Atelier. d échange d expériences. Réseau régional des gestionnaires d espaces naturels protégés du Languedoc-Roussillon

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1 Septembre 2013 Atelier d échange d expériences CHANTIERS BENEVOLES ET AUTRES FORMES DE VOLONTARIAT DANS LES ESPACES NATURELS PROTEGES > Compte-rendu des communiqués et des débats 11 juillet 2013, Saint-Maurice-Navacelles (34) Réseau régional des gestionnaires d espaces naturels protégés du Languedoc-Roussillon

2 Sommaire Préambule 3 Relevé des principales conclusions 4 Contenu des échanges : Organisation d actions de bénévolat / volontariat en appui aux missions des gestionnaires 6 Contenu des échanges : Champs d objectifs pouvant être visés ; Autres types d action 12 Retours sur l évaluation de l atelier 16 Liste des participants à l atelier 17 2

3 Préambule Le Réseau des gestionnaires d'espaces naturels protégés du Languedoc-Roussillon Le Réseau des gestionnaires d espaces naturels protégés du Languedoc-Roussillon a été créé en 2007 à l initiative conjointe de la Région Languedoc-Roussillon et de la DREAL LR, qui le pilotent. Outil d information, d échange d expériences, de mutualisation des compétences et de réflexion, il vise à promouvoir la gestion patrimoniale des espaces d intérêt écologique et à faciliter l appropriation des concepts et des enjeux de gestion et de protection des espaces naturels sur le territoire régional. Cette vocation s articule autour de 4 grands objectifs : Faciliter la circulation d'information, et mutualiser les connaissances et compétences régionales. Accompagner la mise en œuvre d'opérations pilotes ou exemplaires développées dans le cadre de la Stratégie Régionale pour la Biodiversité et des politiques nationales et européennes de préservation de la biodiversité et du patrimoine naturel. Promouvoir les enjeux de la gestion et les outils de protection et de valorisation du patrimoine naturel régional. Animer une réflexion stratégique et prospective sur des problématiques émergentes concernant le patrimoine naturel. Un atelier d échange d expériences concernant la mise en place de chantiers de bénévoles et autres formes de volontariat au sein des espaces naturels protégés «Le volontariat est un acte d échange mutuel entre une personne ou un groupe qui offre son temps, son travail, son énergie au bénéfice d un projet d intérêt général et d une collectivité d accueil qui offre au(x) volontaire(s) un terrain d apprentissage, d expérimentation et de construction personnelle» (définition Cotravaux). L'objectif de cette journée était de partager l'expérience de chacun, notamment d un point de vue des modalités d organisation et des objectifs, et d'identifier des pistes de réflexion pour la suite. Il a été notamment étudié le fait que ces approches se positionnent de plus en plus dans de véritables projets de développement durable des territoires, intégrés et partagés, sociaux et solidaires, dont les objectifs dépassent la seule réalisation d action de gestion et préservation des espaces naturels. Cet atelier répondait ainsi à une forte attente des gestionnaires qui avancent souvent individuellement dans ce type d approches. Il était co-organisé avec le Syndicat mixte Grand site du cirque de Navacelles et positionné au cœur de ce territoire présentant depuis 2012 une action sur la thématique. Cette journée a eu pour objectif de : Définir ce que l on entend par bénévolat, volontariat, participation à des travaux d intérêts généraux, de solidarité entreprises, de formation ou encore d insertion sociale, etc. Identifier un panorama global de questions et d informations-clé à considérer en amont de toute démarche (sécurité, assurance, organisation, coût, partenariat, communication, etc.), Aborder la question des objectifs visés et des moyens pour les atteindre, mais aussi du large panel des effets produits sur les territoires envers les différents publics concernés, Identifier les actions menées en région, de contacts de partenaires potentiels et de gestionnaires compétents afin de permettre à chacun de s investir plus facilement sur la thématique. Participants à l atelier Cette rencontre était destinée à l'ensemble des structures gestionnaires d'espaces naturels en région Languedoc-Roussillon, ainsi que les structures partenaires concernées par la thématique. Les supports visuels des interventions sont téléchargeables sur le site à la page consacrée à l'atelier (rubrique "Réalisations du réseau"). 3

4 Relevé des principales conclusions Les actions et chantiers de bénévoles se développent de plus en plus au sein des espaces naturels protégés. Les structures gestionnaires de ces espaces sont souvent accompagnées dans ces démarches par des acteurs spécialisés sur la question, mais aussi de partenaires locaux. La participation à cet atelier, la variété des acteurs en présence, tout comme la richesse des retours d'expériences présentés et des échanges qui ont suivi, témoignent alors d un fort intérêt pour la thématique. Ci-après figurent les principaux éléments d information et discussions identifiés au cours de la journée : Définitions : Le volontaire consacre aux actions son temps principal, dans un cadre et une durée donnés, et peut bénéficier de compensation en retour. Le bénévole s engage librement pour une action non salariée, en dehors du temps professionnel et familial, et donne ainsi de son temps libre aux actions qui l'intéressent ou qu'il souhaite encourager. Parallèlement à cela, d autres modalités permettent d impliquer des personnes sur des actions à d autres fins, de leur initiative directe ou non, mais toujours à titre gracieux. Champ des possibles : Différents types d actions ont été étudiés durant la journée : chantiers de bénévoles internationaux ou locaux, brigades volontaires de sensibilisation, projets d étudiants et de formation, travaux de réinsertion, travaux d intérêts généraux collectifs L explosion des possibilités identifiées est un des faits marquants de l atelier. En termes d orientation et de nature des actions, il apparaît que celles-ci ne sont pas cantonnées aux seuls travaux physiques ni aux actions sur le patrimoine. Les actions étant volontaires et sans obligation de résultats, il n est donc pas possible d attendre les mêmes rendus qu avec un prestataire. Objectifs pouvant être visés : Le champ des objectifs apparait également vaste : restauration et entretien d espaces naturels, sensibilisation des volontaires, des acteurs et de la population, appropriation d un site ou des enjeux liés, ouverture et réinsertion sociale et professionnelle Il est à noter que les logiques d intéressement et objectifs diffèrent en fonction des acteurs (différentes attentes et représentations sur l espace naturel, le travail ) : gestionnaires, structures organisatrices / encadrantes, acteurs locaux, participants bénévoles, en formation professionnelle, en insertion sociale et professionnelle Public cible : Le public peut être varié et les projets sont souvent l occasion d impliquer des personnes d horizons divers. Les retours d expériences démontrent alors qu il est très enrichissant de rencontrer et travailler avec un nouveau public, même si certaines appréhensions et aprioris existent au départ. Il est alors nécessaire de s adapter au type de public mobilisé ; chacun apporte son expérience, ses connaissances et sa motivation. La contractualisation avec les bénévoles est essentielle : adhésion à une association, signature d une convention, contrat, etc. Il est enfin à noter que pour des personnes mineures, une législation particulière est à prendre en compte (voir avec Jeunesse et sports). Enfin, les travaux doivent être en adéquation avec la capacité de chacun (personnes en situation de handicap par exemple). Effets des chantiers et actions bénévoles : Au-delà des objectifs principaux visés, ces dispositifs présentent de nombreux effets, attendus comme inattendus. En effet, au-delà des résultats très conséquents pour les structures gestionnaires quant à la gestion des espaces naturels, les chantiers sont également des lieux de formation, rencontres interculturelles, insertion, raccrochage scolaire, décloisonnement, apprentissage de la citoyenneté, médiation, information, sensibilisation, création d une mémoire collective commune et d un lien social, management de groupe, qui s inscrivent aussi dans des dynamiques de développement local Modalités de recrutement et de communication en amont : Il n y a pas de règles en la matière mais plusieurs moyens ont pu être identifiés : appel à des listes de diffusion et autres réseaux de bénévoles connaissant le site et souhaitant s investir, mise en place de partenariat avec des associations de chantiers et de promotion du bénévolat (recrutement et parfois aussi encadrement, assurance, mobilisation de fonds), inscription dans des programmes nationaux ayant des moyens de mobilisation (Chantiers d automne par exemple), relais via les missions locales, les entreprises du territoire, les fédérations d usagers et tout autre groupe constitué, ou encore les organismes de formation et d éducation Intérêt de mettre en place des actions partenariales : Les partenariats semblent essentiels pour la bonne mise en place et réalisation de ces actions. Ils peuvent concerner les différentes associations de chantier (qui portent ou accompagnent la mise en œuvre de ces actions), les services des communes et collectivités 4

