Mécanismesd actions des antibiotiques. Associations. Etude de la sensibilité
|
|
- Rémy Dupuis
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Mécanismesd actions des antibiotiques Associations Etude de la sensibilité
2 I-GENERALITES Historique Pénicilline G Fleming en 1928 Penicillinum notatum Usage clinique : Streptomycine: 1943 Streptomyces griseus Sulfamides: 1932 Sulfamidochrysoïdine: Prontosil Activitéantibactérienne des colorants azoïques
3 Définitions Antibiotiques = agents strictement anti-bactériens Toxicité sélective liée à un mode d action spécifique Effet lent (qqheures) Concentrations faibles (mg/l) Administration par voie générale => traitement des infections systémiques Antiseptiques : usage local Désinfectants : surfaces et matériel inertes
4 Modalités d action Bactériostase : ralentissement ou arrêt de la croissance bactérienne quantifiable par la CMI (mg/l).
5 Modalités d action Bactéricidie : mort bactérienne quantifiable par la CMB (mg/l). 1 ATB est considérécomme bactéricide àcondition que sa CMI et sa CMBsoient proches l'une de l'autre vis-à-vis d une souche donnée.
6 Bactéricidie et bactériostase Antibiotiques bactéricides : CMI et CMB sont proches : CMB/CMI <4 Ex : β-lactamines, aminosides, FQ, glycopeptide, synergistines, rifampcine, fosfomycine Antibiotiques bactériostatiques : CMI et CMB sont éloignés: CMB/CMI>8 Macrolides, cyclines, ac fucidique
7 ATB concentration-dépendant : activité fonction de la concentration. L augmentation de la concentration s accompagne d un accroissement de la bactéricidie en clinique, pics de concentration élevés. ex : aminosides, fluoroquinolones Craig et al. J AntimicrobChemother; 1991
8 ATB temps-dépendant : activité bactéricide très influencée par le temps d action. Elle augmente peu ou pas avec la concentration d ATB dès que celle-ci est bactéricide en clinique, perfusion en continue. ex : β-lactamines, glycopeptides (vancomycine)
9 Spectre d activité large : action sur la majorité des G+ et G- très étroit : antistaphylococciques, antituberculeux Il dépend : - R naturelles des espèces - R acquises qui limitent le spectre initial
10 Classification Critère = structure chimique 12 familles + 5 antibiotiques isolés (± subdivision : spectre, pharmacologie, indications) ß-Lactamines Tétracyclines Quinolones Glycopeptides Aminosides Sulfamides±TMP Phénicolés Nitro-imidazoles MLS Polypeptides Rifamycines Nitrofuranes Fosfomycine, Ac. fusidique, Linézolide, Mupirocine, Daptomycine Anti-tuberculeux, antibiotique macrocyclique
11 Modes d action Fidaxomicine
12 II-MÉCANISMES D ACTION ATB inhibant la biosynthèse de la paroi bactérienne Rappel sur la paroi bactérienne Peptidoglycane, spécifique au monde bactérien forme et rigidité.
13 La synthèse du peptidoglycane (PG) PG=structure tridimensionnelle, réticulée constituée de chaînes polyosidiques (glycane) reliée entre elles par de courtes chaînes peptidiques (tétrapeptides) 3 étapes, cytoplasmique, membranaire, pariétale différentes enzymes : glycosyltransférases transpeptidases, carboxypeptidases PLP Autolysines(glycosidases, amidases, endopeptidases)
14 β-lactamines S S Groupe I : cycle β-lactame + cycle à 5 sommets (thiazolidine) * Pénames(S en 1) = pénicillines * Oxapénames= Clavames(O en 1) = ac. clavulanique * Carbapénèmes(C en 1, = en 2-3) = imipénème, méropénème, ertapénème Groupe II : cycle β-lactame + cycle à 6 sommets (Di-hydrothiazine) * Céphèmes(S en 1, = en 3-4) = céphalosporines (céphamycines: αoch3 en 7) Groupe III : cycle β-lactame * Monobactames(azétidinones) : aztréonam Ceftaroline: nouvelle céphalosporine active sur les SARM
15 β-lactamines Pénicillines : * G(spectre étroit : G+ et CG-, S/P ases ) * M(spectre étroit : G+ et CG-, R/P ases des staphylocoques) * A(spectre large : G+, CG-et BG-). aminopénicillines(s/ Pases ±C ases ). carboxy-et uréido-pénicillines (S/P ases, R/C ases )
16 β-lactamines Céphalosporines(spectre large : G+, CG-et BG-, S/C ases ): * C1G activité parentérales * C2G * C3G sur BG- orales
17 β-lactamines Les associations inhibiteurs de β-lactamases + β-lactamines -squelette dérivé des pénicillines -activité antibactérienne très faible, mais forte affinité pour les β-lactamases => inhibe leur activité (leurre). Les monobactams aztréonam : spectre limité aux BGN aérobies Les carbapénèmes spectre le plus large parmi les β lactamines, très stable vis-à-vis des β-lactamases
18 Mode d action β-lactamines Entrée : ME = pore Cibles: PLP (variable en nombre et en nature selon les espèces) complexes covalents par analogie structurale inhibition l étape terminale de la synthèse du PG (inhibition compétitive des transpeptidases(+++) et DD-carboxypeptidases) bactériostase: formation de sphéroplastes, de filaments avec arrêt de la croissance bactérienne bactéricidie: mise en jeu et activation des autolysines
19 β-lactamines Mode d action (conséquences morphologiques)
20 Ceftaroline(Zinforo ) Nouvelle céphalosporine Bactéricide Spectre : G+ et G- Actif sur S. aureus meti-r et S. pneumoniae PSDP Inactif sur les entérobactéries BLSE, productrices de céphalosporinase ou de carbapénémase Administration par voie systémique
21 Glycopeptides Core aglycone = heptapeptide linéaire Sucresàl extérieur de la molécule. Vancomycine et Teicoplanine antibiotiques naturels : produits de fermentation d Actinomycètes
22 Mode d action Glycopeptides Entrée : ME = 0 MC = 0 Cible : fixation sur un motif terminal : dipeptide D-Ala-D-Ala inhibition par encombrement stérique des transglycosylases et des transpeptidases.
