Rapport annuel 2010 FéDéRATION SUISSE DU TOURISME PARTENARIAT. POLITIQUE. QUALITÉ.

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1 Rapport annuel 2010 FéDéRATION SUISSE DU TOURISME PARTENARIAT. POLITIQUE. QUALITÉ.

2 Fédération suisse du Tourisme Finkenhubelweg 11 Case postale Berne Tél Fax Concept/ Rédaction: Mila Trombitas Impression: Länggass Druck AG, Berne Auteurs: Chantal Beck, Fabienne Känel, Nadja Meier, Mario Lütolf, Mila Trombitas Lectorat: Priska Vogt, Korrvogt, Berne Photos: Yoshiko Kusano, Bern Conception graphique: Rahel Grünig, Grünig Corporate Design, Berne et Cuno Vollenweider, info-werkstatt, Berne

3 1 sommaire Éditorial 3 Tourisme Tourisme international Tourisme suisse Politique et économie Politique touristique Économie touristique Développement durable Promotion de la qualité 19 Formation 23 Fédération Mandats Annexe Bilan Compte de pertes et profits Rapport de l organe de révision Organes Membres

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5 3 éditorial 2010 niveau élevé confirmé 2009 avait été une année de crise caractérisée par un léger recul, si bien que l exercice 2010 était attendu avec un grand intérêt. Il est donc d autant plus réjouissant de constater que malgré la force du franc suisse et les instabilités de l économie mondiale, le nombre des nuitées a à nouveau augmenté. Mais ces évolutions ne doivent pas faire oublier que la Suisse ne parvient toujours pas à sortir de la stagnation des décennies passées. Elle ne fait que profiter dans une mesure limitée de la prospérité internationale du tourisme. Par bonheur, les nuitées dans les villes suisses ont connu une évolution positive en 2010 et ont pu compenser les pertes de clients dans les régions alpines. La Suisse touristique jouit manifestement de conditions cadres favorables. Le récent «rapport sur la compétitivité du tourisme et des voyages» du Forum économique mondial place une nouvelle fois la Suisse en première position. Il montre l importance pour le tourisme de conditions cadres économiques et politiques stables, combinées à une infrastructure de transports et touristique de premier ordre, sans oublier les ressources humaines et écologiques d un pays, essentielles pour créer un contexte attrayant permettant le développement du secteur des voyages et du tourisme. Ces constats nous poussent à continuer sur la voie empruntée. Car les défis restent nombreux, comme l observe sans fard la «Stratégie de croissance de la Confédération pour la place touristique suisse»: poursuite de la mondialisation modifications dans le comportement de la demande progrès technologiques changement climatique et dangers pour l environnement déficits structurels. Pour que la croissance soit possible, la Fédération suisse du tourisme s engage énergiquement en faveur de conditions cadres attrayantes pour les entreprises du tourisme. Elle défend les instruments de politique touristique visant à promouvoir l offre touristique et à renforcer la présence de la Suisse dans la concurrence mondiale. Elle offre ses bons services là où il est important de «donner une voix» au tourisme. Une fois encore, nous remercions nos membres de la grande confiance qu ils nous témoignent. Nous en avons fait l expérience en 2010, puisque c est à notre fédération qu a été confiée la mise en œuvre du Programme qualité du tourisme suisse. Dominique de Buman Président Mario Lütolf Directeur

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7 5 Tourisme Croissance des marchés éloignés Après une baisse due à la conjoncture, le secteur du tourisme a connu un rétablissement rapide. Les arrivées internationales ont augmenté de près de 7 % pour se fixer à 935 millions. Les arrivées nationales ont progressé de plus de 4 % et ont valu à la Suisse une augmentation des nuitées de 1,7 % qui a fait passer à 36,2 millions le nombre de nuitées dans l hôtellerie. Le marché national et les marchés éloignés ont contribué à cette croissance.

8 6 Tourisme Tourisme international TourismE International Le tourisme s est rapidement rétabli des reculs subis en 2009 ( 4 %) en raison de la situation économique mondiale. Le «Baromètre du tourisme mondial» de l Organisation mondiale du tourisme (OMT) révèle que les arrivées internationales ont augmenté de près de +7 % au total, pour atteindre désormais 935 millions, soit 58 millions d arrivées de plus qu en Ainsi, le monde a compté 22 millions de voyageurs de plus en 2010 que durant l année record Malgré les variations conjoncturelles, les catastrophes naturelles et les conditions climatiques défavorables en décembre dernier en Europe et aux Etats-Unis, le tourisme international a repris le chemin de la croissance. En 2010, on relèvera l importance jouée par les grandes manifestations dans le tourisme international. D une part, elles attirent de nombreuses personnes, et d autre part, elles permettent au pays hôte de se positionner en tant que destination attrayante. Citons à titre d exemples les Jeux Olympiques d hiver au Canada, l exposition universelle de Shanghai, les championnats du monde de football en Afrique du Sud et les Jeux du Commonwealth en Inde. Alors que des augmentations ont pu être enregistrées dans toutes les régions du monde, c est l Asie qui obtient à nouveau un résultat impressionnant sur le plan des arrivées internationales (+13 %). Près de 204 millions d arrivées, voilà qui constitue un nouveau record pour cette région en plein essor. Cette progression durable influencera également l évolution dans les années à venir. Les pays d Afrique, stimulés par les championnats du monde de football en Afrique du Sud, ont également continué sur leur lancée positive avec une hausse de +6 %. Le Moyen-Orient lui aussi a progressé de près de +14 %. Les marchés européens ont connu une croissance plus lente de +3 %, due notamment à la fermeture de l espace aérien européen suite à l éruption du volcan islandais Eyjafjallajökull ainsi qu aux variations dans la zone euro. Globalement, il n a pas encore été tout à fait possible d atteindre le niveau record de l année 2008 avec ses quelque 481 millions d arrivées. ARRIVéES INTERNATIONALES EN TERMES ABSOLUS (EN MIo)

9 7 Tourisme Tourisme international Le continent américain a progressé de +8 %, ce qui lui a permis de se remettre largement des conséquences de la crise conjoncturelle et de la pandémie de grippe H1N1. Sur le continent américain, la poussée la plus forte a été enregistrée par les pays d Amérique du Sud avec +10 %. ARRIVéES INTERNATIONALES Ainsi, le tourisme a à nouveau fait la preuve qu il constitue au plan international un secteur résistant à la crise. Le «rapport sur la compétitivité du tourisme et des voyages» du Forum économique mondial (WEF) affirme à propos des perspectives d avenir: «Pour s imposer dans la nouvelle réalité suivant la crise, le secteur des voyages et du tourisme ainsi que les destinations de vacances doivent [ ] impliquer tous les groupes de la population par le biais de nouveaux modèles commerciaux et de partenariats et gérer les risques notamment liés à la sécurité et à l environnement de façon globale aussi bien que systémique.» ARRIVéES INTERNATIONALES EN TERMES RELATIFS +7,8% +3,2% +12,6% +13,9% +6,4% +7,5% Source: Organisation mondiale du tourisme OMT Les chiffres pour 2010 sont des estimations de l OMT. Les valeurs définitives seront publiées en juin 2011.

