TRAITEMENT PAR RADIOFRÉQUENCE DES TUMEURS KYSTIQUES DU REIN
|
|
- Nadine Gaudet
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 * Service Radiologie Adulte, Néphrologie et Urologie, Hôpital Necker, Paris ** Service de Radiologie Hôpital Pellegrin, Bordeaux TRAITEMENT PAR RADIOFRÉQUENCE DES TUMEURS KYSTIQUES DU REIN C. CHAVIHOT, JM CORREAS*, A KHAIROUNE*, D JOLY*, S RICHARD*, MO TIMSIT*, A MEJEAN*, N. GRENIER**, O. HELENON*
2 INTRODUCTION Le traitement mini-invasif par radiofréquence (RF) : consiste en l application d ondes de radiofréquence ( khz) via un électrode qui aboutit à une nécrose de coagulation des tissus Il existe différents types de systèmes permettant de réaliser une ablation par RF (ARF) en fonction du circuit électrique: Monopolaire : le courant circule entre l électrode et une ou des plaques de conduction Bipolaires et multi-polaire : l électrode comporte les deux pôles, les plaques de conduction ne sont pas utilisées (1) 1:Traitement des tumeurs du rein par radiofréquence J.M. Correas, A Méjean, D.Joly O; Hélénon
3 INTRODUCTION Les indications typiques du traitement percutané par RF des tumeurs du rein sont : Les tumeurs solides de diamètre inférieur à 4-5cm, De localisation exo-rénale préférentiellement Les patients porteurs de cancers du rein héréditaires (VHL) La présence d un rein unique fonctionnel ou d une insuffisance rénale La présence de multiples facteurs de comorbidité L ARF a déjà été proposée pour des lésions kystiques situées dans d autres organes (2, 3) 2: Brunetti E. et al Lancet 2001; 3: Kim YS et al. Thyroid 2006
4 INTRODUCTION Les masses kystiques ou nécrotiques du rein ne font pas partie des indications habituelles de l ARF Parmi les masses kystiques de la classification de Bosniak, les types III et IV correspondent à un carcinome rénal dans respectivement 50-60% et % des cas Elles peuvent intéresser des patients ne pouvant bénéficier du traitement chirurgical de référence
5 OBJECTIF Evaluer la faisabilité de la prise en charge par RF des tumeurs kystiques du rein en précisant: les éléments techniques l efficacité (taux de succès) les critères de succès en imagerie les complications
6 METHODOLOGIE Etude descriptive prospective bi-centrique Durée : 5 ans de 2005 à 2010 Centres : Groupe Hospitalier Necker Enfants malades, service de radiologie adulte du Pr Hélénon, Hôpital Pellegrin de Bordeaux, service de radiologie du Pr Grenier
7 METHODOLOGIE Recueil de données: à l aide d un questionnaire précisant : les données épidémiologiques les caractéristiques techniques de la RF l imagerie et le suivi des patients Analyse de dossier archivés Lecture d examens d imagerie: - TDM multi-détecteurs (GE, Siemens) - IRM 1.5 T (GE, Philips)
8 METHODOLOGIE: Données étudiées Epidémiologie et biologie AGE RF créatininémie pré-créatininémie RF µmol/ml post-rf MDRD pré-rf MDRD post-rf TP Caractéristique de la radiofréquence DATE RF INDICATION RF IMAGERIE PRE-RF TYPE D ANESTHESIE NOM DU SYSTÈME RF TYPE D ELECTRODE NB DE CYCLE PAR SESSION TEMPS APPLICATION ELECTRODE PAR SESSION LIEU D'APPLICATION DE L'ELECTRODE DANS LA LESION TEMPERATURE EN FIN DE SESSION INTENSITE MAXIMALE IMAGERIE DE GUIDAGE MARGE DE SECURITE TECHNIQUES ADJUVANTES
