Etude de cas Friche DE SURMONT à Tourcoing (59)

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1 Etude de cas Friche DE SURMONT à Tourcoing (59) AGENCE NORD-PAS-DE-CALAIS, PICARDIE, CHAMPAGNE-ARDENNE Synergie Park 5, avenue Louis Néel LEZENNES Tél. : Fax :

2 1. Identification du propriétaire Situation parcellaire : inconnue à ce jour Propriétaire : Société de Filature «Anciens Etablissements Jules de Surmont & Fils» Source d informations : Etude de sols rapport d Etape B Filature Anciens établissements Jules de Surmont & Fils (PREVENTEC ENVIRONNEMENT février 2005) Evaluation Détaillée des Risques de la filature de Surmont à Tourcoing (ANTEA septembre 2005) Observations de terrain : A préciser au cours d une visite ultérieure 2. Situation géographique Adresse : 47, rue de Bradford TOURCOING 2/12

3 3. Etude administrative Exploitation : Le site a été exploité jusqu en 2004 par la société de Filature «Anciens Etablissements Jules de Surmont & Fils». La liquidation judiciaire a été prononcée par décision de justice en date du 6 juillet Le 13 juillet 2004, un jugement a autorisé la poursuite de l activité. Responsable actuel : Société de Filature «Anciens Etablissements Jules de Surmont & Fils», en qualité de personne morale. Urbanisme : Le site est inscrit en zone UG du Plan Local d Urbanisme de Tourcoing. Il s agit d «une zone économique bénéficiant d une situation privilégiée [ ]. Il convient d y privilégier la mixité d activités économiques par l implantation d activités tertiaires, de bureaux, de services, industrielles, artisanales commerciales, compatibles avec les activités déjà présentes sur la zone». Dans le règlement de cette zone, on notera en particulier l interdiction de construire des bâtiments à usage d habitations et de créer des logements par division ou changement d affectation (Article UG1) ; les extensions et améliorations apportées au confort et à la solidité des constructions à usage d habitation existantes sont toutefois autorisées (Article UG2). Etudes en cours : Aucune étude en cours à notre connaissance. 4. 3/12

4 Synthèse des études antérieures 4.1. Etude de sols phase B Etude réalisée par PREVENTEC ENVIRONNEMENT en février 2005 Principales conclusions : Historique du site : L activité du site (filature) a démarré en Avant cette date, les parcelles étaient des terrains à vocation agricole. Au cours de son histoire, la société «Anciens Etablissements», Jules De Surmont & Fils» a obtenu l autorisation d exploiter : une teinturerie de laine (1921), un atelier de travail des métaux (1965), une cuve d acétylène (1965), une cuve de L de fuel domestique (1965). L organigramme ci-dessous résume le process de la société : 4/12

5 ANTEA Réception de la matière première - préalablement lavée et peignée pour la laine, - en rubans écrus ou teints pour les autres fibres Teinture en fibres (utilisation de colorants et pigments) Mélange - Préparations (utilisation de savon industriel pour l'opération d'ensimage) Filature Organisation des fils et torsion Vaporisation Fixation de la torsion par application de vapeur (projection de vapeur produite par chaudière) Bobinage et stockage en magasin Retordage Rétraction Expédition 5/12

6 Outre les sources de pollution potentielles liées au process lui-même (activité de teinturerie notamment), le site a possédé des zones de stockage de déchets (dépôts de fûts, bennes à déchets, ) des transformateurs (a priori fonctionnant à l huile), et une centrale de production d électricité (fonctionnant au charbon puis au fuel lourd). Le plan de synthèse de la page suivante présente les zones les plus contraignantes d un point de vue environnemental suite à l étude historique réalisée. Campagne d investigations : Les investigations de sols ont consisté en la réalisation de 7 sondages à une profondeur 2 à 3 m, au droit des zones suivantes : cour intérieure (stockage de fûts à l air libre ) (2 sondages à 2 m de profondeur), service technique (1 sondage à 2 m de profondeur), atelier de mécanique (1 sondage à 5,7 m de profondeur), centrale électrique (2 sondages à 2,5 m de profondeur de 1 sondage à 3 m de profondeur), cuve de stockage de fuel lourd à proximité de l atelier de mécanique (1 sondage à 2 m de profondeur), anciens bureaux reconvertis en parking (1 sondage à 5,8 m de profondeur), zone de dépôts de produits finis (1 sondage à 5,8 m de profondeur). D une manière générale, sur chaque sondage réalisé, un échantillon de surface ou de subsurface et un échantillon plus profond ont été analysés en laboratoire. Toutefois, sur trois sondages, un échantillon moyen a été prélevé sur toute la hauteur de foration. Les analyses ont porté sur l indice hydrocarbures totaux et les métaux (cadmium, chrome, cuivre, nickel, plomb, zinc). Résultats des analyses : Le tableau suivant synthétise les résultats d analyses de sols. Lithologie Teneur maximale en hydrocarbures totaux Teneurs maximales en éléments métalliques* Cour intérieure 1m de remblais environ recouvrant des silts sabloargileux (subsurface) non analysés Service technique 2 m de remblais (surface) Centrale électrique 3 m de remblais (matrice de silts sablonneux) 219 (profondeur > 1,5 m) Cr : 50 Cu : 405 Ni : 50 Pb : 285 Zn : 725 (remblais) Zones Cuve de stockage fuel lourd 2 m de remblais (matrice de silts argilosablonneux) Atelier de mécanique 1,7 m de remblais puis 4 m de silts sablo-argileux 69,3 (surface) 60 (surface) Cr : 50 (profondeur > 1 m) Cr : 60 Pb : 280 (profondeur > 1 m) Bureaux 1,8 m de remblais puis 4 m de silts sablo-argileux 50,1 (0,0-2,5 m) Les teneurs sont données en mg/kg MS Les teneurs en éléments métalliques ne sont pas indiquées lorsqu'elles semblent être du même ordre que le bruit de fond pédogéochimique local Stockage produits finis 1,8 m de remblais puis 4 m de silts sablo-argileux 50,7 (0,0-2,5 m) 6/12

