Cette notification est accompagnée de votre réponse aux observations définitives de la chambre, en date du 14 janvier 2003.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Cette notification est accompagnée de votre réponse aux observations définitives de la chambre, en date du 14 janvier 2003."

Transcription

1 Réf. : DO & JO Monsieur le Président, Conformément à l'article L du code des juridictions financières je vous notifie le rapport d'observations définitives portant sur la SEM "Cité des Insectes", au titre des exercices 1999 et 2000, l'examen de la gestion ayant été étendu aux données disponibles les plus récentes. Cette notification est accompagnée de votre réponse aux observations définitives de la chambre, en date du 14 janvier Je vous rappelle qu'aux termes des dispositions de l'article L précité, ce rapport assorti de votre réponse, est adressé au président du syndicat mixte "Centre J.H. FABRE de St-Léons-en- Lévezou à fin de communication au comité syndical, dès sa plus proche réunion. Je vous précise à cet égard que ces observations sont, selon les dispositions de l'article R du code susvisé, communicables aux tiers dès qu'a eu lieu la première réunion de l'assemblée délibérante suivant leur réception. En tout état de cause, il vous est loisible de communiquer ce rapport d'observations définitives au conseil d'administration de la SEM. Je vous prie d'agréer, Monsieur le président, l'expression de ma considération distinguée. Le Président, Jean-Philippe VACHIA Monsieur le président de la SEM "Cité des Insectes" Hôtel de ville SAINT-LEONS EN LEVEZOU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE MIDI-PYRENEES PORTANT SUR L'EXAMEN DE LA GESTION DE LA SEM "CITE DES INSECTES" EXERCICES 1999 et 2000 S O M M A I R E

2 1. LA PROCÉDURE DE DÉLÉGATION DE SERVICE PUBLIC 2. LES RELATIONS FINANCIÈRES ENTRE LE DÉLÉGANT, LE SYNDICAT MIXTE ET LA SEM CITÉ DES INSECTES, INSTAURÉES PAR LA CONVENTION D'AFFERMAGE 2.1. La contribution globale et forfaitaire 2.2. La compensation financière pour contraintes de service public 2.3. La redevance d'affermage 3. LE PERSONNEL, SON STATUT, SA RÉMUNÉRATION 4. ANALYSE DE L'EQUILIBRE D'EXPLOITATION 4.1. Le constat de deux années et demi d'exploitation Les perspectives de rentabilité de l'exploitation Perspectives indépendamment de toute aide publique La prise en compte des transferts financiers entre le Syndicat mixte et la SEM Cité des Insectes Le 8 janvier 1999, le syndicat mixte J.H.Fabre a décidé de créer une société d'économie mixte, la SEM " Cité des Insectes ", ayant pour finalité d'être candidate dans le cadre de la consultation qu'il organisait concomitamment pour déléguer l'exploitation du centre Micropolis, sous forme d'affermage. Le capital social de cette société, d'un montant de francs, est détenu pour plus de 78% par le syndicat mixte J.H.Fabre de St Léons en Lévezou, qui compte huit représentants sur les douze membres du conseil d'administration. La participation des actionnaires privés est éclatée entre sept organismes, dont la part au capital social est pour chacun d'entre eux limitée (entre 5 et 0,3%). Après une procédure de mise en concurrence, la SEM " Cité des Insectes " a été attributaire, par convention d'affermage du 27 septembre 1999, de l'exploitation de Micropolis pour une durée de douze années, soit jusqu'au 31 décembre LA PROCEDURE DE DELEGATION DE SERVICE PUBLIC

3 Par délibération du 8 janvier 1999, le Syndicat mixte a lancé une procédure de consultation en vue de la délégation de la gestion du Centre MICROPOLIS, sous forme d'affermage. Le déroulement de celle-ci appelle deux observations : - au vu de l'examen de la procédure, il apparaît que M. RAYNAL, futur président, n'était pas encore habilité à agir lors du dépôt de la candidature de la SEM " Cité des Insectes " le 1er mars 1999 ; - la composition de la commission d'examen des offres était de nature à vicier la procédure et à porter atteinte à l'égalité des candidats Lorsque M.RAYNAL a déposé la candidature le 1er mars 1999, au nom et pour le compte de la SEM Cité des Insectes, il ne pouvait se prévaloir ni de sa qualité de président, ni d'un mandat exprès de la société en cours de formation. En effet, l'assemblée générale constitutive de la SEM " Cité des Insectes ", au cours de laquelle il a été procédé à la désignation des administrateurs et du président, ne s'est tenue que le 23 avril 1999, soit un mois et demi après le dépôt de la candidature de la société par M. RAYNAL. La chambre prend toutefois acte de la réponse apportée par la SEM " Cité des Insectes ", lui indiquant que ces engagements ont été repris par la dernière assemblée générale de la société, le 13 décembre 2001 et que la situation a été ainsi régularisée La chambre relève également la composition irrégulière de la commission d'examen des offres, dans la mesure où ont participé à celle-ci quatre personnes déjà désignées par le syndicat mixte pour être administrateurs de la SEM Cité des insectes, candidate à l'affermage. Le président de la SEM désigné lors de l'assemblée générale constitutive du 23 avril 1999 a quant à lui participé, le 10 juin 1999, en tant que membre de la commission d'examen des offres, au jugement de l'offre présentée par la société qu'il préside et dont la constitution définitive était liée à l'attribution de l'affermage. La loi n du 2 janvier 2002, tendant à moderniser le statut des sociétés d'économie mixte locales, complétant l'article L du code général des collectivités territoriales, est désormais sans ambiguïté, s'agissant spécifiquement du cas des SEM candidates à des délégations de service public : " Les élus locaux agissant en tant que mandataires des collectivités territoriales ou de leur groupement au sein du conseil d'administration ou de surveillance des sociétés d'économie mixte locales (...) ne sont pas considérés comme étant intéressés à l'affaire (...) lorsque la collectivité ou le groupement délibère sur ses relations avec la société d'économie mixte locale. Toutefois, ils ne peuvent participer aux commissions d'appel d'offres ou aux commissions d'attribution de délégations de service public de la collectivité territoriale ou du groupement, lorsque la société d'économie mixte locale est candidate à l'attribution d'un marché public ou d'une délégation de

4 service public dans les conditions prévues aux articles L et suivants ". Il convient pour l'avenir de respecter strictement ces dispositions. 2. LES RELATIONS FINANCIERES ENTRE LE DELEGANT, LE SYNDICAT MIXTE, ET LE DELEGATAIRE, LA SEM CITE DES INSECTES, INSTAUREES PAR LA CONVENTION D'AFFERMAGE La convention d'affermage du centre MICROPOLIS à la SEM " Cité des Insectes " a été signée le 27 septembre Elle a pour objet la délégation de l'exploitation jusqu'au 31 décembre Les relations financières entre le délégant et le fermier sont caractérisées par le versement à la SEM " Cité des Insectes " d'une contribution globale et forfaitaire, d'une compensation financière pour contraintes de service public et par l'encaissement d'une redevance d'affermage par le syndicat mixte La contribution globale et forfaitaire La chambre considère que les dépenses couvertes par la contribution globale et forfaitaire auraient dû être financées, à quelques exceptions près, directement par les fonds propres du fermier, qui auraient dû être constitués à une hauteur suffisante, sinon au moyen de capitaux permanents, et non par le versement d'une contribution exceptionnelle du délégant (A). Elle relève également la qualification juridique inadéquate donnée à cette contribution par l'avenant n 1 à la convention d'affermage du 29 décembre 1999, qui l'assimile à une compensation financière pour contraintes de service public (B). A - Le syndicat mixte a imposé à la SEM Cité des insectes, conformément à l'article 4 de la convention d'affermage, pendant la période préalable à l'ouverture du Centre au public, un certain nombre de missions destinées à assister le maître d'ouvrage dans le suivi des travaux et à engager la commercialisation du centre et a décidé de prendre en charge le coût de ces contraintes sous la forme d'une contribution globale et forfaitaire, en remboursant le fermier, au franc le franc pour les dépenses réalisées. C'est ainsi que le syndicat a versé un montant de francs T.T.C. (sur les deux années 1999 et 2000), la SEM lui reversant ultérieurement francs T.T.C. (délibération du 13 juin 2001 du conseil d'administration), somme correspondant à la différence entre la contribution perçue et le total des charges constatées à son bilan. Ces dépenses correspondaient à des frais préparatoires au démarrage du centre ; il s'agit, à quelques exceptions près, de frais de premier établissement à financer normalement par le fonds de roulement, lui-même normalement financé par les capitaux permanents. Ce montage financier apparaît en fait comme un moyen de procurer à la SEM des ressources d'exploitation supplémentaires, en phase de démarrage, sans entraîner de modification du capital à due proportion. Une telle augmentation aurait pu avoir pour conséquence de voir porter la participation

