ETUDE DESCRIPTIVE DE LA PRISE EN CHARGE DES PATIENTS DIABETIQUES DE TYPE 2 NON EQUILIBRES SOUS INSULINES ANALOGUES LENTES
|
|
- Mathieu Généreux
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 16 ème Congrès national de la Société Algérienne de Diabétologie (SADIAB) ETUDE DESCRIPTIVE DE LA PRISE EN CHARGE DES PATIENTS DIABETIQUES DE TYPE 2 NON EQUILIBRES SOUS INSULINES ANALOGUES LENTES Vendredi 21 novembre 2014 Etude menée par les laboratoires SANOFI 1
2 DIABETE TYPE 2 : Problématique actuelle 1) Prévalence progression sans cesse croissante 2) Morbi-mortalité 3) Population affectée de plus en plus jeune 4) Traitement Imparfait Partiel Approximatif Objectifs en quête d amélioration Évaluation de nos pratiques insuffisante
3 EDTUDE DT2/ METHODES Etude observationnelle longitudinale Patients suivis en ambulatoire pendant 12 mois Critères d inclusion : - 18 ans - Traitement par un analogue insulinique lent depuis au moins 6 mois ± ADO ± insulines rapides - HbA1c 7% - Consentement éclaire écrit Critères d exclusion - grossesse - Allaitement - Hospitalisation - Participation / Autre étude
4 OBJECTIFS Principal Proportion de patients avec HbA1c 7% au terme de l étude. Secondaires Proposition de patients avec HbA1C 7% corrélation avec GAJ Pourcentage patients sans modifications de traitement avec HbA1C 7% Pourcentage de médecins / titration insuline lente selon les recommandations Pourcentage de médecins / escalade thérapeutique Fx (ADA-EASD)
5 OBJECTIFS Secondaires(suite) Identifier les raisons de la non implémentation de la titration optimale Estimer le taux de l autocontrôle Estimer le pourcentage de patients ayant fait des épisodes d hypoglycémies symptomatiques identifier les raisons de changement de l insuline Prise en charge du patient selon la spécialité Prise en charge du patient selon le secteur d activité (public ou privé)
6 ÉTUDE DT2 Echantillonnage Patients Po Estimé ~ 50% (1 Patient / 2 Garderait une HbA1c 7 % au terme du suivi) 4Po qo n 2 i 1111 EFFECTIF FIXE = 1500 patients 930 / S Publique 610 / S Privé Praticiens Ge 53 Int 24 Diab 2Ge 42 Int 17 Diab
7 PROTOCOLE DE SUIVI Paramètres Inclusion 3 Mois 6 Mois 9 Mois 12Mois Date + Caractéristiques Investigateur + Données Démographiques / Anthropométriques du Patient + Histoire du Diabète + Traitement + Schéma Insulinique + Glycémie A jeun Hba1C Observance du Jeun Hospitalisations liées aux complications liées du diabète 6 mois avant Inclusion Traitement par les ADO Changement ou Non Insulinothérapie : Titration Modifications / Motifs Nouvelles complications du diabète + + Hospitalisation 3 dernières mois. + + Ajustement par le patient des doses d insuline + + Fin de l étude de (normale ou pas) + Arrêt prématuré (raisons) +
8 ETUDE DT2 Résultats CARACTERISTIQUES DEMOGRAPHIQUES Hommes 510 ( 33%) Femmes 1017 (67% ) Age moyen 60,22 10,20 ans ( 58,3% 60 ans ( ans) 2% 40 ans ) Poids 76,11 13,07 KGS (36 140)
9 CARACTERESTIQUES ANTHROPOMETRIQUES IMC = 28,70 5,03 Kgs /m 2 23% 349 9% 13 2% (43,3%) 22,3% 339 Inc Normal Surpoids Obésité Modéré Obésité Sévère Obésité Morbide 34% sont Obèses T Taille H 97,50 11,51 (> 102 Cms 29,3% F 102,61 11,94 (> 88Cms 77%)
