ATLAS BAS-NORMAND LA FORMATION ET DE L EMPLOI FORMATION PROFESSIONNELLE

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1 FORMATION PROFESSIONNELLE Région Basse-Normandie Abbaye-aux-Dames - Place Reine Mathilde - BP CAEN Cedex Tél. : Fax : Site Internet : Préfecture de la Région Basse-Normandie Rue Daniel Huet CAEN Cedex Tél. : Fax : Site Internet : ATLAS Rectorat de l Académie de Caen 168, rue Caponière - BP CAEN Cedex Tél. : Fax : Site Internet : BAS-NORMAND LA FORMATION ET DE L EMPLOI Direction régionale du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle de Basse-Normandie Direction Régionale du Travail, de l Emploi et de la Formation Professionnelle de Basse-Normandie 3, Place Saint-Clair - BP HEROUVILLE-SAINT-CLAIR Cedex Tél. : Fax : Site Internet : INSEE 93-95, rue de Geôle CAEN Cedex 4 Tél. : Fax : Site Internet : - Crédit photos : Bruno Panchèvre. DE Ce document a été réalisé avec l appui technique de l Espace Régional de Ressources sur l Emploi, la Formation et les Métiers (ERREFOM) Direction régionale du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle de Basse-Normandie

2 Atlas bas-normand de la formation et de l emploi Cherbourg Bayeux Coutances St-Lô Caen Lisieux Granville Avranches Vire Flers Argentan L Aigle Alençon Mortagne

3 SOMMAIRE 1 ère Partie : Basse-Normandie Démographie Le départ des jeunes en Basse-Normandie p. 6 Le vieillissement en Basse-Normandie p. 8 Emploi Spécificités et disparités territoriales p. 11 Formation initiale Diagnostic régional de l offre de formation initiale... p. 17 Formation professionnelle continue Descriptif des dispositifs de la formation continue en faveur des demandeurs d emploi p ème Partie : Fiches d identité des bassins d emplois bas-normands Bassin d emploi de Caen p. 35 Démographie p. 36 Emploi p. 37 Formation initiale p. 40 Formation professionnelle continue p. 44 Bassin d emploi de Bayeux p. 47 Démographie p. 48 Emploi p. 49 Formation initiale p. 51 Formation professionnelle continue p. 55 Bassin d emploi de Lisieux p. 57 Démographie p. 58 Emploi p. 59 Formation initiale p. 61 Formation professionnelle continue p. 65 Bassin d emploi de Vire p. 67 Démographie p. 68 Emploi p. 69 Formation initiale p. 71 Formation professionnelle continue p. 75 Bassin d emploi de Cherbourgp. 77 Démographie p. 78 Emploi p. 79 Formation initiale p. 81 Formation professionnelle continue p. 86 Bassin d emploi de Saint-Lô p. 89 Démographie p. 90 Emploi p. 91 Formation initiale p. 93 Formation professionnelle continue p. 97 Bassin d emploi d Avranches p. 99 Démographie p. 100 Emploi p. 101 Formation initiale p. 103 Formation professionnelle continue p. 107 Bassin d emploi de Granville p. 109 Démographie p. 110 Emploi p. 111 Formation initiale p. 113 Formation professionnelle continue p Atlas bas-normand de la formation et de l emploi

4 Bassin d emploi de Coutancesp. 119 Démographie p. 120 Emploi p. 121 Formation initiale p. 123 Formation professionnelle continue p. 127 Bassin d emploi de Flers p. 131 Démographie p. 132 Emploi p. 133 Formation initiale p. 135 Formation professionnelle continue p. 139 Bassin d emploi d Alençon p. 143 Démographie p. 144 Emploi p. 145 Formation initiale p. 147 Formation professionnelle continue p. 152 Bassin d emploi d Argentan p. 155 Démographie p. 156 Emploi p. 157 Formation initiale p. 159 Formation professionnelle continue p. 163 Bassin d emploi de L Aigle p. 165 Démographie p. 166 Emploi p. 167 Formation initiale p. 169 Formation professionnelle continue p. 173 Bassin d emploi de Mortagne p. 175 Démographie p. 176 Emploi p. 177 Formation initiale p. 179 Formation professionnelle continue p. 183 Annexes : Définitions de certains indicateurs, précisions méthodologiques, champ et nomenclatures Annexe 1 : Démographie - INSEE p. 187 Annexe 2 : Emploi - DRTEFP p. 188 Annexe 3 : Formation initiale - Rectorat p. 189 à 190 Atlas bas-normand de la formation et de l emploi 3

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6 PREMIÈRE PARTIE Basse-Normandie

7 Basse-Normandie DÉMOGRAPHIE Le départ des jeunes en Basse-Normandie Avertissement : Les éléments sur les migrations présentés ici ne portent que sur la population des ménages de 5 ans et plus qui résidait en France métropolitaine entre 1999 et La population des ménages correspond à la population qui habite dans un logement ordinaire. Sont donc exclues les personnes qui résident dans des communautés (foyers, maisons de retraite, etc.). L a croissance démographique de la Basse-Normandie s accélère entre 1999 et Si elle repose toujours essentiellement sur l excédent naturel, un léger excédent migratoire apparent joue maintenant en sa faveur. Les migrations par âge en Basse-Normandie entre 1999 et entre 5 et 19 ans Entrants entre 20 et 29 ans entre 30 et 39 ans Sortants entre 40 et 59 ans 60 ans ou plus Solde migratoire Source : Insee, Enquête annuelle du recensement 2004 Par contre, la Basse-Normandie rentre un peu dans le rang pour les départs, puisqu une région française sur quatre enregistre un taux de départ de jeunes plus important. Ce fort déficit migratoire résulte moins d une offre de formation dont l attractivité pourrait être renforcée que d une difficulté à trouver un emploi en fin d études. En 2002, un millier de jeunes bas-normands ont notamment quitté la région pour suivre des filières tertiaires courtes, des formations supérieures spécialisées (gestion, commerce, médico-social ) et des DEUG en sciences humaines et sociales (voir encadré ci-dessous). Pour autant, les jeunes quittent surtout la région pour trouver leur emploi à la fin de leurs études. En effet, si la Basse- Normandie forme de nombreux étudiants, elle ne parvient pas à les conserver à la fin de leur scolarité par manque de postes correspondant aux formations supérieures suivies. Ainsi, sur la décennie quatre-vingt-dix, plus de mille jeunes diplômés du supérieur ont quitté chaque année la région sans être remplacés, soit la moitié du déficit migratoire des jeunes. Cette faiblesse de l emploi destiné aux diplômés du supérieur explique aussi sans nul doute la faible attractivité de la région pour les jeunes résidant ailleurs. Pour autant, ce potentiel limité d emplois qualifiés n est pas le signe d une carence du marché du travail régional. Les emplois destinés aux diplômés du supérieur (tertiaire supérieur, sièges sociaux ) sont largement localisés dans les grandes agglomérations, et notamment sont situés en Ile-de-France. Il Solde migratoire des jeunes de 20 à 29 ans, rapporté à la population, entre 1999 et 2004 pour et par an Les jeunes quittent la région. Les caractéristiques de ces déménagements restent les mêmes qu au cours des années quatre-vingt-dix. Comme auparavant, les jeunes âgés entre 20 et 29 ans sont toujours plus nombreux à quitter la région (32 400) qu à venir s y installer (19 600). De fait la région enregistre entre 1999 et 2004 un déficit de jeunes de ces âges. Il est proportionnellement le plus élevé des régions françaises, après celui de la Bourgogne. Une fuite des jeunes, mais aussi un manque d attractivité. Défaut d attractivité et difficulté à maintenir les jeunes sur son territoire sont donc bien deux facteurs qui se cumulent pour expliquer cet important déficit de jeunes pour la Basse- Normandie. La région apparaît extrêmement peu attractive pour les jeunes qui résident ailleurs, leurs arrivées étant très modestes. Seule la voisine Haute-Normandie fait moins bien. de 80 à 160 de 0 à 80 de -80 à 0 de -160 à 80 Source : INSEE - Enquête annuelle du recensement 2004 Geofla - IGN-INSEE Atlas bas-normand de la formation et de l emploi