10 8 Tourisme Tourisme suisse Tourisme Suisse RÉSULTAT FINALEMENT RÉJOUISSANT APRÈS DES PRÉVISIONS MODESTES Après la chute de 2009, la Suisse a enregistré en 2010 un résultat réjouissant avec 36,2 millions de nuitées et 16,2 millions d arrivées. Cela représente 1,7 % de nuitées et 4,1 % d arrivées de plus que l année précédente. En Suisse, ce bon résultat est dû aux progrès du tourisme dans les villes et du tourisme d affaires. A l étranger, de nouveaux groupes de clients ont pu être obtenus venant de Chine, de l Inde, des pays du Golfe et de l Amérique. S agissant des clients européens, les nuitées ont reculé de 2 %. Dans les cinq plus grands marchés européens, ce recul des nuitées a même atteint 3,2 %. Dans ce groupe, la fragilité de l Euro se fait particulièrement sentir depuis deux ans. NUITÉES SELON LES PAYS D ORIGINE EuropE Allemagne 5,8 Mio 3,6 % Royaume-Uni 1,9 Mio 0,1 % France 1,4 Mio + 1,1 % Italie 1,1 Mio 5,6 % Pays-Bas 1,0 Mio 3,6 % Belgique 0,7 Mio 4,2 % Espagne 0,4 Mio + 0,6% Autriche 0,4 Mio +2,4% INTERNATIONAL États-Unis 1,5 Mio + 8,9 % Japon 0,5 Mio + 6,8 % TABLEAU NUITÉES ET ARRIVÉES NUITÉES Suisses 15,8 Mio +2,2 % Pays du Golfe 0,4 Mio + 13,0 % Chine sans Hongkong 0,4 Mio + 48,8 % Inde 0,4 Mio + 21,1 % Etrangers 20,4 Mio +1,4 % Total 36,2 Mio +1,7 % ARRIVéES Suisses 7,6 Mio + 4,2 % Etrangers 8,6 Mio + 4,0 % Total 16,2 Mio + 4,1 % DAVANTAGE DE TOURISTES VENANT DE LOIN Au niveau de la demande étrangère, les clients venant du continent asiatique ont enregistré par rapport à l année précédente une progression de nuitées (+17 %). Les clients de Chine ont doublé le nombre de leurs nuitées. Ils ont été suivis par l Inde et les pays du Golfe avec respectivement 21 % et 13 % de croissance. Les nuitées venant du continent américain ont progressé de 9,4 %, et les Etats-Unis en particulier ont enregistré près de 9 % de nuitées en plus malgré la faiblesse du dollar. BAISSE DES TOURISTES VENANT DE LA ZONE EURO Pour les clients européens, les nuitées ont régressé de 2 % ( nuitées), les arrivées de 2,5 %. Dans les cinq plus grands marchés européens, l Allemagne, la France, l Italie, les Pays-Bas et la Belgique, qui, ensemble, représentent près de 50 % de toutes les nuitées étrangères, le recul a même atteint 3,2 %. Dans ce groupe, la fragilité de l Euro se fait particulièrement sentir depuis deux ans: par rapport au franc, il a perdu près d un quart de sa valeur en 2009 et C est en Allemagne, marché étranger le plus important en termes absolus, que l on a observé le recul absolu le plus fort, avec moins nuitées. Ces deux dernières années, la Suisse a ainsi perdu un demi-million de nuitées sur le marché allemand. Dans la zone Euro, seules la France, l Espagne et l Autriche présentent un solde positif.

11 9 Tourisme Tourisme suisse LE MARCHÉ SUISSE: UNE GRANDEUR STABLE Le marché intérieur reste une grandeur importante dans le mix de touristes. Avec 15,8 millions de nuitées (7,6 millions d arrivées), il a atteint une part de 43,5 %. En 2009, année de crise économique, la demande intérieure a amorti la baisse, et en 2010, elle a contribué à la hausse des nuitées. Le tourisme des villes et le tourisme d affaires continuent à gagner en importance. Par rapport à l année précédente, le tourisme a progressé de 6 % dans les grandes villes. Dans les régions, en revanche, les tendances observées sont variables. La hausse des nuitées a été de 8 % dans la région de Zurich, de 5 % dans celle de Genève et de 4,5 % dans celle de Bâle. La Suisse centrale et la région lémanique sont également des gagnantes, avec respectivement 4 % et près de 5 %. En revanche, le recul est marqué au Tessin avec 4,5 %, et même les cantons touristiques classiques des Grisons et du Valais enregistrent une baisse. Il n en reste pas moins que les Grisons sont en tête de la concurrence nationale avec 5,8 millions de clients. NUITÉES PAR RÉGIONS Genève 2,8 Mio + 5,3 % Grisons 5,8 Mio 1,3 % Neuchâtel, Jura, Jura bernois 0,4 Mio 0,2 % Oberland bernois 3,7 Mio + 0,5 % Plateau suisse 1,8 Mio + 1,1 % Région de Bâle 1,4 Mio + 4,5 % Région de Fribourg 0,4 Mio + 2,6 % Région de Zurich 5,1 Mio + 8,1 % Région du Léman/ Vaud 2,6 Mio + 4,7 % Suisse centrale 3,4 Mio + 4,3 % Suisse orientale 2,0 Mio + 2,7 % Tessin 2,5 Mio 4,6 % Valais 4,3 Mio 2,9 % Total 36,2 Mio + 1,7 % Source: Office fédéral de la statistique RACCOURCISSEMENT DES SÉJOURS La durée moyenne du séjour a légèrement diminué. Elle s élève maintenant pour les clients suisses à 2,1 nuits, pour les clients étrangers à 2,4 nuits et au total à 2,2 nuits. Les chiffres les plus élevés sont ceux des Grisons avec 3 nuitées par client. TAUX NET D OCCUPATION DES CHAMBRES Le taux net d occupation des chambres s est élevé en 2010 à 52 %. Genève et Zurich présentent les taux les plus élevés, qui dépassent 60 %, tandis que les plus bas sont enregistrés par la région Neuchâtel/Jura/Jura bernois avec 30 %. ParahÔtellerie Les 950 appartements de vacances Reka en Suisse ont enregistré un léger recul des nuitées de 2,2 %. Cela s explique par la fermeture du village de vacances de Bergün ( nuitées). 84 % de toutes les réservations ont été effectuées par des familles suisses. Les appartements des villages de vacances appartenant à Reka ont été occupés pendant 224 jours. Des records ont été atteints par les installations de vacances de Hasliberg (285 jours), suivies par la Lenk (264 jours) ainsi que Montfaucon et Albonago (252 jours). Les 56 auberges de jeunesse suisses ont enregistré au total nuitées ( 0,8 %) et arrivées ( 1,1 %). Cela donne une durée de séjour moyenne de 2 nuits par client. La part des clients suisses s est élevée à 58 %. Les 419 campings recensés ont enregistré 3,3 millions de nuitées ( 10,2 %) et arrivées ( 11,3 %). La durée du séjour a été de 3,5 jours et la part des clients suisses s est élevée à 53 %. «Vacances à la ferme» a réalisé en 2010 plus de nuitées, soit une augmentation de 2,9 %. L association «Aventure sur la paille» a atteint le meilleur résultat depuis sa création en 1998, avec nuitées.

