Centre fiv Clinique Ghandi M.Bennis, J.Berranoun, N.Ouajou, R.Lahlou,M.Jennan

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Centre fiv Clinique Ghandi M.Bennis, J.Berranoun, N.Ouajou, R.Lahlou,M.Jennan"

Transcription

1 La Stimulation O v a r i e n n e en fiv Centre fiv Clinique Ghandi M.Bennis, J.Berranoun, N.Ouajou, R.Lahlou,M.Jennan

2 Introduction La stimulation ovarienne est la thérapeutique la plus utilisée en infertilité. Traitements coûteux, contraignants et non sans risques En PMA Maîtriser la stimulation est fondamentale, toutes les étapes en dépendent, du Recueil ovocytaire, Trsf d embryon Taux de grossesse. Il est fini le temps stimulations intempestives et des TE de haut rang Hyperstimulation et Grossesses multiples Accident TE, pertes fœtales, prématurité, Toxémie, hémorragies D.

3 La Tendance Aujourd hui Changement d attitude Non sans la pression du législateur Soft Stimulation ou Friendly fiv : Le but c est de prélever Juste Suffisamment d ovocytes matures (6 à 8) Permettant l obtention de 4 à 6 E de qualité Autorisant un choix confortable avt Transfert SET imposée en Be, Sw Transfert de 1 à 2 E de grade 1 Est garant d un taux de grossesse autour de 25 à 30%

4 Évaluation facteurs pronostic avant induction de l ovulation

5 Facteurs Pronostic 1.Anamnèse rechercher - Troubles de l ovulation : l Insuffisance ou la dystrophie ovarienne - Reconstituer les stimulations antérieurs - ATCD Thrombo-emboliques / HYPER E2, CI stim 2.Clinique, «situations ou la réponse ovarienne est diminué» - Age >36 ans - L excès pondéral associé à : hyper insulinisme, - Hyper androgénie - Galactorrhée avec une Hyper PRL - ATCD chirurgie pelvienne/ Adhérences

6 3. Marqueurs Réserve Ovarienne prédictifs réponse ovarienne Indispensable, Profil hormonal Valeurs normales à J3 chez les normo répondeuses FSH < 9.4UI/ml Estradiol Echographie J3 AMH > 36 ans Inhibine B < 50pg/ml!3 follicules / Ovaire!OPK > 2.5ng/ml > 45pg/ml

7 Que dire de ces facteurs? FSH à J3 < 9.45 pg/ml *** Un marqueur fiable de la réserve ovarienne Fsh 10 et 15 : début de résistance ovarienne Fsh >15 toute stimulation serait infructueuse E2 à J3 < 50pg/ml *** E2 > 50 pg: insuffisance ovarienne débutante précède la montée de la FSH très péjoratif si associé à une fsh > 10 AMH > 2.5 ng/ml facteur fiable du déclin de la fonction ovarienne Inhibine B > 45 pg/ml Créditée d une excellente Valeur prédictive au début actuellement considérée comme inutile

8 4.Facteur prédictifs de la sensibilité ovarienne LH élément indispensable LH < à 2 c est une insuffisance H.Hypophysaire Rapport LH / FSH > 1.4 prédit une réponse explosive Prolactine peut être délétère pour la croissance foll HPRL induite / stress Inutile en l absence de galactorrhée, TSH, T3, T4 Signes cliniques d appel d hypo ou d hyperthyroïdie, Androgènes Testo, 4 AD, Sulfate DHA dosage utile En cas de signes cliniques d hyper androgénie

9 Les Protocoles fiv

10 L arsenal thérapeutique disponible au Maroc Analogues de GnRH Décapeptyl 01mg Antagonistes de GnRH Ogalutran 0.25mg FSH-r Puregon/ Gonal-f Pen* FSH, LH Ménopure * LH-r Luveris dernier né HCG Pregnyl demi vie 15j HCG-r Ovitrelle HSO

11 Les Co-Traitements pouvant améliorer la stimulation L'amaigrissement des obèses Il est utile avant la mise en route d'une stimulation Réduisant l'hyper insulinisme et l'hyper androgénie, La metformine (glucophage ) Réduit l'hyperinsulinisme Améliore l'ovulation spontanée ou stimulée / CC, FSH Bénéfice controversé, mais il n y aurait pas d'effet malformatif. La Bromocriptine (Parlodel ) En cas d'hyper prolactinémie (14% des OPK ). Les corticoïdes (Cortancyl, Dexaméthasone ) en En cas de taux élevé de sulfate de DHA,

12 Les protocoles longs

13 Mode d action des analogues HYPOHPYSE Gn Rh Agoniste GnRh Niveau LH ui/ml 8 Niveau LH ui/ml Secrétions pulsatile / 3 Heures Désensibilisation En quelques Jours Effet Flare up

