Chapitre 10 - Item UE 8 Dysphagie
|
|
- Judith Mélançon
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Dysphagie I. Définition II. Deux types de dysphagie III. Démarche diagnostique en cas de dysphagie œsophagienne IV. Dysphagies lésionnelles V. Dysphagies fonctionnelles OBJECTIFS PEDAGOGIQUES Argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. I. Définition La dysphagie est une sensation de gêne ou d obstacle à la progression du bol alimentaire survenant au cours de la déglutition. Elle doit être différenciée de : l odynophagie (douleur ressentie lors de la progression des aliments dans l œsophage mais sans sensation de blocage de l alimentation) ; la sensation de striction cervicale liée à l anxiété, qualifiée de «globus hystericus» ; l anorexie (perte d appétit), surtout lorsqu elle porte de façon élective sur certains aliments (viande) ; la satiété précoce. II. Deux types de dysphagie L interrogatoire permet de distinguer 2 types de dysphagie : la dysphagie oro-pharyngée se traduit par une difficulté à initier la déglutition et à propulser le bol alimentaire dans l œsophage. Le patient localise nettement sa gêne ou sa sensation de blocage dans la région cervicale. Ce type de dysphagie relève essentiellement de causes ORL ou neurologiques ; la dysphagie œsophagienne est ressentie comme une sensation de blocage ou une gêne à la progression du bol alimentaire localisée au niveau de la région rétrosternale. On distingue aussi, selon le mécanisme en cause, la dysphagie lésionnelle due à un obstacle mécanique, le plus souvent dans la paroi œsophagienne (ex. : tumeur maligne) et la dysphagie fonctionnelle due à un trouble moteur (ex. : achalasie). P. 1/9
2 III. Démarche diagnostique en cas de dysphagie œsophagienne A- Étape 1 : recherche d éléments d orientation par l interrogatoire L interrogatoire précise : la localisation rétrosternale de la gêne et son niveau ; l électivité éventuelle pour les solides (dysphagie «sélective» des sténoses organiques) ou l association avec une dysphagie pour les liquides qui peut prédominer (dysphagie non sélective voire paradoxale) ; le mode de début (brutal ou non) ; l évolution (progression plus ou moins rapide, intermittence) ; le terrain : âge, intoxication alcoolo-tabagique, exposition à des agents irritants pour l œsophage (médicaments, caustiques, radiations), affection maligne ou maladie générale (sclérodermie, diabète) ; les symptômes associés : signes de reflux gastro-œsophagien (RGO) et leur relation chronologique avec la dysphagie, signes ORL et/ou respiratoires, hoquet, hypersialorrhée, fausses routes ; l existence d une altération de l état général (anorexie, amaigrissement). B- Étape 2 : recherche prioritaire d une lésion organique de l œsophage 1. Endoscopie œso-gastro-duodénale Examen clé à faire en premier lieu devant toute dysphagie. C est la méthode la plus performante pour le diagnostic des tumeurs de l œsophage et des œsophagites. Elle permet à la fois l étude précise de la muqueuse et la réalisation de biopsies. Les zones qui sont particulièrement à biopsier peuvent être plus facilement décelées en ayant recours à des colorants vaporisés en spray sur la muqueuse (lugol, acide acétique). Même en cas de muqueuse normale, des biopsies muqueuses doivent être systématiquement réalisées pour rechercher une œsophagite à éosinophiles. 2. Autres examens morphologiques Lorsque l endoscopie œso-gastro-duodénale n est pas contributive (sténose œsophagienne infranchissable ou aspect de compression extrinsèque avec muqueuse normale), la réalisation d autres examens se discute. Le scanner thoracique permet de chercher une lésion médiastinale et apprécie l extension pariétale, médiastinale et ganglionnaire des cancers. L écho-endoscopie est l examen qui explore le plus précisément la paroi œsophagienne en cas de tumeur d apparence superficielle en documentant l atteinte des différentes couches, et des structures péri-œsophagiennes (figure 10.1). Elle apprécie l extension pariétale des tumeurs, détecte les adénopathies métastatiques et différencie les lésions sous-muqueuses intramurales (dans la paroi) des compressions extrinsèques. L existence d une sténose en limite les performances. P. 2/9