5 du syndicat mixte au-delà du plafond légal alors applicable de 80 % (pour mémoire, il détient actuellement 78,2 % du capital). Dans ce cas, sa finalité avérée aurait été de remédier à une sous-capitalisation initiale de la SEM. Au surplus le choix de la subvention plutôt que de l'augmentation de capital a eu pour effet de soumettre ladite subvention à la TVA, ce qui en a grevé le coût pour le syndicat mixte. B - L'avenant n 1 du 29 décembre 1999 a modifié l'article 29 de la convention afin que la contribution globale et forfaitaire due par le délégant au fermier au titre des opérations préalables à l'ouverture du centre au public, relève du régime des compensations financières pour contraintes de service public et puisse ainsi être considérée comme une participation financière relevant des dispositions des articles L et L du code général des collectivités territoriales. La chambre s'étonne que cette contribution globale et forfaitaire ait pu être assimilée à une compensation financière pour contrainte de service public, dans la mesure où elle n'est pas destinée à couvrir des contraintes de service public mais des dépenses d'équipement (constitution de stock), de conception et de réalisation des produits, des charges de personnel et de formation avant ouverture. Elle relève le caractère inadéquat de cette qualification, à moins qu'elle soit un moyen de " légaliser " une aide directe de la collectivité publique, interdite alors par la loi en dehors des compensations financières pour contraintes effectives de service public (article L du code général des collectivités territoriales) et des aides locales aux entreprises, par ailleurs fortement encadrées. La SEM " Cité des Insectes " le reconnaît d'ailleurs dans sa réponse du 29 juillet 2002, indiquant que " la conclusion de cet avenant a été dictée par des raisons d'ajustement comptable liées à l'application des articles L et suivants du code général des collectivités territoriales, qui limite les cas de compensation financière pour les services publics en affermage en particulier par les contraintes de fonctionnement imposées par la collectivité ". La chambre relève bien que depuis la loi n du 2 janvier 2002, tendant à moderniser le statut des sociétés d'économie mixte locales, les concours financiers des collectivités locales aux sociétés dont elles sont actionnaires sont désormais facilités : - ainsi, les articles L et L du code général des collectivités territoriales autorisent dorénavant les apports en compte courant d'associés dans le cadre d'une convention expresse, pour une durée maximale de deux ans renouvelable une fois et pour un montant maximal égal à 5% des recettes de la section de fonctionnement du budget de la collectivité. - l'article L du code général des collectivités territoriales permet aux collectivités territoriales et à leurs groupements d'accorder aux sociétés d'économie mixte une aide directe sous forme de subventions ou d'avances, indépendamment de l'existence de contraintes de service public, sous réserve de l'existence de " programmes d'intérêt général liés à la promotion

6 économique du territoire ou à la gestion de services communs aux entreprises " et d'une convention expresse fixant les obligations de la SEM. Dans sa réponse précitée, la SEM évoque l'application de cet article : " La présence à Saint- Léons, commune de 300 habitants au cour du Lévézou d'un équipement tel que MICROPOLIS relève largement de l'article L du code général des collectivités territoriales car contribuant fortement à la promotion économique d'un territoire " Ce nouvel article ne pourrait cependant justifier une contribution globale et forfaitaire. Il pourrait, par contre, permettre, sous réserve de l'appréciation souveraine du juge du fond, une nouvelle aide directe liée à la promotion économique du territoire, dérogatoire au droit commun des aides des collectivités locales régies par les articles L à L du code général des collectivités territoriales, dans les conditions édictées par l'article précédent La compensation financière pour contraintes de service public La chambre n'a aucune observation à formuler sur le principe du versement au fermier d'une compensation financière pour contraintes de service public. En effet, lorsque les sociétés d'économie mixte exploitent des services publics industriels et commerciaux, leurs relations financières avec les collectivités locales et leurs groupements sont soumises aux dispositions des articles L et suivants du Code général des collectivités territoriales. En vertu de ces dispositions, la collectivité publique est autorisée à prendre en charge dans son budget propre, des dépenses de services publics à caractère industriel ou commercial lorsque notamment " (...) les exigences du service public conduisent la collectivité à imposer des contraintes particulières de fonctionnement ". Les exigences du service public ont, au cas d'espèce, conduit le délégant à imposer au fermier des contraintes spécifiques d'exploitation ainsi que des sujétions particulières de fonctionnement, génératrices de coûts incompatibles avec une gestion financière strictement équilibrée. Il en est ainsi des éléments suivants : - l'obligation de continuité du service public, et notamment d'ouverture au public (6 jours sur 7) pendant les périodes de faible fréquentation durant les mois d'hiver (mars, octobre, novembre, décembre), - l'obligation d'actualisation permanente du haut niveau scientifique et technique des éléments d'exposition, - l'accueil des enfants en âge scolaire, - les tarifs spéciaux scolaires, les activités d'enseignement, les ateliers pédagogiques.

7 Le délégant compense alors l'incidence financière des contraintes particulières qu'il impose. L'annexe 2 de la convention d'affermage précise que la compensation est constituée d'une part fixe de F mais aussi d'une part variable. Son article 29 indique que le montant de la compensation est calculé chaque année par voie d'avenant. La SEM " Cité des Insectes " prévoyait, dans son offre commerciale, une évolution dégressive du montant de la compensation pour contraintes de service public (pour la part variable), sur les 12 années d'exploitation, celle-ci passant de 3,7 MF HT en 2001 à F en Au fil des ans, la notoriété du site, l'évolution du chiffre d'affaires et de sa ventilation, l'optimisation des coûts d'exploitation, devraient permettre, selon le fermier, de minorer le coût induit par les contraintes de service public qui lui sont imposées. Toutefois, selon la chambre, le mode de calcul de la part variable lui paraît devoir soulever des objections, du fait de son caractère indéterminé. Elle observe en effet que la convention ne donne aucune définition comptable, ni méthode de détermination objective à partir de paramètres bien identifiés, des charges générées, annuellement, par les contraintes de service public. La détermination de la part variable de la compensation résultera, ainsi qu'il est prévu, de la négociation annuelle de l'avenant, ce qui lui confère un caractère aléatoire. La tentation existe donc que ladite compensation évolue en fonction des résultats d'exploitation du centre plutôt qu'en fonction de critères objectifs, et se transforme ainsi en subvention d'équilibre, ce qui serait contraire à la notion d'affermage et aux prescriptions de l'appel à candidatures (dont l'application a conduit précisément à éliminer l'offre de la SA Fermière du Lévezou, au motif qu'elle envisageait le versement d'une subvention d'équilibre). La chambre prend acte de la réponse de la SEM à son observation, lui indiquant, le 29 juillet 2002, la suppression de la part variable de la compensation financière pour contraintes de service public : " S'agissant de la part variable de la compensation pour contrainte de service public, je puis vous indiquer qu'elle a été supprimée et que nous avons conclu un avenant avec le syndicat mixte identifiant les modalités globales de calcul de la compensation dont le montant a été affiné après une année complète de gestion de MICROPOLIS ". Elle n'a toutefois pas connaissance des termes de l'avenant dont elle souhaiterait avoir communication La redevance d'affermage Selon l'article 28 de la convention d'affermage, le fermier verse au délégant, à compter de l'ouverture du centre au public, une redevance d'affermage annuelle, qui comprend deux parties : la redevance de base et une redevance complémentaire pour le renouvellement des équipements scénographiques. Leurs montants respectifs ont été fixés sur la base des propositions établies dans l'offre du fermier : la redevance de base évolue de 2,1 MF en 2000 jusqu'à 3,585 MF en 2011 ; la redevance complémentaire est fixe de F.

8 Cependant la convention d'affermage ne comporte aucune justification ni du bien-fondé de la redevance de base (la redevance complémentaire étant dédiée au renouvellement des équipements scénographiques), ni des montants et du mode de calcul utilisé en la matière. Les dispositions de l'article L du code général des collectivités territoriales sont ainsi méconnues. Elles indiquent en effet que : " les montants et les modes de calcul des droits d'entrée et des redevances versés par le délégataire à la collectivité délégante doivent être justifiés dans les conventions (...) ". La chambre prend note des explications fournies, à savoir que le mode de calcul de la redevance d'affermage relève d'une approche faite par le syndicat mixte et liée au seuil de récupération de la TVA sur investissement. En effet, le syndicat indique, dans sa réponse du 31 juillet 2002 : " Le mode de calcul de la redevance d'affermage tient compte du taux normal d'amortissement des équipements retenu par la doctrine fiscale en matière de récupération de la TVA. L'analyse du syndicat, après avis des services fiscaux, était que ce type d'équipement devait se voir appliquer un loyer correspondant à 4 % du coût de l'investissement. Sur cette base, le Maître d'ouvrage pouvait transférer au gestionnaire le droit à déduction de la TVA, en application des articles du Code Général des Impôts qui traite à récupération de TVA ". Le directeur des services fiscaux écrit en effet dans un courrier adressé à la SEM, le 28 juin 2000 : " En ce qui concerne la redevance, elle ne devra pas être inférieure à 4 % du prix de revient ". Toutefois, la chambre demande aux deux parties, le syndicat mixte JH FABRE, d'une part, la SEM Cité des insectes, d'autre part, d'amender la convention d'affermage pour y intégrer, avec précision, la signification de la redevance de base et le mode de calcul retenu, et ce conformément à l'article précité du code général des collectivités territoriales. 3. LE PERSONNEL, SON STATUT, SA REMUNERATION La chambre a examiné, d'une part, les termes de la convention d'affermage portant sur le personnel du centre MICROPOLIS, d'autre part le régime indemnitaire dont il bénéficie La disposition prévue sous l'alinéa 2 de l'article 20-1 de la convention, introduit une forme de discrimination à l'embauche dans la mesure où il indique que " compte tenu des investissements réalisés, le délégant recommande au fermier d'embaucher, à compétence équivalente, des personnes résidant sur le territoire du département de l'aveyron ". Cette disposition a pu se traduire dans les faits, puisque les personnes embauchées sont dans leur totalité, des résidents de l'aveyron. Or, l'article L du Code du travail, modifié dans le sens d'un renforcement par la nouvelle loi n du 16 novembre 2001, interdit à un employeur, à peine de nullité de plein droit de la mesure, de pratiquer une discrimination à l'embauche.

