L agriculture au carrefour d intérêts multiples
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- Zoé Boivin
- il y a 7 ans
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1 L agriculture au carrefour d intérêts multiples 2013 Chambre d Agriculture de Loire-Atlantique
2 L agriculture contribue à l économie départementale Par les richesses qu elle crée : 1,3 milliard d euros de chiffres d affaires Par la valeur ajoutée qu elle dégage : 500 millions d euros de valeur ajoutée sur les 30 milliards du département en 2005 (Insee) Sa place modeste (1.7 % (1) des 30 milliards de valeur ajoutée départementale, contre 2.3 % au niveau national et 3.7 % en Pays de la Loire)signifie surtout que la Loire-Atlantique est un département urbain 2 (1) avec pêche et sylviculture)
3 L agriculture départementale est pourtant performante Chiffre d affaires 11ème département agricole en France, 3ème dans les Pays de la Loire. Valeur ajoutée 3ème des grands départements agricoles de France pour le nombre d actifs par million d de chiffres d affaires : 12,9 (loin derrière la Gironde : 19.1, tout près du Maine et Loire : 13.5 ) Les productions départementales apportent de la valeur ajoutée 3
4 Une agriculture insérée dans l économie départementale En amont, un secteur d approvisionnement et d équipements (des industriels et de nombreux artisans) En aval, une industrie agroalimentaire moderne Des activités au service de toutes ces entreprises (transports, commerce, comptabilité, recherche ) Des activités de service aux acteurs (conseil, formation, restauration) Quelques repères en Loire-Atlantique : - agriculture : emplois - industrie alimentaire (code naf 10) : doublement de la valeur ajoutée - inscriptions MSA : travailleurs en 2008 (11 % des actifs) 4 Caractéristiques de ces entreprises : - diversité de taille, de statut, de métiers, - attachement au territoire - facteurs de résilience pour l économie et l emploi
5 L agriculture de Loire-Atlantique : c est aussi des emplois Selon l Insee : actifs en 2008 affectés à la production agricole. Selon la MSA : chefs d exploitation et 711 actifs familiaux (9 705 actifs agricoles non salariés) salariés ETP (équivalent temps plein), employés dans des structures de production salariés ETP en annexe (centres équestres, sylviculture, ) 5 L ensemble représente autour de 4 % des actifs du département. L emploi agricole se caractérise par la diversité des statuts, mais aussi par la diversité des métiers, des compétences et des qualifications demandées.
6 Un territoire, une agriculture, des villes et des routes 66 % de la surface départementale sont occupés, valorisés et entretenus par des activités agricoles (8.3% sont boisés et 26 % sont urbanisés ) Pour le citadin : c est une surface résiduelle à conserver : Nature à conserver Paysage à préserver Biodiversité à entretenir Pour l agriculteur : c est un facteur de production à gérer Outil à conserver Exploitabilité à maintenir Fond à mettre en valeur 6 Quelques particularités de la Loire-Atlantique - Un département d accueil (néo-citadins et néo-ruraux) avec des besoins d espace pour l habitat et les infrastructures - Un vaste territoire périurbain (grandes villes), qui s étend - Un territoire côtier (la loi littoral s applique) - Des territoires fragiles voués à l élevage (Natura 2000) - Une ressource en eau à protéger (périmètres de captage)
7 7 L agriculture de Loire-Atlantique
8 L agriculture au service des populations 8 L agriculture produit Des biens alimentaires Pour l expédition en grandes filières Pour les habitants voisins (vente directe) Des services Entretien des paysages Épandage des boues Vente au détail (sur les marchés, à la ferme, ) Accueil à la ferme (de la randonnée à l hébergement complet) Maintien de la biodiversité Demain l agriculture produira de l énergie? Électricité éolienne et photovoltaïque, Biomasse,méthanisation,bois énergie.etc
9 L agriculture, c est aussi l image et l identité du département Par la mise en valeur particulière des territoires, dessinant les paysages contrastés des régions agricoles : vignoble, marais salants, prés marais, bocage nantais, Par les produits phares : muscadet, mâche nantaise, sel de Guérande, Par les modes de production : élevage à l herbe, label rouge, lait viande et légumes biologiques, viande bovine «marque parc», Par les modes de commercialisation : Amap, points de vente collectifs, marchés à la ferme 9
10 Tour d horizon de nos principales productions et de nos filières [
11 L agriculture de Loire-Atlantique : Une agriculture diversifiée Répartition du chiffre d affaires (1,04milliard d en 2011 hors aides ) Productions animales 70,2 % Productions végétales 29,8 % Réal. Chambre d'agriculture 44
12 La production laitière Eléments Clés 294 Millions d ; 28 % du C.A. agricole avec points de collecte, près de 4000 exploitants; peu de salariés Bonne répartition sur le territoire, avec des systèmes variés, liés au sol et des Des exploitations de plus en plus grandes ( l en moyenne) Gros investissements récents (mise aux normes, modernisation, agrandissements Des éleveurs compétents et très entourés 12 Enjeux Gérer la sortie du régime des quotas ( et réguler les prix) Améliorer la compétitivité du bassin de production
13 La production de viande bovine 13 Eléments Clés CA 2011 : 164 Millions d ; 2ème rang départemental Production diffuse sur tout le département, pratiquée par 4000 éleveurs, C est LA production liée au territoire; indispensable pour valoriser l herbe (54 % de la SAU départementale) et LA production des zones fragiles, Depuis 2010, le nombre de VA diminue et l engraissement davantage encore, et tend à migrer vers les élevages laitiers, Les exploitations restent majoritairement individuelles, Les résultats économiques faibles et il existe des difficultés de reprise et d installation (montant des capitaux), La hausse des prix compense tout juste le recul des abattages (C.A stable à la production) Des éleveurs de plus en plus professionnels malgré tout.
