La fréquence et les causes du cancer en France : où en sommes-nous et où allons-nous?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La fréquence et les causes du cancer en France : où en sommes-nous et où allons-nous?"

Transcription

1 La fréquence et les causes du cancer en France : où en sommes-nous et où allons-nous? Catherine Hill Gustave Roussy catherine.hill@gustaveroussy.fr

2 Le cancer en France cas de nouveaux cancers, estimation chez l homme chez la femme décès par cancer observation chez les hommes chez les femmes 2

3 Comparer les nombres est une erreur Décès par cancer: % Population 50 millions 64 millions +28% 1968 Age en années 100& & Population en milliers, femmes en rouge, hommes en bleu Population en milliers, femmes en rouge, hommes en bleu

4 Taux pour , échelle logarithmique La population a aussi beaucoup vieilli Echelle logarithmique Age en années Taux pour : élimine l effet de l augmentation de la population Le risque de mourir d un cancer augmente beaucoup avec l âge : À 30 ans 10 pour A 50 ans 100 pour A 70 ans 1000 pour (A 90 ans 3500 pour ) Taux standardisé, calculé en appliquant les taux observés par âge à une population standard : élimine les effets du vieillissement.

5 600 Taux pour (standard Europe) Mortalité hommes Incidence hommes Incidence femmes Mortalité femmes L incidence, c est-à-dire la fréquence des nouveaux diagnostics, a augmenté jusqu en 2005 chez les hommes et chez les femmes. alors que la mortalité diminue depuis 1987 chez l homme et depuis 1960 chez la femme

6 600 Taux pour (standard Europe) Sauf prostate Mortalité hommes Sauf sein & poumon Incidence hommes Incidence femmes Mortalité femmes 88% de l augmentation entre 1980 et 2005 = cancer de la prostate 41% de l augmentation entre 1980 et 2012= cancer du sein 20% de l augmentation = cancer du poumon

7 La mortalité diminue Le cancer est devenu la première cause de décès devant les maladies cardiovasculaires en 1988 chez l'homme, et en 2002 chez la femme, essentiellement parce que la mortalité par maladie cardiovasculaire diminue plus fortement que la mortalité par cancer

8 600 Mortalité chez les hommes 600 Mortalité chez les femmes Maladie cardiovasculaire Taux pour (standard europe) Cancer Accidents et suicides Maladie infectieuse Taux pour (standard europe) Maladie cardiovasculaire Cancer Accidents et suicides Maladie infectieuse

9 Nouveaux cas de cancer chez l'homme, estimations 2012 Prostate % Poumon % Colon-rectum % Bouche, pharynx, larynx % Vessie % Lymphome non Hodgkin % Rein % Foie % Pancréas % Mélanome % Autres. 19% Total %

10 Nombre de décès par cancer chez l'homme, en 2013 Poumon % Colon-rectum & grêle % Prostate % Foie % Pancréas % Bouche, pharynx, larynx % Vessie % Leucémies % Rein % Estomac % Lymphome non hodgkinien % Œsophage % Autres. 24% Total %

11 Fréquence des cancers, France, hommes 2012 Nombre de nouveaux cas Nombre de décès Source InVS Source INSERM Prostate Poumon Côlon et rectum Bouche, pharynx, larynx Vessie Lymphome non hodgkin Rein Foie Pancréas Leucémies & divers syndromes Mélanome Estomac Œsophage Encéphale Myélome Thyroïde Testicule Hodgkin

12 Nouveaux cas de cancer chez la femme, estimations 2012 Sein % Colon-rectum % Poumon % Corps utérin % Lymphome non Hodgkin % Thyroïde % Mélanome % Pancréas % Leucémies % Ovaire % Autres. 22% Total %

13 Nombre de décès par cancer chez la femme, en 2013 Sein % Colon-rectum & grêle % Poumon % Pancréas % Ovaire % Leucémies % Foie % Lymphome non Hodgkin % Endomètre % Estomac % Encéphale % Autres. 25% Total %

14 Fréquence des cancers, Femmes 2012 Nombre de nouveaux cas Nombre de décès Source InVS Source INSERM Sein Colon & rectum Poumon Endomètre Lymphome non Thyroïde Mélanome Pancréas Leucémies & divers Ovaire Rein Bouche, pharynx, larynx Col utérin Vessie Myélome Estomac Encéphale Foie Oesophage Hodgkin

15 La mortalité par cancer diminue Les différentes localisations de cancer ont des évolutions différentes : la plupart diminuent, quelques unes augmentent

16 Mortalité 60 Poumon Variation annuelle Récente - 1% Hommes : évolution de la mortalité par cancer Estomac Vessie Leucémies, lymphomes Rein Colon, rectum et grêle Prostate Cerveau Bouche, pharynx, larynx, oesophage Pancréas TesticulePeau 0 Thyroïde % - 4% - 4% Foie - 1% + 0.3% NS NS NS -2% -2% Baisse observée dans les années récentes pour la plupart des localisations Hausse pour le cancer du pancréas

17 Hommes : Plus grandes variations de mortalité par cancer Localisation Taux p Variation Bouche, pharynx, larynx, œsophage Prostate Poumon Autre et mal défini Côlon, rectum, grêle Estomac Péritoine 5,1 1,6-4 Vessie Leucémies, lymphomes Foie Pancréas 11,3 12,2 0,9. Peau 2,6 3,1 0,5

18 30 Mortalité Variation annuelle Récente Femmes : évolution de la mortalité par cancer 20 Sein Poumon -2% +4% Baisse observée dans les années récentes pour la plupart des localisations sauf Poumon 10 Cerveau Leucémies, lymphomes Rein Colon, rectum et grêle Pancréas Ovaire Utérus Foie Estomac Peau Vessie Thyroïde -2% +1% -2% -1% -0,5% -1% -3% et Pancréas