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13 11 politique et Économie Stratégie nationale de croissance Le Conseil fédéral a agréablement surpris la branche du tourisme avec sa «stratégie de croissance pour la place touristique suisse». En revanche, la Fédération suisse du tourisme (FST) et l ensemble de la branche ont unanimement rejeté la proposition du Conseil fédéral de financer la nouvelle loi fédérale encourageant l innovation, la collaboration et le développement du savoir dans le tourisme par des réductions des crédits alloués à Suisse Tourisme.

14 12 Politique et économie Politique touristique POLITIQUE TOURISTIQUE STRATÉGIE DE CROISSANCE POUR LA PLACE TOURISTIQUE SUISSE Dans son rapport «Stratégie de croissance pour la place touristique suisse», le Conseil fédéral a formulé des orientations stratégiques pour la poursuite du développement du tourisme suisse. Ce rapport souligne les atouts et les points faibles de la Suisse en tant que pays touristique et indique où se situent les défis à relever. Il explique la vision et les objectifs de la politique touristique nationale. Il présente comment le tourisme suisse peut utiliser à l avenir ses potentiels de croissance en respectant les principes du «développement durable», afin de créer des emplois et de générer ainsi de la valeur et du revenu. La FST a collaboré à ce rapport. Elle se félicite amplement de la nouvelle base stratégique, mais constate également que seuls les programmes de mise en œuvre, qui doivent être élaborés en 2011, montreront si cette stratégie est appliquée avec succès. Elle ne partage pas l appréciation du Conseil fédéral selon laquelle les ressources financières disponibles aujourd hui sont suffisantes pour mettre en œuvre la stratégie de croissance et que les innovations recherchées peuvent et doivent être financées par la simple exploitation des potentiels de synergie ou par des compensations à l intérieur de la politique touristique. MESSAGE SUR LA PROMOTION DE LA PLACE ÉCONOMIQUE SUISSE Ce message fixe notamment les crédits financiers pour le marketing touristique national et la promotion de l innovation dans le tourisme pour les années Le Conseil fédéral prévoit de réduire le crédit de l organisation nationale de marketing Suisse Tourisme (ST) de 16 millions de francs suisses à 175 millions, bien que ST présente un besoin d investissement de 227 millions de francs pour exploiter le potentiel de croissance reconnu. Ce montant réduit doit financer la promotion de l innovation dans le tourisme. La décision du Conseil fédéral est contradictoire et met en opposition des instruments ayant une orientation différente. La FST rejette clairement cette intention. Elle se félicite de la loi fédérale encourageant l innovation, la collaboration et le développement du savoir dans le tourisme, qui n est désormais plus limitée dans le temps. Néanmoins, la Confédération doit continuer à mettre à disposition les ressources correspondantes. RÉVISION DE LA LOI ENCOURAGEANT L INNOVATION, LA COLLABO- RATION ET LE DÉVELOPPEMENT DU SAVOIR DANS LE TOURISME La FST soutient le projet Innotour, qui prévoit de transformer l arrêté fédéral de durée limitée en une loi fédérale de durée illimitée. Dans sa position sur cette question, elle souligne quatre revendications: Le crédit financier doit être approuvé pour quatre ans. Les ressources correspondantes il est prévu d y consacrer 5 millions de francs suisses par an doivent continuer à être mises à disposition par le Département fédéral de l économie (DFE). Le plafond de dépenses alloué à Suisse Tourisme ne doit pas être réduit d autant. Le cofinancement de la statistique de l hébergement par le biais d Innotour à partir de 2005 était conçu comme une solution transitoire. La Confédération a toutefois pour mission de mettre à disposition les bases statistiques nécessaires. INITIATIVE POPULAIRE «STOP A LA TVA DISCRIMINATOIRE POUR LA RESTAURATION!» La FST soutient la demande de GastroSuisse visant à éliminer les distorsions à la concurrence existantes. Les repas et les boissons non alcoolisées sont taxés à 2,5 % dans le commerce de détail, alors que dans l hôtellerie et la restauration, ils sont soumis à une imposition de 8 %. L initiative a pour but de taxer les repas immédiatement consommables et les boissons non alcoolisées, qu ils soient consommés dans un établissement ou bien vendus à l emporter. AMéNAGEMENT DU TERRITOIRE La Fédération suisse du tourisme se félicite de l intention du Conseil fédéral de promouvoir la politique d urbanisation vers l intérieur. L évolution des constructions doit être concentrée. La planification doit se faire en «espaces fonctionnels» et une politique des zones à bâtir doit être imposée