14 La filière viande bovine Enjeux Soutenir la consommation qui a tendance à baisser (coûts, image) et investir pour adapter les produits. Maintenir la production régionale, particulièrement les activités d engraissement, en assurant un retour de valeur ajoutée aux éleveurs. Améliorer l organisation de la collecte pour mieux gérer les outils de transformation (regroupement de l offre). 14
15 Les productions avicoles Eléments Clés CA 2011 : 149 Millions d, toutes productions regroupées. Environ 700 exploitants ont un poulailler (ou une lapinière). En volailles de chair, la production est gérée par un opérateur et l éleveur est rémunéré selon un contrat. Depuis plusieurs années, peu d installations et peu de créations nouvelles. On a fermé des poulaillers et diminué la concentration Les groupes volaillers contrôlent la filière de la mise en production jusqu à la distribution. Les grands groupes français sont désormais ligériens: Gastronome et LDC et font le pari du marché intérieur et de la qualité. Enjeux Regagner des parts de marché avec des produits de qualité et une offre diversifiée. Faire bénéficier les éleveurs des gains de productivité de la filière Renouveler les actifs en élevage par l installation et par la construction de nouveaux poulaillers pour moderniser le parc. 15
16 La production porcine Eléments Clés CA 2011 : 57 Millions d. Avec truies, porcs vendus par an et 270 élevages, la Loire- Atlantique est un petit département porcin dans le bassin du grand ouest. Les élevages pratiquent une production liée au sol pour l épandage, et de plus en plus aussi pour l alimentation. Enjeux Améliorer la compétitivité du bassin grand ouest, par rapport aux concurrents européens : Poursuivre les investissements dans la transformation (adapter les produits à la demande) Moderniser les outils d abattage Gagner encore en productivité dans les élevages Maintenir la production et sa répartition territoriale Améliorer l acceptabilité des élevages dans leur environnement 16
17 Les grandes cultures Eléments Clés CA 2011 : 89 Millions d (y compris autoconsommation). Sans être un département céréalier, ha de grandes cultures en 2012, (avec maïs-grain, sans maïs fourrage) souvent autoconsommées. Potentiel de développement limité, y compris pour les oléagineux. Enjeux Améliorer la rentabilité des cultures céréalières pratiquées Conserver une filière aliments du bétail efficace, complémentaire de la fabrication à la ferme Évaluer notre potentiel de production d énergie à partir de la biomasse 17
18 Les productions maraîchères 18 Eléments Clés CA 2011 : 129 Millions d (maraîchage, horticulture, pépinières); sous-estimé et minoré par la crise Productions maraîchères de légumes frais très dominantes et un peu de légumes industries pour les conserveurs bretons (D aucy) en début de campagne (100 polyculteurs) Produits phares du plein air : mâche (5 500 ha/an), poireaux (600 ha) et les radis (500 ha), Les cultures sous serres chauffées (130 ha) se répartissent entre tomates et concombres. Le muguet fait du département le leader de la région en productions florales. L ensemble des exploitations en cultures spécialisées du département (410) ont employé en 2009 plus de
19 La viticulture nantaise Eléments Clés CA 2011 : 59 Millions d ha de vignes mais pas plus de 700 exploitations vraiment viticoles (500 à titre principal) ha en vins d appellation, dont l essentiel en AOC Muscadet. Un vignoble sensible au gel (demi récoltes en 2008 et 2012) 19 Longue tradition de vinification en caves particulières, de ventes directes (40 % de la production de muscadet), et de vente au négoce pour l expédition Enjeux
20 Les grands enjeux actuels pour l agriculture de Loire-Atlantique 1- structuration des grandes filières 2- maintien d activités d élevage rentables 3- exploitation du potentiel de la vente directe 4-place de l agriculture biologique 5- valorisation du potentiel énergétique. 20
21 Les grands enjeux actuels pour l agriculture de Loire-Atlantique 1- structuration des grandes filières Pourquoi? - L ouverture au monde des marchés agricoles amène des nouveaux courants d échanges, mais aussi une plus grande volatilité des prix, déstabilisant les filières. - La Politique agricole commune ne protège plus les acteurs économiques de ces variations des prix, et les agriculteurs subissent en dernier ressort tous les à-coups - Les législations (Pac et lois nationales) ont renforcé le pouvoir d organisation des producteurs en reconnaissant le rôle des OP, des AOP et des interprofessions, et en encourageant la contractualisation 21 Situation - Les acteurs des grandes filières se regroupent (concentration de l aval) - Les producteurs sont invités à constituer des structures pour se mettre en capacité de dialoguer avec l aval sur les bases minimales d un contrat d apport. - Dans la filière laitière, la fin des quotas en 2015, fixe une échéance incontournable pour un dialogue difficile avec les industriels.
