Vers une meilleure maîtrise des engagements Dommages aux Biens
|
|
- Marcel Milot
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Vers une meilleure maîtrise des engagements Dommages aux Biens Adam SENIO, Fabrice TAILLIEU Le montant des biens endommagés lors d un sinistre est généralement estimé par les experts mandatés par l assureur a posteriori. Toutefois la valeur a priori de ces engagements futurs peut être approchée à partir d informations déclaratives de l assuré comme le nombre de pièces du logement ou la surface du bien. Plus généralement, la Maîtrise des Engagements consiste à contrôler que l exposition au risque de l assureur reste contenue dans les limites qu il s est fixées. Par exposition, il est ici question de l exposition Dommages aux Biens de l assureur et plus précisément des sommes assurées bâti, contenu et perte d exploitation qui pourront être réclamées à la compagnie lors d un sinistre. LA MAITRISE DES ENGAGEMENTS MAIS PAS SEULEMENT L analyse des engagements offre de multiples possibilités : Améliorer la communication externe : une bonne connaissance en interne des expositions facilite les échanges de la compagnie vis-à-vis des autorités et de ses partenaires (Autorités de Contrôle, Agences de Notation, Réassureurs, etc.). Améliorer la communication au sein de la compagnie : les échanges sont également facilités entre les directions utilisant les expositions Dommages aux Biens (Direction des Risques, Direction Réassurance, Direction Technique, Direction Financière) à travers un référentiel commun, et plus généralement au sein de l entreprise (Conseil d administration, Comité de direction, Comité exécutif, etc.). Vérifier la cohérence de la couverture de réassurance souscrite avec les risques sousjacents : le renouvellement des traités de réassurance par risque et/ou par événement nécessite au préalable une estimation de l exposition. L internalisation de cette étude au sein de la compagnie donne à celle-ci les outils nécessaires permettant de vérifier la conformité permanente de la couverture souscrite avec les risques sous-jacents. Ainsi, si le portefeuille de la compagnie connait un développement important en cours d année, il deviendra possible de vérifier que le plafond de réassurance souscrit reste suffisant en cas de survenance d un événement catastrophe. Apporter de nouveaux indicateurs de risque : on observe que les Directions des Risques disposent généralement de peu d informations sur la répartition géographique des portefeuilles sur le territoire. Ce constat s explique en particulier par un accès difficile aux données géographiques disponibles principalement au sein des Départements Technique ou Réassurance et par une qualité insuffisante de ces données comme l illustre la faible proportion de données géocodées au sein de certaines compagnies. Une étude géographique sur les engagements fournit pourtant des indicateurs précieux sur les zones de concentrations mais également sur les zones à risques et les zones les plus sinistrées historiquement pour l assureur. Ce type d étude peut par exemple justifier une modification ciblée Mai 2013
2 de la souscription, la définition de limites de risques plus précises (comme les LCI : Limites Contractuelles d Indemnisation) ou bien des évolutions tarifaires dans certaines zones de risques. Satisfaire aux nouvelles exigences Solvabilité 2 : l analyse des expositions bénéficie aux trois piliers du projet : Pilier 1 : alimentation des calculs de la Formule Standard et du Modèle Interne par des sommes assurées estimées de manière fiable et documentée pour les risques «Nat Cat» et «Man Made». Pilier 2 : mise en place de scénarios de stress adaptés au profil de risque géographique de la compagnie et de nouveaux indicateurs de tolérance au risque dans le cadre de l ORSA. Ces indicateurs pourront être qualitatifs (exemple : prépondérance de propriétaires de maisons), quantitatifs (exemple : engagement moyen pour un euro de prime) ou géographiques (exemple : portefeuille plutôt rural). Ils pourront en outre être intégrés au dispositif permettant de suivre les budgets de risque et de vérifier le respect de la conformité permanente. seront pertinentes, ce qui permettra une estimation des expositions plus proche de la réalité. Le niveau de géocodage acceptable diffère d un péril à l autre. Par exemple pour le péril Tempête, l estimation des capitaux assurés devient pertinente à partir d un niveau de géocodage au code postal. En revanche pour le péril inondation ou pour déterminer les concentrations de risque dans un rayon de 200 mètres requises dans le sous-module «Man Made» de la Formule Standard, il sera nécessaire d obtenir l adresse exacte (N de la rue) au minimum, voire les latitudes et longitudes. ANALYSE GEOGRAPHIQUE ET QUANTITATIVE DU PORTEFEUILLE La carte ci-dessous représente la répartition en nombre de la population française sur le territoire national 1. Pilier 3 : documentation de l ensemble du processus (calculs des engagements et construction d indicateurs) dans le cadre du rapport actuariel exigé par l autorité de contrôle. Diminuer les risques liés à la sous-traitance : on peut observer qu une majorité de compagnies d assurance n estiment pas elles-mêmes les capitaux assurés. Pour les branches classiques, la démarche est pourtant facilement internalisable, permettant ainsi de limiter le risque de dépendance externe et de bénéficier pleinement de la connaissance du portefeuille acquise en interne. LE GEOCODAGE, UNE PREMIERE ETAPE Le rehaussement du portefeuille (i.e. la reconstitution des valeurs manquantes comme la qualité juridique de l occupant ou le type de bien) repose généralement sur des moyennes locales de type Insee. Le géocodage consiste à placer les risques géographiquement sur le territoire. Ainsi, plus le niveau de géocodage sera fin et plus les moyennes locales employées Carte 1. Portefeuille fictif «Population Française» Sur cette carte peuvent également être superposées de nouvelles informations comme les primes, les nombres de contrats ou les engagements d un assureur une fois son portefeuille géocodé. Une première analyse permet de conclure sur le caractère homothétique ou non des portefeuilles compagnie et marché et donc sur la pertinence de l utilisation de données publiques. En effet, les traitements par défaut (rehaussements et calculs du prix de reconstruction au m²) pour une zone géographique sont généralement basés sur des données publiques agrégées. Cette carte permet également de dégager les tendances du portefeuille (exemple : concentrations plutôt urbaines ou plutôt rurales). 1 Insee, Recensement de la population 2009 Mai