23 Glycopeptides ATB lentement bactéricides sur les bactéries à Gram +. Inactifs sur les BGN (molécules hydrophiles trop volumineuses pour traverser les porines de la mb externe imperméabilité). Infections sévères à staphylocoques méti-r et entérocoques. Non résorbé par voie orale infections à C. difficile
24 Fosfomycine ATB naturel à large spectre. bactéricide MC : transport actif. Mode d action : inhibition d une enzyme initiale de la synthèse du précurseur dans le cytoplasme : la pyruvyl-transférase. Fort taux de mutation toujours en association
25 Modes d action
26 ATB actifs sur les membranes Polymyxines : colistine Cible = mb lipidiques (mb externe et cytoplasmique) détergent désorganisation des structures membranaires mort rapide des bactéries = bactéricidie Actif sur bactéries en repos (phase stationnaire), sur les BGN
27 Lipopeptide : daptomycine (Cubicin ) = lipopeptide naturel cyclique (Streptomyces roseosporus) Liaison aux membranes bactériennes sous dépendance du Ca 2+ formation canaux ioniques dépolarisation mort bactérienne Spectre : Bactéries à Gram positif (Staph, Strepto, ana Gram +) Bactéricide, concentration dépendant
28 Modes d action
29 ATB inhibant la synthèse des protéines s/u 30S : aminosides, tétracyclines s/u 50S : MLSK, chloramphénicol, oxazolidinones s/u 70S : acide fusidique mupirocine
30 Aminosides -molécules volumineuses -très hydrophiles -sulfates : activité> àph alcalin -stable à température ambiante -Inactivés par l anaériobiose -noyau central aminocyclitol -1 ou plusieurs sucres, dont au moins 1 aminé Molécules naturelles, produites par : Streptomyces: streptomycine, néomycine, kanamycine, tobramycine Micromonospora: gentamicine, sisomicine. Produits semi-synthétiques : amikacine, isépamicine, nétilmicine
31 Aminosides - Entrée: 3 phases 1 passive : déplacement des Ca ++ /Mg ++ 2 énergie-dépendantes : force proton motrice généré par le métabolisme oxydatif Bactéricidie -Cible : inhibition de la synthèse protéique fixation sur la sous unité30s du ribosome bactérien, ARNr16S (1 ou N sites) : site A erreurs de lecture, synthèse de protéines anormales Spectre large
32 Tétracyclines Tétracycline Doxycycline Minocycline Tigécycline Glycylcyclines
33 Cible : Inhibition de la synthèse protéique : - fixation sur la sous unité 30S du ribosome, site A de l ARNr 16S => empêche fixation ARNt-AA - inhibition de l élongation Bactériostatiques Tétracyclines Entrée ME : chélation des Mg2+ et passage par porines OmpF et OmpC MC : transport actif (force proton motrice) Spectre large : nombreuses espèces G+, G- mycoplasmes, Chlamydiae, Gonocoque Tigécycline : SARM, streptocoques, entérocoques, entérobactéries, anaérobies (Bacteroides). Inactif sur P. aeruginosa
34 Macrolides, lincosamides, streptogramines, kétolides = MLSK Structure différente pour les différentes familles mais mécanisme d action et propriétés similaires Macrolides:Aglycone : grand cycle lactone à14 15 ou 16 chainons + 1 ou plusieurs sucres Erythromycine
35 Macrolides, lincosamides, streptogramines, kétolides = MLSK Kétolides : dérivés de l érythromycine : télithromycine
36 Macrolides, lincosamides, streptogramines, kétolides = MLSK Lincosamides: lincomycine, clindamycine Synergistines, Streptogramines: pristinamycine quinupristine-dalfopristine(synercid ) Association de 2 molécules agissant en synergie: streptograminea (lactone macrocyclique) et streptogramine B (peptide cyclique).
