Épreuve de Sciences économiques et sociales

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1 Nom : Date : Juin 2015 Classe : Durée : 100 minutes Le Sujet est à rendre avec la copie Exercice 1 ( 9 points) Document 1 : La délocalisation et ses effets sur l économie. Face à une concurrence accrue, de nombreuses entreprises sont tentées par la délocalisation d une partie de leurs processus de gestion/production. L objectif évident : soit baisser le prix de vente final, soit augmenté les marges. Dans les deux cas, le premier effet de la délocalisation doit être la baisse des coûts des différents processus de l entreprise. Pour les grandes entreprises, une estimation de ces coûts, bien qu'imprécise, peut être réalisée en amont de la prise de décision de délocaliser. Mais elle sera prise en compte par les dirigeants dans la gestion de l'activité à long terme, pas forcément par les actionnaires ou les donneurs d'ordres, aveuglés par le mythe du "c'est mieux ailleurs" ou motivés par un objectif de profitabilité à court terme. C'est la productivité qui compte. Enfin, le dernier argument qui relativise l'importance du coût du travail dans les choix de délocalisations est celui de la productivité du travail. C'est l'argument que l'on entend le plus dans les débats actuels, qu'ils portent sur la durée ou le coût du travail. La main d'œuvre est peu coûteuse, nettement moins que dans le pays d'origine. De plus, on retrouve un meilleur accès aux ressources naturelles, les entreprises négligeront éventuellement la qualité, pour laisser place à la quantité. Aux yeux des propriétaires, économiquement cette solution semble être la meilleure. Les salaires sont moins élevés que dans les pays d'origine. Grâce à cela, le niveau de vie de ces derniers se retrouve augmenté. Des pays qui étaient auparavant pauvres, se développent petit à petit pour devenir riches. C une bonne chose. Qu'il s'agisse de comparer les Etats-Unis à la France ou à la Chine ou de parler de délocalisation, il est bon de rappeler que, seul, le coût du travail ne signifie rien. La question qui compte est celle de la richesse produite par le travail qui sera ensuite calcule dans la Valeur ajoutée et enfin dans le PIB. A force de focaliser l'attention sur les coûts, pour lesquels une partie de la guerre est perdue et pour lesquels on ne peut qu'attendre la réduction du différentiel, on oublie l'essentiel : notre manque d'innovation et la perte du support indispensable de la production à l'innovation. En effet la question ne porte pas uniquement sur l innovation des techniques de travail mais aussi sur le taux de chômage qui est de plus en plus affecté surtout au niveau du secteur industriel. Source : Le Monde.Fr «Mondialisation et délocalisations des entreprises, 5 juin /6

2 Document 2 : la classification du PIB dans le Monde en 2011 Épreuve de Sciences économiques et sociales Document 3 : Le taux de chômage en 2011 des Etats-Unis, France et Chine Le taux de Chômage en 2011 en % Etats-Unis France Chine 2/6

3 Document 4 : Le taux d épargne des ménages en 2011 des Etats-Unis, France et Chine. 35 Taux d'epargne des menages en % Etats-Unis France Chine Questions: 1. Quel est le problème évoque dans le document 1? 2. Quel est le but principal de la délocalisation des entreprises? 3. Expliquez à l aide des termes économiques la phrase soulignée dans le document Effectuer une comparaison du PIB des Etats-Unis, la France et de la Chine (Doc 2) en 2011 et de la variation par rapport à Comment peut-on expliquer cette variation? Donnez une interprétation économique. 6. Effectuer une comparaison du taux de chômage des trois pays en Effectuer une comparaison du taux d épargne des trois pays en Pourquoi la Chine présente-elle des chiffres particuliers dans les deux cas? Quel est le rôle de la France et des Etats-Unis dans ce cas? 9. Pourquoi parle-t-on d innovation à la fin du texte? quel serait la relation avec la délocalisation? 10. A l aide des documents et des questions précédentes expliquez en une quinzaine de ligne l effet de la délocalisation et du chômage sur le PIB. 3/6