14 Mode d action des analogues Gn Rh LH FSH Agoniste GnRh Antagonistes GnRh Niveau LH u/ml 8 Niveau LH u/ml Secrétions pulsatile / 3 Heures Désensibilisation En quelques Jours Effet Flare up Désensibilisation immédiate Quelques Heures

15 PL. Analogues, FSH-r Décapeptyl 01 mg *** ou 3.75 mg Le Gold Standard, 90 % des cycles au Maroc Décap 01 maniable, modifier les dose réponse régulière (les normo-répondeuses La FSH-r seule assure croissance foll ( sans LH ) La LH résiduelle suffit à maintenir un taux normal E2 seuil minimum 1.2 à 2.0 ui / ml Le choix de la dose d induction reste empirique?!! Éléments prédictifs de la réponse ovarienne Âge, Poids Profil hormonal, Echo ovarienne à J3 Type de réponse aux stimulations antérieures GnRh Analogues LH seuil

16 Les PL Séquentiels FSH LH Une nouveauté émergente, ou retour aux sources En cours d évaluation (Filicori et coll) Substitution totale de FSH-r par LH ou mini dose de Hcg En 2ème partie de la phase folliculaire Dès que follicules ont atteint 14 mm ( acquisition de rec LH ) n induisait pas de lutéinisation folliculaire, progestérone restait basse < 1.5 ng / ml Par contre il y avait une atrésie des follicules < 10 mm +++ intérêt particulier en cas de risque HSO le rapport optimal entre FSH et LH ou mini-hcg Les doses préconisées sont: 75 à 150 UI LH ou 50 / 200 UI HCG

17 PL analogues FSH-r Principe Analogue Gn-Rh Décapeptyl 0.1mg D Jeudi Fsh 100 à 150 UI Ponction Phase lutéale Hémorragie de privation Transf J1 L5 M7 V9 S10 L12 M14 V16 Monitorage E2 - LH Echo Désensibilisation obtenue dès 10 ème j Stimulation 10 à 13 J

18 PL Analogues FSHr Reproches KO récurrents Flare up début des analogues en phase lutéale Hyper stimulation fréquente (même en dh des OPK) large Fenêtre d exposition à FSH deux générations de follicules Down régulation chez 20 à 30% des femmes LH reste en dessous du seuil minimum Mauvaise réponse ovarienne ( Westergraad )

19 PL analogues FSH-r Normo répondeuse E Analogue Gn-Rh Décapeptyl 0.1mg Fsh 100 à 150 UI Hcg 5000 UI dès 3 foll>17mm Hémorragie de privation J1 J5 J7 J9-12 S 36 h Critères démarrage E2 < 50 pg / ml Absence de KO LH > seuil 1.2 à 2 UI E Recueil 8 à 10 ovocytes

20 Comment améliorer les P.Longs Femmes dites mauvaise répondeuses recrutement < 4 foll pour des doses standards et E2 < 1000 pg Associer un traitement adjuvant en cas galactorrhée, Corriger une hyper androgénie, hypo thyroïdie, excès pondéral Indication cœlioscopie en cas de pelvis adhérentiel ou infection chronique en cas d Insuffisance ovarienne vraie, il n y a pas de recette miracle Même si le recrutement peut être amélioré Persiste la mauvaise qualité Ovocytaire (femme âgée) Tests de réserve ovarienne avant entreprendre une Stim +++

21 Comment améliorer les P.Longs Stimulation chez une mauvaises répondeuses But induire une cohorte suffisante (si femme jeune) Augmenter les doses d induction FSH-r atteindre le seuil de sensibilité : 300 à 350 ui/j * 6j, relais/200 ui Réduire la dose des analogues, Busériline J6 Supplémentation en LH si down régulation profonde En l absence de réponse J7-J8, foll < 3, E2< 500 envisager l abandon du cycle, Déclenchement si au moins 4 foll recrutés et E2 > 1000 pg / ml Recours au P. Court en cas de reprise d un nouveau cycle

22 PL analogues FSH-r mauvaise répondeuse E Décapeptyl 0.05 mg Fsh 300 UI 75 UI LH - r 200 UI Hcg 3foll>17 Hémorragie de privation J1 J5 J7 J h Critères démarrage E2 < 50 pg / ml Absence de KO LH > seuil 1.2 à 2 UI Monitorage E2 -LH Echo Recueil 4 à 6 ovocytes

23 PL analogues FSH-r Transfert E congelé E Décapeptyl 0.05 mg Hcg Hcg 5 5 à à UI UI UI UI E2/FOLL E2/FOLL Endom Endom 8 8 à à mm mm D 50 UI Purégon Hémorragie de privation J1 J5 J7 J10 J12 4 à 6 J Critères démarrage E2 < 50 pg / ml Absence de KO Monitorage E2 -LH Echo Transfert Prg 8 à 10 ng/ml