8 DÉMOGRAPHIE n est donc pas étonnant d assister à des départs de jeunes diplômés vers les grandes métropoles nationales pour obtenir leur premier emploi. La région subit ici le contrecoup d un réseau urbain peu dense, et comptant des villes de taille modeste comparées aux métropoles qui structurent la France. Les villes bas-normandes s en sortent même plutôt bien puisqu elles offrent plus d emplois «supérieurs» que leurs homologues françaises de même taille. Les départs sont plus ou moins marqués selon les bassins. En dehors du bassin de Caen, tous les territoires bas-normands ont connu un déficit migratoire de leurs jeunes au cours des années quatre-vingt-dix. Cependant l impact de ces migrations sur les populations jeunes locales est variable : - dans les bassins de Vire, Argentan, Flers et l Aigle, les déficits migratoires sont importants comparativement au nombre de jeunes qui y résident. Ces territoires couvrent l Orne en bonne partie. En tête, le bassin de Vire perd 8,6% de sa population des ans entre 1990 et 1999 par le jeu des migrations ; - un autre ensemble territorial se distingue, couvrant la moitié sud de la Manche (bassin d Avranches, Granville, Saint-Lô), et comprenant aussi les bassins de Bayeux et de Mortagne. Les déficits migratoires de jeunes y représentent entre 6 et 7% de la population des ans en place ; - le bassin de Cherbourg, le plus jeune de la Basse-Normandie, mais aussi les bassins d Alençon, Lisieux et Coutances, présentent un impact plus réduit des départs sur la population locale des jeunes, inférieur à 6% ; - enfin le bassin de Caen, le seul attractif pour les jeunes basnormands, montre un excédent migratoire des ans qui représente plus de 3% de sa jeune population. Les bacheliers sont deux fois plus nombreux à quitter la région qu à la rejoindre pour suivre leurs études. L après-bac est souvent bas-normand : 8 des bacheliers 2002 qui poursuivent leurs études en 2003 le font en Basse- Normandie. Néanmoins en 2002 les bacheliers quittant la région pour suivre leurs études sont deux fois plus nombreux (1 750) que ceux qui viennent en Basse-Normandie dans ce but (850). Seules trois filières bas-normandes tirent leur épingle du jeu dans ces migrations de bacheliers : les BTS du secteur agricole, les DUT du secteur industriel et les DEUG en sciences et technologie. Plus du tiers des bacheliers 2002 migrants entament un DEUG, principale orientation après le baccalauréat. En fait, il n y a pas plus de mobilité chez les universitaires que dans les autres formations. Ainsi pour un nombre d inscrits importants (3 600 en DEUG en 2002), on compte seulement 340 départs de plus que d arrivées en Basse-Normandie. Hors région, ce sont les formations courtes du tertiaire qui sont particulièrement recherchées. Plus de la moitié (56%) des bacheliers 2002 quittant la Basse-Normandie pour une inscription en IUT/STS le font dans le tertiaire. Le choix du lieu d études supérieures fait également perdre des étudiants à l entrée des classes préparatoires aux grandes écoles (160 sortants pour 70 entrants en CPGE). C est un déséquilibre important au vu du faible effectif ayant accès à ces études. Pour en savoir plus : Le 4 pages «10 Basse- Normandie» n 138 de janvier «Un «après-bac» souvent bas-normand». Insee, ORFS, Rectorat de Caen, Céreq. Migrations des jeunes de ans Cherbourg Bayeux Solde migratoire entre 1990 et 1999 Coutances Saint-Lô Caen Lisieux ,3 entre 0 et -6 entre -6 et -7 entre -7 et -8, Impact des migrations de jeunes sur la population Solde migratoire rapporté à la population (*100) Granville Avranches Vire Argentan Flers Alençon L'Aigle Mortagne Source : INSEE - Recensement de 1999 Geofla - IGN-INSEE 2005 Atlas bas-normand de la formation et de l emploi 7

