APPORT DE DECHETS VERTS COMPOSTES EN MASSIFS
|
|
- Claude Tassé
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Essai AI//PY/0 Entretien des espaces APPORT DE DECHETS VERTS COMPOSTES EN MASSIFS FILIERE : OBJECTIFS : INTERETS : ACTION : Paysage Tester l incorporation de déchets verts compostés, d amendements organiques et d herbes coupées dans des massifs d annuelles et de bisannuelles pour les collectivités Recycler les déchets verts. Limiter l entretien et les apports en eau et en éléments fertilisants. Entretien des espaces TS CLE : Amendements organiques, Déchets verts compostés PARTENAIRES : REFERENT ESSAI : Site expérimental : SAINT ANDRE DE L EURE M. Guilmoteau Firmes : Entreprise horticole HAAS, Le Neubourg (7) Le Pôle Vert Distribution, Derome Elise Bétrémieux ANNEE : 0 RESUME : Sur la campagne annuelle de 009, très sèche et peu surveillée en arrosage, les résultats avaient mis en avant une différence significative entre les deux techniques d incorporation : le mode surfaçage avait inhibé le développement des plantes tandis que le mode incorporation avait favorisé leur développement. En 00, avec un arrosage surveillé, les résultats indiquent des différences non significatives entre les différentes modalités. Pour la période étudiée, avec la typologie de terre utilisée, les résultats de l étude ne montrent pas l intérêt d un apport d éléments fertilisants. En 0, deux modalités ont été ajoutées pour comparer l effet d un compost commercialisé face à un compost élaboré par une commune avec deux apports : - au printemps - à l automne Les modalités en surfaçage pour les apports d amendements et de compost ainsi que la modalité d'herbes coupées en incorporation n ont pas été reconduites en 0 car elles ne correspondent pas aux objectifs de l'essai et aux attentes des professionnels. Les résultats de l année 0 montrent que les différences entre modalités sont significatives par rapport à l année 00 et il est à noter que la modalité Amendements en incorporation obtient des résultats très positifs avec une moyenne de présence d adventices en nette diminution par rapport AREXHOR Seine-Manche rue de Normandie 7660 Fauville en Caux Tél : L application des méthodes de cet essai, aux conditions de chaque exploitation horticole, se fait sous l entière responsabilité de l entreprise
2 à l année 00. L étude des modalités de compost de différences provenances montre que les communes ont des débouchés pour leurs déchets verts (feuilles, gazon, terreau usagé, fleurs arrachées) avec des résultats pour la modalité de compost élaboré par une commune en incorporation très intéressants au niveau du développement et de l état général des plantes. La modalité Herbes coupées en surfaçage a été conservée pour valider l effet anti adventices avec un pourcentage inférieur à 0% d envahissement sur toute la saison estivale. Le développement des plantes est moindre qu avec la modalité témoin mais reste néanmoins très satisfaisant. On peut conclure sur modalités intéressantes à utiliser en espaces verts pour les plantations annuelles : Amendements organiques en incorporation Compost élaboré par une commune en incorporation (apport de printemps ou d automne) Herbes coupées en surfaçage (effet visuel moins intéressant que les modalités ci-dessus en début de développement.). INTRODUCTION.. Objectif But de l essai : Etudier l incorporation de déchets verts compostés, d amendements organiques et d herbes coupées dans des massifs d annuelles pour les collectivités. Intérêt économique : Recyclage les déchets verts. Limitation de l entretien et des apports en eau et en éléments fertilisants... Acquis et bibliographie Kaluzny-Pinon Linda (Espaces Verts Sept 00) met en avant l'utilisation du compost de déchets verts avec l'exemple d'angers et les essais qu'ils ont mené pour leur compte sur l'apport de déchets verts en paillage sur annuelles. Aprés contact avec Mr Bertoli de la DPJ d'angers, il recommande de suivre son évolution dans le sol au cours des années pour avoir des résultats plus significatifs. Ce même auteur explique (Espaces Verts Avril 00) combien le tri sélectif est important pour l'obtention d'un compost de qualité. L'essai (Arexhor Grand Est, 005) sur l'utilisation de déchets verts compostés sur arbustes et plantes molles a été conduit sur genres (Potentilla/Verveine/Thuya/Begonia) avec une problématique au niveau des dosages (5kg et 0kg/m) et du mode d'apport (incorporation et surfaçage). Il n'y a pas eu de différence significative entre les apports de déchets verts. Concernant l'essai mis en place sur notre station, la première année a montré que les modalités amendements organiques et herbes coupées en incorporation permettaient un développement et un état général des parcelles meilleur que les autres modalités. Les applications en surfaçage ont eu un effet inhibiteur sur le développement des plantes. Le suivi des adventices a montré un risque de surcontamination sur certaines modalités, et plus particulièrement sur les deux modalités citées. Sur la campagne «bisannuelles», en règle générale, les observations n'ont pas montré de différence significative entre les modalités sur les différentes notations. Il n y a pas d effet réellement négatif. En 00, pour la campagne annuelle, il n'y a pas eu de différences significatives observées entre les modalités mais le témoin a eu un comportement légèrement supérieur aux autres. Des apports de compost et d'amendements organiques en incorporation ont été effectués à l'automne 00 pour la campagne annuelle 0. Il n'y a donc pas eu d'observations sur une campagne bisannuelle. En 0 l essai a été mené en partenariat avec une commune ayant son propre compost, afin de comparer l'effet d'un compost élaboré en collectivité par rapport à un compost commercialisé et