3 Figure 10.1 Aspect normal de la paroi œsophagienne en écho-endoscopie Le transit baryté de l œsophage peut être fait en deuxième intention, surtout dans les cas d endoscopie impossible ou incomplète (sténose infranchissable). Il peut également s avérer utile pour objectiver une compression extrinsèque ainsi que pour préciser la topographie et l étendue d un cancer de l œsophage. C- Étape 3 : si l endoscopie œso-gastro-duodénale est normale, chercher un trouble moteur œsophagien Le transit baryté de l œsophage et surtout la manométrie œsophagienne sont indiqués pour chercher un trouble moteur lorsqu un examen endoscopique normal a éliminé une lésion muqueuse œsophagienne ou une compression extrinsèque et que les biopsies muqueuses systématiques, en cas d aspect normal de la muqueuse, ont écarté une œsophagite à éosinophiles. La manométrie œsophagienne : est l examen clé pour le diagnostic des troubles moteurs de l œsophage ; enregistre la pression de repos du sphincter inférieur de l œsophage (SIO) et sa relaxation lors de la déglutition ; et analyse le péristaltisme au niveau du corps de l œsophage en réponse à des déglutitions d eau ou de solides (figure 10.2) ; peut être utile pour rattacher à l œsophage une douleur thoracique d allure angineuse. Actuellement, la manométrie haute résolution (MHR) de l œsophage, plus performante que la manométrie classique, permet une meilleure précision sémiologique des troubles moteurs œsophagiens. Son nombre de capteurs de pression plus élevé et le rendu visuel des résultats après leur traitement informatique, permettent une analyse quasi anatomique de la motricité de l ensemble de l œsophage et de ses sphincters. Elle a permis une nouvelle classification de l achalasie en 3 types. Elle permet également d orienter le diagnostic vers des pathologies de la motricité pharyngée et du sphincter supérieur de l œsophage, comme la barre crico-pharyngée ou les troubles neurologiques. P. 3/9
4 Figure10.2 Manométrie œsophagienne Tracé montrant une onde péristaltique propagée (normale) après déglutition D mmhg cm from incisors Fundic pressure 5 sec IV. Dysphagies lésionnelles Dans ce contexte, la dysphagie en général : prédomine sur les solides ; s aggrave ; et retentit sur l état général. L endoscopie découvre dans la majorité des cas une sténose organique de l œsophage qui doit être biopsiée à de multiples endroits. En cas de doute diagnostique, ou si les premières ne sont pas contributives, les biopsies doivent être répétées. Principales lésions organiques responsables d une dysphagie d origine œsophagienne : sténoses tumorales : cancer épidermoïde (terrain alcoolo-tabagique), plus rarement adéno-carcinome soit œsophagien développé sur un endobrachyœsophage, ou cardial étendu vers l œsophage, exceptionnellement d autres tumeurs malignes (sarcome et mélanome) ou bénignes (léiomyome) et tumeurs extrinsèques (ganglionnaire, bronchique, médiastinale) ; sténoses non tumorales : le plus souvent sténose compliquant une œsophagite peptique (sténose régulière, centrée, souvent à la jonction des tiers moyen et inférieur de l œsophage), un anneau de Schatzki, réalisant un aspect de diaphragme du tiers inférieur de l œsophage. Cette lésion acquise peut être associée à un reflux gastro-œsophagien, ou plus rarement à une carence martiale dans le cadre d un syndrome de Plummer- Vinson/Kelly-Paterson, plus rarement œsophagite caustique ou radique, P. 4/9
5 œsophagites à éosinophiles, parfois responsables de sténoses (cf. infra), rarement, compression extrinsèque (adénopathie, anomalie artérielle) ; œsophagites non sténosantes : d origine médicamenteuse (doxycycline, aspirine, anti-inflammatoires non stéroïdiens, alendronate, chlorure de potassium). Le symptôme prédominant est l odynophagie, à éosinophiles, qui touchent surtout l homme, en association dans 50 % des cas avec des manifestations atopiques (asthme, dermatite atopique ) et qui peuvent être à l origine d impactions alimentaires (blocage des aliments dans la lumière). L endoscopie peut être normale, ou visualiser les lésions suivantes : granité