COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 mars 2008
|
|
- Christian Mongrain
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 mars 2008 TAXOTERE 20 mg, solution à diluer et solvant pour perfusion B/1 flacon de Taxotere et 1 flacon de solvant (CIP : ) TAXOTERE 80 mg, solution à diluer et solvant pour perfusion B/1 flacon de Taxotere et 1 flacon de solvant (CIP : ) Laboratoire SANOFI-AVENTIS FRANCE docétaxel Code ATC : L01CD02 Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière réservée à certains spécialistes en oncologie ou en hématologie ou aux médecins compétents en cancérologie Médicament nécessitant une surveillance particulière pendant le traitement Date de l'amm initiale : 27 novembre 1995 Date de l extension d indication à évaluer (procédure centralisée) : 23 novembre 2007 Motif de la demande : inscription Collectivités dans l extension d indication «TAXOTERE (docétaxel) en association au cisplatine et au 5-fluorouracile est indiqué dans le traitement d induction des carcinomes épidermoïdes localement avancés des voies aéro-digestives supérieures.» Direction de l'évaluation des actes et produits de santé 1
2 1 CARACTERISTIQUES DU MEDICAMENT 1.1. Principe actif docétaxel 1.2. Indications «Cancer du sein TAXOTERE (docétaxel) en association à la doxorubicine et au cyclophosphamide est indiqué dans le traitement adjuvant du cancer du sein opérable, chez des patients présentant un envahissement ganglionnaire. TAXOTERE (docétaxel) en association à la doxorubicine est indiqué dans le traitement du cancer du sein localement avancé ou métastatique chez les patientes n ayant pas reçu de chimiothérapie cytotoxique antérieure dans cette affection. TAXOTERE (docétaxel) est indiqué en monothérapie dans le traitement des patientes atteintes d un cancer du sein localement avancé ou métastatique après échec d une chimiothérapie cytotoxique, ayant comporté une anthracycline ou un agent alkylant. TAXOTERE (docétaxel) en association au trastuzumab est indiqué dans le traitement du cancer du sein métastatique avec surexpression tumorale de HER2, chez les patientes non prétraitées par chimiothérapie pour leur maladie métastatique. TAXOTERE (docétaxel) en association à la capecitabine est indiqué dans le traitement du cancer du sein localement avancé ou métastatique après échec d une chimiothérapie cytotoxique ayant comporté une anthracycline. Cancer du poumon non à petites cellules TAXOTERE (docétaxel) est indiqué dans le traitement du cancer bronchique non à petites cellules localement avancé ou métastatique, après échec d une chimiothérapie antérieure. TAXOTERE (docétaxel) en association au cisplatine est indiqué dans le traitement du cancer bronchique non à petites cellules non résécable, localement avancé ou métastatique, chez les patients n ayant pas reçu de chimiothérapie antérieure dans cette indication. Cancer de la prostate TAXOTERE (docétaxel) en association à la prednisone ou à la prednisolone est indiqué dans le traitement du cancer de la prostate métastatique hormono-résistant. Cancer gastrique TAXOTERE (docétaxel) en association au cisplatine et au 5-fluorouracile est indiqué dans le traitement de l adénocarcinome gastrique métastatique, y compris l adénocarcinome de la jonction oesogastrique, chez des patients non prétraités par chimiothérapie pour leur maladie métastatique. Indication faisant l objet de la présente demande TAXOTERE (docétaxel) en association au cisplatine et au 5-fluorouracile est indiqué dans le traitement d induction des carcinomes épidermoïdes localement avancés des voies aéro-digestives supérieures.» 1.3. Posologie dans l indication :«Cancer des voies aéro-digestives supérieures» : «L utilisation du docétaxel doit être réservée aux unités spécialisées dans l administration de cytotoxiques et le docétaxel doit être administré sous contrôle d un médecin qualifié dans l utilisation des chimiothérapies anticancéreuses. Dans les cancers des voies aéro-digestives supérieures, et sauf contre-indication, une prémédication par un corticoïde oral peut être utilisée, telle que la dexaméthasone à raison de 16 mg par jour (par exemple : 8 mg 2 fois par jour) pendant 3 jours en commençant la veille de la perfusion du docétaxel. Les patients doivent recevoir une prémédication par des anti-émétiques et une hydratation adéquate (avant et après administration du cisplatine). 2
