Illustration du coefficient de réflexion en fonction de λ la longueur d'onde

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Illustration du coefficient de réflexion en fonction de λ la longueur d'onde"

Transcription

1 Télémétrie La télémétrie laser permet d accéder à l éloignement d un objet pour des distances allant de la dizaine de mètres à plusieurs dizaines de kilomètres. L intérêt du rayonnement laser pour mesurer de telles distances n est pas à priori évident. Il est bien connu que les ondes radars (longueur d onde de l ordre du cm) sont bien moins atténuées par l atmosphère que les ondes optiques (longueur d onde de l ordre du µm). Lorsque la mesure doit être associée à l identification de la cible par un système de vision, il suffit d avoir une portée de l ordre de grandeur de la distance de vision. Il est alors possible d utiliser la même gamme de longueur d onde, c est à dire micrométrique. Les systèmes radars à onde centimétriques sont de plus très sensibles aux échos parasites du relief. Ceux-ci affectent les mesures sol-sol et air-sol (la cible étant au sol). La très grande directivité du faisceau laser permet d autre part de sélectionner l objet dont on veut connaître la distance de manière très précise, sans être gêné par les obstacles autres que ceux étant exactement dans la ligne de visée. Les deux méthodes ayant donné lieu à des dispositifs commerciaux sont la télémétrie impulsionnelle et par comparaison de phase. La télémétrie impulsionnelle consiste à envoyer une impulsion de lumière très courte et puissante, puis à mesurer la durée de son aller retour sur un objet diffusant ou réfléchissant. La rapidité de la mesure (inférieur à la milliseconde) lui a valu, malgré une précision médiocre (de l ordre du mètre), un développement particulier dans le domaine militaire. Dans ce domaine, la première étape est la détection de la cible. Elle se fait par un système de vision (qui fera l'objet d'une présentation ISL): lunettes associées à des intensificateurs d images, caméras infrarouges Une fois la cible identifiée, l opérateur se sert du système de vision pour orienter l impulsion laser télémétrique. L intervalle de temps séparant l envoi de l impulsion de son écho fournit la distance. Cette donnée, ajoutée à celles obtenues par le système de vision, détermine totalement la position de la cible. Le niveau d automatisation de la procédure dépend des équipements. Dans le cas de jumelles télémétriques pour fantassins, la distance est seulement affichée. Dans les systèmes plus lourds pouvant équiper chars et avions, l ensemble des opérations est totalement automatique : de l identification de la cible, à l orientation des systèmes de tirs. Pour être opérationnel, un télémètre militaire doit avoir une portée au moins égale à celle des systèmes de vision. La réalisation de cette condition, pour toutes conditions météorologiques, doit faire face à de nombreux obstacles : le rayonnement laser est absorbé et perturbé par l atmosphère, les conditions météorologiques n influent pas de la même façon sur les performances du système de vision et sur l absorption de l impulsion, la fraction de l'énergie lumineuse incidente renvoyée vers l émetteur dépend fortement de la nature de la cible. (voir illustrations ci-dessous) 1

2 Reflectance % Chalk Recent snow Forest (autumn) Grassland 40 Granite Wet sand Dry grassland Paving-stone road Tarred road 0 Water λ nm No optical filter Optical filter / 500 nm Optical filter / 900 nm Illustration du coefficient de réflexion en fonction de λ la longueur d'onde 2

3 Les conditions de sécurité du manipulateur du télémètre doivent être également prises en compte. Il peut recevoir une impulsion laser retour dangereuse dans le cas d une cible proche et d une atmosphère claire. La télémétrie par comparaison de phase utilise un faisceau laser continu modulé successivement à des fréquences différentes. Les mesures des déphasages entre l onde émise et réfléchie par l objet permet d obtenir la valeur de la distance. La précision obtenue est nettement supérieure à celle obtenue par l autre méthode (de l ordre du mm par kilomètre mesuré). La saisie des données demande par contre plusieurs secondes. De plus la faible puissance des lasers continus, par rapport aux lasers impulsionnels, nécessite l utilisation de cibles coopératives conçues pour renvoyer une grande partie de la lumière reçue dans la direction d émission. Le domaine d application de cette méthode est essentiellement celui des mesures topographiques. Télémétrie impulsionnelle Le principe de base de la télémétrie impulsionnelle est particulièrement simple. L étude se consacrera essentiellement sur quelques unes des nombreuses difficultés pratiques de mise en œuvre. Un certain nombre d aspects techniques intervenant souvent dans d autres types d applications seront décrits ici : incertitudes relatives à la numérisation d une mesure (partie 1), atténuation d un faisceau laser par propagation dans l atmosphère et réflexion sur une cible (2), réduction de la divergence du faisceau à l émission (3.a), problèmes relatifs à la réception du signal (3.b). 1. Présentation du schéma de principe Figure 1 : Schéma de principe du télémètre 3

4 La mesure commence par le déclenchement de l impulsion lumineuse obtenue à partir du système de commande (actionné par l opérateur). La forme temporelle de l impulsion laser émise est donnée sur la figure 2. La puissance maximale P 0 est atteinte au bout d un temps de montée τ m, la durée totale de l impulsion est τ. Figure 2 : Allure temporelle de l impulsion laser émise La réception d une partie de l impulsion sur le photorécepteur 1 (constitué d une photodiode à avalanche suivi d un système amplificateur adapté) fournit une tension s 1 (t). Le compteur est activé dès que s 1 (t) atteint s 0. De la même façon l impulsion rétro diffusée inhibe le compteur lorsqu elle parvient au photorécepteur 2. Figure 3 : Principe de l'activation du compteur 1.a Structure des prismes déviateurs Les prismes déviateurs à 90 utilisés comportent un angle droit. La lumière tombe normalement sur l une des faces selon le schéma de la figure 1. L angle au sommet et l indice minimum de ces prismes est déterminé de la façon suivante : 4