5 locales (pouvant proposer des modalités d hébergement/restauration, du matériel et des matériaux, mais aussi l implication d agents sur la formation ou l encadrement), les acteurs du territoire et associations locales (implications de divers ordres) Il semble alors important que des conventions soient mises en place afin d exposer clairement l objet du partenariat et préciser l implication des différentes parties. Montage du projet et logistique : Il apparaît nécessaire de prendre en compte un certain nombre de point en amont de tout projet : montage financier de l action et rétro-planning ; communication et recrutement des bénévoles ; assurance des personnes impliquées et règles de sécurité ; encadrement nécessaire à prévoir ; modalités d hébergement, restauration et déplacements ; fourniture de matériels et matériaux ; suivi des produits collectés et déchets... Suivant la nature de l action, il peut être possible de prévoir un apprentissage technique ou d exiger une formation minimale / diplôme. En ce qui concerne l encadrement, le porteur de l action peut faire appel à des partenaires compétents, acquérir des compétences voire même une habilitation. Concernant la période à privilégier, il ne semble pas y avoir de règle en la matière : à l échelle de la semaine, il peut être important de proposer des actions en weekend ; pour le reste, la période dépendra de plusieurs facteurs mais attention néanmoins à éviter les périodes sensibles pour les habitats et espèces (dérangement). Il est enfin important d être en capacité de réagir face aux imprévus (météo). Motivation des bénévoles : La durée des sessions et pénibilité des actions ne doivent pas être un frein à la motivation. Il s agit de varier les activités, de prévoir des moments conviviaux et visites, de tenir informés les bénévoles des avancées de l action, de leur déléguer certaines missions pour favoriser la responsabilisation, de démontrer que les actions n étaient pas mécanisables Le but du chantier n'est pas de travailler jusqu'à épuisement : chacun contribue à son rythme et veille à prendre des temps de repos pour s'alimenter ou se désaltérer. Bien que physique, le travail permet une réelle valorisation des personnes impliquées. Assurance des participants : Il apparaît nécessaire qu à minima les participants présentent une assurance personnelle responsabilité civile et maladie, et qu il leur soit demandé de signer un engagement. Il reste possible d assurer les participants avec une assurance spécifique, globale et contractée par l organisateur / recruteur pour l ensemble du groupe (être alors précis dans la description des assurés couverts). Il est à noter parfois que les conditions d assurance peuvent limiter l emploi de certains matériels ou la mise en certaines situations. Quoiqu il en soit et globalement, il faut être prévoyant sur les questions de sécurité et limiter les risques en ayant des consignes et des équipements adéquats. Les risques doivent donc être évalués et minimisés, de façon à se prémunir s il s avère nécessaire de démontrer qu ils ont bien été traités. Quelques précautions issues des retours d expériences : Ne pas considérer les bénévoles comme de simples «bras» à mobiliser ; Démontrer que les actions proposées aux bénévoles n auraient pu être réalisées par des salariés ou de façon mécanisée ; Eviter de prendre en photo les personnes sans leur autorisation ; Eviter de fournir de l alcool pour les pots conviviaux ou s assurer que les personnes n aient pas de dépendances. En ce qui concerne la communication et valorisation des actions menées, celle-ci semble essentielle ; l implication et l appropriation du bilan d actions par les élus sont notamment importantes. Néanmoins, il s agit de maîtriser les messages véhiculés : il est préconisé de fournir aux journalistes des cahiers des charges, de demander la relecture des brèves, voire de transmettre un communiqué de presse après coup. A l issue de l Atelier, une réflexion collective a été réalisée permettant d identifier des pistes de travail : Responsabilité de l organisateur : Il est toujours difficile d appréhender le cadre réglementaire autour des responsabilités, obligations de chacun, nécessité de formaliser les choses, etc. Il apparaît alors que le droit français n est pas encore totalement clair pour dire qu une structure organisatrice ne risque absolument rien ceci ne doit pas constituer un frein pour autant, mais toutes les précautions sont donc à prendre par l organisateur. Initiatives individuelles : Comment appréhender la demande de personnes souhaitant agir sur le territoire qu ils considèrent comme le leur, sans qu un cadre ne soit encore proposé par un gestionnaire ou une association? Ne pouvant fermer les yeux et laisser faire, le gestionnaire doit-il reprendre la main en profitant de la dynamique en place et en y apportant un cadre? Evaluation de la portée des actions du chantier bénévole : Un réel débat a eu lieu sur la question. Pourquoi vouloir tout évaluer alors que pour une fois, il s agit de missions bénévoles et que rien n est attendu en retour? Tout suivi quantitatif et qualitatif d une action apparaît alors comme un travail à part entière, qui nécessite du temps et des financements. Une évaluation peut s avérer néanmoins utile (argumentaire, valorisation et amélioration de l action, remobilisation des partenaires quand la dynamique s essouffle ). 5