3 Plus précisément, l assureur sera en mesure de calculer des indicateurs par zone géographique (France entière, région, département, code postal, Iris ou commune) qui décrivent les spécificités de son portefeuille comme par exemple l engagement pour un euro de prime par type de contrat ou l engagement moyen par type de contrat et par police. EXEMPLE DE METHODE DE CALCUL DES SOMMES ASSUREES Le schéma ci-contre présente une méthodologie de calcul des sommes assurées Dommages aux Biens résidentiels, privilégiée par un certain nombre d acteurs en France. Données du portefeuille Géocodage Ce procédé montre pourtant des limites. Ainsi pour un Sommes Assurées géocodées portefeuille résidentiel, les logements de haut standing (façades en pierre de taille, moulures, ) ou a contrario les HLM d une même zone Sommes Assurées Général Répartition INSEE (Population) Qualité Juridique de l occupant Type de bâtiment Surface Valeur de reconstruction au m² géographique sont valorisés à un prix de reconstruction au m² identique. Cette limite peut toutefois être nuancée par une correction des capitaux assurés par la CSP du chef de famille ou par les capitaux contenus par exemple. Il est également possible de mener des études de sensibilité afin de déterminer un montant de valeurs assurées maximal en retenant les hypothèses les plus fortes lors du rehaussement (par exemple lorsque l information bâtiment est vide, elle est remplacée par défaut par la modalité «Maison» la plus conservatrice). Assurés Pour les autres portefeuilles (commercial, Biens immeuble, industriel et agricole) les Nombre de pièces données disponibles pour le calcul des Valeur de reconstruction CALON sommes assurées sont plus difficiles à obtenir et à exploiter mais le raisonnement reste toutefois similaire. QUELQUES INDICATEURS DE RISQUE Nous présentons dans ce paragraphe quelques exemples d indicateurs de risque pouvant être mis en place au sein d une compagnie d assurance. Croisements exposition / péril : la carte cidessous représente la répartition du portefeuille par département croisée avec l intensité du péril Tempête par département. L intensité du péril Tempête est ici donnée par la pondération par CRESTA de la Formule Standard (horizon 200 ans). De manière complémentaire, dans son étude sur le changement climatique 2 la FFSA identifie les départements qui seraient les plus touchés par des événements locaux et fréquents : Poids du péril 0,5-1,1 Carte 3. Evénements Tempête locaux et fréquents (FFSA) 1,1-1,8 1,8-2,7 2,7-4,8 Carte 2. Intensité du péril Tempête (Formule Standard) sur le portefeuille fictif «Population Française» 2 Synthèse de l étude relative à l impact du changement climatique et de l aménagement du territoire sur la survenance d événements naturels en France Colloque Impacts du changement climatique Mercredi 29 avril 2009 Auditorium de la FFSA Mai
4 Ces deux cartes peuvent être étendues aux périls Inondation et Sécheresse voire aux périls Grêle et Séisme pour la Carte 2. Dans une vision au département, ce type de carte permet de conduire des analyses visant à identifier les grandes zones exposées à chaque péril majeur (Tempête, Séisme, Grêle et Sécheresse). Ces analyses pourront ensuite être affinées par une vision par commune. La cartographie permettra ainsi d identifier les quartiers voire les rues où les risques assurés sont très concentrés et fortement soumis à des risques d inondations, d incendie ou de conflagration par exemple. Croisements exposition / sinistralité exceptionnelle : les indicateurs choisis pour les périodes de retour élevées pourront ensuite être confrontés à des événements historiques comme les tempêtes de 1999 et 2009 dans une perspective de backtesting : Croisements exposition / sinistralité historique : enfin, des indicateurs historiques propres à l assureur peuvent être mis en place comme les ratios de sinistres à primes historiques par péril et par zone géographique : Xynthia 27/02/2010 Inondations 16/06/2010 Carte 6. Ratios sinistres à prime des événements historiques Cat Nat' loi Française sur le portefeuille fictif «Population Française» CONCLUSION Lothar 26/12/1999 Martin 27/12/1999 Klaus 24/01/2009 Carte 4. Exemple qualitatif de trajectoires des vitesses de vents les plus élevées Ou par la crue de la Seine en 1910 pour le péril Inondation : Carte 5. DIREN Ile-de-France Atlas des zones inondables du Bassin Seine Normandie Plus hautes eaux connues sur le portefeuille fictif «Population Française» 3 Les événements climatiques de ces dernières années ont mis en exergue la nécessité pour les compagnies d assurance dommages de mieux connaître leurs engagements, de se doter d indicateurs de suivi de leurs risques, et également de mettre en place des dispositifs efficients d atténuation des risques. En outre, l évolution du marché de l assurance conduit les assureurs à devoir communiquer toujours davantage autour de leurs expositions, tant en interne que vis-à-vis de l extérieur. Enfin, la réforme Solvabilité 2 introduit de nouvelles exigences pour l ensemble du marché, instituant ainsi réglementairement de bonnes pratiques de gestion des risques au sein des compagnies. NOS REFERENCES L ensemble des éléments présentés dans ce document incitent les compagnies à mener une réflexion sur leurs pratiques en termes de gestion des risques. Milliman Paris a récemment accompagné plusieurs acteurs de l assurance sur les problématiques de maîtrise des engagements. Nos consultants possèdent en effet une forte expertise sur l ensemble des thématiques présentées et notamment sur le calcul des sommes assurées, le traitement des informations manquantes, l analyse et la mise en place d indicateurs géographiques spécifiques, et enfin sur l ensemble des nouvelles exigences introduites par la réforme Solvabilité 2. 