9 METHODOLOGIE: Données étudiées Imagerie et suivi TYPE BOSNIAK TAILLE TUMEUR AVANT RF IMAGERIE DIAGNOSTIQUE LOCALISATION TUMEUR ( I à V) POSITION ANATOMIQUE/RAPPORT A RISQUE BIOPSIE HISTOLOGIE DUREE HOSPITA- LISATION COMPLICATION PRECOCE COMPLICATION ASPECT A J1 TARDIVE DECES dans les 6 mois IMAGERIE DE CONTRÔLE C1 C2 (A 2 mois) (A 6 mois) C3 (A 1 an) C4 (> 1 an)
10 METHODOLOGIE Critères d inclusion: masse kystique suspecte de malignité (Bosniak III/ IV) ou dans un contexte de tumeur héréditaire, masse solide nécrotique (composante nécrotique 50%) absence de contre-indication au traitement par RF suivi 6 mois Validation de l indication par la Réunion de Concertation Multidiscplinaire Critères d exclusion: tumeur rénale solide ou composante nécrotique <50% contre-indication à la RF suivi de moins de six mois
11 RESULTATS 34 patients inclus : Soit une population tumorale de 51 masses kystiques ou nécrosées : Type de Masse Bosniak III Bosniak IV Nécrosée Nombre de Masses Pourcentage 26% 37% 37%
12 RESULTATS: épidémiologie & biologie Population : - âge: 56 ± 19,6 ans (min= 25; max= 88) - sexe ratio: 1,18 (H>F) - âge> 70 ans: 41% des patients - cancers du rein héréditaires (vhl, Birt Hogg Dubé) : 53% des patients Fonction rénale : (débit de filtration glomérulaire estimé par la formule du MDRD, ml/min/1.73m2) : - Avant RF: 66 ± 22 - Après RF: 61 ± 24
13 RESULTATS 55 séances de RF ont été réalisées: traitement premier : 51 sessions 2 procédures chez 4 patients Répartition des indications INDICATION Rein unique VHL IRC âge Tumorectomie Transplan -tation Atrophie rénale Autre Nombre % 17% 35% 9% 10% 20% 5% 2% 5%
14 RESULTATS: Technique de radiofréquence Quatre systèmes RF différents ont été utilisés : Cooltip, Olympus, Boston et Celon avec en des électrodes monopolaires en majorité (98%): Unique Triple ( cluster) et une bipolaire Protocole de traitement ( selon le constructeur) durée de traitement : 15,6 min ± 7,5 min (min: 4 max 33 min) température en fin de procédure : intensité maximale : W
15 RESULTATS : technique de radiofréquence Dans les tumeurs Bosniak IV, l extrémité active distale de l électrode était placée dans la portion charnue et traversait complètement la tumeur dans son plus grand axe Dans les tumeurs Bosniak III ou nécrosées, l électrode était placée à la portion profonde de la lésion et traversait la lésion dans sa partie la plus vascularisée Le guidage était réalisé par TDM + échographie pour 75% des patients, TDM seule (22%) et échographie seule (1 patient)
16 RESULTATS: technique de radiofréquence Pour améliorer l efficacité ou la sécurité du geste, il a été utilisé chez 10 patients : Hydrodissection (sérum glucosé 30%) dans 3 cas Ponction/ aspiration de kyste dans 5 cas Diminution de la taille/vascularisation : Sunitinib dans 2 cas Dans 4 cas, l électrode a été repositionnée dans une portion de la tumeur plus distale de l électrode
17 RESULTATS: imagerie et suivi L imagerie réalisée avant la RF reposait sur: TDM+IRM+EC TDM+EC IRM+EC TDM EC % 6% 3% 16% 3% Le diagnostic tumoral reposait sur le rehaussement pariétal, des cloisons ou de nodules muraux en TDM, IRM et en échographie de contraste (EC)