6 Contenu des échanges : Organisation d actions de bénévolat / volontariat en appui aux travaux et autres missions des gestionnaires au sein des ENP. Ouverture de l atelier : présentation des objectifs, tour de table Thibaut RODRIGUEZ, animateur du Réseau des gestionnaires ENP L-R Diaporama : Résumé des points présentés : Suite à une rapide présentation du Réseau régional des gestionnaires d espaces naturels protégés du Languedoc-Roussillon (fonctionnement, objectifs et missions), un éclairage a été apporté concernant l atelier d échange d expériences proposé sur la thématique du bénévolat et autres formes de volontariat en appui aux actions des structures gestionnaires. Il a été rappelé que cet atelier visait principalement des échanges interactifs sur la base de retours d expériences des gestionnaires et partenaires mais aussi de présentations de cadrage sur le champs des possibles en terme d objectifs, sur les définitions et modalités de mise en œuvre. Un tour de table, visant à ce que les participants puissent se présenter et s identifier les uns les autres, a permis de mettre en avant diverses attentes quant à leur participation à l'atelier d'échange d'expériences. Intervention introductive concernant les définitions, les approches et les préalables à considérer pour mettre en place des actions avec des bénévoles Michel CONNAN, Association Concordia Diaporama : Résumé des points présentés : La présentation a permis dans un premier temps de définir les termes de bénévolat et de volontariat. Le volontariat est le fait d être volontaire, d agir sans contrainte et de sa propre volonté. La personne consacre alors à ces actions son temps principal, dans un cadre et une durée donnés, et peut bénéficier de compensation en retour. Parallèlement, le bénévolat est le fait d accomplir une action bénévole. La personne donne ainsi de son temps libre à une action qui l'intéresse ou qu'il souhaite encourager. Est bénévole toute personne qui s engage librement pour mener une action non salariée en direction d autrui, en dehors de son temps professionnel et familial. La possibilité de confusion entre ces deux définitions vient du fait qu au niveau international, ces termes sont souvent confondus : le terme «volontaire» est donc plus répandu du fait de la similitude avec le terme anglais «volunteer», unique et plus dynamique. Le terme de «service volontaire» peut alors être utilisé pour éviter les confusions ; il apparaît alors qu il existe différents types d actions volontaires définies au niveau national (service civique), européen (service civique européen) voire international. A l échelle nationale, tout comme aux échelles régionales et locales, différentes associations de chantier portent ou accompagnent la mise en œuvre de ces actions (recherche de financement, recrutement des bénévoles, encadrement, etc.). En région Languedoc-Roussillon, COTRAVAUX regroupe 5 d entre elles. Au-delà de l objectif réducteur de la seule réalisation d une action, les chantiers sont également des lieux de travail, de formation et de rencontres interculturelles (langue, population locale, territoire), s inscrivent dans une dynamique de développement local, et favorisent l apprentissage de la citoyenneté. 6

7 Les chantiers de bénévoles internationaux par exemple durent en général de 2 à 3 semaines en France et dans le monde, sont ouverts aux personnes à partir de 15 ans sans limite d âge formant ainsi un groupe d une douzaine de personnes encadrées par un ou deux animateurs. Il est, en moyenne, composé d un tiers de français (locaux ou autres) et de 2/3 d internationaux, mais aussi de près de 60% de filles. Les jeunes travaillent entre 25 et 30 heures par semaine, sachant qu une quantité minimale de travail est prévue en amont. Il est souvent demandé aux partenaires un lieu pour l hébergement et pour se restaurer, des sanitaires, le matériel et les matériaux ainsi qu un financement variable selon les projets. Synthèse des échanges : > Concernant le montage financier de chantiers, est-ce à l association de chantier ou à la structure gestionnaire d espaces naturels de faire valoir une demande de subvention? Il apparaît que ce peut être l une ou l autre, voire les deux du moment où sont bien précisés les objets respectifs de demande de subvention. Les financements acquis par l association de chantier et le gestionnaire peuvent donc être complémentaires, sans qu il n y ait de doubles financements. > Comment faire financer le temps de préparation du chantier et d implication lors de son déroulement pour la structure gestionnaire? Il est observé que les chantiers sont souvent pensés à partir du moment où l on a la possibilité d être financé. Globalement, même avec des financements publics, une prise en charge des coûts de montage de projet peut être acceptée par les financeurs. Le tout est d autant plus finançable lorsque l on répond à des actions et objectifs clairement identifiés dans les plans de gestion des espaces naturels protégés. > Que faut-il prévoir en termes d assurance pour un chantier nature? Dans le cadre des chantiers bénévoles menés avec une association de chantiers, tous les jeunes sont assurés avec une assurance spécifique (généralement la même pour toutes les associations de chantier). Il s agit alors d être précis dans la description des assurés couverts. En ce qui concerne les ressortissants de l UE, l assurance maladie apparaît pratique pour traiter ce type de question ; pour les autres ressortissants, le rapatriement est généralement envisagé lorsque nécessaire. A noter que les conditions d assurance limitent parfois l emploi de certains matériels ou la mise en certaines situations. > Quelle période est à privilégier pour la mise en place de chantiers? Les chantiers internationaux ne se situent pas uniquement durant l été, mais peuvent être organisés au printemps et à l automne. Les sessions de long bénévolat se situent en amont des sessions courtes. > Y a-t-il un coût pour les jeunes participants aux chantiers internationaux? Est-ce discriminatoire? Ce coût existe (frais de chantier + voyage) mais il est adaptable suivant l origine des personnes ; de plus, des places sont réservées pour des jeunes en situation difficile. > Les thématiques des chantiers concernent-elles uniquement les questions de patrimoine? Non, il s agit de projets d intérêts généraux qui peuvent concerner des thématiques environnementales comme culturelles ; ils s inscrivent tous dans des dynamiques de développement local associant les acteurs (tels que les gestionnaires, les municipalités, les réseaux locaux d EEDD, les acteurs socioéconomiques ). > Y a-t-il une législation spécifique pour les chantiers associant des personnes mineures? Oui, une législation spécifique existe sur l hébergement, les lieux de repas, l encadrement et les modalités de participation des mineurs ; une déclaration auprès de Jeunesse et sports est également nécessaire. > Remarque : En ce qui concerne le bénévolat international, l UNESCO s est affilié avec le CCSVI (Comité de coordination du service volontaire international) ce qui permet aux territoires concernés par une reconnaissance de l UNESCO de bénéficier du label Patrimonito, d une communication pour le recrutement de bénévoles et d une valorisation. Organiser l'accueil et le travail de bénévoles pour des chantiers de gestion d espaces naturels (Lutte contre la griffe de sorcière : Leucate - Site du Mouret) Julien ROBERT, RIVAGE Sales-Leucate & Gilles Bourrieau, REV Solidarités Jeunesses Diaporama : 7