9 La chambre prend toutefois acte de la volonté du président de la SEM, dans son courrier du 29 juillet 2002, d'amender la convention sur ce point : " c'est bien volontiers que la proposition d'un avenant revenant sur ces termes sera proposé au syndicat mixte " La chambre constate que le principe de la prime d'objectif, ainsi que son mode de calcul, n'ont fait l'objet d'aucune délibération du conseil d'administration de la SEM. Le même constat vaut pour la prime exceptionnelle liée à l'ouverture du Centre MICROPOLIS. Certes, le principe et les modalités de la prime d'objectif figurent dans le contrat de travail du salarié mais, en omettant de consulter son conseil d'administration, la SEM a méconnu l'article 23 de ses statuts qui dispose que le conseil " nomme et révoque tous agents et employés de la société, fixe leurs traitements, salaires et gratifications ". La somme à redistribuer s'élevait, par exemple, à francs pour l'exercice La chambre prend acte de la volonté du président de la SEM, manifestée dans sa réponse du 29 juillet 2002, de régulariser la situation, en soumettant la question de la prime d'objectif à une prochaine réunion du conseil d'administration : " Il est exact que le conseil d'administration n'a pas formellement délibéré sur le calcul de la prime d'objectif mais il en a été informé oralement. Il sera proposé lors d'une prochaine réunion du conseil d'administration d'évoquer cette question et de prendre une délibération spécifique ". 4. ANALYSE DE L'EQUILIBRE D'EXPLOITATION Le Centre MICROPOLIS est ouvert au public depuis le 1er juin 2000, les deux années et demi d'exploitation fournissent de premiers enseignements sur la fréquentation réalisée et le type de fréquentation LE CONSTAT DE DEUX ANNEES ET DEMI D'EXPLOITATION - une fréquentation en deçà des anticipations au-delà de 2000

10 L'exercice 2000 a connu visiteurs en 6 mois, au lieu des visiteurs prévus, soit 17 % de visiteurs en plus par rapport à la fréquentation budgétée. L'attrait de la nouveauté, l'originalité du thème (" venez vivre la vie des insectes ") dans le prolongement du film MICROCOSMOS, auxquels s'ajoute une campagne active de communication sont à l'origine de ce succès.

11 Cependant, la chambre constate un essoufflement de la fréquentation en 2001, MICROPOLIS ayant connu au cours d'une année complète d'exploitation autant de visiteurs, de l'ordre de personnes, qu'au cours des six derniers mois de l'exercice précédent. Le Centre a donc connu une affluence inférieure de 14,5 % à la fréquentation budgétée de visiteurs pour l'exercice Ce tassement se confirme au cours de l'exercice 2002, au vu des chiffres provisoires communiqués par la SEM, arrêtés au 27 novembre une clientèle essentiellement de proximité immédiate La clientèle est ainsi essentiellement une clientèle de proximité immédiate (Aveyron, Hérault, Tarn) pour près de 45% de la fréquentation, venant pour 1/3 de l'aveyron. Ce constat se confirme en 2002, ces trois départements représentant 42 % de la fréquentation réalisée au 27 novembre 2002.

12 Le centre rencontre donc présentement des difficultés pour toucher la clientèle Midi-Pyrénées dans son ensemble. La clientèle étrangère est encore peu concernée, représentant, en 2002, près de 5% des entrées réalisées. - une clientèle de groupes encore limitée Au cours de l'exercice 2000, 86,7 % des visiteurs (soit ) sont venus de façon individuelle et 13,3 % (soit ) dans le cadre de groupes " prévendus ". Cette tendance se poursuit au cours des exercices 2001 et 2002, même si la part de la clientèle de groupes a augmenté pour atteindre près de 20% de la fréquentation en 2001 et 23% en 2002 (chiffres provisoires). La SEM " Cité des Insectes " est ainsi loin d'avoir atteint son objectif de ventilation de la clientèle de 29 % d'individuels et de 71 % de clients " groupés ".

13 Il est vrai que le développement d'une clientèle de groupes demande du temps et que la SEM ne compte pour l'instant que deux années d'exploitation complètes. Cependant, seul le développement de ce type de clientèle (groupes scolaires, comités d'entreprise, lien avec les autocaristes pour toucher une clientèle touristique de retraités...) permettra d'assurer au centre une fréquentation minimale sur des périodes traditionnelles de faible affluence LES PERSPECTIVES DE RENTABILITE DE L'EXPLOITATION Perspectives indépendamment de toute aide publique La préoccupation d'une profitabilité minimale ne peut être absente dans le cadre de la gestion d'une société d'économie mixte, soumise notamment aux dispositions de la loi modifiée du 24 juillet 1966 sur les sociétés commerciales. La chambre s'est donc interrogée sur les perspectives de rentabilité de l'exploitation de la Cité des Insectes et a recherché dans quelles conditions les recettes provenant de la clientèle du centre seraient susceptibles de couvrir les charges d'exploitation, indépendamment de toute aide publique. Pour apprécier, dans un premier temps, la rentabilité intrinsèque de l'exploitation, la chambre a donc effectué une simulation indépendamment des transferts financiers entre le délégant et le délégataire, liés au versement de la compensation financière pour contraintes de service public et au paiement de la redevance d'affermage. Elle a ignoré également le versement à la société de la contribution globale et forfaitaire. Ces flux, dont la logique a été examinée précédemment et qui ont appelé certaines observations, seront par la suite pris en compte pour apprécier la situation réelle de la société. Les premiers résultats d'exploitation (1er exercice complet 2001) n'étant pas encore connus lorsqu'elle a procédé à son estimation, la chambre a pris en compte pour les années 2001 et suivantes les données prévisionnelles fournies par l'exploitant lui-même, dans son offre, en ce qui concerne la fréquentation, les coûts et les tarifs pratiqués, jusqu'en Les données réalisées de l'exercice 2000 ont été prises en compte pour l'essentiel. Au-delà, deux scénarios ont été envisagés sur la durée de la convention d'affermage, jusqu'en 2011, l'un correspondant à une stabilisation de la fréquentation au niveau anticipé par la SEM en 2006, de visiteurs, l'autre correspondant à un nombre de visiteurs potentiel de (fréquentation atteinte par les caves de Roquefort, analogie citée par la SEM elle-même dans son étude), atteint progressivement à partir de 2006 (1). (1) Dans son rapport d'observations provisoires, la chambre a explicité de manière détaillée les hypothèses comptables utilisées pour la simulation en ce qui concerne les tarifs pratiqués selon les secteurs commerciaux (visites proprement dites, boutique et restaurant) ainsi que les éléments de charges d'exploitation, notamment selon leur nature de frais fixes ou variables.

14 Sur les bases précédentes, la chambre a constaté que, quelles que soient les hypothèses envisagées en matière de fréquentation du centre, y compris avec un nombre de visiteurs de en fin de convention, du double de celui constaté jusqu'à présent, les cinq premières années d'exploitation ( ) se traduisent par un solde d'exploitation négatif, indépendamment de toute subvention et du versement de la redevance au syndicat mixte. Ce n'est qu'à compter de 2005 que l'exploitant affiche un solde courant d'exploitation excédentaire. Il est à noter que la société affiche en 2000 et 2001, à définition comparable à celle du scénario (c'est-à-dire non compris les flux financiers entre la SEM et le syndicat et hors amortissements et provisions), un résultat d'exploitation réel, de - 2,870 MF en 2000 et de - 1,412 MF en 2001 à comparer avec - 2,890 MF et -2,709 MF respectivement en prospective. Le résultat est, après prise en compte des flux financiers réciproques et des amortissements et prévisions et en intégrant la contribution globale et forfaitaire initiale, dont la chambre a plus haut contesté le principe, de : F en 2000 et de F en L'amélioration observée en 2001, par rapport à la prévision du scénario, résulte pour l'essentiel d'une diminution des charges d'exploitation, par rapport à l'année précédente, ayant touché

15 principalement les postes entretien ( F), personnel ( F), marketing ( F), la fréquentation ayant quant à elle été en-deçà du nombre de visiteurs anticipé par la société dans son étude (cf supra). La chambre s'interroge toutefois sur le caractère pérenne de cette diminution des charges au regard des besoins de développement commerciaux du centre et des besoins d'entretien liés à la capacité d'accueil, à l'importance des surfaces d'exposition de la structure et à la complexité de ses équipements La prise en compte des transferts financiers entre le Syndicat mixte et la SEM Cité des Insectes Une fois tracées les perspectives de rentabilité de l'exploitation MICROPOLIS s'agissant de la SEM Cité des insectes, la chambre a intégré dans la simulation les transferts financiers entre le délégant, le syndicat mixte, et le délégataire, la SEM. Leur évolution, annexée à la convention d'affermage, est la suivante : Selon la convention, le solde des relations financières entre la SEM et le syndicat devient négatif pour la SEM à partir de 2003, compte tenu de la progressivité de la redevance et de la dégressivité de la compensation pour contraintes de service public. La comparaison des deux tableaux précédents, année par année, montre que la SEM pourrait rencontrer des difficultés à honorer ses engagements vis à vis du syndicat mixte. Le solde d'exploitation dégagé chaque année dans les deux hypothèses de simulation (lignes b et d du tableau 3 ci-dessous), obéré par les reports à nouveau négatifs, des cinq premières années déficitaires, risque en effet de ne pas être suffisant (cf lignes c et e) pour permettre à la SEM de verser au syndicat la redevance d'affermage, après l'allocation à son profit de la compensation prévue pour contraintes de service public (ligne a).