18 RESULTATS: imagerie et suivi Taille des tumeurs: 24 ± 9 mm (min 14 max 55mm) 10 cas ont bénéficié d une biopsie: 5 cas sont restés indéterminés 3 correspondait à un RCC Fuhrman II, 1 oncocytome et une tumeur papillaire à cellules claires. Pour 35 patients le type histologique était considéré comme un RCC en raison de la présence d une maladie de von Hippel Lindau
19 RESULTATS: imagerie et suivi Chez 23 patients, les rapports anatomiques de la tumeur exposaient à des risques supplémentaires : Les structures digestives (n= 5) La voie excrétrice (n= 19) Le foie (n= 5) La plèvre (n= 1), les vaisseaux rénaux (n= 1), le diaphragme (n= 1) et le muscle psoas (n= 1) Chez 13 patients, une sonde urétérale a été mise en place pour assurer un refroidissement de la voie excrétrice
20 RESULTATS: imagerie et suivi Sur les 55 procédures effectuées, 10 complications mineures ont été identifiées essentiellement par l imagerie systématique réalisée à J1 post-rf Aucune des complications liée à la RF n a nécessité un allongement de la durée d hospitalisation 63% de patients avait une durée d hospitalisation de 72h, 17% 96 h, 14% de 60h et 6% de plus de 96H (douleur du flanc et dyspnée par déshydratation)
21 RESULTATS: imagerie et suivi COMPLICATION DELAI APRES RF RAPPORT ANATOMIQUE A RISQUE NOMBRE DE CAS Lame d épanchement péri-hépatique J1 Foie, plèvre 1 Infarctus de contact J1 VE ( voie excrétrice) 2 Hématome souscapsulaire J1 N 1 Pneumothorax J0 Foie, VE 1 Fistule urinaire J1 N 1 Inflammation de kyste pancréatique J0 N 1 Atteinte ischémique du psoas J0 N 1 HTA J1 N 2
22 RESULTATS: exemple de complication TDM (temps artériel, veineux et tardif): hypodensité du psoas entourée d un fin liseré rehaussé à J15 post- RF: nécrose TDM contrôle (temps artériel): disparition de la l atteinte du muscle psoas droit. Déplacement secondaire de l aiguille droite per-rfa car mouvement de la patiente => atteinte du psoas
23 RESULTATS: imagerie et suivi Exemple de complication TDM J0 : hématome sous-capsulaire TDM contrôle: (sans IV et temps veineux: encoche corticale
24 RESULTATS: imagerie et Le suivi en imagerie était réalisé à 2, 6, 12 mois après la procédure puis une fois par an pendant cinq ans L imagerie de contrôle était constituée par : TDM+IRM+EC TDM+EC IRM+EC TDM IRM % 19% 8% 3% 13%
25 RESULTATS: imagerie et suivi Quatre patients ont présenté un traitement incomplet, détecté à J1 de la procédure Taux de succès primaire: 92% Ils ont bénéficié d une 2 nde session thérapeutique à 4, 6, 16 et 45 mois: un patient à présenté un résidu tumoral malgré une deuxième procédure Un patient a été perdu de vue
26 RESULTATS: cas patient 1 Jeune fille de 25 ans, maladie de vhl TDM (temps artériel et veineux) Masse kystique de 39mm, à paroi épaisse avec un nodule mural rehaussé Masse kystique de type IV dans la classification de Bosniak Traitement RF par une électrode CoolTip
27 RESULTATS J1 post-rf TDM sans et avec injection: masse hypodense, disparition du nodule pariétal C1 (4 mois) TDM (sans IV & temps artériel, veineux et tardif) : masse résiduelle de 30mm hypodense, avec paroi épaisse et petite prise de contraste punctiforme : vaisseau?