9 Basse-Normandie DÉMOGRAPHIE Le vieillissement en Basse-Normandie Au 1 er janvier 2004, la Basse-Normandie compte 1,443 millions d habitants, soit de plus qu en Cette augmentation de 0,3 par an place la région au 13 e rang national, mais avec un rythme de croissance qui reste bien loin des régions voisines de l ouest (Bretagne, Pays-de-la-Loire) ou du sud. La dynamique démographique s est cependant accélérée. La Basse-Normandie gagne désormais près de habitants chaque année, contre entre 1990 et Cette croissance repose essentiellement sur l excédent naturel (plus de naissances que de décès) mais, fait nouveau, aussi sur un léger excédent migratoire apparent. Variation annuelle moyenne de la population entre 1999 et 2004 (en %) 0,73 0,30 0,76 0,57 0,27 0,32 0,03 0,14 0,18 0,58 0,26-0,20 0,07 0,28 0,88 0,15 0,68 onze régions. Si les seniors et plus sont plus nombreux que les jeunes de moins de 20 ans depuis longtemps dans les régions du massif central et du sud, cette situation est très récente en Bretagne. Le vieillissement va se poursuivre. Si les tendances passées se prolongent, seules les générations les plus âgées seront plus nombreuses en 2015 qu en Le nombre de personnes de 60 ans et plus augmentera ainsi de près de 27% sous l effet de : - l allongement de la durée de vie. L espérance de vie croît régulièrement. On gagne environ un an de vie toutes les quatre années, - l attractivité de la région vis-à-vis des retraités, - et surtout, le vieillissement mécanique dû à la montée en âge des générations nombreuses du baby-boom. Dans ce contexte, en 2015, 29% des bas-normands auront atteint ou dépassé 60 ans, soit 5 points de plus qu en Les jeunes de moins de 20 ans seront par contre moins nombreux : de moins qu en 2003, soit un recul de plus de 8%. Cette baisse se retrouvera pour toutes les classes d âge scolaire. Le vieillissement de la population en Basse-Normandie sera l un des plus forts de France. Tous les bassins accuseront un vieillissement de leur population. En 2015, seul le bassin de Caen comptera plus de jeunes de moins de 20 ans que de personnes de 60 ans ou plus. En 2004, la moitié des bassins étaient dans cette situation (Caen, Cherbourg, Alençon, Bayeux, Lisieux, Argentan, Saint-Lô). 0,96 1,05 1,40 0,72 Source : Geofla - IGN - Insee 2005 Source : Insee, Enquête annuelle du recensement ,88 Évolution de la part des moins de 20 ans et des 60 ans et plus dans la population 40 % 35 % 30 % Les personnes qui s installent dans la région sont un peu plus nombreuses que celles qui la quittent. Ce retournement fait suite à plus d un demi-siècle de déficit migratoire. Il accentue cependant le vieillissement de la population, la région perdant des jeunes et étant attractive pour les retraités. En janvier 2004, il y a presque autant de personnes de 60 ans ou plus que de jeunes de moins de 20 ans en Basse-Normandie. Chacun de ces groupes représente environ 24% de la population. Comme au niveau national, ces deux proportions se sont rapprochées au fil des décennies. Le croisement s est d ailleurs déjà produit dans 25 % 20 % 15 % 10 % 5 % 0 % ans et plus moins de 20 ans Source : Insee, recensements de la population (enquête du recensement en 2004) 8 Atlas bas-normand de la formation et de l emploi

10 DÉMOGRAPHIE Pyramide des âges en Basse-Normandie en 2003 et 2015 HOMMES FEMMES 100 ans 90 ans 80 ans 70 ans 60 ans 50 ans 40 ans 30 ans 20 ans 10 ans 0 ans Source : Insee, projections Omphale La géographie du vieillissement coupe la Basse-Normandie en trois territoires à l horizon 2015 : - les bassins centrés sur les plus importantes agglomérations bas-normandes (Caen, Cherbourg et Alençon) resteront les plus jeunes de la région. Les moins de 20 ans y seront plus présents qu ailleurs (au moins 22,5% de la population). Cependant seuls Caen et Cherbourg auront une part des sexagénaires inférieure à la moyenne régionale. On peut voir dans cette relative jeunesse de la population, l effet direct de l attractivité de ces bassins pour les jeunes souhaitant poursuivre des études supérieures (surtout Caen) ou de la prédominance des familles d actifs dans leur population. Attirées par le marché du travail, ces dernières arrivent avec des enfants, et dynamisent ainsi l ensemble de la démographie locale ; - l essentiel du Calvados et de l Orne, ainsi que le bassin de Saint-Lô seront dans une position intermédiaire (Bayeux, Lisieux et Argentan, L Aigle, Mortagne et Saint-Lô). La présence des personnes âgées s affirmera en 2015, en restant cependant assez proche de la moyenne régionale. Deux sous-ensembles se dégagent : Bayeux, Lisieux, Argentan et Saint-Lô : ces bassins étaient plutôt jeunes en 2004, mais compteront en 2015 plus de sexagénaires que de jeunes de moins de 20 ans. Le Perche et l Aiglon : plus âgées actuellement, les populations de ces deux bassins vont aussi vieillir, mais un peu moins rapidement que les précédents ; - le sud de la Manche et la partie ouest de l Orne (Granville, Avranches, Vire, Coutances et Flers). Ce sont les territoires qui sont et seront les plus âgés en Les sexagénaires représenteront plus de 31% des habitants en 2015, et même presque 35% à Granville. Si le littoral vieillit grâce à l attractivité exercée sur les retraités, ce vieillissement s accompagne à Granville et Coutances d un dynamisme démographique assez important du fait d une économie plutôt florissante qui attire les familles d actifs. Par contre, dans le virois, l avranchin et le flérien, la population vieillira et restera stable voire diminuera. Part des moins de 20 ans en 2015 (en %) Part des 60 ans et plus en 2015 (en %) Cherbourg Cherbourg Bayeux Bayeux Coutances Saint-Lô Caen Lisieux Coutances Saint-Lô Caen Lisieux Part des moins de 20 ans en 2015 (en %) plus de 22,5 de 21,5 à 22,5 moins de 21,5 Granville Avranches Vire Flers Argentan Alençon L Aigle Mortagne Part des 60 ans et plus en 2015 (en %) Granville Avranches Source : Insee, projections Omphale Geofla IGN - Insee 2005 Source : Insee, projections Omphale Geofla IGN - Insee 2005 Vire Flers Argentan Alençon L Aigle Mortagne Atlas bas-normand de la formation et de l emploi 9