8 Résumé des points présentés : Le Syndicat mixte RIVAGE Salses-Leucate réalise depuis 3 ans une opération de lutte contre les espèces exotiques envahissantes en organisant des chantiers bénévoles avec l appui de l association REV Solidarités Jeunesses. Cette association réalise différents types d actions (accueil de volontaires long terme, chantiers internationaux, séjours de rupture, accueil de petits groupes ) dans une objectif de décloisonner, orienter et professionnaliser les jeunes en difficulté, et de permettre à un groupe de personnes de vivre et travailler ensemble, quelque soit son origine géographique, sociale... Les objectifs des chantiers mis en place autour de l étang de Salses-Leucate sont de divers ordres : restauration / entretien d espaces naturels (lutte contre la griffe de sorcière sur une zone dunaire), sensibiliser les volontaires et la population locale à la préservation de la biodiversité et à la problématique des espèces envahissantes, et permettre de vivre un échange interculturel. En termes d organisation, une convention de partenariat a été signées entre la mairie de Leucate (propriétaire et partenaire technique), l association REV Solidarités Jeunesses (maître d œuvre) et RIVAGE (partenaire technique et financeur). Les chantiers regroupent 10 bénévoles internationaux recrutés et encadrés par REV Solidarités Jeunesses pendant trois semaines. L hébergement est assuré par la mairie de Leucate dans le camping municipal à proximité du site des travaux. Le travail consiste en l arrachage manuel de la griffe de sorcière (5h/j) encadré par RIVAGE et la commune. En parallèle, des visites du territoire et rencontres avec les acteurs sont assurées (lien avec les associations locales, pots d accueil puis de départ en présence d élus, repas international, spectacle, vendange ). Pour une bonne mise en œuvre de l action, un rétro-planning précisant l implication de chacun est à élaborer et les coûts, les matériels et les matériaux nécessaires sont à prévoir. A ce niveau, l action a été financée les deux premières années par le projet européen Life+ LAG Nature ; en 2013, un Contrat Natura 2000 (Etat/FEADER) a permis de financer intégralement l action. Une fiche descriptive précise de l action vient d être élaborée dans le cadre de la réalisation d un Guide méthodologique du projet Life+ et sera prochainement disponible. Sur la base de 3 années d expérience, différentes bonnes pratiques ont été identifiées : collaboration avec les acteurs locaux qui peut faciliter la logistique (mise à disposition d'emplacements sur campings municipaux, de salles, de matériels nécessaires aux travaux, etc.) ; large communication (panneau de sensibilisation accompagnant les bénévoles, médias locaux, etc.) notamment sur l implication gracieuse de partenaires ; pour une bonne implication des bénévoles : visite préalable du site, explication du travail, actions en lien avec le patrimoine local, horaires de travail adaptées, bilan final des travaux Les chantiers sont désormais de plus en plus connus et appréciés par la population locale qui s implique à présent. Néanmoins, certains points de vigilance sont à considérer : avoir un lieu d hébergement à proximité de la zone de travail, prévoir un suivi des produits collectés et veiller à l accessibilité de la zone de chantier avec les engins utilisés, être vigilants sur la sécurité pendant le chantier, s adapter au type de public mobilisé et s adapter en fonction de la météo. Synthèse des échanges : > Quelle assurance pour les bénévoles impliqués? L assurance des bénévoles soulèvent souvent de nombreuses questions. Il apparaît tout d abord nécessaire de prévenir et d avoir un équipement adéquat. Il s agit également de vérifier que chacun dispose d une assurance responsabilité civile et assurance maladie. Sur certains chantiers, une assurance est prise par le maitre d ouvrage recrutant les bénévoles (par exemple, MAIF pour les Conservatoires d espaces naturels) : ceci nécessite alors une déclaration préalable décrivant le cadre de l assurance prise pour les bénévoles. Pour les partenaires mettant à disposition du matériel par exemple, il ne semble pas y avoir de responsabilité de leur part en cas d accident, l assurance individuelle ou collective prenant le relais. Lorsque des bénévoles locaux souhaitent s impliquer, il est possible de faire valoir ponctuellement l assurance prise par l association de chantier ; si l implication parait plus durable, il est demandé à ce qu il y ait une adhésion. > Quel coût représente l implication d une association de chantier sur le projet? Le budget consacré à l implication de REV Solidarités Jeunesses sur le projet a été de 3000 euros, une fois retranchées les subventions directement touchées par l association ; celui-ci peut évoluer en fonction de l action et du nombre de participants. Ce montant comprend l encadrement, mais également les coûts en amont de communication et de recrutement des bénévoles à l international. A l échelle du projet dans sa globalité, les autres coûts peuvent souvent être réduits (mise à disposition de matériels, d hébergement, etc.). Il s agit alors de bien valoriser ces contributions dans les bilans et les actions de communication. 8