blanchâtre, muqueuse épaissie avec présence de fissures linéaires verticales, sténoses uniques ou multiples et aspect en «pseudo-trachée». La confirmation du diagnostic est histologique avec une infiltration par des polynucléaires éosinophiles (nombre > 15, par champ au grossissement 400), d origine infectieuse (Candida, CMV, herpès) observées le plus souvent dans un contexte immuno-déprimé (éventuellement diabète), diverticule de Zenker : il siège à la face postérieure de la jonction pharyngoœsophagienne ; la dysphagie est haute et associée à des régurgitations alimentaires parfois déclenchées par une pression cervicale. V Dysphagies fonctionnelles Le trouble moteur peut être primitif ou secondaire. Troubles moteurs primitifs : achalasie (synonyme : cardiospasme) qui peut aboutir au méga-œsophage idiopathique ; maladie des spasmes diffus de l œsophage ; œsophage «casse-noisettes». Troubles moteurs secondaires : au cours du RGO ; au cours de certaines collagénoses (sclérodermie, dermatomyosite, lupus) ; au cours de maladies touchant l innervation ou la musculature œsophagienne (diabète, amylose, myasthénie). A- Achalasie 1. Définition Il s agit d un trouble moteur primitif de l œsophage de cause inconnue, défini par l absence complète de péristaltisme dans le corps de l œsophage (figure 10.4). Dans la majorité des cas, cet apéristaltisme est associé à une relaxation du SIO absente ou incomplète lors de la déglutition et à une hypertonie de repos du SIO. P. 5/9
6 Figure 10.4 Aspect manométrique d achalasie Tracé d achalasie avec la survenue de contractions synchrones lors des déglutitions (D) traduisant une disparition du péristaltisme œsophagien 2. Arguments cliniques et paracliniques en faveur d une achalasie La dysphagie est le signe révélateur habituel. Elle peut être très modérée. Elle est évocatrice de l achalasie quand elle est paradoxale (affectant électivement les liquides) et capricieuse, survenant de façon intermittente et inopinée. Des régurgitations témoignent de la présence d une stase œsophagienne anormale. Elles peuvent orienter à tort vers un RGO ou un diverticule. En survenant durant la nuit, les régurgitations sont parfois à l origine de complications respiratoires. Plus rarement, la maladie se révèle par des douleurs rétrosternales constrictives, pseudo-angineuses mais non liées à l effort. Elle peut entraîner une dénutrition. Au stade débutant de la maladie, l endoscopie digestive haute est normale. À un stade plus évolué, la dysphagie perd ses caractères évocateurs d un trouble moteur. L endoscopie découvre un œsophage dilaté, atone, contenant des résidus alimentaires parfois abondants, il peut exister une difficulté au passage du cardia. 3. Principales anomalies manométriques œsophagiennes Au cours de l achalasie, diverses perturbations motrices plus ou moins caractéristiques peuvent être mises en évidence par la manométrie. Absence totale de péristaltisme dans le corps de l œsophage (absence de contractions œsophagiennes propagées en réponse à des déglutitions d eau : critère obligatoire du diagnostic). Des contractions non propagées d amplitude très importante s observent dans l achalasie «vigoureuse». Une hypertonie du SIO existe fréquemment ainsi qu une absence de relaxation ou une relaxation seulement incomplète de ce sphincter. Ces anomalies sphinctériennes peuvent manquer au stade initial. P. 6/9
7 La manométrie haute résolution a permis d identifier 3 types différents d achalasie : le type I, dit «classique», dans lequel il n y a aucune augmentation de pression dans l œsophage en réponse à une déglutition, par défaut de relaxation de la jonction œsogastrique ; le type II, dans lequel il existe une pressurisation de l œsophage liée à la compression du bolus ingéré entre le sphincter supérieur et l obstacle fonctionnel cardial (SIO) ; le type III correspond à l achalasie «spastique» dans laquelle il existe des ondes œsophagiennes non propagées et de grande amplitude. 