5 Figure 4 : prisme à réflexion totale 1.b Durée de l aller retour de l impulsion, distance L émetteur est placé le plus près possible du récepteur afin de réduire les dimensions du système. Le trajet du premier prisme déviateur au photorécepteur 1, ainsi que les variations du chemin dues aux optiques de réception sont négligés tout au long de l étude. La durée t c de l aller-retour de l impulsion en fonction de la distance d est donné par : 1.c Lien entre l incertitude de la mesure et la fréquence de l horloge L horloge émet un signal carré à f=100 MHz. Chaque front montant du signal carré incrémente le compteur d une unité lorsque celui-ci est activé. Figure 5 : Fréquence d horloge La distance minimale affichable par le système est donnée par : Distinguons 2 cas : 5

6 Cas 1: Le signal de retour apparaît juste après le front montant soit une distance quasi nulle. Comme le front montant apparaît entre l activation et l arrêt du compteur la distance affichée est de Figure 6 : Incertitude inhérente au comptage Cas 2 : Il n y a pas de front montant entre l activation et l arrêt du compteur soit On voit aussi que plus la fréquence d horloge est grande, plus l incertitude sur la mesure est faible. Cette propriété a cependant des limites par exemple lors de conditions météorologiques dégradées (brouillard, pluie, tempête de sable ou de neige, ). Plaçons nous dans le cas de la mesure d une distance d par temps clair et par temps brumeux. Le signal s 2 (t) est proportionnel à la puissance de retour P r (t) (figure 3), soit : L arrêt du compteur se fait à s 0 d où la valeur de Analysons maintenant le signal de retour pour différentes conditions météorologiques. On voit sur la figure 7 que le signal est atténué par temps de brouillard. Le temps de monté τm est identique à celui de l impulsion émise, la propagation dans l atmosphère ne modifie pas la forme temporelle du signal mais atténue uniquement son intensité. Figure 7 : Incertitude due à l atténuation de l impulsion t 0 est l instant d arrivée de l impulsion de retour sur le photodétecteur 2. Pour une distance d, l incertitude sur l instant de détection due à la différence d amplitude de l impulsion est égale à t. La limite de détection dans le brouillard se situe pour. L incertitude sur la distance sera donc 6

7 Pour avoir la même incertitude que pour une fréquence d horloge de 100 MHz, le temps de montée de l impulsion laser doit être : Cet exemple montre que si l on veut diminuer les incertitudes de mesure il faut utiliser des lasers ayant des impulsions très courtes et une fréquence d échantillonnage de signal élevée sans pour autant dépasser l inverse du temps de montée de l impulsion laser. 1.d Caractéristiques de l impulsion lumineuse Les données ci-dessous décrivent divers modes de fonctionnement possibles d un laser Nd :YAG (longueur d onde de 1,064 µm). Mode continu : émission d un faisceau continu de puissance 20W Mode relaxé : Impulsion unique avec un temps de montée de 10 µs, une durée totale de 200 µs et une énergie de 1 Joule. Le taux de répétition maximum possible est de 5 Hz. Mode déclenché 1 : impulsion unique d environ 10 ns, l énergie par impulsion est de 0,1 J, le taux de répétition est de 10 Hz. Mode déclenché 2 : impulsion d environ 100ns, l énergie par impulsion est de 10-3 J, Le taux de répétition est de 10 khz Modes couplés : série d impulsions de durée de l ordre de la picoseconde chacune régulièrement espacées de 20 ps,, énergie par impulsion d environ 1mJ. Avec les valeurs suivantes déterminons quel est le mode de fonctionnement du laser Nd :YAG répondant aux conditions de fonctionnement du télémètre : La puissance lumineuse à l entrée du télémètre (sur la lentille d entrée de l optique de réception) minimale nécessaire pour activer le compteur est de P rm =100nW, Lors de son retour sur le télémètre le signal laser subit une atténuation κ =

8 2 Equations de liaison 2.a Cas où la totalité du faisceau est intercepté par la cible Figure 8 : Rétrodiffusion de l impulsion Le flux émis I e en [W.sr -1 ] par une source S est donné par : (e 1 ) avec dω : angle solide sous lequel est vu la surface A depuis la surface S (e 2 ) La luminance L e en [W.m -2.sr -1 ] d'une source est donnée par la relation : (e 3 ) Si S est un diffuseur Lambertien son exitance M e en [W.m -2 ] est donnée par : or si une surface S est éclairée par un laser de puissance P, cette surface va réémettre cette puissance avec un coefficient de réflexion R ou albedo dépendant de sa nature. d'où : (e 5 ) avec : En combinant (e 4 ) et (e 5 ) on obtient : (e 4 ) 8

9 (e 6 ) En remplaçant (e 6 ) dans (e 3 ), on obtient : (e7) d'après (e 1 ) :, d'où (e 7 ) :, avec, d'où : (e 8 ) l'éclairement énergétique E en [W.m -2 ] d'une surface réceptrice est donné par : (e 9 ) (e 8 ) dans (e 9 ) donne : (e 10 ) La puissance P r en [W] collectée par la surface A devient : (e 11 ) 2.b Cas où les dimensions de la cibles sont inférieures à celles de la totalité du faisceau Figure 9 : Portion de la cible interceptée La cible réémettra dans le rapport des surfaces, l'exitance de la source devient : (e 12 ) avec l'angle solide Ω' πθ², la puissance P r collectée par la surface A du télémètre devient : (e 13 ) 9