3 Données Inondations extraites le 18/10/2012 de Cartorisque est sous maîtrise d ouvrage du Ministère de l Ecologie, de l Energie, du Développement durable et de la Mer. Mai
5 MILLIMAN EN EUROPE Milliman s est fortement développé en Europe au cours des dernières années. Au travers de ses bureaux d Amsterdam, Bruxelles, Bucarest, Dublin, Dusseldorf, Madrid, Milan, Munich, Londres, Paris, Varsovie et Zurich, Milliman compte actuellement plus de 250 consultants en Europe. europe.milliman.com CONTACT Pour toute question ou commentaire sur cet article vous pouvez vous adresser à : Adam Senio, Consultant adam.senio@milliman.com Fabrice Taillieu, Principal fabrice.taillieu@milliman.com Mai
Note Conflagration. Janvier 2010
Janvier 2010 Note Conflagration De nombreux sinistres de caractère événementiel dans le monde mettent en jeu plusieurs risques en Dommages, sans qu il s agisse d évènements naturels. On parle en général
Plus en détail6. Assurance automobile et assurance multirisques habitation : une année riche en actualité
6. Assurance automobile et assurance multirisques habitation : une année riche en actualité Comité consultatif du secteur financier Rapport 2010-2011 77 Au cours des années 2010 et 2011, le CCSF a porté
Plus en détailMission des sociétés d assurances pour la connaissance et la prévention des risques naturels www.mrn-gpsa.org
Une association créée en 2000 entre : Mission des sociétés d assurances pour la connaissance et la prévention des risques naturels www.mrn-gpsa.org Le régime des catastrophes naturelles et technologiques
Plus en détailLe rôle de CCR dans le régime d indemnisation des catastrophes naturelles. Séisme de Lambesc (1909 - Sud-est de la France)
Le rôle de CCR dans le régime d indemnisation des catastrophes naturelles. Séisme de Lambesc (1909 - Sud-est de la France) MACIF le 12 mai 2013 1 Rôle de la réassurance fractionner les risques afin de
Plus en détailSOMMAIRE INTRODUCTION... 3
SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 I - PRESENTATION DE L ENQUETE... 5 A - OBJECTIFS DE L ENQUETE...5 B - CHAMP DE L ENQUETE...5 C - DETERMINATION DES «GROUPES» DE SOCIETES...6 II - VUE D ENSEMBLE DES CESSIONS...
Plus en détailCATASTROPHES NATURELLES PREVENTION ET ASSURANCES
CATASTROPHES NATURELLES PREVENTION ET ASSURANCES Mission des sociétés d assurances pour la connaissance et la prévention des risques naturels WWW.mrn-gpsa.org Une association créée en 2000 entre : Mission
Plus en détailSEMINAIRE SUR LES RISQUES AGRICOLES
SEMINAIRE SUR LES RISQUES AGRICOLES ASSURANCE ET REASSURANCE EL AURASSI le 10 juin 2007 Alger LA REASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES EN ALGÉRIE Expérience de la CCR Présentation de la CCR Historique de la
Plus en détailAssurances de biens et de responsabilité
Enquête Juin 2011 Assurances de biens et de responsabilité Inondations du Var des 15 et 16 juin 2010 Bilan chiffré au 31 mai 2011 1 LES INONDATIONS DU VAR DES 15 ET 16 JUIN 2010 SYNTHESE Les conséquences
Plus en détailCATASTROPHES NATURELLES PREVENTION ET ASSURANCES
CATASTROPHES NATURELLES PREVENTION ET ASSURANCES Mission des sociétés d assurances pour la connaissance et la prévention des risques naturels WWW.mrn-gpsa.org Une association créée en 2000 entre : Catastrophes
Plus en détailAssurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles L EXPERIENCE ALGERIENNE. Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT
Assurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT L EXPERIENCE NNE Àla Compagnie Centrale de Réassurance -Algérie ALGERI E I- Brève présentation
Plus en détailMéthodes d apprentissage statistique «Machine Learning»
Méthodes d apprentissage statistique «Machine Learning» Fabrice TAILLIEU, Sébastien DELUCINGE, Rémi BELLINA Le marché de l assurance a rarement été marqué par un environnement aussi difficile qu au cours
Plus en détailAssurance et prévention des risques naturels David BOURGUIGNON - MRN
25 juin 2015 - Merlimont Assurance et prévention des risques naturels David BOURGUIGNON - MRN Eléments d introduction La Mission Risques Naturels association entre FFSA et GEMA 2 www.mrn.asso.fr 3 Les
Plus en détailJOURNEE DES COMMISSIONS TABLE RONDE
Association pour le Management des Risques et des Assurances de l Entreprise JOURNEE DES COMMISSIONS TABLE RONDE «LES EVENEMENTS NATURELS» AMRAE JOURNEE DES COMMISSIONS- 20/05/2011 Partie 1 : Evénements
Plus en détailSolvabilité 2 et mutuelles: état des lieux et priorités 2013. Paris, le 6 juin 2013
Solvabilité 2 et mutuelles: état des lieux et priorités 2013 Paris, le Programme Évolutions quantitatives et impacts associés Enseignements à tirer des derniers travaux demandés par l EIOPA (Pilier 1)
Plus en détailLES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ. Données clés 2010
LES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ Données clés 2010 Sommaire Sauf indications contraires, toutes les données ont pour origine les enquêtes de la Direction des études et des statistiques FFSA-GEMA.