37 Macrolides, lincosamides, streptogramines, kétolides = MLSK Entrée : ME = 0 MC = diffusion passive Cible : inhibition de la synthèse protéique Fixation à la sous-unité 50S, ARNr 23S Bactériostatiques sauf streptogramines Spectre : actifs sur les BGP mais pas sur les BGN. actifs sur les germes atypiques : mycoplasmes, chlamydiae, Campylobacter, Legionella + télithromycine: pneumocoque R aux macrolides
38 Chloramphénicol Autres ATB inhibant la synthèse des protéines Fixation s/u 50S inhibe synthèse protéines Bactériostatique, large spectre Acide fusidique Inhibe la phase d'élongation Antistaphylococcique Oxazolidinones Linézolide (Zyvoxid ) Fixation s/u 50S Inhibe formation du complexe d'initiation Spectre: Gram + (entérocoques vanco R)
39 Modes d action
40 ATB inhibant la biosynthèse ou les fonctions des acides nucléiques Quinolones Site de fixation Pénétration pariétale ADN gyrase Cycle pyridine
41 Quinolones Mode d action Inhibition de la synthèse de l ADN bactérien Action sur : ADN gyraseet ADN topoisoméraseiv ADN gyrase: introduction de super-tours négatifs en amont de la fourche de réplication ADN topoisoméraseiv: décaténation(séparation) des chromosomes-fils Antibiotiques bactéricides D après J Blondeau 2004
42 Quinolones 1 ère génération: traitement des infections urinaires de l adulte à entérobactéries sensibles 2 ème génération: fluoroquinolones meilleure activitésur Gram -, staphylocoques, germes intracellulaires, bacille pyocyanique Isomère L 3 ème génération: infections respiratoires, activitésur le pneumocoque (anaérobies)
43 Quinolones GyrA: coupure des brins d ADN Cible principale des quinolones chez Gram - GyrB: hydrolyse de l ATP QRDR = Quinolone Resistance Determining Region Complexe ternaire : quinolones-adn-topoisomérases GyrA et ParC irréversible bloque la progression de l ADN polymérase => inhibition de la réplication = croissance bactérienne effet bactériostatique Stabilisation des coupures d ADN db: absence de religation lésions non réparables de l ADN effet bactéricide
44 Sulfamides et triméthoprime -R Structure générale des sulfamides Sulfaméthoxazole
45 Sulfamides et triméthoprime Mode d action Inhibition de la voie de synthèse des folates=> interférence avec synthèse des ac. nucléiques Sulfamides: analogues structuraux de l acide para-aminobenzoïque(paba) => inhibition compétitive de la dihydro ptéroate synthétase (DHPS) Triméthoprime: analogue structural de l acide dihydrofolique(dhf) => inhibition compétitive de la dihydro folate réductase (DHFR) Molécules seules : bactériostase Association (cotrimoxazole) : bactéricide
46 Nitroimidazolés Métronidazole Actifs à l état réduit : seulement chez anaérobies Fixation des dérivés réduits sur l ADN coupures des brins bactéricidie Spectre : anaérobies, G. vaginalis, H. pylori + parasites
47 Rifampicine Inhibition de la transcription de l ADN en ARNm par inhibition de l ARN polymérase ADN dépendante. R par mutation (rpob) utilisation en association (légionellose, brucellose, tuberculose) Bactéricide
48 Fidaxomicine Antibiotique macrocyclique Cible : inhibition la synthèse de l ARN par l ARN polymerase bactérienne, site distinct des rifamycines Bactéricide Spectre : Actif sur Clostridium difficile (affinité 20X supérieure pour l ARN polymérase clostridiale). Administration orale (action locale), IV uniquement si VO non utilisable Aucune résistance décrite à ce jour
49 Associations
50 Association d antibiotiques (1) Élargir le spectre - antibiothérapie probabiliste - traitement des infections poly microbiennes - justifiée avec des ATB à spectre étroit Obtenir une synergie - interaction positive entre deux ATB - non superposable entre espèces - justifiée si bactéricidie difficile à obtenir avec un seul ATB
51 Association d antibiotiques (2) Diminuer l émergence de mutants résistants - % de mutants varie avec l ATB et la bactérie - ATB à fort taux de mutations :. acide fusidique. rifampicine. fosfomycine - Bactéries concernées :. P.aeruginosa, Enterobacter sp. Acinetobacter baumanii. S. aureus méti-r
52 Association d antibiotiques (3) Diminuer l émergence de mutants résistants (A) x 10-6 (B) = (A x B) - A et B non affectés par le même mécanisme - Bonne pénétration des deux aux sites de l infection - posologies suffisantes - rythmes d administration tenant compte de la pharmacodynamie des deux ATB
53 Association d antibiotiques (4) Règles de Jawetz (1952) - 2 ATB bactériostatiques ont en général un effet additif - 1 ATB bactériostatique + 1 ATB bactéricide ont parfois un effet antagoniste - 2 ATB bactéricides peuvent être synergiques Associations classiques - β lactamines+ aminosides - vancomycine + acide fusidique