24 Comment améliorer les P.Longs Risque d hyper stimulation Femme jeune, maigre OPK ou ATCD connus HSO LH/FSH > 1.4 dose d induction faible entre 50 à 75 UI FSH-r, Augmenter les doses par paliers 25UI/5j Step up low dose (recherche du seuil) Allongement de la durée de stim

25 PL analogues FSH-r SOPK, Step-up Low dose E Décapeptyl 0.1 mg Fsh UI LH - r 25 UI seuil Lh-r 3foll>17 Hémorragie de privation J1 J5 J7 J h Critères démarrage E2 < 50 pg / ml Absence de KO LH > seuil 1.2 à 2 UI Monitorage E2 -LH Echo Recueil

26 Échappement Imprévisible J5 E2 à UI / ml et ou cohorte > ou = 10 Foll / ovaire, hétérogènes 1- Diminuer les doses de FSH-r par pallier 2- Substituer la FSH-r / LH ou mini doses HCG (atresie pt foll) 3-Possibilité de coasting Si pas d infléchissement de la courbe E2 à J8 déclenchement si E2 est ramené à moins 2500 à 3000 pg / ml Différer le transfert, si risque HSO persistant (E2> 3500 UI, J HCG ) suppose congélation des Embryons

27 PL analogues FSH-r SHSO échappement E Décapeptyl 0.1 mg Coasting 1000 Fsh 150 à 250 UI/ 25 UI LH r 75 ui / hcg 200 ui 50 ui Lh-r* 500 Hémorragie de privation J1 J5 J7 J h Critères démarrage E2 < 50 pg / ml Absence de KO LH > seuil 1.2 à 2 UI Monitorage E2 -LH Echo Recueil

28 CAS CLINIQUE Femme de 26 ans Stérilité masculine OPK LH J 3 à 9.5 PL agoniste Fsh-r Déca 0.1 mg phase lutéale *15 j Purégon 150 ui J1 J4 E2 J5 890 pg Purégon 50 ui J5-J7 E2 J8 : 1750 pg le Nbre foll : 18 / Ov mm Arrêt de purégon Luveris 75 ui / j Contrôle prévu lundi

29 Protocole antagoniste

30 Protocole Antagonistes Fsh-r Protocole de demain? En progression après une période d abandon Procure un vrai Confort des patientes traitement plus simple, plus court 12 j, (moins d injections) Apporte surtout une Sécurité Absence flare-up, pas de KO moins de follicules secondaire, moins de SHSO SHSO = 0.82%, Contre 2.22% pour les analogues ( H.Inany ) Indication de choix en cas d OPK OU ATCD d hyper stimulation les femmes jeunes normo répondeuses( soft stim ) Cycle IAC fiv

31 Protocole Antagonistes Principe 5 Jours Homogénéisation antagoniste* Fsh-r CO Règles Désensibilisation J1 J6 J11 Jeudi Programmation date fixe

32 Protocole Antagoniste préconisé E2 :1200 à 1500 pg Hcg ou décap Orgalutran J6 date fixe +++ Fsh 150 UI Dose constante CO R Desensibilisatio Homogénéisation Programmation J1 J6 J10-12 Initiation antagoniste Follicules à 14 mm

33 Les Raisons du dénigrement - La Chute d E2 (à l introduction les antagonistes ) - Le taux Grss / ponction < de 5% Analogues ( H.Inany et al 2001) En réalité la causse des mauvaise performance est liée à 1 lutéinisation précoce Élévation de la LH au début de la phase folliculaire ( feed back + E2 ) d autant plus que l initiation des antag est tardive ( > J6 ) Chute brutale de la LH Fin de phase folliculaire 2 maturation Ovocytaire perturbée FSH J6 antagoniste Lutéinisation Désensibilisation

34 Ongoing pregnancy rate and ongoing implantation rate across groups of patients with increasing LH levels according to percentile analysis Groups of patients according to LH levels on day 8 LH level on day 8 mean min Tableau Devreuil max Ongoing pregnancy rate per oocyte retrieval % (n) Ongoing implantation rate % (n) Pregnancy loss after hcg detection before 12 weeks % (n) 0-25th (14/25) 39.1 (18/46) 6.7 (1) 25-75th (25/62) 24.6 (31/126) 7.4 (2) th (7/29) 15.7 (8/51) 12.5 (1) P < 0.010* P < 0.018* P < 0.71* * Exact Chi- square for trend Kolibianakis HR 2004

35 Antagonistes et Endomètre BE le jour de la ponction Kolibianakis al 2002 N = 55, antagoniste 0.25 mg début J5 ou foll à 14 mm 1. L excès de LH en phase folliculaire 2. Lutéinisation précoce et fermeture de la fenêtre d implantation 3. Aucune gross si avance de la maturation de l endom > 3 jours Croissance foll Maturation foll Lutéinisation J1 J6 J12 14 Fin phase foll