Plus en détailBilan décennal des catastrophes naturelles en France
Bilan décennal des catastrophes naturelles en France SOMMAIRE BILAN DÉCENNAL EN TERMES DE NOMBRE ET DE TYPE DE CATASTROPHES NATURELLES BILAN EN TERME DE VICTIMES.. 2 5 BILAN DÉCENNAL EN TERMES ÉCONOMIQUES
Plus en détailSOLVENCY II - PILLAR 2 Vue générale. Jean-Francois DECROOCQ Présentation interne
SOLVENCY II - PILLAR 2 Vue générale Jean-Francois DECROOCQ Présentation interne 1 Pilier 2: la maitrise des risques Dans un premier temps, l attention s est portée sur la mesure quantitative du risque
Plus en détailRégime des catastrophes naturelles
actuel Contexte Dans la constitution de l après guerre, le principe de solidarité et d égalité entre les français est inscrit comme une règle d or. C est ce principe qui s applique au régime des catastrophes
Plus en détaildes compagnies d assurance : évolutions récentes
Les Contrôle normes IFRS de la solvabilité en assurance des compagnies d assurance : évolutions récentes - DIAF Hanoi, le 28 février 2005 Pierre THEROND Consultant JWA - Actuaires & chargé de cours à l
Plus en détailCONGRES MONDIAL 2010 PARIS. Thème proposé par le groupe français. L assurance obligatoire Mythes et réalités juridiques et économiques
CONGRES MONDIAL 2010 PARIS Thème proposé par le groupe français L assurance obligatoire Mythes et réalités juridiques et économiques Jérôme Kullmann Président de l AIDA-France Vice-Président de l AIDA
Plus en détailLe métier d actuaire IARD
JJ Mois Année Le métier d actuaire IARD Journées Actuarielles de Strasbourg 6-7 octobre 2010 PLAN Présentation de l assurance non vie Le rôle de l actuaire IARD La tarification des contrats L évaluation
Plus en détail«Tempête Klaus du 24 janvier 2009 : conditions d indemnisation et de réparation des dommages» des précisions sur les conditions d indemnisation
Le Ministère de l Economie de l Industrie et de l Emploi, la Fédération Française des Sociétés d Assurances et le Groupement des Entreprises Mutuelles d Assurances, diffusent un dépliant intitulé : «Tempête
Plus en détailCatastrophes naturelles. Prévention. assurance. M i s s i o n R i s q u e s N a t u r e l s
Catastrophes naturelles Prévention et assurance 420 communes inondées en 2 jours dans le sud-est en septembre 2002. 3 milliards d euros : coût des inondations de septembre 2002 et décembre 2003. 130 000
Plus en détailLa réassurance mondiale est en bonne santé. La Réassurance maintient le cap! REPÈRES. Expertise courtage
La Réassurance maintient le cap! L année 2008 avait été considérée par les réassureurs comme importante en termes de catastrophes mondiales : on en avait dénombré 137 d origine naturelle et 174 d ordre
Plus en détailJanvier 2015. Enquête CLCV Assurances et sinistres
Janvier 2015 Enquête CLCV Assurances et sinistres 1 Synthèse Au cours du deuxième semestre 2014, nous avons réalisé une enquête auprès de 442 assurés ayant subi un sinistre automobile ou habitation aux
Plus en détailL ASSURANCE TOUS RISQUES CHANTIER
L ASSURANCE TOUS RISQUES CHANTIER Une protection optimale pour vos chantiers 30.34.001/00 08/14 L ASSURANCE TOUS RISQUES CHANTIER Une protection optimale pour votre chantier La construction d un bâtiment,
Plus en détailPropriétaires, Locataires, Administrateurs de Biens et Assurance en Copropriété
Propriétaires, Locataires, Administrateurs de Biens et Assurance en Copropriété 1. Caractéristiques et champ d application d une Assurance Immeuble : Existe -t-il une obligation d assurance? Aucun texte
Plus en détailJournées d études IARD
Journées d études IARD Gestion des risques liés à la refonte tarifaire d un portefeuille automobile Niort, le 20 mars 2014 Marie Foucher mfoucher@galea-associes.eu Pierre Thérond ptherond@galea-associes.eu
Plus en détailOrientations sur l'application d'ententes de cession en réassurance au sousmodule «risque de souscription en nonvie
EIOPA-BoS-14/173 FR Orientations sur l'application d'ententes de cession en réassurance au sousmodule «risque de souscription en nonvie» EIOPA Westhafen Tower, Westhafenplatz 1-60327 Frankfurt Germany
Plus en détailComment piloter une entreprise d assurance IARD sous Solvabilité II?