3 Une prophylaxie par G-CSF peut être utilisée pour diminuer le risque de toxicité hématologique. Tous les patients du bras docétaxel des études TAX 323 et TAX 324 ont reçu une prophylaxie antibiotique. Dans le traitement d induction des patients présentant un carcinome épidermoïde localement avancé des voies aéro-digestives supérieures (VADS) (non résécable techniquement, faible probabilité de curabilité chirurgicale ou préservation d organe), la posologie recommandée de docétaxel est de 75 mg/m² en perfusion intraveineuse de 1 heure à J1, suivi de cisplatine à la posologie de 100 mg/m² en perfusion de 30 minutes à 3 heures, suivi de 5-fluorouracile à la posologie de mg/m²/jour en perfusion continue de J1 à J4. Ce schéma est administré toutes les 3 semaines à raison de 3 cycles. Après la chimiothérapie, les patients doivent être traités par chimioradiothérapie». 2 MEDICAMENTS COMPARABLES 2.1. Classement ATC 2007 L Antinéoplasiques et immunomodulateurs L01 Antinéoplasiques L01C Alcaloïdes végétaux et autres médicaments d origine naturelle L01CD Taxanes L01CD02 docétaxel 2.2. Médicaments de même classe pharmaco-thérapeutique Néant 2.3. Médicaments à même visée thérapeutique Médicaments cytotoxiques indiqués dans le traitement des cancers des voies aérodigestives supérieures : Agents alkylants - Dérivés du platine - CISPLATYL (cisplatine) et les spécialités à base de cisplatine indiquées dans les cancers de la sphère ORL. Cancers épidermoïdes - PARAPLATINE (carboplatine) et les spécialités à base de carboplatine indiquées dans le carcinome épidermoïde des voies aéro-digestives supérieures. Inhibiteurs des topo-isomérases Anti-topoisomérase II- Anthracyclines et apparentés - FARMORUBICINE (épirubicine) et les spécialités à base d épirubicine indiquées dans le Cancer épidermoïde de la sphère ORL. Antimétabolites Antipyrimidiques - FLUORO-URACILE ICN (fluorouracile) et les spécialités à base de fluorouracile indiquées dans les carcinomes épidermoïdes des voies aérodigestives supérieures et oesophagiennes. Antimétabolites Antifoliques - METHOTREXATE BELLON (méthotrexate) et les spécialités à base de méthotrexate indiquées dans les carcinomes des voies aéro-digestives supérieures Antimétabolites Autres cytotoxiques - BLEOMYCINE BELLON (bléomycine) indiquée dans les cancers épidermoïdes Les anticorps monoclonaux - ERBITUX (cetuximab) en association à la radiothérapie, indiqué dans le traitement des patients présentant un carcinome épidermoïde localement avancé de la tête et du cou. 3
4 3 ANALYSE DES DONNEES DISPONIBLES La firme a déposé les résultats d une étude de phase III, TAX 324 1, dont l objectif était d évaluer l efficacité et la tolérance de la chimiothérapie d induction TPF, docétaxel associé au cisplatine + 5-fluorouracile (5FU), suivie d une radiochimiothérapie, chez 501 patients atteints d un carcinome épidermoïde des voies aéro-digestives supérieures (VADS) localement avancé Résultats d efficacité Méthodologie : Etude de phase III, randomisée, ouverte, ayant comparé l association TPF (docétaxel +cisplatine + 5FU) à l association PF (cisplatine + 5FU), suivies chacune d une radiochimiothérapie, chez 501 patients (255 dans le groupe TPF, 246 dans le groupe PF). Critères d inclusion : - carcinome épidermoïde des VADS (cavité buccale, oropharynx, hypopharynx ou larynx) histologiquement et cytologiquement prouvé - tumeur mesurable au moins dans 1 ou 2 dimensions - stade III ou IV sans métastases 2 - tumeur considérée comme inopérable : soit techniquement non résécable, soit faible probabilité de curabilité chirurgicale (tous les stades T3-T4, tous les stades N2-N3 sauf les T1N2), soit les patients souhaitant une préservation d organe - score ECOG 3 égal à 0 ou 1 Critères d exclusion : - les tumeurs du nasopharynx, des cavités nasales et paranasales - tout traitement antérieur par chimiothérapie ou radiothérapie quelle qu en soit la cause ou chirurgie pour cancer des VADS Schéma d administration : Les patients ont été randomisés pour recevoir : - 3 cycles de chimiothérapie d induction à 3 semaines d intervalle : soit l association TPF : docétaxel 75 mg/m², suivi de cisplatine 100 mg/m² à J1, suivi de 5 fluorouracile mg/m²/jour en perfusion continue pendant 4 jours. soit l association PF : cisplatine 100 mg/m² à J1, suivi de 5 fluorouracile mg/m²/jour en perfusion continue pendant 5 jours. - puis une radiochimiothérapie (carboplatine en perfusion IV, 1 heure 1 fois par semaine, avec un maximum de 7 doses pendant la radiothérapie, délivrée à la dose de 2 Gy par jour, 5 jours par semaine) ayant débuté 3 à 8 semaines après la chimiothérapie d induction et ayant duré 7 semaines. Un traitement chirurgical était autorisé après la radiochimiothérapie. 1 Posner MR, Hershock DM, Blajman CR et al. Cisplatin and fluorouracil alone or with docetaxel in head and neck cancer. NEJM, 2007, 357 : Stade III : T3N0M0 ou T1-3N1M0 ; Stade IV : T4N0-1M0 ou T1-4N2-3M0 3 L échelle de valeur de l ECOG (Eastern Cooperative Oncology Group), est une échelle d évaluation de l état général du patient et un facteur de pronostic. Cette échelle est cotée de 0 à 4. 0 : activité normale sans restriction 1 : restreint pour des activités physiques importantes mais patient ambulatoire et capable de fournir un travail léger 2 : ambulatoire et capable de se prendre en charge mais incapable de fournir un travail pendant plus de 50% de son temps 3 : capacité de prise en charge propre beaucoup plus limitée. Passe plus de 50% de son temps au lit ou dans une chaise 4 : complètement grabataire. Incapable de se prendre en charge. Le patient reste totalement couché au lit ou sur une chaise 4