15 13 Politique et économie Politique touristique jusqu au niveau communal. La révision partielle de la loi sur l aménagement du territoire offre des chances à cet effet. Elle peut servir de base à une nouvelle politique de l urbanisation favorisant les intérêts à long terme de l économie touristique. Il est dès aujourd hui possible de contrecarrer les effets de l émiettement urbain par des concepts innovants et proches du marché. Les bases légales sur le plan fiscal et sur celui de l aménagement du territoire doivent donc viser à favoriser les orientations cantonales et communales suivantes: restrictions afin d éviter ou de réduire les effets qui mettent en danger l attractivité des destinations touristiques incitations financières à restreindre la construction de résidences secondaires et pour renforcer les emplacements touristiques et résidentiels politique active d implantation, s adressant aux prestataires commerciaux et garantissant le panachage de l offre planification de zones à bâtir/planifications directrices pour développer des destinations modernes avec des zones touristiques, de complexes ou d hôtels situées dans des endroits charmants. FINANCEMENT DU TOURISME DANS LES GRISONS La FST a pris position sur le projet de loi relatif au financement des organisations touristiques et à la proposition de variantes d une loi cadre sur l harmonisation du financement du tourisme dans le canton des Grisons. Elle souscrit aux thèses concernant l importance du tourisme et relève son importance pour l économie régionale et nationale. Le changement de système en direction de taxes en fonction des capacités offre de nouvelles incitations intéressantes. La prise en compte d entreprises proches du tourisme dans le canton est mise en œuvre de façon cohérente. Le calcul des taux est compréhensible, bien que complexe. Les arguments en faveur d une taxe cantonale sur le tourisme sont convaincants. La réforme a un effet de signal pour l économie touristique suisse et peut influencer positivement la compétitivité ainsi que la marge de manœuvre du secteur touristique des Grisons. PROGRAMME DE CONSOLIDATION ET RÉEXAMEN DES TâCHES DE LA CONFéDéRATION Dans sa prise de position, la FST a recommandé aux Chambres de ne pas entrer en matière sur le programme de consolidation. L incertitude économique perdure, et l évolution actuelle des devises en particulier influence négativement les chances du marché du tourisme arrivant. Certaines mesures de réduction, d abandon ou de réforme proposées par le programme de consolidation et le réexamen des tâches sont d une énorme portée pour l économie touristique. Elles entravent la croissance et risquent donc de mettre en danger les objectifs de la Confédération en matière de politique touristique, alors même que le Département fédéral de l économie (DFE) traverse une phase importante de redéfinitions menant à une «stratégie de croissance pour la place touristique suisse» (à partir de 2012). Au vu des comptes positifs, les Chambres ont décidé de renoncer provisoirement à leurs projets d économies.

16 14 Politique et économie Politique touristique Interpellation urgente «Un franc fort: analyse de la situation pour le tourisme suisse» La persistance d un franc fort, dont la valeur a encore augmenté par rapport à l euro, à la livre britannique et au dollar US au cours de l année 2010, a donné lieu à une interpellation urgente du Président de la FST et Conseiller national Dominique de Buman au sein du Conseil national. Pour justifier son intervention, celui-ci a expliqué que, de par son caractère exclusivement local, le tourisme était un secteur particulièrement sensible aux fluctuations des taux de change et qu il ne profitait guère des conditions favorables d importation, tout en ajoutant que le marché intérieur était également touché dans la mesure où il s avérait plus avantageux de passer des vacances à l étranger. Il a précisé que le tourisme de vacances et de loisirs dans les régions alpines, préalpines et rurales en particulier était amené à ressentir les effets de la vigueur du franc suisse. Compte tenu de ces circonstances, il a demandé que le Conseil fédéral examine «la nécessité d allouer des ressources supplémentaires de la Confédération pour une durée limitée». MOBILITÉ Depuis vingt ans, l industrie du tourisme connaît une croissance de l ordre de +5 % par an. Une part considérable de la mobilité touristique et du tourisme d affaires revient au trafic aérien. Pour la Suisse, le rapport sur la politique aéronautique du Conseil fédéral (2004) signale qu un tiers des touristes arrive en avion. C est pourquoi l aviation est un partenaire important de l industrie nationale du tourisme. Une infrastructure adaptée à la demande et des conditions cadres compétitives sont dans l intérêt de l économie touristique, d autant plus que les marchés de croissance pour le tourisme suisse se situent dans des destinations éloignées telles que l Asie, l Amérique du Sud ou les pays du Golfe. Le rapport sur les infrastructures de la Confédération 2010 a montré une fois de plus que les goulets d étranglement au niveau des capacités dans les aéroports nationaux de Genève et de Zurich sont sous-estimés. Bien que le rapport lui-même prenne pour hypothèse une augmentation de 80 % du transport de personnes sur la période , il ne propose aucune extension des capacités, ce que la FST critique. Elle a réclamé un accroissement de la capacité des aéroports nationaux passant par leur utilisation plus efficiente et le cas échéant par leur agrandissement. C est ce qu elle a souligné lors de la consultation sur le «plan sectoriel de l infrastructure aéronautique» de l aéroport de Zurich à la fin de l automne: dans ce contexte, c est surtout la prolongation des heures d exploitation qui occupe le devant de la scène. La FST a également réclamé que l extension territoriale de l aéroport ne puisse pas d ores et déjà être restreinte, comme cela est proposé. En matière de transports publics, l attention s est portée sur le programme de consolidation de la Confédération (PCO), qui prévoyait la suppression de 157 lignes régionales et donc une baisse des dépenses de 15 millions de francs par an. Près de personnes et 200 localités n auraient ainsi plus été desservies par les transports publics. Etant donné que presque toutes les lignes servent au transport scolaire et plus de la moitié au transport touristique, la FST a rejeté de façon claire et nette cette proposition. En liaison avec des associations partenaires, elle a produit une brochure qui dresse la liste des lignes concernées. Bien que la FST soutienne une politique progressiste en matière de climat, d énergie et d environnement, qui réduise sensiblement les émissions de carburants et de combustibles fossiles, elle rejette l instrument isolé de la création de zones environnementales dans les centres-villes en vue d atteindre les objectifs liés au climat. Elle fait valoir que le travail administratif lié à la vente d une nouvelle vignette est trop lourd. La création de telles zones serait décidée et mise en œuvre par les cantons, ce qui serait matériellement approprié. Mais cela signifierait que les clients étrangers seraient confrontés à des réglementations cantonales différentes et devraient éventuellement acheter plusieurs vignettes.