Comment piloter une entreprise d assurance IARD sous Solvabilité II? Journées IARD de l Institut des Actuaires Les nouveaux défis de l assurance IARD liés à Solvabilité II 11 avri l 2012 Gildas Robert,
Plus en détailL ORSA : quelles conséquences sur le pilotage stratégique de l entreprise?
Conseil en Organisation et Management secteur assurance L ORSA : quelles conséquences sur le pilotage stratégique de l entreprise? 24 novembre 2010 Sommaire Ce qui se dit sur l ORSA L ORSA et le modèle
Plus en détailAvantages économiques procurés par le secteur des assurances
6 Avantages économiques procurés par le secteur des assurances Sans les assurances, rien ne va plus dans notre monde moderne Le secteur des assurances constitue un pilier central de l économie helvétique
Plus en détailJean-Francois DECROOCQ - 03/01/2012
www.varm.fr Solvabilité 2 commentaires sur l ORSA Jean-Francois DECROOCQ - 03/01/2012 Sommaire Introduction... 2 Principes pour une gestion intégrée des risques... 3 La mise en place de l ORSA... 5 Introduction
Plus en détailENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES
ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES N 202 AOUT 2003 SOMMAIRE 1. PRESENTATION p.3 2. SYNTHESE DE L ENQUETE p.4 3. LES REPONSES DES VILLES ET AGGLOMERATIONS
Plus en détailLe Data Risk Center. Plateforme de pilotage et de gestion des risques Pilier I de la directive Solvabilité II
Le Data Risk Center Plateforme de pilotage et de gestion des risques Pilier I de la directive Solvabilité II Sommaire Le conseil en Risk Management 1) Le projet Solvabilité II Objectifs et moyens à mettre
Plus en détailRésultats du premier trimestre 2015. SCOR enregistre un résultat net de grande qualité de EUR 175 millions et un ROE annualisé de 12,1 %
SCOR enregistre un résultat net de grande qualité de EUR 175 millions et un ROE annualisé de 12,1 % SCOR démarre l année avec de solides performances grâce à la mise en œuvre rigoureuse de son plan stratégique
Plus en détailEffondrements et affaissements du sol, la Wallonie vous accompagne
Un colloque inédit sur les techniques de prévention et la gestion de crise 3 avril 2014 - centre culturel «La Marlagne» - Wépion Effondrements & affaissements du sol et assurance Bernard Desmet Assuralia
Plus en détailPROGRAMME RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE POUR LES MEMBRES DU SNJV. Conseils & Risques Financiers 22 février 2010 1
PROGRAMME RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE POUR LES MEMBRES DU SNJV Conseils & Risques Financiers 22 février 2010 1 METHODOLOGIE Notre position de courtier spécialisé sur les risques encourus par
Plus en détailL assurabilité des risques. François Bucchini - Assurabilité Club APREF 1 er mars 2012
L assurabilité des risques Club APREF 1 er mars 2012 Introduction : (1/2) Les conséquences des problèmes d assurabilité sont connues : Protection des biens des individus, difficultés d entreprendre, d
Plus en détailLES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ. Données clés 2013
LES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ Données clés 2013 Sommaire Sauf indications contraires, toutes les données ont pour origine les enquêtes statistiques FFSA-GEMA et concernent les sociétés d
Plus en détailGender Directive Impacts opérationnels pour les assureurs
Gender Directive Impacts opérationnels pour les assureurs Conférence ActuariaCnam Présentation 3 1 / 0 5 / 2 0 1 2 Julien Chartier, Actuaire Manager AGENDA Introduction Partie 1 - L arrêt «Test-Achats»
Plus en détailLA MESURE DES PERFORMANCES DES COMPAGNIES D ASSURANCES
LA MESURE DES PERFORMANCES DES COMPAGNIES D ASSURANCES Séminaire - Atelier La mesure des performances des compagnies d assurances 1 ère communication Généralités sur les processus d évaluation des activités
Plus en détailGESTION DES SINISTRES
GESTION DES SINISTRES Notion de sinistre et limites Un sinistre est un évènement accidentel dont la nature est garantie par le contrat. Un sinistre est indemnisable uniquement s il provoque un dommage.
Plus en détailLe risque opérationnel - Journées IARD de l'institut des Actuaires
Le risque opérationnel - Journées IARD de l'institut des Actuaires 1 er a v r i l 2 0 1 1 Dan Chelly Directeur Métier "Risk management, Audit et Contrôle interne" SOMMAIRE Partie 1 Définition des risques
Plus en détailLa gestion du risque chez AXA
Séminaire International de la Presse Suduiraut 21 & 22 juin 2006 La gestion du risque chez AXA François Robinet Chief Risk officer Groupe AXA Sommaire I. La Gestion du Risque : Définition D II. III. La
Plus en détailPrise de Position de L AMRAE concernant le livre vert sur les assurances contre les catastrophes d origine naturelle et humaine.
L Association pour le Management des Risques et des Assurances de l Entreprise rassemble 820 membres appartenant à 520 entreprises françaises publiques et privées (dont 38 des 40 entreprises du CAC 40).