10 L équation ci-dessus montre que lorsque la cible est plus petite que la divergence du faisceau, il est important d avoir un angle θ faible soit une divergence de laser faible. 2.d Portée du télémètre Parmi les différentes causes d absorption du rayonnement, celle due aux composants présents de l atmosphère (CO 2, CO, vapeur d eau ) dépend fortement de la longueur d onde. Voir figure 1 de l introduction. D autres causes d origine atmosphériques peuvent perturber la libre propagation du faisceau comme les poussières, les aérosols, les brumes ou les nuages d insectes qui diffusent le faisceau. En prenant en considération les conclusions du paragraphe 1.d c est à dire de disposer d impulsions courtes et intenses (quelques dizaines de ns et quelques kw de puissance crête) ainsi que des longueurs d ondes correspondants à des fenêtres de transparence de l atmosphère, le nombre de lasers disponibles commercialement pour des applications en télémétrie sont limités. De plus la source laser doit être peu encombrante, fiable et d un coût raisonnable. Comme illustré au paragraphe 1.d, le laser Nd :YAG déclenché, émettant à 1,064µm est très largement utilisé, on peut aussi citer le laser CO 2 à tube scellé qui émet à 10,6 µm. Bien que les performances des lasers à semi conducteurs émettant entre 800 et 950 nm n égales pas encore celles des deux autres lasers cités précédemment, on trouve de plus en plus ce type de lasers sur des télémètres de portée dépassant plusieurs kilomètres (voir modèle ISL). D autres types de lasers tels que les lasers à fibre sont utilisés dans la bande spectrale dite à sécurité oculaire au delà de 1,55 µm. Analysons les deux laser Nd :YAG et CO 2 : La figure 10 représente l atténuation du rayonnement en fonction de la visibilité pour λ = 1,064 µm et λ = 10,6 µm pour des conditions météorologiques différentes. Figure 10 : Dépendance de l atténuation avec la visibilité 10

11 Les 4 points remarquables sont les suivants : 1) Visibilité 1 km ; λ = 1,064 µm : Coefficient d atténuation α = 1,727 km -1 2) Visibilité 1 km ; λ = 10,6 µm : Coefficient d atténuation α = 0,691 km -1 3) Visibilité 10 km ; λ = 1,064 µm : Coefficient d atténuation α = 0,046 km -1 4) Visibilité 10 km ; λ = 10,6 µm : Coefficient d atténuation α = 0,115 km -1 Ces valeurs montrent que par mauvaise visibilité (temps de brume), le rayonnement du laser CO 2 moins atténué, est préférable. En utilisant les données numériques suivantes P=10MW, R=0,8, A r =10-2 m², P rm =100 nw, θ=0,1 mrd, déterminons la portée du télémètre pour une cible de surface équivalente de S = 0,5 m² et pour les deux types de laser. Si la cible est circulaire son diamètre D est donné par : soit : D=0,8 m La divergence du laser est de, la cible est couverte par le faisceau laser à une distance d telle que : soit. Pour d le faisceau laser recouvre entièrement la cible, toute la puissance du laser est rétro diffusé par la cible, c est donc l équation (e 11 ) qui sera utilisée. Pour d > seule une partie de la puissance laser sera réfléchie par la cible, la portée sera calculée à partir de l équation (e 13 ). La condition pour qu il y ait détection est la suivante : L application numérique donne les valeurs suivantes pour les 4 cas : On remarque que la condition portée supérieure à la visibilité est vérifiée dans trois cas sur quatre. Le laser CO 2 est mal adapté aux atmosphères claires, pour une cible de 0,5 m² de surface, il faut augmenter la puissance du faisceau laser au delà de 10 MW. Cette voie a 2 inconvénients, l augmentation de la puissance laser se fait au détriment de l encombrement, de la consommation électrique, l autre aspect négatif de l augmentation de la puissance du laser est le danger que représente l utilisation d un laser puissant. Il existe une autre voie tout aussi efficace et beaucoup moins problématique c est d augmenter la surface A de l optique de réception. Pour cela, il est intéressant d utiliser des optiques avec la plus grande ouverture possible. 3 Rôle des optiques d émission et de réception 3.a Rôle de l optique d émission 11

12 Figure 11 : Modèle du faisceau laser Loin du plan de section minimale (ou beam waist) de rayon ω 0, l angle de divergence du faisceau laser dû à la diffraction vaut λ/πω 0. L optique d émission représenté à la figure 1 est constitué d une lentille divergente dont le foyer image est confondu avec le foyer objet de la lentille convergente qui la suit. Leurs distances focales sont notées respectivement f 1 et f 2. Calculons le grandissement de notre objectif afocal. Figure 12 : Etalement du faisceau à l émission Déterminons l influence de l afocal sur la divergence du faisceau émergent. La relation entre les divergences des faisceaux gaussiens incident et émergent de l afocal est donné par la loi de la conservation de la brillance (valable pour un système optique parfait quelconque) : 12