36 Endometrial biopsy on the day of oocyte retrieval, GnRH agonist and gonadotrophin stimulation cycle Anapath endomètre Endometrial biopsy on the day of ovulation, natural cycle No secretory features Clear secretory features

37 Endometrium histology at OPU and the probability of pregnancy Author Stimulation Endometrial advancement Odds ratio 95% CI P 3 days > 3 days Clinical pregnancy rate Ubaldi (1997) hmg/agonist 10/32 0/7 Kolibianakis (2002) FSH-r Antagonist 11/49 0/6 21/81 0/ Ongoing pregnancy rate Ubaldi (1997) hmg/agonist 10/32 0/7 Kolibianakis (2002) FSH-r Antagonist 8/49 0/6 18/81 0/ Kolibianakis et al Fertil Steril 2002

38 Protocoles antagonistes Comment les améliorer Programmation du cycle par OP Quelle dose de FSH-r? Initialisation des Antagonistes Date déclenchement

39 Programmation du cycle Œstrogèno - thérapie en phase lutéale du cycle précédent 4mg beta E2 J20 au J2, Meilleure synchronisation de la cohorte folliculaire Plus d ovocytes mature, plus d embryons Fanchin et all ECHRE 2002

40 Quelle dose de FSH-r? Dose initiale de FSH-r 150 UI N= UI N= 59 P Ovocyte Embryons Gross / cycle NS L augmentation de la dose de FSH-r en phase initiale n améliore pas le taux de grossesse ( Wikland M Hum reprod 2001 ) Aucun intérêt non plus à augmenter la dose le jour de l antagoniste (Olivens)

41 Initialisation précoce des antagoniste Effet positif sur le taux de grossesse Raga, GEFF 2007 Fsh-r Antagoniste J1 du cycle Grpe A Grpe B Grpe C Jour de Fsh-r J2 J7 J12 Taux d implantation 27,5% 35,2% 34,8%

42 Déclenchement précoce par HCG Etude prospective randomisée Kolibianakis et al Fertil Steril 2004 Early-hCG Late-hCG P 3 foll >17mm 2 days after Ongoing pregnancy rate per OPU (n) 35.6% (69/194) 25% (49/196) Ongoing pregnancy rate per ET (n) 39.2% (69/176) 27.7% (49/177) Ongoing implantation rate (n) 22.6% (87/385) 15.1% (58/383) 0.009

43 Protocole Antagoniste modifié E2 :1200 à 1500 pg Précoce 3foll 17mm J1 Orgalutran précoce 150 UI Dose constante J1 J7 J10-12 Initiation antagoniste J1 Fin Phase foll Séquence E2 LH physiologique

44 Traitement au future GnRh Antagonist précoce FSH-r relai par LH-r en fin de cycle Déclenchement par LH-r dès 3 foll > 17 mm Congélation tous les zygotes Replacement 1E après décongelation Supplementation phase lutèale P. Devroey Casablanca oct 2007

45 Conclusion L arsenal thérapeutique dont nous disposons Permet d affiner les protocoles en PMA autorisant le concept du "sur mesure". Principe : Cadrer des femmes différentes dans un même standard Objectif : PMA sans risques Dompter le syndrome d hyper stimulation Faire oublier les grossesses multiples

46

Exploration et Prise en charge d un couple infertile

Exploration et Prise en charge d un couple infertile Exploration et Prise en charge d un couple infertile Florence LESOURD Pôle d Obstétrique, Gynécologie et Médecine de la Reproduction CHU Paule de Viguier - Toulouse DIU de Médecine de la Reproduction-Gynécologie

Plus en détail

Extrait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique

Extrait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique COLLÈGE NATIONAL DES GYNÉCOLOGUES ET OBSTÉTRICIENS FRANÇAIS Président : Professeur M. Tournaire Extrait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique Tome XXII publié le 2.12.1998 VINGT-DEUXIÈMES JOURNÉES

Plus en détail

GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire

GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire ésumé des Caractéristiques du Produit 1 sur 5 21/09/2010 14:31 Mis à jour : 16/02/2010 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral

Plus en détail

SERVICE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE - CLINIQUE DE FERTILITE

SERVICE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE - CLINIQUE DE FERTILITE 1 TABLE DES MATIERES 1. Un petit mot d introduction 2. En quoi consiste le don d ovocyte? 3. A qui s adresse le don d'ovocyte? 4. Les différents types de don d ovocyte A. Le don anonyme B. Le don dirigé