5 Une prémédication par anti-émétique et un facteur de stimulation granulocytaire (G-CSF), en prophylaxie secondaire, à partir du 2 ème cycle de chimiothérapie ont été administrés à chaque groupe de traitement. Dans le groupe TPF, les patients ont reçu un traitement antibiotique prophylactique et une prémédication par corticoïde. Le traitement était poursuivi jusqu'à progression de la maladie, apparition d effets indésirables, refus de traitement par le patient. Critère principal de jugement : survie globale 4 Critères secondaires de jugement : - temps médian de survie sans progression - temps médian jusqu à échec thérapeutique - taux de réponse objective (pourcentage de patients ayant une réponse complète ou partielle) après chimiothérapie d induction, après radiochimiothérapie et après chimiothérapie d induction + radiochimiothérapie - durée médiane de la réponse - qualité de vie des patients évaluée selon l échelle FACT HN (Head and Neck Quality of life) - bénéfice clinique (symptômes locaux) évalué selon l échelle PSS-HN 5 Résultats (population ITT) : La durée médiane de traitement (chimiothérapie d induction + radiochimiothérapie) a été de 19 semaines dans les deux groupes. La durée médiane de la chimiothérapie d induction a été de 9 semaines dans le groupe TPF et de 10 semaines dans le groupe PF. Principales caractéristiques des patients inclus Age (ans) médian score OMS 0 1 Localisation tumorale Hypopharynx Larynx Cavité buccale Oropharynx Raison de l inopérabilité Non résécable techniquement Faible chance de curabilité chirurgicale Préservation d organe Classification de la tumeur T1 T2 T3 T4 Groupe TPF (n=255) n (%) 53 (20,8) 168 (65,9) 29 (11,4) (55,7) 113 (44,3) 42 (16,5) 48 (18,8) 33 (12,9) 132 (51,8) 92 (36,1) 78 (30,6) 85 (33,3) 13 (5,1) 43 (16,9) 74 (29,0) 125 (49,0) Groupe PF(n=246) n (%) 61 (24,8) 147 (59,8) 30 (12,2) (51,2) 117 (47,6) 34 (13,8) 42 (17,1) 38 (15,4) 131 (53,3) 84 (34,1) 75 (30,5) 87 (35,4) 9 (3,7) 56 (22,8) 88 (35,8) 92 (37,4) 4 Définie comme le temps depuis la randomisation jusqu au décès, quelle qu en soit la cause 5 Echelle spécifique des cancers des VADS mesurant l intelligibilité de la voix, la capacité de manger en public et à s alimenter normalement, l intensité de la douleur selon l échelle EVA et la détoriation du score OMS 5
6 Classification des ganglions N0 N1 N2 N3 Stade clinique III IV 42 (16,5) 53 (20,8) 128 (50,2) 32 (12,5) 41 (16,1) 214 (83,9) 35 (14,2) 49 (19,9) 123 (50,0) 38 (15,4) 46 (18,7) 199 (80,9) Les caractéristiques initiales des patients étaient comparables dans les deux groupes de traitement. L atteinte de l oropharynx était prédominante (environ 50%). Tous les patients étaient en bon état général (score OMS de 0 ou 1). Résultats sur le critère principal de jugement : (analyse en ITT) La médiane de survie globale a été de 70,6 mois [49,0 ; non atteinte] dans le groupe TPF versus 30,1 mois [20,9 ; 51,5] dans le groupe PF (HR = 0,70 ; IC 95%: [0,54 ; 0,90], p=0,0058). Le taux de survie a été : - à 1 an, de 80,0% [75,0 ; 84,9] dans le groupe TPF contre 69,9% [64,1 ; 75,7] dans le groupe PF - à 2 ans, de 67,3% [61,5 ; 73,2] dans le groupe TPF contre 54,5% [48,2 ; 60,8] dans le groupe PF - à 3 ans, de 62,1% [55,9 ; 68,2] dans le groupe TPF contre 48,1% [41,7 ; 54,5] dans le groupe PF 6. Résultats sur les critères secondaires : - temps médian de survie sans progression : Le temps médian de survie sans progression a été de 35,5 mois dans le groupe TPF versus 13,1 mois dans le groupe PF (HR = 0,71 IC 95% [0,56 ; 0,90], p=0,004). - temps médian jusqu à échec thérapeutique : il a été de 20,5 mois dans le groupe TPF et de 10,8 mois dans le groupe PF (HR = 0,74, IC 95% [0,59 ; 0,93], p=0,0102). - taux de réponse objective : Aucune différence statistiquement significative n a été observée entre les deux groupes de traitement en termes de réponse objective évaluée après chimiothérapie d induction, à la fin de la radiochimiothérapie et après chimiothérapie d induction suivie de radiochimiothérapie. - durée médiane de la réponse : La durée médiane de réponse n a pas été atteinte dans le groupe TPF. Elle a été de 41,9 mois dans le groupe PF (HR=0,67 [IC 95% 0,48-0,93], p=0,018). - qualité de vie/ bénéfice clinique : Il n a pas été observé de différence entre les deux groupes de traitement sur ces critères. On ne dispose pas de données évaluant le succès d une préservation d organe chez le tiers des patients inclus dans chaque groupe de traitement Données de tolérance (au cours de la chimiothérapie d induction) Les principaux événements indésirables tous grades et liés au traitement observés avec une fréquence plus élevée dans le groupe TPF (n=251) que dans le groupe PF (n=243) ont été les suivants : nausées (75,7% versus 78,2%), alopécie (67,7% versus 43,2%), stomatite 6 Compte tenu du nombre élevé de patients censurés après 2 ans, les résultats des taux de survie à 3 ans sont à interpréter avec prudence (Cf EPAR page 21). 6