13 A.N. : Le faisceau du laser Nd:YAG a une divergence naturelle de 0,5 mrd. Il passe à travers un afocal dont la focale des lentilles sont égales à : f 1 =-5 cm et f 2 =25 cm. La divergence à la sortie de l afocal passe à : La réduction de la divergence du faisceau permet d augmenter la portée du télémètre dans le cas où la dimension de la cible est inférieure à celle du faisceau (voir paragraphe précédent). Cependant la divergence ne peut être réduite indéfiniment à cause de problèmes dus à la fois au pointage et surtout aux vibrations inévitables du support du télémètre. 3.b Rôle de l optique de réception Figure 13 : Schéma de principe du récepteur L r1 et L r2 sont deux lentilles convergentes de distances focales respectives f r1 et f r2. Le foyer image de L r1 est confondu avec le foyer objet L r2 situé en O 3. Un filtre interférentiel précède le photorécepteur. En O 3,est disposé un diaphragme de rayon r. Le but du système de réception est d éliminer, au niveau du photo détecteur, la lumière autre que celle diffusée par la cible. Sachant que la cible se situe à une distance de O 1 très grande devant f r1, déterminons la position et les dimensions maximales de son image par L r1. Figure 14 : Dimensions de l image de la cible 13

14 L image de la cible par L r1 se situe dans son plan focal passant par O 3 (cible à l infini). Si la cible intercepte tout le faisceau, sa partie éclairée vue de O 1 (voisin du point d émission) est vue sous un angle θ s. Le rayon de la partie éclairée vaut, dans le plan focal,. Si les dimensions de la cible sont inférieures à celles du faisceau, elle est vue sous un angle θ inférieur à θ s, les dimensions de l image sont plus petites. Le rayon maximal de l image est donc. Le diaphragme placé entre les deux lentilles est un diaphragme de champ empêchant les rayons autres que ceux venant dans la même direction que l objet, de passer. Son rayon vaut : La lentille L r1 a un rayon de 5 cm, le rayon du photorécepteur est de 1 mm. Calculons la distance focale L r2 pour que le photorécepteur soit éclairé sur toute sa surface. Figure 15 : Afocal de réception Le récepteur est équipé d un filtre interférentiel (figure 13). Ce filtre sert à éliminer la lumière dont la longueur d onde est différente de celle du laser Nd :YAG utilisé. La bande passante du filtre doit être du même ordre que la largeur de raie du laser soit 120 GHz. A.N. : 14

15 Pour λ= 1,064 µm, la luminance L e,λ ( λ) de la cible en plein jour est de l ordre de 10 W m -2 µm -1 sr -1 : puissance par unité de surface, de longueur d onde et d angle solide. Déterminons le bruit P B sur le photorécepteur et comparons-le à la puissance minimale utile de 100 nw. La surface du récepteur est : A = πr² Lr1 avec R Lr1 = 5 cm L angle solide de réception vaut Ω = 2π(1-cosθ e ) avec θ e = 0,1 mrd La largeur spectrale du filtre calculée précédemment vaut : λ=0, 45 nm A.N. : La puissance du bruit arrivant sur le détecteur est de l ordre de W, valeur très inférieure aux 100 nw nécessaire pour avoir détection. Remarque : La valeur de 100 nw retenue comporte une large marge de sécurité, car il s agit de se placer non pas dans une situation limite mais dans un cas où au moins 99,9% des mesures seront correctes. Le bruit provenant du soleil est ici négligeable. La luminance spectrale du soleil au zénith et en plein été est donnée par : Sachant que la sensibilité du détecteur ne permet de recevoir que le dixième de la brillance du soleil, déterminons si le télémètre est opérationnel dans ces conditions sans filtre interférentiel. La puissance du bruit arrivant sur le détecteur sans filtre est plus de 5000 fois supérieure à celle correspondant au seuil de détection, un fonctionnement dans ces conditions n est donc pas possible, l utilisation du filtre interférentiel est indispensable. L électronique de réception amplifie le signal reçu par le photorécepteur avec un gain croissant. Ce procédé permet d atténuer les échos parasites que rencontre le faisceau sur sa trajectoire jusqu à la cible. Le signal provenant des échos parasites est plus faible que celui provenant de la cible comme illustré sur la figure

16 Figure 16 : Echos parasites rencontrés par le faisceau jusqu à la cible 16

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................

Plus en détail

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE Exercice en classe EXERCICE 1 : La fibre à gradient d indice On considère la propagation d une onde électromagnétique dans un milieu diélectrique

Plus en détail

Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009

Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 1 Les fibres optiques : caractéristiques et fabrication 2 Les composants optoélectroniques 3 Les amplificateurs optiques

Plus en détail

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Approche d'un projecteur de diapositives...2 I.Questions préliminaires...2 A.Lentille divergente...2 B.Lentille convergente et

Plus en détail

Chapitre 2 Caractéristiques des ondes

Chapitre 2 Caractéristiques des ondes Chapitre Caractéristiques des ondes Manuel pages 31 à 50 Choix pédagogiques Le cours de ce chapitre débute par l étude de la propagation des ondes progressives. La description de ce phénomène est illustrée

Plus en détail

Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires

Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Systèmes cellulaires Réseaux cellulaires analogiques de 1ère génération : AMPS (USA), NMT(Scandinavie), TACS (RU)... Réseaux numériques de 2ème

Plus en détail

ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE

ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE PROJET D AMÉNAGEMENT D UN CENTRE DE STOCKAGE DE SEDIMENTS Commune de Bessines-sur-Gartempe Maître d Ouvrage AREVA Etablissement de Bessines 1, Avenue du Brugeaud 87250 Bessines

Plus en détail

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013 Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

Champ électromagnétique?