Plus en détailL assurance récoltes en France
P A C I F I C A - A S S U R A N C E S D O M M A G E S L assurance récoltes en France Colloque FARM - Pluriagri du 18 décembre 2012 Thierry LANGRENEY Directeur général de Pacifica L assurance, un outil
Plus en détailPRÉSENTATION DE LA CADENCE DE RÈGLEMENT DES SINISTRES SUR LE MARCHÉ DU BÉNIN
Présentation du Thème n 2 : Règlement diligent des sinistres : une nécessit cessité pour l épanouissement des victimes et bénéficiaires de contrats d assurance. PRÉSENTATION DE LA CADENCE DE RÈGLEMENT
Plus en détailAssurance de biens des particuliers
Assurance de biens des particuliers Chapitre 1 Introduction à l assurance de biens et responsabilité 29/04/2012 Chapitre 1 1 Assurance de biens des particuliers Évolution des produits d assurance Fonctionnement
Plus en détailrv de septembre - 09/09/2008 - XC
rv de septembre - 09/09/2008 - XC Rendez-vous de septembre 9 septembre 2008 - Monte Carlo LE TRANSFERT DE RISQUES DANS SOLVABILITÉ II Xavier Cognat Fédération Française des Sociétés d Assurances rv de
Plus en détailSolvabilité II Les impacts sur la tarification et l offre produit
Solvabilité II Les impacts sur la tarification et l offre produit Colloque du CNAM 6 octobre 2011 Intervenants OPTIMIND Gildas Robert actuaire ERM, senior manager AGENDA Introduction Partie 1 Mesures de
Plus en détailProposition d'attribution d un contrat pour l assurance des biens du CERN
CONFIDENTIEL CERN/FC/5294 Original: anglais 4 novembre 2008 ORGANISATION EUROPÉENNE POUR RECHERCHE NUCLÉAIRE CERN EUROPEAN ORGANIZATION FOR NUCLEAR RESEARCH POUR APPROBATION PROCÉDURE DE VOTE: Majorité
Plus en détailEsri Location Analytics pour. l'assurance. Etude de cas
Esri Location Analytics pour l'assurance Etude de cas Construire un portefeuille de clients rentable Parce que les assureurs étudient de très près l exposition de leur portefeuille aux risques, ce cas
Plus en détailFICHE 61 : GARANTIE ASSURANTIELLE CATASTROPHES NATURELLES SOMMAIRE. I. - Champ d application de la garantie catastrophes naturelles
FICHE 61 : GARANTIE ASSURANTIELLE CATASTROPHES NATURELLES SOMMAIRE I. - Champ d application de la garantie catastrophes naturelles A. - Biens couverts par la garantie B. - Biens exclus de la garantie II.
Plus en détailStratégie de la surveillance des assurances en Suisse
Stratégie de la surveillance des assurances en Suisse 1. Base juridique...2 2. Tâches principales...2 3. Conditions d accomplissement des tâches principales...2 3.1. Culture de la responsabilité...3 3.2.
Plus en détailLES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ. Données clés 2012
LES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ Données clés 2012 Sommaire Sauf indications contraires, toutes les données ont pour origine les enquêtes de la Direction des études et des statistiques FFSA-GEMA.
Plus en détailRevue de la performance du T2-2014
Revue de la performance du T2-2014 Intact Corporation financière (TSX : IFC) Le mercredi 30 juillet 2014 Intact Corporation financière Charles Brindamour Chef de la direction Intact Corporation financière
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS... 5 RÉFÉRENCES ABRÉGÉES À DES PUBLICATIONS FRÉQUEMMENT CITÉES... 7 INTRODUCTION... 9. Section 1
TABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS... 5 RÉFÉRENCES ABRÉGÉES À DES PUBLICATIONS FRÉQUEMMENT CITÉES... 7 Section 1 INTRODUCTION... 9 RISQUES ET ASSURANCE... 9 Section 2 HISTORIQUE... 11 Section 3 TECHNIQUE
Plus en détailFINANCEMENT OPTIMAL DE LA SOLVABILITE D UN ASSUREUR
FINANCEMENT OPTIMAL DE LA SOLVABILITE D UN ASSUREUR Guillaume PLANTIN GREMAQ Université Toulouse I 1 La détermination d un plan de réassurance optimal est une des applications les plus classiques de la
Plus en détailRISQUES NATURELS ET TECHNOLOGIQUES FORMATION A LA REALISATION DES DOSSIERS D INFORMATION REGLEMENTAIRE DES ACQUEREURS ET LOCATAIRES
RISQUES NATURELS ET TECHNOLOGIQUES FORMATION A LA REALISATION DES DOSSIERS D INFORMATION REGLEMENTAIRE DES ACQUEREURS ET LOCATAIRES SOMMAIRE MODALITES DES FORMATIONS...3 Modalités pratiques...3 Modalités
Plus en détailLogiques des acteurs. Gestion du risque : «logiques des compagnies d assurances»
Séminaire du Groupe de Travail «Services Spatiaux Environnementaux» 14 et 15 décembre 2011 Logiques des acteurs Gestion du risque : «logiques des compagnies d assurances» Roland NUSSBAUM, Directeur de
Plus en détailSéance 3 : Modèles de gestion dans les pays de l UE. Expérience nationale dans les assurances et la gestion de risques - Allemagne
Conférence Internationale : «La gestion de risques et de crises dans l assurance agraire» Séance 3 : Modèles de gestion dans les pays de l UE Expérience nationale dans les assurances et la gestion de risques
Plus en détailL essentiel à savoir
L essentiel à savoir A s s u r a n c e A u t o Pour vous protéger, vous et votre véhicule* 3 formules adaptées à votre profil et à votre véhicule 5 options pour renforcer vos garanties 1 assistance 24h/24,
Plus en détailQuestion N 2 1. Quelles sont les catégories de véhicules à moteur pour lesquelles l assurance est obligatoire?