9 > L action apparaît-elle durable après 3 années? Oui, même s il parait nécessaire de repasser sur certaines zones. La flore locale reprend sur les zones ayant fait l objet de chantiers l année qui suit. > Remarques quant à l objet et les modalités de réalisation des chantiers : Ne pas considérer les bénévoles fournissant une main d œuvre comme de simples «bras» à mobiliser : par exemple, les travaux sur les figuiers de barbarie ont été évités d emblée. D autre part, il faut être clair sur le fait que les chantiers n auraient pas été mécanisables, ce qui permet de clarifier l utilité de l action confiée aux bénévoles et assurer leur motivation. Enfin, la durée des chantiers (3 semaines) ne doit pas apparaître comme un frein : pour cela, le chantier doit s inscrire dans un projet global avec de nombreuses facettes. > Un lien est-il conservé avec les bénévoles? Certains gardent le contact avec la structure gestionnaire. Néanmoins, il pourrait être envisagé de tenir informé les bénévoles des avancées de l action d une année sur l autre. > Les actions confiées aux bénévoles nécessitentelles un apprentissage? La question de l apprentissage technique ne s est pas posée dans ce cas car l action était relativement simple : action d arrachage. Cette question se pose davantage sur les actions portant sur la réhabilitation du patrimoine culturel par exemple. Mise en place de chantiers bénévoles en lien avec la population locale sur le site naturel protégé des Salines de Villeneuve Ludovic FOULC, CEN L-R / Site des Salines de Villeneuve Diaporama : Résumé des points présentés : Le site des Salines de Villeneuve s étend sur 292 ha, propriété du Conservatoire du Littoral, et constitue un espace préservé au sein d un littoral fortement aménagé, urbanisé et fréquenté, aux abords de deux agglomérations (Montpellier et Sète). Le CEN L-R en est le gestionnaire principal aux côtés de la communauté d agglomération du bassin de Thau, le SIEL et la commune de Villeneuve-lès-Maguelone. Les actions de chantiers bénévoles s inscrivent dans le plan de gestion qui vient d être actualisé. Ces chantiers visent plusieurs objectifs : réaliser des actions de gestion et de conservation du patrimoine, sensibiliser les acteurs locaux et le grand public par l action, mais aussi permettre aux usagers, riverains et acteurs locaux de s approprier et de découvrir les espaces naturels. Il s'agit de journées au cours desquelles le public participe aux travaux de gestion nécessaires à l'entretien et à la conservation du site. Un animateur présente le site, les objectifs de gestion et l'intérêt des travaux à réaliser. Il donne les consignes quant à la sécurité et le maniement des outils. Aucune connaissance n'est nécessaire car les travaux sont adaptés à un public non confirmé. Les thèmes des chantiers nature sont variés et définis en fonction des nécessités d'intervention. Le but du chantier n'est pas de travailler jusqu'à épuisement : chacun contribue à son rythme et veille à prendre des temps de repos pour s'alimenter ou se désaltérer. Les personnes concernées sont issues d un réseau de bénévoles connaissant le site et souhaitant s investir pour sa conservation : riverains du site, habitants des communes voisines, étudiants, chasseurs, pêcheurs, anciens stagiaires, éleveurs Leur mobilisation passe par des animations et visites sur le site, la diffusion de l information suffisamment en amont et la valorisation des actions a posteriori. Les repas et moments conviviaux sont aussi importants pour convertir ces journées en un moment de partage, de détente et de convivialité, et les rendre attractives. Différents moyens de communication sont employés : plaquetteprogramme «Cap sur les Salines de Villeneuve», journaux et site internet communaux, presse locale, réseaux sociaux Les structures partenaires permettent aussi de relayer l information au niveau local : associations (culturelles, randonnées, défense de l environnement, riverains), syndicats de chasseurs, écoles et universités Une liste de diffusion «Amis des Salines» a été créée et regroupe les personnes ayant déjà découvert le site des Salines et souhaitant s investir pour le site. Enfin, l inscription des chantiers dans le programme national Chantiers d automne mobilise aussi de nouveaux bénévoles. Ainsi, le bilan des actions menées en 2012 parait très important ; il a notamment bénéficié de l appui des travaux d un service civique présent sur le site. De nombreux enseignements ont pu être tirés, tant sur ce qui semble bien fonctionner que sur ce qu il reste à améliorer (nombre des personnes nécessaires pour l encadrement, positionnement des chantiers durant les weekends, adéquation du matériel disponible au regard des besoins, durée et pénibilité, préparation et communication en amont ). 9

10 Synthèse des échanges : > Est-il possible pour tout gestionnaire d inscrire une action au sein des Chantiers d Automne? De mi-septembre à mi-décembre, les actions inscrites visent à faire connaître le cœur de métier des Conservatoire d espaces naturels (CEN), de sensibiliser par l action et permettre la découverte de sites naturels. Une importante campagne de communication est faite autour. Une priorité est donc donnée aux partenaires directs des sites gérés par les CEN (co-gestionnaires, propriétaires fonciers, agriculteurs, structures éducatives ). > Comment s assurer d une communication suffisante autour des actions? Chaque contexte est particulier. Il peut être intéressant dans certains cas, en plus de ce qui a été cité plus haut, de s appuyer sur les missions locales, les entreprises du territoire, les fédérations d usagers et tout autre groupe constitué, les associations créées spécifiquement, les organisme de formation et d éducation Constitution d équipes de volontaires pour la sensibilisation, l accueil et l observation sur le site durant la période estivale Caroline SALAÜN, Syndicat mixte Grand site du cirque de Navacelles Diaporama : Résumé des points présentés : L'Opération Grand Site du Cirque de Navacelles est gérée par le Syndicat Mixte du même nom. Ce dernier fait appel depuis 2012 à des bénévoles pour informer et sensibiliser les touristes au respect de ce site exceptionnel. La dizaine de bénévoles a aussi pour mission d'observer et surveiller le hameau et les sentiers, prévenir les risques d'incendies, réaliser de petits aménagements, sensibiliser, transmettre et guider les visiteurs. Par groupe de quatre, ils se relayent tous les quinze jours durant la saison estivale. Une personne en contrat d avenir assure l encadrement et le lien entre les différentes sessions de bénévoles. Chaque bénévole vient d'une formation différente ; chacun apporte ainsi son expérience, ses connaissances et sa motivation. Parallèlement, pour mener à bien leur mission, les bénévoles ont reçu 2 journées complètes de formations, assurées par différents professionnels de l'environnement présents sur le territoire et partenaires (CPIE Causses méridionaux, EDF, Eco-gardes du Conseil général du Gard). La délégation de missions aux bénévoles, tout comme leur responsabilisation et valorisation, permet de maintenir une forte dynamique et leur motivation. Le bilan des actions est aujourd hui prometteur, les visiteurs ainsi que la population locale sont satisfaits. L implication et l appropriation du bilan d action par les élus est également important. En termes d organisation, il est à noter que l hébergement et la restauration sont pris en charge par le Syndicat mixte. Le recrutement des volontaires s est fait par le réseau des formations et des écoles, ainsi que l association «A pas de loup Volontaires pour la nature» (qui réalise de la communication, le recrutement des bénévoles). L assurance des bénévoles passe alors via l adhésion à cette association, soit par la mise en place d une convention de stage. La contractualisation avec les bénévoles, quelle qu elle soit et quelle que soit sa durée, est essentielle. Les seules exigences concernant le recrutement des bénévoles sont la motivation pour la préservation et la valorisation de l environnement et qu au moins un des volontaires par session dispose de plus de trois ans de permis. Une rencontre avec la première équipe de bénévoles de l été 2013 a été organisée durant la pause repas de l Atelier d échange d expériences ; ceci a permis une discussion et une présentation plus personnelle de leur motivation et missions. Synthèse des échanges : > D où viennent les bénévoles? Leur origine parait très variée, certaines personnes viennent du département mais aucune n est issu directement du territoire concerné. L implication des jeunes locaux pourraient être intéressante. > Quel coût représente l action pour la structure? 8500 euros hors coût agent pour le montage de l action et l encadrement des équipes. Ce coût sera amené à être réduit car l investissement sur le matériel portait surtout sur les premières années. Nourris et logés, les bénévoles paient néanmoins le trajet, mais il est à noter qu ils ne trouveraient pas incohérent de participer financièrement au projet. 109