3 normé (des analyses ont été effectuées pour étudier la composition du compost en fonction de sa provenance). Une comparaison lors de la campagne annuelle a été effectuée par rapport à la date de mise en place du compost (une modalité avec un apport à l'automne 00 et une modalité avec un apport au printemps 0) avec les composts différents : l'un commercialisé et l'autre élaboré par la commune partenaire. Il a été bien sûr nécessaire de prendre en compte l'évolution dans le temps des différents apports effectués dans le sol et les conséquences sur le développement des plantes en effectuant des analyses de sol.. MATERIEL ET METHODES. Facteurs étudiés et modalités testées Mise en place de 7 modalités : Pour cette année, types d apports à modes d incorporation différents sont comparés avec le témoin sans apport sur campagne de culture (annuelle) sans apports de fertilisants. Deux composts de déchets verts sont apportés : un compost commercialisé par la station de compostage de Maromme (76) et un compost élaboré par une commune partenaire (Bosc Roger en Roumois, 7) sur périodes de mise en place. Modalité : Témoin sans apport Modalité : Déchets verts compostés en incorporation au printemps Station Maromme : kg/m Modalité : Déchets verts compostés en incorporation à l automne Station Maromme : kg/m Modalité : Herbes coupées en surfaçage : à 5cm d épaisseur après séchage pendant journée et en laissant un espace autour du collet pour éviter l échauffement. Modalité 5 : Amendements organiques élaborés en incorporation : 00 à 00g/m Modalité 6 : Déchets verts compostés en incorporation au printemps Commune : kg/m Modalité 7 : Déchets verts compostés en incorporation à l automne Commune : kg/m Parcelle de m par modalité / Dispositif complet sans répétition. Conduite et déroulement de l essai.. Structure et lieu d accueil L essai est mis en place sur une commune partenaire : Saint André de l Eure (7) La parcelle d essai est un espace vert engazonné... Matériel végétal Campagne «annuelles» Essai "Déchets verts compostés en massif" Œillet d Inde Begonia Culture : Horticulteur : Etablissements HAAS Il est apparu nécessaire d utiliser des taxons déjà fortement utilisés en fleurissement annuel et bien connus pour leurs comportements en massif afin d observer au mieux les changements de développement et de comportement face aux différentes modalités.
4 .. Conduite culturale Plantation sur le site de Saint André de l Eure. Saint André de l Eure Lieu Exposition Massif enclavé Soleil l après midi Campagne «annuelles» 0 - En Septembre 00 : Mise en place d une nouvelle terre pour les modalités de compost élaboré par la collectivité (M6, M7) pour éviter de travailler sur les anciennes modalités (00) d herbes coupées en surfaçage et en incorporation. - En Octobre 00 : Apport de compost pour la modalité d automne en incorporation des composts de différence provenance à kg/m Apport d amendements organiques sur la modalité M5 Analyse des composts Année 0 - Semaine 8 : Apport de Chaux sur la modalité Amendements organiques M5 (00g/m) - Semaine : Plantation des annuelles Apport d herbes coupées sur la modalité M (après jour de séchage) L apport de compost de la modalité de printemps pour cette campagne annuelle 0 a été effectué à la plantation : Compost en incorporation (station Maromme et collectivité) à kg/m Il a été demandé aux communes un simple entretien du massif par rapport à l arrosage : arrosage par semaine (5 minutes par arrosage) a été effectué sur la saison de notations. Il leur a été demandé de ne pas nettoyer les adventices pour que l on puisse noter leur développement à chaque notation. Analyses de sol réalisées pour toutes les modalités : semaine (avant la plantation).. Conduite et déroulement de l essai.. Description/Plan de la parcelle M7 M5 M MT M6 M M MT : Témoin, M : Compost en incorporation printemps Station Maromme, M : Compost en incorporation automne Station Maromme, M : Herbe coupée en surfaçage, M5 : Amendements en incorporation, M6 : Compost en incorporation printemps Commune, M7 : Compost en incorporation automne Commune
5 . Variables mesurées et planning de notation.. Notations Par parcelle : Couverture du sol : 5% = début du développement des plants 50% = les feuilles se touchent 75% = les feuilles se touchent et commencent à couvrir le sol 95% = bonne couverture mais il reste des espaces non couverts 00% = couverture totale Développement des adventices : de 0 à 00% en fonction du recouvrement de la parcelle Nombre d adventices / Reconnaissance des adventices Par pied : Fleur : floribondité : faible (0), moyenne (), bonne (), très bonne () Homogénéité : mauvaise (0), moyenne (), bonne (), très bonne () «Etat» de la plante : mauvais (0), moyen (), bon (), très bon () Développement (Hauteurs et diamètres) : mauvais (0), moyen (), bon (), très bon () Nombre de plantes fleuries sur le total des plantes Remarques : Descriptions complémentaires, aspects phytosanitaires, appréciations personnelles... Planning Notations sur la campagne «annuelles» : A la plantation : semaine Au cours de la saison : semaine 7,, 8. RESULTATS ET DISCUSSIONS. Analyse de sol Analyse des composts Station et Collectivité Octobre 00 Analyse du compost commercialisé par la Station de compostage de Maromme et du compost élaboré par la collectivité partenaire Analyse de sol effectuée en Mai 009 : Analyse de la modalité témoin avant la première campagne d essai (annuelles). Octobre 009 : Analyse des modalités (sauf du témoin) après la première campagne d annuelles (c'est-à-dire après un apport de compost en février 009 et après un apport d amendements et d herbes coupées au printemps 009). Juin 00 : Avant la deuxième campagne d annuelles (c est-à-dire avant l apport d amendements en juin 00). Il n y a pas eu d apport de compost à l automne 009 car l essai se poursuivait sur une campagne de bisannuelles plantées au début de l automne 009. Septembre 00 : Après la deuxième campagne d annuelles (c est-à-dire après l apport d amendements et d herbes coupées en juin 00 et avant l apport de compost pour la campagne 0). Mai 0 : Analyse des modalités (sauf témoin) avant la campagne d essai (annuelles) 0. (C est-à-dire après les apports de compost d automne et d amendements organiques) 5