Page 1 of 5 P : Portugal Question N 1 Quelle est la date de la loi ayant introduit l assurance responsabilité civile automobile obligatoire et celle de son entrée en vigueur? Décret-Loi n 408/79 du 25
Plus en détail> Pourquoi s assurer?
E 145 Centre de documentation et d information de l assurance Mai 2009 L assurance des pertes d exploitation Si la plupart des entreprises assurent leurs biens, encore trop peu d entre elles pensent à
Plus en détailNotes techniques relatives aux dépôts des taux d assurance-automobile et des systèmes de classification des risques
Notes techniques relatives aux dépôts des taux d assurance-automobile et des systèmes de classification des risques Publiées avec le Bulletin No. A-12/01 de la Commission des services financiers de l Ontario
Plus en détailAtelier A6 DECROISSANCE DES FOURNISSEURS, COMMENT SE PREMUNIR, SE PROTEGER DE LEURS DEFAILLANCES
Atelier A6 DECROISSANCE DES FOURNISSEURS, COMMENT SE PREMUNIR, SE PROTEGER DE LEURS DEFAILLANCES 1 2 INTERVENANTS Cédric LENOIRE Manager Business Risk Consulting Frédéric DUROT Directeur Technique Dommages
Plus en détailGLOSSAIRE. ASSURÉ Personne dont la vie ou la santé est assurée en vertu d une police d assurance.
GLOSSAIRE 208 RAPPORT ANNUEL 2013 DU MOUVEMENT DESJARDINS GLOSSAIRE ACCEPTATION Titre d emprunt à court terme et négociable sur le marché monétaire qu une institution financière garantit en faveur d un
Plus en détailDossier de presse Catastrophes naturelles
Fédération Française des Sociétés d'assurances Dossier de presse Catastrophes naturelles Le système d indemnisation mis en place par la loi du 13 juillet 1982 Avant 1982, l assurance ne couvrait que certains
Plus en détailÉtat des RISQUES Naturels et Technologiques
État des RISQUES Naturels et Technologiques Pays Basque : Résidence PHAROS 7 Bis, Rue du Pont de l Aveugle 64600 ANGLET Tél : 05.59.52.20.93 Fax : 05.59.42.05.65 Page 1 / 10 Art. L. 125-5 I du Code de
Plus en détailCharte de contrôle interne
Dernière mise à jour : 05 mai 2014 Charte de contrôle interne 1. Organisation générale de la fonction de contrôle interne et conformité 1.1. Organisation Le Directeur Général de la Société, Monsieur Sébastien
Plus en détailCompte d exploitation 2012. Assurance vie collective.
Compte d exploitation 2012. Assurance vie collective. 2012 Votre assureur suisse. 1/12 Compte d exploitation Assurance vie collective 2012 2012: des résultats positifs et encore plus de transparence. Chère
Plus en détailLa politique de segmentation de KBC Assurances
Plusieurs critères interviennent dans notre décision d assurer ou non un risque, et le cas échéant, pour quel tarif. Nous utilisons ces critères de segmentation pour parvenir à un équilibre entre la prime
Plus en détailPrestataires de services
Prestataires de services Découvrez les solutions d assurance et d assistance destinées à protéger votre activité professionnelle et à préserver votre vie privée. www.allianz.fr Avec vous de A à Z 2 Allianz,
Plus en détailAnalyse Financière. Tunis Re en Bourse. En toute Ré Assurance. Souscrire à l OPF
Analyse Financière Tunis Re en Bourse En toute Ré Assurance Souscrire à l OPF Mars 2010 2A n a l y s e F i n a n c i è r e I n t r o d u c t i o n e n b o u r s e : O f f r e à p r i x f e r m e Secteur
Plus en détailINSTRUCTIONS RELATIVES
INSTRUCTIONS RELATIVES AUX TABLEAUX SUR LES SINISTRES ET INDICES DE PERTE Les Tableaux sur les sinistres et indices de perte sont exigés afin de pouvoir constituer une base de données et une présentation
Plus en détailCONTRAT DE LOCATION / MISE À DISPOSITION D UN ENDROIT DE CAMP OU DE WEEKEND EN BELGIQUE
À photocopier en deux exemplaires À remplir et à signer par le responsable du groupe et le propriétaire Quand? Le plus tôt possible pour garantir la réservation du lieu À conserver : Un exemplaire pour
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détailPLAN STATISTIQUE AUTOMOBILE DU QUÉBEC Définitions
PLAN STATISTIQUE AUTOMOBILE DU QUÉBEC Définitions Juillet 2014 N/Réf. : 930.01 Le Groupement des assureurs automobiles agit à titre d agence autorisée par l Autorité des marchés financiers. Ce document
Plus en détailQuestionnaire sur l assurance responsabilité professionnelle des avocats demandant leur inscription en vertu de la directive Etablissement (98/5/CE)
Représentant les avocats d Europe Representing Europe s lawyers Questionnaire sur l assurance responsabilité professionnelle des avocats demandant leur inscription en vertu de la directive Etablissement
Plus en détailNorme internationale d information financière 4 Contrats d assurance
Norme internationale d information financière 4 Contrats d assurance Objectif 1 L objectif de la présente norme est de spécifier l information financière pour les contrats d assurance devant être établie
Plus en détailAAIARD Alberta Assurance des Particuliers
AAIARD Alberta Assurance des Particuliers Résidentiel et Automobile 15. 11. 2013 Agenda Réforme de 2004 Règlementation des tarifs automobile et la loi 39 Niveau de catastrophe en Alberta Innondation Grele
Plus en détailCopropriété et assurances. Fédération française des sociétés d assurances DEP 302 - JUIN 2003
DEP 302 - JUIN 2003 Copropriété et assurances Fédération française des sociétés d assurances Centre de documentation et d information de l assurance 26, bd Haussmann 75311 Paris Cedex 09 Fax DEP : 01 465
Plus en détailTable des matières: Guidelines Fonds de Pensions
Table des matières: Guidelines Fonds de Pensions TABLE DES MATIERES... 1 INTRODUCTION... 2 1 FINANCEMENT ET FINANCEMENT MINIMUM... 3 1.1 FINANCEMENT... 3 1.2 FINANCEMENT DE PLAN... 3 1.3 FINANCEMENT MÉTHODE
Plus en détailQuelles sont les obligations en matière d assurance pour les structures sportives?