19 Femmes : Plus grandes variations de mortalité par cancer Localisation Taux p Variation Poumon Sein Côlon, rectum, grêle Autre, mal défini Estomac Ovaire Utérus, col et corps Leucémies, lymphomes Pancréas Péritoine Vésicule Foie 3,1 3,6 0,5

20 Mortalité par cancer entre 0 et 14 ans 9 8 Taux pour , à âge égal (moyenne des taux par 5 ans) Baisse de 2,9% par an depuis 1988 chez les garçons Baisse de 2,9% par an depuis 1977 chez les filles Années

21 180 Incidence Mortalité Poumon Taux pour (standard européen) Mélanome Prostate Poumon Colon & rectum Bouche, pharynx, larynx, oesophage Vessie Foie Pancréas Rein Estomac Cerveau Thyroïde Testicule 0 Estomac Vessie Leucémies, lymphomes Rein Colon, rectum et grêle Prostate Bouche, pharynx, larynx, oesophage Pancréas Cerveau TesticulePeau Thyroïde Foie

22 Incidence 30 Mortalité 120 Sein Taux pour (standard européen) Ovaire ouche, pharynx, Estomac arynx, oesophagevessie 0 Pancréas Colon, rectum Poumon Utérus Thyroïde Mélanome Rein Cerveau Cerveau Foie 0 Leucémies, lymphomes Rein Sein Poumon Colon, rectum et grêle Pancréas Ovaire Utérus Foie Estomac Peau Vessie Thyroïde

23 Causes connues de cancers Le Centre International de Recherche sur le Cancer (IARC), qui dépend de l'oms, classe les substances ou expositions en : - certainement cancérogènes pour l'homme - probablement " " " - possiblement " " " - inclassable - probablement non cancérogène pour l'homme Liste à jour sur

24 Objectif Évaluer les nombres de cas de cancers attribuables aux expositions certainement cancérogènes en l an 2000, en France

25 Alimentation: estimations ajoutées Exposition certainement cancérogènes: charcuterie (viandes transformées) et cancer colorectal Expositions probablement cancérogènes Sel et risque de cancer de l estomac Fibre et protection du cancer colorectal Viande rouge et transformée & cancer colorectal Effets protecteurs des fruits et légumes non féculents Données non convaincantes : (Peu de lien entre consommation de graisse et risque de cancer)

26 Cancérogène Certain Probable Pollution Les causes du cancer en France Radon dans les maisons chez les non-fumeurs Exp. prof. Trait. hormon. UV Sel - Fibre > 5 g/jour Inactivité physique Obésité & surpoids < 23 g/jour Infections - Fruits & légumes AlcoolTabac Papillomavirus (col) Hépatites B et C (foie) Helicobacter pylori (estomac) Epstein-Barr (lymphome, rhinopharynx) Viande rouge & transformée <400 g/jour Radon chez fumeurs Nombre de cas attribuables à chaque cause (surface proportionnelle au nombre)

27 Pollutions environnementales (pas encore prises en compte) Expositions cancérogènes (cancer du poumon) Pollution de l'air extérieur (particules fines) Vapeurs de diésel Expositions suspectées être cancérogènes : Produits dérivés de la chloration de l'eau Habitation à proximité d'une source de pollution Pesticides Dioxines Champs électromagnétiques

28 Mortalité par cancer Cause Fraction attribuable Tabac 24% Alcool 7% Infections (virus C, B, HPV, hélico, EBV)* 4% Expositions professionnelles 2% Obésité et surpoids 2% Inactivité physique 2% Traitement ménopause (& pilule) 1% Rayonnement ultra-violet 1% Caractéristiques vie reproductive 0,4% Polluants 0,2%. Total 35% * Virus C, B : hépatites C et B, HPV : Human Papilloma Virus, EBV : Virus d Epstein Barr

29 Mortalité par cancer Cause Fraction attribuable Tabac 24% Alcool 7% 28% * Infections (virus C, B, HPV, hélico, EBV) 4% Expositions professionnelles 2% Obésité et surpoids 2% Inactivité physique 2% Traitement ménopause & pilule 1% Rayonnement ultra-violet 1% Caractéristiques vie reproductive 0,4% Polluants 0,2% Total 35% *Les fractions attribuables ne s additionnent pas

30 Mortalité par cancer attribuable au tabac en 2013 Décès Cancer attribuable Poumon * Bouche, pharynx, larynx, œsophage ** Pancréas Foie Vessie Côlon-rectum Estomac Rein 900 Leucémie 900 Leucémie 900 Col de l'utérus 100 Ovaire (type mucineux) 40 Total Bonaldi et coll. BEH 2016

31 Mortalité par cancer attribuable au tabac en 2013 Décès Cancer attribuable Poumon * Bouche, pharynx, larynx, œsophage ** Pancréas Foie Vessie Côlon-rectum 30% des Estomac décès par cancer Rein 900 Leucémie 900 Leucémie hommes 900 Col de l'utérus femmes 100 Ovaire (type mucineux) 40 Total Bonaldi et coll. BEH 2016

32 Royaume-Uni, hommes % survivants après 35 ans Fumeurs actuels Jamais fumeurs 10 ans En moyenne les fumeurs meurent 10 ans plus tôt que les non fumeurs. Source: Jha P, Peto R. N Engl J Med 2014;370: Age en années

33 Royaume-Uni, femmes % survivantes après 35 ans Jamais Jamais fumeuses fumeurs 11 ans Fumeuses actuels 10 ans Fumeurs actuels En moyenne les fumeuses meurent 11 ans plus tôt que les non fumeuses. Source: Jha P, Peto R. N Engl J Med 2014;370: Age en années