17 15 Politique et économie économie touristique ÉCONOMIE TOURISTIQUE «PASTA light» Depuis 2004, il n existe plus en Suisse de recensement systématique des nuitées pour les appartements de vacances. Or, le matériel statistique relatif à l emplacement et à l utilisation des appartements de vacances est important, non seulement pour l économie touristique, mais aussi pour l aménagement du territoire et la planification du trafic. Le projet «PASTA light» dirigé par la FST est une solution sectorielle qui vient combler cette lacune d information. Les données utilisées sont celles des quelque ouvrages qui sont recensés dans les banques de données de Suisse Tourisme, ainsi que les systèmes de formulaires d inscription et les sondages réalisés par les destinations elles-mêmes. «PASTA light» est mis en œuvre en collaboration avec les cantons de Berne, des Grisons, du Valais et du Tessin ainsi que des partenaires touristiques. L Office fédéral de la statistique accompagne ce projet. Les premiers résultats de ce recensement sont attendus pour l été AgrotourismE Dans les régions rurales, l agrotourisme constitue une alternative intéressante pour les agriculteurs novateurs. Dans le passé, les dispositions d aménagement du territoire relatives à la transformation d exploitations agricoles et à l exploitation de fermes auberges ont été assouplies, après quoi l Office fédéral de l agriculture a insisté en 2010 pour la création d une organisation faîtière de l agrotourisme. Parallèlement aux quelque 500 prestataires déjà réunis dans les associations «Aventure sur la paille», «Vacances à la ferme» et «tourismerural.ch», celle-ci doit également intégrer les prestataires qui ne sont pas encore organisés, et que l on estime entre 2000 et En liaison avec le Groupement suisse pour les régions de montagne (SAB), la FST a élaboré un document de référence relatif à la constitution et aux domaines d activité d une telle organisation et qu il a déposé auprès de l Office fédéral de l agriculture. L échange avec les représentants de l Office fédéral et les associations à propos de la constitution de cette organisation faîtière s est avéré fructueux, et des coopérations sont envisagées avec le Programme qualité du tourisme suisse ainsi qu avec la classification des appartements de vacances. Agrotourismus Schweiz (AT.CH) a vu le jour le 31 mai Les contacts fructueux ont incité la FST à se porter candidate pour en assurer le secrétariat. COOPéRATION AVEC L AGRICULTURE La FST a accompagné en profondeur les travaux relatifs à la Charte suisse de la stratégie de qualité de l agriculture et de la filière alimentaire. Sur le plan touristique, les réunions de travail menant à la mise au point d une stratégie de communication commune pour les produits agricoles et le tourisme ont été particulièrement intéressantes. La FST soutient en particulier l utilisation de la marque Suisse Tourisme en tant que marque commune pour la commercialisation de la place touristique suisse et de ses produits agricoles.

18 16 Politique et économie Économie touristique

19 17 Politique et économie Développement durable DÉVELOPPEMENT DURABLE UNE TABLE RONDE BEAUCOUP DE CHAISES La FST a proposé aux signataires de la Charte du développement durable du tourisme suisse une table ronde pour pouvoir discuter des projets communs. Le résultat a été un document de travail décrivant cinq projets: Une boîte à outils sur Internet, axée sur la pratique, destinée à faciliter l entrée des entreprises touristiques dans ce thème complexe. De nouvelles offres de formation continue et de perfectionnement. Un outil d évaluation et de monitorage soutenu par informatique visant à déterminer la prestation en matière de développement durable a) des régions touristiques de Suisse et b) des petites et moyennes entreprises (PME). Une étude sur les émissions de CO 2 du tourisme. L élaboration d indicateurs pour évaluer les offres durables. Même si la réalisation d un projet transsectoriel n est pas possible, certains membres de la FST pourraient se laisser inciter à lancer eux-mêmes une initiative. Ainsi, la Haute école de Lucerne travaille au lancement d un cours post-diplôme, et plusieurs destinations souhaitent s engager dans un projet pilote destiné à mesurer leur prestation en matière de développement durable. A la fin de l automne, la FST a organisé une rencontre avec des prestataires de produits de compensation neutres pour le climat et de solutions visant à accroître l efficacité énergétique. Par ailleurs, sur mandat de l Office fédéral de l aménagement du territoire (ARE), elle a collaboré à la collecte des bonnes pratiques de projets venant du tourisme. Cette brochure sera publiée en MISE EN ŒUVRE DE LA CHARTE DU DÉVELOPPEMENT DURABLE Le sondage réalisé fin 2010 pour la deuxième fois depuis 2009 a montré que la mise en œuvre de la Charte du développement durable n a enregistré cette année que de petits progrès par rapport à l année précédente. En 2010, près des deux tiers des signataires ont intégré dans leur vision d entreprise une profession de foi en faveur du développement durable. La moitié des signataires ont désigné un responsable du développement durable dans leur organisation ou créé un groupe de travail. Néanmoins, les progrès pour ancrer la Charte au sein du secteur sont en stagnation. L augmentation la plus forte est enregistrée sur le plan de la sensibilisation des membres: une grande partie des signataires a déjà mis en œuvre des mesures correspondantes ou les envisage pour Onze organisations aspirent à la certification ISO ou sont déjà certifiées. Une majorité des organisations ayant répondu continue à souhaiter l élaboration d un programme de mise en œuvre multidisciplinaire. Quant à savoir quels en seraient les contenus, les réponses ont été: un classement national dans le domaine du développement durable un fonds national de compensation du CO 2 pour les projets touristiques un échange d expérience par le biais de groupes d expérience et de plates-formes d échange la transmission de méthodes pour mesurer le développement durable une mise en réseau plus étroite et la commercialisation conjointe des offres existantes dans le tourisme durable. A la question des difficultés rencontrées dans la mise en œuvre de la Charte, les réponses ont été: trop peu d échanges entre les signataires, savoir-faire insuffisant, ressources financières et en personnel insuffisantes, conflits d objectifs entre durabilité et gestion d entreprise ainsi qu influence limitée sur les membres.

