ETAT DES LIEUX DE LA PRODUCTION ET DE LA CONSOMMATION TUNISIENNE EN VIANDES ROUGES
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- Hélène Julien
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2 SOMMAIRE 1-Etat des lieux de la production et de la consommation tunisienne en viandes rouges 2-Recommandations 3-Programmes de collaboration et de développement avec le partenaire étranger 2
3 ETAT DES LIEUX DE LA PRODUCTION ET DE LA CONSOMMATION TUNISIENNE EN VIANDES ROUGES 3
4 Chiffres Clés La valeur totale des produits d élevage: 857M La composante élevage représente 37% du PIB agricole La valeur des viandes rouges représente 16% de la valeur de la production agricole totale et 42% de la valeur totale des produits d élevage (1 er rang), 4
5 Cheptels Evolution des effectifs bovins, ovins et caprins (toutes catégories) ( ) bovins ovins caprins Unité: Mille Tête Source: GIVLait,2011 5
6 Les races bovines Répartition des races pures Holstein Brune des Alpes Tarentaise Montbéliarde 4% 1% 1% Effectif du cheptel bovin (unité femelle de 2011 à 2013) race pure race locale/croisée total 94%
7 CATEGORIES DE JEUNES BOVINS Taurillons IMP: 11% Taurillons Pure: 39% Taurillons Pure : 50% 7
8 Le secteur "viande bovine" s'approvisionne à 50% à partir du cheptel laitier et à 50% à partir du cheptel local/local croisé avec : -Un prix élevé des veaux laitiers maigres et une faible productivité (rendement carcasse/viande) -Une faible performance 8
9 Eleveurs: éleveurs ovins éleveurs bovins éleveurs caprins Petits éleveurs (en moy : 5 vaches/éleveur) 9
10 Production de viande rouge Evolution de la production des viandes rouges en Tunisie ( ) VB VO VC AV Unité: Mille Tonne 6,8 9,8 7,5 7,6 7,2 7,2 9,4 9,2 9,3 9, ,5 51,6 55,8 54,1 54,
11 Ratio de Transformation* des bovins abattus (2009/2011) , ,46 ratio de transformation ,4 0 0,2 0,4 0,6 Source: (GIVLait, 2011) Un ratio très faible qui refléte la qualité d'engraissement médiocre *Ratio de transformation= Produtions/Effectifs abattus 11
12 Evolution des importations de taurillons maigres destinés à l'engraissement ( ) URUGUAY France IRLAND Source : GIVLait, DGPA,
13 La consommation La consommation annuelle de viande rouge par habitant 11 kg/habitant /an (5VO+4VB+2AV) (Tunisie) 28kg/habitant /an (France) (classé 8éme en EU: Institut Fance Agrimer 2009) 13
14 Production des viandes de volailles en Tunisie de 2007 à 2010 (Production en Tonnes) Année Poulet de Chair Dinde de Chair Autres Viandes (Réforme et traditionnel) TOTAL Source: GIPAC 14
15 Une faible consommation de viande rouge due : À l'augmentation des prix de vente des viandes rouges (+20% entre 2012 et 2013) qui est due : -Une faible performance -Un coût de production très élevé -À l'absence de critères de classification (découpe,catégorisation) -À l'existence d'un phénomène de la contrebande du bétail vers les pays voisins. Au développement du secteur viande blanche qui représente en % du marché des viandes ( T) avec des prix de vente plus abordables. À une érosion du pouvoir d'achat. 15
16 Les structures d'appui OEP GIVLAIT ODESYPANO PA GDA Le rôle des structures d appui devrait permettre le développement, l organisation et la mise à niveau de la filière. 16
17 Mesures incitatives au niveau de la production Financement des projets: prime d investissement de7 à 25 %, Promotion de la production des viandes rouges par: *Le croisement d'absorption : le croisement des races locales/locale croisées avec les races mixtes rustiques: (Tarentaise, Brune des Alpes ), ( vaches /an ) améliorer la productivité et fournir une production viande de 970 T *Le croisement industriel: Le croisement des races laitières (avant la réforme) avec les races bouchères ( femelles/an). Augmenter la production viande (1600 T) *L encouragement à l engraissement par l octroi de prime sur les poids carcasses (0.7 /kg carcasse): un barème selon la race (bouchère ou mixte) *l'importation des veaux maigres destinés à l'engraissement Renforcement du contrôle sanitaire et assainissement des élevage vis-àvis des MRLC 17
18 FILIERE Zones de production Eleveurs Bouchers Consommateurs Maquignons Chevillards Intermédiaires Marchés aux bestiaux Abattoirs Zones de consommation Eleveurs Intermédiaires Maquignons Marchés aux bestiaux Bouchers Consommateurs Chevillards Abattoirs Unité de transformation Hôtelleries Collectivités publiques Restaurations Grandes surfaces Bouchers.. 18
19 Les structures de production : éleveurs NAISSEUR IMPORTATEUR Relation directe ou via des intermédiaires NAISSEUR ENGRAISSEUR ENGRAISSEUR Manque d'encadrement technique et absence de structuration professionnelle sauf quelques exceptions depuis 2005 avec la création des GDA. 19