11 Basse-Normandie DÉMOGRAPHIE Le vieillissement est le plus rapide dans les bassins qui étaient les plus jeunes en 2004, comme s ils tendaient à «rattraper» les autres territoires qui étaient déjà «plus âgés» qu eux en Les bassins actuellement plutôt jeunes s appuient en effet sur une population largement composée de familles d actifs. Parmi elles, la place des premières générations du baby-boom est souvent importante, et leurs effectifs sont nettement plus fournis que ceux des générations précédentes. Comme ces classes de l après-guerre atteindront 60 ans dès 2006 pour les premières d entre elles, le nombre de sexagénaires va augmenter d ici à 2015 de 38% à Caen, 33% à Bayeux et 3 à Lisieux notamment. Caen Bayeux Lisieux Argentan Total Alençon Cherbourg Granville St-Lô Mortagne Flers L'Aigle Coutances Avranches Vire Évolution du nombre de personnes âgées de 60 ans et plus entre 2003 et % 10 % 15 % 20 % 25 % 30 % 35 % 40 % Source : Insee, projections Omphale Évolution de la part des moins de 20 ans et des 60 ans et plus (en points) À l horizon 2015 : Effectifs scolaires et population active en baisse. Sous l hypothèse d un maintien du taux de scolarisation, le nombre de petits bas-normands devrait diminuer dans les établissements scolaires. La population des 3-10 ans devrait diminuer de plus de personnes entre 2003 et 2015 soit une baisse de 7,7%. Les effectifs de la tranche d âge des ans connaissent une évolution comparable (-8,4% soit personnes) alors que la population des ans subit une baisse beaucoup plus conséquente avec jeunes en moins (-14%) entre 2003 et Enfin, sous l hypothèse d un maintien du taux d activité, le vieillissement devrait entraîner une diminution du nombre de personnes actives. Ainsi, poursuivant sa progression jusqu en 2006, la population active basnormande devrait ensuite chuter. En 2015 elle représenterait 51,9% de la population de plus de 15 ans contre 56% en 2003, soit une diminution de plus de actifs. Et même en admettant que la prise d activité de plus en plus répandue des femmes puisse jouer sur cette évolution, elle restera insuffisante pour compenser les nombreux départs à la retraite. Nombre des actifs selon le scénario Actifs variante A+B Actifs variante B Actifs variante A Actifs tendance Évolution de la part (en points) 5 des moins de 20 ans des 60 ans et plus Rapport entre la part des 60 ans et plus et celle des moins de 20 ans en 2015 (*100) , ,6-100 Source : Insee, projections Omphale Geofla IGN - Insee 2005 Variante A : montée des taux d activité des ans pour atteindre les taux des ans à l horizon 2015 Variante B : montée des taux d activité féminins au niveau de l Ile-de-France à l horizon 2015 Source : Insee, Omphale, recensements 10 Atlas bas-normand de la formation et de l emploi

12 EMPLOI Spécificités et disparités territoriales La Basse-Normandie une région à dominante agricole et industrielle, mais où les emplois nouveaux proviennent du tertiaire. En fin 2002, la population active ayant un emploi s élevait en Basse-Normandie à personnes, en progression de 5% depuis 1990, alors que l agriculture et l industrie perdaient respectivement 37% et 1 de leurs actifs, soit au total emplois, dont pour l agriculture et pour l industrie. Le secteur de la construction ayant connu deux périodes contrastées, une première déficitaire en emplois et une seconde de reprise des créations d emplois, n a pas connu de variation notable sur l ensemble des 12 années. urbains, couronnes périurbaines, pôles d'emploi du territoire régional font généralement partie d'un espace à dominante rurale. Seul le bassin de Caen, très péri urbanisé, échappe à cette règle. Dix bassins d'emploi sur quatorze peuvent être alors considérés comme à dominante agricole modérée (4 avec 7 à 1 d'actifs dans l'agriculture) et à dominante agricole forte (6 avec plus de 1 d'actifs dans l'agriculture). Carte 1 Part de l emploi agricole dans l emploi total (% de la PAAE 2002) Cherbourg Finalement, tous les gains engrangés proviennent des activités tertiaires. Lorsque 10 emplois disparaissaient dans l agriculture ou l industrie, 19 étaient créés dans le commerce ou les services. Coutances Saint-Lô Bayeux Caen Lisieux Malgré l hémorragie des emplois agricoles et les pertes d emploi dans l industrie, la Basse-Normandie reste une région à dominantes agricole et industrielle : l agriculture, sylviculture, pêche occupe encore 7% des actifs régionaux, soit 6 de plus qu au niveau national (4,5% des actifs nationaux) ; l industrie est également plus présente en Basse-Normandie qu en moyenne nationale. 19% des emplois régionaux sont occupés, contre un peu moins de 17% au plan national. En revanche et face à ces dominants, les services y sont moins bien représentés (54% contre 59%) et notamment les services marchands aux entreprises (6,6% contre 12,5%). Conseil et assistance et services opérationnels à destination des entreprises se sont montrés, eux, moins dynamiques en Basse-Normandie qu'en France et malgré le fort développement du nettoyage industriel et de l'explosion du travail temporaire. L'ensemble de ces activités de service occupe 4,8% des actifs régionaux, soit 5 points de moins qu'au niveau national. Une dominante agricole forte ou modérée dans 10 bassins. Hormis Caen, les bassins d'emploi bas-normands occupent une population active dans l'agriculture supérieure à celle de la moyenne nationale (4,5%). La dominante agricole est donc largement répartie sur l'ensemble du territoire régional. Pôles Granville Avranches Vire Flers Part de l emploi agricole dans l'emploi total (% de la PAAE 2002) Dominante agricole forte (>1) (6) Dominante agricole modérée (7% à 1) (4) Dominante agricole faible (<7%) (4) Argentan Alençon L Aigle Mortagne Source : INSEE - Estimation de l emploi total, en fin 2002 Les six bassins d'emploi à dominante agricole forte sont : Part des actifs dans l'agriculture 1 er bassin : COUTANCES 16,8% 2 e bassin : VIRE 13,9% 3 e bassin : MORTAGNE 12,7% 4 e bassin : BAYEUX 11,5% 5 e bassin : AVRANCHES 11,2% 6 e bassin : L'AIGLE 10,9% Atlas bas-normand de la formation et de l emploi 11

13 Basse-Normandie EMPLOI Une dominante industrielle forte dans 6 bassins La dominante industrielle est aussi largement répartie sur l'ensemble du territoire régional puisque 11 bassins d'emploi bas-normands sur 14, occupent plus de 16,9% de leur population active dans l'industrie, proportion moyenne nationale. Toutefois, parmi ces onze bassins, six d'entre eux présentent une forte caractéristique industrielle. Les six bassins d'emploi à dominante industrielle forte sont : Part des actifs dans l'industrie Cherbourg Coutances Carte 2 Part de l emploi industriel dans l emploi total (% de la PAAE 2002) Saint-Lô Bayeux Caen Lisieux 1 er bassin : FLERS 30,2% 2 e bassin : MORTAGNE 29,5% 3 e bassin L'AIGLE 25,8% (ex aequo) VIRE 25,8% 5 e bassin : ARGENTAN 22,4% 6 e bassin : CHERBOURG 20,3% Ce classement ne tient évidemment pas compte du poids de chaque bassin d emploi, les établissements les plus nombreux restant localisés sur les bassins de Caen, Cherbourg et Flers. Granville Avranches Vire Flers Dominante industrielle forte (>2) (6) Dominante industrielle modérée (16% à 2) (4) Dominante industrielle faible (<16%) (4) Argentan Alençon L Aigle Mortagne Source : Estimation de l emploi total, fin 2002 Une dominante tertiaire forte dans 4 bassins Trois pôles administratifs départementaux et un bassin à fort développement touristique, concentrent une forte proportion d'actifs dans les activités tertiaires. Carte 3 Part de l emploi tertiaire dans l'emploi total (% de la PAAE 2002) Le phénomène de tertiarisation des emplois dans ces quatre bassins bas-normands est indéniable, mais il reste à relativiser tout du moins pour les deux derniers bassins puisque la proportion d'actifs occupés dans les activités tertiaires demeure en deçà de la proportion moyenne nationale (72%). Cherbourg Coutances Saint-Lô Bayeux Caen Lisieux Les quatre bassins d'emploi à dominante tertiaire forte sont : Part des actifs dans le tertiaire 1 er bassin : CAEN 75,4% 2 e bassin : ALENÇON 75,8% 3 e bassin : SAINT-LÔ 68,7% 4 e bassin : PAYS D'AUGE 68,9% Granville Avranches Vire Flers Argentan Alençon L Aigle Mortagne Dominante tertiaire forte (>68%) (4) Dominante tertiaire modérée (64% à 68%) (3) Dominante tertiaire faible (<64%) (7) Source : Estimation de l emploi total, fin Atlas bas-normand de la formation et de l emploi

