N du SUJET : 8. Questions À l'appui des documents, pouvez-vous dégager les enjeux de l'évaluation à l'école maternelle?

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1 SECONDE EPREUVE ORALE D ADMISSION Pour les deux parties de l épreuve : - Temps de préparation : 3 h - Temps de passation : 1h15 - Note totale sur 100 points Deuxième partie : situation professionnelle inscrite dans le fonctionnement de l'école primaire Temps de passation : 45 min. note sur 60 points 1 Exposé du candidat (15 min. note sur 20 points) 2 Entretien avec le jury (30 min. note sur 40 points) N du SUJET : 8 Intitulé : L'évaluation à l'école maternelle Références du dossier - Texte 1 : circulaire n du 20/05/2014, Préparation de la rentrée scolaire 2014, Bulletin officiel N 21 du 22/05/2014, (Annexe 3) - Texte 2 : ZERBATO-POUDOU M-T, «En maternelle, penser l évaluation comme un dispositif créateur d événements», in Cahiers pédagogiques, N 456, octobre 2007 (extrait) - Texte 3 : projet de programme école maternelle, 3 juillet 2014, (extrait p.8) Questions À l'appui des documents, pouvez-vous dégager les enjeux de l'évaluation à l'école maternelle? Quelles modalités et quels outils peut-on utiliser pour mettre en œuvre une évaluation positive et bienveillante? CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DES ECOLES Session 2015 SECONDE EPREUVE ORALE D ADMISSION 2 ème partie SUJET N 8 45 min. Situation professionnelle inscrite dans le fonctionnement de l école primaire Page d en tête

2 Texte 1 : circulaire n du 20/05/2014, Préparation de la rentrée scolaire 2014, Bulletin officiel N 21 du 22/05/2014 (Annexe 3) L'évaluation des acquis des élèves 1 - Un enjeu déterminant pour la réussite des élèves La connaissance et la maîtrise du processus d'évaluation constituent une compétence attendue de tous les enseignants sur l'ensemble de la scolarité. Quelle que soit la forme que prennent l'évaluation et sa traduction (notation, validation de compétences, etc.) et quelle que soit la finalité qu'on lui attribue, elles doivent être conçues comme un moyen de faire progresser les élèves, d'analyser les processus d'apprentissage, de les faciliter et de les réguler. L'évaluation joue plusieurs rôles : - elle renseigne sur le degré de réussite de la tâche entreprise et sur la démarche suivie ; - elle mesure le degré d'acquisition des connaissances et des compétences ; - elle identifie les fragilités ou les points non acquis ; - elle est au service des apprentissages et doit permettre à chaque élève de progresser par une connaissance objective de ses acquis et aux professeurs de mieux adapter les aides et les approfondissements aux besoins constatés ; - elle intervient dans le choix pour chaque jeune de son orientation en fin de troisième. L'évaluation est l'une des problématiques professionnelles incontournables des équipes pédagogiques disciplinaires, interdisciplinaires et de cycle. Au cœur des projets d'école comme des projets d'établissement, c'est l'un des objets de travail principaux des conseils de maîtres comme des conseils pédagogiques, ou des conseils école-collège. 2 - Faire évoluer les modalités d'évaluation Aujourd'hui, de l'école primaire au lycée, certaines pratiques d'évaluation rendent difficilement compte des progrès des élèves et de la nature de leurs erreurs. Elles induisent parfois des classements perçus comme stigmatisants et dévalorisants ; elles peuvent donc porter atteinte à l'estime de soi et générer un découragement face au travail. Cette «pression» est révélée lors des évaluations du programme Pisa : les élèves français ne répondent pas et manquent d'initiative par peur de se tromper et de perdre des points. La notation chiffrée est souvent perçue comme une «récompense» ou une «sanction». Elle ne renseigne pas l'élève sur ce qu'il sait faire et ne sait pas faire. L'usage courant de moyennes de notes, qui amalgament des données le plus souvent très disparates, ne fait que renforcer ce caractère de «récompense» ou de «sanction». Afin d'éviter cet écueil, il s'avère nécessaire de qualifier, par des annotations explicatives et une appréciation, les acquis de chaque élève pour lui permettre de progresser. Cette appréciation reprend avec précision les critères énoncés pour signifier le degré de réussite ou d'échec que présente le travail de l'élève au regard des connaissances et des compétences attendues. Situation professionnelle inscrite dans le fonctionnement de l école primaire SUJET N 8 Page : 1 / 5