11 > Problématique quant aux missions limitées des bénévoles : En effet, ces derniers ne peuvent faire que du conseil et de la prévention, et n interviennent que le jour : sur la problématique des feux de camp, il serait nécessaire de pouvoir agir le soir et de pouvoir verbaliser. A noter à ce niveau que, le territoire étant situé sur deux départements, la mobilisation des agents assermentés de chaque département est compliquée car en bordure de leur juridiction. Des opérations spéciales de police coordonnées de type «coup de poing» pourraient être organisées. Pour répondre également à cette problématique, l option des gardes champêtres serait à étudier. > Un travail est-il mené avec les offices du tourisme du territoire? Oui, pour transmettre aux bénévoles les informations destinées aux visiteurs. Il sera prochainement envisagé la mise au point d un questionnaire pour les habitants afin de mieux évaluer leurs retours et l évaluation de la fréquentation du site. > Sur la base de l exemple du Canigou, qu est-ce qu impliquerait la mise en place d une équipe de bénévoles à cheval? Une formation minimale et des diplômes dans le domaine seraient alors nécessaires pour les patrouilles et pour la gestion et le soin des chevaux.. Par exemple, le Syndicat mixte du Salagou dispose d une équipe estivale à cheval et à vélo, ce qui nécessite des compétences particulières. 11

12 Contenu des échanges : Champs d objectifs pouvant être visés ; Travaux d intérêts généraux, d insertion, de formation, de solidarité entreprises. Les faces cachées de l'éco-chantier : vision globale des effets produits Romain LAMBERET, Conservatoire d Espaces Naturels Rhône-Alpes Diaporama : Résumé des points présentés : Le CEN Rhône-Alpes réalise une un certain nombre d actions de travaux sur site permettant de développer de nouvelles modalités de gestion. C est dans ce cadre qu il étudie et agit sur le dispositif de chantier nature, qui présente bon nombre d effets, attendus comme inattendus. Ce retour d expériences, bien que spécifique au contexte particulier d action du CEN Rhône-Alpes, permet d alimenter la réflexion sur le sujet. Il apparaît alors qu un chantier nature répond tout d abord à un ou plusieurs besoins / objectifs qui diffèreront en fonction des acteurs (ayant chacun leur représentation de l espace naturel, du travail et des objectifs pouvant être visés). Si l on s intéresse aux différents points de vue, il apparaît, en ayant une vision volontairement tranchée, que : - pour les gestionnaires, le chantier permettra de réaliser des opérations de génie écologique et d en réduire les coûts, - du point de vue des structures organisatrices et/ou participantes, il sera un support à l éducation à l environnement et au développement durable (EEDD) et à l insertion sociale et professionnelle, - pour les participants en formation professionnelle, il permettra de traduire concrètement des savoirs théoriques par la mise en pratique et l apprentissage d un métier, - pour les participants en insertion sociale et professionnelle (qui n ont pas toujours choisi d y participer), le chantier sera une opportunité de reprise de confiance, de prise de conscience (sur le travail, les déchets pas toujours sur la biodiversité) et de confrontation avec les éléments naturels, - enfin, du point de vue des acteurs locaux, il permettra de préserver le patrimoine local, établir des échanges et créer des moments de convivialité. Il s agit donc de logiques d intéressement différentes et qui se rejoignent autour du projet de chantier nature. En conclusion, le chantier nature apparaît comme un dispositif de médiation, potentiellement utile pour une appropriation locale de l espace naturel, permettant la création d une mémoire collective commune et d un lien social. Synthèse des échanges : > Remarque globale suite à l intervention : La mise en perspectives et la classification faite par la présentation permet d alimenter la réflexion et de servir d argumentaire pour faire valoir les projets de chantier. > Existe-t-il des indicateurs pour évaluer la portée des actions de chantier bénévole? Qu est-ce qui en détermine le succès? Cette question a soulevé un réel débat parmi les participants. L intérêt d avoir un bilan concret d une action a été mis en face du fait que tout suivi quantitatif et qualitatif d une action est un travail à part entière, qui nécessite du temps et qui est souvent difficile à faire financer. > La question du pourquoi une évaluation se pose : Pour valoriser l action, pour l améliorer, pour l adapter, pour remobiliser les acteurs partenaires quand la dynamique s essouffle une évaluation peut être utile. Néanmoins, quels critères permettent de clairement évaluer cela? Sachant d autant plus que les attentes et critères d évaluation peuvent varier en fonction des personnes et de leur profil (partenaires, participants, etc.), des objectifs de chacun, de la durée du chantier, Il apparaît alors 12