6 Résultats des analyses Les comptes rendu des analysess de sol sont liés aux résultats et interprétations du laboratoire Cap Seine et sont exprimés par eux-mêmes suivant cette échelle : : Etat de fertilité très faible : Etat de fertilité élevéé : Etat de fertilité faible 5 : Etat de fertilité très élevé : Etat de fertilité normal Etat de fertilité de la modalité Témoin sans apport Etat de fertilité de la modalité Amendements organiques en incorporation 5 Calcium 0 mai-09 sept.-0 mai- Le graphique présente l évolution de la fertilité de la modalité témoin sans apport à partir de la première analyse de sol en amont de la mise en place de l essai. Il apparaît une évolution croissante de l état de fertilité malgré l absence d apport : c est une minéralisation naturelle qui s effectue dans le temps. En septembre, le ph du sol est plus élevé et comme le est lié à l acidité du sol, sa teneur est plus élevée en septembre. L état de fertilité se stabilise après la campagne 00. Etat de fertilité de la modalité Compost Collectivité en incorporation d'automne 5 0 Calcium sept-0 mai- Suite au remplacement de la terre, un apport de compost a été effectué en octobre 00 et a permis de faire évoluer l état de fertilité du sol au niveau de la teneur en phosphore et en calcium. La teneur en matière organique reste assez faible en 0 mais les résultats au niveau de l état général des plantes restent très satisfaisants Calcium oct.-09 juin-0 sept.-0 mai- L état de fertilité de cettee modalité est nettement supérieur au témoin, avec une stabilité dans le temps. L apport effectué au printemps 009 permet d augmenter le niveau de fertilité du sol et de le garder constant jusqu au nouvel apport fin juin 00 (après l analyse de sol). La plante dispose des minéraux en grande quantité mais au détriment du calcium. Cette baisse peut entraîner une malformation des feuilles et un dépérissement général de la plante. L apport de chaux vive à l automne 000 permet l augmentation de la teneur en calcium pour la campagne annuelle 0. Les résultats satisfaisants de l année 0 au niveau du développement et de l état général des plantes peuvent en résulter. Etat de fertilité de la modalité Compost Collectivité en incorporation de printemps 5 0 Calcium sept-0 mai- L apport de printemps permet de faire évoluer l état de fertilité du sol plus significativement qu à l automne surtout au niveau des teneurs en matière organique, en potasse et en magnésium. La teneur en matière organique est cependant encore faible sans grosse incidence sur les résultatss au niveau de l état général des plantes qui sont très satisfaisants.
7 5 0 Etat de fertilité de la modalité compost Station Maromme en incorporation d'automne oct.-09 juin-0 sept.-0 mai- La matière organique atteint un niveau de fertilité très élevé suite aux différents apports depuis 009 étant donné que nous sommes sur la parcelle qui était déjà en apport de compost en incorporation de la station de Maromme. Malgré ces teneurs élevées, les résultats de cette modalité ne sont pas les meilleurs mais restent très satisfaisants, les différentes entre les modalités n étaient pas très significatives, se jouant à peu d écarts.. Analyse des composts 5 Calcium 0 Etat de fertilité de la modalité compost Station Maromme en incorporation de printemps sept.-0 mai- Calcium La matière organique atteint un niveau de fertilité très élevé suite aux différents apports depuis 009 étant donné que nous sommes sur la parcelle qui était déjà en apport de compost en surfaçage de la station de Maromme. Les résultats sur le développement et l état général des plantes restent néanmoins inférieurs aux modalités de compost en incorporation de la collectivité. 50 Etat de fertilité des différents composts (en G/KG) Les teneurs en matière organique et en calcium sont plus élevées avec le compost de la Station de Maromme mais n apportent pas de meilleurs résultats qu avec le compost élaboré par la collectivité Calcium Bosc Roger en Roumois Station de compostage 7
8 . Couverture du sol En 00, toutes les modalités présentaient une bonne couverture de sol dès la semaines et avec plus de difficultés pour la modalité herbes coupées en surfaçage qui a limité le développement des plantes tout en limitant nettement la présence d adventices. Le développement a été plus significatif sur l année 0 même pour la modalité herbes coupées en surfaçage qui présente de meilleurs résultats pour l état général des plantes. Seule la modalité Compost Maromme en incorporation d automne ne présente pas une bonne couverture du sol. En 0, trois modalités se démarquent nettement du témoin : - Compost de la collectivité en incorporation d automne - Herbes coupées en surfaçage - Amendements en incorporation Année 00 Année 0 8
9 . Pourcentage d adventices Les modalités surcontaminées par les adventices en 00 étaient la modalité Témoin, Amendements en incorporation et le compost en incorporation. Au contraire la modalité Herbes coupées en surfaçage a permis de stopper le développement des adventices. En 0 on retrouve surtout les modalités de compost en incorporation qui sont les plus touchées : - Modalités du compost de la station de compostage - Modalités du compost de la collectivité en incorporation de printemps Les apports de compost engendrent une présence importante d adventices qui peuvent être limitées par un paillage. 9