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21 19 PROMOTION DE LA QUALITÉ Année record pour le label q La qualité n est pas un état, mais un processus: il s agit de fixer des objectifs, d élaborer des mesures, de les mettre en œuvre et de contrôler la réalisation des objectifs. Conjointement avec ses partenaires, la Fédération suisse du tourisme a continué à perfectionner ses labels de qualité. L organe de contrôle du Programme qualité du tourisme suisse a fait réviser le label de qualité niveau II; entre autres, des exigences écologiques ont été introduites. S agissant de la classification des appartements de vacances et des chambres d hôtes, la révision de la classification se fait déjà sentir par anticipation. Elle touche les appartements de vacances actuellement classés.

22 20 Promotion de la qualité Promotion de la qualité PROGRAMME QUALITÉ DU TOURISME SUISSE 2010 a été une bonne année pour le Programme qualité, qui a été adapté aux exigences actuelles. Cela a porté ses fruits : jamais encore, dans les 14 années d existence du programme, autant d entreprises n ont été labellisées qu en ANNÉE RECORD POUR LE PROGRAMME QUALITÉ L organe de contrôle a décerné au total 570 labels de qualité. Au niveau I, cela a concerné 425 établissements, soit une augmentation de 57 % par rapport à l année précédente. Les 52 labels de qualité de niveau II constituent un léger repli, dû aux innovations introduites en Enfin, 93 établissements ont obtenu le label de qualité niveau III. NOUVELLES DISTINCTIONS EN 2010 cinq processus. Grâce à la reconnaissance d instruments extérieurs au programme, le niveau II a pu être aménagé de façon plus ouverte et plus souple. COMMUNICATION La tendance à l utilisation des réseaux sociaux se maintient. C est pourquoi le Programme qualité a créé une page Facebook. La plate-forme offre aux entreprises labellisées des possibilités de mise en réseau et aux personnes intéressées des informations plus approfondies. Le Programme qualité est également présent depuis quelques mois sur Twitter. PERSONNES FORMÉES En 2010, 573 personnes ont suivi un cours de Quality-Coach ou de Quality-Trainer. Après un recul ces dernières années, l intérêt pour les formations a à nouveau fortement repris. Outre les cours publics, sept cours spéciaux ont également été organisés. Ils ont été réservés par des organisations telles que Bien-être Suisse, les CFF ou les entreprises de la restauration Commercio et dine&drink. International A l automne, la région de Wallonie a fait l acquisition de la licence pour les trois niveaux et travaille désormais à la mise en œuvre du système dans le pays. LABELS DE QUALITÉ PAR SECTEURS INNOVATIONS INTRODUITES AU NIVEAU II La révision du programme lancée en 2008 a pu être achevée pendant l année sous rapport. Le profil de gestion et de base accorde désormais une plus grande pondération à l aspect écologique. Le profil de base est facultatif et par analogie avec le niveau I, le plan d action doit comporter au moins une mesure visant à améliorer la qualité de l environnement. L innovation la plus importante touche les instruments: désormais, les entreprises doivent élaborer au moins Hôtellerie Parahôtellerie Tourisme et organ. de marketing Restauration Entreprises de transport Écoles de sports d hiver Loisirs /culture Divers Formation /conseils Agences de voyages

23 21 PROMOTION DE LA QUALITé BouleVeRsements dans la classification des appartements de Vacances et des chambres d HÔtes labels Familles BienVenues et destination Wellness L année 2010 a été marquée par la révision des critères pour la nouvelle période Elle a été approuvée par l assemblée des délégués dans le cadre de la 3e réunion des appartements de vacances. Les nouvelles classifications sont possibles à partir de Les modifications importantes sont: introduction d un niveau supérieur pour toutes les catégories, intégration des rustici tessinois dans la classification, prescription de tailles minimales pour les lits. A l assemblée des délégués, la région lémanique est désormais représentée par un siège, tandis que le Valais possède désormais cinq sièges et non plus quatre. A la fin de 2010, les organes nationaux de classification avaient classé près de 1800 appartements de vacances et 134 chambres d hôtes. Pour 1659 appartements de vacances (2009: 515), la qualité a été contrôlée par des sondages par échantillons. appartements de Vacances et chambres d HÔtes par RÉGions Genève 4 Grisons 5889 Neuchâtel, Jura, Jura bernois 307 Oberland bernois 2806 Plateau suisse 36 Région de Fribourg 187 Région de Zurich 14 Région du Léman/ Vaud 558 Suisse centrale 671 Suisse orientale / Liechtenstein 429 Tessin 1259 Valais 6554 total A B C E 14 D F Familles bienvenues Destination wellness Familles BienVenues LIEUx/DESTINATIONS LABELLISéS Pays de Fribourg 1 Lac Noir Vaud 2 Villars avec Gryon et Bex Oberland bernois 3 Diemtigtal Lenk Simmental 5 haslital avec hasli berg et Meiringen Valais 6 Nendaz Crans-Montana Loèche-les-Bains 9 Fiesch Eggishorn et Riederalp Mörel 10 Aletsch Arena avec Bettmeralp 11 Bellwald Grächen Saas-Fee/Saastal Suisse centrale 14 Engelberg-Titlis Suisse orientale et 15 Toggenburg Braunwald-Klausenpass Liechtenstein 17 Triesenberg Malbun Steg Grisons 18 Brigels Flims, Laax, Falera avec Trin et Sagogn 20 Arosa Lenzerheide Davos Klosters 23 Savognin Maloja destination Wellness DESTINATIONS LABELLISéES Région de Fribourg a Charmey Tourisme Oberland bernois B Gstaad Saanenland Tourismus Valais c Leukerbad Tourismus Suisse centrale d Weggis Vitznau Rigi Tourismus Plateau suisse e Bad Zurzach Tourismus AG, Stadt Baden Grisons F Engadin Scuol Tourismus AG

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25 23 FOrmation Santé et tourisme Avec ses partenaires et ses membres, la Fédération suisse du tourisme FST s engage en faveur d une formation continue et d un perfectionnement de haute qualité dans le tourisme. Sur le marché de croissance qu est le tourisme, les professions ont de l avenir et offrent des occasions de carrière multiples. La Confédération a reconnu un nouveau diplôme: «Gestionnaire en tourisme de santé et d activité physique».