13 que l évaluation et le reporting est dans l air du temps, se développe mais reste difficile. Ceci nécessiterait du temps d analyse et une approche à part entière et définie en amont. Dès lors, pourquoi vouloir tout évaluer alors que pour une fois, il s agit de missions bénévoles et que rien n est attendu en retour Travaux d intérêts généraux mis en place par les Services pénitentiaires d insertion et de probation (SPIP) Réflexions sur la base de l intervention de Sylvie PAUL & Chantal GIL, SPIP Hérault - antenne Béziers Les SPIP (Services pénitentiaires d insertion et de probation) sont des émanations du Ministère de la Justice, présentant une organisation départementale. Ils sont en charge notamment de mettre en œuvre les mesures décidées par le juge (juge d application des peines-parquet-juge d'instruction). Il peut s agit de mesures alternatives à l emprisonnement : travaux d intérêts généraux (TIG), placement sous surveillance électronique, sursis mis à l'épreuve... Le personnel des SPIP accompagnent aussi les personnes détenues. Cette prise en charge peut faire l objet d une prise en charge individuelle ou collective. Certains SPIP, comme celui de l Hérault - antenne de Béziers, proposent désormais à ce que les heures de TIG des personnes condamnées puissent porter sur la préservation de l environnement ou l écocitoyenneté. Les personnes condamnées doivent alors accepter la thématique et le lieu de poste du TIG ; la thématique «préservation de l environnement» et les travaux de terrain semblent particulièrement intéresser les personnes concernées, et l absentéisme se fait rare. L idée est alors de viser une exécution de la peine tout en y donnant du sens : connaissance, appropriation, ouverture Les structures proposant ce type de travaux sont habilitées par le juge d application des peines (par exemple, Concordia, Lieu Ressources à Pézenas ) ; pour les autres, il est possible d en faire la demande (demande en cours du CEN LR). Le SPIP reste maitre d œuvre et impliqué dans l organisation en appui aux gestionnaires. Quelques remarques, retours d expériences et préconisations concernant la mise en place de TIG : le public concerné est avant tout jeune (moins de 25 ans en moyenne) et pas forcément issus du même territoire, les groupes sont d une quinzaine de personnes, les personnes ont environ entre 70 et 200 heures en moyenne de TIG à réaliser ce qui équivaut à 15 jours / 3 semaines. Il est alors important de proposer des actions variées (coupures «culturelles» aux travaux physiques), de ne pas rester sur un seul et même lieu, et de prévoir un budget notamment pour les déplacements. 18 mois est le délai octroyé par le juge pour la mise en œuvre de cette mesure. Les conseillers pénitentiaires d'insertion et de probation (CPIP) des SPIP sont donc en attentes de propositions de partenariats avec les gestionnaires d espaces naturels. A noter aussi que tous les SPIP ne font pas encore de stages environnement ou écocitoyenneté, et que cela est en cours de développement Enfin, concernant les personnes mineures, des approches similaires existent et sont portées par la Protection Judiciaire de la Jeunesse (PJJ) ; il s agit alors de peines comportant moins d heures de travail et davantage axées sur les projets éducatifs. Retour sur la mise en place de travaux d intérêts généraux en espace naturel Réflexions sur la base de l intervention de Yannick GUENNOU & Rémi BELLEZZA, SM Delta de l Aude Le Syndicat mixte du Delta de l Aude a participé avec le SPIP Hérault - antenne de Béziers à l organisation de 3 jours de chantier consacrés à la lutte contre les espèces exotiques envahissantes (jussie sur les canaux, sénéçon du cap en milieu dunaire), ainsi qu au ramassage des déchets. Le bilan de cette première expérience est très positif. Une certaine appréhension peut exister a priori par rapport à un travail avec des personnes condamnées mais il s avère plus simple qu imaginer de travailler avec ce public et surtout très enrichissant d allier préservation des espaces naturels et action sociale. De plus, le SPIP permet de mettre une personne en encadrement du chantier et des conseillers pédagogiques en amont, ce qui facilite l organisation et le déroulement des travaux. Quelques points à prendre en compte : éviter de prendre en photo les personnes pour la valorisation de l action (droit à l image), attention aux messages passés par les médias autour de ces actions (passer des accords et fournir des cahiers des charges aux journalistes, en demandant une relecture), éviter de fournir de l alcool pour les pots conviviaux avec les participants, etc. Des erreurs d approche restent néanmoins possibles du fait de la rencontre de deux «mondes» Il est alors important de clarifier en amont les attentes et le rôle de chacun. De nombreux points positifs en ressortent aussi : le travail réalisé est utile pour les gestionnaires et permet une réelle valorisation pour les personnes d autant plus lorsqu il est difficile, il est possible de travailler avec des groupes mixtes et d associer aussi un public local Toutes les personnes sont revenues sur le site après-coup! 13

14 Travaux de terrain avec des personnes handicapées Réflexions sur la base de l intervention de Séverine FABRE, SM Gorges du Gardon Le Syndicat mixte des Gorges du Gardon a mis en place des travaux avec un public présentant des difficultés mentales en cours d intégration en CAT (Centre d Aide par le Travail). Les actions menées concernaient le ramassage de cartouches ; les participants en ont retiré une forte satisfaction néanmoins le relais dans la presse de cette action a véhiculé un message différent, ce qui rend l action désormais difficilement reproductible. Il apparaît donc important de maitriser la communication autour des actions. Travaux de terrain avec des jeunes issus de quartiers sensibles Réflexions sur la base de l intervention d Olivier TIVOLI, ADPS 30 Le retour d expériences de l Association Départementale de Prévention Spécialisée (ADPS30), habilitée par le Conseil général du Gard, a permis de voir quelles étaient les opportunités d action auprès d un public de jeunes ayant quitté le système scolaire et issus de quartiers difficiles. Les actions sont de différents ordres : travaux urbains, actions collectives de développement local et accompagnement personnalisé des jeunes sur demande. Depuis trois ans, se développent les chantiers éducatifs passant par une convention entre les jeunes et l association : d abord ciblées sur des chantiers d amélioration du cadre de vie des habitants des quartiers, de nouvelles actions voient le jour à l extérieur des quartiers pour favoriser une certaine rupture. L objectif de ces actions est la réinsertion sociale et professionnelle ; de ce fait, les personnes sont rémunérées. Ces actions sont généralement soutenues par les collectivités, entre autres ; ceci permet aussi de prendre des parts de chantiers à réaliser et de permettre une contre-partie à l implication financière des collectivités. Il existe d autres chantiers associant de jeunes collégiens en décrochage afin d éviter une exclusion du système scolaire trop précoce. Aucune rémunération des jeunes participants n est prévue dans ce cadre. Ces actions sont en cours de développement. Enfin, une autre piste serait de développer des brigades nature, plutôt que des actions de quartiers, en utilisant l outil «emploi d avenir» ou encore les services civiques. Des dispositifs de financement existent, comme le dispositif VVV «Ville Vie Vacances». Enfin, il est possible d envisager une alternative à la rémunération des personnes notamment en proposant des activités ou prestations au bénéfice des jeunes s impliquant sur les actions. Les points importants à considérer sur un chantier sont : la logistique, la sécurité quant à l emploi de matériel, la période (l été étant moins évident pour ce type de chantier), l affectation d un animateur pour deux jeunes, la mobilisation des jeunes qui n est pas toujours évidente (public difficile et parfois absent) Il est donc nécessaire d anticiper tout cela : il n en reste pas moins que les rencontres sont très intéressantes. Il est alors important de garder à l esprit que ces travaux ne sont pas obligatoire et qu il n est pas possible d attendre de ce type de chantiers les mêmes résultats que ceux obtenus avec un prestataire spécialisé. Les jeunes démontrent néanmoins d une très forte capacité de travail. Implication de groupes d étudiants en formation sur des travaux concrets au sein des espaces naturels Réflexions sur la base de l intervention de Julien ROBERT, RIVAGE Salses-Leucate & Florian MARTEL, ARDAM Mèze Le Syndicat mixte RIVAGE a fait part de son retour d expérience concernant le partenariat avec l IUT de Perpignan pour la réalisation d actions concrètes dans le cadre d une formation en écologie appliquée. Il s agit alors d une démarche donnant/donnant permettant de lier la formation à l action. A titre d exemple, une action récente des étudiants a permis la réalisation d un travail important consistant à la cartographie des zones de friche agricole sur l ensemble du territoire. Le retour d expériences de l ARDAM (Association de Ressources et de Développement des Activités et Métiers de l environnement) portait sur le partenariat mené avec la Réserve naturelle du Bagnas concernant la réalisation d actions d arrachage de Yucca par les personnes en formation. Il en ressort une forte motivation pour un travail concret sur le terrain et la capacité de mener des actions d importance pour le gestionnaire. Le Syndicat mixte de gestion du Salagou a quant à lui travaillé avec l Institut des régions chaudes en confiant aux personnes en formation une étude foncière ce qui a permis d obtenir également des résultats de qualité. Enfin, un autre exemple a permis de mettre en évidence d autres modalités d implication des étudiants : la licence EDEN de l Université de Montpellier 2 propose aux étudiants de consacrer une journée par semaine durant 6 mois à la réalisation d un suivi scientifique (travaux tutorés nécessitant une convention). Les discussions ont permis de mettre en évidence le fait qu il était important de prendre garde à la manipulation des outils, de réaliser en amont un cadrage de l action voire une formation des participants, 14 15

