PRISE EN CHARGE MÉDICALE DES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH. RECOMMANDATIONS DU GROUPE D EXPERTS. RAPPORT 2013
|
|
- Emma Martineau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PRISE EN CHARGE MÉDICALE DES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH. RECOMMANDATIONS DU GROUPE D EXPERTS. RAPPORT 2013 Dépistage Dr Karl FELTGEN 17 janvier 2014
2 LES ENJEUX DU DÉPISTAGE DEPISTER TÔT POUR TRAITER TÔT Bénéfices d un dépistage et d une prise en charge précoces: intérêt individuel : prévenir l évolution vers un sida et augmenter l espérance de vie intérêt collectif : limiter la transmission du virus dans la population (limitation des comportements à risque et effet préventif des traitements efficaces)
3 LES CONSTATS Une activité de dépistage importante mais stable Une épidémie toujours active avec une incidence élevée dans certaines populations (HSH++, DFA) Encore trop de découvertes tardives Encore trop de personnes ignorant leur séropositivité De nombreuses occasions manquées de dépistage un accès aux trithérapies encore insuffisant pour juguler l épidémie
4 ACTIVITÉ DE DÉPISTAGE ,2 millions de sérologies réalisées Stable depuis 2005 malgré les recommandations de dépistage élargi de 2010 Les ¾ sont réalisées en laboratoires de ville (MG ++) et 23% en labo hospitalier Les CDAG/CIDDIST réalisent 8% de la totalité des sérologies VIH (stable depuis 2005) Taux de positif stable: 2 (3,5 en CDAG) TROD en milieu associatif (contre 4000 en 2011). 10,5 de + (24 pour prostituées, 16,8 pour HSH et 10,6 pour UDI)
5 NOUVEAUX DIAGNOSTICS FRANCE 2011 Un nombre stable de nouvelles découvertes 6088 en 2011 : 4138 hommes (68%) et 1950 femmes, (43% des cas découverts en Île de France) 6372 en 2012 Un diagnostic qui reste trop tardif: Un cas sur 2 (48%) découvert avec un taux de CD4 <350/mm3 29% sont pris en charge au stade sida ou avec moins de 200 CD4/mm3 lien avec sexe (H>F), hétérosexualité, origine ASS, DOM, âge >50 ans Seuls 35% sont diagnostiqués en primo-inf. ou avec CD4>500
6 DES INCIDENCES TRÈS FORTES DANS CERTAINS GROUPES Femmes françaises 810 [ ] 4 [3-5] Hommes français 1140 [ ] 6 [4-8] Femmes étrangères 940 [ ] 54 [40-68] Hommes étrangers 660 [ ] 35 [24-46] Homosexuels 3320 [ ] 1155] 1006 [857- UDIV 70 [0-190] 91 [0-237] TOTAL 6940 [ ] 17 [15-19] Nombre de nouvelles contaminations et taux d'incidence ( personnes), par population France, 2008
7 DES INCIDENCES TRÈS FORTES DANS CERTAINS GROUPES Enquête PREVAGAY (HSH fréquentant les établissements de convivialité gays parisiens) 2009: Prévalence du VIH = 17,7% Estimation de l incidence: 3,8 pour 100 Estimation de l incidence: 3,8 pour 100 personnes-années
8 DES INCIDENCES TRÈS FORTES DANS CERTAINS GROUPES Taux d incidence élevés dans certaines régions ou départements: DFA: 59/ dont Guyane: 147/ Île de France: 39/ Reste de la Métropole: 11/
9 L ÉPIDÉMIE CACHÉE PVVIH soit 0,2% de la population à (16 à 20%) PVVIH ignorent qu elles sont infectées (plus de 2/3 d hommes) 9000 HSH 9800 hétéro français 9500 hétéro nés à l étranger 500 UDI Ces 20% sont responsables de 60% des nouvelles contaminations
10 LES RETARDS AU DIAGNOSTIC Délais moyens entre l infection et le diagnostic de l infection: 37 mois chez HSH 41 mois chez femmes hétéro nées à l étranger 45 mois chez les UDIV 50 mois chez les femmes hétéro françaises 53 mois chez les hommes hétéro (français et étrangers)
11 DES OPPORTUNITÉS MANQUÉES DE DÉPISTAGE Etude ANRS Opportunités Difficulté des soignants à identifier les personnes à risque de VIH Risque non mentionné par le patient mais non demandé par le soignant Sachant le patient à risque, faible proportion de proposition de tests Difficulté des soignants à identifier les symptômes pouvant être reliés au VIH Proportion très élevée d opportunités manquées Stratégie de dépistage ciblée insuffisante car application insuffisante
12 Nombres et pourcentages estimés de personnes vivant avec le VIH dans les différentes étapes de la prise en charge du VIH en % % % % 81% 92% 81% 86% Moins bonne prise en charge pour les hétérosexuels étrangers % Supervie V, Ndawinz JD, Costagliola D. How to estimate the size of the hidden HIV epidemic? The case of France. HIV in Europe Conference, Conpenhague, Denmark: March 2012.