16 La chambre prend la précaution d'indiquer que les scénarios établis précédemment ne constituent pas des prévisions mais qu'ils doivent être pris en compte afin d'orienter les choix de la société gestionnaire et du syndicat, d'assurer une meilleure réactivité aux futurs possibles et de rendre la gestion du centre compatible avec la meilleure utilisation possible des ressources publiques, sous la contrainte des objectifs poursuivis par l'autorité délégante. Elle prend note des orientations déjà prises par la société, indiquées dans sa réponse aux observations provisoires de la chambre, en ce qui concerne sa politique commerciale et les efforts d'ores et déjà engagés pour maîtriser ses charges d'exploitation. Le constat précédent, en considération des hypothèses formulées, souligne toutefois l'enjeu auquel l'exploitant est confronté dans le cadre conventionnel qui a présidé jusqu'à présent à ses relations avec l'autorité délégante. L'amélioration de sa performance économique et commerciale apparaît bien à cet égard comme déterminante, en l'absence de concours financiers publics supplémentaires dont le montant, s'il en allait autrement, devrait être justifié. REPONSE DE L'ORDONNATEUR : MPO pdf

1. faire l'objet d'une inscription à l'ordre du jour de la plus proche réunion de l'assemblée délibérante ;

1. faire l'objet d'une inscription à l'ordre du jour de la plus proche réunion de l'assemblée délibérante ; Monsieur le Président, Par courrier en date du 3 octobre 2006, je vous ai adressé le rapport d'observations définitives arrêté par la chambre dont il a été accusé réception le 4 octobre 2006. En application

Plus en détail

La Chambre régionale des comptes, après avoir examiné la réponse à ses. observations provisoires qu'elle vous avait adressées le 8 juin 1998 sur

La Chambre régionale des comptes, après avoir examiné la réponse à ses. observations provisoires qu'elle vous avait adressées le 8 juin 1998 sur Monsieur le Président, La Chambre régionale des comptes, après avoir examiné la réponse à ses observations provisoires qu'elle vous avait adressées le 8 juin 1998 sur la gestion de la mutuelle de retraite

Plus en détail

Les degrés de délégations de service public. Typologie des modes de délégation du service public

Les degrés de délégations de service public. Typologie des modes de délégation du service public Il n'existe pas de définition légale ou réglementaire explicite des modes de délégation de service public que représentent la concession, l'affermage, la régie intéressée ou la gérance (Circulaire du 7

Plus en détail

concernant la gestion du SIVOM de SAINT FRANCOIS LONGCHAMP-MONTGELLAFREY

concernant la gestion du SIVOM de SAINT FRANCOIS LONGCHAMP-MONTGELLAFREY Monsieur Patrick PROVOST Président du SIVOM de SAINT FRANCOIS LONGCHAMP-MONTGELLAFREY Hôtel de Ville 73130 SAINT FRANCOIS LONGCHAMP Monsieur le Président, Par lettre en date du 1er octobre 1998, j'ai porté

Plus en détail

Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012

Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Direction Générale Finances et Gestion Direction du Contrôle Interne Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Sociétés publiques locales et sociétés publiques locales d aménagement - Dispositif

Plus en détail

Petites Informations Juridiques n 1

Petites Informations Juridiques n 1 L OBLIGATION DE REPRISE DU PERSONNEL DANS LES CONTRATS DE TRANSPORT Cadre législatif et réglementaire Droit communautaire Règlementation interne Article 4.5 du règlement n 1370/2007/CE du 23 octobre 2007

Plus en détail

SECTION 3 APPRÉCIATION DU MONTANT DES ÉLÉMENTS DE CALCUL À RETENIR CONTESTATIONS RELATIVES À CES MONTANTS [DB 4N113]

SECTION 3 APPRÉCIATION DU MONTANT DES ÉLÉMENTS DE CALCUL À RETENIR CONTESTATIONS RELATIVES À CES MONTANTS [DB 4N113] SECTION 3 APPRÉCIATION DU MONTANT DES ÉLÉMENTS DE CALCUL À RETENIR CONTESTATIONS RELATIVES À CES MONTANTS [DB 4N113] Références du document 4N113 Date du document 30/08/97 SECTION 3 Appréciation du montant

Plus en détail

N 57 SÉNAT SECONDE SESSION ORDINAIRE DE 1967-1963 PROJET DE LOI MODIFIÉ PAR LE SÉNAT. modifiant le statut de VOrdre

N 57 SÉNAT SECONDE SESSION ORDINAIRE DE 1967-1963 PROJET DE LOI MODIFIÉ PAR LE SÉNAT. modifiant le statut de VOrdre PROJET DE LOI adopte le 25 avril 1968. N 57 SÉNAT SECONDE SESSION ORDINAIRE DE 1967-1963 PROJET DE MODIFIÉ PAR LE SÉNAT LOI modifiant le statut de VOrdre des experts-comptables et des comptables agréés.

Plus en détail

LETTRE CIRCULAIRE N 2009-084

LETTRE CIRCULAIRE N 2009-084 Montreuil, le 03/11/2009 ACOSS DIRECTION DE LA REGLEMENTATION, DU RECOUVREMENT ET DU SERVICE LETTRE CIRCULAIRE N 2009-084 OBJET : Loi de simplification et clarification du droit et d allègement des procédures

Plus en détail

Arrêtons. Chapitre I er. - Les assemblées générales de copropriétaires

Arrêtons. Chapitre I er. - Les assemblées générales de copropriétaires Règlement grand-ducal du 13 juin 1975 prescrivant les mesures d'exécution de la loi du 16 mai 1975 portant statut de la copropriété des immeubles. - base juridique: L du 16 mai 1975 (Mém. A - 28 du 23

Plus en détail

Le régime des monuments historiques

Le régime des monuments historiques Cabinet Fiscal Urios André, docteur en droit, Conseil fiscal et patrimonial, conseil en investissement et transactions immobilières Le régime des monuments historiques Le régime des monuments historiques

Plus en détail

Madame la Maire, Je vous prie d agréer, Madame la Maire, l expression de ma considération la plus distinguée.

Madame la Maire, Je vous prie d agréer, Madame la Maire, l expression de ma considération la plus distinguée. La Présidente Lyon, le 22 Juillet 2013 N Recommandée avec A.R. REF : ma lettre n 508 du 20 juin 2013 P.J. : 1 Madame la Maire, Par lettre citée en référence, je vous ai communiqué le rapport d observations

Plus en détail

Les crédits à la consommation

Les crédits à la consommation Les crédits à la consommation Billet du blog publié le 16/03/2015, vu 244 fois, Auteur : Fabrice R. LUCIANI Code de la consommation (Valable à partir du 18 mars 2016) Avis du 24 juin 2014 relatif à l'application

Plus en détail

CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES D'ALSACE OBSERVATIONS DEFINITIVES

CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES D'ALSACE OBSERVATIONS DEFINITIVES CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES D'ALSACE OBSERVATIONS DEFINITIVES concernant le Comité d'action pour le Progrès Economique et Social Haut-Rhinois (C.A.H.R) Exercice 1994 à 1997 1. Les comptes et la situation

Plus en détail

Loi du 20 décembre 2002 portant protection des conseillers en prévention (MB 20.1.2003)

Loi du 20 décembre 2002 portant protection des conseillers en prévention (MB 20.1.2003) Loi du 20 décembre 2002 portant protection des conseillers en prévention (MB 20.1.2003) Article 1 er.- La présente loi règle une matière visée à l'article 78 de la Constitution. Chapitre I er.- Champ d'application,

Plus en détail

Documents comptables : bilan, compte de résultat et annexe

Documents comptables : bilan, compte de résultat et annexe Documents comptables : bilan, compte de résultat et annexe La fin de l'année, pour les trésoriers, rime avec synthèse comptable. Trois documents doivent être produits. Les deux premiers (bilan et compte

Plus en détail

Recommandation n 11-01 relative aux contrats de syndics de copropriété

Recommandation n 11-01 relative aux contrats de syndics de copropriété C.N.E.C. - Brève... octobre 2011 Contrats de syndics de copropriété Recommandation de la Commission des clauses abusives adoptée le 15 septembre 2011 sur le rapport de Mme Raphaëlle PETIT-MACUR Recommandation

Plus en détail

Guide comptable. Les inscriptions comptables

Guide comptable. Les inscriptions comptables Guide comptable Les inscriptions comptables les ressources d emprunt Les emprunts sont exclusivement destinés à financer des investissements, qu'il s'agisse d'un équipement spécifique ou d'un ensemble

Plus en détail

LE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER. Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. TABLE DES MATIERES

LE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER. Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. TABLE DES MATIERES LE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER Objectif(s) : o Pré-requis : o Modalités : o o o Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. Connaissances juridiques.