10 RESULTATS NIVEAU SOCIO-ECONOMIQUE Faible 11% Moyen 62% 73% Satisfaisant 26,9% Couverture sociale 96,6 % (Patients < 40 ans n = 31 2%)
11 RÉSULTATS (38%) 578 (33,5%) 511 Niveau d Instruction (21,6%) (6,3%) 90 Illettrés Primaire Secondaire Univesitaire (0,7%) 11 Elevé
12 DIABETE A L INCLUSION Ancienneté 13,16 6,75 ans ( 0-48 ans) Antécédents 70 % familiaux / diabète Glycémie à jeun : - Dernière 1,73 0,67 g/l (1246) - Nombre / 12 mois: 3,32 2,84 - Précédent inclusion m = (0-50) 75% au moins 4 GAJ /an 12% aucune GAJ (1an) Glycémie post prandiales : 2,27 0,71g /l (1000)
13 DIABETE A L INCLUSION HbA1c : 7% tous (1527) (7,0% 17,8% m = 9,24% 1,54 % Auto Surveillance : 1346 (88,1%) Possèdent un glucomètre GAJ 86,6% Dernière m = 1,57 0,52 g/l GPP 65,7% Dernière m = 2,27 0,71 g/l
14 COMPLICATIONS Nombre de patients avec des complications chroniques du diabète identifiées avant la visite d inclusion. Un même patient peut présenter plusieurs types de complications.
15 AUTRES FACTEURS DE RISQUE CARDIO-VASCULAIRE 1. HTA - Rapportée 1065 ( 70% ) - Seuils : PAS / PAD 140 et ou) > 90 (32%) PAS 130 /80 (71%) - Niveaux moyens : PAS (mm hg) : 130,81 17,60 (80 200) PAD (mm hg) : 74,89 9,73 (40 110) - PAS d HTA connue : (48%) > 130/80 à l inclusion
16 AUTRES FACTEURS DE RISQUE CARDIO-VASCULAIRE 2. Dyslipidémie 780 (51%) traitée (93,8%) Statine (82,7%) Fibrate (17,9%) g/l Chol LDLc HDL TRTG 1,74 0,51 1,06 0,47 0,46 0,20 1,40 0,79 Sous Traitement
17 TRAITEMENT DE l HTA Distribution des différentes classes d antihypertenseurs parmi les patients qui se savent déjà hypertendus au moment de l inclusion dans l étude. Un même patient peut prendre des médicaments de plusieurs classes thérapeutiques.
18 TRAITEMENT A L INCLUSION Insuline Analogue lent tous 6 mois Glargine 71,3 % (1089) Detemir 28,5 % (435) Duree ( 6 mois 10 ans)- 2,23 1,31 ans Doses m = 26,4 11,8 UI Glargine : 0,35 0,15 / kg Detemir : 0,34 0,17/ kg Modalités : 1 inj 97,4% (1488) 2 inj 1,6 % ( 24) NP 1% Coucher 62 % (972) Diner 30% (473) Petit déjeuner 8 % (100) Association insuline rapide ,4 % 1 seule injection 97,6 % Dose : 39,85 20,18 ( 8-90 )
19 TRAITEMENT A L INCLUSION Anti Diabétiques Oraux 1299 ( 85,1%) - Biguanides 87,7 % - Sulfonylurees 52,9 % - Glinides 12 % - Inhibiteurs alpha glucosidases 8,4 % Intensification (575) - Monothérapie 45 % - Bithérapie 51 % %
20 AJUSTEMENT THERAPEUTIQUE (67,8) (67,2%) (63,3) (65,6) Attitude des médecins relative aux modalités d adaptation du traitement par antidiabétique oraux (ADO) et par l insuline lente
21 CAUSES DE NON TITRATION - Atteinte de l objectif métabolique, avec HbA1c < 7% et/ou glycémie à jeun normale (mais normalisation de la seule glycémie à jeun peut en elle même conduire à l'absence de titration) - Crainte des hypoglycémies. - Patient indiscipliné ne respectant pas les consignes les règles hygiéno-diététiques et thérapeutiques (en particulier non observance du traitement) - Absence d autocontrôle (certains ne possédant pas de glucomètre) - Refus du patient - Patient illettré et/ou problèmes sociaux - Patient ayant une pathologie associée. - Prise de poids Récapitulatif des causes de non titration de l insuline analogue humaine avancées au cours des différentes visites.
