POLITIQUE DE PLACEMENT

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1 BANQUE PRIVÉE - MARS 2015 POLITIQUE DE PLACEMENT MENSUEL DES INVESTISSEMENTS EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) S.A. - COMITÉ D INVESTISSEMENT

2 EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITE D INVESTISSEMENT 2/12

3 SOMMAIRE Synthèse... 4 Conjoncture internationale... 5 Obligations... 6 Actions... 7 Devises... 8 Grilles de placement... 9 EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITE D INVESTISSEMENT 3/12

4 SYNTHÈSE! Le dynamisme de croissance est l apanage des États-Unis et de l Allemagne. Tous les autres, que ce soit la Zone Euro, le Japon ou les pays émergents, sont en difficultés. Le ralentissement économique en Chine doit notamment être suivi de près.! Les prix du baril de pétrole ayant reculé jusqu à la fin du mois de janvier, l inflation chute simultanément et rapidement de par le monde, s installant souvent en territoire négatif. La phase de rebond qui s amorcera dès le mois de mars permettra de discerner les maillons faibles, ceux dont le recul des prix est également lié à l atonie de la demande domestique.! Les mouvements des banques centrales laissent déjà présager du dessin final. La Réserve Fédérale américaine augmentera ses taux directeurs, pour la première fois depuis neuf ans, dans la deuxième partie de l année. Peu importe que ce soit en juin, septembre ou même plus tard. À l inverse, la Banque Centrale Européenne ou la Banque Populaire de Chine continueront à assouplir leurs politiques monétaires. BCE et pétrole soutiennent les obligations à hauts rendements! Les marchés obligataires devront donc faire la part des choses entre la hausse des taux courts en dollars et la faiblesse des taux longs en euros. La résultante devrait permettre d orchestrer une hausse très modérée des rendements souverains. Par effet de ricochet, les obligations d entreprises devraient préserver leur attractivité, y compris celles dont les notations les moins élevées permettent d obtenir un rendement plus rémunérateur. Évidemment, les obligations européennes high yield profiteront massivement de la création monétaire mise en œuvre par la BCE. Quant aux obligations américaines à haut rendement, une partie d entre elles est émise par des sociétés pétrolières, qui vont pouvoir bénéficier de la très récente hausse des prix du baril.! Le Comité a décidé d investir sur les obligations à haut rendement, à hauteur de 3% ou 4% dans les portefeuilles. L arbitrage a été fait au détriment du cash et d une petite partie de l exposition aux obligations émergentes, afin de diversifier le risque spécifique. La dette des pays émergents conserve une grande attractivité, très rémunératrice. Elle représente donc toujours une part importante de l allocation obligataire.! Les actions continuent d être copieusement valorisées et enclines à une correction technique, qui peut intervenir à tout moment. Malgré cela, l environnement de confiance généré par la création monétaire des banques centrales, telles que la BCE, la BoJ ou la BNS, favorise l appréciation des indices boursiers. C est notamment le cas en Europe où, fait rarissime, les indices sont en progression de 13% en moyenne depuis le début de l année. Ils profitent largement de la dépréciation de l euro.! La monnaie unique a déjà perdu plus de 7% cette année contre le dollar et plus de 11% contre le franc suisse. Elle tente une stabilisation depuis quelques semaines, mais les fondamentaux restent très fragiles. À l opposé, le dollar continue de décrocher nos faveurs, tout comme celles de la majorité des investisseurs. Nous restons exposés à hauteur de 10%. Seul bémol à cette situation, les marchés évoluent rarement en sens unique et de manière aussi rapide. Un repli technique pourrait faire chuter le billet vert temporairement. EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITE D INVESTISSEMENT 4/12