13 QUELLES STRATÉGIES DE DÉPISTAGE? Dépister mieux et dépister plus tôt Le groupe d experts recommande de : Mettre en œuvre de façon plus volontariste des stratégies de dépistage ciblé et leur évaluation auprès des populations les plus touchées : HSH, migrants d ASS et dans toutes les situations d appel. Ne pas négliger le dépistage des hépatites ; Réajuster le dépistage généralisé trop difficile à mettre en place, vers un dépistage large proposé par les médecins généralistes et spécialistes, quel que soit leur mode d exercice, lors d un recours aux soins de personnes sans test récent ; Mener un programme de dépistage généralisé en Guyane;
14 QUELLES STRATÉGIES DE DÉPISTAGE? Le groupe d experts recommande de : Mobiliser les professionnels de santé autour de ces stratégies et celles des associations pour aller au plus près des populations qui ne se font pas dépister ; Préparer l arrivée sur le marché des autotests et d évaluer leur utilisation et leur impact sur le dépistage ; Fusionner les CDAG et les CIDDIST et de redéfinir leurs missions : CDDG? (centres gratuits de dépistage et de diagnostic) Renouveler le programme de recherches interventionnelles permettant d évaluer de nouvelles approches susceptibles d améliorer toutes les étapes de la cascade dépistage-traitement-contrôle de la réplication virale.
15 LES AUTOTESTS
16 LES AUTOTESTS Avis favorable du CNS et du CCNE Recommandations du groupe d experts 2013 Disponible sur internet Juillet 2012: agrément du test par la FDA (Oraquick in home, marquage CE) Sur liquide craviculaire Spécificité excellente: 99,8% Sensibilité moindre: 86,5 à 92,9% faux négatifs Coût = 30 environ Non adapté pour la découverte d infections récentes (risque doit être > 6 mois)
17 LES AUTOTESTS Le groupe d experts est favorable à leur diffusion et recommande: D encadrer leur diffusion et une bonne information sur leurs performances et leur utilisation De développer des mesures d accompagnement des usagers (ligne d information et de soutien) De cibler les personnes les plus à risque, en particulier les personnes qui n utilisent pas les méthodes de dépistage classique De financer un programme de recherches sur l usage des autotests en France
18 LES AUTOTESTS "L année 2014 sera celle de la mise en place des autotests. J ai donné le feu vert à la demande des autorisations nécessaires pour ces autotests qui permettront à une population limitée mais bien identifiée de pouvoir pratiquer des tests» Marisol Touraine [AFP] 12 novembre 2013
19 ÉLÉMENTS DEVANT AMENER À PRESCRIRE UN TEST DE DÉPISTAGE DU VIH Selon les populations (id. à 2010, sauf ) Certaines populations devraient se voir offrir, à une fréquence régulière, un test de dépistage du VIH : Les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH) Les personnes hétérosexuelles ayant eu plus d un partenaire sexuel au cours des 12 derniers mois Les populations des départements français d Amérique et des autres caraïbes Les usagers de drogues injectables (UDI)
20 ÉLÉMENTS DEVANT AMENER À PRESCRIRE UN TEST DE DÉPISTAGE DU VIH Les personnes originaires d une zone à haute prévalence, notamment d Afrique sub-saharienne Les personnes en situation de prostitution Les personnes dont les partenaires sexuels sont infectés par le VIH Les populations en situation de précarité (rôle des PASS) L entourage familial des personnes vivant avec le VIH