54 Antibiogrammes et lecture interprétative
55 METHODES D ETUDE DE LA SENSIBILITE DES BACTERIES Antibiogramme : milieu gélosé Détermination : dilution en milieu solide dilution en milieu liquide E-test Automates (Phoenix, Vitek )
56 Définitions CMI : plus faible concentration d antibiotique (en mg/l) inhibant toute culture visible après 18h de culture à 37 C. Mesure de la bactériostase CMB : plus faible concentration d antibiotique (en mg/l) laissant moins de 0,01% de survivants de l inoculum initial après 18h de culture à 37 C. Mesure de la bactéricidie Tolérance: CMB/CMI> 32
57 Définition de base : la CMI CMI = plus petite concentration d antibiotique capable d inhiber toute pousse visible de la bactérie log CMI C c d D diamètre de la zone d inhibition (mm)
58 Antibiogramme par diffusion en milieu gélosé Réalisation : inondation de la gélose MH avec une suspension bactérienne Dépôt d'un disque imprégné d'antibiotique (AB) Gélose Müller Hinton L'AB diffuse selon un gradient de concentration diamètre d'inhibition d'autant plus grand que la bactérie est sensible à la limite : plus faible c qui inhibe la pousse de la bactérie = CMI : Concentration Minimale Inhibitrice
59 Exemple d'antibiogramme par diffusion en milieu gélosé
60 Antibiogramme par diffusion en milieu gélosé Le diamètre et la concentration d'ab sont reliés par la droite de concordance log conc CMI Diamètre d'inhibition mesuré diamètre de la zone d inhibition (mm)
61 Peut-on atteindre cette concentration dans l'organisme? Pour chaque AB, des concentrations critiques correspondant à des diamètres critiques ont été déterminées c: conc après 1 dose; C: conc maximale Le diamètre d'inhibition mesuré est comparé aux diamètres critiques catégorisation S, I ou R CMI R C log conc c CMI S R mesuré d D mesuré S diamètre de la zone d inhibition (mm)
62 Lecture de l'antibiogramme - Mesurer les diamètres d'inhibition - Les comparer aux diamètres critiques, d et D d D R I S diamètre de la zone d inhibition (mm) - Donner la liste des AB actifs sur la bactérie
63
64 c C Classes thérapeutiques 1 habituellement sensibles CMI < c 2 résistants : > 50 % souches CMI > C 3 modérément sensibles : 90 % souches c < CMI < C c C
65 Catégorisation aisée? S oui c C non?? c C
66 Détermination des CMI par E-test Méthode de diffusion avec une bandelette (gradient discontinu de concentrations pour un antibiotique donné) Lecture : CMI lue où s arrête la zone d inhibition
67 Streptococcus pneumoniae CMI
68 Avant : CMI milieu liquide
69 Maintenant : Phoenix 100 places
70 La carte ATB Phoenix Bactéries antibiogrammées - entérobactéries et non fermentants - staphylocoques - entérocoques
71 Délais moyens de rendu du résultat de l ATB Phoenix Entérobactéries 8-16h Non fermentants 12-16h Staphylocoques 6-16h Streptocoques 9-16h
72 Synergie Ex: BLSE : synergie inhibiteur de β-lactamase / βlactamines. Aspect en bouchon de champagne
73 P. mirabilis producteur de BLSE AM NET GM CS DO TIC TZP CF FEP ATM CXM AN AMC CTX CIP SXT TCC PI FOS TM IMP FOX CPO OFX ISP CAZ BOITE n 1 BOITE n 2 synergie en «bouchon de champagne» CAZ/AMC (Gélose MH BioMérieux, disques I2A)
74 Antagonisme
75 Etude d association par E-test Détermination de la CMI de A et B. Superposition de bandelettes. A B CMI A= CMI B A B CMI B = CMI A
76 Etude d association par E-test Calculer le FIC index (fraction de concentration inhibitrice) FIC index = CMI A+B/ CMI A + CMI B+A / CMI B 0.5 synergie 0.5< FIC index 1 addition 1< FIC index < 2 indifférence FIC index 2 antagonisme
COMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE
COMITE DE L ANTIBIOGAMME DE LA SOCIETE FANCAISE DE MICOBIOLOGIE ecommandations 2012 (Edition de Janvier 2012) Coordonnateur : Pr C.J. SOUSSY Centre Hospitalier Universitaire Henri Mondor 94010 Créteil
Plus en détailDOCUMENTATION TECHNIQUE
DOCUMENTATION TECHNIQUE ETUDE DE LA SENSIBILITE AUX ANTIMICROBIENS Lycée des métiers du tertiaire, de la santé et du social - Louise Michel - Grenoble ANTIBIOGRAMME EN MILIEU GELOSE COMITE DE L ANTIBIOGRAMME
Plus en détailANTIBIOGRAMME VETERINAIRE DU COMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE
1 ANTIBIOGRAMME VETERINAIRE DU COMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE Membres (2012 2013) MADEC Jean-Yves Coordonnateur, Anses Lyon DECOUSSER Jean-Winoc CHU Antoine Béclère
Plus en détailINFECTIONS POST- TRAUMATIQUES SUR MATÉRIEL D'OSTÉOSYNTHÈSE. Accidentologie et épidémiologie bactérienne