5 CONJONCTURE INTERNATIONALE! La croissance mondiale continue d être emmenée par la puissante locomotive américaine. Les ménages américains profitent pleinement des créations d emploi, de la baisse des prix énergétiques et de la récente progression des salaires. Leur rythme de consommation permet de pérenniser la croissance économique aux États-Unis.! En Zone Euro, si la croissance est positive, c est en grande partie grâce à l Allemagne. À terme, les dépenses des consommateurs allemands alimenteront le commerce extérieur des 18 autres pays. L Espagne, les Pays-Bas et le Portugal s en sortent également très bien, signe que les réformes engagées au cours des dernières années finissent par porter leurs fruits. Le reste de la Zone Euro est au «ras des pâquerettes», avec une croissance qui oscille autour de zéro. La dette grecque continue d inquiéter au gré des tractations politiques.! Le Japon a renoué avec la croissance, après deux trimestres de récession. Malheureusement, l impact négatif de la hausse de la TVA, le 1 er avril dernier de 5% à 8%, ne semble pas vouloir se dissiper complètement. L efficacité des abenomics, notamment la flèche des réformes structurelles, est à nouveau mise en question. Les anticipations d inflation demeurent bien en dessous de 2%. Les entreprises n entrevoyant pas d inflation durable, elles refusent d accroître les salaires des ménages, sous peine de rogner fortement leurs marges. Or, tant que les revenus réels ne progresseront pas, la relance de l économie par la demande domestique sera un vœu pieux.! En Chine, l économie ralentit dangereusement et les indicateurs avancés montrent des signes d essoufflement depuis plusieurs mois (cf. graphique). La stratégie de Pékin, qui vise à rééquilibrer l activité chinoise au détriment de la balance commerciale et au profit de la demande intérieure, mérite d être remise en question. Heureusement, durant cette période de transition, l administration soutiendra l activité par des mesures additionnelles : budgétaires ou monétaires.! Les prix du baril de pétrole poursuivent leur rebond, initié le mois dernier. Ceci implique que le creux dans les chiffres d inflation devrait avoir été touché au mois de janvier, ouvrant la voie à un rebond des indices des prix à la consommation de par le monde. CROISSANCE DE L ACTIVITÉ ÉCONOMIQUE EN CHINE (Sources : Bloomberg, Edmond de Rothschild) China GDP (%YoY, R.H.S.) China Business Cycle Signal EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITE D INVESTISSEMENT 5/12

6 OBLIGATIONS! Après un mois de janvier excellent, février a été plus compliqué pour le marché obligataire. Les bons du Trésor américain à 10 ans cèdent 3%, et le Bund à 10 ans est stable sur le mois. La performance globalement négative est due à une réévaluation, par les investisseurs, de la date de la première montée de taux de la Fed, à la suite d excellents chiffres de l emploi aux États-Unis.! Toutefois, février se termine sur une note positive, puisque plusieurs inquiétudes de marché sont en nette diminution. Le procès-verbal de la Fed (meeting du 28 janvier) a démontré qu il y avait des préoccupations de la part des gouverneurs concernant la faiblesse des chiffres de l inflation aux États-Unis. Ce point a rassuré les investisseurs, qui commençaient à être inquiets que Janet Yellen puisse monter les taux dès le mois de juin. Ses propos au Congrès ont aussi rassuré. Le prix du pétrole, qui semble finalement se stabiliser après des mois de chute, aide le marché américain des crédits. Il pourrait également permettre aux papiers indexés sur l inflation de bien se comporter.! L inquiétude grecque se dissipe, même si ce n est que partie remise. L accord trouvé entre la Grèce et ses bailleurs (poursuite du programme d austérité, aucune restructuration de dette, pas de sortie de l euro) a rassuré les investisseurs et remet le rallye des périphériques en place.! Les achats du programme de QE vont commencer en mars. La recherche de rendement commence déjà à se faire sentir, avec le high-yield européen en forte hausse depuis le début de l année (cf. graphique).! Les marchés obligataires émergents ont repris quelques couleurs au cours de la période sous revue. Les différentiels de rendements se sont détendus d environ 30 points de base. Le segment souverain a évolué en ligne avec son homologue corporate. L accalmie sur le front de la crise russo-ukrainienne et la reprise d une dizaine de dollars sur le prix du pétrole ont contribué à l amélioration du sentiment de marché. L évaluation des marchés obligataires émergents demeure attractive. La recherche de rendement devrait favoriser la classe d actif. PERFORMANCE DES OBLIGATIONS À HAUT RENDEMENT (Sources : Bloomberg, Edmond de Rothschild) EM Sov. Bonds EU Corp. HY Bonds US Corp. HY Bonds EM Corp. Bonds EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITE D INVESTISSEMENT 6/12