Plus en détail

Fécondation in vitro avec don d ovocytes

Fécondation in vitro avec don d ovocytes Fécondation in vitro avec don d ovocytes Ref. 155 / abril 2009 Service de Médecine de la Reproduction Gran Vía Carlos III 71-75 08028 Barcelona Tel. (+34) 93 227 47 00 Fax. (+34) 93 491 24 94 international@dexeus.com

Plus en détail

Bienvenue à la Clinique de Fertilité de Mons

Bienvenue à la Clinique de Fertilité de Mons Bienvenue à la Clinique de Fertilité de Mons Le centre hospitalier Ambroise Paré collabore depuis de nombreuses années avec les Cliniques Universitaires de Bruxelles Hôpital Erasme pour vous permettre

Plus en détail

Stratégie de don d'ovocytes : expérience Belge

Stratégie de don d'ovocytes : expérience Belge Stratégie de don d'ovocytes : expérience Belge B. Lejeune Le don d'ovocytes existe depuis une vingtaine d'années : la première grossesse obtenue par cette méthode date de 1984 et avait été obtenue par

Plus en détail

Item 30 : Assistance Médicale à la Procréation (AMP)

Item 30 : Assistance Médicale à la Procréation (AMP) Item 30 : Assistance Médicale à la Procréation (AMP) Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF) Date de création du document 2010-2011 Table des matières Pré-Requis... 4 OBJECTIFS...

Plus en détail

Contraception après 40 ans

Contraception après 40 ans Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception

Plus en détail

Patient Diagnostics Tests Rapides Désir d Enfant

Patient Diagnostics Tests Rapides Désir d Enfant Enceinte ou non? Patient Diagnostics Tests Rapides Désir d Enfant Les tests uniques en leur genre d aide à la planification familiale à utiliser chez soi Test d ovulation Test de grossesse précoce Test

Plus en détail

Les INSÉMINATIONS INTRA-UTÉRINES

Les INSÉMINATIONS INTRA-UTÉRINES 1 Équipe AMP La Sagesse Rennes DOSSIER GUIDE Les INSÉMINATIONS INTRA-UTÉRINES COMPOSITION DE L'EQUIPE DE FECONDATION IN VITRO 2 L'équipe de Fécondation in vitro est multidisciplinaire et son bon fonctionnement

Plus en détail

F us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou

F us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant

Plus en détail

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,

Plus en détail

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008 Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas

Plus en détail

Nouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV

Nouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre

Plus en détail

dabigatran ou rivaroxaban, au long cours présentant une hémorragie ou nécessitant une chirurgie urgente

dabigatran ou rivaroxaban, au long cours présentant une hémorragie ou nécessitant une chirurgie urgente dabigatran ou rivaroxaban, au long cours présentant une hémorragie ou nécessitant une chirurgie urgente Gilles Pernod et Pierre Albaladejo, pour le Mise en garde Ce texte concerne la prise en charge des

Plus en détail

CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION :

CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION : CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION : OJECTIFS : 1/ Evaluer le degré des connaissances acquises nécessaires à l administration des médicaments à diluer. 2/ Evaluer les capacités

Plus en détail

Écho-Doppler thyroïdien : impact sur la prise en charge des hyperthyroïdies iodo-induites. Hervé Monpeyssen AHP

Écho-Doppler thyroïdien : impact sur la prise en charge des hyperthyroïdies iodo-induites. Hervé Monpeyssen AHP Écho-Doppler thyroïdien : impact sur la prise en charge des hyperthyroïdies iodo-induites Hervé Monpeyssen AHP Hyper Type 1 Hyper Type2 Mécanismes I - «carburant» Iodo-toxique Thyropathie Goitre/TAI/

Plus en détail

Etat des lieux et perspectives du don d'ovocytes en France

Etat des lieux et perspectives du don d'ovocytes en France Inspection générale des affaires sociales RM2011-024P Etat des lieux et perspectives du don d'ovocytes en France RAPPORT TOME I Établi par Dr Pierre ABALLEA Anne BURSTIN Jérôme GUEDJ Membres de l Inspection

Plus en détail

Quantification de l AgHBs Pouquoi? Quand?

Quantification de l AgHBs Pouquoi? Quand? Quantification de l AgHBs Pouquoi? Quand? Michelle Martinot-Peignoux Service d Hépatologie Hôpital Beaujon Université Paris-Diderot INSERM U-773/CRB3 Clichy-France Plan Introduction Applications Cliniques

Plus en détail

Mais pourquoi je ne suis pas enceinte?

Mais pourquoi je ne suis pas enceinte? Mais pourquoi je ne suis pas? On a beau vouloir très fort un bébé, la nature ne nous obéit pas toujours au doigt et à l œil Ce qu il faut savoir pour être au top de sa fertilité et tomber plus facilement!...