Plus en détail

Séché Environnement S.A.

Séché Environnement S.A. ACOREX KPMG Audit Parc Edonia, Bâtiment S Rue de la Terre Victoria CS 46806 35768 Saint Grégoire Cedex France ACOREX Audit 24. place d'avesnières BP 40602 53006 Laval Cedex France Rapport des commissaires

Plus en détail

TVA et cantines administratives et scolaires

TVA et cantines administratives et scolaires TVA et cantines administratives et scolaires Depuis une décision rendue par le Conseil d'etat le 27 mars 2001 1, la fourniture des repas au personnel de collectivités locales par les gestionnaires des

Plus en détail

ACCORD RELATIF A L'APPLICATION DE L'AMENAGEMENT ET DE LA REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL AUX INTERIMAIRES

ACCORD RELATIF A L'APPLICATION DE L'AMENAGEMENT ET DE LA REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL AUX INTERIMAIRES ACCORD RELATIF A L'APPLICATION DE L'AMENAGEMENT ET DE LA REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL AUX INTERIMAIRES PREAMBULE Les organisations signataires veulent par le présent accord, préciser la situation des

Plus en détail

http://www.legifrance.gouv.fr/affichjurijudi.do?idtexte=juritext000023803694...

http://www.legifrance.gouv.fr/affichjurijudi.do?idtexte=juritext000023803694... Page 1 sur 5 Cour de cassation chambre civile 1 Audience publique du jeudi 31 mars 2011 N de pourvoi: 09-69963 Publié au bulletin M. Charruault, président Mme Richard, conseiller rapporteur Mme Falletti,

Plus en détail

Situation financière Capacité d'investissement 2009-2013

Situation financière Capacité d'investissement 2009-2013 Amt für Gemeinden GemA Rue de Zaehringen 1, 1701 Fribourg T +41 26 305 22 42, F +41 26 305 22 44 scom@fr.ch, www.fr.ch/scom Situation financière Capacité d'investissement 2009-2013 1. Comptes de fonctionnement

Plus en détail

TITRE Ier DISPOSITIONS GENERALES. Article 1 er

TITRE Ier DISPOSITIONS GENERALES. Article 1 er DECISION REGLEMENTAIRE N 12 DU 2 MARS 1948 DU CENTRE NATIONAL DE LA CINEMATOGRAPHIE RELATIVE AUX AUTORISATIONS D'EXERCICE DE LA PROFESSION modifiée par décisions n 12 bis du 18 mai 1949, 12 ter du 3 août

Plus en détail

COMMISSION SCOLAIRE DE LA BEAUCE-ETCHEMIN

COMMISSION SCOLAIRE DE LA BEAUCE-ETCHEMIN COMMISSION SCOLAIRE DE LA BEAUCE-ETCHEMIN Page 1 de 7 DIRECTIVE RÉGISSANT LES ACTIVITÉS FINANCIÈRES DÉCOULANT DE LA PERCEPTION DES REVENUS DANS LES ÉTABLISSEMENTS 1.0 FONDEMENTS 1.1 Devoir d'établissement

Plus en détail

I - OUVERTURE DU COMPTE ÉPARGNE TEMPS :

I - OUVERTURE DU COMPTE ÉPARGNE TEMPS : Amiens, le 8 décembre 2014 Rectorat Division des Personnels d Administration et d Encadrement FG/FL n 14-435 Affaire suivie par : Fabienne GERARD Chef du bureau DPAE3 Gestion des personnels administratifs

Plus en détail

- à la forme des délibérations et des contrats d'emprunt (montant, durée, annuité,...) ;

- à la forme des délibérations et des contrats d'emprunt (montant, durée, annuité,...) ; BULLETIN OFFICIEL DU MINISTERE DE L'INTERIEUR Circulaire du 22 FEVRIER 1989. --------------------------------------------------------------------------------- Concours financiers à court terme offerts

Plus en détail

b) Et. Domicilié, éventuellement représenté par., ci-après dénommé «le Courtier», de seconde part,

b) Et. Domicilié, éventuellement représenté par., ci-après dénommé «le Courtier», de seconde part, CONVENTION D INTERMEDIAIRE D ASSURANCES. Entre les soussignés, ci-après dénommés «les Parties» : a) IBS Europe s.a. dont le siège social est situé au N 68 de la Route de Luxembourgà L-4972 DIPPACH (Grand

Plus en détail

Annexe A de la norme 110

Annexe A de la norme 110 Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet

Plus en détail

RÈGLEMENT GÉNÉRAL DE CONSULTATION

RÈGLEMENT GÉNÉRAL DE CONSULTATION Ville de TALANGE CCAS de TALANGE RÈGLEMENT GÉNÉRAL DE CONSULTATION Convention de participation «risque prévoyance» & Convention de participation «risque santé» PREAMBULE TALANGE Évolution législative Afin

Plus en détail

Je vous prie d'agréer, Monsieur le Maire, l'expression de ma considération la plus distinguée.

Je vous prie d'agréer, Monsieur le Maire, l'expression de ma considération la plus distinguée. Monsieur Etienne BLANC Maire de Divonne-les-Bains 01220 DIVONNE-LES-BAINS Monsieur le Maire, Par lettre citée en référence, j'ai porté à votre connaissance les observations provisoires de la chambre régionale

Plus en détail

STATUTS DE L'AGENCE TECHNIQUE DEPARTEMENTALE DU CANTAL

STATUTS DE L'AGENCE TECHNIQUE DEPARTEMENTALE DU CANTAL INGENIERIE. TERRITOIRES STATUTS DE L'AGENCE TECHNIQUE DEPARTEMENTALE DU CANTAL votés lors de la session de l'assemblée Départementale du 30 mars 2012 modifiés par l'assemblée Générale Constitutive du 13

Plus en détail

CIRCULAIRE AUX BANQUES NON RESIDENTES N 86-13

CIRCULAIRE AUX BANQUES NON RESIDENTES N 86-13 Tunis, le 6 Mai 19861 CIRCULAIRE AUX BANQUES NON RESIDENTES N 86-13 OBJET : Activité des banques non-résidentes. La loi n 85-108 du 6 Décembre 1985, portant encouragement d'organismes financiers et bancaires

Plus en détail

Le président. jff/fs/n 1098/gr. Strasbourg, le 10 septembre 2004. Recommandé avec A.R

Le président. jff/fs/n 1098/gr. Strasbourg, le 10 septembre 2004. Recommandé avec A.R Le président jff/fs/n 1098/gr Strasbourg, le 10 septembre 2004 Recommandé avec A.R Objet : Notification du rapport d observations définitives relatif à l examen de la gestion du comité régional du tourisme

Plus en détail

N 5 SÉNAT SECONDE SESSION ORDINAIRE DE 1993-1994 PROJET DE LOI ADOPTÉ AVEC MODIFICATIONS PAR L'ASSEMBLÉE NATIONALE, EN DEUXIÈME LECTURE,

N 5 SÉNAT SECONDE SESSION ORDINAIRE DE 1993-1994 PROJET DE LOI ADOPTÉ AVEC MODIFICATIONS PAR L'ASSEMBLÉE NATIONALE, EN DEUXIÈME LECTURE, N 5 SÉNAT SECONDE SESSION ORDINAIRE DE 1993-1994 Annexe au procèsverbal de la séance du 14 juin 1994. PROJET DE LOI ADOPTÉ AVEC MODIFICATIONS PAR L'ASSEMBLÉE NATIONALE, EN DEUXIÈME LECTURE, relatifà /'amélioration

Plus en détail

La prise illégale d intérêts

La prise illégale d intérêts La prise illégale d intérêts Valeurs sociales protégées : Il s agit simplement de préserver, d une part, la probité dans la gestion des affaires publiques en respectant le vieil adage " nul ne peut servir

Plus en détail

REGLEMENT DU REGIME COMPLEMENTAIRE DES AVOCATS ETABLI PAR LA CAISSE NATIONALE DES BARREAUX FRANÇAIS

REGLEMENT DU REGIME COMPLEMENTAIRE DES AVOCATS ETABLI PAR LA CAISSE NATIONALE DES BARREAUX FRANÇAIS CAISSE NATIONALE DES BARREAUX FRANCAIS REGLEMENT DU REGIME COMPLEMENTAIRE DES AVOCATS ETABLI PAR LA CAISSE NATIONALE DES BARREAUX FRANÇAIS Arrêté du 30 décembre 2005 J.O. du 25 janvier 2006 Arrêté du 31