22 CHANGEMENT D ANALOGUE LENT Justification du changement d analogue lent à chacune des différentes visites de suivi HD= hygiéno-diététiques
23 Evolution de l équilibre glycémique Evolution des paramètres de contrôle de l équilibre glycémique de la visite d inclusion à la visite finale du 12 ème mois GAJ= Glycémie à jeun, GPP= Glycémie poste prandiale
24 Posologies d insuline analogue lente et d insuline rapide (ajustements ou instauration d un nouveau traitement). Une dose journalière d insuline lente égale à 0 indique le remplacement d une insuline par une autre (14 cas).
25 DIABETE ET RAMADAN 753 (49,3%) observent le jeun Durée : 2 30 j Au moins 29 j / 719 cas (95%) Peu de modifications traitement Plupart même schéma thérapeutique? «loin de l équilibre pour éviter le risque hypoglycémique»
26 DIABETE ET HOSPITALISATION 44 (2,9%) / 6 derniers mois a, à 30 j m = 11,23 6,11 j Causes : cétoses + /complication cardio-vasculaire AVC / Pied diabétique
27 DISCUSSION Patients diabétiques Population a haut risque cardio-vasculaire 34% obeses (10% OB Sévère) Association HTA 51 % Faible niveau d instruction : Problème d éducabilité / d adaptation aux recommandations
28 DISCUSSION Initiation de l insuline n a pas atteint ses objectifs En de ça de l estimation visée (50%) Canada (53%) / 1 an BRAGA M.F international journal of clinical practice 2012 Faiblesse et complexité de la progression des objectifs au cours du suivi 53% 57 % ( étude canadienne ) 12 % 18 % dans notre étude Recommandations difficiles à appliquer dans la vraie vie - Etude Européenne - Etude Brésilienne (HbA1C, 7,2 1,6% vs 7,3 1,5% VIANALV : Are diabetes management guidelines applicable in real life? Diabetology and metabolique syndrome 2012
29 % objectifs non atteints HbA1c 7% INTENSIFICATION DU TRAITEMENT ET CONTRÔLE GLYCÉMIQUE : OBJECTIFS PLUS DIFFICILES A ATTEINDRE The Panorama Pan-Europen Survey : glycaemic control and treatment patterns in patients with type 2 diabetes. P. de Pablos-velasco and al. EASD Patients 8 Pays ,9% 24% 38,5% 46,5% 63,8% m = 36,7% n= MHD 556 1ADO ADO ADO 389 Injection ADO ,9 33,3% 26,6% 7,6% 21,6%
30 INTERNATIONAL DIABETES MANAGEMENT PRACTICES STUDY(IDMPS) PROPORTION DE PATIENTS ATTEIGNANT L OBJECTIF DE L HbA1c < 7% EN FONCTION DU TYPE DE DIABETE ET TYPE DE TRAITEMENT % HbA1c> 7 HbA1c<7 DT1 DT2 tous DT2 ADO Seuls DT2 Insuline Seule DT2 ADO + Insuline TOTAL DT1 DT2 HbA1c> ,3 76,3 58,4 HbA1c< ,7 23,7 41,6
31 There is no change over time in the clinical targets regarding glycemic control, blood pressure and dyslipidemia Patients achieving targets (%) International Diabetes Management Practice Study (IDMPS) HbA 1c <7%* HbA 1c <7%* and BP <130/80 mmhg and LDL-C <100 mg/dl Algérie ,4% 31,8% % 3,6% 6.7% 4,6% 0 Wave 2*, 2006 Wave 5, 2012 *Only includes patients who had a HbA 1c test (36% of the overall population) Despite an increase of HbA1c testing from 1 per year to 2 over same *Chan JC, et al. Diabetes Care 2009;32: period
32 N = 798 DT = 3,8% 2 = 3,3% 3 = 5,1% 4 = 87,8% Moins de ¼ des patients atteignent et maintiennent un niveau d HbA1c dans les objectifs.