34 Royaume-Uni, hommes % survivants Fumeurs actuels Jamais fumeurs 10 ans % survivants Royaume-Uni, femmes Jamais fumeuses 11 ans Fumeuses actuelles Etats-Unis, hommes % survivants Age en années Jamais fumeurs 12 ans Fumeurs actuels % survivants Age en années Etats-Unis, femmes Fumeuses actuelles Jamais fumeuses 11 ans Source: Jha P, Peto R. N Engl J Med 2014;370: Japon, hommes % survivants Age en années Jamais fumeurs 9 ans Fumeurs actuels % survivants Age en années Inde, hommes Jamais fumeurs 9 ans Fumeurs actuels

35 Arrêter de fumer vaut énormément la peine Risque de cancer du poumon en plus, par rapport à un non fumeur proportionnel à : dose x durée 4,5 Dose double risque double Durée double risque x 20 Donc pas de paquets-années car 20 paquetsannées c est 1 paquet par jour pendant 20 ans ou 2 paquets par jour pendant 10 ans

36 4 Mortalité toutes causes Risque relatif 3 2 Fumeuses actuelles 1 Jamais fumeuses Age (à l arrêt du tabac chez les ex-fumeuses) Source: Jha P, Peto R. N Engl J Med 2014;370: 60-8.

37 Taux pour (moyenne des taux sur 5 ans) ~ 40 ans (35 à 44 ans) : Hausse de 10% par an Baisse de 6% par an Baisse de 2% par an La mortalité par cancer du poumon vers 40 ans diminue depuis 1996 chez les hommes de 40 ans, la baisse est de 6% par an a augmenté de 10% par an chez les femmes de 40 ans entre 1984 et 1999 et baisse de 2% par an depuis

38 Taux pour (moyenne des taux sur 5 ans) ~ 40 ans (35 à 44 ans) : Hausse de 10% par an Baisse de 6% par an Baisse de 2% par an L évolution de la mortalité par cancer du poumon vers 40 ans dépend du tabac et pas de la pollution Peu d effet du tabac chez les femmes qui avaient 40 ans en 1985 et ont aujourd hui 70 ans. Le risque va beaucoup augmenter quand les femmes qui avaient 40 ans ou plus en 1999, (aujourd hui 57 ans ou plus) vont continuer à vieillir

39 30 Taux pour , standard européen Poumon Sein La mortalité par cancer du poumon tous âges chez les femmes pourrait dépasser la mortalité par cancer du sein vers 2015 Une catastrophe annoncée depuis longtemps!

40 7 Ventes et prix évoluent en miroir 280 Cigarettes par adulte et par jour Ventes / 2 Prix 3 Avec Sans 120 achats transfrontaliers & contrebande 80 Prix réel du tabac 1 Loi Veil Loi Evin Plan Cancer

41 Prix du tabac et ventes Entre 1991 et 2004, le prix du tabac a triplé, compte-tenu de l inflation. Les ventes de cigarettes ont été divisées par 2

42 Recettes fiscales du tabac Entre 1991 et 2004 : Prix du tabac* triplé, Consommation divisée par deux, Revenu fiscal* du tabac doublé * Compte tenu de l inflation Milliards d'euros, en euro constant Etat 80% Buraliste 8% Revenu fiscal

43 2/ L alcool Effet de la dose Pas d'effet du type de boisson

44 Consommation d'alcool Dans la population Grammes d'alcool pur par adulte et par jour Hommes Femmes 10 Verres à 10 grammes = unité alcool Hommes Maximum entre 1920 et 1940 : 11 verres d alcool par jour Depuis 2000 : moins de 5 verres d alcool par jour Femmes Maximum entre 1900 et 1940 : 3 verres d alcool par jour Depuis 2000 : moins de 1,5 verres d alcool par jour

45 Au café, un verre standard contient à peu près 10 grammes d'alcool pur, quel que soit le type de boisson Volume de boisson en centilitre Une chope de bière à 5 (25 cl) Un verre de vin à 12 5 (10 cl) Une coupe de champagne à 12 5 (10 cl) Un verre de whisky à 40 (3 cl) Un verre de cognac à 40 (3 cl) Un verre de pastis à 45 (un peu moins de 3 cl) Degré d'alcool

46 120 Consommation d'alcool Mortalité par cancer de la cavité buccale, pharynx, œsophage et larynx Grammes d'alcool pur par adulte et par jour Hommes Femmes 10 Verres à 10 grammes = unité alcool Taux pour à âge égal (standard Europe) Hommes Femmes

47 Alcool Mortalité par cancer en 2009 Cancer Nombre attribuable Bouche, pharynx, larynx & œsophage* Foie Colon & rectum Sein Total Guérin et al. Eur J Public Health 2013

48 Alcool Mortalité par cancer en 2009 Cancer Nombre attribuable Bouche, pharynx, larynx & œsophage* Foie Colon & rectum Sein Total hommes, femmes

49 Méta-analyse cumulée des publications sur l exposition au DDE (produit de dégradation du DDT) et risque de cancer du sein en fonction de l année de publication du dernier article pris en compte. Source : Autier et al. Attributable causes of cancer in France. Lyon: IARC 2007, p RR (IC95%) 1 0, Année de publication

50 Idées reçues sans aucun fondement Le stress augmente le risque de cancer : les études rigoureuses montrent qu il n y a aucun lien (mais le cancer est cause de stress +++) Manger bio réduit le risque de cancer La consommation de suppléments vitaminiques réduit le risque de cancer (cela pourrait augmenter le risque)

51 Conclusion La prévention du cancer est possible, à condition d agir sur des causes importantes Prévenir le cancer en agissant sur des facteurs qui ont peu ou pas d effet sur le risque brouille les messages et contribue donc indirectement à l augmentation du risque