Plus en détail

MAPPP/12-14 02/10/2012. Modalités de mise en œuvre du cofinancement public d un CP

MAPPP/12-14 02/10/2012. Modalités de mise en œuvre du cofinancement public d un CP MAPPP/12-14 02/10/2012 Modalités de mise en œuvre du cofinancement public d un CP L article 14 de la loi n 2009-179 du 17 fév.2009 dispose que : «/. Le contrat de partenariat est un contrat administratif

Plus en détail

AVIS DE MARCHE SERVICES

AVIS DE MARCHE SERVICES Département de publication : 75 Annonce No 14500000 Service Date de mise en ligne 27/10/2014 AVIS DE MARCHE SERVICES Directive 2004/18/CE. SECTION I : POUVOIR ADJUDICATEUR I.1) Nom, adresses et point(s)

Plus en détail

DOSSIER DE GESTION. Sommaire

DOSSIER DE GESTION. Sommaire 102 Allée de Barcelone 31000 TOULOUSE Forme juridique : ENTREPRISE INDIVIDUELLE Régime fiscal : R. Simplifié Date exercice : 01/07/2012 au 30/06/2013-12 DOSSIER DE GESTION Sommaire Présentation de l'exploitation

Plus en détail

Pour les interventions des régions : article L.4211-1 du Code général des collectivités territoriales

Pour les interventions des régions : article L.4211-1 du Code général des collectivités territoriales Régime cadre exempté de notification N X59/2008 relatif aux aides sous forme de capital-investissement en faveur des PME Les autorités françaises ont informé la Commission de la mise en œuvre d un régime

Plus en détail

Article L52-4 Article L52-5 Article L52-6

Article L52-4 Article L52-5 Article L52-6 Article L52-4 Tout candidat à une élection désigne un mandataire au plus tard à la date à laquelle sa candidature est enregistrée. Ce mandataire peut être une association de financement électoral, ou une

Plus en détail

www.jpad.fr.st JPAD portage - portage 1/5 Pour qui? Comment? Les avantages Portage - Pour qui?

www.jpad.fr.st JPAD portage - portage 1/5 Pour qui? Comment? Les avantages Portage - Pour qui? JPAD portage - portage 1/5 Pour qui? Comment? Les avantages Portage - Pour qui? Une nouvelle façon de travailler : le portage permet à des consultants (experts ou formateurs) d'être salariés pour une mission

Plus en détail

Ordonnance concernant la gestion et le contrôle financier et des prestations de la HES-SO Valais/Wallis du 16 décembre 2014

Ordonnance concernant la gestion et le contrôle financier et des prestations de la HES-SO Valais/Wallis du 16 décembre 2014 - 1-414.703 Ordonnance concernant la gestion et le contrôle financier et des prestations de la HES-SO Valais/Wallis du 16 décembre 2014 Le Conseil d'etat du canton du Valais vu l'article 57 de la Constitution

Plus en détail

LA COMMISSION DE L'UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE (UEMOA)

LA COMMISSION DE L'UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE (UEMOA) UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission ~ UEMOA RÈGLEMENT D'EXECUTION N~(t..~.:.~.9.1 RELATIF AUX REGLES PRUDENTIELLES PORTANT SUR LES RISQUES COURTS, AUX MECANISMES DE GARANTIE ET

Plus en détail

LOI DU 3 JUILLET 1978 RELATIVE AUX CONTRATS DE TRAVAIL, LA CONVENTION D'UN SALAIRE MENSUEL GARANTI A CERTAINS EMPLOYES EN CAS

LOI DU 3 JUILLET 1978 RELATIVE AUX CONTRATS DE TRAVAIL, LA CONVENTION D'UN SALAIRE MENSUEL GARANTI A CERTAINS EMPLOYES EN CAS CONVENTION COLLECTIVE DE TRAVAIL N 13 BIS DU 26 FEVRIER 1979 ADAPTANT A LA LOI DU 3 JUILLET 1978 RELATIVE AUX CONTRATS DE TRAVAIL, LA CONVENTION COLLECTIVE DE TRAVAIL N 13 DU 28 JUIN 1973 CONCERNANT L'OCTROI

Plus en détail

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE AU NOM DU PEUPLE FRANçAIS

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE AU NOM DU PEUPLE FRANçAIS 1 ex 'y': '-, 1., ':'f" P'~>::p..1~. 84 Grand'Rue TRIB UN -67504 AL D' HAGUENAU ln STAN C~ ~J~~~~~~~ CEDEX Tél: 03.88.06.03.84 -Télécopieur: 03.88.06.03.81 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE AU NOM DU PEUPLE FRANçAIS

Plus en détail

Dossier Financier. La première partie décrit les hypothèses de fonctionnement retenues que ce soit d un point de vue organisationnel ou financier.

Dossier Financier. La première partie décrit les hypothèses de fonctionnement retenues que ce soit d un point de vue organisationnel ou financier. Dossier Financier Ce dossier complète notre dossier économique en apportant un éclairage financier sur notre projet. Il s appuie sur l organisation que nous avons mise en place et sur l expérience de démarrage

Plus en détail

Comment remplir le dossier de demande subvention?

Comment remplir le dossier de demande subvention? Comment remplir le dossier de demande subvention? Ville de Suresnes année 2015 Le dossier de demande de subvention est à déposer en 3 exemplaires avant le 5 décembre 2014 Au service Vie Associative 6 rue

Plus en détail

LES AJUSTEMENTS OU REGULARISATIONS DES COMPTES DE CHARGES ET DE PRODUITS

LES AJUSTEMENTS OU REGULARISATIONS DES COMPTES DE CHARGES ET DE PRODUITS LES AJUSTEMENTS OU REGULARISATIONS DES COMPTES DE CHARGES ET DE PRODUITS Objectif(s) : o Traitement comptable des régularisations des charges et des produits. Pré-requis : o Principes généraux de la comptabilité,

Plus en détail

Bordeaux, le 22 mars 2010. Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992. Monsieur le Président,

Bordeaux, le 22 mars 2010. Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992. Monsieur le Président, Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992 Bordeaux, le 22 mars 2010 Monsieur le Président, Par lettre du 9 septembre 2008, vous avez été informé que la Chambre régionale des comptes

Plus en détail

Les communes et les intercommunalités sont compétentes pour assurer le service de la distribution d eau et l'assainissement.

Les communes et les intercommunalités sont compétentes pour assurer le service de la distribution d eau et l'assainissement. Les communes et les intercommunalités sont compétentes pour assurer le service de la distribution d eau et l'assainissement. Elles peuvent gérer ces services directement en régie, ou avoir recours à une

Plus en détail

DU 3 JUILLET 1978 RELATIVE AUX CONTRATS DE TRAVAIL, LA CONVENTION COLLEC- MENSUEL GARANTI AUX OUVRIERS EN CAS D'INCAPACITE DE TRAVAIL

DU 3 JUILLET 1978 RELATIVE AUX CONTRATS DE TRAVAIL, LA CONVENTION COLLEC- MENSUEL GARANTI AUX OUVRIERS EN CAS D'INCAPACITE DE TRAVAIL CONVENTION COLLECTIVE DE TRAVAIL N 12 BIS DU 26 FEVRIER 1979 ADAPTANT A LA LOI DU 3 JUILLET 1978 RELATIVE AUX CONTRATS DE TRAVAIL, LA CONVENTION COLLEC- TIVE DE TRAVAIL N 12 DU 28 JUIN 1973 CONCERNANT

Plus en détail

Cet accord est la première illustration de l application de la loi du 31 janvier 2007 de modernisation du dialogue social.