28 RESULTATS C3( 1an) TDM sans injection, artériel et veineux résidus cicatriciel de 19mm, microcalcifications C4 (1 ans 6 mois) IRM T2, T1 EG après injection, à 1, 3 et 5mn C4 (2ans et 4mois) TDM sans injection, artériel et veineux: calcifications séquellaires
29 RESULTATS Patiente âgée de 71 ans, tumeur du greffon rénal, insuffisance rénale évoluée Echographie Rénale IRM T2, T1 EG après injection à 1 et 3min Masse de 24 mm en hypersignal T2 avec composante charnue tissulaire rehaussée
30 RESULTATS Traitement par RF avec une électrode CoolTip J1 post-rf, loge de radiofréquence en hyposignal T2, hypersignal T1 homogène, non rehaussée à 1, 3 et 5min
31 RESULTATS C2 ( 6 mois) : IRM T2,T1 EG après injection à 1 et 3min: loge de radiofréquence diminuée de taille, en discret hypersignal T2 sans rehaussement après injection Pyélonéphrite aiguë sévère entrainant une insuffisance rénale terminale Détransplantation à 9 mois de la RF pour nouvelle tumeur infracentimétrique du greffon
32 RESULTATS Patiente âgée de 40 ans, rein unique et VHL TDM (sans IV, temps artériel, veineux et tardif) Masse hypodense spontanément mesurant 49mm, présentant des cloisons fines multiples et une fine paroi rehaussées Masse kystique de type III de Bosniak
33 RESULTATS Traitement par RF avec une électrode CoolTip Trois cycles de traitement TDM (sans IV, temps artériel, veineux et tardif) : masse kystique avec rehaussement périphérique 2 ème RF prévue 4 mois après
34 RESULTATS TDM (temps artériel et veineux à 4 mois) : diminution de la taille de la masse (36mm) mais persistance de cloisons et d une paroi rehaussées C2 2 nde procédure, TDM avec injection. Diminution de taille de la masse tumorale antéro-médiane ( 24mm) avec rehaussement des cloisons et de la paroi: échec thérapeutique pour traitement de la masse kystique Bosniak III
35 RESULTATS Patient âgé de 67 ans, atrophie rénale gauche IRM T2, masse de 34mm en hypersignal T2 intra-parenchymateuse, avec un nodule central où convergent des cloisons. TDM (sans puis avec IV) : le nodule et les cloisons se rehaussent (masse kystique type IV)
36 RESULTATS Traitement par RF avec une électrode CoolTip J1 post-rf: loge de radiofréquence hyperdense quasi homogène, absence de rehaussement des cloisons ou de la paroi.
37 RESULTATS C1, IRM (sans et IV), loge de radiofréquence en hypersignal T2, non rehaussée aux temps artériel et veineux C1,TDM (temps artériel) Masse hypodense non rehaussée
38 RESULTATS C2 (6 mois), IRM T2 T1 EG après injection de gadolinium (temps artériel et veineux); TDM après injection de produit de contraste temps artériel: loge de radiofréquence de 17mm sans rehaussement
39 RESULTATS C4 ( 2ans), IRM T2, T1 EG après injection de Gadolinium à 1 et 3 min TDM (temps artériel et tardif) zone d atrophie rénale séquellaire : succès thérapeutique
40 Discussion Points faible de l étude : Délai de suivi insuffisant pour certains patients, à l origine de l exclusion de certains patients de l étude Biais de sélection pour les tumeurs nécrosées La faible population tumorale ayant bénéficié d une biopsie
41 Discussion Points forts : Sujet innovant, faible nombre de publications Malgré le faible échantillon la RF des tumeurs kystiques du rein est un traitement efficace Pour Byung Kwan Park, le traitement des tumeurs kystiques nécessite un dépôt d énergie inférieur à celui des tumeurs solides Dans notre étude, celle-ci est équivalente à celle des tumeurs solides (durée jusqu à 16 min, puissance 240 W en fin de procédure) Elle doit être délivrée progressivement
42 Discussion L ARF des tumeurs kystiques n est pas limitée par les facteurs de comorbidité et en particulier l âge L une des indications principales est le cancer du rein héréditaire (et en particulier la maladie de von Hippel Lindau) Parmi les techniques adjuvantes, il faut souligner l intérêt de l hydrodissection (pour repousser une structure sensible), de l aspiration (pour diminuer le volume tumoral) et des agents anti angiogéniques (pour diminuer la taille et la néoangiogénèse)