3 3 - Privilégier une évaluation positive et bienveillante favorisant la réussite de tous les élèves La loi n du 8 juillet 2013 d'orientation et de programmation pour la refondation de l'école de la République appelle à faire évoluer les modalités d'évaluation des élèves vers une évaluation positive, simple et lisible, valorisant les progrès, encourageant les initiatives et compréhensible par les familles, pour mesurer le degré d'acquisition des connaissances et des compétences ainsi que la progression de l'élève. Pour encourager l'élève et lui permettre de prendre confiance en ses capacités, toute évaluation est réalisée dans un esprit de rigueur bienveillante tout au long de la scolarité : - les contenus évalués sont précisés à l'avance, les objectifs et les critères de l'évaluation sont énoncés et explicités ; - la communication des résultats de l'évaluation est accompagnée de commentaires précis mettant en évidence non seulement les erreurs, les insuffisances, les fragilités, mais aussi et surtout les réussites et les progrès de l'élève afin de lui permettre d'en tirer le meilleur profit. À l'école élémentaire et au collège, l'évaluation se réfère notamment aux compétences du socle commun de connaissances, de compétences et de culture pour être en cohérence avec les exigences de l'école, tout en tenant compte des rythmes d'apprentissage de l'élève. Une compétence se construit progressivement et peut être évaluée et validée au fur et à mesure de l'apprentissage : - évaluer est un acte répété, conduit le plus souvent à partir du regard d'un enseignant ou de l'élève (dans le cas d'auto-évaluation), qui ponctue les apprentissages et s'inscrit dans le quotidien de la classe ; cet acte individuel, mais qui peut aussi être conduit dans un cadre collectif, permet de mesurer les progrès et la mise en place de la remédiation ; - valider est un acte définitif, binaire (oui/non), conduit à partir des regards croisés des évaluateurs d'une équipe. L'étape ultime de l'évaluation des compétences consiste à confronter les élèves à une tâche nouvelle qui mobilise néanmoins les connaissances comme les capacités acquises pendant les phases d'apprentissage. Situation professionnelle inscrite dans le fonctionnement de l école primaire SUJET N 8 Page : 2 / 5