52 L info médicale aléatoire du jour Source: New England Journal du charabia générateur d angoisse peuvent causer Selon un article paru aujourd hui JT Jim Borgman, Cincinnati enquirer

53 Ce qu il faut retenir En France, chaque année: nouveaux cas de cancers décès par cancer La mortalité par cancer diminue 28% des décès par cancer sont liés aux consommations de Tabac / Alcool

54

55 L effet du vieillissement est important A risque constant, le vieillissement double presque le risque : Age Risque annuel de décès par cancer (1) Population Population (4) (1)*(4) (2) (1)*(2) ~30 ans 10/ % 0,0026% 25% 0,0025% ~50 ans 100/ % 0,022% 27% 0,027% ~70 ans 1000/ % 0,16% 19% 0,19% ~90 ans 3500/ % 0,07% 6% 0,21% Total 0,25% 0,43%

56 Et les buralistes? La marge des buralistes est passée de 8% à 8,79% pour tous les produits sauf les cigares et cigarillos dont la marge est de 9% Revenu plus que doublé* sans parler des aides supplémentaires *Compte-tenu de l inflation Milliards d'euros, en euro constant 1,6 1,4 1,2 1,0 0,8 0,6 0,4 0,2 0,0 Revenus du tabac + aides Revenus du tabac

57 7 Ventes mensuelles de cigarettes et prix de la classe la plus vendue 7 Cigarette/adulte/jour Politique de blocage des prix Conséquences sur la consommation Prix en euros janv.-00 janv.-02 janv.-04 janv.-06 janv.-08 janv.-10 janv.-12 janv.-14 janv.-16 0

58 Le cancer en France cas de nouveaux cancers, estimation chez l homme chez la femme décès par cancer estimation chez les hommes chez les femmes INCA Les cancers en France en

59 Nouveaux cas de cancer chez l'homme, estimations 2015 Prostate % Poumon % Colon-rectum % Bouche, pharynx, larynx % Vessie % Lymphome non Hodgkin % Rein % Foie % Mélanome % Pancréas % Autres. 19% Total %

60 Nombre de décès par cancer chez l'homme, estimation 2015 Poumon % Colon-rectum % Prostate % Foie % Pancréas % Vessie % Leucémies % Rein Bouche, pharynx, larynx % Estomac % Œsophage % Autres. 24% Total %

61 Nouveaux cas de cancer chez la femme, estimations 2015 Sein % Colon-rectum % Poumon % Corps utérin % Lymphome non Hodgkin % Thyroïde % Mélanome % Pancréas % Leucémies % Ovaire % Autres. 22% Total %

62 Nombre de décès par cancer chez la femme, estimation 2015 Sein % Poumon % Colon-rectum % Pancréas % Ovaire % Leucémies % Endomètre % Foie % Lymphome non Hodgkin % Estomac % Encéphale % Autres. 25% Total %

63 90 Espérance de vie à la naissance 600 Mortalité chez les hommes 600 Mortalité chez les femmes Hommes Femmes Taux pour (standard europe) Maladie cardiovasculaire Cancer Accidents et suicides Taux pour (standard europe) Maladie cardiovasculaire Cancer Accidents et suicides Source : accès le 19 janvier 2016 Maladie infectieuse Maladie infectieuse

64 Mortalité par cancer attribuable au tabac en 2010 Poumon * Bouche, pharynx, larynx, œsophage ** Vessie Pancréas Foie Rein Estomac Leucémie 900 Col de l'utérus 100 Total * Représente 85% des cancers du poumon ** Représente 67% des cancers de la tête et du cou

65 Mortalité par cancer attribuable au tabac en 2010 Cancer Décès attribuable Poumon * Bouche, pharynx, larynx, œsophage ** Vessie Pancréas % des Foie décès par cancer Rein Estomac Leucémie hommes 900 Col de l'utérus femmes 100 Total

66 La survenue du cancer est elle aléatoire? 35% des cancers pourraient être évités par des modifications de nos modes de vie et dans notre environnement, ceci n est pas en contradictions avec les résultats du papier de Tomasetti: Ce papier montre la corrélation entre risque de survenue d un cancer au cours de la vie dans un organe et nombre cumulé de divisions cellulaires des cellules souches du tissu normal Tomasetti C, Vogelstein B. Science 2015; 347:78-81 «[l article] suggère que 65% environ des différences de risque de cancer entre les différents organes peuvent être expliquées par le nombre de divisions de cellules souches.» Le Monde du 13 janvier 2015

Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon

Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto

Plus en détail

Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques

Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques 2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données

Plus en détail

.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!

.( /.*!0) %1 2+ %#(3004) 05' 203 .(.*0+ ) '!2+ %#(30+ 0!%) 4!%2) 3 .( @.* '!%2+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2+ 16 3047! !"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*

Plus en détail

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données

Plus en détail

CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie

CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine

Plus en détail

Statistiques canadiennes sur le cancer 2014 Sujet particulier : les cancers de la peau

Statistiques canadiennes sur le cancer 2014 Sujet particulier : les cancers de la peau Statistiques canadiennes sur le cancer 2014 Sujet particulier : les cancers de la peau Produit par : Société canadienne du cancer, Statistique Canada, Agence de la santé publique du Canada, Registres provinciaux

Plus en détail

Cancer et environnement

Cancer et environnement PATHOLOGIES Cancer et environnement Le cancer est une maladie caractérisée par une prolifération importante et anarchique de cellules anormales qui ont la capacité d envahir et de détruire les tissus sains

Plus en détail

RAPPORT D ACTIVITE AIDEA 2008. Sommaire

RAPPORT D ACTIVITE AIDEA 2008. Sommaire Sommaire 1. Introduction 2. Attentes exprimées 3. Les questions fréquentes 4. Les statistiques 5. Les enquêtes 6. Retours et témoignages 7. Evaluations et indicateurs Notre MISSION : Informer, Conseiller