4. Diagnostic différentiel L endoscopie doit toujours être réalisée en première intention pour écarter une affection cancéreuse, notamment du cardia. Une tumeur infiltrante du cardia peut être à l origine de perturbations motrices très voisines de celles observées dans l achalasie ; on parle alors de pseudo-achalasie néoplasique. Il est nécessaire de la chercher par une écho-endoscopie ou une tomodensitométrie, notamment lorsque l achalasie se révèle tardivement, après 50 ans, ou lorsque la manométrie œsophagienne met en évidence une importante hyperpression au niveau du SIO. Chez des sujets ayant vécu en Amérique du Sud, une pseudo-achalasie due à une parasitose (Trypanosoma cruzi) doit être cherchée (maladie de Chagas). 5. Principes du traitement Aucun traitement ne peut restaurer un péristaltisme œsophagien. Le traitement a pour objectif de diminuer la pression du SIO par : section musculaire chirurgicale (myotomie extramuqueuse, réalisable aujourd hui par cœlioscopie) ; ou dilatation pneumatique sous endoscopie ; ou action pharmacologique (dérivés nitrés par voie sublinguale, infiltration intra-sphinctérienne per-endoscopique de toxine botulique). La dilatation pneumatique réalisée par voie endoscopique et le traitement chirurgical sont les méthodes principales. Leur efficacité est comparable, jugée excellente ou bonne dans plus de trois quarts des cas. Leurs complications (respectivement la perforation de l œsophage et l œsophagite par reflux) sont rares. Leur mortalité est quasi nulle. L efficacité des traitements pharmacologiques et de la toxine botulique est nettement inférieure à celle de ces 2 techniques. B- Autres troubles moteurs de l œsophage 1. Les troubles moteurs primitifs En dehors de l achalasie, les troubles moteurs œsophagiens primitifs comprennent la maladie des spasmes diffus de l œsophage et l œsophage «casse-noisettes». Dans la maladie des spasmes diffus de l œsophage, plus de 10 % des ondes enregistrées au niveau du corps de l œsophage sont anormales, non propagées, amples et répétitives, et alternent avec un péristaltisme normal (figure 10.5). P. 7/9
8 Figure 10.5 Aspect radiologique d achalasie évoluée, parvenue au stage de méga-œsophage. œsophage large avec stase liquidienne estomac L œsophage «casse-noisettes» se caractérise par des ondes péristaltiques anormales, prolongées et de très grande amplitude prédominant dans la partie distale de l œsophage (figure 10.6). Figure 10.6 Aspect manométrique de spasmes de l œsophage Au cours de ces deux affections, le fonctionnement du SIO est normal. 2. Les troubles moteurs œsophagiens dits «secondaires» Ils peuvent être observés au cours des collagénoses (sclérodermie), du diabète, de l amylose et de nombreuses affections du système nerveux central ou périphérique. P. 8/9
9 POINTS CLEFS La dysphagie oro-pharyngée relève essentiellement de causes ORL ou neurologiques. En cas de dysphagie, une endoscopie œso-gastro-duodénale doit être effectuée en première intention pour chercher une lésion organique de l œsophage. Les principales causes organiques de dysphagie sont des tumeurs œsophagiennes et œsophagites (par reflux notamment). Le cancer de l œsophage est à l origine d une dysphagie progressive, portant initialement sur les solides, avec amaigrissement rapide. L endoscopie et les biopsies confirment le diagnostic. L œsophagite à éosinophiles peut être à l origine d impactions alimentaires. Elle s associe souvent avec des manifestations atopiques (asthme, dermatite atopique ) et une hyperéosinophilie sanguine. Le diagnostic est histologique. En cas de dysphagie avec endoscopie normale, les biopsies muqueuses œsophagiennes doivent être systématiques pour chercher une œsophagite à éosinophiles. La manométrie œsophagienne, au mieux par une technique de haute résolution, est l exploration clé pour l identification d un trouble moteur œsophagien. L achalasie primitive de l œsophage est le principal trouble moteur œsophagien, responsable au début de son évolution d une dysphagie intermittente et paradoxale. Son diagnostic est manométrique Une achalasie récente chez un sujet de plus de 50 ans doit faire envisager l hypothèse d une achalasie secondaire et réaliser une tomodensitométrie et/ou une échoendoscopie œsophagienne pour chercher une tumeur sous-muqueuse ou périœsophagienne. Pour en savoir plus : Manométrie œsophagienne de haute résolution et classification de Chicago des troubles moteurs œsophagiens - Conseil de pratique SNFGE-GFNG ACG clinical guideline: diagnosis and management of achalasia - Vaezi MF, Pandolfino JE, Vela MF Am J Gastroenterol 2013 ; 108(8) : P. 9/9