Champ électromagnétique? Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques

Plus en détail

Cours d Acoustique. Niveaux Sonores Puissance, Pression, Intensité

Cours d Acoustique. Niveaux Sonores Puissance, Pression, Intensité 1 Cours d Acoustique Techniciens Supérieurs Son Ière année Aurélie Boudier, Emmanuelle Guibert 2006-2007 Niveaux Sonores Puissance, Pression, Intensité 1 La puissance acoustique Définition La puissance

Plus en détail

Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE Tel (++ 39 02) 90659200 Fax 90659180 Web www.electron.it, e-mail electron@electron.it

Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE Tel (++ 39 02) 90659200 Fax 90659180 Web www.electron.it, e-mail electron@electron.it Electron S.R.L. Design Production & Trading of Educational Equipment B3510--II APPLIICATIIONS DE TRANSDUCTEURS A ULTRASONS MANUEL D IINSTRUCTIIONS POUR L ETUDIIANT Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE

Plus en détail

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,

Plus en détail

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour

Plus en détail

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)

Plus en détail

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,

Plus en détail

PROPRIÉTÉS D'UN LASER

PROPRIÉTÉS D'UN LASER PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)

Plus en détail

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE - MANIP 2 - - COÏNCIDENCES ET MESURES DE TEMPS - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE L objectif de cette manipulation est d effectuer une mesure de la vitesse de la lumière sur une «base

Plus en détail

Le réseau sans fil "Wi - Fi" (Wireless Fidelity)

Le réseau sans fil Wi - Fi (Wireless Fidelity) Professionnel Page 282 à 291 Accessoires Page 294 TPE / Soho Page 292 à 293 Le réseau sans fil "Wi - Fi" (Wireless Fidelity) Le a été défini par le Groupe de travail WECA (Wireless Ethernet Compatibility

Plus en détail

Mesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse

Mesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les

Plus en détail

Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr

Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr E. Rousseau, J-J Greffet Institut d optique Graduate School S. Volz LIMMS, UMI CNRS University of Tokyo, EM2C A. Siria, J. Chevrier Institut Néel-CNRS Grenoble F. Comin ESRF Grenoble Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr

Plus en détail

Q6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité?

Q6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité? EXERCICE 1 : QUESTION DE COURS Q1 : Qu est ce qu une onde progressive? Q2 : Qu est ce qu une onde mécanique? Q3 : Qu elle est la condition pour qu une onde soit diffractée? Q4 : Quelles sont les différentes

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd UE 503 L3 MIAGE Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique A. Belaïd abelaid@loria.fr http://www.loria.fr/~abelaid/ Année Universitaire 2011/2012 2 Le Modèle OSI La couche physique ou le

Plus en détail

Rapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS

Rapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS Rapport Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS A.AZOULAY T.LETERTRE R. DE LACERDA Convention AFSSET / Supélec 2009-1 - 1. Introduction Dans le

Plus en détail

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé

Plus en détail

1STI2D - Les ondes au service de la santé

1STI2D - Les ondes au service de la santé 1STI2D - Les ondes au service de la santé De nombreuses techniques d imagerie médicale utilisent les ondes : la radiographie utilise les rayons X, la scintigraphie utilise les rayons gamma, l échographie

Plus en détail

Transmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission

Transmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission Page 1 / 7 A) Principaux éléments intervenant dans la transmission A.1 Equipement voisins Ordinateur ou terminal Ordinateur ou terminal Canal de transmission ETTD ETTD ETTD : Equipement Terminal de Traitement

Plus en détail

Ensemble léger de prise de photo sous UV-A Tam Photo Kit n 1 pour appareil photo compact

Ensemble léger de prise de photo sous UV-A Tam Photo Kit n 1 pour appareil photo compact Ensemble léger de prise de photo sous UV-A Tam Photo Kit n 1 pour appareil photo compact Phone +33 (0)130 808 182 - Fax. +33 (0)130 808 199 /15 rue des Frères Lumière - ZI des Ebisoires BP136-78374 PLAISIR

Plus en détail

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Connaissances et compétences : - Identifier les éléments d une chaîne de transmission d informations. - Recueillir et exploiter des informations concernant

Plus en détail

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner

Plus en détail

D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE C OMPTEUR DE FRANGES A FIBRE OPTIQUE. Détecteurs

D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE C OMPTEUR DE FRANGES A FIBRE OPTIQUE. Détecteurs D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE Capteur luxmètre à sonde détachable, idéal pour les expériences de polarisation, il permet de quantifier simplement et rapidement les principales sources et phénomènes lumineux.

Plus en détail

AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon. Rapport de mesure

AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon. Rapport de mesure AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon Rapport de mesure Référence : 2010-44001 FJ Référence 2010-44001 Client Airylab Date 28/10/2010 Type d'optique Lunette 150/1200 Opérateur FJ Fabricant

Plus en détail

Les Contrôles Non Destructifs

Les Contrôles Non Destructifs Les Contrôles Non Destructifs 1 Méthodes de maintenance MAINTENANCE d'après l'afnor CORRECTIVE PREVENTIVE PALLIATIVE Dépannage (Défaillance partielle) CURATIVE Réparation (Défaillance totale) SYSTEMATIQUE

Plus en détail

La Fibre Optique J BLANC

La Fibre Optique J BLANC La Fibre Optique J BLANC Plan LES FONDAMENTAUX : LA FIBRE OPTIQUE : LES CARACTÉRISTIQUES D UNE FIBRE : TYPES DE FIBRES OPTIQUES: LES AVANTAGES ET INCONVÉNIENTS DE LA FIBRE : QUELQUES EXEMPLES DE CÂBLES