10 .5 Développement et Etat général Des mesures de diamètres, de hauteurs, d évaluation du développement et de l état général normalement observé à ces périodes ont été effectuées sur les différentes variétés des différentes modalités et donnent une note de développement quantitatif (de 0 à ). Ces résultats sont présentés par modalité. Légende Modalités ayant eu les meilleurs résultats 0
11 Ces graphiques montrent qu en 00 le témoin se démarque légèrement des autres modalités au niveau du développement des plantes mais qu il n y a pas de différences significatives entre les modalités. Pour l année 0, les modalités Amendements en incorporation et Compost collectivité en incorporation d automne présentent les meilleurs résultats pour le développement et l état général des plantes.. CONCLUSION ET PERSPECTIVES. Etude économique Prix HT/Tonne Prix HT/kg Prix HT/m Amendements élaborés DEROME (produit GUANORG) en 0 kg en 0 kg Sacs de 0 kg Compost (NFU05) Station de Maromme (76) Herbe coupée Compost élaboré par la collectivité En vrac criblage 0,0 (diamètre) En vrac criblage 0,0 (diamètre) déchets de tonte déchets de feuilles, gazon, terreaux usagés, fleurs arrachées / 0 / / Plus l on va vers un produit dit élaboré plus le coût au m est important. Cependant il est à noter que ces produits permettent une meilleure mise à disposition des différents éléments nutritifs sans pour autant montrer une différence significative au niveau des conclusions finales sur les campagnes d observations depuis 009. A noter : Le compost destiné à la vente répond à la norme NFU05. Cette norme s applique aux produits qui répondent à la définition des amendements organiques qui sont des produits destinés à améliorer les sols. Elle rentre dans une réglementation globale applicable aux matières fertilisantes et aux supports de culture. Cette norme impose le suivi du produit par des analyses lors de la conduite du compostage : - Suivi de la température - Traces en éléments métalliques - Présence d agents pathogènes - Valeurs limites matières inertes et impuretés
12 Cette norme permet d obtenir un produit de qualité : - Bonne composition (contrôle de la qualité des produits entrants) - Absence de toxicité vis-à-vis des cultures - Innocuité vis-à-vis des sols, des eaux souterraines et superficielles - Bon aspect visuel Le compost élaboré par la collectivité est mis en place sur les massifs après une année de compostage. Il est constitué de feuilles mortes, de terreau usagé, de fleurs arrachées et de déchets de tonte.. Conclusion Sur la campagne annuelle de 009, très sèche et peu surveillée en arrosage, les résultats avaient mis en avant une différence significative entre les deux techniques d incorporation : le mode surfaçage avait inhibé le développement des plantes tandis que le mode incorporation avait favorisé leur développement. En 00, avec un arrosage surveillé, les résultats indiquent des différences non significatives entre les différentes modalités. Pour la période étudiée, avec la typologie de terre utilisée, les résultats de l étude ne montrent pas l intérêt d un apport d éléments fertilisants. En effet, on note que sur la modalité témoin, les plantes se développent bien et présentent un bon état général avec un taux d adventices ne dépassant pas 0% en semaine. Les modalités en incorporation présentent également des bons résultats sur le développement et l état général des plantes mais les taux d adventices dépassent les 75% en semaine. Pour l année 00, le bon développement des plantes ne dépend donc pas de la présence de fertilisants naturels qu ils soient utilisés en surfaçage ou en incorporation. En 0, deux modalités sont ajoutées pour comparer l effet d un compost commercialisé face à un compost élaboré par une commune avec deux apports : - au printemps - à l automne Les modalités en surfaçage pour les apports d amendements et de compost ainsi que la modalité d'herbes coupées en incorporation n ont pas été reconduites en 0 car elles ne correspondent pas aux objectifs de l'essai et aux attentes des professionnels. Les résultats de l année 0 montrent que les différences entre modalités sont plus significatives que sur l année 00 et il est à noter que la modalité Amendements en incorporation obtient des résultats très positifs avec une moyenne de présence d adventices en nette diminution par rapport à l année 00. L étude des modalités de compost de différences provenances met en avant les débouchés possibles pour les déchets verts en collectivités (feuilles, gazon, terreau usagé, fleurs arrachées) avec des résultats pour la modalité de compost élaboré par une commune en incorporation très intéressants au niveau du développement et de l état général des plantes. La modalité Herbes coupées en surfaçage a été conservée pour valider l effet anti adventices avec un pourcentage inférieur à 0% d envahissement sur toute la saison estivale. Le développement des plantes est moindre qu avec la modalité témoin mais reste néanmoins très satisfaisant. On peut noter modalités intéressantes à utiliser en espaces verts pour les plantations annuelles : Amendements organiques en incorporation Compost élaboré par une commune en incorporation (apport de printemps ou d automne) Herbes coupées en surfaçage (effet visuel moins intéressant que les modalités ci-dessus en début de développement.)
13 L essai se conclut en 0 sur l utilisation intéressante d un compost élaboré en collectivité. Il permet le recyclage des déchets verts et même si sa teneur en matière organique est moins élevée que pour le compost commercialisé les résultats sur l état et le développement des plantes sont plus satisfaisants. Il est important de noter qu avec un compost élaboré en collectivité, la durée de compostage doit être plus importante. L apport d amendements constitue une alternative intéressante pour garantir un bon développement mais c est une option économiquement moins rentable.