Cet accord est la première illustration de l application de la loi du 31 janvier 2007 de modernisation du dialogue social. Ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville Direction générale du travail Sous-direction des relations individuelles du travail Bureau des relations individuelles

Plus en détail

STATUTS TITRE PREMIER CONSTITUTION ET OBJET DE LA SOCIÉTÉ

STATUTS TITRE PREMIER CONSTITUTION ET OBJET DE LA SOCIÉTÉ Société de Réassurance mutuelle régie par le Code des Assurances Siège Social : 65, rue de Monceau - 75008 PARIS STATUTS TITRE PREMIER CONSTITUTION ET OBJET DE LA SOCIÉTÉ ARTICLE PREMIER - FORMATION -

Plus en détail

STATUTS DE L ASSOCIATION «SEO CAMP «

STATUTS DE L ASSOCIATION «SEO CAMP « STATUTS DE L ASSOCIATION «SEO CAMP «Préambule Le SEO Camp rassemble toutes les personnes dont l'activité principale ou les centres d'intérêts sont le référencement naturel et les disciplines associées

Plus en détail

COMPTE EPARGNE TEMPS

COMPTE EPARGNE TEMPS WWW.SAFPT.ORG COMPTE EPARGNE TEMPS EFFET : 1ER JANVIER 2010 Texte de référence : Loi n 84-53 du 26 janvier 1984, modifiée, portant dispositions statutaires applicables à la fonction publique territoriale,

Plus en détail

Copyright DGAFP - http://bjfp.fonction-publique.gouv.fr - 19/03/2014 15:07:58

Copyright DGAFP - http://bjfp.fonction-publique.gouv.fr - 19/03/2014 15:07:58 Circulaire FP n 2164 du 13 juin 2008 relative à la mise en œuvre du décret n 2008-539 du 6 juin 2008 relatif à l instauration d une indemnité dite de garantie individuelle du pouvoir d achat MINISTERE

Plus en détail

STATUTS DE L ASSOCIATION «SEO CAMP»

STATUTS DE L ASSOCIATION «SEO CAMP» STATUTS DE L ASSOCIATION «SEO CAMP» Version ratifiée par l AGE du 8 décembre 2012 Préambule (modifié par l AGE du 8.12.12) Le SEO Camp rassemble toutes les personnes physiques ou morales dont l'activité

Plus en détail

UNIVERSITÉ DE SFAX ÉCOLE SUPÉRIEURE DE COMMERCE. Corrigé. (Durée 2H)

UNIVERSITÉ DE SFAX ÉCOLE SUPÉRIEURE DE COMMERCE. Corrigé. (Durée 2H) UNIVERSITÉ DE SFAX ÉCOLE SUPÉRIEURE DE COMMERCE Matière : Fiscalité I Corrigé Auditoire : 2 ème année Sciences Comptables Année universitaire 1997/1998 Session de contrôle (Durée 2H) Question de cours

Plus en détail

- 03 - TABLEAU DE FINANCEMENT - APPROFONDISSEMENT

- 03 - TABLEAU DE FINANCEMENT - APPROFONDISSEMENT - 03 - TABLEAU DE FINANCEMENT - APPROFONDISSEMENT Objectif(s) : o Approfondissement du tableau de financement : Pré-requis : variation du Fonds de Roulement Net Global (F.R.N.G.) ; variation du Besoin

Plus en détail

Recommandation n 22 relative à l ouverture d un compte bancaire ou postal séparé (06 novembre 2001).

Recommandation n 22 relative à l ouverture d un compte bancaire ou postal séparé (06 novembre 2001). Recommandation n 22 relative à l ouverture d un compte bancaire ou postal séparé (06 novembre 2001). La Commission, Considérant la 14e recommandation de la Commission portant sur le libellé de la question

Plus en détail

ainsi que les formulaires qui y étaient associés :

ainsi que les formulaires qui y étaient associés : INSTRUCTION N Diffusion interne : PF le Diffusion externe : 0 Service rédacteur : DRH-DDS Plan de classement : 3.12.61 Direction Générale 2, av. de Saint-Mandé 75570 Paris Cedex 12 Objet : Compte épargne

Plus en détail

PROJETS DE RESOLUTIONS A SOUMETTRE A L ASSEMBLEE GENERALE MIXTE DU 27 MAI 2014

PROJETS DE RESOLUTIONS A SOUMETTRE A L ASSEMBLEE GENERALE MIXTE DU 27 MAI 2014 PROJETS DE RESOLUTIONS A SOUMETTRE A L ASSEMBLEE GENERALE MIXTE DU 27 MAI 2014 Vous trouverez le Rapport du Conseil d'administration sur les projets de résolutions proposés, ainsi que les Rapports des

Plus en détail

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES COMMISSION DES NORMES COMPTABLES - Sociétés de droit étranger établies en Belgique: Champ d'application des articles 81, 82, 83 et 107 du Code des sociétés Avis du 14 janvier 2009 (en remplacement de l

Plus en détail

Théâtre de l'escalier des Doms en Avignon Adresse du siège social : rue de Flandre, 46 à 1000 Bruxelles N d'entreprise : 477049364.

Théâtre de l'escalier des Doms en Avignon Adresse du siège social : rue de Flandre, 46 à 1000 Bruxelles N d'entreprise : 477049364. Théâtre de l'escalier des Doms en Avignon Adresse du siège social : rue de Flandre, 46 à 1000 Bruxelles N d'entreprise : 477049364 Statuts modifiés TITRE Ier. Dénomination, siège, objet et durée Article

Plus en détail

Dahir n 1-06-15 du 15 moharrem 1427 (14 février 2006) portant promulgation de la loi n 54-05 relative à la gestion déléguée des services publics.

Dahir n 1-06-15 du 15 moharrem 1427 (14 février 2006) portant promulgation de la loi n 54-05 relative à la gestion déléguée des services publics. Dahir n 1-06-15 du 15 moharrem 1427 (14 février 2006) portant promulgation de la loi n 54-05 relative à la gestion déléguée des services publics. LOUANGE A DIEU SEUL! (Grand Sceau de Sa Majesté Mohammed

Plus en détail

Je vous prie d'agréer, Monsieur le président, l'expression de ma considération la plus distinguée.

Je vous prie d'agréer, Monsieur le président, l'expression de ma considération la plus distinguée. Le Président AG/MF/FB - n 02.ROD.044 Dijon, le 7 novembre 2002 RECOMMANDE AVEC A.R. P.J. : une annexe Monsieur le président, Dans sa séance du 5 septembre 2002, la chambre régionale des comptes de Bourgogne

Plus en détail

Loi n 41-08 portant création de l'agence marocaine de développement des investissements

Loi n 41-08 portant création de l'agence marocaine de développement des investissements Dahir n 1-09-22 du 22 safar 1430 portant promulgat ion de la loi n 41-08 portant création de l'agence marocaine de développement des investissements. B.O. n 5714 du 5 mars 2009 Vu la Constitution, notamment

Plus en détail

LETTRE D'INFORMATION AU CE - Février 2008 -

LETTRE D'INFORMATION AU CE - Février 2008 - LETTRE D'INFORMATION AU CE - Février 2008 - Que peut demander le ce en février? Au mois de février le CE peut demander à être consulté sur plusieurs points : - communication du bilan du travail à temps

Plus en détail

SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET. publique. Le Ministre de l Intérieur,

SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET. publique. Le Ministre de l Intérieur, MINISTÈRE DE L ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L INDUSTRIE SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR Direction du Trésor Direction de la Comptabilité publique Direction générale des collectivités

Plus en détail

LA COMPTABILITÉ DU COMITÉ D ENTREPRISE : DE NOUVELLES OBLIGATIONS DE TRANSPARENCE À PARTIR DU 1 er JANVIER 2015

LA COMPTABILITÉ DU COMITÉ D ENTREPRISE : DE NOUVELLES OBLIGATIONS DE TRANSPARENCE À PARTIR DU 1 er JANVIER 2015 Groupement des Métiers de l Imprimerie -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- DÉCEMBRE 2014 NOTE N 24 LA

Plus en détail

Le Président du Centre de gestion

Le Président du Centre de gestion Circulaire du 1 er juin 2010 Dernière mise à jour en janvier 2011 MODALITES D UTILISATION DU COMPTE EPARGNE-TEMPS DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE Réf. - Décret 2004-878 du 26 août 2004 relatif au

Plus en détail

copyright CNCC NI V. COLLECTION NOTES D INFORMATION

copyright CNCC NI V. COLLECTION NOTES D INFORMATION COLLECTION NOTES D INFORMATION NI V. INTERVENTIONS DU COMMISSAIRE AUX COMPTES RELATIVES AUX OPERATIONS CONCERNANT LE CAPITAL SOCIAL ET LES EMISSIONS DE VALEURS MOBILIERES Tome 3 Augmentation du capital

Plus en détail

Décision n 2014-246 L. Dossier documentaire

Décision n 2014-246 L. Dossier documentaire Décision n 2014-246 L Nature juridique de l article L. 723-23 du code rural et de la pêche maritime Dossier documentaire Source : services du Conseil constitutionnel 2014 Sommaire I. Normes de référence...

Plus en détail

GUIDE POUR LA REDACTION D UN REGLEMENT BUDGETAIRE ET FINANCIER POUR LES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET LEURS GROUPEMENTS

GUIDE POUR LA REDACTION D UN REGLEMENT BUDGETAIRE ET FINANCIER POUR LES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET LEURS GROUPEMENTS GUIDE POUR LA REDACTION D UN REGLEMENT BUDGETAIRE ET FINANCIER POUR LES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET LEURS GROUPEMENTS Les régions et les départements ont l obligation de se doter d un règlement budgétaire

Plus en détail

Les mises à disposition de personnels ou de matériels

Les mises à disposition de personnels ou de matériels Les mises à disposition de personnels ou de matériels Les associations sont souvent confrontées à des besoins précis et ponctuels en matériel ou en personnel. Or, l'achat, la location ou l'embauche s'avèrent

Plus en détail

RUBIS. Avis de convocation. /pa/prod/alpa/bases/pa100459/./lot204.xml lot204-01 V Département : 75 Rubrique : 276 Raison sociale : RUBIS

RUBIS. Avis de convocation. /pa/prod/alpa/bases/pa100459/./lot204.xml lot204-01 V Département : 75 Rubrique : 276 Raison sociale : RUBIS /pa/prod/alpa/bases/pa100459/./lot204.xml lot204-01 V Département : 75 Rubrique : 276 Raison sociale : RUBIS 999004 - Le Quotidien Juridique RUBIS Société en commandite par actions au capital de 97.173.662,50

Plus en détail

CIRCULAIRE N Mesdames et Messieurs les préfets de régions et de départements

CIRCULAIRE N Mesdames et Messieurs les préfets de régions et de départements Paris le, Le ministre de l'intérieur, le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie et la ministre de l'aménagement du territoire et de l'environnement CIRCULAIRE N Mesdames et Messieurs les

Plus en détail

Guide juridique relatif aux modes de gestion des Offices de tourisme

Guide juridique relatif aux modes de gestion des Offices de tourisme Guide juridique relatif aux modes de gestion des Offices de tourisme La commune ou l EPCI décidant de créer un Office de tourisme doit choisir le mode de gestion qui correspond à son profil et à ses besoins.