21 ÉLÉMENTS DEVANT AMENER À PRESCRIRE UN TEST DE DÉPISTAGE DU VIH Selon les circonstances (id. à 2010) Un test de dépistage de l infection par le VIH devrait être systématiquement proposé, quelle que soit la population, dans un certain nombre de circonstances particulières : Suspicion ou diagnostic d IST ou d hépatite B ou C Suspicion ou diagnostic de tuberculose Projet de grossesse et grossesse (la proposition systématique de dépistage doit être faite lors de la 1 ère consultation prénatale et réitérée au 6 e mois de grossesse aux femmes exposées à un risque, ainsi qu à tous les pères à l examen du 4 e mois) Interruption Volontaire de Grossesse Première prescription d une contraception Viol A l entrée en détention ou en cours d incarcération
22 ÉLÉMENTS DEVANT AMENER À PRESCRIRE UN TEST DE DÉPISTAGE DU VIH NOUVEAU Sur la base de sonnées cliniques ou biologiques particulières : Cancers, tuberculose, zona, pneumopathie, infections herpétiques récidivantes, dermite séborrhéique, asthénie chronique, syndrome pseudo-grippal prolongé ou atypique, lymphopénie, amaigrissement et/ou fièvre prolongée inexpliquée, etc.
23 STRATÉGIES DE DÉPISTAGE Le groupe d experts invite les MG à prendre l initiative de la proposition du dépistage: «accentuez votre attention sur les situations cliniques classiques devant amener au dépistage et saisissez les opportunités d un dépistage large chez des personnes sans test récent lorsque l occasion se présente.»
24 STRATÉGIES DE DÉPISTAGE Outre les médecins généralistes, relais principaux, ces stratégies nécessitent la participation active des : Professionnels des PASS (immigrés, populations précaires) Associations: information, conseils, TROD (diversification de l offre de dépistage au plus près des populations cibles), accompagnement vers la prise en charge Soutenir les projets innovants dans le champ de la santé sexuelle
25 POUR RÉSUMER Améliorer le dépistage de l infection par le VIH en réduisant le délai entre contamination et diagnostic et en réduisant les inégalités de dépistage entre les différents groupes et les différentes régions pour permettre la mise sous traitement de toutes les personnes vivant avec le VIH * Le dépistage doit rester une démarche volontaire
Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA
Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Réunion Icône 2015 STRASBOURG Laurence Boyer - PH -SMIT- CHU Nancy Contexte Plan VIH/Sida/IST- 2010/14: Augmenter le dépistage:
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailTests rapides d orientation diagnostique Expérience du CASO de Cayenne
1 1 Tests rapides d orientation diagnostique Expérience du CASO de Cayenne Dr Christian Hubert Médecins du Monde - Mission France Guyane CASO de Cayenne Réunion COREVIH Guadeloupe 26/11/2010 MDM : Soigner
Plus en détailSida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test»
Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test» Dossier de presse Juin 2008 Sida : le test du dépistage encore trop peu souvent associé à l arrêt du préservatif dans le couple Situation de l infection
Plus en détailLa Mutuelle Des Etudiants, 10 ans de lutte contre le VIH
La Mutuelle Des Etudiants, 10 ans de lutte contre le VIH www.lmde.com La Mutuelle des Étudiants - LMDE : mutuelle soumise aux dispositions du livre II du code de la Mutualité. SIREN 431 791 672. Siège
Plus en détailVIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000
CENTRE DE DÉPISTAGE ANONYME ET GRATUIT DE MONTPELLIER VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000 Juin 2002 Observatoire régional de la santé du Languedoc-Roussillon Hôpital Saint-Eloi
Plus en détailListe des principales abréviations
2014-2019 2 Liste des principales abréviations ART CRS DMG DPG FSF HSH IST LGBTQI MAS NONOPEP OPEP PMTCT PrEP PVVIH SIDA TasP TPE VIH Thérapie antirétrovirale Centres de référence Sida Dossier médical
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailVIH : Parlons-en franchement!