Le compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailLe printemps et l été du compost
Le printemps et l été du compost Le printemps du compost 1 A la sortie de l hiver, le compost est souvent trop tassé et/ou trop humide. Il faut, avant les nouveaux apports, penser à bien l aérer en faisant
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailJEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVIII e ÉDITION
JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVIII e ÉDITION Projet de règlement no. 3 : Règlement sur la responsabilisation environnementale PRÉSENTATION Présenté par Monsieur Maxime Maheu-Moisan, membre du comité exécutif,
Plus en détailUne gamme d outils qui s étoffe
Une gamme d outils qui s étoffe 1 Une gamme d outils à la disposition de tous Tous ces outils sont disponibles sur www.cetiom.fr Gratuits et sans inscription Nouveautés : les 2 premières applications smartphone
Plus en détailLes objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de :
GUIDE EXPLICATIF POUR LES CITOYENS RÈGLEMENT SUR L UTILISATION DES ENGRAIS ET DES PESTICIDES Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de : Réduire l apport par ruissellement
Plus en détailNe brûlons plus nos déchets verts à l air libre!
En savoir QUIZZ + Plan de Protection de l Atmosphère des Bouches-du-Rhône 1 2 3 4 J ai le droit de brûler mes déchets de tonte de pelouse en petite quantité dans ma cour non exposée à la route. Mes déchets
Plus en détailInformations techniques sur la culture de l ananas
Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant
Plus en détailCOMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
COMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Objet du Marché : Procédure adaptée pour «entretien des espaces verts de la commune de Pont à Marcq» Année 2013 Maître d ouvrage : Commune
Plus en détailFertiliser le maïs autrement
Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein
Plus en détailFICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE
FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE 2 I- JUSTIFICATION La consommation de la pastèque est en nette expansion en réponse à une forte demande nationale et régionale ; Cependant la production
Plus en détailSERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière
Plus en détailValérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015
Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détail[Signature]Essais réalisés en collaboration entre les Chambres d'agriculture de Bretagne, les fédérations de Cuma et Arvalis Institut du végétal.
[Titre]Semis de maïs : 3 semoirs à l'épreuve de la vitesse [Commentaires sur la mise en forme : Le tableau des caractéristiques des matériels avec les photos des semoirs doit être placé en première page.
Plus en détailCOBAS : guide des horaires
COBAS : guide des horaires DE COLLECTE DES DÉCHETS Retrouvez également : LE GUIDE DU TRI UN POINT SUR LA COLLECTE DES ENCOMBRANTS LES HORAIRES D OUVERTURE DES DÉCHÈTERIES FICHE RECAPITULATIVE COLLECTE
Plus en détailPlan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes?
11 décembre Arles Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes? Claire LAFON Benoit DUPUY Introduction
Plus en détailles cinq étapes pour calculer les jours d avance
À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule
Plus en détailRay-grass anglais auto-regarnissant
Robuste COMME L ACIER Ray-grass anglais auto-regarnissant Une technologie révolutionnaire : auto-regarnissage et tolérance au jeu la plus élevée, même avec une tonte courte! RPR technology inside! RPR
Plus en détailÉtape 1 : Balancer la chimie de l'eau
Étape 1 : Balancer la chimie de l'eau Au printemps surtout et durant l'été, il sera important de contrôler et d'ajuster certain paramètres qui constituent la chimie de l'eau. Cet étape est bien souvent
Plus en détailLettre info environnement
S O M M A I R E : 1-Edito du Président 2-Equipement des Professionnels et Particuliers en containers ordures ménagères 3-Les Permanences en Mairie et au bâtiment technique 4 Les Modalités de distribution
Plus en détaileat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com
eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste De plus en plus, le traitement des biodéchets
Plus en détailGESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS
GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS Stockage et Epandage Etude réalisée pour le compte de l ADEME par : SOLAGRO : M. Christian COUTURIER AQUASOL : M. Thierry BRASSET Coordination technique
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailPARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR
PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR 2014 ACTIVITE DE CORETEC Notre principal objectif est de réduire la facture énergétique de nos 450 clients au travers
Plus en détailLe traitement mécano-biologique des déchets Important pour le Maroc? Casablanca, 23 Mars 2011
Le traitement mécano-biologique des déchets Important pour le Maroc? Casablanca, 23 Mars 2011 Plan de la présentation Partie I Pourquoi le TMB? Partie II Variantes techniques Partie III Conclusions pour
Plus en détailNote récapitulative : culture de Taillis à très Courte Rotation (TtCR) de saules
Convention de production et de vente de TtCR de saule Note récapitulative : culture de Taillis à très Courte Rotation (TtCR) de saules 1. Généralités Le taillis à très courte rotation (TtCR) est une culture
Plus en détailHISTORIQUE et EXPLOITATION DETRIVAL I. ISDI et déchets d amiante lié à des matériaux inertes (amiante ciment) Commune de VIGNOC 35
HISTORIQUE et EXPLOITATION DETRIVAL I ISDI et déchets d amiante lié à des matériaux inertes (amiante ciment) Commune de VIGNOC 35 Vue aérienne du site de stockage amiante ciment Page 1-6 DETRIVAL I : ISDI
Plus en détailRESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008
C.R.E.A.B. MIDI-PYRENEES CENTRE REGIONAL DE RECHERCHE ET D EXPERIMENTATION EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE MIDI-PYRENEES RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détailMode d emploi. Moins de déchets, 10 gestes pour transformer nos habitudes
Mode d emploi Moins de déchets, 10 gestes pour transformer nos habitudes 10 «petits» gestes pour réduire nos déchets Réduire ses déchets c est avant tout mieux consommer Le meilleur déchet est celui qui
Plus en détailFeuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre.