Plus en détail

PROTOCOLE D'ACCORD RELATIF A LA MISE EN PLACE D'UN COMPTE EPARGNE TEMPS DANS LES ORGANISMES DE SECURITE SOCIALE

PROTOCOLE D'ACCORD RELATIF A LA MISE EN PLACE D'UN COMPTE EPARGNE TEMPS DANS LES ORGANISMES DE SECURITE SOCIALE Ucanss PROTOCOLE D'ACCORD RELATIF A LA MISE EN PLACE D'UN COMPTE EPARGNE TEMPS DANS LES ORGANISMES DE SECURITE SOCIALE Entre, d'une part : - l'union des Caisses Nationales de Sécurité Sociale représentée

Plus en détail

STATUTS. Dénomination et Siège

STATUTS. Dénomination et Siège STATUTS Article 1 Article 2 Article 3 Article 4 Dénomination et Siège L Association des taxis de service public désignée ci-après par L ATSP est une association sans but lucratif régie par les présents

Plus en détail

La CRC (Commission Relative à la Copropriété) vient de ressortir sa huitième Recommandation entièrement revue et corrigée.

La CRC (Commission Relative à la Copropriété) vient de ressortir sa huitième Recommandation entièrement revue et corrigée. ARC, Actualité /02 01 08/ «Appels de fonds : ce que le syndic peut/ne peut pas faire» : La 8 ème Recommandation revue et corrigée de la Commission Relative à la Copropriété (CRC) vient de sortir La CRC

Plus en détail

DOMAINE : économie et gestion comptable

DOMAINE : économie et gestion comptable CONCOURS DE L'AGREGATION INTERNE «ECONOMIE ET GESTION» SESSION 2002 EPREUVE PORTANT SUR LES TECHNIQUES DE GESTION ET COMPORTANT DES ASPECTS PEDAGOGIQUES DOMAINE : économie et gestion comptable Durée de

Plus en détail

LES TERRASSES DES EMBIEZ Aujourd'hui

LES TERRASSES DES EMBIEZ Aujourd'hui LES TERRASSES DES EMBIEZ Aujourd'hui SODEREV n'envisage pas, pour l'instant, de renégociation des baux pour notre résidence. Quelque soit le type de pack contracté! Et, bien que certains d'entre nous n'attendent

Plus en détail

CONTENTEUX N 1961 Maison pour personnes âgées «Retraite de la Combe» 1 04, quai Clemenceau, 69300 Caluire

CONTENTEUX N 1961 Maison pour personnes âgées «Retraite de la Combe» 1 04, quai Clemenceau, 69300 Caluire CONSEIL SUPERIEUR DE L'AIDE SOCIALE Section permanente CONTENTEUX N 1961 Maison pour personnes âgées «Retraite de la Combe» 1 04, quai Clemenceau, 69300 Caluire Au nom du peuple français, La section permanente

Plus en détail

Circulaire du 20 avril 2015 relative au délai de transmission des arrêts de maladie des fonctionnaires dans la fonction publique de l État

Circulaire du 20 avril 2015 relative au délai de transmission des arrêts de maladie des fonctionnaires dans la fonction publique de l État RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de la décentralisation et de la fonction publique Circulaire du 20 avril 2015 relative au délai de transmission des arrêts de maladie des fonctionnaires dans la fonction

Plus en détail

CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE

CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE 1. Champs d application. Toutes les fournitures de biens matériels et de prestations de services (telles que, sans caractère limitatif : réalisation de site internet, réalisation

Plus en détail

ARTICLE 5 : SIEGE SOCIAL Le siège social est à Nantes. Il peut être transféré sur simple décision du conseil d administration.

ARTICLE 5 : SIEGE SOCIAL Le siège social est à Nantes. Il peut être transféré sur simple décision du conseil d administration. Association loi 1901 ARTICLE 1 : CONSTITUTION Création Il est fondé, entre les adhérents aux présents statuts, une association régie par la loi du 1er juillet 1901, et le décret du 16 août 1901 ayant pour

Plus en détail

ORDONNANCE. relative au portage salarial. NOR : ETST1503259R/Bleue-1 ------ RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

ORDONNANCE. relative au portage salarial. NOR : ETST1503259R/Bleue-1 ------ RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social TEXTE SOUMIS A LA DELIBERATION DU CONSEIL DES MINISTRES ORDONNANCE relative au portage salarial

Plus en détail

FICHE OBLIGATIONS LEGALES

FICHE OBLIGATIONS LEGALES FICHE OBLIGATIONS LEGALES L article 99 de la loi n 2010-1330 du 9 novembre 2 010 portant réforme des retraites a instauré, à compter du 1 er janvier 2012, pour les entreprises dont l effectif est au moins

Plus en détail

OBJET : Lettre d'observations définitives relative à la gestion du casino municipal de Cagnes-sur- Mer.

OBJET : Lettre d'observations définitives relative à la gestion du casino municipal de Cagnes-sur- Mer. CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE PROVENCE-ALPES-COTE D'AZUR Référence à rappeler : Greffe/BA/ n 1225 Lettre recommandée avec AR n 9288 5821 8 FR OBJET : Lettre d'observations définitives relative à la

Plus en détail

L du 24 juillet 1995 (Mém. n 66 du 16 août 1995, p.1565)

L du 24 juillet 1995 (Mém. n 66 du 16 août 1995, p.1565) Loi du 24 juillet 1995 régissant l'office du Ducroire. - base juridique de: RGD du 11 novembre 2008 (Mém. A - 167 du 19 novembre 2008, p. 2335) RGD du 27 juillet 1997 (Mém. A - 60 du 18 août 1997, p. 1756)

Plus en détail

I S agissant de l article 7 bis

I S agissant de l article 7 bis 20 Décembre 2013 SAISINE du CONSEIL CONSTITUTIONNEL Sur la LOI de FINANCES RECTIFICATIVE pour 2013 Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les Conseillers, Les Sénateurs soussignés 1 ont l honneur

Plus en détail

Conseil d'état - 5ème et 4ème sous-sections réunies. Lecture du mercredi 30 mars 2011. Société Betclic Enterprises Limited

Conseil d'état - 5ème et 4ème sous-sections réunies. Lecture du mercredi 30 mars 2011. Société Betclic Enterprises Limited Conseil d'état - 5ème et 4ème sous-sections réunies Lecture du mercredi 30 mars 2011 Société Betclic Enterprises Limited M. Stirn, président M. Xavier de Lesquen, rapporteur M. Thiellay Jean-Philippe,

Plus en détail

PARTICIPATION DES EMPLOYEURS AU FINANCEMENT DE LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE

PARTICIPATION DES EMPLOYEURS AU FINANCEMENT DE LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE PARTICIPATION DES EMPLOYEURS AU FINANCEMENT DE LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE CV Réf. : II-13-1-5 Pôle des services Date : 15.09.2012 services@cdg81.fr Ref : 7-9 Références : - Loi n 83-634 du 13

Plus en détail

Les comptes-rendus précédents ont tous été transmis et signés préalablement à la séance.

Les comptes-rendus précédents ont tous été transmis et signés préalablement à la séance. Département du Tarn Nombre de membres en exercice: 15 Présents : 14 Votants: 15 République Française Commune de Parisot Séance du lundi 01 décembre 2014 L'an deux mille quatorze et le premier décembre

Plus en détail

CONVOCATIONS SOCIETE FRANCAISE DE CASINOS

CONVOCATIONS SOCIETE FRANCAISE DE CASINOS CONVOCATIONS ASSEMBLÉES D'ACTIONNAIRES ET DE PORTEURS DE PARTS SOCIETE FRANCAISE DE CASINOS Société Anonyme au capital de 14 004 292,50. Siège social : 14 rue d Antin - 75002 PARIS. 393 010 467 R.C.S.

Plus en détail

ACCORD NATIONAL du 19 septembre 2001 sur le compte épargne-temps dans les exploitations et entreprises agricoles

ACCORD NATIONAL du 19 septembre 2001 sur le compte épargne-temps dans les exploitations et entreprises agricoles ACCORD NATIONAL du 19 septembre 2001 sur le compte épargne-temps dans les exploitations et entreprises agricoles (étendu par arrêté du 19 décembre 2001 J.O. du 29/12/01, modifié par arrêté du 21 janvier

Plus en détail