4 Texte 2 : ZERBATO-POUDOU M-T, «En maternelle, penser l évaluation comme un dispositif créateur d événements», in Cahiers pédagogiques, N 456, octobre 2007 (extrait) Quels discours, quelles pratiques en évaluation? Des écrits pédagogiques ont été produits, des formations ont eu lieu, et de ce fait, les enseignants sont à présent accoutumés aux termes d évaluation formative, sommative, bilan, diagnostique, pronostique... Si l évaluation formative a reçu un accueil plutôt favorable, elle est le plus souvent comprise dans sa dimension réductrice : il s agit d établir une succession de contrôles au cours d un apprentissage qui permettent d identifier rapidement les problèmes rencontrés par les élèves et d intervenir, on l espère, efficacement. Cependant, si on s en tient là, nous n observons pas l émergence d un nouveau modèle pédagogique, mais simplement l incorporation de batteries de tests qui viennent se greffer sur les pratiques existantes. On trouve cependant dans des revues pédagogiques, des approches élargies qui associent les élèves à l évaluation de leurs travaux en privilégiant l observation et le dialogue. Peu de recherches ont été conduites sur l évaluation en maternelle, l une d elles portant sur les représentations des enseignants de maternelle face à l évaluation, montre leur désarroi devant cette pratique pourtant centrale à l école, et ce, malgré la profusion d outils d évaluation diffusés par le ministère. Ce qui ressort de ces quelques travaux, c est, d une part, l ignorance de ce que recouvre le concept d évaluation (51% d entre eux disent ne pas utiliser des critères pour évaluer, or plus de 96% disent évaluer les travaux) et, d autre part le trouble et l embarras que pose cette question. L évaluation s avère être une gêne pour la plupart d entre eux. Si l évaluation formalisée est ressentie de façon négative c est qu elle est établie et reçue isolément du contexte qui lui donne sens : le déroulement des apprentissages concernés, l histoire de la classe et son avancée didactique, le rythme propre à chacun. Ce qui provoque le malaise des enseignants qui disent refuser l évaluation, c est l image figée qui est ainsi offerte. L évaluation est un épisode qui ponctue le travail d apprentissage fait en amont, et jamais terminé, et cet épisode figure, entre autres, le processus d évolution de l enfant à un moment «T» des apprentissages et du développement. Pourtant, il faut bien admettre que l évaluation est présente à l école maternelle, tout au long de la journée. Dès qu un ordre est donné, une consigne énoncée, un travail demandé, il est évident qu un résultat est attendu, un résultat précis, soit sous forme de comportements (exécuter les tâches motrices en EPS ou plus simplement se mettre en rang, faire silence), soit sous forme d un produit à réaliser (entourer, colorier, coller des étiquettes, écrire...). L évaluation des comportements est tributaire de nombreux facteurs plus ou moins implicites ce qui rend délicate sa communication. Le recours à une norme pose une véritable question d éthique. L évaluation des tâches à caractère scriptural est plus ostensible, plus objectivée, plus construite aussi : les enseignants y sont attentifs, encore faut-il procéder de façon pertinente pour qu elle soit utile aux apprentissages. Et, souvent, les questions portent sur son apparence, sa formalisation, plus que sur sa fonction : faut-il ou non signifier concrètement la (non) réussite et comment? Les «smiles» évaluatifs, l invasion! Ainsi, face aux injonctions de l institution, à la pression sociale et au sentiment qu il faut rendre visible le regard que porte le maître sur le travail fait en classe, on voit fleurir depuis quelques années des symboles qui signifient la réussite ou l échec aux exercices proposés. Il s agit pour l enfant de colorer un visage stylisé, un «smile» qui sanctionne le résultat par différentes expressions : visage souriant (réussite), déçu (réussite partielle) ou triste (échec). Ce type d évaluation, qui sollicite les émotions, est considéré comme relevant d une «auto-évaluation» puisque c est l enfant lui-même qui colorie le smile après avoir choisi (seul?) celui qui rend Situation professionnelle inscrite dans le fonctionnement de l école primaire SUJET N 8 Page : 3 / 5