VihCouv_vert(2011_02) 08/02/11 13:27 Page1 DESSINS PHILIPPE DELESTRE VIH : Parlons-en franchement! VIH : Parlons-en franchement! LE VIH C EST QUOI? Le VIH est un virus. C est le virus du Sida. VIH ÇA VEUT
Plus en détailRendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte
Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Il est prévu que les recommandations contenues dans ce document resteront valables jusqu
Plus en détailQue faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012
Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Conclusions provisoires rapport du HCSP juillet 2011 Valeur prédictive positive des
Plus en détailDépistage de l infection par le VIH en France
RECOMMANDATIONS EN SANTÉ PUBLIQUE Dépistage de l infection par le VIH en France Stratégies et dispositif de dépistage ARGUMENTAIRE Octobre 2009 Document non soumis à relecture typographique Avec la participation
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détail1 ère manche Questions fermées
Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée
Plus en détailDASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006
DASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006 Place des Nouveaux Tests de Dosage de L INTERFERON GAMMA dans le diagnostic de la Tuberculose Fadi ANTOUN, Cellule Tuberculose DASES Le Quotidien du Médecin 2005
Plus en détailIST et SIDA : s'informer pour se protéger!
IST et SIDA : s'informer pour se protéger! Tous concernés! De quoi s agit-il? Les Infections Sexuellement Transmissibles (IST) sont des infections dues à des virus, des bactéries, des parasites ou des
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. «TUP : Trouver Un Préservatif» 1 ère application smartphone de géolocalisation de préservatifs. Un partenariat HF Prévention / MSD
DOSSIER DE PRESSE «TUP : Trouver Un Préservatif» 1 ère application smartphone de géolocalisation de préservatifs Marraine de l opération : Marina Carrère d Encausse Un partenariat HF Prévention / MSD Et
Plus en détailNovembre 2006. Dépistage anonyme et gratuit du VIH Profil des consultants de CDAG en 2004 - Enquête épidémiologique transversale
Novembre 2006 Profil des consultants de CDAG en 2004 - Enquête épidémiologique transversale sommaire Introduction p. 2 Matériel et méthode p. 3 Résultats p. 5 1 Participation p. 5 1.1 Participation des
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailLe Livre des Infections Sexuellement Transmissibles
Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailLe point 2013 de l OMS sur le traitement de l infection à VIH dans le monde : résultats, impact et opportunités. Juin 2013
Le point 2013 de l OMS sur le traitement de l infection à VIH dans le monde : résultats, impact et opportunités Juin 2013 RÉSUMÉ Le point 2013 de l OMS sur le traitement de l infection à VIH dans le monde
Plus en détailMme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique
Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Une hépatite est une inflammation du foie causée soit par des substances toxiques (médicaments,
Plus en détailÊTES-VOUS SÛRS DE TOUT SAVOIR sur le VIH
ÊTES-VOUS SÛRS DE TOUT SAVOIR sur le VIH et le SIDA? ÉDITION 2014 FRANÇAIS SOMMAIRE SAVOIR PAGE 5 Qu est-ce que LE VIH? PAGE 6 Qu est-ce que LE SIDA? PAGE 7 Comment peut se transmettre le VIH? PAGE 8 Lors
Plus en détailInfection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailLes autotests VIH. Dossier de synthèse documentaire et bibliographique. Mars 2014
Les autotests VIH Dossier de synthèse documentaire et bibliographique Mars 2014 Marseille : 18, rue Stanislas Torrents 13006 Marseille Tél. : 04 91 59 83 83 Fax : 04 91 59 83 99 Nice : 6, rue de Suisse
Plus en détailLE VIH AU CANADA TENDANCES ET ENJEUX QUI AFFECTENT LA PRÉVENTION DU VIH, LES SOINS, LE TRAITEMENT ET LE SOUTIEN...