Quelles sont les obligations en matière d assurance pour les structures sportives? La pratique sportive est génératrice de risque et d accident matériel ou corporel. C est pourquoi il existe de nombreuses
Plus en détailEtat des Risques Naturels et Technologiques
Etat des Risques Naturels et Technologiques Articles L 125-5 et R 125-26 du code de l environnement 1. Cet état des risques est établi sur la base des informations mises à disposition par arrêté préfectoral
Plus en détailAssurance et prévention des catastrophes naturelles et technologiques
Assurance et prévention des catastrophes naturelles et technologiques Céline Grislain-Letrémy Résumé long - Thèse en sciences économiques sous la direction de Bertrand Villeneuve L objet de cette thèse
Plus en détailEXCESS RC PME - PMI. Georges BORKOWSKI. Février 2006. ACE Europe
EXCESS RC PME - PMI Georges BORKOWSKI Février 2006 ACE Europe ACE Group Début des années 1980, crise de la Responsabilité Civile aux USA 1985 : création d ACE, Assureur spécialisé en Excess 1999 : acquisition
Plus en détailNOTICE D INFORMATION
FCP A FORMULE PULPAVIE NOTICE D INFORMATION Forme Juridique de l'opcvm : F.C.P. Etablissements désignés pour recevoir les souscriptions et les rachats : Agences des CAISSES REGIONALES de CREDIT AGRICOLE,
Plus en détailL assurance des moules, gabarits, modèles, archives,
L assurance des moules, gabarits, modèles, archives, Notre expérience de formation et de consultant nous permet d affirmer que cette assurance est en général mal comprise par les entreprises et collectivités,
Plus en détailRESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE QUESTIONNAIRE PREALABLE
RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE QUESTIONNAIRE PREALABLE RESUME DES GARANTIES I Responsabilité Civile Générale : Couvre la responsabilité civile de l assuré pour les dommages corporels / matériels
Plus en détailATELEX BONUS BUSINESS
ATELEX BONUS BUSINESS Pertes d'exploitation Dispositions spécifiques L'introduction et la présentation du plan d assurances Entreprises Les dispositions communes Le lexique sont également d'application
Plus en détailClause assurance des conventions de Maîtrise d œuvre > 15 M HT
Clause assurance des conventions de Maîtrise d œuvre > 15 M HT Article 00 Assurances. Dans la mesure où les garanties préconisées ou souscrites par le Maître de l ouvrage, sont accordées selon des clauses
Plus en détailAnalyse du comportement individuel et collectif des professionnels. des professionnels forestiers face aux risques
Analyse du comportement individuel et collectif des professionnels forestiers face aux risques Réflexion sur la dimension assurantielle Carrefours de l innovation agronomique. Sylviculture, Forêts et Tempêtes,
Plus en détailSECTEUR MAROCAIN DES ASSURANCES. Situation Liminaire Exercice 2005
SECTEUR MAROCAIN DES ASSURANCES Situation Liminaire Exercice 2005 Mars 2006 FAITS MARQUANTS 2005 Campagne de Communication sur les délais de recouvrement des primes Suite à l entrée en vigueur des nouvelles
Plus en détailPROGRAMME D'ASSURANCE COMPLET
PROGRAMME D'ASSURANCE COMPLET Un programme d'assurance collective réalisé exclusivement à l'intention des membres canadiens de l'iabc* Souscrit par : AXA Compagnie d'assurance du Canada Ligne téléphonique
Plus en détailSEMINAIRES SPECIFIQUES
57, bd Abdelmoumen Résidence Al Hadi n B15 Tél 022 47 06 13 /15 - Fax 022 47 06 78/91 mailacf@acf.ma SEMINAIRES SPECIFIQUES AUX ENTREPRISES D ASSURANCES ET DE REASSURANCE MUTUELLES ET CAISSES DE RETRAITE.
Plus en détailCahiers de l ONRN. Connaissance de la sinistralité pour la prévention des risques naturels
#2 Cahiers de l ONRN Connaissance de la sinistralité pour la prévention des risques naturels CONNAISSANCE DE LA SINISTRALITE POUR LA PREVENTION DES RISQUES NATURELS N 2, mars 2015 2 Avertissement Ce document
Plus en détailFiche Produit. Assurance AUTO
Fiche Produit Assurance AUTO Avec Toutpratique-assurances, l assurance auto devient plus simple. Notre rôle est de vous proposer un contrat avec toutes les garanties dont vous avez besoin pour rouler en
Plus en détail