ABREGE D HEPATO-GASTRO-ETROLOGIE- 2ème édition - Partie «Connaissances» - Octobre 2012 par la CDU-HGE - Editions Elsevier-Masson
Chapitre 36 : Item 308 Dysphagie I. Définition II. Deux types de dysphagie III. Démarche diagnostique en cas de dysphagie œsophagienne IV. Dysphagies lésionnelles V. Dysphagies fonctionnelles OBJECTIF
Plus en détailItem 308 : Dysphagie
Item 308 : Dysphagie Date de création du document 2008-2009 Table des matières 1 Définition...1 2 Deux types de dysphagie...2 3 Démarche diagnostique en cas de dysphagie oesophagienne... 3 3. 1 Étape 1
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailApplications Manométriques de la SWS
Applications Manométriques de la SWS G. Desuter MD, MS, FACPE Service ORL et Chirurgie Cervico-Faciale Cliniques universitaires St-Luc, Bruxelles Constat de départ Vidéofluorographie de déglutition et
Plus en détailChapitre 1 Œsophage. Embryologie
Chapitre 1 Œsophage 1. Embryologie 2. Anatomie 3. Radioanatomie 4. Histologie 5. Physiologie œsophagienne 6. Sémiologie œsophagienne 7. Reflux gastro-œsophagien 8. Examen clinique d un patient consultant
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailQu est-ce que le cancer de l œsophage?
Cancer de l œsophage Qu est-ce que le cancer de l œsophage? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailItem 308 : Dysphagie
Item 308 : Dysphagie Collège Français d'orl Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...4 SPECIFIQUE :...4 I Physiopathologie...5 II Sémiologie...5 II.1 Symptômes observés au cours
Plus en détailDIVERTICULE PHARYNGO-OESOPHAGIEN (DPO) DE ZENKER À PROPOS DE QUATRE CAS J. MOALLA, L. BAHLOUL, B. HAMMAMI, I. CHARFEDDINE, A.
Cas Clinique RESUME Le DPO est une pathologie rare (1% de la pathologie oesophagienne [1,2]). Elle est définie comme une hernie de la muqueuse postérieure de l œsophage à travers les fibres du muscle constricteur
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailErosions dentaires chez l enfant et l adolescent: arrière-plans gastroentérolo
Erosions dentaires chez l enfant et l adolescent: arrière-plans gastroentérolo giques Le reflux gastro-œsophagien concerne 10% environ des enfants et des adultes et entraîne souvent des lésions dentaires
Plus en détailCancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca
Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Vous venez d apprendre que vous avez un cancer Une
Plus en détailCancer de l œsophage. Comprendre le diagnostic
Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Lorsqu on lui annonce qu elle a un cancer, une personne peut se sentir seule, avoir peur et être dépassée par
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailSolar GI. Manométrie digestive évolutive. Diagnostic complet de la motricité. Base de données universelle MMS. Configurations évolutives
M E D I C A L M E A S U R E M E N T S Y S T E M S Solar GI Manométrie digestive évolutive Diagnostic complet de la motricité Base de données universelle MMS Configurations évolutives M A K E S M E A S
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailService des Maladies Respiratoires Hôpital Ibn Rochd CHU Ibn Rochd Casablanca
A. Bahlaoui & N. Zaghba Service des Maladies Respiratoires Hôpital Ibn Rochd CHU Ibn Rochd Casablanca Pr. Abdelkrim BAHLAOUI Service des Maladies Respiratoires, Hôpital Ibn Rochd CHU, CASABLANCA (bahlaoui@hotmail.com)
Plus en détailOs Hyoïde. Cartilage thyroïde. Cartilage Cricoïde. Cartilage Trachéal. S ouvre à la déglutition et à l expiration
MUSCULEUSE OESOPHAGIENNE : 1/3 supérieur : Musculeuse striée longitudinale (Paroi) + S.S.O 1/3 moyen : Musculeuse striée externe longitudinale + circulaire lisse interne 1/3 inférieur : Musculeuse circulaire
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailTroubles de la déglutition supraœsophagienne