7 (64,5% versus 67,1%), fatigue (58,6% versus 51%), vomissements (56,2% versus 60,9%), diarrhée (42,2% versus 37,4%), anorexie (37,8% versus 30,9%), fièvre sans infection (26,3% versus 17,3%). Les effets indésirables de grade 3-4 les plus fréquemment observés ont été : nausées (13,9% des patients du groupe TPF versus 13,6% des patients du groupe PF), stomatite (20,7% versus 27,2%), anorexie (12,0% versus 11,1%) et oesophagite/dysphagie/odynophagie (12,0% versus 7,4%). Une anémie de grade 3-4 est survenue chez 12,4% des patients du groupe TPF versus 9,5% des patients du groupe PF. Une leucopénie de grade 3-4 a été plus fréquente dans le groupe TPF (54,2%) que dans le groupe PF (23,5%), la majorité étant de grade 3. Une neutropénie a été plus fréquente dans le groupe TPF (94,8% patients) que dans le groupe PF (84,2% patients), avec des grades 3-4 plus fréquents (83,5% des patients du groupe TPF versus 56,0% des patients du groupe PF), sans tenir compte de l utilisation du G-CSF. A noter que seuls 7,5% des cycles dans le groupe TPF (15,5% des patients) versus 6,4% des cycles dans le groupe PF (11,9% des patients) ont été administrés avec du G-CSF en prophylaxie secondaire. Dans le groupe TPF, il a été observé plus de neutropénies fébriles (12,1% versus 6,6%) et d infections associées à une neutropénie (11,7% versus 8,3%) que dans le groupe PF. Le nombre de décès liés à une infection neutropénique a été de 1 dans chaque groupe de traitement. Les arrêts de traitement pour effets indésirables ont concerné 19/255 patients du groupe TPF et 19/246 patients du groupe PF Conclusion L efficacité et la tolérance de l association TPF (docétaxel + cisplatine + 5 fluorouracile) en traitement néoadjuvant à la radiochimiothérapie comparées à celles de l association PF (cisplatine + 5 fluorouracile) ont été évaluées dans une étude de phase III (TAX 324) randomisée, ouverte, réalisée chez 501 patients ayant un carcinome épidermoide des voies aéro-digestives supérieures localement avancé. L étude a inclus des patients en bon état général, dont la tumeur n était pas techniquement résécable, des patients avec faible probabilité de curabilité chirurgicale et des patients candidats à une préservation d organe. Dans le groupe TPF par rapport au groupe PF : - la médiane de survie globale (critère principal) a été améliorée de 40,5 mois (70,6 versus 30,1 mois, HR = 0,70 ; IC 95%: [0,54 ; 0,90], p=0,0058), soit une réduction relative du risque de mortalité de 30%. - le temps médian de survie sans progression a été amélioré de 22,4 mois (35,5 mois dans le groupe TPF versus 13,1 mois dans le groupe PF ; HR = 0,71 IC 95% [0,56 ; 0,90], p=0,004). Il n a pas été observé de différence entre les deux groupes de traitement en termes de : - taux de réponse objective - qualité de vie et bénéfice clinique. Le profil de tolérance de l association TPF a été marqué par une toxicité hématologique (principalement neutropénie de grade 3-4). Cette toxicité n a pas eu d impact significatif sur les arrêts de traitement et la qualité de vie des patients. 7
8 4 CONCLUSIONS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE 4.1. Service médical rendu Les carcinomes épidermoïdes des voies aéro-digestives supérieures (VADS) engagent le pronostic vital. Les facteurs de risque sont le tabagisme et l alcoolisme chronique. La dysphagie, la dysphonie et la dyspnée constituent les signes cliniques les plus fréquents. Ces spécialités entrent dans le cadre d un traitement à visée curative. Le rapport efficacité/effets indésirables est important. Il s agit d un traitement de première intention. A ce stade de la maladie, il existe peu d alternatives thérapeutiques. Intérêt de santé publique : Le fardeau de santé publique représenté par les cancers des voies aérodigestives supérieures (VADS) est important. Dans la population des patients ayant un carcinome épidermoïde localement avancé, le fardeau est modéré du fait d un nombre plus restreint de patients concernés par rapport à la population totale des patients atteints d un cancer des VADS en France. La prévention des cancers des VADS et l amélioration de leur prise en charge constitue un besoin de santé publique. Au vu des résultats de l étude TAX 324, en particulier sur la médiane de survie globale, il est attendu du docétaxel associé au cisplatine et au 5-fluorouracile (association TPF), un impact important sur la réduction de la morbi-mortalité liée aux carcinomes épidermoïdes localement avancés des VADS, par rapport à l association cisplatine + 5 fluorouracile (PF). TAXOTERE, en association au cisplatine et au 5-fluorouracile, semble donc être en mesure d apporter une réponse au besoin de santé publique. En conséquence, il est attendu un intérêt de