Plus en détail

Second cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein

Second cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie

Plus en détail

Que faut-il manger pour prévenir le cancer? Marie Rochette

Que faut-il manger pour prévenir le cancer? Marie Rochette Hausse de l incidence du cancer : peut-on contribuer à réduire ce fardeau? Que faut-il manger pour prévenir le cancer? Marie Rochette 2 M me Cormier, une ingénieure de 30 ans, vous consulte pour un bilan

Plus en détail

1 www.agrobiosciences.org

1 www.agrobiosciences.org Intervention. 4èmes Rencontres Alimentation, Agriculture & Société. Déc 2003. «Alimentation et prévention du cancer : quelle vérité?» Par Denis Corpet (1). Directeur de l équipe "Aliment et Cancer" de

Plus en détail

Questionnaire de suivi 1

Questionnaire de suivi 1 Numéro Constances Questionnaire de suivi 0 805 567 900 APPEL GRATUIT DEPUIS UN POSTE FIXE Vu l avis favorable du Conseil National de l Information Statistique, cette enquête est reconnue d intérêt général

Plus en détail

Déclaration médicale. Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur.

Déclaration médicale. Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur. Déclaration médicale Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur. Les données communiquées ci-après seront nécessaires pour pouvoir formuler une offre d assurance. Important Le candidat

Plus en détail

Le dépistage des cancers

Le dépistage des cancers Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et

Plus en détail

Substances chimiques et agents biologiques. Études et recherches RAPPORT R-521

Substances chimiques et agents biologiques. Études et recherches RAPPORT R-521 Substances chimiques et agents biologiques Études et recherches RAPPORT R-521 Risque de myélome multiple et de cancers des voies respiratoires, de l œsophage, de l estomac, du pancréas, de la prostate,

Plus en détail

RNV3P Recherche de pathologies émergentes

RNV3P Recherche de pathologies émergentes EPSP Ecole Doctorale Ingénierie Santé Cognition Environnement RNV3P Recherche de pathologies émergentes V Bonneterre, L Faisandier, DJ Bicout, R De Gaudemaris pour les membres du RNV3P Laboratoire Environnement

Plus en détail

Recommandations pour le troisième Plan Cancer

Recommandations pour le troisième Plan Cancer RAPPORT À LA MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ ET À LA MINISTRE DE L'ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE Recommandations pour le troisième Plan Cancer PROFESSEUR JEAN-PAUL VERNANT JUILLET

Plus en détail

Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET

Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales

Plus en détail

La cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac?

La cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac? La cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac? Dubois G, Goullé JP, Costentin J Au nom de la Commission VI (Addictions) Académie Nationale de Médecine Introduction Le tabac tue un

Plus en détail

Item 127 : Transplantation d'organes

Item 127 : Transplantation d'organes Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3

Plus en détail

MERCI DE RETOURNER LE BON DE PRISE EN CHARGE ET/OU LA FICHE RÉCAPITULATIVE DANS L ENVELOPPE T

MERCI DE RETOURNER LE BON DE PRISE EN CHARGE ET/OU LA FICHE RÉCAPITULATIVE DANS L ENVELOPPE T À l attention du bénéficiaire : BILAN SANTÉ RETRAITE AUTO-QUESTIONNAIRE Ce questionnaire servira de fil conducteur à la consultation avec votre médecin traitant. À l issue de l entretien, vous pouvez soit

Plus en détail

Proposition d'assurance - Questionnaire médical

Proposition d'assurance - Questionnaire médical Proposition d'assurance - Questionnaire médical AG Care Hospitalisation - Medi-Assistance - DELT Proposition d'assurance AG Care Hospitalisation Veuillez remplir le formulaire en lettres majuscules S agit-il

Plus en détail

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 % 24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.

Plus en détail

Une vision d avenir. Il était deux petits navires. Mise en contexte. Rapport Perrault. Forum des générations (2004) En bref...

Une vision d avenir. Il était deux petits navires. Mise en contexte. Rapport Perrault. Forum des générations (2004) En bref... Une vision d avenir Il était deux petits navires Alain Poirier, directeur national de santé publique et sous-ministre adjoint février 200 En bref... Mise en contexte Une mise en contexte Quelques données

Plus en détail

Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir?

Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Renseignements sur la fumée secondaire et tertiaire Qu est-ce que la fumée secondaire? La fumée secondaire est une combinaison de fumée

Plus en détail

Informations sur le cancer de l intestin

Informations sur le cancer de l intestin Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au

Plus en détail

Tout le monde est potentiellement

Tout le monde est potentiellement DOCUMENT DESTINÉ AUX PROFESSIONNELS DE SANTÉ Détection des cancers d origine professionnelle: quelques clés pour agir CANCERS PROFESSIONNELS Cette année, vous avez vu 10 nouveaux patients atteints de cancer

Plus en détail

Épilation au laser Fiche client (e) / Questionnaire. Nom du client : Adresse : Ville : Province : Code postal : Téléphone au domicile : Au travail :

Épilation au laser Fiche client (e) / Questionnaire. Nom du client : Adresse : Ville : Province : Code postal : Téléphone au domicile : Au travail : Épilation au laser Fiche client (e) / Questionnaire Nom du client : Date : Adresse : Ville : Province : Code postal : Téléphone au domicile : Au travail : Femme Homme Référé par : Date de naissance : Régions

Plus en détail

Contraception après 40 ans

Contraception après 40 ans Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception

Plus en détail

Cintech 360. Présenté par Guillaume Boisvert Dans le cadre de la Semaine horticole 2015