Troubles de la déglutition supraœsophagienne Ph. POUDEROUX (Nîmes) Tirés à part : Philippe Pouderoux, Service d Hépato-Gastroentérologie et Alcoologie, Centre Hospitalier et Universitaire de Nîmes, Hôpital
Plus en détail1 Les symptômes et signes courants en gastro-entérologie
1 Les symptômes et signes courants en gastro-entérologie C. Dubé Sections rédigées par : R.F. Bursey, M.C. Champion, J.M. Fardy, S. Grégoire, D.G. MacIntosh, D.G. Patel, A. Rostom, N. Saloojee, L.J. Scully,
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailRappel physiologique et explorations fonctionnelles œsophagiennes. Frank Zerbib
1 Rappel physiologique et explorations fonctionnelles œsophagiennes Frank Zerbib Service d Hépato-gastroentérologie Hôpital Saint-André - Bordeaux Correspondance : Pr. Frank Zerbib Service d Hépatogastroentérologie
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détaille bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor
le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailPATHOLOGIE DE L ŒSOPHAGE AFFECTIONS GASTRO-DUODENALES
PATHOLOGIE DE L ŒSOPHAGE ET AFFECTIONS GASTRO-DUODENALES 1 LE REFLUX GASTRO-ŒSOPHAGIEN (RGO) DE L ADULTE Louis Buscail, Jacques Frexinos, Gilles Fourtanier 1) Définition : On désigne sous le terme de RGO,
Plus en détailpar Mary Nelson, B.Sc. Pharm, R.Ph.
Formation continue c o intechnipharm fc un p r o g r a m m e n at i o n a l d e f o r m at i o n c o n t i n u e destiné aux assistants techniques en pharmacie 1 ufc gratuite obtenez instantanément vos
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailTout sur la toux! La toux est une des principales causes de. La classification de la toux. Les caractéristiques de la toux selon son étiologie
Tout sur la toux! Mise àj our Louis-Philippe Boulet, MD, FRCPC, FCCP La classification de la toux La toux est une des principales causes de morbidité et un des plus fréquents motifs de consultation médicale.
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailBrûlures d estomac. Mieux les comprendre pour mieux les soulager
Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Définition et causes Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Vous arrive-t-il de ressentir une douleur à l estomac
Plus en détailLa toux chronique de l adulte, démarche diagnostique
La toux chronique de l adulte, démarche diagnostique LES RECOMMANDATIONS Des recommandations ont été formulées à l instigation de la Société Française Oto-Rhino- Laryngologie et de la Chirurgie de la Face
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailRégimes pathologies de l œsophage
Régimes pathologies de l œsophage I) Le reflux gastro-oesophagien (RGO) Définition On appelle RGO la remontée anormale et répétée du contenu gastrique dans l œsophage en dehors des efforts de vomissements
Plus en détailINFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE
INFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE Votre médecin vous a prescrit une coloscopie. Afin que vous soyez parfaitement informé(e) sur l examen, ses indications, sa préparation indispensable, etc., nous
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailLettre circulaire aux Gastro-Entérologues
Pôle Santé Prévention Régulation R.P.S. CL/EF Troyes, le 4 décembre 2008. Lettre circulaire aux Gastro-Entérologues PRISE EN CHARGE DE L EXPLORATION INTESTINALE PAR VIDEOCAPSULE INGEREE Docteur, La décision
Plus en détailTHESE Pour l obtention du Doctorat en Sciences Médicales Spécialité : Pédiatrie
République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche scientifique UNIVERSITE D ORAN FACULTE DE MEDECINE DEPARTEMENT DE MEDECINE THESE Pour l obtention
Plus en détailPLAN DE THESE INTRODUCTION OBJECTIFS. RAPPEL DE PHYSIOPATHOLOGIE MATERIEL ET METHODE D'ETUDE
PLAN DE THESE INTRODUCTION.... 6 OBJECTIFS.... 8 RAPPEL DE PHYSIOPATHOLOGIE.... 10 MATERIEL ET METHODE D'ETUDE :... 15 A-Matériel d étude... 16 B-Méthode d étude... 16 1.Recueil des données... 16 2.Technique
Plus en détailItem 288 : Troubles des phanères : Onyxis
Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Collège National des Enseignants de Dermatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières OBJECTIFS... 2 I Atteinte matricielle avec modification