22 Les grands enjeux actuels pour l agriculture de Loire-Atlantique 2- maintien d activités d élevage rentables Pourquoi? - Le potentiel agricole du département est surtout fourrager, voire herbager : c est l élevage qui en assure la meilleure valorisation économique. - L élevage apporte l essentiel de la valeur ajoutée agricole du département et assure le plus fort taux de maintien d actifs en zones rurales - des structures économiques d amont et d aval, des organismes d appui et de services (conseil, formation, recherche, ), des compétences et savoir-faire de producteurs, sont pour beaucoup consacrés exclusivement à l élevage - Dans un environnement déstabilisé, les éleveurs sont fragilisés par l importance des besoins en capitaux et la longueur des cycles de production. 22 Situation - La rentabilité des productions d élevage est mise à mal, alors que les cultures atteignent des prix historiquement élevés. - Les investissements reculent et le renouvellement des capacités de production n est plus assuré, principalement dans les productions de viande. - Les difficultés atteignent maintenant les grands acteurs de l ouest dans ces filières.
23 Les grands enjeux actuels pour l agriculture de Loire-Atlantique 3- vente directe Pourquoi? - C est une tradition des zones urbanisées du département. - Une demande nouvelle émane des citadins : les produits locaux. - Des outils nouveaux deviennent accessibles aux producteurs pour transformer, vendre, approvisionner, sécuriser.. - C est aussi un moyen de communication pour l agriculture. 23 Situation - Un développement en Loire-Atlantique, surtout en vins, en viande bovine, en volailles fermières, en produits laitiers - 18 % des exploitations l ont pratiquée officiellement. - Apparition et progression rapide de nouvelles formes de vente (AMAP, points de vente collectifs, marchés à la ferme, e-commerce, ) et pénétration de la RHF. - Apparition de systèmes d exploitation avec vente directe au cœur de l organisation. - Développement de circuits courts à l initiative aussi de la distribution
24 Les grands enjeux actuels pour l agriculture de Loire-Atlantique 4- L agriculture biologique Pourquoi? - Il y a un marché pour les produits biologiques. - C est une manière de s inscrire en développement durable. - Les conditions de Loire-Atlantique s y prêtent bien. - Les encouragements financiers sont incitatifs. Situation - Avec ha,et près de 600 exploitations. - la Loire-Atlantique : 1 département bio. - 10,3 % de la SAU : les objectifs nationaux du Grenelle dépassés. - 1 département en lait bio (116 millions de litres chez plus de 200 livreurs). développement lié à la demande des consommateurs (volumes et prix) 24
25 Les grands enjeux actuels pour l agriculture de Loire-Atlantique 5- L énergie Pourquoi? - La problématique de ce début de siècle est double : rareté des ressources fossiles et lutte contre le réchauffement climatique). - Elle Impose un double objectif : faire des économies et développer les énergies renouvelables : un atout pour le milieu rural. Situation - Les agriculteurs participent aux économies d énergie, les ER peuvent les rendre autonomes. - La vocation d élevage du département impose des bâtiments. Il y a des synergies (photovoltaïque, méthanisation..). - La production de bois est une tradition du bocage. Le potentiel a besoin d être mieux exploité et peut être développé en synergie (agroforesterie). - La biomasse à valoriser localement est importante, et peut intégrer les déchets verts Déjà des réalisations significatives, et encore un vaste champ d investigation. 25
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