INFECTIONS POST- TRAUMATIQUES SUR MATÉRIEL D'OSTÉOSYNTHÈSE Accidentologie et épidémiologie bactérienne SOMMAIRE Accidentologie Qualité de vie Conséquences médico-économiques Particularités épidémiologiques
Plus en détailDétermination de la sensibilité aux antibiotiques. Méthode EUCAST de diffusion en gélose
Détermination de la sensibilité aux antibiotiques Méthode EUCAST de diffusion en gélose Version Sommaire Page Modifications des documents Abréviations et terminologie 1 Introduction 4 2 Préparation des
Plus en détailTravaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015
Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne
Plus en détailRapport d expertise. Caractérisation des antibiotiques considérés comme «critiques»
Rapport d expertise Caractérisation des antibiotiques considérés comme «critiques» Diffusé en novembre 2013 S o m m a i r e Abréviations I- OBJECTIF DE CE TRAVAIL II-ELEMENTS DE REFLEXION SUR LES REFERENTIELS
Plus en détailCollection Avis et Rapports
Maîtrise de la diffusion des bactéries multirésistantes aux antibiotiques importées en France par des patients rapatriés ou ayant des antécédents d hospitalisation à l étranger Collection Avis et Rapports
Plus en détailMise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine
Mise au point mars 2011 MAP Mise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine Sommaire ~ ~ ~ ~ ~ ~ d un traitement par aminosides
Plus en détailCONDUITE A TENIR DEVANT UNE BACTERIE MULTIRESISTANTE
CONDUITE A TENIR DEVANT UNE BACTERIE MULTIRESISTANTE C. Chaplain, Service d'hygiène-bactériologie, Hôpital Delafontaine, 93205 Saint- Denis. INTRODUCTION L'accroissement du nombre des infections provoquées
Plus en détailExiste t il des effets pervers à l identification du portage de BMR?
Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR? J P Bedos, Réanimation, Hôpital Mignot Journée Antibio Résistance et Infections, 5 décembre 2013 Effets pervers des Conflits d intérêt
Plus en détailLes Centres de Référence pour les Infections Ostéo-articulaires
Les Centres de Référence pour les Infections Ostéo-articulaires Brest RENNES Orléans Angers Nantes TOURS Poitiers du Grand Ouest Octobre 2011 Présentation du CRIOGO Les réunions de concertation pluridisciplinaires
Plus en détailULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une
Plus en détailMise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire
Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Murielle Galas, Gaëlle Dunoyer, Claude Olive, Rafaëlle Théodose, François Lengellé, Patrick Hochedez,
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détail: Stratégies de réduction de l'utilisation des antibiotiques à visée curative en. réanimation (adulte et pédiatrique)
Anesth Reanim. 2015; //: /// en ligne sur / on line on www.em-consulte.com/revue/anrea www.sciencedirect.com Stratégies de réduction de l'utilisation des antibiotiques à visée curative en réanimation (adulte
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailNeutropénies fébriles
Neutropénies fébriles Dr Florence ADER SMIT Hôpital de la Croix-Rousse HCL Inserm 1111 Centre de Recherche en Infectiologie (CIRI) UCBL1 DUCIV LYON 2014-2015 florence.ader@chu-lyon.fr Neutropénie Grade
Plus en détailConflits d intérêts. Consultant: Financement d études: Optimer: fidaxomicine Astra Zeneca : Ceftaroline Novartis: daptomycine
Conflits d intérêts Consultant: Optimer: fidaxomicine Astra Zeneca : Ceftaroline Novartis: daptomycine Financement d études: Novartis (daptomycine) Eumedica (temocilline) 1. Limites techniques des modèles
Plus en détailLes allergies croisées aux antibiotiques : comment s y retrouver?
PHARMACOTHÉRAPIE Les allergies croisées aux antibiotiques : comment s y retrouver? Hélène Paradis, Daniel J.G. Thirion, Luc Bergeron Résumé Objectif : Le regroupement des pharmaciens en infectiologie de
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailToutes les remarques visant à améliorer la prochaine édition sont bienvenues et à adresser par e-mail au Dr. B. Delaere.
Ce livret a été rédigé par : Dr. B. Delaere, Maladies Infectieuses freeset 3007 Dr. N. Ausselet, Maladies Infectieuses freeset 3019 Pr. Y. Glupczynski, Laboratoire de Microbiologie freeset 3245 Avec la
Plus en détailDouleur dentaire. LACAVITÉ BUCCALE constitue l habitat naturel de nombreux. est-elle d origine infectieuse?
L A B O U C H E R É V È L E L E S S E C R E T S D U C O R P S Douleur dentaire est-elle d origine infectieuse? 5 par Michelle Bourassa Simon, 9 ans, se présente au cabinet dentaire mardi en fin de journée.
Plus en détailComment devenir référent? Comment le rester?