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailTraitement chirurgical du reflux gastro-œsophagien et de la hernie hiatale
Relecture scientifique Société française Relecture juridique Médecins experts Relecture déontologique Médecins Conseil national de l ordre des médecins (CNOM) Relecture des patients Confédération interassociative
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailLE REFLUX ACIDE ET LE RGO
LE REFLUX ACIDE ET LE RGO PATHOLOGIQUE : Une réalité troublante au Canada FAIT 1 SUR LE RGO PATHOLOGIQUE VOIR PAGE 8 Société canadienne sur la recherche intestinale En moyenne, les patients atteints de
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailTraitements chirurgicaux des maladies fonctionnelles œsogastriques
mise au point Traitements chirurgicaux des maladies fonctionnelles œsogastriques Rev Med Suisse 2015 ; 11 : 1351-6 M. Winiker A. Schoepfer N. Demartines P. Allemann Drs Michael Winiker et Pierre Allemann
Plus en détailLANCEMENT DE IPRAALOX, 20 mg Pantoprazole
COMMUNIQUE DE PRESSE LANCEMENT DE IPRAALOX, 20 mg Pantoprazole Paris, le 7 Mars 2012 Sanofi annonce la mise à disposition dans les officines de Ipraalox 20 mg, à base de pantoprazole, une nouvelle marque
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailLes formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.
1 FM4 PAGE 1/4 Les formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.747 si : L âge de l emprunteur est < 50 ans & le capital assuré*
Plus en détailLes troubles de la déglutition postintubation et trachéotomie Swallowing disorders following endotracheal intubation and tracheostomy
Réanimation 13 (2004) 417 430 www.elsevier.com/locate/reaurg Mise au point Les troubles de la déglutition postintubation et trachéotomie Swallowing disorders following endotracheal intubation and tracheostomy
Plus en détailGuide du médecin traitant. L invalidité. dans le Régime de rentes du Québec. Édition 2015
Guide du médecin traitant L invalidité dans le Régime de rentes du Québec Édition 2015 Remerciements Ce guide a été réalisé par la Direction des communications de la Régie des rentes du Québec avec la
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailLA PRISE EN CHARGE DES TROUBLES DE LA DEGLUTITION EN EHPAD
UNIVERSITE RENE DESCARTES PARIS V FACULTE COCHIN PORT ROYAL LA PRISE EN CHARGE DES TROUBLES DE LA DEGLUTITION EN EHPAD Etude descriptive des pratiques professionnelles de Médecins Coordonnateurs dans 27
Plus en détailManifestations extradigestives du reflux gastro-œsophagien chez l adulte
monographie Manifestations extradigestives du reflux gastro-œsophagien chez l adulte Philippe Ducrotté * Le reflux gastro-œsophagien se manifeste avant tout par des symptômes digestifs (pyrosis et/ou régurgitations
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailBIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie
Vous avez appris qu une anomalie a été détectée lors de votre mammographie. Afin d investiguer cette anomalie, le radiologue a pris la décision d effectuer une biopsie par aspiration sous stéréotaxie.
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailD.I.U. Coeliochirurgie HERNIES HIATALES
D.I.U. Coeliochirurgie HERNIES HIATALES I. DEFINITIONS Les hernies du diaphragme Les hernies du diaphragme sont liées à l'irruption des viscères abdominaux dans le thorax par un orifice diaphragmatique
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailBiométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -
Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure
Plus en détailProlapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002
Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale
Plus en détailMédecine ostéopathique. L oesophage et l estomac. Luc Peeters & Grégoire Lason
Médecine ostéopathique L oesophage et l estomac Luc Peeters & Grégoire Lason L oesophage et l estomac Luc Peeters & Grégoire Lason Copyright par Osteo 2000 sprl 2015. Aucun élément de cette édition ne
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailVille : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année
Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau
Plus en détail