LE VIH AU CANADA TENDANCES ET ENJEUX QUI AFFECTENT LA PRÉVENTION DU VIH, LES SOINS, LE TRAITEMENT ET LE SOUTIEN... DÉCEMBRE 2010 CATIE est la source canadienne de renseignements à jour et impartiaux sur
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailPierre-Yves Comtois, Marc Leclerc, Bruno Lemay, Karina Ortega Révision scientifique : Benoît Lemire, pharmacien
P RTAIL VIH / sida du Québec Hépatite C Retour sur les symposiums hépatite C 2012 Pierre-Yves Comtois, Marc Leclerc, Bruno Lemay, Karina Ortega Révision scientifique : Benoît Lemire, pharmacien Le 3 et
Plus en détailPOLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement
Plus en détailCo-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC
Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Abdelfattah CHAKIB Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca Service des maladies infectieuses, CHU Ibn Rochd 06 61 42 91 64 afchakib@gmail.com
Plus en détailSERONT-ILS LES CANDIDATS DE LA FIN DU SIDA?
Dossier de presse - 13 mars 2012 Elections présidentielles SERONT-ILS LES CANDIDATS DE LA FIN DU SIDA? CONTACTS PRESSE Tony Fortin T : 01.77.93.97.00 P : 06.28.59.23.44 M : tfortin@aides.org Antoine Henry
Plus en détailNathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis
Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis 12/09/2013 2 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012 : Nourrisson 3 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012
Plus en détail+ Questions et réponses
HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de
Plus en détaill hépatite b Une maladie qui peut être grave.
l hépatite b Une maladie qui peut être grave. Sommaire Qu est-ce que l hépatite B? L hépatite B est-elle fréquente? Comment attrape-t-on l hépatite B? Comment savoir si l on est atteint d une hépatite
Plus en détailVivre avec le VIH. Point de départ
Vivre avec le VIH Point de départ Vous venez d apprendre que vous avez le VIH et vous cherchez des repères? Nous pouvons vous aider. Voici quelques questions auxquelles vous trouverez réponse dans ce livret
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailPourquoi inclure la fourniture de services dans la proposition? Eléments à prendre en compte dans l analyse de situation
Aide technique pour les propositions de la série 8 du Fonds mondial Zone élargie Zone de fourniture de services Prévention Communication pour la modification du comportement écoles et extension communautaire
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailChez les étudiantes consommatrices de cannabis, 2 fois plus de recours à la pilule du lendemain et 4 fois plus d IVG
Dossier de presse 11 février 2014 Enquête santé / Vie étudiante / Chiffres clés La sexualité des étudiants en 2013 8 ème enquête nationale Chez les étudiantes consommatrices de cannabis, 2 fois plus de
Plus en détailActeur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS
Acteur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS Groupe sida Genève 9, rue du Grand-Pré CH-1202 Genève info@groupesida.ch
Plus en détailACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble
ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme
Plus en détailLe VIH-sida, qu est-ce que c est?
LES DROITS DE l ENFANT FICHE THÉMATIQUE Le VIH-sida, qu est-ce que c est? UNICEF/ NYHQ2010-2622 / Roger LeMoyne Chaque jour dans le monde, plus de 7 000 nouvelles personnes sont infectées par le VIH, 80
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailEtablissement Français du Sang
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité
Plus en détailLieux de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015
Lieux de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015 Lieux de stage, structures d accueil et sujets de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015 Pays Structure
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détail- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à
Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique
Plus en détailCOMITE DE SURVEILLANCE DU SIDA
COMITE DE SURVEILLANCE DU SIDA Rapport d activité 2013 Dr Vic ARENDT, président M. Günter BIWERSI, Carole DEVAUX, Mme Cristina DOS SANTOS, Dr Jos EVEN, M. Henri GOEDERTZ, Dr Danielle HANSEN-KOENIG, M.