43 DISCUSSION Chez les patients sans néphropathie sous jacente, la fonction rénale évaluée après ARF n est pas différente celle mesurée avant la procédure En cas de néphropathie sous jacente, la fonction rénale se dégrade peu à peu mais le rôle de l ARF est difficile à affirmer, car les chiffres de créatininémie post RF sont comparables à ceux mesurés avant l ARF
44 Discussion La technique de radiofréquence doit être adaptée en fonction du système utilisé Pour des tumeurs de plus 3 cm de diamètre, deux électrodes sont nécessaires L administration de la puissance électrique doit se faire progressivement en contrôlant soigneusement la température pour ne pas entraîner d ébullition du contenu liquidien Les tumeurs Bosniak III semble plus difficiles à traiter que celle Bosniak IV
45 Discussion L imagerie de référence pour le diagnostic le guidage et le suivi reste le scanner, amélioré par l IRM et l échographie de contraste pour les tumeurs uniques Le principale critère d imagerie reste le rehaussement de la portion tumorale viable (reliquat ou récidive) Certaines prises de contraste à J1 de la procédure ou à 2 mois peuvent disparaître ultérieurement et ne témoignent pas nécessairement de la présence d un tissu tumoral viable
46 Discussion Le véritable problème est celui de l indication thérapeutique, et de l alternative que constitue la surveillance «armée» En effet, les tumeurs kystiques sont volontiers de bas grade, de croissance lente et avec un volume tumoral faible par rapport à celui d une tumeur solide Le résultat de la biopsie étant limité, une simple surveillance peut être recommandée. L ARF est proposée en cas de croissance manifeste, de modification de l aspect de la lésion, et en fonction du terrain
47 CONCLUSION Notre étude montre que l ARF des tumeurs kystiques ou nécrosées du rein est une alternative à la chirurgie, faisable dans la totalité des cas : Elle n entraîne pas de complication majeure Elle est efficace avec un taux de succès à 92% Elle doit être proposée aux patients qui présentent plusieurs facteurs de comorbidités ou qui nécessite une prise en charge itérative L indication doit être approuvée en réunion multidisciplinaire, car la surveillance et la chirurgie peuvent aussi se discuter
TRAITEMENT DES TUMEURS DU REIN PAR RADIOFRÉQUENCE
TRAITEMENT DES TUMEURS DU REIN PAR RADIOFRÉQUENCE J. M. COR- REAS ET COLL. par J.M. CORREAS*, A. MÉJEAN**, D. JOLY*** et O. HÉLÉNON* Le développement du traitement faiblement invasif des cancers du rein
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailIRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir
CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailLES CONTUSIONS DU REIN
LES CONTUSIONS DU REIN Table des matières Table des matières 3 I - Épidémiologie 9 II - Mécanismes lésionnels 11 A. 1. Choc direct...11 B. 2. Lésions indirectes...11 C. 3. Plaies pénétrantes...11 D. 4.
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailTRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES. Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie
TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Carcinome hépato-cellulaire : Sans traitement : survie à 5 ans < à 5 % (CHC sur cirrhose) Traitement
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailDéveloppement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel
Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel E. de Kerviler, C. de Bazelaire, P. Coulon*, S. Gotman**, J Yanof***, C. Bauer***J. Sapir**. Service de Radiologie,
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailRéférentiel régional Prise en charge des cancers du rein Version 1 Mars 2013
Référentiel régional Prise en charge des cancers du rein Version 1 Mars 2013 Sommaire Contexte 5 Objectifs... 5 Champ d application... 5 Utilisateurs cibles... 5 Information du patient... 5 Avertissement...