Cintech 360. Présenté par Guillaume Boisvert Dans le cadre de la Semaine horticole 2015 Cintech 360 Présenté par Guillaume Boisvert Dans le cadre de la Semaine horticole 2015 Centre collégial de transfert technologique Cégep de Saint-Hyacinthe Mission: Accroître l innovation et à la compétitivité

Plus en détail

Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale

Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS MMES et MM les Directeurs Date : - des Caisses Régionales d'assurance Maladie 27/03/96 - des Caisses

Plus en détail

N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20

N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20 RÉVISION DE SURPRIME Nom : Prénom : Date de naissance : - - Année Mois Jour N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à

Plus en détail

Docteur José LABARERE

Docteur José LABARERE UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Depuis les années 1930, la production mondiale

Depuis les années 1930, la production mondiale PRÉVENTION Cancers et substances chimiques Depuis les années 1930, la production mondiale de produits chimiques a été multipliée par 400. Parmi les 100000 substances chimiques recensées dans l Union européenne

Plus en détail

Pourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé.

Pourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé. Si plus des trois quarts des personnes se disent gênées par la fumée des autres, les risques liés au tabagisme passif restent largement sous-estimés : les non-fumeurs sont seulement 15 % à craindre, pour

Plus en détail

Vivez votre féminité sans souffrir.

Vivez votre féminité sans souffrir. Vivez votre féminité sans souffrir. PERDOFEMINA (lysinate d ibuprofène) est un médicament pour les adultes et les enfants à partir de 12 ans. Pas d utilisation prolongée sans avis médical. Ne pas administrer

Plus en détail

LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE

LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie

Plus en détail

Estimation nationale de l incidence et de la mortalité par cancer en France entre 1980 et 2012

Estimation nationale de l incidence et de la mortalité par cancer en France entre 1980 et 2012 JUILLET 2013 Estimation nationale de l incidence et de la mortalité par cancer en France entre 1980 et 2012 Étude à partir des registres des cancers du réseau Francim Partie 1 Tumeurs solides Auteurs Florence

Plus en détail

Colloque International sur les Politiques de Santé

Colloque International sur les Politiques de Santé République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière en collaboration avec Ecole Nationale Supérieure en Sciences Politiques Colloque International

Plus en détail

Sport et alpha ANNEXES

Sport et alpha ANNEXES Sport et alpha ANNEXES Edition 2013 TABLE DES MATIERES Table des matières 1 Alimentation 2 Boire, Boire, Boire... 2 Et à l approche des «20 km de Bruxelles»? 3 Et pendant l épreuve? 3 Stretching 4 Avant

Plus en détail

GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne

GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LA RESTAURATION SCOLAIRE GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014 Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LES OBJECTIFS Apporter aux enfants une alimentation de Qualité pour répondre à leurs

Plus en détail

Incontinence urinaire : trop souvent taboue

Incontinence urinaire : trop souvent taboue Incontinence urinaire : trop souvent taboue Tous concernés! De quoi s agit-il? C est une perte accidentelle ou involontaire des urines, qu il s agisse de quelques gouttes à une fuite plus conséquente :

Plus en détail

PART II / PARTIE II Volume 31, No. 5 / Volume 31, n o 5

PART II / PARTIE II Volume 31, No. 5 / Volume 31, n o 5 PART II / PARTIE II Volume 31, No. 5 / Volume 31, n o 5 Yellowknife, Northwest Territories / Territoires du Nord-Ouest 2010-05-28 TABLE OF CONTENTS / SI: Statutory Instrument / R: Regulation / TABLE DES

Plus en détail

Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle. Information sur le sodium alimentaire. www.reductionsodium.ca

Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle. Information sur le sodium alimentaire. www.reductionsodium.ca Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle Information sur le sodium alimentaire www.reductionsodium.ca Contact Jocelyne Bellerive, MA Coordonnatrice/Éducatrice Programme réduction

Plus en détail

Études épidémiologiques analytiques et biais

Études épidémiologiques analytiques et biais Master 1 «Conception, évaluation et gestion des essais thérapeutiques» Études épidémiologiques analytiques et biais Roxane Schaub Médecin de santé publique Octobre 2013 1 Objectifs pédagogiques Connaitre

Plus en détail

Bulletin d adhésion. Assurances santé internationales

Bulletin d adhésion. Assurances santé internationales Assurances santé internationales Bulletin d adhésion Veuillez noter que vous pouvez souscrire une de nos couvertures médicales internationales pour particuliers directement sur notre site Internet www.allianzworldwidecare.com

Plus en détail

La prise en charge de votre insuffisance cardiaque

La prise en charge de votre insuffisance cardiaque G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant

Plus en détail

LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS

LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS Hôpital Privé d Antony LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS Livret d information Hôpital Privé d Antony - OPC/KINE/268 Page 1 sur 5 Intervenants Rédigé par : C.DUPUY M.CERISIER Masseur Kinésithérapeute Masseur

Plus en détail

Le cancer dans le canton de Fribourg

Le cancer dans le canton de Fribourg Le cancer dans le canton de Fribourg Le cancer du poumon dans le canton de Fribourg, analyses statistiques réalisées sur la base des données récoltées par le Registre fribourgeois des tumeurs depuis début

Plus en détail

Pour une meilleure santé

Pour une meilleure santé Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES

Plus en détail

Partie III : Les déterminants de la santé

Partie III : Les déterminants de la santé Partie III : Les déterminants de la santé La santé de la population bruxelloise dépend de nombreux facteurs qui interviennent à des niveaux différents. Au niveau individuel, outre les facteurs génétiques,

Plus en détail

Marchés des groupes à affinités

Marchés des groupes à affinités Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime

Plus en détail

TROP, C EST COMBIEN? Chaque verre compte

TROP, C EST COMBIEN? Chaque verre compte Votre consommation d alcool TROP, C EST COMBIEN? Chaque verre compte Cette brochure explique les effets de l alcool sur votre santé ainsi que sur votre vie sociale, familiale et professionnelle. Elle vous

Plus en détail

Smoke Without Fire. De la réduction des risques à l amélioration des chances Anne-Cécile RAHIS, Jérôme GILLIARD

Smoke Without Fire. De la réduction des risques à l amélioration des chances Anne-Cécile RAHIS, Jérôme GILLIARD Smoke Without Fire De la réduction des risques à l amélioration des chances Anne-Cécile RAHIS, Jérôme GILLIARD 10/07/2013 CIGARETTE ELECTRONIQUE L OUTIL CARACTÉRISTIQUES DIFFÉRENTS MODÈLES LES ENJEUX ET

Plus en détail

GASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle

GASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac

Plus en détail

Tâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.

Tâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive. 13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser

Plus en détail

LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC. Description des produits

LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC. Description des produits LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC 04.03 Babeurre, lait et crème caillés, yoghourt, képhir et autres laits et crèmes fermentés ou acidifiés, même concentrés ou additionnés de sucre ou d'autres édulcorants ou

Plus en détail

Comprendre la radiothérapie

Comprendre la radiothérapie OCTOBRE 2009 Comprendre la radiothérapie collection guides de référence La radiothérapie externe La curiethérapie les effets secondaires La surveillance Mieux vivre la radiothérapie La sécurité et la qualité

Plus en détail

La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs

La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre

Plus en détail

Comprendre les lymphomes non hodgkiniens

Comprendre les lymphomes non hodgkiniens France Lymphome Espoir Comprendre les lymphomes non hodgkiniens Un guide d information pour les patients et leurs proches En partenariat avec Edition septembre 2011 Préambule La première édition datant

Plus en détail

Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012

Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Faire avancer la sûreté nucléaire Jean-René Jourdain Paris, 28 février 2012 Comment évaluer les conséquences

Plus en détail

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées

Plus en détail

Les cancers chez l enfant et l adolescent

Les cancers chez l enfant et l adolescent INFORMATION & PRÉVENTION Les cancers chez l enfant et l adolescent G R A N D P U B L I C Les cancers chez l enfant et l adolescent Bien qu ils représentent dans les pays développés, au-delà de l âge de

Plus en détail

La presse quotidienne départementale et l autodiscipline publicitaire Etat des lieux (étude sur un mois de parution)

La presse quotidienne départementale et l autodiscipline publicitaire Etat des lieux (étude sur un mois de parution) La presse quotidienne départementale et l autodiscipline publicitaire Etat des lieux (étude sur un mois de parution) Avril 2004 1 I/ SYNTHESE GENERALE DES RESULTATS Méthodologie 22 Titres différents examinés

Plus en détail

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY «Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration

Plus en détail

éviter UNE RÉCIDIVE APRÈS UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC

éviter UNE RÉCIDIVE APRÈS UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC éviter UNE RÉCIDIVE APRÈS UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR SES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur ses connaissances 3 Vrai Faux Rappel 4 Un AVC peut-il

Plus en détail

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice

Plus en détail

Lymphome non hodgkinien

Lymphome non hodgkinien Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

LES CIGARETTES LÉGÈRES SONT-ELLES MOINS NOCIVES?

LES CIGARETTES LÉGÈRES SONT-ELLES MOINS NOCIVES? LS IGATTS LÉGÈS SONT-LLS MOINS NOIVS? Journaliste : M. D. Duterte VM productions, 1999 Durée : 01 min 9 s Ainsi donc, les fumeurs qui se donnaient bonne conscience en fumant des cigarettes légères ont

Plus en détail

La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral

La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre

Plus en détail

Mais pourquoi je ne suis pas enceinte?

Mais pourquoi je ne suis pas enceinte? Mais pourquoi je ne suis pas? On a beau vouloir très fort un bébé, la nature ne nous obéit pas toujours au doigt et à l œil Ce qu il faut savoir pour être au top de sa fertilité et tomber plus facilement!...

Plus en détail

Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)

Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) SNCF DRH EPIC Prévention et Santé COMPOSITION DES EMISSIONS DIESEL MELANGE COMPLEXE DE SUBSTANCES

Plus en détail

L'ELASTICITE-PRIX I- QUAND LES PRIX VARIENT...

L'ELASTICITE-PRIX I- QUAND LES PRIX VARIENT... L'ELASTICITE-PRIX La consommation dépend, entre autre, du prix des biens et des services que l'on désire acheter. L'objectif de ce TD est de vous montrer les liens existants entre le niveau et l'évolution

Plus en détail

APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX

APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX Hôpital Privé d Antony APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX Livret d information Hôpital Privé d Antony OPC/KINE/297 Page 1 sur 6 Intervenants Rédigé par : Nom Profession Le Visa C.DUPUY

Plus en détail

ANNEXE A : CERTIFICAT D ASSURANCE

ANNEXE A : CERTIFICAT D ASSURANCE ANNEXE A : CERTIFICAT D ASSURANCE Assurance maladie grave collective en vertu de la Police collective 90341 POLICE COLLECTIVE : 90341 émise à Services le Choix du Président inc. RÉDUCTIONS EN RAISON DE

Plus en détail

Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang

Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages

Plus en détail

Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours

Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours 878 RECOMMANDATION DE BONNE PRATIQUE Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Recommandations pour la pratique clinique ARGUMENTAIRE Septembre 2011 1 Les recommandations

Plus en détail

S. Hercberg, Key-words: Antioxidants, Vitamins, Minerals, Randomized trial, Supplementation.

S. Hercberg, Key-words: Antioxidants, Vitamins, Minerals, Randomized trial, Supplementation. 2006. Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés Ann Pharm Fr 2006, 64 : 397-401 Stress oxydant L étude SU.VI.MAX, un essai contrôlé randomisé, en double aveugle, testant l effet de la supplémentation en