14 EMPLOI Une dominante construction forte dans 3 bassins Par son dynamisme, le secteur de la construction est plutôt bien représenté en Basse-Normandie. Pour 11 bassins d'emploi régionaux, la proportion d'actifs occupés par le secteur est supérieure à la proportion moyenne nationale (6,3%). Mais trois bassins se détachent nettement. Les trois bassins d'emploi à dominante construction forte sont : Part des actifs dans la construction 1 er bassin : GRANVILLE 9,6% Carte 4 Part de l emploi de la construction dans l'emploi total (% de la PAAE 2002) Cherbourg Coutances Saint-Lô Bayeux Caen Lisieux 2 e bassin : COUTANCES 8,9% 3 e bassin : SAINT-LÔ 7,8% Viennent ensuite ceux de : 4 e bassin : ALENÇON 7,5% 5 e bassin : AVRANCHES 7,4% 6 e bassin : L'AIGLE 7,3% Granville Avranches Vire Flers Dominante forte dans la construction (>7,5%) (3) Dominante modérée dans la construction (7% à 7,5%) (3) Dominante faible dans la construction (<7%) (8) Argentan Alençon L Aigle Mortagne Source : Estimation de l emploi total, fin 2002 Six bassins affectés dans leur dynamisme par les restructurations industrielles De 2000 à 2003, le ralentissement de la croissance économique a surtout eu pour effet d'accélérer les restructurations industrielles. La régression des effectifs industriels a été généralisée à l'ensemble du territoire régional. Par son activité dans 6 bassins d'emploi, ceux-ci présentent un bilan de l'emploi salarié négatif. Cherbourg Carte 5 Dynamique de l emploi salarié de 2000 à 2003 Ce sont, dans l'ordre d importance : Évolution de l'emploi salarié de 2000 à 2003 : Coutances Saint-Lô Bayeux Caen Lisieux 1 er bassin : ARGENTAN -5,3% 2 e bassin : VIRE -4,1% 3 e bassin : BAYEUX -2,9% 4 e bassin : ALENÇON -2,5% 5 e bassin : FLERS -1,8% 6 e bassin : COUTANCES -0,2% Ces 6 bassins ont perdu entre 6% et 26% de leur effectif industriel en 3 ans. Granville Avranches Vire Croissance marquée (>+2%) (3) Croissance modérée (+ à +2%) (5) Baisse modérée (-2% à -) (2) Forte baisse (<-2%) (4) Flers Argentan Alençon L Aigle Mortagne Source : INSEE - Estimation de l emploi salarié, évolution de fin 2000 à fin 2003 Atlas bas-normand de la formation et de l emploi 13

15 Basse-Normandie EMPLOI Trois grands bassins font face aux pertes d'emplois industriels : Caen, Cherbourg et le Pays d Auge. Par leur attractivité, les 3 grands bassins d'emploi régionaux, Caen, Cherbourg et le Pays d'auge ont fait face aux pertes d'emplois industriels, pertes conséquentes pour Caen (-9%) avec la fermeture de 2 établissements MOULINEX, pertes plus diffuses pour Cherbourg (construction navale et mécanique) et Pays d'auge (construction électronique). Ces trois grands bassins ont réussi à rééquilibrer leur niveau d'emploi salarié grâce au développement des activités tertiaires. Bien qu'ayant tous les trois une croissance de l'emploi salarié modérée, le rebondissement de Caen face aux suppressions d'emplois industriels est plus remarquable (+1,3%) que ceux du Pays d'auge (+0,6%) et de Cherbourg (+0,4%). Deux bassins ornais bénéficient d'un dynamisme modéré grâce au maintien de leur potentiel industriel. Dans le contexte de ralentissement économique, depuis 2000, les bassins de l'aigle et de Mortagne ont été épargnés par les récentes restructurations industrielles. En maintenant leurs effectifs industriels sur cette période difficile, ils gardent tous les deux une croissance de l'emploi salarié modérée (+1,5%). À la fois ruraux et industriels, ces deux bassins n'en présentent pas moins des fragilités dues à la concentration des emplois dans de grandes unités devant faire face à une concurrence forte dans leurs domaines de production. Trois bassins manchois avec un dynamisme porté par le développement des activités tertiaires et touristiques. Malgré les incidences négatives de Moulinex sur St-Lô et Granville et de quelques déboires dans les activités de nouvelles technologies sur Granville et Avranches, les trois bassins présentent le bilan de l'emploi salarié le plus dynamique de la région avec une croissance de 3% de 2000 à Développement des services non marchands à Saint-Lô et des activités commerciales et de services dans le Sud Manche porté par l'essor touristique permettent à ces trois bassins manchois d'être à l'avant-garde du dynamisme de l'emploi dans un contexte de croissance ralentie. Les tensions sociales les plus aiguës : Argentan, Pays d'auge, Cherbourg et Caen. Exprimées à travers le taux de chômage, les tensions sociales sont significatives des difficultés de réponse de la dynamique de l'emploi local face à la demande d'emploi qui s'exprime sur le territoire donné. Elles peuvent refléter les difficultés économiques du territoire mais aussi l'attractivité ou le manque d'attractivité du territoire selon que le taux de chômage est fort ou faible. En d'autres termes, les trois grands bassins d'emploi bas-normands dont le taux de chômage est supérieur au taux moyen national (1) sont à la fois des territoires attractifs et des territoires confrontés à des mutations économiques, il s'agit des bassins du Pays d'auge (10,7%), de Cherbourg (10,6%) et de Caen (10,4%). Cherbourg Coutances Granville Supérieur à 1 (4) De 8% à 1 (7) Inférieur à 8% (3) Carte 6 Taux de chômage global en décembre 2004 Avranches Saint-Lô Vire Bayeux Flers Le bassin aux plus fortes tensions sociales actuelles sur la région demeure quant à lui, essentiellement confronté à des restructurations "en chaîne", c'est le bassin d'argentan dont le taux de chômage culmine à 11,5%. Ce bassin se trouve placé au paroxysme des risques qui pèsent sur la Basse-Normandie en matière de dévitalisation démographique et économique. La mise en œuvre d'un Contrat de Site doit lui permettre de reconstruire son attractivité. D'une attractivité moindre que les grands bassins du nord de la région, 6 autres bassins bas-normands ne sont pas démunis de tensions sociales. Par ailleurs, les tensions sociales s'amenuisent dans les bassins à faible attractivité qu'ils soient dynamiques comme Avranches (5,9%) et Saint-Lô (6,9%) ou confrontés à des problèmes économiques comme Vire (7,1%) et Coutances (7,7%). Caen Argentan Alençon Lisieux Dans l'ordre d'importance, ce sont les bassins de : L Aigle Mortagne Source : DRTEFP 5 e bassin : L'AIGLE 9,7% 6 e bassin : BAYEUX 9,4% 7 e bassin : ALENÇON 9% 8 e bassin : GRANVILLE 8,9% 9 e bassin : FLERS 8,1% 10 e bassin : MORTAGNE 8% 14 Atlas bas-normand de la formation et de l emploi