Université de Nantes Année 2013-2014 L3 Maths-Eco Feuille 6 : Tests Exercice 1 On cherche à connaître la température d ébullition µ, en degrés Celsius, d un certain liquide. On effectue 16 expériences
Plus en détailActivité au 30 septembre 2009
Séch ché Environnement Activité au 30 septembre 2009 Conférence téléphonique du 28 octobre 2009 1 Faits marquants du trimestre Séché : confirmation des tendances du 1 er semestre (CA : 91,9 soit -2,5%
Plus en détailLettre de rappel sur HODUFLU
Département fédéral de l économie, de la formation et de la recherche DEFR Office fédéral de l agriculture Secteur Paiements directs - Programmes Département fédéral de l environnement, des transports,
Plus en détailLE CARNET DE L ELEVE. La Maison du Développement Durable présente
La Maison du Développement Durable présente LE CARNET DE L ELEVE La Maison du Développement Durable est une réalisation d Objectif D. 15, rue André Del Sarte - 75018 Paris Ils t accompagnent pendant toute
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailÉcole du Paysage et de l'horticulture
Convention de stage École du Paysage et de l'horticulture 14480 Saint Gabriel Brécy Concernant l'élève : Nom : Prénom : Date de naissance : En classe de : CAPA Seconde BAC Pro Dans l'option : Productions
Plus en détailLIVRET D AMENAGEMENT. VetAgro Sup, agro campus de Clermont Ferrand
22 09 2010 VetAgro Sup, agro campus de Clermont Ferrand Mathieu BOOGHS Guillaume COUEPEL Caroline COUFFIGNAL Aurore DESGROUX Morgane GRASSELLY Estelle PAULHIAC LIVRET D AMENAGEMENT Vulgarisation d une
Plus en détailBancs publics. Problématiques traitées : FICHE
Bancs publics Pour un piéton dont les ressources de mobilité sont limitées, le banc public n est pas uniquement un lieu de détente, mais il lui sert également à retrouver des forces pour poursuivre son
Plus en détailUNEP /UNESCO /UNCH / ECA
UNEP /UNESCO /UNCH / ECA URBAN POLLUTION OF SURFICIAL AND GROUNDWATER AQUIFERS VULNERABILITY IN AFRICA Bénin, Guinée, Niger, Mali, Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso AQUIFERE SUPERFICIEL ET POLLUTION
Plus en détailles outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir
connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE
Plus en détaildéchets ménagers Collecte en apport aux colonnes Tél. 02 43 94 86 50 www.syndicatvaldeloir.fr
info service + Organisation de la collecte Demandez l autocollant «Stop pub»! Si vous ne souhaitez pas recevoir de publicités dans votre boîte à lettres, une seule solution : l autocollant «Stop pub»!
Plus en détailCe projet est soutenu par le Jour de la Terre Québec, les éco-quartiers de Ville-Marie et l arrondissement de Ville-Marie.
ÉDITION 2014 Collecte de matières dangereuses et de matériel informatique et électronique destinée aux ICI, OBNL et édifices de neuf logements et plus de l arrondissement Ville-Marie. Ce projet est soutenu
Plus en détailPETIT RECUEIL DES QUESTIONS LES PLUS FREQUEMMENT POSEES a
PETIT RECUEIL DES QUESTIONS LES PLUS FREQUEMMENT POSEES a QUESTIONS COMPOSTAGE / GESTION DES DECHETS VERTS 1. Quelle quantité de déchets compostables une personne jette t-elle par an? 2. Peut-on composter
Plus en détailEvaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne
VITICULTURE 27 Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne Marc Chovelon Grab Mathieu Combier Chambre d Agriculture du Var Gilles Masson Centre du
Plus en détailAssociation des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale,
Objectifs Association des convivialité, réunir les habitants autour du jardinage action sociale, création de jardins familiaux action environnementale, promouvoir un jardinage respectueux de l environnement
Plus en détailTél : 03 90 64 25 50 Site : www.cc-basse-zorn.fr
Communauté de Communes de la Basse-Zorn 34, rue de La Wantzenau - 67720 Hoerdt Tél : 03 90 64 25 50 Site : www.cc-basse-zorn.fr NOUVEAU SYSTEME DE COLLECTE DES DÉCHETS MÉNAGERS Weitbruch Gries Kurtzenhouse
Plus en détailLES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION
LES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION Technologies émergeantes de biométhanisation de la biomasse végétale en Inde H.N. Chanakya, Centre for Sustainable Technologies (formerly ASTRA Centre), Indian Institute
Plus en détailCRITERES D EXAMEN DE VARIETES EN VUE DE LEUR ADMISSION AU CATALOGUE POMMES DE TERRE (Solanum tuberosum L.) - 13/12/2013
1/9 CRITERES D EXAMEN DE VARIETES EN VUE DE LEUR ADMISSION AU CATALOGUE POMMES DE TERRE (Solanum tuberosum L.) - 13/12/2013 I. EXAMEN DE LA DISTINCTION, L HOMOGENEITE ET DE LA STABILITE (D.H.S.). L examen
Plus en détailFiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon
Fiche Technique sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre (Solanum tuberosum L.) au Cameroon I. JUSTIFICATION La pomme de terre est une culture importante qui participe à la sécurité alimentaire
Plus en détail> Quelle terre, quels outils et quel arrosage?
