur L étroite collaboration qui présente à l international et le marché des technologies
Plus en détailChapitre VI Contraintes holonomiques
55 Chpitre VI Contrintes holonomiques Les contrintes isopérimétriques vues u chpitre précéent ne sont qu un eemple prticulier e contrintes sur les fonctions y e notre espce e fonctions missibles. Dns ce
Plus en détailPOLITIQUE SUR LA SÉCURITÉ LASER
Date d entrée en vigueur: 30 aout 2011 Remplace/amende: VRS-51/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-51 Les utilisateurs de lasers devront suivre les directives, la politique
Plus en détailCONSTANTES DIELECTRIQUES
9 E7 CONTANTE DIELECTRIQUE I. INTRODUCTION Dans cette expéience, nous étuieons es conensateus et nous éiveons les popiétés e iélectiques tels que l'ai et le plexiglas. II. THEORIE A) Conensateus et iélectiques
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailChapitre. Chapitre 12. Fonctions de plusieurs variables. 1. Fonctions à valeurs réelles. 1.1 Définition. 1.2 Calcul de dérivées partielles
1 Chapitre Chapitre 1. Fonctions e plusieurs variables La TI-Nspire CAS permet e manipuler très simplement les onctions e plusieurs variables. Nous allons voir ans ce chapitre comment procéer, et éinir
Plus en détail315 et 495 sont dans la table de 5. 5 est un diviseur commun. Leur PGCD n est pas 1. Il ne sont pas premiers entre eux
Exercice 1 : (3 points) Un sac contient 10 boules rouges, 6 boules noires et 4 boules jaunes. Chacune des boules a la même probabilité d'être tirée. On tire une boule au hasard. 1. Calculer la probabilité
Plus en détailSeconde MESURER LA TERRE Page 1 MESURER LA TERRE
Seconde MESURER LA TERRE Page 1 TRAVAUX DIRIGES MESURER LA TERRE -580-570 -335-230 +400 IX - XI siècles 1670 1669/1716 1736/1743 THALES (-à Milet) considère la terre comme une grande galette, dans une
Plus en détailMoments des variables aléatoires réelles
Chapter 6 Moments des variables aléatoires réelles Sommaire 6.1 Espérance des variables aléatoires réelles................................ 46 6.1.1 Définition et calcul........................................
Plus en détailChapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide
Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide I Rappels : Référentiel : Le mouvement d un corps est décris par rapport à un corps de référence et dépend du choix de ce corps. Ce corps de référence
Plus en détailDérivées et intégrales non entières
que "non entière". Dérivées et intégrales non entières. Notations. Outils Robert Janin La terminologie est plutôt "fractionnaire" On notera f (k) ou k x k f la érivée orre k e la fonction f et nous pourrons
Plus en détailL EFFET PARALLAXE N EST
50 3 Objets L EFFET PARALLAXE N EST PAS SPÉCIFIQUEMENT UN TRUCAGE D AFTER EFFECTS. C est un principe que vous devriez avoir à l esprit quand vous travaillez en 3D. En raison de la nature de la 3D dans
Plus en détailThéorie des graphes et optimisation dans les graphes
Théorie es graphes et optimisation ans les graphes Christine Solnon Tale es matières 1 Motivations 2 Définitions Représentation es graphes 8.1 Représentation par matrice ajacence......................
Plus en détailLES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.
LES ESCALIERS I. DÉF I NIT I O N Un escalier est un ouvrage constitué d'une suite de marches et de paliers permettant de passer à pied d'un niveau à un autre. Ses caractéristiques dimensionnelles sont
Plus en détailMicroscopie de fluorescence Etat de l art
Etat de l art Bibliométrie (Web of sciences) CLSM GFP & TPE EPI-FLUORESCENCE 1 Fluorescence Diagramme de JABLONSKI S2 S1 10-12 s Excitation Eex Eem 10-9 s Émission Courtoisie de C. Spriet
Plus en détailRéseau électrique. Le transport de l énergie électrique depuis la centrale électrique jusqu à la maison de Monsieur Toulemonde
Alain ROBERT Réseau électrique Le transport de l énergie électrique depuis la centrale électrique jusqu à la maison de Monsieur Toulemonde Fabrication et utilisation de la maquette UTLO - Groupe InterGénérations
Plus en détailLa spectro, c'est facile
La spectro, c'est facile OHP Spectro Party Observatoire de Haute Provence 25-30 juillet 2014 François Cochard francois.cochard@shelyak.com La spectro, c'est facile à certaines conditions OHP Spectro Party
Plus en détailSeconde Sciences Physiques et Chimiques Activité 1.3 1 ère Partie : L Univers Chapitre 1 Correction. Où sommes-nous?