Plus en détail

MOTORISATION DIRECTDRIVE POUR NOS TELESCOPES. Par C.CAVADORE ALCOR-SYSTEM WETAL 2013 10 Nov

MOTORISATION DIRECTDRIVE POUR NOS TELESCOPES. Par C.CAVADORE ALCOR-SYSTEM WETAL 2013 10 Nov 1 MOTORISATION DIRECTDRIVE POUR NOS TELESCOPES Par C.CAVADORE ALCOR-SYSTEM WETAL 2013 10 Nov Pourquoi motoriser un télescope? 2 Pour compenser le mouvement de la terre (15 /h) Observation visuelle Les

Plus en détail

CULTe Le samedi 9 février2008 à 15h. Conf 1 : WIFI, les bases

CULTe Le samedi 9 février2008 à 15h. Conf 1 : WIFI, les bases CULTe Le samedi 9 février2008 à 15h Conf 1 : WIFI, les bases 1) Principes de fonctionnement (antennes, fréquences, emetteurs/recepteurs, point d'accés) a) Les grandes classes de fréquences HF, 300 Khz

Plus en détail

Mémento à l usage du personnel des laboratoires

Mémento à l usage du personnel des laboratoires Mémento à l usage du personnel des laboratoires sécurité laser édition février 2005 Pôle Maîtrise des Risques Direction de la Protection et de la Sûreté Nucléaire Symbole des nouvelles technologies, l

Plus en détail

Correction ex feuille Etoiles-Spectres.

Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800

Plus en détail

Rayonnements dans l univers

Rayonnements dans l univers Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter

Plus en détail

Chapitre I La fonction transmission

Chapitre I La fonction transmission Chapitre I La fonction transmission 1. Terminologies 1.1 Mode guidé / non guidé Le signal est le vecteur de l information à transmettre. La transmission s effectue entre un émetteur et un récepteur reliés

Plus en détail

Microscopie de fluorescence Etat de l art

Microscopie de fluorescence Etat de l art Etat de l art Bibliométrie (Web of sciences) CLSM GFP & TPE EPI-FLUORESCENCE 1 Fluorescence Diagramme de JABLONSKI S2 S1 10-12 s Excitation Eex Eem 10-9 s Émission Courtoisie de C. Spriet

Plus en détail

QUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS. OM1, OM2 ou OM3, QUELLE EST LA FIBRE QU IL ME FAUT POUR MON INSTALLATION?

QUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS. OM1, OM2 ou OM3, QUELLE EST LA FIBRE QU IL ME FAUT POUR MON INSTALLATION? QUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS LE MATCH µm VS 62,5 µm Dans les années 70, les premières fibres optiques de télécommunications avaient un coeur de µm : ces dernières ont été remplacées

Plus en détail

Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV)

Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV) Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV) Évidemment, l emploi le plus fréquent de la fibre optique se trouve dans le domaine des télécommunications. Mais d autre part,

Plus en détail

FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE

FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS ISO/IEC 17025 Chapitre 5 : EXIGENCES TECHNIQUES QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE Nicole GRABY PA/PH/OMCL (07)

Plus en détail

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme

Plus en détail

TP Détection d intrusion Sommaire

TP Détection d intrusion Sommaire TP Détection d intrusion Sommaire Détection d intrusion : fiche professeur... 2 Capteur à infra-rouge et chaîne de mesure... 4 Correction... 14 1 Détection d intrusion : fiche professeur L'activité proposée

Plus en détail

La magnitude des étoiles

La magnitude des étoiles La magnitude des étoiles 1.a. L'éclat d'une étoile L'éclat d'une étoile, noté E, est la quantité d'énergie arrivant par unité de temps et par unité de surface perpendiculaire au rayonnement. Son unité

Plus en détail

Collimateur universel de réglage laser

Collimateur universel de réglage laser Collimateur universel de réglage laser Manuel de l utilisateur Réf. WG-840 Mise à jour 27.08.2013 En projetant un rayon laser dans l axe du canon de votre arme à feu, ce collimateur universel de réglage

Plus en détail

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique?

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? Temps de préparation :...2 h 15 minutes Temps de présentation devant le jury

Plus en détail

Installations classées pour la protection de l'environnement Campagne de mesure de bruit SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3

Installations classées pour la protection de l'environnement Campagne de mesure de bruit SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3 SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3 II. MODE OPERATOIRE... 3 A. MATERIEL UTILISE... 3 1) Sonomètre... 3 2) Calibreur... 3 B. METHODE DE MESURE... 4 C. POSITIONNEMENT DU MATERIEL... 4 III. CAMPAGNE DE MESURE...

Plus en détail

Les puissances 4. 4.1. La notion de puissance. 4.1.1. La puissance c est l énergie pendant une seconde CHAPITRE

Les puissances 4. 4.1. La notion de puissance. 4.1.1. La puissance c est l énergie pendant une seconde CHAPITRE 4. LES PUISSANCES LA NOTION DE PUISSANCE 88 CHAPITRE 4 Rien ne se perd, rien ne se crée. Mais alors que consomme un appareil électrique si ce n est les électrons? La puissance pardi. Objectifs de ce chapitre

Plus en détail

Chapitre 2 : communications numériques.

Chapitre 2 : communications numériques. Chapitre 2 : communications numériques. 1) généralités sur les communications numériques. A) production d'un signal numérique : transformation d'un signal analogique en une suite d'éléments binaires notés

Plus en détail

QUELQUES ACTIVITES RELATIVES A LA PARTIE A Propagation d une onde ; onde progressive. Comment installer le format de compression divx?