15 de valoriser les actions notamment en communicant après coup ou en associant des élus ou acteurs des territoires, de faire attention aux dépendances potentielles des personnes tout comme à l adéquation des travaux proposés avec les capacités des personnes, notamment si certaines sont en situation de handicap. Pour les gestionnaires qui souhaiteraient s investir sur ce type d actions, il apparaît que ce sont surtout les centres de formation qui font la démarche de sollicitation. Des conventions de partenariat solide doivent alors être pensées. En ce qui concerne la période de réalisation des actions, la discussion a permis de relever que les contacts initiaux peuvent être réalisés à partir du mois de juin pour une action ayant lieu l année scolaire suivante. Pour les formations ayant un rythme différent, il est nécessaire de prévoir cela entre 1 et 3 mois auparavant. Un point important à prendre en compte reste les périodes propres aux enjeux de gestion et protection des habitats et espèces (pour éviter le dérangement, etc.). Les questions de météo peuvent aussi parfois poser problème. Accueil de journées solidarité entreprises et implication des acteurs économiques des territoires Réflexions sur la base de l intervention de Emmanuelle ROMET, Parc naturel régional de la Narbonnaise en Méditerranée Le Parc naturel régional de la Narbonnaise en Méditerranée a récemment accueilli des cadres européens d une grande entreprise pour la réalisation de missions de terrain sur la Réserve naturelle régionale de Sainte-Lucie, ceci ayant permis d impliquer le réseau local des animateurs du Parc pour l encadrement. Il est à noter que ces actions correspondent souvent pour les entreprises à des approches de management et de communication, s intégrant parfois dans des engagements de responsabilité sociale et environnementale des entreprises. D autres expériences existent parmi les structures gestionnaires avec de grands groupes (Coca-cola, Accor, Véolia ) mais aussi des acteurs locaux (entreprises, Offices de tourisme, CCI, usagers ). Concernant la maitrise de la communication, il apparaît important que l organisateur de chantiers garde la main. Cela peut passer par la relecture des brèves réalisées par les journalistes ou, dans le cas où ces derniers ne seraient pas associés sur le moment, la transmission d un communiqué de presse après coup. Pour aller plus loin :. Association COTRAVAUX Languedoc-Roussillon : - Plaquette : Association Concordia : Association Réseau d'entraide Volontaire Solidarités Jeunesses : - Plaquette : Association Etudes ET Chantiers Languedoc-Roussillon / Midi- Pyrénées : - Passeport pour l aventure utile : Association A pas de loup - Volontaires pour la nature : - Site web «J agis pour la nature» : Programmes participatifs de territoire PROPATER - Fondation Nicolas Hulot : Association Les Blongios : Fédération des Conservatoires d espaces naturels Chantiers d automne : Conservatoire d espaces naturels de Rhône-Alpes - Guide Mise en œuvre gestion : avaux.pdf. Conservatoire d espaces naturels de Picardie - Guide du bénévole : pdf. Bilan des groupes constitués - PNR Caps et Marais d Opale : df. Atelier technique des espaces naturels - Cahier technique «chantiers nature» : Direction Régionale de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale : Convention entre ATEN et Agence des Services civiques : -. Service civique - Ambassadeurs du patrimoine naturel : 2.pdf. Uniscité - Journées solidarité entreprises : - Plaquette UnisCité et les entreprises : Face Hérault : Service Pénitentiaire d Insertion et de Probation - Plaquette SPIP Hérault : -. Travaux d intérêts généraux : D autres contacts, documents et références sur la page dédié à l Atelier d échange d expériences sur le site web du Réseau des gestionnaires d espaces naturels protégés L-R : 15

16 Retours sur l évaluation de l atelier En termes d'évaluation de l'atelier, les retours transmis par les participants (15 sur 32 participants), sur la base d'un questionnaire, démontrent plusieurs éléments. Tout d'abord, l atelier a été considéré comme très enrichissant, le choix du lieu a été grandement apprécié bien qu il ait pu être regretté que la salle de réunion n ait été plus grande. L organisation de la journée et son programme ont suscité un fort intérêt parmi les gestionnaires mais aussi auprès des structures partenaires concernées par la thématique. L association d un large panel d acteurs et la place laissée au dialogue ont été accueillis positivement. Au regard des attentes initiales de chacun des participants à l atelier, c est avant tout la découverte d un champ des possibles étendu qui semble avoir marqué les participants. La présentation de retours d expériences concrets (avec leur lot d enseignements en bonnes pratiques et choses à ne pas reproduire) et l apport d éléments techniques (organisation, partenariat, assurance et sécurité, logistique, communication et valorisation) ont été un plus pour envisager la reproductibilité de telles actions sur de nouveaux espaces naturels. Certaines interventions enfin ont été jugées intéressantes du fait qu elles aient permis de verbaliser certaines idées, lesquelles pourront être reprises plus tard par les gestionnaires en termes d argumentaire et d appui à leur projet. Les échanges qui ont suivi les interventions ont été également riches et complets. Beaucoup d interrogations ont été soulevées et nécessiteront d y travailler plus en avant. Parmi les perspectives d actions, on peut noter l attente des participants à ce qu il y ait une mise à disposition des présentations, puis un développement d un espace ressource / retours d expériences et de moyens d échanges entre personnes concernées. Un ou plusieurs groupes de travail pourraient ensuite être montés sur les questions et problématiques soulevées lors de l atelier. A l échelle de leur territoire, les participants envisagent de façon assez concrète la mise en place d actions : réalisation de chantiers, mutualisation de chantiers avec les territoires et acteurs adjacents, coorganisation de travaux d intérêts généraux collectifs, création d une association rassemblant des volontaires, implication des acteurs locaux, partenariat avec des associations de chantiers ou des centres de formation, recrutement de services civiques, 16

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