Comment devenir référent? Comment le rester? Patrick CHOUTET Service des Maladies infectieuses CHU Bretonneau Tours RICAI décembre 2005 Quels enjeux? autres que le pouvoir Total Outpatient antibiotic use
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailBulletin N 47 AU SOMMAIRE BLOC-NOTES ERRATUM. Octobre 2008 - Trimestriel. Bloc-Notes. Erratum. Annuaire web du CCLIN Ouest.
Bulletin N 47 Octobre 2008 - Trimestriel AU SOMMAIRE Bloc-Notes p. 1 Erratum p. 1 C.CLIN Ouest BLOC-NOTES Nouveautés du site http://www.cclinouest.com - Les résultats de la surveillance des Bactéries Muti-Résistantes
Plus en détailSPILF 2014. Mise au point DIAGNOSTIC ET ANTIBIOTHERAPIE DES INFECTIONS URINAIRES BACTERIENNES COMMUNAUTAIRES DE L ADULTE
SPILF 2014 Mise au point DIAGNOSTIC ET ANTIBIOTHERAPIE DES INFECTIONS URINAIRES BACTERIENNES COMMUNAUTAIRES DE L ADULTE - cystite aiguë simple - cystite à risque de complication - cystite récidivante -
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailGénérique d antibiotique : info ou intox! Le point de vue de la pharmacovigilance
Générique d antibiotique : info ou intox! Le point de vue de la pharmacovigilance Journée régionale OMEDIT Arlin Auvergne / CAI du CHU Mardi 31 Mars 2015 Dr Marie Zenut Centre régional de pharmacovigilance
Plus en détailOtite Moyenne Aiguë. Origine bactérienne dans 70 % des cas. Première infection bactérienne tous âges confondus
Otite Moyenne Aiguë OMA / modèle Origine bactérienne dans 70 % des cas Première infection bactérienne tous âges confondus Efficacité prouvée des antibiotiques Une des première cause d utilisation des antibiotiques
Plus en détailCas clinique infection ORL
Cas clinique infection ORL... 1 Infections ORL... 2 Angine à streptocoque béta hémolytique du groupe A (SGA)... 2 Otite moyenne purulente... 3 Sinusites purulentes... 4 Cas cliniques bronchites... 4 Bronchites
Plus en détailDiagnostic et antibiothérapie. des infections urinaires bactériennes. communautaires de l adulte
SPILF 2014 Mise au point Texte court Diagnostic et antibiothérapie des infections urinaires bactériennes communautaires de l adulte dans son intégralité sans ajout ni retrait. 1 GROUPE DE TRAVAIL Pr François
Plus en détailCompétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali
Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali S. Wullschleger, B. Bonfoh; A. Sissoko, I. Traoré; S. Tembely, J. Zinsstag, C. Lacroix,
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailTHÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE
UNIVERSITÉ PARIS DIDEROT - PARIS 7 FACULTÉ DE MÉDECINE Année 2013 n THÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE PAR BOYER CHAMMARD Timothée Antoine Philippe Né le 4 avril 1983 à Paris 15 ème Présentée
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailAPPORT DU DIAGNOSTIC MOLECULAIRE EN PATHOLOGIE INFECTIEUSE. Service de Microbiologie Hôpital Robert-Debré
APPORT DU DIAGNOSTIC MOLECULAIRE EN PATHOLOGIE INFECTIEUSE Service de Microbiologie Hôpital Robert-Debré 1 Diagnostic Bactériologique Isolement bactérie sur milieu de culture Caractérisation phénotypique
Plus en détailItem 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)
Annales de dermatologie et de vénéréologie (2012) 139, A57 A61 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com I. MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 7 : Santé et environnement, maladies transmissibles Item
Plus en détailINTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE
INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs
Plus en détailImmunomodulation médiée par les agents antibactériens Immunomodulatory effects of antibacterial agents
Réanimation 15 (2006) 259 264 http://france.elsevier.com/direct/reaurg/ Mise au point Immunomodulation médiée par les agents antibactériens Immunomodulatory effects of antibacterial agents M.-T. Labro
Plus en détail4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie
4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie Infection pulmonaire du sujet âgé A. Barrel CH Darnetal Omedit Rouen 20 juin 2013 Cas clinique Mme H. Patiente
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailVI- Expression du génome
VI- Expression du génome VI-1.- EXPRESSION DU GÉNOME- PRINCIPES GÉNÉRAUX DOGME CENTRAL Les gènes et l information génétique sont conservés sous forme d acides nucléiques La perpétuation à l identique de
Plus en détailInfections nosocomiales
Infections nosocomiales NOUVELLES RECOMMANDATIONS 2001-2002 NORD-AMÉRICAINES CONCERNANT LA PRÉVENTION DES INFECTIONS SUR CATHÉTER Aux États-Unis, environ 145 millions de cathéters périphériques et 5 millions
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailBulletin épidémiologique hebdomadaire
Bulletin épidémiologique hebdomadaire 6 novembre 2007 / n 43 p.365 Les légionelloses survenues en France en 2006 Cases of Legionnaires disease in France in 2006 p.367 Épidémiologie de la spondylodiscite
Plus en détailEtude de l activité de l ertapénème vis-à-vis des infections bactériennes à Listeria monocytogenes et Staphylococcus aureus
Université Catholique de Louvain Ecole des Sciences Biomédicales Unité de Pharmacologie cellulaire et moléculaire Etude de l activité de l ertapénème vis-à-vis des infections bactériennes à Listeria monocytogenes
Plus en détailLa séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?