Où sommes-nous? Savoir où nous sommes dans l Univers est une question fondamentale à laquelle les scientifiques de toutes les époques ont apporté des réponses, grâce aux moyens qui étaient les leurs. Pour
Plus en détailL opération de la cataracte. Des réponses à vos questions
L opération de la cataracte Des réponses à vos questions Qu est-ce que la cataracte? Quel objectif? Cette brochure vous donne toutes les informations utiles concernant l opération de la cataracte. Définition
Plus en détailEXERCICES DE REVISIONS MATHEMATIQUES CM2
EXERCICES DE REVISIONS MATHEMATIQUES CM2 NOMBRES ET CALCUL Exercices FRACTIONS Nommer les fractions simples et décimales en utilisant le vocabulaire : 3 R1 demi, tiers, quart, dixième, centième. Utiliser
Plus en détailSimulation Matlab/Simulink d une machine à induction triphasée. Constitution d un référentiel
Simulation Matlab/Simulink une machine à inuction triphasée Constitution un référentiel Capocchi Laurent Laboratoire UMR CNRS 6134 Université e Corse 3 Octobre 7 1 Table es matières 1 Introuction 3 Moélisation
Plus en détailLa lumière. Sommaire de la séquence 10. t Séance 4. Des lumières blanches. Des lumières colorées. Les vitesses de la lumière
Sommaire de la séquence 10 La lumière t Séance 1 Des lumières blanches t Séance 2 Des lumières colorées t Séance 3 Les vitesses de la lumière t Séance 4 Je fais le point sur la séquence 10 Ce cours est
Plus en détailEnsemble léger de prise de photo sous UV-A Tam Photo Kit n 1 pour appareil photo compact
Ensemble léger de prise de photo sous UV-A Tam Photo Kit n 1 pour appareil photo compact Phone +33 (0)130 808 182 - Fax. +33 (0)130 808 199 /15 rue des Frères Lumière - ZI des Ebisoires BP136-78374 PLAISIR
Plus en détailPriorités de calcul :
EXERCICES DE REVISION POUR LE PASSAGE EN QUATRIEME : Priorités de calcul : Exercice 1 : Calcule en détaillant : A = 4 + 5 6 + 7 B = 6 3 + 5 C = 35 5 3 D = 6 7 + 8 E = 38 6 3 + 7 Exercice : Calcule en détaillant
Plus en détailGuide d utilisation des LASER
Guide d utilisation des LASER Mai 2013 Mikael Leduc, département de génie physique Officier en Sécurité Laser Table des matières 1. Laser 1.1 Classes et dangers p.2 1.2 Exposition maximum permise p.3 2.
Plus en détailLes interférences lumineuses
Les interférences lumineuses Intérêt de l étude des interférences et de la diffraction : Les interférences sont utiles pour la métrologie, la spectrométrie par transformée de Fourier (largeur de raie),
Plus en détailLa Photographie - Page 1 / 13
La Photographie - Page 1 / 13 Table des matières 1. Généralités sur la lumière... 3 2. La photographie... 5 2.a. Le support... 5 2.a.i. L argentique... 5 2.a.ii. Le numérique... 6 3. L outil appelé appareil
Plus en détailExposition des salariés aux rayonnements optiques artificiels
Exposition des salariés aux rayonnements optiques artificiels Direction de la Santé - Division de la Santé au Travail SOMMAIRE [ p. 4 - p. 5 ] Introduction [ p. 6 - p. 7 ] Législation Obligations de l
Plus en détailTOUT CE QU IL FAUT SAVOIR POUR LE BREVET
TOUT E QU IL FUT SVOIR POUR LE REVET NUMERIQUE / FONTIONS eci n est qu un rappel de tout ce qu il faut savoir en maths pour le brevet. I- Opérations sur les nombres et les fractions : Les priorités par
Plus en détailMathématiques et petites voitures
Mathématiques et petites voitures Thomas Lefebvre 10 avril 2015 Résumé Ce document présente diérentes applications des mathématiques dans le domaine du slot-racing. Table des matières 1 Périmètre et circuit
Plus en détailIR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure
IR Temp 210 Thermomètre infrarouge Contenu 1. Spécifications...26 2. Touches et affichages...28 3. Utilisation...30 4. Entretien...31 5. Elimination des piles et de l appareil...31 6. Tableau de facteur
Plus en détailPop-Art façon Roy Liechtenstein
1 sur 6 22/01/2010 22:35 Pop-Art façon Roy Liechtenstein Ce tutoriel peut paraître loin de la photographie, mais il contient des techniques très utiles, voire indispensables en matière de retouche. 1 -
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailSynthèse d'images I. Venceslas BIRI IGM Université de Marne La
Synthèse d'images I Venceslas BIRI IGM Université de Marne La La synthèse d'images II. Rendu & Affichage 1. Introduction Venceslas BIRI IGM Université de Marne La Introduction Objectif Réaliser une image
Plus en détailEcran : Processeur : OS : Caméra : Communication : Mémoire : Connectique : Audio : Batterie : Autonomie : Dimensions : Poids : DAS :
SMARTPHONE - DUAL-CORE - NOIR 3483072425242 SMARTPHONE - DUAL-CORE - BLEU XXXX SMARTPHONE - DUAL-CORE - BLANC 3483072485246 SMARTPHONE - DUAL-CORE - ROSE 3483073704131 SMARTPHONE - DUAL-CORE - ROUGE XXXX
Plus en détailLa révolution des satellites de Jupiter
La révolution des satellites de Jupiter Guide de l'élève Manuel d'accompagnement du logiciel Exercice d'astronomie Version 2 Département de Physique Gettysburg College Gettysburg, PA 17325 Email : clea@gettysburg.edu
Plus en détail