Chapitre 4 > Quelle terre, quels outils Une règle d or : soignez bien votre sol et il vous le rendra. Apportez-lui, en cas de besoin, sable, engrais et/ou compost pour l aérer ou l enrichir. Vous pouvez
Plus en détailRotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul
Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller
Plus en détailVITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE
VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :
Plus en détailÀ recycler ou pas? Guide pratique du tri
À recycler ou pas? Guide pratique du tri Pour trier, quels sont vos équipements? Pour les bouteilles et flacons en plastique, les emballages métalliques, les cartonnettes et les briques alimentaires Pour
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS
Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N
Plus en détailEvaluation de la variabilité d'un système de mesure
Evaluation de la variabilité d'un système de mesure Exemple 1: Diamètres des injecteurs de carburant Problème Un fabricant d'injecteurs de carburant installe un nouveau système de mesure numérique. Les
Plus en détailEssais sur l apport de différents types de matières organiques appliquées en bande à l implantation d un verger de cassis.
Programme d appui pour un secteur agroalimentaire innovateur Essais sur l apport de différents types de matières organiques appliquées en bande à l implantation d un verger de cassis. Rapport final n 11-321
Plus en détailGrand atelier éco-citoyen le samedi 19 janvier
Samedi 19 janvier 2008 Communiqué de presse Grand atelier éco-citoyen le samedi 19 janvier La Ville de Bordeaux a adopté, fin janvier 2007, une charte d écologie urbaine et de développement durable. Elle
Plus en détailEtat des lieux octobre 2006: 2006-2007 Classe à PAC : Etude de l écosystème «mare» avec les élèves de 6 ème Mauve.
Etat des lieux octobre 2006: 2006-2007 Classe à PAC : Etude de l écosystème «mare» avec les élèves de 6 ème Mauve. Cette année 2006-2007 les élèves de 6 ème Mauve bénéficient de la classe à PAC sur le
Plus en détailConcevoir et organiser son aire de remplissage, de lavage et de stockage des effluents
Concevoir et organiser son aire de remplissage, de lavage et de stockage des effluents 1 Ce document a été rédigé fin 009, dans le cadre du groupe de travail ECOPULVI, animé par l Institut Français de
Plus en détailEtude de démarches de promotion de composts municipaux Approche marketing MISSION REGIONALE POUR L ANIMATION D ACTIONS DE
Alexia HEBRAUD Cyril JARNY Claire PELLETIER Aubagne, le 17 décembre 2009 AH0907.043.FIL.COMP Exemple des concepts développés par Solum au Danemark Etude de démarches de promotion de composts municipaux
Plus en détailFiche technique n 1 : le logement construction des boxes.
Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation
Plus en détailDIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions
DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions Novembre 2010 CHAMBRE D AGRICULTURE 47 4ème Programme d Actions ZONE VULNERABLE Quelle zone? 93 communes 2466 exploitations 94425 ha 4ème Programme
Plus en détailMaximum Yield Technology. Maximum Yield Technolog technologie à rendement maximal
MYT Business Unit Zweckverband Abfallbehandlung Kahlenberg (ZAK) Bergwerkstraße 1 D-77975 Ringsheim Téléphone : +49 (0)7822 8946-0 Télécopie : +49 (0)7822 8946-46 E-mail : info@zak-ringsheim.de www.zak-ringsheim.de
Plus en détailbiophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées
biophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées Le compost, c est quoi? Définition, composition, valorisation, qualité Dr. Jacques G. Fuchs, biophyt sa 1. Généralités
Plus en détail16- Grand lac Shaw Portrait 2006
Grand lac Shaw 16- Grand lac Shaw Portrait 2006 16.1 Localisation et description physique du Grand lac Shaw : Municipalité St-Narcisse-de- Rimouski Bassin versant (sous-bassin) Tenure Altitude (m) Latitude
Plus en détailDébroussailler autour de sa maison : «une obligation»
Guide du débroussaillement règlementaire aux abords des constructions dans le département de Vaucluse Débroussailler autour de sa maison : «une obligation» 2 ème édition Le débroussaillement vous protège,
Plus en détailAnalyse des coûts d investissement en méthanisation agricole. Comparaison France et Allemagne
Analyse des coûts d investissement en méthanisation agricole Comparaison France et Allemagne Février 2013 1 Le développement de la méthanisation en Bourgogne dans le Programme Energie Climat Bourgogne
Plus en détailConseil Spécialisé fruits et légumes
Conseil Spécialisé fruits et légumes Proposition d axes pour l expérimentation pour 2013/2015 dans la filière fruits et légumes frais (hors pomme de terre) 18 décembre 2012 FranceAgriMer Préparation de
Plus en détailRessources pour l école élémentaire
Ressources pour l école élémentaire éduscol Découverte du monde Progressions pour le cours préparatoire et le cours élémentaire première année Ces documents peuvent être utilisés et modifiés librement
Plus en détailINFOS PRATIQUES. www.metropole-rouen-normandie.fr. duclair PROGRAMME DE REDUCTION DES DECHETS
INFOS PRATIQUES déchets PROGRAMME DE REDUCTION DES DECHETS 205 duclair www.metropole-rouen-normandie.fr édito Chère Madame, cher Monsieur, En matière de gestion des déchets, la Métropole Rouen Normandie
Plus en détailToutes les animations sont gratuites et ouvertes à tous!