La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation
Plus en détailPratique de l'antibioprophylaxie en chirurgie
Pratique de l'antibioprophylaxie en chirurgie Date de création du document 2008-2009 Table des matières 1 Principes généraux du choix d'un antibiotique pour l'antibioprophylaxie en chirurgie...1 1. 1 Introduction...
Plus en détailModélisation pharmacocinétique-pharmacodynamique et techniques de simulation appliquées à l évaluation de stratégies thérapeutiques en infectiologie
Modélisation pharmacocinétique-pharmacodynamique et techniques de simulation appliquées à l évaluation de stratégies thérapeutiques en infectiologie Laurent Bourguignon To cite this version: Laurent Bourguignon.
Plus en détailINFECTIONS URINAIRES CHEZ L ENFANT
INFECTIONS URINAIRES CHEZ L ENFANT Chantal LOIRAT Service de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Robert Debré DIU Stratégies Thérapeutiques anti-infectieuses Jan 2007 AFS 2006-2007 1 INFECTION URINAIRE CHEZ
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailL audit en bactériologie clinique : du concept à la réalisation
L audit en bactériologie clinique : du concept à la réalisation Jean-Paul Klein a, *, Pierre-Olivier Bazin b RÉSUMÉ L audit est un outil de progrès et d aide à la décision au service de l entreprise et
Plus en détailScience et technique. La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants. Viande bovine et micro-organisme pathogène
Science et technique Viande bovine et micro-organisme pathogène La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants La contamination des carcasses lors des opérations d abattage et la
Plus en détailCONVENTION de COLLABORATION. La Mutuelle de Santé de Bignamou et. Le Centre de Santé de Bignamou
CONVENTION de COLLABORATION entre La Mutuelle de Santé de Bignamou et Le Centre de Santé de Bignamou La mutuelle de Bignamou d une part, et le Centre de Santé de Bignamou d autre part, sont désireux de
Plus en détailPropriétés pharmacologiques, indications, posologies et modes d administration, surveillance du traitement
Mars 2011 Version intégrale de la MAP MISE AU POINT SUR LE BON USAGE DES AMINOSIDES ADMINISTRÉS PAR VOIE INJECTABLE : GENTAMICINE, TOBRAMYCINE, NÉTILMICINE, AMIKACINE Propriétés pharmacologiques, indications,
Plus en détailANTIBIOTHÉRAPIE PAR VOIE GÉNÉRALE. Infections ORL et respiratoires basses
ANTIBIOTHÉRAPIE PAR VOIE GÉNÉRALE Infections ORL et respiratoires basses RECOMMANDATIONS 1 Les recommandations ont été établies par un groupe de travail multidisciplinaire, sous l égide de l Agence du
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailNouvel audit du grephh : evaluation des précautions complémentaires
Actualités du CCLIN EST et de ses 5 antennes régionales Décembre 2013 Nouvel audit du grephh : evaluation des précautions complémentaires Dans le prolongement de l audit précautions standard, le Groupe
Plus en détailLa résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens
DECLARATION COMMUNE DES ACADEMIES DU G SCIENCE 2013 La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens Une menace globale pour l'humanité Depuis l introduction dans les années 40 du premier
Plus en détailRapport Scientifique Seine-Aval 3
Rapport Scientifique Seine-Aval 3 Séminaire Seine-Aval 2008 Fiches de synthèse des propositions SA4 THEME 1 : MORPHO-DYNAMIQUE, CYCLES DES VASES ET CONTAMINANTS ASSOCIES ANALYSE DU RISQUE MICROBIOLOGIQUE
Plus en détail3: Clonage d un gène dans un plasmide
3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailPartie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés
Molécules et matériaux organiques Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés bjectifs du chapitre Notions à connaître
Plus en détailPolitique de remboursement des anti-infectieux? Dr Y. Van Laethem (ULB) Prof. P. Tulkens (UCL)
Politique de remboursement des anti-infectieux? Dr Y. Van Laethem (ULB) Prof. P. Tulkens (UCL) Séminaire de Pathologie Infectieuse UCL / St Luc 1 avril 2002 1 Qui sommes nous? Membres de La Commission
Plus en détailD. EVEN-ADIN - S. PLACE, Hôpital Erasme SBIMC - 26 octobre 2006
D. EVEN-ADIN - S. PLACE, Hôpital Erasme SBIMC - 26 octobre 2006 Facturation des spécialités pharmaceutiques Dépenses pharmaceutiques remboursées en officine hospitalière (INAMI) Millions 550 500 450 Total
Plus en détail2 C est quoi la chimie?
PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailUn veau atteint de troubles respiratoires
LES MALADIES RESPIRATOIRES DES VEAUX SOUS LA : PLUTOT QUE D AVOIR A LES GUÉRIR, IL VAUT BEAUCOUP MIEUX LES PRÉVENIR EN APPLIQUANT QUELQUES RÈGLES D ELEVAGE SIMPLES ET DE BON SENS Les maladies respiratoires
Plus en détailVue d ensemble de la vie microbienne
Vue d ensemble de la vie microbienne C HAPITRE D EUX I Structure cellulaire et évolution 22 2.1 Les structures cellulaires et virales 22 2.2 L organisation de l ADN dans les cellules microbiennes 24 2.3
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailFièvre chez un patient immunodéprimé.
Fièvre chez un patient immunodéprimé. N 187. Fièvre chez un patient immunodéprimé Connaître les situations d'urgence et les grands principes de la prise en charge. Connaître les principes de la prise en
Plus en détailSéquence 2. L expression du patrimoine génétique. Sommaire
Séquence 2 L expression du patrimoine génétique Sommaire 1. La synthèse des protéines 2. Phénotypes, génotypes et environnement Synthèse de la séquence 2 Exercices de la séquence 2 Glossaire des séquences
Plus en détailA C T I V Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007
Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007 Edouard BINGEN, Robert COHEN, Corinne LEVY, France de La ROCQUE, Emmanuelle VARON, Yannick AUJARD, pour le GPIP-ACTIV Objectifs de l Observatoire des Méningites
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détail4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE
4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE L écologie microbienne (ou étude des micro-organismes de l environnement) étudie : les relations entre les différentes populations de micro-organismes
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailAnnales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année)
Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Equipe pédagogique Université Bordeaux-1 Didier Morin, Michel Moenner, Sophie North, Gérard Tramu et IJsbrand Kramer Contact : i.kramer@iecb.u-bordeaux.fr
Plus en détailSemestre 2 Spécialité «Analyse in silico des complexes macromolécules biologiques-médicaments»
Master In silico Drug Design Semestre 2 Spécialité «Analyse in silico des complexes macromolécules biologiques-médicaments» 30NU01IS INITIATION A LA PROGRAMMATION (6 ECTS) Responsables : D. MESTIVIER,
Plus en détailDES NOUVELLES DU COMITÉ DE PHARMACOLOGIE
Le mardi 30 octobre 2012 Bulletin no 1 / 2012-2013 DES NOUVELLES DU COMITÉ DE PHARMACOLOGIE La première réunion du Comité de pharmacologie de l année 2012-2013 a eu lieu le 30 octobre 2012. RÉSUMÉ EN QUELQUES
Plus en détailNOCOSPRAY CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES UN FONCTIONNEMENT TRÈS SIMPLE DE MULTIPLES OPTIONS PERMETTANT DE S ADAPTER À CHAQUE SITUATION
NOCOSPRAY Notre concept est né de l association Nocospray + Nocolyse (machine/produit) pour une désinfection automatisée sous forme gazeuse. Il permet de traiter de façon automatisée l air et les surfaces
Plus en détailPrix et qualité des médicaments et de la prescription : les médicaments génériques et biosimilaires et la prescription en DCI
Prix et qualité des médicaments et de la prescription : les médicaments génériques et biosimilaires et la prescription en DCI Paul M. Tulkens, Dr Med., Sp. Biol. Clin. Cellular and Molecular Pharmacology
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailVol. 2 N 3. Surveillance of antimicrobial resistance in humans, food stuffs and livestock in Denmark
Vol. N 3 MARS / MARCH 1997 BULLETIN EUROPÉEN SUR LES MALADIES TRANSMISSIBLES / EUROPEAN COMMUNICABLE DISEASE BULLETIN FUNDED BY DGV OF THE COMMISSION OF THE EUROPEAN COMMUNITIES FINANCÉ PAR LA DGV DE LA
Plus en détailLe régulateur RC 6170 RC 6170 FORMATION. Formation RC 6170 1
Le régulateur RC 6170 RC 6170 FORMATION Formation RC 6170 1 Réglage de la consigne du RC 6170 : Mettre le régulateur sous-tension. L affichage supérieur doit présenter la température mesurée. L affichage
Plus en détailRapport de Stage Master Professionnel
Ministère de l'enseignement Supérieur de la Recherche Scientifique et de la Technologie Université de Gabès Institut Supérieur de Biologie Appliquée de Médenine Rapport de Stage Master Professionnel DEPISTAGE
Plus en détailLa reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006
La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel En 1890 Emil Fisher a proposé le modèle "serrure et clé" pour expliquer la façon de fonctionner des systèmes biologiques. Un substrat rentre et
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailLes cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailCLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE
CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailPSDP et usage des pénicillines - ESAC
Plan National d alerte sur les Antibiotiques 2011/2016 Déclinaison régionale Pr Pierre DELLAMONICA CHU de Nice ARS 29/11/12 1 Plans précédents 2001/2005 et 2007/2010 «Menace de santé publique majeure»
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détail