santé publique pour TAXOTERE en association au cisplatine et au 5-fluorouracile dans le cadre de la présente indication. Cet intérêt est modéré. Le service médical rendu par ces spécialités est important Amélioration du service médical rendu Compte tenu du bénéfice observé en termes de médiane de survie, la Commission de la transparence considère que TAXOTERE, en association au cisplatine et au 5-fluorouracile apporte une amélioration du service médical rendu importante (ASMR II) par rapport à l association cisplatine+5-fluorouracile dans le traitement d induction des carcinomes épidermoïdes localement avancés des voies aéro-digestives supérieures Place dans la stratégie thérapeutique La prise en charge thérapeutique classique et antérieure des tumeurs localement avancées des VADS reposait sur la chirurgie (si celle ci était possible sur le plan technique) ou la radiothérapie. La chirurgie, en raison du caractère mutilant (chirurgie radicale d exérèse du larynx compromettant la phonation et/ou la déglutition avec ses conséquences sociales et professionnelles), peut être associée à des séquelles fonctionnelles sévères. Le traitement habituel des tumeurs de la sphère ORL est actuellement en France l association concomitante d une radiothérapie et d une chimiothérapie à base de sels de platine avec ou sans 5-fluorouracile. La supériorité de ce protocole sur la classique radiothérapie exclusive, prouvée dans plusieurs études randomisées, s exprime en termes 8
9 de taux de contrôle locorégional et de survie globale L utilisation de cette combinaison a fait passer le taux de survie globale à 3 ans de 15-20% à 30-50% 10. Le bénéfice est cependant obtenu au prix d une augmentation de la toxicité immédiate et tardive, notamment d une radiomucite. Le recours à une chimiothérapie d induction (en néoadjuvant à un traitement par radiochimiothérapie) ne fait pas l objet de consensus. Cependant, la chimiothérapie d induction (l association de référence étant le cisplatine + 5-fluorouracile) suivie de radiochimiothérapie représente une alternative à la chirurgie radicale, notamment chez les patients potentiellement opérables et candidats à un programme de préservation d organe. TAXOTERE (docétaxel) en association au cisplatine et au 5-fluorouracile (TPF) administré comme traitement néoadjuvant à la radiochimiothérapie représente une nouvelle option thérapeutique de première ligne pour la prise en charge des patients ayant un carcinome épidermoïde localement avancé des voies aéro-digestives supérieures, non opérables d emblée, de faible curabilité chirurgicale ou candidats à un programme de préservation laryngée Population cible La population cible de TAXOTERE est représentée par les patients, ayant un carcinome épidermoïde localement avancé des voies aéro-digestives supérieures, non opérables d emblée, de faible curabilité chirurgicale ou candidats à un programme de préservation laryngée. La population peut être estimée à partir des données suivantes : - - l'incidence des cancers des voies aérodigestives supérieures a été estimé à environ nouveaux cas en Dans plus de 95% des cas, ces cancers sont des carcinomes de type épidermoïde. - le stade localement avancé représente environ 60% des cas, soit environ cas par an. - à ce stade, 60% des patients 12 sont considérés comme ayant une tumeur non résécable (soit patients) et 40% une tumeur résécable (soit patients). - selon les experts, parmi ces patients ayant une tumeur résécable : environ 50% seront candidats à une préservation d organe, soit patients environ 10% ont une faible probabilité de curabilité chirurgicale, soit 480 patients. Au total, la population cible de TAXOTERE peut être estimée à environ patients par an Recommandations de la commission de la transparence Avis favorable à l inscription sur la liste des médicaments agréés à l'usage des collectivités et divers services publics dans l extension d indication et à la posologie de l AMM. 7 Brizel and Esclamado. Concurrent Chemoradiotherapy for Locally Advanced, Non metastatic, Squamous Carcinoma. J Clin Oncol.2006; 24: Denis F, Garaud P, Bardet E, et al: Final results of the GORTEC randomized trial comparing radiotherapy alone to concomitant radiochemotherapy in advanced-stage oropharynx carcinoma. J Clin Oncol 22:69-76, Wendt T, Grabenbauer G, Rodel C, et al. Simultaneous radiochemotherapy versus radiotherapy alone in advanced head and neck cancer: A randomized multicenter study. J Clin Oncol 16: , Posner MR, and Wirth L. Cetuximab and Radiotherapy for Head and Neck Cancer. N Engl J Med 2006; 354: Rapport de la Commission d orientation sur le cancer, INVS 2003 Remontet L, Evolution de l incidence et de la mortalité par cancer en France de 1978 à INVS C. Monnerat et al. End points for new agents in induction chemotherapy for locally advanced head and neck cancers. Annals of oncology 13 : ,
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailCOMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES
COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec
Plus en détailCANCERS BRONCHIQUES ET MESOTHELIOMES PLEURAUX MALINS Date de publication : mars 2011 ANNEXE
ERBITUX - cetuximab RÉFÉRENTIELS DE BON USAGE HORS GHS CANCERS BRONCHIQUES ET MESOTHELIOMES PLEURAUX MALINS Date de publication : mars 2011 ANNEXE Situations hors-amm pour lesquelles l insuffisance des
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailTraitement de consolidation dans les cancers de l ovaire
Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire J.-F. Geay, I. Ray-Coquard, H. Curé et É. Pujade-Lauraine Pourquoi un traitement de consolidation? Le standard de traitement de première ligne d
Plus en détailChimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules. Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015
Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015 Cas clinique Mr A.S agé de 55 ans grand tabagique consulte aux urgences pour céphalées évoluant depuis
Plus en détailCancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009
traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailSession plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: Poster présentations: 87/1438
CANCERS DIGESTIFS Session plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: 38/435 Poster présentations: 87/1438 The TME Trial after a Median Follow-up of 11 Years C. A. Marijnen et Al, Leiden,
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. 10 décembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 décembre 2008 VIRAFERONPEG 50 µg/ 0.5 ml, poudre et solvant pour solution injectable B/1 : code CIP 355 189.3 B/4 : code CIP 355 191.8 VIRAFERONPEG, stylo pré-rempli
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailCancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature
Cancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature Situation en 2011 M CHAKRA Secteur Oncologie Thoracique CHU Arnaud de Villeneuve, Montpelier Qu est ce qu un sujet âgé? 70 ans est habituellement considéré
Plus en détailCHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES
CHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES 1 EPIDEMIOLOGIE 28 000 nouveaux cas/an 4ème rang des cancers Sex ratio 6,1 Mortalité > 27 000/an Âge médian H 67 ans, F 68 ans 2 1 Taux annuel ajusté
Plus en détailSituation de la chimiothérapie des cancers en 2009
TRAITEMENTS, SOINS ET INNOVATION Situation de la chimiothérapie des cancers en 2009 C O L L E C T I O N Rapports & synthèses ANALYSE DE L ÉVOLUTION DE L USAGE DES MOLÉCULES INSCRITES SUR LA LISTE «EN SUS
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailGEMCITABINE. 38 mg/ml ; 1 g/ml, 200 mg et 1 000 mg poudre ou lyophilisat Publication Juillet 2010
I. GEMZAR et génériques- gemcitabine Nom commercial GEMZAR Dénomination commune internationale Laboratoire exploitant ou titulaire de l AMM GEMCITABINE LILLY FRANCE Génériques : ACTAVIS GROUP, EBEWE PHARMA
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailImmunothérapie des cancers bronchiques
Immunothérapie des cancers bronchiques Alexis Cortot, MD, PhD Service de Pneumologie et Oncologie Thoracique Hôpital Calmette, CHRU de Lille UMR8161, Institut de Biologie de Lille 11 ème Journée du CPHG
Plus en détailAnnick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302
Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 janvier 2006 ADVATE 1500 UI, poudre et solvant pour solution injectable 1 flacon(s) en verre de 1 500 UI - 1 flacon(s) en verre de 5 ml avec matériel(s) de perfusion(s)
Plus en détailÀ PROPOS DU. cancer colorectal. Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient
À PROPOS DU cancer colorectal Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient Table des matières Qu est-ce que le cancer colorectal?... 1 Les stades du cancer colorectal... 2 Quels sont
Plus en détailAvis sur l'utilisation de la capécitabine (Xeloda ) dans le traitement du cancer du poumon non à petites cellules de stades IIIb et IV
Avis sur l'utilisation de la capécitabine (Xeloda ) dans le traitement du cancer du poumon non à petites cellules de stades IIIb et IV INTRODUCTION Le cancer du poumon est le cancer le plus fréquent au
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwerty uiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasd fghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzx cvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq
qwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwerty uiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasd fghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzx cvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq Résumé ASCO 2013 POUR LA SFCP wertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyui 17/09/2013
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailEvaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés
Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution
Plus en détailBilan du suivi des produits traceurs 2008
OMIT PACA CORSE Agence Régionale de l Hospitalisation de Provence Alpes Côte d Azur PACA Corse OMIT ARH PACA CORSE Page 1 sur 77 Sommaire Introduction Préambule Contexte Objectifs du dispositif national
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailQu est-ce que le cancer de l œsophage?
Cancer de l œsophage Qu est-ce que le cancer de l œsophage? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailObjectifs. La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée. Dre Lise Tremblay
2 e journée scientifique en oncologie thoracique de l IUCPQ Vers un nouveau visage La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée Dre Lise Tremblay Vendredi 14 novembre
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailM Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale
M Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale Plan Deux situations: Adjuvante Métastatique Pas de scoop Des nouveautés. Des espoirs, lumières. En situation adjuvante Abstract 7513 Adjuvant erlotinib (E)
Plus en détailLe retour de l immunothérapie dans le traitement du cancer bronchique.
Le retour de l immunothérapie dans le traitement du cancer bronchique. Dr Bertrand MENNECIER, Charlotte LEDUC, Benjamin RENAUD-PICARD, Clément KORENBAUM CHRU de Strasbourg FOM Lille 21/03/2013 Disclosure
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailOBJECTIFS 2013-02- 14 LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013?
OBJECTIFS LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013? Connaître les différentes options de traitement disponibles pour le cancer du poumon de stade avancé Connaître
Plus en détailLes facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims
Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle
Plus en détailARD12166 Cabazitaxel Compared to Topotecan for the Treatment of Small Cell Lung Cancer
DESCRIPTIF DES ESSAIS 2012 Par ordre alphabétique AB Science Etude de phase I/II multicentrique, randomisée, ouverte avec 2 groupes parallèles pour évaluer l efficacité et la tolérance du traitement par
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 novembre 2009 LEDERTREXATE 5 mg, solution injectable B/1 ampoule de 2 ml (Code CIP : 315 012-5) LEDERTREXATE 25 mg, solution injectable B/1 ampoule de 1 ml (Code CIP
Plus en détailFirst Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?
Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris
Plus en détailMaurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC
Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins
Plus en détailCancer du poumon chez le sujet âgé : traitement du carcinome bronchique non à petites cellules
Cancer du poumon chez le sujet âgé : traitement du carcinome bronchique non à petites cellules M.-C. Pailler et J.-F. Morère Introduction Avec plus de 700 000 nouveaux cas annuels, le cancer bronchique
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailclinique d un médicament
DU Recherche Clinique Calcul du nombre de sujets nécessaires (accent sur les phases III) S. THEZENAS I.C.M. (Ex CRLC Val d Aurelle) Unité de Biostatistiques Phases du développement clinique d un médicament
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 31 janvier 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 31 janvier 2007 NEUPRO 2 mg/24 h dispositif transdermique Sachet-dose, B/30 : 377 209-7 Sachet-dose, B/90 : 570 143-4 NEUPRO 4 mg/24 h dispositif transdermique Sachet-dose,
Plus en détailActualisation de référentiels. Boussen Hamouda Saber Boutayeb Axe Sud-Méditerranéen Tunis-Rabat
Actualisation de référentiels Boussen Hamouda Saber Boutayeb Axe Sud-Méditerranéen Tunis-Rabat Pourquoi actualiser? Introduction Référentiel prise de décision Mais nouveautés thérapeutiques régulières
Plus en détailLe cancer du poumon 2/18/2015. Radio-oncologue CSSS Gatineau. Stéphanie Ferland B.pharm, MD, MSc, FRCPC
Objectifs Le cancer du poumon Stéphanie Ferland B.pharm, MD, MSc, FRCPC Radio-oncologue CSSS Gatineau Décrire le rôle de la thérapie générale en ce qui concerne les traitements néoadjuvants, adjuvants
Plus en détailLes tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011
Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailAvis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 avril 2014 BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA DCI Code ATC (2012) Motif de l
Plus en détailRAVIVA L activité physique contre le cancer. Dr. Jacques LECOMTE
RAVIVA L activité physique contre le cancer Dr. Jacques LECOMTE RaViva bouger pour se sentir mieux Le pronostic de beaucoup de cancers s est amélioré tant au niveau de la guérison que de la survie et des
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailPlace de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées. The role of surgery in the era of targeted therapy. * Non ouvert en France.