33 DISCUSSION Raisons de non atteinte des objectifs Absence de concomitance d une bonne titration de l insuline : - Niveau de GAJ restent 1,50 g/l - Doses moyennes d insuline 26 U /j Soit 0,35U 0,15 UI / kg 0,50 U/kg - Population affectée 77,3% ( surpoids ou obèses) - Risque d hypoglycémie ( «frein classique») Inertie praticien Mauvaise observance patient Education thérapeutique : Le déterminant essentiel à réhabiliter?
34 DISCUSSION Qualification des objectifs? Non atteinte des objectifs Autres Raisons - Population étudiée / plus âgée 2% 40 ans - Comorbidité associée - Changement de traitement / titration / intensification significatives ( P=0,001) chez le généralistes vs diabétologue / interniste. Patients avec moins de complications? Qualification des objectifs? Expérience française et recommandations HAS 74 % dans les objectifs
35 DIABETE DE TYPE 2 QUALIFIER LES OBJECTIFS THERAPEUTIQUES SFD(2014) E.LARGER et cool Recommandation de l HAS Objectifs F(âge-risques) cible 6,5% 9% Evaluation de 6680 patients ans (20% 75 ans) diabète : 8,2 7,8ans 19 % (insuffisance rénale) 56 % antécédents cardio-vasculaires Seule 4 % éligibles pour cible 6,5% 35 % HbA1C 7% 43 % 8% 18 % 9 % 74 % atteignent la cible, d autant plus qu elle était haute
36 DISCUSSION Rôle du patient / système de soins Peu adhérant Des raisons spécifiques vs pays développés peur de l insuline? Résistance psychologique Relais / et circuits de prise en charge Précarité / difficultés socio-économiques Insuffisances des soins de qualités Manque d évaluation Problème d éducation thérapeutique
37 ESSAIS CLINIQUES EXPERTS RECOMMANDATIONS MISE EN ŒUVRE Patient Vraie vie Médecin - Souhaits Décision clinique - Faits - Emotions G. REACH. Inertie clinique / Différence de logique?
38
39 CONCLUSION La mise en pratique d une prise en charge du diabétique plus efficace, intégrée et globale ne se limite pas seulement au problème de moyens ou d outils à notre disposition, mais doit s accompagner de l essentiel : l éducation thérapeutique dans ses fondements et ses applications bien structurés et adaptés aux cas par cas C est le chemin d un projet de vie de la vie
40
41 Merci 41
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2. Docteur R.POTIER
ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2 Docteur R.POTIER DEFINITION DU DIABETE soit : Syndrome polyuro-polydipsique + amaigrissement + 1 glycémie > 2g/L 2 glycémies à jeun > 1,26g/l 1 glycémie
Plus en détailUn diabète de type 2. Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec. Atelier animé par :
Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec Un diabète de type 2 Atelier animé par : Pr Martine Duclos CHU Montpied, Clermont-ferrand Dr Julien Aucouturier UFR STAPS, Lille Séminaire interactif
Plus en détailéquilibre glycémique du diabétique insuliné
La télésurveillance t des maladies chroniques à domicile Aide à la décision en diabétologie Docteur Pierre FONTAINE Service de diabétologie, CHRU de Lillle Faculté de médecine, m Université de Lille 2
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailDiabète:généralités DEFINITION DIABETE DE TYPE 1
DEFINITION Diabète:généralités Recommandations OMS: -glycémie à jeun normale:
Plus en détailLe traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir?