Plus en détail

Cancer et travail. Colloque. Mardi 14 décembre 2010. Couvent des Cordeliers amphithéâtre Pasquier 21, rue de l école de Médecine 75006 Paris

Cancer et travail. Colloque. Mardi 14 décembre 2010. Couvent des Cordeliers amphithéâtre Pasquier 21, rue de l école de Médecine 75006 Paris colloque cancer et travail Couvent des Cordeliers amphithéâtre Pasquier 21, rue de l école de Médecine 75006 Paris Mardi 14 décembre 2010 Colloque Cancer et travail PROGRAMMES ET CONFÉRENCES 1 2 colloque

Plus en détail

Anémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4

Anémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4 Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des

Plus en détail

Plan Cancer : 2003 2007. Mission. Interministérielle pour la Lutte contre le. Cancer

Plan Cancer : 2003 2007. Mission. Interministérielle pour la Lutte contre le. Cancer Mission Interministérielle pour la Lutte contre le Cancer Préface 3 Cancer : le Plan de mobilisation nationale 5 Les mesures du Plan Cancer 15 Les chiffres du cancer 43 1 Jean-François Mattei Ministre

Plus en détail

Vaccinations pour les professionnels : actualités

Vaccinations pour les professionnels : actualités Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???

Plus en détail

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation

Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation 1 Septembre 2014 Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation Grand-Charmont est une commune de 5200 habitants qui compte 57 % de logements sociaux. Les revenus

Plus en détail

(Cet éditorial est appuyé notamment par Greenpeace Québec et l Association

(Cet éditorial est appuyé notamment par Greenpeace Québec et l Association (Cet éditorial est appuyé notamment par Greenpeace Québec et l Association québécoise pour la lutte à la pollution atmosphérique, ainsi que par les médecins experts Dominique Belpomme, Samuel Epstein,

Plus en détail

QU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE?

QU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE? QU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE? Information pour les patients TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION 1 LA TUBERCULOSE GÉNÉRALITÉS 1.1 Qu est-ce que la tuberculose? 1.2 La tuberculose est-elle toujours contagieuse?

Plus en détail

Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne

Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne L alimentation : partie intégrante de la prise en charge de l enfant et de l adolescent diabétique base du traitement avec l insulinothérapie et l activité

Plus en détail

Surveillance épidémiologique de la mortalité et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise PRINCIPES GÉNÉRAUX ET DONNÉES NÉCESSAIRES

Surveillance épidémiologique de la mortalité et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise PRINCIPES GÉNÉRAUX ET DONNÉES NÉCESSAIRES Surveillance épidémiologique de la mortalité et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise PRINCIPES GÉNÉRAUX ET DONNÉES NÉCESSAIRES et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise

Plus en détail

Vous voulez. vous libérer. du tabac? Parlez-en avec un membre de notre équipe dentaire.

Vous voulez. vous libérer. du tabac? Parlez-en avec un membre de notre équipe dentaire. Vous voulez vous libérer du tabac? Parlez-en avec un membre de notre équipe dentaire. Bénéfices de l abandon du tabac pour la santé buccodentaire Les effets néfastes du tabagisme sur la santé buccodentaire

Plus en détail

Programme. Programme Activ. Dossier de presse Juin 2013. Dossier de presse Programme Activ 1

Programme. Programme Activ. Dossier de presse Juin 2013. Dossier de presse Programme Activ 1 Programme Programme Activ Dossier de presse Juin 2013 Dossier de presse Programme Activ 1 01 UN DISPOSITIF AMBITIEUX POUR RÉDUIRE LES RISQUES DE RÉCIDIVE DE CANCERS DU SEIN 2 Une phase pilote a été menée

Plus en détail

Enquête de Santé par Interview Belgique 2001

Enquête de Santé par Interview Belgique 2001 Enquête de Santé par Interview Belgique 21 Livre 3 Style de Vie IPH/EPI REPORTS nr 22-22 Rue de Louvain, 44 1 Bruxelles Section d'epidémiologie Rue Juliette Wytsman, 14 15 Bruxelles Tél : 2/642.57.94 e-mail

Plus en détail

FAMILLES ET PREVENTION SANTE

FAMILLES ET PREVENTION SANTE OBSERVATOIRE DES FAMILLES DES DEUX SEVRES FAMILLES ET PREVENTION SANTE ENQUETE 2013 - SYNTHESE Afin de donner les moyens à l Institution Familiale de "produire des données familiales", de les recueillir,

Plus en détail

UNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee. Arrêter, c est possible!

UNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee. Arrêter, c est possible! UNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee Arrêter, c est possible! Pour en finir avec la cigarette Un pari difficile L Université de Genève est déclarée territoire

Plus en détail

RISQUES SOLAIRES CE QU IL FAUT SAVOIR POUR QUE LE SOLEIL RESTE UN PLAISIR

RISQUES SOLAIRES CE QU IL FAUT SAVOIR POUR QUE LE SOLEIL RESTE UN PLAISIR RISQUES SOLAIRES CE QU IL FAUT SAVOIR POUR QUE LE SOLEIL RESTE UN PLAISIR PROFITEZ DU SOLEIL EN TOUTE SÉCURITÉ Nous profitons tous du soleil et en connaissons ses bienfaits : il dope le moral et favorise

Plus en détail

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du

Plus en détail

Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires

Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME Vendredi 9 Décembre 2011 Pontaumur La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Emilie CHANSEAUME Lucile AUMOINE Céline

Plus en détail

L'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes

L'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué

Plus en détail