Plus en détail

GUIDE D INFORMATION À L INTENTION DES RÉCIPIENDAIRES DE DON D OVULES DES RÉPONSES À VOS QUESTIONS

GUIDE D INFORMATION À L INTENTION DES RÉCIPIENDAIRES DE DON D OVULES DES RÉPONSES À VOS QUESTIONS GUIDE D INFORMATION À L INTENTION DES RÉCIPIENDAIRES DE DON D OVULES DES RÉPONSES À VOS QUESTIONS Cette brochure a été conçue dans le but de répondre à vos questions et vous aider à prendre une décision

Plus en détail

Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin

Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation

Plus en détail

Bilans : tableau de conversion des unités

Bilans : tableau de conversion des unités ANNEXES Bilans : tableau de conversion des unités Il est difficile de résumer dans un tableau les normes biologiques des bilans hormonaux, car la plupart d entre elles sont variables en fonction des laboratoires.

Plus en détail

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique

Plus en détail

DP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur

DP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur DP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur de données Les nouveaux appareils DP 500/ DP 510 sont les appareils de service mobiles idéaux pour mesure le point de rosée

Plus en détail

phase de destruction et d'élimination de débris

phase de destruction et d'élimination de débris LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale

Plus en détail

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic

Plus en détail

Cas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?

Cas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème? Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte

Plus en détail

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan

Plus en détail

Le programme complémentaire santé le plus complet: Meuhedet See

Le programme complémentaire santé le plus complet: Meuhedet See Le programme complémentaire santé le plus complet: Meuhedet See Chers adhérents, Le programme de la complémentaire santé Meuhedet See est à la fois complet et révolutionnaire, il a pour but de procurer

Plus en détail

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique

La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique 2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique

Plus en détail

IlliS. Pratique du don d'ovocytes : l'expérience de l'hôpital Antoine-Bée/ère

IlliS. Pratique du don d'ovocytes : l'expérience de l'hôpital Antoine-Bée/ère IlliS NOTE ORIGINALE médecine/sciences 1 995 ; 1 1 : 5 91-600 Pratique du don d'ovocytes : l'expérience de l'hôpital Antoine-Bée/ère Summar y Ovocyte donation : the Antoine Béclère Hospital experience

Plus en détail

Le Transfert sélectif d un seul embryon à la suite de la fécondation

Le Transfert sélectif d un seul embryon à la suite de la fécondation DIRECTIVE CLINIQUE COMMUNE SOGC SCFA N o 241, avril 2010 Le Transfert sélectif d un seul embryon à la suite de la fécondation La présente directive clinique a été rédigée par le comité commun Société des

Plus en détail

PICT DOSAGE DES ANTICOAGULANTS 1. PEFAKIT PICT. Dosage chronométrique. PEFAKIT PiCT. PEFAKIT PiCT Calibrateur HNF. PEFAKIT PiCT Contrôles HNF

PICT DOSAGE DES ANTICOAGULANTS 1. PEFAKIT PICT. Dosage chronométrique. PEFAKIT PiCT. PEFAKIT PiCT Calibrateur HNF. PEFAKIT PiCT Contrôles HNF Dosage chronométrique PICT 1. PEFAKIT PICT Nombre de tests 8-505-01 coffret 80 3 flacons d activateur (2 ml) 3 flacons de réactif Start (2 ml) Mesure des anticoagulants par méthode chronométrique. 1 2

Plus en détail

Migraines, céphalées et statut hormonal

Migraines, céphalées et statut hormonal Migraines, céphalées et statut hormonal Vincent Cahagne, service de neurologie et équipe mobile d accompagnement et de soins palliatifs, Chu Rennes Migraine et puberté Le début de la migraine Le début

Plus en détail

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse

Plus en détail

Les tests thyroïdiens

Les tests thyroïdiens Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur

Plus en détail

Cordarone et Thyroïde par François Boustani

Cordarone et Thyroïde par François Boustani Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir

Plus en détail

Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE

Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING

Plus en détail

Estelle Marcault. 20/01/2012 URC Paris Nord 1

Estelle Marcault. 20/01/2012 URC Paris Nord 1 Estelle Marcault 20/01/2012 URC Paris Nord 1 Définition du Monitoring Surveillance de l avancement d un essai clinique Garantie que la conduite de l essai, les enregistrements et les rapports sont réalisés

Plus en détail

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)

Plus en détail

IRM du Cancer du Rectum

IRM du Cancer du Rectum IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris

Plus en détail

S. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay

S. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.

Plus en détail

Qui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?