QUELQUES ACTIVITES RELATIVES A LA PARTIE A Propagation d une onde ; onde progressive. Comment installer le format de compression divx? Lycée Bi h t QUELQUES ACTIVITES RELATIVES A LA PARTIE A Propagation d une onde ; onde progressive Il semble nécessaire d utiliser des fichiers images, de grande taille généralement, aussi, nous proposons

Plus en détail

Equipement. électronique

Equipement. électronique MASTER ISIC Les générateurs de fonctions 1 1. Avant-propos C est avec l oscilloscope, le multimètre et l alimentation stabilisée, l appareil le plus répandu en laboratoire. BUT: Fournir des signau électriques

Plus en détail

M HAMED EL GADDAB & MONGI SLIM

M HAMED EL GADDAB & MONGI SLIM Sous la direction : M HAMED EL GADDAB & MONGI SLIM Préparation et élaboration : AMOR YOUSSEF Présentation et animation : MAHMOUD EL GAZAH MOHSEN BEN LAMINE AMOR YOUSSEF Année scolaire : 2007-2008 RECUEIL

Plus en détail

Approche expérimentale du rayonnement électromagnétique émis par un téléphone portable

Approche expérimentale du rayonnement électromagnétique émis par un téléphone portable Approche expérimentale du rayonnement électromagnétique émis par un téléphone portable RÉSUMÉ U N I O N D E S P R O F E S S E U R S D E P H Y S I Q U E E T D E C H I M I E par Lycée Victor Hugo - 25000

Plus en détail

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du

Plus en détail

M1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig

M1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig 1/81 M1107 : Initiation à la mesure du signal T_MesSig Frédéric PAYAN IUT Nice Côte d Azur - Département R&T Université de Nice Sophia Antipolis frederic.payan@unice.fr 15 octobre 2014 2/81 Curriculum

Plus en détail

Guide d utilisation des LASER

Guide d utilisation des LASER Guide d utilisation des LASER Mai 2013 Mikael Leduc, département de génie physique Officier en Sécurité Laser Table des matières 1. Laser 1.1 Classes et dangers p.2 1.2 Exposition maximum permise p.3 2.

Plus en détail

Miraboat. Système alarme autonome pour bateaux

Miraboat. Système alarme autonome pour bateaux Miraboat Système alarme autonome pour bateaux CATALOGUE 2013 INTRODUCTION 1 UN SYSTÈME ALARME DANS UN BATEAU, POURQUOI, COMMENT. Chaque année, les vols et dégradations dans les bateaux de plaisance sont

Plus en détail

Transmission et stockage de l information

Transmission et stockage de l information Transmission et stockage de l information La transmission d informations peut être libre, c est-à-dire assurée par des ondes électromagnétiques émises dans toutes les directions de l espace (Wi-Fi, radio,

Plus en détail

W 12-2 : haute performance et savoir-faire compact

W 12-2 : haute performance et savoir-faire compact Barrières W - Détecteurs réflex, élimination de premier plan EPP Détecteurs réflex, élimination d arrière-plan EAP W - : haute performance et savoir-faire compact Détecteurs réflex énergétiques fibres

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative

Plus en détail

MESURES D UN ENVIRONNEMENT RADIOELECTRIQUE AVEC UN RECEPTEUR CONVENTIONNEL ETALONNE

MESURES D UN ENVIRONNEMENT RADIOELECTRIQUE AVEC UN RECEPTEUR CONVENTIONNEL ETALONNE Jacques Mézan de Malartic / F2MM MESURES D UN ENVIRONNEMENT RADIOELECTRIQUE AVEC UN RECEPTEUR CONVENTIONNEL ETALONNE 1- Objectif des mesures (Page 1) 1-1 Critères de qualité radio 1-2 Principe des mesures

Plus en détail

Exposition. VLR plongée e commission photo

Exposition. VLR plongée e commission photo Exposition VLR plongée e commission photo Agenda Définitions Exposition / analogie du verre d eau (de vin?) Ouverture Vitesse Sensibilité La notion d EV Pourquoi cela ne suffit pas? Dynamique des capteurs

Plus en détail

OLP-55 Smart Optical Power Meter Un mesureur de puissance optique évolutif de la gamme Smart

OLP-55 Smart Optical Power Meter Un mesureur de puissance optique évolutif de la gamme Smart COMMUNICATIONS TEST & MEASUREMENT SOLUTIONS OLP-55 Smart Optical Power Meter Un mesureur de puissance optique évolutif de la gamme Smart Key features Nouveau Nouveau Première fonction de compensation automatique

Plus en détail

Interférences et applications

Interférences et applications Interférences et applications Exoplanète : 1ère image Image de la naine brune 2M1207, au centre, et de l'objet faible et froid, à gauche, qui pourrait être une planète extrasolaire Interférences Corpuscule

Plus en détail

Les interférences lumineuses

Les interférences lumineuses Les interférences lumineuses Intérêt de l étude des interférences et de la diffraction : Les interférences sont utiles pour la métrologie, la spectrométrie par transformée de Fourier (largeur de raie),

Plus en détail

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un

Plus en détail

AiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains. Rapport de mesure

AiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains. Rapport de mesure AiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains Rapport de mesure Référence : 2014-07001 FJ Référence 2014-07001 Client xxx Date 14/02/2014 Type d'optique Triplet ED Opérateur FJ Fabricant

Plus en détail

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE Le schéma synoptique ci-dessous décrit les différentes étapes du traitement numérique

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

Présentation Module logique Zelio Logic 0 Interface de communication

Présentation Module logique Zelio Logic 0 Interface de communication c 1 2 3 4 5 6 7 8 9 1 + 0 # = Présentation Module logique Zelio Logic 0 Présentation L offre communication de la gamme Zelio Logic est principalement dédiée à la surveillance ou à la télécommande de machines