Dossier de presse Semaine Européenne de la Réduction des déchets 16 au 24 novembre 2013 Concarneau Cornouaille Agglomération (CCA) a signé un Programme local de prévention en juillet 2011 en partenariat
Plus en détailRésumé Pommes de Terre des années 2005-2006
Les projets MDM et PADGG Démonstration et information Agriculture durable Résumé Pommes de Terre des années 2005-2006 La Fondation Exécution: Deux cultivateurs réguliers et Six cultivateurs biologiques
Plus en détailBien choisir sa variété de maïs ensilage
Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention
Plus en détailLibre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse
Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY
Plus en détailCOMMISSION DE SUIVI DE SITE
COMMISSION DE SUIVI DE SITE Centre de traitement multi filière SYCTOM IVRY Paris XIII Centre de tri et déchèterie exploités par SITA IDF SOMMAIRE Bassins versants Présentation du Centre de tri Bilan d
Plus en détailCommission Polydog Règlement de compétition SportPlaisir Catalogue des disciplines catégorie adresse niveau B
1 FAIRE UNE PIROUETTE SUR UNE PALETTE Description des installations Une estrade plane (palette) est placée au sol à environ 7 pas du point de départ. Pour le CCh, une ligne de démarcation est tracée un
Plus en détailSTI2D ANALYSE COMPARATIVE DE CYLE DE VIE TERRAIN EN GAZON NATUREL OU SYNTHETIQUE
STI2D ANALYSE COMPARATIVE DE CYLE DE VIE TERRAIN EN GAZON NATUREL OU SYNTHETIQUE Caractéristiques des terrains étudiés Complétez le schéma ci- dessus et le tableau ci- dessous Unité fonctionnelle A partir
Plus en détailLe logement dans tous ses états. Définition : le logement et l'habitat
Le logement dans tous ses états 17/10/ 2012 Définition : le logement et l'habitat Le logement est un produit : une maison, un appartement, un type 3, un duplex L'habitat est un service : l'espace produit
Plus en détailSOCIETE SAMSIC ECO CONCEPTION D UN SERVICE DE NETTOYAGE INDUSTRIEL BILAN APPEL A PROJET RECHERCHE EN ECO CONCEPTION 2008.
BILAN APPEL A PROJET RECHERCHE EN ECO CONCEPTION 2008 SOCIETE SAMSIC ECO CONCEPTION D UN SERVICE DE NETTOYAGE INDUSTRIEL Pourquoi agir Pour les acheteurs publics et privés, les attentes en matière d hygiène
Plus en détailAFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014
AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014 ETUDE DES METHODES DE LUTTES CONTRE LE VER BLANC DES CEREALES (GEOTROGUS DESERTICOLA BLANCH.) DANS
Plus en détailM. PATROUIX Robert M. TRYMBULAK Michael. M. RIGOLI Alain Les copropriétaires.
Sigean le, mercredi 2 novembre 2012 Note Rédaction Jean Claude GOUZÈNE M. FIAMAZZO Bruno, Président du conseil syndical À Copie M. PATROUIX Robert M. TRYMBULAK Michael M. RIGOLI Alain Les copropriétaires.
Plus en détailACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie
ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture
Plus en détailFénelon pour contribuer au tri sélectif et à la valorisation des déchets que nous produisons?
LYCEE FENELON : démarche Qualycée en cours Quels sont les efforts réalisés à Fénelon pour contribuer au tri sélectif et à la valorisation des déchets que nous produisons? 16/03/2015 tri sélectif à Fénelon
Plus en détailPetit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis
Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.
Plus en détailLa réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat
La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat M CORDELIER, JF. LASCOURREGES, C. PEYRELASSE, C.LAGNET, P.POUECH 4 ième Journées Industrielles Méthanisation 4
Plus en détailOUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :
OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques
Plus en détailCODEX ŒNOLOGIQUE INTERNATIONAL. SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012)
SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012) 1. OBJET, ORIGINE ET DOMAINE D APPLICATION Le sucre de raisin est obtenu exclusivement à partir du
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détail9, Rue de la Ville 14600 Honfleur Tél : 02 31 14 29 30 Fax : 02 31 14 29 39
9, Rue de la Ville 14600 Honfleur Tél : 02 31 14 29 30 Fax : 02 31 14 29 39 Collectivités membres : Ablon, Barneville-la-Bertran, Cricqueboeuf, Equemauville, Fourneville, Genneville, Gonneville-sur-Honfleur,
Plus en détailQuelques éléments de bibliographie :
Quelques éléments de bibliographie : La plupart des données et schémas sont issus des travaux de recherche du Laboratoire d Ecologie du Sol et de Biologie des Populations, Université de Rennes 1 (Cluzeau
Plus en détailWWW.PROSENSOR.COM NOUVEAU SITE INTERNET S O N D E À C O M P O S T
Le ministère de l écologie a par arrêté du 22 avril 2008, fixé les règles techniques auxquelles doivent satisfaire les installations de compostage ( NOR : DEVP0810090A). Cet arrêté stipule que la température
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détailENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES
ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES N 202 AOUT 2003 SOMMAIRE 1. PRESENTATION p.3 2. SYNTHESE DE L ENQUETE p.4 3. LES REPONSES DES VILLES ET AGGLOMERATIONS
Plus en détailGolf Ecodurable. Référentiel de gestion des parcours de golf
Référentiel R1-1110 Golf Ecodurable Référentiel de gestion des parcours de golf Copyright Ecocert. Toute reproduction et/ou représentation de ce référentiel, intégrale ou partielle, par quelque moyen que
Plus en détailCalendrier2014 de collectes
Calendrier01 de collectes Férié : 1 pas de collecte 1 Report collecte Ordures Ménagères du 1 er Janvier 1 1 0 Pôle déchets du Pays de Sarrebourg Terrasse Normandie - ZAC des Terrasses de la Sarre - 0 SARREBOURG
Plus en détail