5 compte de la qualité de son travail. Cette pratique, très usitée dans la sphère sociale (et rendue universelle via internet) mérite qu on s y attarde. Pourquoi valider ainsi le travail des enfants? On pourrait tout aussi bien mettre une note, ou une appréciation : bien, assez bien, inexact... qui diraient la même chose. Mais les aspects ludiques étant fortement privilégiés, même en évaluation, les marquages par les smiles sont légitimés car ils correspondraient, aux dires de certains, aux attentes des enfants, à leur mode de fonctionnement et s avèreraient bien plus porteurs de sens que les notes. Que ce soit à l aide de notes, d appréciations, ou de smiles, il s agit là d une évaluation contrôle qui codifie le résultat et, quelle que soit sa forme, elle a pour objectif d établir un constat mais également de faire passer un message aux récepteurs de ce travail. Les smiles sont d usage facile, ils «parlent» rapidement, de façon imagée et ciblent en priorité les enfants. Mais le message ainsi transmis pose cependant problème : s il signifie à l enfant le résultat de son action, il indique surtout l effet que produit son travail sur l enseignant, ce dernier étant, selon le codage, content ou pas content ou désappointé. La critique la plus forte qu on peut faire à cette pratique c est bien le signal affectif qu elle dissimule, car, pour l enfant, ce n est pas le travail lui-même qui est évalué, mais le degré d amour qui le relie à l enseignant par ce biais. On oublie que pour ces jeunes enfants, un amalgame, une relation s établit entre ces affirmations : je réussis, je fais bien, je suis gentil, on m aime, et a contrario : j échoue, je fais mal, je suis vilain, on m aime pas [sic]. Les plus méritants seront aimés parce que le maître est content : c est leur personne qui devient un bon ou mauvais élève. C est bien sûr un ressenti de la part des enfants et non une réalité observable. Les enseignants qui utilisent cette forme d évaluation pensent que les enfants n en sont pas pour autant traumatisés et qu ils comprennent ce qu il en est, «on leur explique et ils savent ce que ça veut dire». J espère bien que le codage n est pas proposé sans explicitation! De mon point de vue, par cette pratique, on finalise l évaluation d une façon bien plus contestable que par le marquage proposé par l institution : «acquis, non-acquis, en cours d acquisition», les smiles qui rajoutent une dimension affective à un constat tout aussi standardisé, sont-ils vraiment nécessaires? Situation professionnelle inscrite dans le fonctionnement de l école primaire SUJET N 8 Page : 4 / 5

6 Texte 3 : projet de programme école maternelle, 3 juillet 2014, (extrait p.8) Penser l évaluation comme un processus L évaluation constitue un outil de régulation de l activité professionnelle des enseignants dans la classe et dans l école pour tous les domaines d apprentissage. Elle ne constitue pas un instrument de prédiction. Elle informe sur l évolution de chaque élève, c est-à-dire sur ses progrès au cours de l année et par rapport aux attendus de fin de cycle. L évaluation est un processus continu qui commence par une observation attentive et une interprétation au quotidien de ce que chaque enfant dit ou fait. La complexité des apprentissages engage les enseignants à être réceptifs à ce que manifeste chaque élève comme autant d indices de son engagement, de son parcours d apprentissages, de ses progrès ou des difficultés qu il rencontre. L enseignant cherche à mettre en relation ses observations à travers les activités et dans le temps. Il s attache à mettre en valeur, au-delà du résultat obtenu, le cheminement de l enfant et les progrès qu il fait par rapport à lui-même. Il tient compte des différences d âge au sein d une même classe. Plus les enfants sont jeunes et plus le travail interprétatif de l enseignant est complexe. Il est attentif à ce que l enfant peut faire seul, avec d autres enfants ou avec son soutien afin que les réussites de chacun participent à la réussite de tous et réciproquement. Adaptée aux spécificités de l école maternelle, l évaluation est mise en oeuvre selon des modalités définies au sein de la classe et de l école, par exemple à travers un «carnet de progrès» (document d accompagnement : l évaluation à l école maternelle). Les enseignants permettent aux enfants d identifier leurs réussites, d en garder des traces, de s'en souvenir en les évoquant, de les revisiter afin de percevoir leur évolution. Ces traces prennent des formes variées : photos, dessins, écrits, productions, enregistrements... Les adultes observent également les progrès des enfants au travers des questions qu'ils posent et des comportements qu'ils manifestent. Les enseignants rendent explicites pour les parents, les démarches, les attendus et les modalités d'évaluation propres à l'école maternelle. Ils donnent à voir la cohérence et les liens qui existent au sein du projet d'apprentissage dans lequel les élèves sont engagés. L évaluation, entendue dans ce sens, est un outil essentiel de travail au sein des équipes et un moyen de communication et d échanges avec les parents. Situation professionnelle inscrite dans le fonctionnement de l école primaire SUJET N 8 Page : 5 / 5

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