Le traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir? Le diabète de type 2 est une maladie chronique et progressive dont l incidence va en augmentant. Il n existe pas de traitement
Plus en détailTHÉRAPEUTIQUES. Détémir et glargine : analogues lents de l'insuline
Deux analogues lents de l'insuline ont été successivement mis sur le marché : la glargine (Lantus ) en 2003 et la détémir (Levemir ) en 2005. Qu'apportent ces nouvelles insulines pour la prise en charge
Plus en détailDiabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question
Diabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question Eugène Sobngwi, MD, PhD Service d Endocrinologie d Diabétologie Hôpital Saint-Louis, Paris 10 / INSERM U 671 Le diabète sucré en
Plus en détailPREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
Plus en détailINSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE
Synthèse personnelle INSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE De nos jours, le diabète inuslinodépendant ne connaît aucun traitement pouvant éviter l injection d insuline. L insulinothérapie fonctionnelle est une
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailLe jeune diabétique à l école
Le jeune diabétique à l école Défis et Solutions Prof. Marc Maes Equipe de diabétologie pédiatrique Centre de convention Cliniques Universitaires St Luc 1200 Bruxelles Marc.Maes@uclouvain.be Le jeune diabétique
Plus en détailALD 8 DIABÈTE DE TYPE 2
ALD 8 DIABÈTE DE TYPE 2 GUIDE MÉDECIN -1- SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 GUIDE MEDECIN ALD 8 - DIABETE DE TYPE 2... 4 I. BILAN INITIAL... 4 I.1. Objectifs...4 I.2. Professionnels impliqués...4 I.3. Rappel
Plus en détailDiabète et hypoglycémies
Diabète et hypoglycémies Docteur Karim LACHGAR Chef de service de diabétologie endocrinologie Hôpital Simone Veil Eaubonne Montmorency Karim.lachgar@ch-simoneveil.fr 15 e journée des associations du Val
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailRecommandations sur le traitement du diabète de type 2
RECOMMANDATIONS Forum Med Suisse 2009;9(3):50 55 50 Recommandations sur le traitement du diabète de type 2 Déclaration de consensus de la Société Suisse d Endocrinologie-Diabétologie Commentaire d experts
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailEvaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI
Evaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI La pression artérielle normale n existe plus. L hypertension artérielle n existe plus. On soigne un risque cardiovasculaire. Plus celui-ci est élevé
Plus en détailL influence du sport sur le traitement du diabète de type 1
L influence du sport sur le traitement du diabète de type 1 Contenu 1. Bénéfice du sport pour patients avec diabète de type 1 2. Aspects physiologiques du sport en rapport avec la glycémie en général 3.
Plus en détailRecommandations SFC/ALFEDIAM sur la prise en charge du patient diabétique vu par le cardiologue
RECOMMANDATIONS SFC/ALFEDIAM Recommandations SFC/ALFEDIAM sur la prise en charge du patient diabétique vu par le cardiologue Recommandations, argumentaire, références B. Charbonnel, B. Bouhanick, C. Le
Plus en détailEvaluation des pratiques professionnelles. Diabète et travail
Evaluation des pratiques professionnelles Diabète et travail 1 Cas clinique Homme de 35 ans, diabète de type 1 diagnostiqué à l age de 18 ans. En 1990, il est cariste, pontier en cabine, travaille en 3X8.
Plus en détailActivité physique et diabète de type 2
Activité physique et diabète de type 2 D après le référentiel de la Société francophone du diabète : Duclos M et al, Médecine des maladies Métaboliques. 2011; 6 : 80-96 Forum Santé Vertolaye Le 10/10/2013
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailAmélioration du traitement du diabète par les nouvelles générations d insuline.