Qui et quand opérer. au cours du traitement de l EI? Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille

Plus en détail

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie

Plus en détail

Neurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE

Neurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée

Plus en détail

Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec

Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec AVIS DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LA RUBÉOLE Comité sur l immunisation du Québec Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec Juin

Plus en détail

Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC)

Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement

Plus en détail

«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»

«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» «Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique

Plus en détail

Hyperplasie congénitale des surrénales par déficit en 21-hydroxylase

Hyperplasie congénitale des surrénales par déficit en 21-hydroxylase Hyperplasie congénitale des surrénales par déficit en 21-hydroxylase GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE PNDS Cliquez ici LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Cliquez ici GUIDE MÉDECIN

Plus en détail

DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR

DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer

Plus en détail

POST-PARTUM DR HADJI DR BELAHRACHE. janvier 2013 CHU PARNET

POST-PARTUM DR HADJI DR BELAHRACHE. janvier 2013 CHU PARNET POST-PARTUM DR HADJI DR BELAHRACHE janvier 2013 CHU PARNET DÉFINITION période qui s étend de l accouchement (après la délivrance) jusqu à la première menstruation -marquée par : o retour à la normale de

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines

Plus en détail

Lecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air

Lecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air Lecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air Réunion Inter-Corevih Basse Normandie - Bretagne Mont Saint-Michel Février 2014 Jean-Marc Chapplain Plan Actualité Dissection

Plus en détail

QUI PEUT CONTRACTER LA FA?

QUI PEUT CONTRACTER LA FA? MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du

Plus en détail

Programme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib

Programme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib Programme AcSé Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib G. Vassal, J.Y. Blay, C. Cailliot, N. Hoog-Labouret, F. Denjean, M. Jimenez, A.L.

Plus en détail

LE DON D OVOCYTESD. Dr Marie-Christine DULUCQ CECOS d Aquitained Service du Dr A. Papaxanthos Bordeaux

LE DON D OVOCYTESD. Dr Marie-Christine DULUCQ CECOS d Aquitained Service du Dr A. Papaxanthos Bordeaux LE DON D OVOCYTESD Dr Marie-Christine DULUCQ CECOS d Aquitained Service du Dr A. Papaxanthos Bordeaux Le Don d ovocytesd Apport par un tiers, de gamètes féminins f en vue d une d assistance médicale m

Plus en détail

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.

Plus en détail

Préface. Les étudiants de l Association des Médecins et Pharmaciens du Coeur (AMPC)

Préface. Les étudiants de l Association des Médecins et Pharmaciens du Coeur (AMPC) Préface Notre association regroupe les énergies bénévoles d étudiants en médecine et en pharmacie, avec pour objectif d aider et accompagner enfants, adolescents et jeunes adultes confrontés à la maladie.

Plus en détail

La finance carbone pour les villes

La finance carbone pour les villes 1 La finance carbone pour les villes Source de revenus et levier d action pour des villes plus propres A travers la présentation de trois mécanismes de finance carbone mobilisables par les villes, cette

Plus en détail

Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés

Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution

Plus en détail

Communiqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.

Communiqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim. Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec

Plus en détail

Semaine Sécurité des patients

Semaine Sécurité des patients Bienvenue dans le «mystère de la chambre des erreurs»! Découvrez le tableau de synthèse des réponses du matériel nécessaire à la mise en place de la chambre des erreurs ainsi que les réponses attendues

Plus en détail

Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire

Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant

Plus en détail

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines

Plus en détail

Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants

Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants M.M. Samama, M-H. Horellou, C. Flaujac, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F. Depasse Biomnis - Ivry sur Seine TFPI TFPI

Plus en détail

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy

Plus en détail

Contraception hormonale en périménopause l antidote à bien des maux

Contraception hormonale en périménopause l antidote à bien des maux L A C O N T R A C E P T I O N E N É V O L U T I O N Contraception hormonale en périménopause l antidote à bien des maux par Chantal Marquis «J ai 48 ans, j ai des chaleurs, je dors peu et j ai des saignements

Plus en détail

Fécondation In Vitro «La bourse ou la vie?»

Fécondation In Vitro «La bourse ou la vie?» Rapportd Immersion encommunauté FécondationInVitro «Labourseoulavie?» CharelConstantin Julie VanessaDaverio CoralieZermatten Tuteurs:AndreaCarlinoetAstridStuckelberger Facultédemédecine UniversitédeGenève

Plus en détail

Gestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux

Gestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux Gestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux Anne GODIER Service d Anesthésie-Réanimation Hopital Cochin Paris Table ronde anticoagulants 15 novembre 2013 Conflits

Plus en détail

Les avantages du programme complémentaire santé Meuhedet Adif

Les avantages du programme complémentaire santé Meuhedet Adif Les avantages du programme complémentaire santé Meuhedet Adif Chers adhérents, C est avec le souci de procurer un mieux-être à ses adhérents que Meuhedet a mis au point son programme complémentaire santé

Plus en détail

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction

Plus en détail

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux

Plus en détail

CHAPITRE III : LA MENOPAUSE

CHAPITRE III : LA MENOPAUSE CHAPITRE III : LA MENOPAUSE I- Définition II- Données démographiques III- Hormonologie de la péri et de la post-ménopause A- La péri-ménopause B- La ménopause C-La post-ménopause IV- La ménopause : savoir