7 ACTIONS! Les résultats du 4 e trimestre confirment pleinement les articulations de notre scénario d investissement tant aux États-Unis qu en Europe.! Aux États-Unis : 56% des sociétés affichent des revenus au-dessus des attentes et 73% au niveau des bénéfices (1 er tableau), ce qui conforte, une fois de plus, notre scénario non consensuel d une expansion additionnelle des marges (levier opérationnel, optimisation continue des processus de production, baisse des matières premières).! Il se confirme aussi clairement (2 e tableau) que ces tendances sont plus marquées pour les sociétés ayant une forte implantation domestique (débouchés commerciaux ET base de production).! En revanche, compte tenu du poids des multinationales, pénalisées par la force du dollar, le potentiel d appréciation des indices américains est sans doute limité. C est un marché de Stock Picking!! En Europe, les entreprises sont encore pénalisées par l atonie conjoncturelle et par de nombreuses rigidités structurelles qui tardent à s assouplir dans la plupart des pays (à l exception notable de l Allemagne et sans occulter les progrès de l Espagne).! Les effets de cette situation sont patents : si 59% des sociétés dépassent les estimations de revenus (faiblesse de l Euro), 50% seulement dépassent les objectifs de bénéfices. La contraction des marges est donc encore une triste réalité pour nombre d entreprises européennes.! Toutefois, sans surprise, la situation est plus réjouissante pour les multinationales capables de capter la croissance là où elle se trouve ET là où la faiblesse orchestrée de l euro est un atout. Premier exportateur mondial, l Allemagne garde donc toutes nos faveurs.! Conclusions : Les marchés boursiers présentent un indéniable intérêt. Sous l angle de l abondance des liquidités en Europe (résultats encore en contraction), il sera judicieux de mutualiser les risques en recourant à des instruments synthétiques exploitant un thème ou un pays. Sous l angle de la compétitivité et du levier opérationnel des entreprises domestiques aux États-Unis, un strict Stock Picking est de rigueur!! Dans un environnement de croissance globale molle, bien qu en légère réaccélération, il convient de se différencier. Le recentrage sur des segments à forte valeur ajoutée et/ou adossés à des tendances structurelles porteuses est capital.! Nous ne favorisons donc pas les matières premières (surcapacités nées du cycle d investissement ). Toutefois, le pétrole a connu une forte exagération baissière relevant de considérations (géo) politiques. Passé un premier rebond, nous anticipons une stabilisation puis une reprise graduelle adossée aux fondamentaux économiques.! Tactiquement : Aux États-Unis les résultats ont été un support alors qu en Europe des données économiques un peu plus encourageantes qu attendu et l anticipation du QE (mars) ont «boosté» les marchés, nous sommes dans une situation tendue à court terme. Une consolidation technique est souhaitable. Elle offrirait des opportunités d accroitre notre exposition aux actions. Résultats du 4 e trimestre 2014 (Chiffres au ) S&P500 Source : Données Bloomberg / JP Morgan % de sociétés ayant dépassé les attentes selon leur profil d activité (domestique vs exportateur) Source : Données JP Morgan / Représentation Edmond de Rothschild % des exportations hors zone euro Source : Données Bloomberg DJ Stoxx600 Revenus % > Estimés 56% 59% Variation an/an 1% -4% Variation Ex-Energie 4% 0% Bénéfice par action % > Estimés 73% 50% Variation an/an 6% -6% Variation Ex-Energie 9% -2% EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITE D INVESTISSEMENT 7/12

8 DEVISES! À long terme, le dollar continuera de profiter de la dichotomie de politiques monétaires qui existe entre les États- Unis, qui durciront progressivement les conditions d octroi du crédit, et le reste du monde, qui continuera de les assouplir. Ce sera notamment le cas en Europe, au Japon et en Chine. En revanche, les marchés n évoluent jamais en sens unique. Or, depuis le mois de mai 2014, le dollar s est apprécié rapidement, contre ses principales contreparties. Aujourd hui, les investisseurs sont «dangereusement» unanimes vis-à-vis de l appréciation du billet vert en À court terme, un repli technique peut le faire chuter.! La monnaie unique a déjà perdu plus de 7% cette année contre le dollar et plus de 11% contre le franc suisse. Elle tente une stabilisation depuis quelques semaines, mais les fondamentaux restent très fragiles.! La Banque Nationale Suisse n est clairement pas restée les bras croisés après l abolition du cours plancher. Retravaillé des effets comptables, elle a injecté quelque 10 milliards de francs entre le 15 et le 31 janvier. Le marché des changes ne s est pas stabilisé tout seul. Cela signifie que la BNS est déterminée à empêcher le franc de s apprécier outrageusement, mais, paradoxalement, cela démontre aussi que son activisme ne pourra pas durer éternellement. Elle l a dit en abandonnant le floor, elle ne souhaite pas accroître ses réserves de manière démesurée.! Ce début d année a mis en exergue la difficulté pour une banque centrale de contrôler le cours de sa monnaie. Les marchés sont en train de chercher le prochain taux de change à tester. En Europe, il y a trois cibles potentielles : la couronne tchèque, le lev bulgare et la couronne danoise. Les deux premières n ont vraisemblablement pas les caractéristiques économiques et financières pour attirer massivement les capitaux. En revanche, la question se pose pour la troisième. Pour le moment, la Banque Nationale du Danemark a encore une marge de manœuvre conséquente pour intervenir. Ses réserves de change ne représentent "que" 29% du Produit Intérieur Brut (PIB), contre 77% pour la BNS (cf. graphique). À suivre BILAN DES BANQUES CENTRALES DANOISE ET SUISSE (Sources : Bloomberg, Edmond de Rothschild) Danish Forex Reserves (% of GDP) Swiss Forex Reserves (% of GDP) EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITE D INVESTISSEMENT 8/12