4 Exercice 2 : (9 points) Le cellulaire est au Liban : poule aux œufs d or. «Le cellulaire est au Liban ce que le pétrole est aux pays du Golfe», s amuse à dire Saad Nassir, directeur commercial de l opérateur MTC Touch. Avec environ 800 millions de dollars de recette annuelle, l industrie chouchoute de l Etat libanais est aussi très souvent qualifiée de «poule aux œufs d or». Ce qui n aura rien d étonnant pour le consommateur libanais, qui constate lui-même tous les mois les sommes exorbitantes qu il doit consacrer à cette partie de son budget. «Le Liban a les prix les plus élevés du monde arabe, et le moins bon service aux consommateurs», affirme Riad Bahsoun, représentant du Liban - à titre public et privé - à l Union Internationale des Télécommunications. L affirmation est exacte, à quelques nuances près : le Liban a les tarifs les plus élevés pour les cartes prépayées (qui représentent 75% des utilisateurs), mais pour les abonnements, sur les 22 pays arabe, il se classe juste avant l Egypte, en bon avant dernier. Le cellulaire, un impôt indirect «La téléphonie mobile n est pas considérée par l Etat comme un service commercial, mais comme une taxe sur les consommateurs», s insurge Zouhair Berro, président de Consumers Lebanon. Son association, soutenue par 23 syndicats, avait instauré une journée de boycott, en 2004, pour protester contre le prix du téléphone portable. «L Etat à une perception fiscale plus qu une vision commerciale de ce secteur», confie également Riad Bahsoun «Il y a un vrai manque de vision de la part du ministère, qui mène une politique dirigiste sans se soucier des consommateurs. Preuve en est qu il n y a jamais eu d études sectorielles, ou de comportement de consommation.» Pourquoi d ailleurs l Etat le ferait-il? Il est seul propriétaire des deux réseaux, il détient donc un monopole, dans un secteur où la demande est forte : sur le plan économique, l équation fonctionne, il n est pas obligé de baisser les prix. Pourtant, d autres calculs prouvent qu une baisse des prix serait possible, et même bénéfique pour l Etat. «Jamais dans le monde, que ce soit dans les pays pauvres ou dans les pays les plus riches, une compagnie de téléphone n a perdu de l argent en baissant ses prix. Nous avons des chiffres qui le prouvent», affirme Saad Nassir, directeur commercial de MTC, présente dans 19 pays. Or au Liban, le taux de pénétration (soit le pourcentage de personnes équipées en téléphonie mobile) est très faible : avec abonnés, les deux compagnies ne fournissent de services qu à 33% de la population. «Dans un pays comme le Liban, le taux de pénétration devrait être de 70% aujourd hui», poursuit Saad Nassir. C est donc un énorme marché potentiel qui n est pas exploité : les futurs clients sont là, ils attendent que les prix baissent. A terme, la privatisation est toujours l objectif mis en avant par le ministère des télécommunications. Mais en attendant, les acteurs concernés persistent à demander des changements de fond : «il faut changer le système d imposition libanais, qui fait payer les consommateurs les plus démunis, à travers le prix du cellulaire», revendique Zouhair Berro, 4/6

5 président de Consumers Lebanon. D autres, comme Riad bahsoun, appellent à une dépolitisation du dossier : «Le ministère des télécoms est précisément le poste qu il ne faut pas confier à quelqu un qui est politisé, tout comme la santé ou l électricité». Il conclut : «si les choses ne changent pas rapidement, et que le Liban ne se met pas au moins au niveau du Soudan, on va vers un clash : il y aura des fraudes et des utilisations illégales». Source : Souraya Hamdan «Le cellulaire est au Liban : poule aux œufs d or.» L Orient le jour. 15 Juillet Questions : 1ere partie 1. Expliquez le titre du texte. 2. Quel est le problème principal dans le secteur de télécommunication au Liban? 3. Nommez les agents concernés par ce problème et expliquez la position de chacun. 4. Indiquez la nature des entreprises de télécommunications libanaise et le secteur auquel elles font parties. 5. Expliquez la phrase soulignée dans le texte. 6. Pourquoi parle-t-on de privatisation? Quels sont ses effets sur le consommateur? 7. Quelle est la différence entre l idée de Zouhair Berro et de Riad Baroun dans le dernier paragraphe? 8. Interprétez la réaction du consommateur libanais face à ce problème. 2eme partie Pourtant, d autres calculs prouvent qu une baisse des prix serait possible, et même bénéfique pour l Etat. «Jamais dans le monde, que ce soit dans les pays pauvres ou dans les pays les plus riches, une compagnie de téléphone n a perdu de l argent en baissant ses prix. 9. A partir de cette idée et des réponses aux questions précédentes proposer un schéma qui permettra de parvenir à : - Une régulation sur le marché du secteur de télécommunication Libanais - Les effets de cette régulation sur chacun des agents concernés - L aboutissement à une croissance économique. Exercice 3 : Cochez la seule bonne réponse (2 points) 1. Le facteur travail désigne: Le nombre de travailleurs employés par une organisation productive La quantité de travail fournie par l ensemble des travailleurs Le nombre de travailleurs, la durée annuelle du travail et la qualification des travailleurs 5/6

6 2. Le choix de la combinaison productive dépend: Des progrès de la technologie Du coût des facteurs de production De la productivité du travail et du capital 3. La valeur ajoutée correspond à: A la taxe que prélève l Etat sur le prix hors taxe des produits Au chiffre d affaires moins les consommations intermédiaires A la quantité de produits fabriqués multipliée par le prix de vente hors taxe A la valeur de la production moins la valeur des consommations intermédiaires 4. Le coût salarial unitaire correspond: Aux salaires versés aux travailleurs plus les cotisations sociales A la masse salariale (salaires nets + cotisations sociales) divisée par le nombre de travailleurs A la masse salariale (salaires nets + cotisations sociales) divisée par le nombre de produits Aux salaires plus les primes, les avantages en nature et les cotisations sociales salariales et patronales 5. Le capital circulant désigne: La trésorerie financière des entreprises Les biens de production nécessaires pour fabriquer un bien ou un service L ensemble des consommations intermédiaires 6. Une hausse des salaires et des cotisations sociales se traduit: Par une hausse du coût salarial unitaire dans tous les cas Par une hausse du coût salarial unitaire si le rendement augmente moins vite que le coût salarial Par une baisse du coût salarial unitaire si la productivité physique augmente moins vite que le coût salarial 7. La valeur de la production correspond à: A la richesse créée par l entreprise Au chiffre d affaires A la quantité de produits fabriqués multipliée par le prix de vente hors taxe A la valeur de la production moins la valeur des consommations intermédiaires 8. Une innovation correspond: A l amélioration d un produit ou d un procédé de fabrication A l introduction d une invention dans le système de production ou sur le marché A la découverte d un nouveau produit ou d un nouveau procédé de fabrication Au remplacement des machines usées ou démodées Bon Travail! 6/6

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