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions

Plus en détail

Décret n 2010-1229 du 19 octobre

Décret n 2010-1229 du 19 octobre Télémédecine et diabète : le plan d éducation personnalisé électronique para médical (epep) Lydie Canipel Colloque TIC Santé 2011, 8 et 9 février 2011, Paris Décret n 2010-1229 du 19 octobre 2010 relatif

Plus en détail

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables

Plus en détail

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH) CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère

Plus en détail

Tutoriel Prise en Main de la Plateforme MetaTrader 4. Mise à jour : 7/09/2009 1.6

Tutoriel Prise en Main de la Plateforme MetaTrader 4. Mise à jour : 7/09/2009 1.6 Tutoriel Prise en Main de la Plateforme MetaTrader 4 Mise à jour : 7/09/2009 1.6 Ce tutoriel de prise en main permet d utiliser les principales fonctionnalités de MetaTrader. La plateforme MetaTrader utilise

Plus en détail

RAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN VITRO DE DOSAGE DE THYROGLOBULINE

RAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN VITRO DE DOSAGE DE THYROGLOBULINE Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché Unité Evaluation et Contrôle du Marché - DIV RAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE

Plus en détail

Logiciel «My-Labo Cool!»

Logiciel «My-Labo Cool!» Capitalisez vos Connaissances et votre Expérience des Compléments Alimentaires! Logiciel «My-Labo Cool!» La Solution pour optimiser votre Compétence sur les Compléments Alimentaires, que vous soyez Thérapeute

Plus en détail

II. REVOD Plongée à l ordinateur. Septembre 2010. Plan de l exposé

II. REVOD Plongée à l ordinateur. Septembre 2010. Plan de l exposé 1 Décompression II. REVOD Plongée à l ordinateur Septembre 2010 Plan de l exposé Introduction Typologie de la décompression: No déco Déco légère Déco Lourde La planification Les profils de plongée Le palier

Plus en détail

IMMED Monitoring vidéo porté

IMMED Monitoring vidéo porté IMMED Monitoring vidéo porté L indexation vidéo au service du soin des personnes Projet financé par PEPS S2TI CNRS et des bourses BQR de l Université Bordeaux 1 1 Contexte Maladies et dépendances liées

Plus en détail

Informations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md )

Informations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md ) Informations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md ) Préambule Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du

Plus en détail

Qu avez-vous appris pendant cet exposé?

Qu avez-vous appris pendant cet exposé? Qu avez-vous appris pendant cet exposé? Karl VINCENT, DC IFEC 2010 Diplôme Universitaire de Méthodes en Recherche Clinique Institut de Santé Publique d Epidémiologie et de développement ISPED Bordeaux

Plus en détail

CONGELATEURS ARMOIRES TEMPERATURES ULTRA BASSES 90/ 40 C ULUF 490

CONGELATEURS ARMOIRES TEMPERATURES ULTRA BASSES 90/ 40 C ULUF 490 CONGELATEURS ARMOIRES TEMPERATURES ULTRA BASSES 90/ 40 C ULUF 490 SERIE ULUF 2 compresseurs Faible consomma on énergé que Silencieux Très pe te perte de chaleur Portes intérieures isolées Roule es et serrure

Plus en détail

Images en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique

Images en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE

Plus en détail

I ntroduction. Coffrets pour la régulation de la température et de l hygrométrie. Caractéristiques et avantages

I ntroduction. Coffrets pour la régulation de la température et de l hygrométrie. Caractéristiques et avantages Catalogue Réfrigération Section Notice technique JC-TH230-1xM Edition 060212 Coffrets pour la régulation de la température et de l hygrométrie I ntroduction Conçu pour faciliter le travail de l installateur,

Plus en détail

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures

Plus en détail

TEPZZ 6Z85Z5A T EP 2 608 505 A2 (19) (11) EP 2 608 505 A2 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

TEPZZ 6Z85Z5A T EP 2 608 505 A2 (19) (11) EP 2 608 505 A2 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (19) TEPZZ 6Z8ZA T (11) EP 2 608 0 A2 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 26.06.13 Bulletin 13/26 (21) Numéro de dépôt: 12197432.3 (1) Int Cl.: H04M 3/487 (06.01) H04M 7/00 (06.01)

Plus en détail

Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM)

Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM) Hématologie biologique (Pr Marc Zandecki) Faculté de Médecine CHU 49000 Angers France Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM) 1. Structure et mode d'action

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance?

Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance? Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance? Ajaccio 12 mai 2012 F. Carré Université Rennes 1 Hopital Pontchaillou Inserm UMR 1099 Les «tests» chez le sportif Exploration performance

Plus en détail