20 Les GDA: Groupements de Développement Agricole Structures qui devraient avoir pour but le développement des races et l'appui technique aux éleveurs: GDA Tarentaise, GDA Sicilo sarde, GDA Noire de Thibar Mais faible développement Manque de moyens. Manque de soutien(administration, législation ). Manque de vision stratégique des pouvoirs publics. Absence de tradition de"travailler ensemble". 20
21 Les circuits de distribution Produit fini Acheteurs ruraux / Agents des grossistes Marchés aux bestiaux :148 Abattoirs : 202 Abattoirs Clandestins Grossiste/ GMS/ Bouchers 21
22 FAIBLESSES Manque d'organisation des circuits de distribution (manque de transparence, manque de réglementation). Absence de véritables abattoirs «tueries». Absence de systéme de classification et de catégorisation des viandes. Désorganisation des marchés aux bestiaux. Désorganisation du transport des viandes. 22
23 Multitude d intervenants au niveau des marchés. Désorganisation de la profession des chevillards et des maquignons (pas de carte professionnelle, pas de patente et absence d un régime fiscal approprié à leur activité). Non Application de la loi de l'élevage Une expérience pilote du GERT (Groupement des Eleveurs de la Race Tarentaise) "La démarche qualité de viande rouge d'origine tarentaise" 23
24 LA DEMARCHE QUALITE DE VIANDE ROUGE D'ORIGINE TARENTAISE 24
25 Origine de projet : APIA, GIVLAIT et Banque mondiale Appuyé par le BCTI et les experts de l Institut de l Elevage et financé par l AFD. Etude de faisabilité GIVRLAIT APIA Banque Mondiale UCEAR IDELE/ Coopérative des Eleveurs Savoyards GERT 25
26 Objectifs : Créer un lien entre éleveurs et distributeur Créer une filière viande rouge de qualité Apporter la plus value aux petits éleveurs Garantir l'écoulement des produits finis et la traçabilité. Garantir la qualité (Encadrement technique des producteurs) Les acquis: Un référentiel de procédures 26
27 Deux marques collectives déposées à l'innorpi Adhésion de nombreux éleveurs à la démarche et regroupemment des petits producteurs Encadrement et suivi technique des petits éleveurs. Collaboration avec Monoprix comme partenaire et distributeur de la viande tarentaise sous marque. 27
28 Les Défis Renforcer le partenariat public privé Renforcer et fidéliser l'appareil de production Assurer la durabilité 28
29 Les Recommandations 29
30 Encouragement de la production de veaux à partir du cheptel local et croisé -Développer le croisement avec des races amélioratrices, rustiques (Tarentaise, Brune des Alpes ) -Encourager les zones défavorisées pour la production des veaux croisés destinés à l'engraissement = élaborer un système contractuel entre les zones d approvisionnement et celles d engraissement. -Attribuer une aide aux naisseurs-engraisseurs, en la liant à une contractualisation avec l aval -Soutenir la production à travers des structures professionnelles existantes via l'encadrement et la formation continue des cadres -Veiller à l'intégration des filières (alimentation du bétailengraissement) -Encourager les projets de développement des productions fourragères -Assurer le transfert du savoir faire et de la technicité 30
31 Importation des taurillons maigres destinés à l engraissement -Améliorer le cahier des charges afin qu'il réponde aux exigences du marché mondial(poids, race ). -Gérer au mieux le quota d'importation pour permettre la conversion vers l élevage allaitant des éleveurs laitiers des zones défavorisées. Organisation technique et commerciale du secteur de la viande bovine -La profession doit jouer un rôle catalytique dans le développement de la filière à travers une production contractuelle entre les engraisseurs, la société «Ellouhoum» et les abattoirs privés. -Promouvoir des unités industrielles d abattoirs modernes dans les grandes agglomérations 31
32 Instauration d un marché officiel pour une meilleure valorisation des femelles de réforme -Instaurer une réglementation et un marché officiel pour la vache de réforme afin que le consommateur retrouve l avantage de son prix. Classification des carcasses et paiement de la viande bovine selon la qualité -Développer un système de commercialisation adapté aux besoins d une production intensive d animaux engraissés et aux exigences d un consommateur qui veut acheter une viande bovine selon son «goût» ou son «budget». -Classification des carcasses avec un élargissement de l éventail des prix entre les catégories extrêmes. 32
33 3 PROGRAMMES DE COLLABORATION AVEC LE PARTENAIRE ETRANGER 33
34 Programmes de collaboration avec le partenaire étarnger Une solide collaboration devrait veiller à la mise à niveau et au renforcement de la filière: Production: -Appui à la structuration des GDA -Appui aux techniques d'engraissement Distribution et transformation: -Appui à la mise à niveau des marchés aux bestiaux, des abattoirs. -Formation des bouchers. 34
35 Dr.Karim DAOUD "Vice président de SYNAGRI" "Président du GERT" daoudk1@gmail.com Mobile : Merci Pour votre Attention 35
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