16 EMPLOI Le chômage des jeunes intense ou très intense sur 11 bassins sur 14 Cherbourg Coutances Granville Carte 7 Taux de chômage des jeunes en décembre 2004 Avranches Saint-Lô Vire Bayeux Supérieur ou égal à 26% (4) De 22% à 26% (7) Inférieur ou égal à 22% (3) Flers Si le taux de chômage moyen, tous publics confondus, sur la Basse-Normandie est moins élevé que le taux moyen national (9,4% contre 1), celui des jeunes de moins de 25 ans est lui, par contre, nettement plus fort (26% contre 22%) ; ce qui exprime pleinement les difficultés que rencontrent les jeunes basnormands à s'insérer dans l'économie régionale. Quatre bassins présentent un chômage de jeunes très intense, dont "le taux de chômage des jeunes" dépasse le taux moyen régional (de 26%), à savoir : 1 er bassin : CHERBOURG 3 2 e bassin : ARGENTAN 29% 3 e bassin : BAYEUX 29% 4 e bassin : CAEN 27,5% Sept bassins présentent un chômage de jeunes intense, taux égal ou supérieur au taux moyen national (22%) et inférieur au taux moyen régional (26%), il s'agit de : 5 e bassin : PAYS D'AUGE 25% 6 e bassin : FLERS 25% 7 e bassin : L'AIGLE 25% 8 e bassin : ALENÇON 24% 9 e bassin : GRANVILLE 24% 10 e bassin : COUTANCES 22% 11 e bassin : SAINT-LÔ 22% Et enfin, trois bassins seulement affichent un taux de chômage des jeunes inférieur au taux moyen national, Avranches, Mortagne et Vire, dans une fourchette de 16 à 2 ; bassins par ailleurs contraints à une forte émigration de jeunes. Caen Argentan Alençon Lisieux L Aigle Mortagne Source : DRTEFP L'insertion des jeunes reste donc un enjeu primordial, pour l'ensemble du territoire régional et pose le problème d'un niveau de formation maximisant l'accès à l'emploi. et d'un niveau moyen de formation inférieur au niveau national, quel que soit le bassin. En majorité, les jeunes demandeurs d'emploi détiennent un niveau de formation inférieur au baccalauréat tant au plan régional que national, mais la proportion de ceux-ci sur l'ensemble des jeunes demandeurs d'emploi est plus prédominante en Basse-Normandie qu'en France entière (61% contre 56%). Cette prédominance par rapport au niveau moyen national se retrouve, sans aucune exception, sur tout le territoire régional puisque la part de ces jeunes varie entre 57% (à Flers) et 72% (à L'Aigle). Carte 8 % de jeunes D.E. de niveau inférieur au niveau IV en décembre 2004 Cherbourg Coutances Granville Avranches Saint-Lô Vire Bayeux Flers Supérieur à 61% des jeunes D.E. (8) Inférieur ou égal à 61% (et supérieur à 56%) (6) La question qui se pose à l'ensemble des acteurs bas-normands : la prédominance d'un chômage de jeunes ne dépassant pas le niveau CAP-BEP ne contribue-t-il pas à l'importance du chômage des jeunes sur l'ensemble du territoire régional? Caen Argentan Alençon Lisieux L Aigle Mortagne Source : DRTEFP Sachant que toutes les enquêtes d'insertion démontrent à l'évidence que l'insertion s'accroît avec le niveau de formation, nous serions tentés de répondre par l'affirmative. Mais la réponse est plus complexe! Maximiser l'insertion et minimiser le niveau de chômage, c'est à la fois relever le niveau de formation des jeunes (pour augmenter leurs chances d'insertion) et répondre aux besoins en compétence professionnelle exprimés par les entreprises, qu'ils soient encore au niveau V pour de nombreuses professions, mais s'affirmant davantage au fil des ans vers des niveaux supérieurs. Atlas bas-normand de la formation et de l emploi 15