Plus en détailCaisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente
Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Examens périodiques de santé pour tout assuré social (sauf RSI) Les examens périodiques de santé Pour qui? En règle générale Pour tous les assurés sociaux
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailL investigation chez la personne infectée par le VIH
P O U R Q U O I P A R L E R D U V I H E N 2 0 0 4? 2 L investigation chez la personne infectée par le VIH quand et comment utiliser les différents tests de laboratoire? par Harold Dion Paul, un homme de
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailPROJET DE LOI DE SANTE
Dossier de presse PROJET DE LOI DE SANTE Changer le quotidien des patients et des professionnels de santé 15 octobre 2014 Contact Presse : Ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des
Plus en détailregion guide sante bis:mise en page 1 05/03/13 09:24 Page1 Guide pratique à l attention des professionnels de santé URPS DE BIOLOGIE MÉDICALE PACA
region guide sante bis:mise en page 1 05/03/13 09:24 Page1 Guide pratique à l attention des professionnels de santé URPS DE BIOLOGIE MÉDICALE PACA region guide sante bis:mise en page 1 05/03/13 09:24 Page2
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailSuivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées
Suivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées Grossesse a priori «normale» Quelle prise en charge? Sécurité médicale RPC EBM Opinion des usagers
Plus en détailCERTIFICATION MÉDICALE RAPPORT MÉDICAL POUR LE DROIT DE SÉJOUR
Prévu à l article L313-11 11 du Code de l entrée et du séjour des étrangers et du droit d asile (Ceseda), le droit au séjour pour raison médicale concerne les étrangers atteints de maladie grave qui ne
Plus en détailTHESE DE DOCTORAT. VIH : comment la recherche en épidémiologie s est orientée de l évaluation thérapeutique au dépistage et à la prévention
UNIVERSITE LILLE NORD DE FRANCE Ecole doctorale Biologie Santé, Lille Année 2011 Thèse n THESE DE DOCTORAT Discipline : Santé publique Spécialité : Epidémiologie Présentée par Karen Champenois Pour obtenir
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailAgenda du plaidoyer mondial des personnes vivant avec le VIH
2013 2015 Agenda du plaidoyer mondial des personnes vivant avec le VIH PLHIV Global Advocacy Agenda 2013 2015 1 Remerciements Nous remercions de leurs contributions toutes les personnes vivant avec le
Plus en détailProgramme Hôpital Avenir 1,5 milliard euros Signature avec Mme M Touraine et MM P Moscovici et T Repentin, Ministres Villejuif le 1 er décembre 2013
Programme Hôpital Avenir 1,5 milliard euros Signature avec Mme M Touraine et MM P Moscovici et T Repentin, Ministres Villejuif le 1 er décembre 2013 *** Nous sommes réunis ici à Villejuif, à l hôpital
Plus en détailACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030
ACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030 Mettre fin à l épidémie de sida ces mots renferment de tels espoirs et de telles promesses. Grâce à des engagements mondiaux et à des objectifs précis,
Plus en détailHépatite. du dépistage au traitement. Questions et réponses. L hépatite C Dépistage, clinique, prise en charge et conseils aux patients
DOCUMENT À L USAGE DES PATIENTS Également disponible : L hépatite C Dépistage, clinique, prise en charge et conseils aux patients (document à l usage des professionnels de santé) Document édité et diffusé
Plus en détailIndications de la césarienne programmée à terme
Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailVanina Bousquet 24 mars 2015
Traitement des données manquantes par une méthode d imputation multiple : Application à des données d enquête et de surveillance des maladies infectieuses Vanina Bousquet 24 mars 2015 Plan 1. Contexte
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailRéseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *
République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS
Plus en détailPrise en charge du. Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil
Prise en charge du nouveau-né de mère m HIV Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil GROSSESSE Chez une femme infecté par le VIH,la grossesse est a risque = prise en charge multidisciplinaire
Plus en détailBILAN D ACTIVITES PLAN D ACTION 2014. Hôpital Psychiatrique Saint Vincent de Paul de Yamoussoukro
BILAN D ACTIVITES DU PLAN D ACTION 2014 Hôpital Psychiatrique Saint Vincent de Paul de Yamoussoukro 1 AVANT PROPOS Avec un taux de croissance de 6% de nouveaux cas reçu cette année, l Hôpital Psychiatrique
Plus en détailOptimiser le dépistage et le diagnostic de l infection par le virus de l immunodéficience humaine
Optimiser le dépistage et le diagnostic de l infection par le virus de l immunodéficience humaine INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Avis Optimiser le dépistage et le diagnostic de l infection
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE
MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE AVIS DU COMITE TECHNIQUE DES VACCINATIONS / DU CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE PUBLIQUE DE FRANCE relatif à la vaccination par le vaccin
Plus en détailOrganisation du suivi dans le cadre d un réseau
Organisation du suivi dans le cadre d un réseau Mandovi Rajguru Pédiatre Maternité Hôpital Bichat Claude Bernard Journée des pédiatres de maternité GENIF 04 Juin 2009 Introduction Constitution d un réseau
Plus en détail«PROJET PRIORITAIRE DE L OUEST GUYANAIS : LA CONSTRUCTION D UN D HÔPITAL A SAINT LAURENT DU MARONI»
Présentation : Réunion de présentation aux élus de Guyane - 11 juin 2011 «PROJET PRIORITAIRE DE L OUEST GUYANAIS : LA CONSTRUCTION D UN D NOUVEL HÔPITAL A SAINT LAURENT DU M. F-L BERTHOU, Directeur MARONI»
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailRapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde
Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailSurveillance du VIH chez les nourrissons et les enfants de moins de 18 ans. sur la surveillance mondiale du VIH/sida et des IST
Groupe de travail ONUSIDA/OMS sur la surveillance mondiale du VIH/sida et des IST Surveillance du VIH chez les nourrissons et les enfants de moins de 18 ans Catalogage à la source: Bibliothèque de l OMS:
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailProgramme DPC des infirmiers
Catalogue de formations de la FNFCEPPCS pour l année 2015 Programme DPC des infirmiers Le catalogue peut évoluer en cours d année ; nous vous en tiendrons informés. 1 L INFIRMIER DE CENTRE DE SANTÉ FACE
Plus en détailLe rôle des traitements antirétroviraux dans la prévention du VIH. Dossier de synthèse documentaire et bibliographique. août 2011
Le rôle des traitements antirétroviraux dans la prévention du VIH Dossier de synthèse documentaire et bibliographique août 2011 Marseille : 18, rue Stanislas Torrents 13006 Marseille Tél. : 04 91 59 83
Plus en détailLes contre-indications au don de sang
Les contre-indications au don de sang Souvent, les donneurs s interrogent sur les raisons pour lesquelles tout le monde ne peut pas donner son sang. Le don de sang est une démarche d assistance à autrui,
Plus en détailVaccinations et milieu professionnel
La place de la vaccination dans la prévention des risques infectieux La prévention des risques infectieux au travail ne se réduit pas à la protection vaccinale. La vaccination s inscrit comme une des mesures
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailOCTOBRE ROSE 2014 Activités de proximité et actions de communication
OCTOBRE ROSE 2014 Activités de proximité et actions de communication 1 CONTEXTE Octobre Rose Pour la 21 ème année consécutive, Octobre Rose est le mois de sensibilisation dédié aux cancers féminins et
Plus en détailVendredi 5 avril à 22.15. et sur arte +7. Vivre en positif. Écrit par Alain Maneval et Jérôme Lefdup. arte.tv/sida
DANS LE CADRE DE LA PROGRAMMATION SPéCIALE SIDACTION Vendredi 5 avril à 22.15 et sur arte +7 ALAIN MANEVAL Vivre en positif Écrit par Alain Maneval et Jérôme Lefdup arte.tv/sida programmation spéciale
Plus en détail