26 24 Formation DIPLÔMé(E)S 2010 EXAMEN PROFESSIONNEL D ASSISTANT(E) EN TOURISME AVEC BREVET FéDéRAL 2010 Abegglen Muriel, Crans-Montana +++ Bandel-Cai Qiong, Sion +++ Bichsel Marlen, Langnau i. E. +++ Bucher Benedikt, Luzern +++ Chebot Michèle, Grand- Lancy +++ de Oliveira Larissa, Lausanne +++ Ebiner Evelyn, Sierre +++ Fahrun Daniela, Lausanne +++ Frei-Krienbühl Bernadette, Immensee +++ Gallay Marion, Lausanne +++ Gavillet Alice, La Tour-de-Peilz +++ Gillioz Vinciane, Crans-Montana +++ Haas Karin, Allschwil +++ Hug Gabriela, Olten +++ Huguet Marie-Thérèse, Plan les Ouates +++ In-Albon Sarah, Sion +++ Lambercy Valentine, Pully +++ Liand Joséphine, Savièse +++ Lori Angie, Sierre +++ Mattich Andreas, Ebikon +++ Roth Carina, Chur +++ Saraiva Antoine, Savièse +++ Varona Lorena, Corminbœuf +++ Werren Martina, Huttwil +++ Zufferey Carole, Sierre EXAMEN PROFESSIONNEL SUPéRIEUR DE GESTIONNAIRE EN TOURISME DE SANTé ET D ACTIVITé PHYSIQUE 2008 ET 2010 Reconnaissance fédérale rétroactive de l examen organisé par la fédération en 2010 pour les diplômés de la classe 2008 Brun Simone, Kriens +++ Caduff Sergio, Zürich +++ Güzelsahin Junghardt Evelyn Esther, Brunegg +++ Kröpfli Rolf, Düdingen +++ Lauper Karin, Wabern +++ Matthijsse-Halilaj Wilna, Alpnach Dorf +++ Müller Sonia, Davos Platz +++ neeser Dieter, Worb +++ Plaschy Marc, Biglen +++ Stierli-Fürer Rita, Erlenbach +++ Tschopp Martina, Baar EXAMEN PROFESSIONNEL SUPéRIEUR DE GESTIONNAIRE EN TOURISME DE SANTé ET D ACTIVITé PHYSIQUE 2008 ET 2010 Reconnaissance fédérale rétroactive de l examen organisé par la fédération en 2010 pour les diplômés de la classe 2010 Binder Claudia, Birchwil-Nürensdorf +++ Buholzer Gillian, Steinhausen +++ Colombo Mirko, St. Moritz +++ Eichholzer Aurelia, Thalwil +++ El Akremi Nadia, Münchenbuchsee +++ Grämiger Patricia, Zollikofen +++ Heckendorn Rebekka, Bern +++ Lang Guido, Luzern +++ Naundorf Thomas, Zürich +++ Scherrer Karin, Fislisbach +++ Stevens-Ochsner Christine, Stäfa EXAMEN PROFESSIONNEL SUPéRIEUR D EXPERT(E) EN tourisme 2010 Wohlfarth Barbara, Zürich +++ Wüthrich-Doerr Daniela, Trub

27 25 Formation NOUVEL EXAMEN PROFESSIONNEL SUPÉRIEUR EN TOURISME DE SANTÉ En février 2010, l Office fédéral de la formation professionnelle et de la technologie a reconnu l examen professionnel supérieur «Gestionnaire en tourisme de santé et d activité physique». Depuis 2007, la Fédération suisse du tourisme avait organisé un examen menant au «diplôme de manager en wellness» à titre de solution transitoire jusqu à la reconnaissance fédérale comme examen professionnel supérieur. Cette reconnaissance atteste que les diplômé(e)s ont des connaissances de gestion permettant de diriger des établissements privés et publics de services dans le tourisme de santé et la promotion de la santé. DISPARITION DE L EXAMEN PROFESSIONNEL SUPÉRIEUR D EXPERT(E) EN TOURISME L examen professionnel supérieur d expert(e) en tourisme avec diplôme fédéral est offert depuis 25 ans. Plus de 250 praticiens ayant une large expérience professionnelle et de direction appréciaient les cours préparatoires et le diplôme fédéral comme étant des jalons précieux dans leur carrière. En raison d une demande insuffisante, il n a plus été possible de proposer le cours de préparation. La Commission de l assurance qualité a donc décidé de supprimer l examen professionnel supérieur en mars Les associations responsables continuent à considérer qu il existe un besoin de connaissances au niveau des cadres. Elles recherchent une solution de remplacement adaptée aux besoins ainsi que des possibilités alternatives. Les associations professionnelles suivantes se sont engagées en tant que responsables de l examen professionnel supérieur TOUREX: association TOUREX, Association suisse des managers en tourisme, Remontées mécaniques suisses, Union des transports publics, Fédération suisse des agences de voyages, Swiss Snowsports, Fédération suisse du tourisme. FORMATION-TOURISME.CH Les professions dans le marché de croissance qu est le tourisme offrent des perspectives de carrières. Le marché de la formation propose donc une palette aussi large que diversifiée de possibilités de formation continue et de perfectionnement. En collaboration avec la communauté d intérêts des hautes écoles du tourisme (CI-EST) et avec des hautes écoles spécialisées suisses, la FST a développé le nouveau portail «Formation-Tourisme.ch» pour servir d aide à l orientation. Alors que les récapitulatifs existants ne s adressent en partie qu à certaines branches, le nouveau portail donne des renseignements sur les possibilités de formation continue et de perfectionnement à travers toute la branche, c est-à-dire pour l hôtellerie, la restauration, les transports touristiques/ la mobilité, la gestion touristique, l organisation des loisirs, la culture, le sport, l environnement, la nature et le paysage, et allant même jusqu au commerce de détail et aux offres complémentaires.

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29 27 FéDéRATION Qualité comprise 2010 a été une année de mutations: après de longues années de travaux préparatoires, le Programme qualité du tourisme suisse a pu être totalement intégré à la FST sur le plan stratégique et opérationnel. Les discussions portant sur la structure du Programme qualité ont incité la direction de la fédération à réexaminer la structure de la fédération. Il en a découlé la décision de créer un département Communication. A la fin de l année, les chemins de la FST et de SuisseMobile se sont écartés. L enfant de la FST est devenu adulte.