17 Basse-Normandie EMPLOI Un demandeur sur trois est en situation d'exclusion. Cherbourg Coutances Granville Carte 9 % des publics en exclusion dans les D.E. en décembre 2004 Avranches Saint-Lô Vire Bayeux Supérieur à 33% (3) Inférieur à 33% (11) Flers Selon les critères retenus par la politique de l'emploi, les publics demandeurs d'emploi dits en situation d'exclusion sont les suivants : plus de 2 ans d'inscription jeunes de plus d'un an d'inscription seniors (+50 ans) de plus d'un an d'inscription bénéficiaires du R.M.I. bénéficiaires de l'a.s.s. travailleurs handicapés Un comptage sans double compte de ces publics parmi l'ensemble des demandeurs d'emploi permet d'identifier l'importance de ce public dit "en exclusion". Un demandeur d'emploi sur trois se trouve en situation d'exclusion sur le marché du travail régional, proportion identique à la moyenne nationale. L'importance de l'exclusion sociale prend sa pleine dimension sur les trois grands bassins bas-normands, Caen, Pays d'auge et Cherbourg avec une proportion renforcée (35%), ce qui démontre que l'attractivité de ces bassins sur l'ensemble du territoire bas-normand est aussi génératrice d'une concentration d'une population en grande difficulté d'insertion sociale et professionnelle. Les autres bassins de la région ne sont pas épargnés pour autant, puisqu'au minimum, cette exclusion touche 1 demandeur sur 4 à Avranches. Au total, ce public compte personnes en Basse- Normandie. Caen Argentan Alençon Lisieux L Aigle Mortagne Source : DRTEFP Sept professions à tensions de recrutement sur au moins 6 bassins Les professions dites à tensions de recrutement ont été sélectionnées à partir de 2 indicateurs simples : le rapport de tension, rapport du flux d'offres d'emploi déposé à l'anpe en 2004 sur le flux des nouvelles demandes d'emploi inscrites également en Ce rapport permet d'identifier l'importance des nouvelles propositions d'emploi récentes via l'anpe face aux demandeurs qui se présentent sur le marché du travail ; le taux de demande d'emploi, taux qui rapporte le nombre de demandeurs d'emploi restant inscrits en fin 2004 aux actifs salariés et non salariés occupés dans la profession (au recensement de population 99, seule source disponible sur les professions et par bassins d'emploi). Toutes les professions ayant un rapport de tension supérieur à 1 (plus d'une offre pour un demandeur d'emploi) et dont le taux de demande d'emploi était inférieur à 1 (un niveau de chômage restreint voire très restreint dans plusieurs cas) ont été retenues. Ces professions sont généralement très plébiscitées par les acteurs locaux dans leur approche des difficultés qu'ils rencontrent sur le terrain pour trouver des solutions aux besoins exprimés par les employeurs. Sept professions se détachent nettement pour le nombre des citations dans les 14 bassins d'emploi ; il s'agit de : 3 professions du bâtiment : maçon, plombier-couvreurchauffagiste, charpentier-menuisier Les deux premières sont largement réparties sur l'ensemble du territoire régional et la 3 e sur la moitié de celui-ci ; 1 profession de la santé : celle des "infirmiers, sagesfemmes", où la pénurie persiste en l'absence de demandeurs d'emploi qualifiés positionnés sur la profession ; 1 profession industrielle : celle des ouvriers qualifiés dans la conduite des process, face à l'importance des propositions d'embauche dans une profession transversale à de nombreuses activités industrielles mais dont certaines sont très présentes en Basse-Normandie (agro-alimentaire, transformation des métiers plastiques, industrie du papiercarton ) ; 1 profession de l'alimentation : celle de boucher-charcutiertraiteur, profession artisanale mais dont les débouchés s'intensifient dans les grandes surfaces de distribution face à un nombre restreint de postulants ; 1 profession de la vente-distribution : celle des représentants auprès des particuliers avec le développement des activités commerciales depuis plusieurs années mais dont le statut et la rémunération peuvent rester aléatoires. 16 Atlas bas-normand de la formation et de l emploi

18 FORMATION INITIALE Diagnostic régional de l offre de formation initiale Le diagnostic régional de l offre de formation initiale professionnelle et technologique bas-normande met en évidence plusieurs problèmes majeurs : Une démographie scolaire en fort déclin à l horizon 2010 Une forte proportion de jeunes sortant du système éducatif sans qualification Un déficit d orientation des jeunes dans la voie générale et technologique Un taux d accès au niveau IV de formation faible Un taux d insertion professionnelle des jeunes insuffisant Un surdimensionnement de l offre de formation au niveau V Évolution des effectifs de collège par bassin d emploi entre 2000 et 2004 Cherbourg Coutances Saint-Lô Bayeux Caen Lisieux normands connaissent des évolutions de leur démographie scolaire plus ou moins contrastées. Conséquence d une démographie moins dynamique dans le premier degré, les effectifs académiques en collège ont chuté de 7% (-5326 élèves) au cours des cinq dernières années. Les fluctuations enregistrées par bassin s échelonnent de -12,4% à +3,2%. En lycée professionnel, l évolution sur la même période est de +3,3% (+543 jeunes) et varie de -13% à +18%. En lycée général et technologique (pré bac), les effectifs ont varié globalement de -2,6% (-880 jeunes) allant de -11% à +5% selon les bassins. D ici à 2010, les effectifs du second degré public et privé sous contrat devraient continuer à décroître avec des évolutions plus ou moins fortes. La baisse massive des effectifs intervenue en collège au cours des dernières années va se répercuter au niveau du second cycle général et technologique (-11%) ou professionnel (-11,2%). Un rééquilibrage s impose entre d une part des capacités d accueil dans la voie professionnelle actuellement supérieures aux besoins, et d autre part, des effectifs en très forte décrue (environ en LP à horizon 2010). L enseignement supérieur devrait connaître une réduction de ses effectifs d une ampleur moindre (-2,2% soit environ 650 jeunes). Granville Vire Flers Argentan L Aigle Variations des effectifs du 2 nd degré à l horizon 2010 (académie de Caen, public + privé) Avranches Alençon Mortagne -500 Évolution des effectifs de collège en % 3,2 (1) -5,1 à -0,7 (3) -8,8 à -5,1 (7) -12,4 à -8,8 (3) -2% -4% % % Une démographie scolaire en fort déclin à l horizon L Éducation nationale a enregistré une diminution globale des effectifs du second degré (public et privé sous contrat) à la rentrée 2004 : -1,7% contre -0,8% au niveau de la France métropolitaine (4 e plus forte baisse). Cette réduction des effectifs s applique à l ensemble des cycles : -2,4% contre -1,6% au niveau national en collège, -0,7% contre +0,8% en lycée professionnel et -0,5% contre +0,2% en lycée général et technologique, quand l ensemble du second cycle national présente un solde positif. Observés sur la période 2000 à 2004, les bassins d emploi bas- -12% Collèges % LP effectifs LGT Ens. Supérieur Source : rectorat Atlas bas-normand de la formation et de l emploi 17