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailCroissance et vieillissement cellulaires Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 81 sur 87. Résultats des questions prédéfinies
Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 8 sur 87 A00 8/87 Indicateurs globaux Index global m.= m.=,9 s.=0,. Evaluation générale de cette unité m.=. Sciences médicales de base m.=,. Compétences cliniques m.=,7.
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE. Dr JF Gravié FCVD
ACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE Dr JF Gravié FCVD CONTEXTE (1) Risques électriques de 0,1 à 0,4% Enquête de pratique * 506 chirurgiens: 18% expérience personnelle, 54% connaissaient un
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailPrix communication jeunes chercheurs JFR 2010
Prix communication jeunes chercheurs JFR 2010 Télé échographie abdominale et fœtale en temps différé * Toussaint Kokou ADAMBOUNOU Objectif : Mise au point d un système de télé échographie entre sites «non
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailDr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger
Dr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger *Malgré les progrès de dialyse, la transplantation rénale demeure le meilleur choix thérapeutique de l insuffisance
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailLa transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement
La transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement n Professeur Michel Broyer. Hôpital Necker Enfants malades, Paris Membre du
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT Les étapes du don de rein DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT concerner CHACUN le don du vivant 3 /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailLE SYNDROME DE BUDD CHIARI
CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)
Plus en détailTraitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)
Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil
Plus en détailRéparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients
Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Schéma du cœur avec CIA Aorte Artère pulmonaire Oreillette gauche CIA Appendice auriculaire gauche Oreillette droite
Plus en détaild une Dr Ei Eric Peterman
d une Dr Ei Eric Peterman Implantations de MDM MALI: 1994-2010 TCHAD: 2009-2010 - 2-3 millions de fistules obstétricales dans le monde - 90% en Afrique (source OMS) MDM Yaoundé 2010 MOPTI MDM BERLIN 2010
Plus en détailLes sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du
Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du cancer : enjeux et opportunités Début de cartographie des enjeux cliniques et technologiques gq Jean-François MENUDET, Cluster I-Care Cartographie
Plus en détailEthique, don d organe et Agence de la Biomédecine
Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine Patrick Niaudet Président du Conseil d Orientation de l ABM Servie de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Necker-Enfants Malades, Paris Mon intervention ne
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailTUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE?
TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE? R.CAMPAGNA, F.THEVENIN, D.RICHARME, H.GUERINI, A.FEYDY, F.LAROUSSERIE, JL.DRAPÉ Service de Radiologie B CHU
Plus en détailLes traitements du cancer du rein
MARS 2013 Les traitements du cancer du rein COLLECTION GUIDES PATIENTS LES REINS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LES MÉDICAMENTS ANTICANCÉREUX LES PROFESSIONNELS LA VIE QUOTIDIENNE www.e-cancer.fr
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailBERTHIER E, CHRISTIANO M, PHILIPPE M O, IEHL J, TATARU N, DECAVEL P, VUILLIER F, ELISEEF A, MOULIN T. Introduction (1). Contexte de l étude
REPRODUCTIBILITE INTEROBSERVATEUR DU TEST «NIHSS» (National Institutes of Heath Stroke Scale) RÉALISÉ PAR VIDÉOCONFÉRENCE : EXPÉRIENCE DU RÉSEAU DES URGENCES NEUROLOGIQUES (RUN) BERTHIER E, CHRISTIANO
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailLIRE UN E.C.G. Formation sur le langage et la lecture d un ECG destinée aux techniciens ambulanciers de la région Chaudière-Appalaches
LIRE UN E.C.G. Formation sur le langage et la lecture d un ECG destinée aux techniciens ambulanciers de la région Chaudière-Appalaches Denise Hébert, chargée de projet UCCSPU Février 2006 Le langage et
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailLe GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :
Secrétariat du Grand Conseil PL 10267 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 22 mai 2008 Projet de loi ouvrant un crédit au titre d'indemnité cantonale d'investissement de 3 000 000 F, pour
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détail