Plus en détail

3 - Description et orbite d'un satellite d'observation

3 - Description et orbite d'un satellite d'observation Introduction à la télédétection 3 - Description et orbite d'un satellite d'observation OLIVIER DE JOINVILLE Table des matières I - Description d'un satellite d'observation 5 A. Schéma d'un satellite...5

Plus en détail

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3

Plus en détail

OPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS

OPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS OPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS PR. MUSTAPHA ABARKAN EDITION 014-015 Université Sidi Mohamed Ben Abdallah de Fès - Faculté Polydisciplinaire de Taza Département Mathématiques, Physique et Informatique

Plus en détail

Le polissage par laser

Le polissage par laser B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 Le polissage par laser Contexte Un traitement de surface est généralement réalisé dans le but d améliorer les caractéristiques

Plus en détail

La chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière?

La chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière? BUTAYE Guillaume Olympiades de physique 2013 DUHAMEL Chloé SOUZA Alix La chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière? Lycée des Flandres 1 Tout d'abord, pourquoi avoir choisi ce projet de la

Plus en détail

Fonctions de la couche physique

Fonctions de la couche physique La Couche physique 01010110 01010110 Couche physique Signal Médium Alain AUBERT alain.aubert@telecom-st-etienne.r 0 Fonctions de la couche physique 1 1 Services assurés par la couche physique Transmettre

Plus en détail

Caméra de surveillance avec capteur PIR, pour PX-3746

Caméra de surveillance avec capteur PIR, pour PX-3746 Caméra de surveillance avec capteur PIR, pour PX-3746 FR Mode d'emploi PX-3747-675 FR TABLE DES MATIÈRES Votre nouvelle caméra de surveillance...3 Chère cliente, cher client,...3 Contenu...3 Caractéristiques...4

Plus en détail

Les technologies laser pour l'imagerie active 3D embarquée et leur niveau de maturité

Les technologies laser pour l'imagerie active 3D embarquée et leur niveau de maturité Atelier "Systèmes embarqués d'imagerie 3D par laser" 7 avril 2014, LAAS/CNRS, Toulouse Les technologies laser pour l'imagerie active 3D embarquée et leur niveau de maturité Pierre BOURDON, Laurent LOMBARD,

Plus en détail

La PSBT Optique : Un candidat sérieux pour augmenter le débit sur les installations existantes.

La PSBT Optique : Un candidat sérieux pour augmenter le débit sur les installations existantes. La PSBT Optique : Un candidat sérieux pour augmenter le débit sur les installations existantes. Farouk Khecib, Olivier Latry, Mohamed Ketata IUT de Rouen, Université de Rouen Département Génie Électrique

Plus en détail

pka D UN INDICATEUR COLORE

pka D UN INDICATEUR COLORE TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant

Plus en détail

Les lasers. Risques et prévention. Annule et remplace la version précédente (ND 1607) publiée en 1986. laser rayonnement VLE classification

Les lasers. Risques et prévention. Annule et remplace la version précédente (ND 1607) publiée en 1986. laser rayonnement VLE classification Synthèse I ND 2093-173-98 445 G. Hée ( 1 ), I. Balty ( 1 ), A. Mayer ( 2 ) avec le concours de D. Courant ( 3 ) et M. Lièvre ( 4 ) ( 1 ) INRS Paris ( 2 ) INRS Nancy ( 3 ) CEA Fontenay-aux-Roses ( 4 ) Laboratoire

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme

Plus en détail

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)

Plus en détail

La (les) mesure(s) GPS

La (les) mesure(s) GPS La (les) mesure(s) GPS I. Le principe de la mesure II. Equation de mesure GPS III. Combinaisons de mesures (ionosphère, horloges) IV. Doubles différences et corrélation des mesures V. Doubles différences

Plus en détail

LE VDSL 2 EN FRANCE. Source : www.ant.developpement-durable.gouv.fr

LE VDSL 2 EN FRANCE. Source : www.ant.developpement-durable.gouv.fr LE VDSL 2 EN FRANCE Par Jean-Marc Do Livramento Consultant télécom fixe et mobile Mai 2013 Des offres d accès Internet Très Haut Débit par VDSL 2 bientôt disponibles en France? Le 26 avril dernier, le

Plus en détail

GAMME UVILINE 9100 & 9400

GAMME UVILINE 9100 & 9400 GAMME UVILINE 9100 & 9400 SPECTROPHOTOMÈTRES UV & VISIBLE NOUVEAU Sipper avec effet peltier Une combinaison intelligente d innovations EXCELLENTE PRÉCISION DE MESURE GRÂCE À UNE OPTIQUE HAUT DE GAMME Gain

Plus en détail

IR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure

IR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure IR Temp 210 Thermomètre infrarouge Contenu 1. Spécifications...26 2. Touches et affichages...28 3. Utilisation...30 4. Entretien...31 5. Elimination des piles et de l appareil...31 6. Tableau de facteur

Plus en détail

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide I Rappels : Référentiel : Le mouvement d un corps est décris par rapport à un corps de référence et dépend du choix de ce corps. Ce corps de référence

Plus en détail

Science et technologie : Le truc de Newton

Science et technologie : Le truc de Newton Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie

Plus en détail

HA33S Système d alarme sans fils

HA33S Système d alarme sans fils HA33S Système d alarme sans fils Manuel d installation & de fonctionnement SOMMAIRE Introduction... 2 1. Contenu du Kit HA33S... 2 2. Planification de l'installation... 2 3. Installation et programmation

Plus en détail