Amélioration du traitement du diabète par les nouvelles générations d insuline. Pr David L. Russell-Jones, MBBS, BSc, MD, FRCP WebMD Global, LLC Ce document est uniquement informatif. La lecture de ce
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailDécret n 2010-1229 du 19 octobre
Télémédecine et diabète : le plan d éducation personnalisé électronique para médical (epep) Lydie Canipel Colloque TIC Santé 2011, 8 et 9 février 2011, Paris Décret n 2010-1229 du 19 octobre 2010 relatif
Plus en détailLe diabète en France L épidémie silencieuse du XXI ème siècle. Optimiser la prise en charge du diabète afin de limiter son expansion et son coût
Le diabète en France L épidémie silencieuse du XXI ème siècle Optimiser la prise en charge du diabète afin de limiter son expansion et son coût Le diabète est une véritable épidémie. Cette maladie chronique
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailLe diabète en pédiatrie
Le diabète en pédiatrie Dre Isabelle Bouchard Pédiatre Clinique de diabète pédiatrique du CHUL Janvier 2012 Objectifs 1) Connaître les différences physiopathologiques entre le diabète type 1 et type 2
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailLe diabète de type 2 ou diabète non insulinodépendant
Le diabète de type 2 ou diabète non insulinodépendant (DNID) (223b) Professeur Serge HALIMI Avril 2003 (Mise à jour Février 2005) Pré-requis : Physiologie de la régulation de la glycémie Actions de l insuline
Plus en détailCENTRE DU DIABETE CLINIQUE SAINT-JEAN. Centre de traitement multidisciplinaire pour personnes diabétiques
CLINIQUE SAINT-JEAN Centre de traitement multidisciplinaire pour personnes diabétiques 1 Madame, Mademoiselle, Monsieur, Bienvenue au Centre du Diabète de la. Nous sommes un centre de traitement multidisciplinaire
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailGuide de prise en charge du diabete de type 2 pour l afrique sub-saharienne. Fédération Internationale du Diabète Region Afrique
Guide de prise en charge du diabete de type 2 pour l afrique sub-saharienne Fédération Internationale du Diabète Region Afrique i TABLE DES MATIERES REMERCIEMENTS... 1 1. AVANT-PROPOS... 2 2. PREFACE...
Plus en détailUN ENNEMI DU CŒUR ET DES ARTÈRES
DIABÈTE UN ENNEMI DU CŒUR ET DES ARTÈRES La Fédération Française de Cardiologie finance : prévention, recherche, réadaptation et gestes qui sauvent grâce à la générosité de ses donateurs UN ENNEMI DU CŒUR
Plus en détailLogiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Plus en détailDr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08
Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailDiabète Instable: Comment le comprendre et l Améliorer?
Qu est-ce qu un Diabète Instable? Absence de définition consensuelle établie. Diabète Instable: Comment le Comprendre et l Améliorer? Professeur Eric Renard Département d Endocrinologie, Diabète, Nutrition
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailAc#vité Physique et Diabète
Ac#vité Physique et Diabète DIAPASON 36 MSA Châteauroux 2012 Dr Thierry KELLER 27 & 28 septembre 2012 Quels Constats? L inac#vité TUE!! "30% Mortalité totale 9% Risque Cardio-Vasculaire (coronaropathie)
Plus en détailEvaluation de la prise en charge du diabète
Inspection générale des affaires sociales RM2012-033P Evaluation de la prise en charge du diabète TOME I RAPPORT Établi par Annick MOREL D r Gilles LECOQ Danièle JOURDAIN-MENNINGER Membres de l Inspection
Plus en détailBILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite
BILAN projet DIABSAT 2010-2011 Diabétologie par Satellite 1 OBJECTIFS Développer et évaluer 3 services de télémédecine assistés par satellite Volet 1 : Education à la nutrition et promotion de l activité
Plus en détailTitre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID. Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues.
Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues. Date de présentation : 2014 Lieu : Roubaix. Mis à disponibilité sur le site
Plus en détailGUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Diabète de type 2
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 2 Juillet 2007 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication 2, avenue du Stade-de-France F 93218
Plus en détailntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques
Résultats de l étude ntred 2007 EÉCHANTILLON NATIONAL TÉMOIN REPRÉSENTATIF DES PERSONNES DIABÉTIQUES Le diabète est une maladie chronique de plus en plus fréquente, qui touche en France plus de 2 millions
Plus en détailRentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne
Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne L alimentation : partie intégrante de la prise en charge de l enfant et de l adolescent diabétique base du traitement avec l insulinothérapie et l activité
Plus en détailLa gestion des hypoglycémies au cours du sport : insuline ou diététique?
La gestion des hypoglycémies au cours du sport : insuline ou diététique? Confrontations d Endocrinologie-Diabétologie Les Vaux de Cernay L Fouquet, S. Franc 25 Mars 2010 1 Observation n 2, Mme. S 42 ans,
Plus en détailLES FACTEURS DE RISQUE
LES FACTEURS DE RISQUE C EST QUOI UN FACTEUR DE RISQUE? C est une caractéristique lié à une personne, à son environnement à sa culture, à son mode de vie qui entraine pour elle une probabilité plus importante
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailFREESTY interstitiel. Demandeur. Les modèles. 6 ans) dont. g pluriquotidienne. du glucose. Service Attendu (SA) : glycémique. glucose.
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DEE SANTE AVIS DE LA CNEDiMTS 03 décembre 2013 CONCLUSIONS FREESTY YLE NAVIGATOR II, système de mesure enn continu interstitiel
Plus en détailRECOMMANDATION PROFESSIONNELLE TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2. (Actualisation) Recommandation de Bonne Pratique RECOMMANDATIONS
TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (ACTUALISATION) : RECOMMANDATIONS RECOMMANDATION PROFESSIONNELLE TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Actualisation) Recommandation de Bonne Pratique
Plus en détailJ aimerais garder les hypoglycémies sous contrôle - Que puis-je faire?
Simon Equilibré grâce à sa pompe depuis 2004 J aimerais garder les hypoglycémies sous contrôle - Que puis-je faire? L hypoglycémie peut être l une des préoccupations majeures des diabétiques de type 1,
Plus en détailAvis 1 er octobre 2014
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 1 er octobre 2014 Le projet d avis adopté par la Commission de la Transparence le 23 avril 2014 a fait l objet d une audition le 1 er octobre 2014. INSUMAN IMPLANTABLE
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailL autogestion de l insulinothérapie basale plus 1
L autogestion de l insulinothérapie basale plus 1 Le traitement combiné insuline basale et hypoglycémiants oraux est un traitement éprouvé et efficace pour amorcer en douceur l insulinothérapie. Il est
Plus en détailDiabète au quotidien. ABC LifeScan, collection «Mon quotidien»
Diabète au quotidien ABC LifeScan, collection «Mon quotidien» Définition Le diabète est une maladie complexe, souvent difficile à gérer au quotidien mais que vous pouvez contrôler. En effet, c est vous
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailRAPPORT D ORIENTATION. Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées
RAPPORT D ORIENTATION Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées Avril 2011 Ce rapport d orientation est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailPROMOTION DE L ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS DIABÉTIQUES DE TYPE I
PROMOTION DE L ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS DIABÉTIQUES DE TYPE I UN PROJET DU PROGRAMME CANTONAL DIABÈTE Jérôme Spring Maître de sport APA Diabétologie pédiatrique Riviera-Chablais
Plus en détailInsulinothérapie et diabète de type 1
Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailProgramme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients
Programme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients Dr Isabelle Hagon- Traub Mme Léonie Chinet Direc:on Programme cantonal Diabète Maladies chroniques: préoccupations partagées
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailEducation Thérapeutique (ETP)
Education Thérapeutique (ETP) Enfant diabétique type I Marie Caron Infirmière puéricultrice référente en éducation thérapeutique Maryse Tamburro Cadre puéricultrice Centre initiateur de pompes à insuline
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 7 janvier 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 7 janvier 2009 ZANEXTRA 20 mg/10 mg, comprimés pelliculés B/30, code CIP : 385 967.4 B/90, code CIP : 387 392.9 Laboratoires BOUCHARA RECORDATI Enalapril/Lercanidipine
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailEn savoir plus sur le diabète
En savoir plus sur le diabète 2 Qu est-ce que le diabète? Le diabète se caractérise par un excès de sucre dans le sang, on appelle cela l hyperglycémie. Le diabète est une maladie chronique qui survient
Plus en détailLe VIH et votre apparence physique
Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude
Plus en détailDIABÈTe De TYPe 1 Petit guide pour les parents et les enfants.