dossier thématique Place de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées The role of surgery in the era of targeted therapy P. Bigot*, J.C. Bernhard** Points forts» En association avec l immunothérapie,
Plus en détailVOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules
VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules Philippe GIRAUD, Nicolas POUREL, Vincent SERVOIS Romainville, le 29 septembre 2011 1 Radiothérapie et cancer du poumon La dosimétrie des cancers
Plus en détailCANCERS BRONCHO-PULMONAIRES
OMEDIT Nord-Pas-De-Calais Affaire suivie par : Monique.YILMAZ@ars.sante.fr OMEDIT Aquitaine Affaire suivie par : antoine.brouillaud@omedit-aquitaine.fr morgane.guillaudin@omedit-aquitaine.fr myriam.roudaut@omedit-aquitaine.fr
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailCompte-rendu de la séance du 23 avril 2015. Approuvé le 28 mai 2015
Secrétariat des Commissions Séance n 16 Commission évaluation initiale du rapport entre les bénéfices et les risques des produits de santé Compte-rendu de la séance du 23 avril 2015 Approuvé le 28 mai
Plus en détailINVESTIGATEUR PRINCIPAL. Pr Alain DEPIERRE. COORDINATION IFCT Franck MORIN. PROMOTEUR C.H.U Besançon
Essai thérapeutique randomisé comparant deux schémas de chimiothérapie préopératoire dans les cancers bronchiques non à petites cellules (CBNPC) de stades cliniques I et II. PROTOCOLE IFCT-0002 INVESTIGATEUR
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 10 mars 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 10 mars 2010 ARIXTRA 1,5 mg/0,3 ml, solution injectable en seringue pré-remplie - Boîte de 2 (CIP : 363 500-6) - Boîte de 7 (CIP : 363 501-2) - Boîte de 10 (CIP : 564
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailDOSSIER - AEROSOLTHERAPIE PAR NEBULISATION
Novembre 2008 ; N 19 ARTICLE COMMENTE NSCLC Meta-Analyses Collaborative Group. Chemotherapy in addition to supportive care improves survival in advanced non small-cell lung cancer: a systematic review
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ PROTECTION SOCIALE SÉCURITÉ SOCIALE : ORGANISATION, FINANCEMENT. Direction de la sécurité sociale
PROTECTION SOCIALE SÉCURITÉ SOCIALE : ORGANISATION, FINANCEMENT MINISTÈRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES BUDGET MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ Direction de la sécurité sociale Sous-direction
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie
INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. AVIS 1 er février 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er février 2012 Le projet d avis adopté par la Commission de la Transparence le 16 novembre 2011 a fait l objet d une audition le 1 février 2012 XEPLION 25 mg, suspension
Plus en détailLA RADIOTHÉRAPIE DANS LE CANCER DU RECTUM : quand, comment et pourquoi?
LA RADIOTHÉRAPIE DANS LE CANCER DU RECTUM : quand, comment et pourquoi? P. Martinive (1), D. Vandaele (2), E. Lennerts (3), M. Polus (2), C. Coimbra (4), L. Kohnen (4), J. Vanderick (1), J. Collignon (5),
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailLa nouvelle classification TNM en pratique
La nouvelle classification TNM en pratique Thierry Berghmans Département des Soins Intensifs et Oncologie Thoracique Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Bases historiques 1946 : Denoix invente le
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailEssais thérapeutiques en onco-gériatrie : l exemple des lymphomes
Essais thérapeutiques en onco-gériatrie : l exemple des lymphomes Clinical trials in elderly patients: the lymphoma experience D. Garbay*, P. Soubeyran* RÉSUMÉ Longtemps, les sujets âgés ont été exclus
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détail