9 GRILLES DE PLACEMENT En résumé, nous avons apporté les changements tactiques suivants, à la grille de placement équilibrée :! Augmentation des obligations à haut rendement de 3% à 4%! Réduction des obligations émergentes de 2%! Réduction du Cash à 1% Portfolio with hedge funds EUR USD CHF % % % CASH Sovereign BONDS Corporate Investment Grade High Yield Emerging Convertibles Euro Zone EQUITIES HEDGE FUNDS Swiss Germany US Japan Emerging Long / Short Non-directional REAL ESTATE GOLD TOTAL EUR USD CHF EUR CURRENCIES USD CHF EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITE D INVESTISSEMENT 9/12

10 EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITE D INVESTISSEMENT 10/12

11 AVERTISSEMENT La présente brochure a été élaborée par Edmond de Rothschild (Suisse) S.A., 18 rue de Hesse, 1204 Genève, Suisse. Edmond de Rothschild (Europe), établie au 20 boulevard Emmanuel Servais, 2535 Luxembourg, Grand-Duché de Luxembourg et placée sous la supervision de la Commission de Surveillance du Secteur Financier à Luxembourg, ainsi que Edmond de Rothschild (France), Société Anonyme à Directoire et Conseil de Surveillance au capital de euros, soumise au contrôle de L'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) dont le siège social est situé 47, rue du Faubourg Saint-Honoré PARIS, se contentent de mettre à disposition de leurs clients ladite brochure dans leurs propres locaux ou dans les locaux de leurs succursales. Les données chiffrées, commentaires, analyses et les travaux de recherche en investissement figurant dans cette brochure reflètent le sentiment d Edmond de Rothschild (Suisse) S.A., quant à l évolution des marchés compte tenu de son expertise, des analyses économiques et des informations en sa possession à ce jour. Les données chiffrées, commentaires, analyses les travaux de recherche en investissement figurant dans cette brochure peuvent s avérer ne plus être actuels ou pertinents au moment où l investisseur prend connaissance de la brochure, notamment eu égard à la date de publication de cette dernière ou encore en raison de l évolution des marchés. Chaque analyste mentionné dans le présent document certifie que les points de vue qui y sont exprimés à l endroit des entreprises et des titres qu il est amené à évaluer reflètent précisément son opinion personnelle. Sa rémunération n est pas liée directement ou indirectement à des recommandations et opinions particulières émises dans ce document. Des détails sur la méthodologie de notation de Edmond de Rothschild (Suisse) S.A. sont disponibles gratuitement sur simple demande. En aucun cas, la responsabilité d Edmond de Rothschild (Suisse) S.A., ou d Edmond de Rothschild (Europe) ou d Edmond de Rothschild (France) ne saurait être engagée par une décision d investissement, de désinvestissement ou de conservation prise sur la base desdits commentaires et analyses. Par ailleurs, la responsabilité d Edmond de Rothschild (Suisse) S.A., ou d Edmond de Rothschild (Europe) ou d Edmond de Rothschild (France) ne saurait être engagée en raison d un dommage subi par un investisseur et résultant du contenu ou de la mise à disposition de cette brochure. En effet, cette brochure a vocation uniquement à fournir des informations générales et préliminaires aux investisseurs qui la consultent et ne saurait notamment servir de base à une quelconque décision d investissement, de désinvestissement ou de conservation. Edmond de Rothschild (Suisse) S.A. recommande dès lors à chaque investisseur de se procurer les différents descriptifs réglementaires de chaque produit financier avant tout investissement, pour analyser son risque et forger sa propre opinion indépendamment, en s entourant au besoin, de l avis de tous les conseils spécialisés dans ces questions afin de s assurer de l adéquation de cet investissement à sa situation financière et fiscale. Les performances et les volatilités passées ne préjugent pas des performances et des volatilités futures et ne sont pas constantes dans le temps. Ces données ne peuvent être reproduites ni utilisées en tout ou partie. Copyright EDMOND DE ROTHSCHILD (Suisse) S.A. Tous droits réservés. EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITE D INVESTISSEMENT 11/12

12 EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) S.A. Rue de Hesse GENÈVE Suisse - T Avenue Agassiz LAUSANNE Suisse T Rue de Morat FRIBOURG Suisse T EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITE D INVESTISSEMENT 12/12

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