19 Basse-Normandie FORMATION INITIALE Un grand nombre de jeunes quittent la formation initiale sans qualification. La réduction du nombre de sorties de l enseignement secondaire sans qualification constitue un enjeu majeur pour la Basse- Normandie. En effet, malgré les progrès de scolarisation qui ont marqué la dernière décennie, notre région est confrontée à des proportions de jeunes sortants du système éducatif sans qualification nettement supérieures à la moyenne nationale. Elle se place ainsi au 5 e rang en 2003 avec un pourcentage de sorties non qualifiées (niveaux VI et Vbis) de 8,7% contre 6,5% au niveau de la France métropolitaine. Ce pourcentage représente un effectif régional d environ 1800 jeunes. L évaluation précise, tant quantitative que qualitative, des sortants sans qualification reste encore difficile à réaliser du fait de l absence d un système d information unique permettant de suivre les trajectoires de l ensemble des jeunes bas-normands. La construction d un tel système est désormais engagée avec la constitution d une base régionale des apprentis (ARA) en mars Pour l essentiel, deux phénomènes concourent à générer ce niveau élevé des sorties non qualifiées. D une part, la proportion élevée en Basse-Normandie des élèves quittant le système éducatif (Éducation nationale public et privé) en fin de troisième. D autre part, les taux d orientation importants en section d enseignement spécialisée (SEGPA) et en troisième d insertion. En 2004, les jeunes inscrits en SEGPA représentent plus de 4% des effectifs de troisième (Éducation nationale) soit 740 jeunes contre 3,4% au niveau national. En troisième d insertion, la proportion est de 3,9% (638 jeunes) contre 2,7%. Ces populations apparaissent en effet particulièrement exposées aux abandons en cours de scolarité avant l obtention d une qualification. En 2004, environ 26% d entre eux ont quitté les collèges de l académie sans par ailleurs poursuivre leurs études par la voie de l apprentissage. D autre part, on observe également un niveau relativement important de jeunes qui interrompent leurs études en cours de cycle dans l enseignement professionnel. 15% Sorties sans qualification % 9% Basse-Normandie : 8,7% France : 6,5% 6% 3% Bordeaux Lyon Rennes Nantes Toulouse Clermont Limoges Ile de France Aix-Marseille Grenoble Strasbourg France métropolitaine Dijon Créteil Nancy-Metz Poitiers Reims Montpellier Rouen Besançon Orléans-Tours Nice Caen Lille Versailles Amiens Corse Répartition des effectifs scolarisés en classe de troisième dans les établissements publics et privés de l éducation nationale et de l agriculture en % 3 25% 2 15% 1 5% BAYEUX CAEN LISIEUX VIRE CHERBOURG COUTANCES SAINT-LO AVRANCHES GRANVILLE ALENCON ARGENTAN FLERS L'AIGLE MORTAGNE 3e insertion 3e SEGPA 3e projet Pro 3e générale 18 Atlas bas-normand de la formation et de l emploi

20 FORMATION INITIALE En 2004, près de 560 lycéens ont interrompu leurs études en cours de cycle en LP. La part des jeunes qui abandonnent leurs études avant l accès en année terminale de l enseignement professionnel (2 e année de CAP ou terminale BEP) est relativement élevée en Basse-Normandie. En 2004, ce phénomène concerne 18,4% des lycéens inscrits en première année de CAP en 2 ans contre 15,6% pour la France métropolitaine soit +2,8 points. Il s agit là de sorties «apparentes» qui sur évaluent sensiblement le niveau des sorties sans qualification puisqu un jeune qui quitte l Éducation nationale peut poursuivre des études dans un autre dispositif de formation (apprentissage, voie scolaire agricole ). L exploitation de la base régionale des apprentis (ARA) permet désormais d identifier de manière précise la part des jeunes qui se réorientent et/ou poursuivent leurs études dans les CFA (y compris agricole) de la région. Dès lors, le taux corrigé est de 14,3%, ce qui représente un effectif d environ 130 jeunes dont une majorité de garçons (57%). Les sorties au niveau de la seconde professionnelle s élèvent à 11% contre 10,6% au niveau national. Selon le même principe, l intégration des données ARA fournit un taux régional de 8,1% soit environ 430 jeunes (54% de garçons). Cherbourg Part de sortants (en %) 22,4 à 30 (3) 16,7 à 22,4 (3) Sortie du système scolaire des jeunes de 1 ère année de CAP Enseignement public et privé sous contrat année 2004/2005 Coutances Granville Avranches Saint-Lô Vire Bayeux 10,3 à 16,7 (4) 3,2 à 10,3 (4) Flers Caen Argentan Alençon Lisieux L Aigle Mortagne Sortie du système scolaire des jeunes de 2 nde professionnelle Enseignement public et privé sous contrat année 2004/2005 Cherbourg Coutances Granville 9,3 à 15,3 (3) 8,8 à 9,3 (3) Avranches Part de sortants (en %) Saint-Lô Vire Bayeux Flers 5,7 à 8,8 (4) 3,6 à 5,7 (4) Caen Argentan Alençon Lisieux L Aigle Mortagne Près d un contrat d apprentissage sur cinq rompu au 1 er janvier L analyse porte sur les contrats d apprentissage signés entre le 1 er janvier 2003 et le 31 décembre 2003 par les entreprises bas-normandes (les contrats d apprentissage signés hors Basse- Normandie ne sont pas inclus quel que soit le lieu de formation de l apprenti). Au 1 er juin 2005, sur les contrats d apprentissage signés en 2003, ont été interrompus, soit environ 2. Il est à noter que des contrats d apprentissage sont toujours actifs au 1 er juin, c est-à-dire que le nombre de ruptures de contrats d apprentissage ne sera définitif qu en fin d année % des ruptures ont lieu pendant la période d essai. Passée cette période, 32% des contrats interrompus le sont à l initiative de l apprenti (seulement 5% des ruptures sont à l initiative des employeurs). Rappelons que lorsque le contrat d apprentissage est rompu par l apprenti, l employeur conserve le bénéfice des indemnités compensatrices versées par la Région. Des disparités importantes sont visibles selon les niveaux et les filières de formation. Les ruptures se concentrent principalement sur les niveaux V, dans les filières hôtellerie restauration et métiers de bouche. 45% 35% 3 25% 2 15% 1 5% Ruptures au 1 er juin 2005 sur les contrats enregistrés en 2003 CALVADOS MANCHE ORNE RÉGION Initiative des Apprentis < 2 mois Accord commun Non renseigné Initiative de l employeur Décès TOTAL Les missions locales et PAIO. Au cours de l année 2003, jeunes ont été accueillis en entretien individuel. Trois jeunes sur quatre accompagnés par les missions locales - PAIO ont un niveau V ou inférieur de formation. Cependant, les jeunes femmes se présentent avec un niveau de diplômes nettement plus élevé que les jeunes hommes. La majorité des jeunes accueillis a entre 18 et 21 ans. L âge moyen des jeunes est de 20,5 ans en Les mineurs représentent environ 2 des premiers accueils et il s agit majoritairement de jeunes hommes (55%). Parmi ceux-ci, la part des moins de 16 ans n est pas négligeable. Niveau et sexe des jeunes accueillis en entretien individuel en ,7 VI 20,7 Femmes 18,7 V bis 24,3 Hommes 41,2 V 37,1 Source : CRBN primes apprentissage 25,8 IV 14,5 5,6 3,5 III et + Source : Missions locales et PAIO Atlas bas-normand de la formation et de l emploi 19

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