30 28 FéDéRATION intégration du programme qualité dans la Fst Après une grande poussée à l innovation avec des nouveautés sur le plan du contenu et des instruments du Programme qualité, il s est agi en 2010 de consolider cette phase en interne. Des structures transparentes, l utilisation de synergies au sein de la FST et l optimisation des processus étaient les objectifs de ces innovations. Cela a abouti à une nouvelle structure d organisation qui intègre totalement le Programme qualité dans la FST et qui est entrée en vigueur au 1er novembre Représentants régionaux Comité FST Comité directeur FST Directeur FST Direction Programme qualité Commission du Programme qualité (CPQ) Groupe expérience Formation nouveau département communication La communication de la FST a connu une croissance historique. Pour mieux positionner la fédération et ses prestations dans les milieux politiques et économiques ainsi qu auprès des prestataires touristiques, la direction a décidé de créer un nouveau département Communication avec 120 % de poste. Aucun poste nouveau n a ainsi été créé, mais les tâches ont été redistribuées en interne à compter de En 2010, l accent a été mis sur la refonte du site web et sur le concept pour un Corporate Design couvrant toute la fédération. Celui-ci poursuit trois objectifs: Renforcer la fédération en tant que prestataire de divers services tout en différenciant visuellement entre les activités de lobbying et les labels touristiques Accroître l efficacité et la flexibilité dans la production par le biais de modèles et de grilles Abaisser les coûts en réduisant les modèles. «Distinction» (procédure d examination) Développement / innovation groupes d experts relatifs au projet «Quality Day» de la famille «Q» Le Conseil de qualité s est transformé en Commission du Programme qualité CPQ. Chaque organisation responsable et qui cotise au Programme qualité a droit à un siège dans cette commission. Désormais, le Comité de la FST est l organe de pilotage stratégique du Programme qualité. La Commission peut formuler des propositions à l intention du Comité. Des groupes de travail permanents tels que le groupe de travail Développement ou le groupe d expérience Formation travailleront désormais dans le cadre de projets. Tous les participants au programme se rencontreront une fois par an lors du «Quality Day», pour présenter et discuter des évolutions et des stratégies nouvelles. la Fst: une Voix FoRte en FaVeuR du tourisme suisse

31 29 Fédération Mandats MandatS SuisseMobile DÉVELOPPEMENT Le réseau d itinéraires de SuisseMobile comptait à la fin de l année 23 itinéraires nationaux et 151 régionaux (quelque kilomètres). Désormais, 130 attractions le long de ces itinéraires sont communiquées. Ces sites proviennent principalement des inventaires historiques et paysagers nationaux. En 2010, on y a rajouté les itinéraires suivants: La Suisse à pied: Via Gottardo, Via Suworow, Via Sett, Toggenburger Höhenweg, Tour des Alpes vaudoises La Suisse à vélo: route du cœur La Suisse en rollers: Magadino Skate «La Suisse en Flyer»: cette offre a été élaborée en collaboration avec la société Biketec SA de Huttwil. Plus de 130 itinéraires locaux. OFFRES POUR PERSONNES HANDICAPéES En liaison avec l Office fédéral des routes (OFROU) et Mobility International, il a été possible de jeter les bases permettant à SuisseMobile de proposer à partir de 2013 quelque 60 sentiers sans obstacles. Promotion Conjointement avec Suisse Tourisme, la communauté d intérêts SuisseMobile et les partenaires de sponsoring, la promotion de SuisseMobile a été progressivement étendue. Les principales actions en 2010 ont été: la communication des randonnées Top32 sur le réseau des chemins de randonnée de SuisseMobile à l occasion de «l année de la randonnée» (campagne de Suisse Tourisme) la production et la commercialisation d une carte SuisseMobile (brochure) tirée à plus de 1 million d exemplaires la réalisation de concours SuisseMobile au printemps, en été et en automne le développement d une application iphone sur les itinéraires SuisseMobile en liaison avec swisstopo SITE WEB SUISSEMOBILE.CH La forte présence de SuisseMobile sur le marché du tourisme et des loisirs se traduit par la hausse des taux d accès. Plus de 2,4 millions de visites ont été enregistrées, soit 70 % de plus que l an dernier. Les trois quarts des visiteurs viennent de Suisse, suivis par l Allemagne, la France, l Italie, les Etats-Unis, les Pays-Bas et l Angleterre. OFFRES RÉSERVABLES Il existe désormais 150 offres réservables sur le réseau d itinéraires de SuisseMobile. Grâce à la distribution ciblée de catalogues d offres et aux coopérations avec 40 voyagistes en Suisse et à l étranger, le chiffre d affaires a pu être augmenté de 27 % par comparaison avec slowup En tant que responsable national de slowup (en liaison avec Suisse Tourisme et Promotion Santé Suisse), SuisseMobile a coordonné l an dernier 16 manifestations qui ont réuni au total plus de participants.

32 30 FéDéRATION Mandats

33 31 Fédération Mandats ASSOCIATION SUISSE DES MANAGERS EN tourisme (ASMT) ÉTUDE SALARIALE 2010: PROGRESSION DES SALAIRES D UN QUART «Gagne-t-on moins bien sa vie dans le tourisme que dans d autres branches?»: c est la question sur laquelle s est particulièrement penchée l an dernier l Association suisse des managers en tourisme. En liaison avec l association professionnelle Femmes et tourisme (fit), elle a réalisé un sondage représentatif sur les salaires dans le tourisme. La comparaison avec l étude salariale de 1998 fait apparaître que l égalité salariale entre les sexes n a guère changé ces douze dernières années: les salaires des femmes en 2010 sont de 26 % inférieurs à ceux des hommes (en 1998, la différence était de 22 %) pour des fonctions comparables et pour une expérience professionnelle identique. En revanche, le niveau des salaires dans le tourisme a augmenté de 25 % depuis Le déséquilibre entre le nombre d hommes et de femmes à des postes de direction continue à exister. Comme l avait déjà montré l étude salariale de 1998, en 2010 aussi, les femmes sont surtout responsables de la vente, du traitement des dossiers et de la prise en charge de la clientèle. La comparaison avec les sondages sur la structure des salaires effectués par l Office fédéral de la statistique OFS en 1998 et en 2008 permet tout de même de conclure que, par comparaison avec le reste du secteur tertiaire, le tourisme a gagné en attractivité sur le plan salarial: alors qu en 1998, les salaires versés dans le tourisme n étaient que d à peine 5 % supérieurs à ceux de l ensemble du secteur des services, ils le sont désormais de +8 % en 2010.

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