DIABÈTe De TYPe 1 Petit guide pour les parents et les enfants. Guide pour comprendre et aborder sereinement l apparition du diabète de type 1. Sommaire Le contrôle glycémique 04 Qu est-ce que le taux d
Plus en détailGestion de l insuline iv. : version pour les Soins continus de médecine
CENTRE HOSPALIER UNIVERSAIRE VAUDOIS - 1011 Lausanne Service de médecine Centre des Maladies Cardio-vasculaires et métaboliques Service d endocrinologie, diabétologie et métabolisme Gestion de l insuline
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
878 RECOMMANDATION DE BONNE PRATIQUE Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Recommandations pour la pratique clinique ARGUMENTAIRE Septembre 2011 1 Les recommandations
Plus en détailActivité physique Les bénéfices pour mon diabète
Activité physique Les bénéfices pour mon diabète www.afd.asso.fr Fédération Française EPMM Sports pour Tous Activité physique, pourquoi? Bien que l activité physique régulière fasse partie intégrante de
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailAPRÈS L'ACCIDENT CORONAIRE
APRÈS L'ACCIDENT CORONAIRE CE QUE JE DOIS FAIRE POUR PRÉVENIR LA RÉCIDIVE! Informations et conseils pour une bonne réadaptation La fédération française de cardiologie finance : prévention, recherche, réadaptation
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailObésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition
Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailProtocole de suivi systématisé en collaboration interprofessionnelle pour les patients à risque de maladies cardiovasculaires en première ligne
Chercheure responsable Lyne Lalonde, B.Pharm., Ph.D. Cliniciens responsables Alain Turcotte, M.D. Gilles Lalonde, M.D. Chercheures Céline Bareil, M.Ps., Ph.D. Fabie Duhamel, inf., Ph.D. Johanne Goudreau,
Plus en détailGUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs
GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Artériopathie oblitérante des membres inférieurs Mars 2007 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service communication 2 avenue
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailDIABÈTE DE TYPE 1. Physiopathologie Carence absolue en insuline par destruction AI des ilôts β pancréatiques
DIABÈTE DE TYPE 1 Physiopathologie Carence absolue en insuline par destruction AI des ilôts β pancréatiques Définition bio 2x GAJ > 7 mm = > 1,26 g/l 2x Gly > 2 g/l à tout moment 1x Gly > 2 g/l à tout
Plus en détailPour la prévention des maladies cardiovasculaires dans le diabète, le taux d'hba1c cible recommandé est <7,0% (<53 mmol / mol).
Discussion par le Dr Boustani : les nouvelles recommandations européennes sur la prévention nous invitent à une révolution intellectuelle dans l identification des patients à risques. La majorité des cardiologues,
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailRôles de l infirmière dans une maison du diabète: un point de vue personnel.
Rôles de l infirmière dans une maison du diabète: un point de vue personnel. Motivation initiale: Besoin de rencontre avec d autres personnes atteintes du diabète (Nostalgie des activités organisées par
Plus en détail