7 7/12

8 Les analyses d eaux souterraines mettent en évidence : des teneurs en hydrocarbures totaux atteignant au maximum 200 µg/l, des concentrations maximales en éléments métalliques de 10 µg/l pour le cadmium, 30 µg/l pour le chrome, 290 µg/l pour le cuivre, 140 µg/l pour le nickel, 460 µg/l pour le plomb, et µg/l pour le zinc. Notons que les teneurs les plus élevées sont en général observées sur l un des piézomètres situé en amont du site. Evaluation Simplifiée des Risques (ESR) : L Evaluation Simplifiée des Risques a été réalisée conformément au Guide de Gestion des sites (potentiellement) pollués du Ministère de l Ecologie et du Développement Durable. On rappellera que cette méthodologie est amenée à disparaître très prochainement, comme le stipule une note du Ministère de l Ecologie et du Développement Durable, publiée en décembre 2005, intitulée «Réécriture des outils méthodologiques Où en est-on?». La source de pollution retenue est les remblais du site, contaminés par le plomb et le cuivre. Le tableau suivant récapitule les résultats de l Evaluation Simplifiée des Risques. Milieux Source Substances Eau Eau Sol souterraine superficielle Remblais cuivre contaminés plomb NOTE FINALE DU SITE 1 L ESR aboutit à une note de 1 pour le site, des investigations approfondies et une Evaluation Détaillée des Risques sont donc nécessaires Evaluation Détaillée des Risques Etude réalisée par ANTEA en septembre 2005 L Evaluation Détaillée des Risques a été réalisée, sur la zone «cour intérieure», sur laquelle des sources de pollution au sens de la méthodologie ESR ont été identifiées par le cuivre et le plomb. A noter qu avec les démolitions réalisées, la cour intérieure regroupe en fait les anciennes zones «cour intérieure», «service technique», «atelier de mécanique», «stockage fuel lourd» et «centrale électrique». Les trois scénarii suivants de réaménagement ont été envisagés sur cette zone pour l étude : habitat résidentiel avec potager, commerce, espace vert. Diagnostic approfondi : L Evaluation Détaillée des Risques a été précédée d un diagnostic complémentaire des sols, qui à consister à réaliser 6 prélèvements de sols superficiels à 0,30 m de profondeur et 6 sondages à 4 m de profondeur à la pelle mécanique. 16 échantillons ont été sélectionnés ; tous ont fait l objet d une analyse portant sur les métaux (arsenic, cadmium, chrome, cuivre, nickel, plomb, zinc) et 4 ont également fait l objet d une analyse portant sur les hydrocarbures totaux, les HAP, les BTEX et le styrène, et les COHV. 8/12

9 Sur les sondages «profonds», on notera la présence de remblais (parfois jusqu à 2,50 m de profondeur) avec présence de scories sur certains sondages recouvrant des alluvions siltoargileux. Certains sondages ont dû être arrêtés avant la profondeur prévue en raison d un refus sur dalle béton. En outre, une campagne de prélèvements d eaux souterraines a été effectuée sur les trois piézomètres existants (captant la nappe alluviale). Les échantillons prélevés ont fait l objet d une analyse laboratoire portant sur les métaux (arsenic, cadmium, chrome, cuivre, mercure, nickel, plomb, zinc), les hydrocarbures totaux, les HAP, les BTEX et le styrène, et les COHV. Le tableau ci-dessous récapitule les résultats des analyses de sols. CONCENTRATIONS MAXIMALES EN mg/kg MS Profondeur de prélèvement surface (0-0,3 m) subsurface (< 1 m) en profondeur (> 1 m) arsenic cadmium 1 < 0,4 4 chrome cuivre mercure 25 0,24 7,9 nickel plomb zinc hydrocarbures totaux C10 - C non analysés 150 HAP 1,6 non analysés 1,2 BTEX et styrène 0,08 (dont 0,08 xylènes) non analysés < 0,05 par composé COHV 0,50 tétrachloroéthylène 0,26 trichloroéthylène non analysés 0,24 tétrachloroéthylène 0,21 trichloroéthylène Les analyses d eaux souterraines mettent en évidence : des concentrations maximales en éléments métalliques de 5,6 µg/l pour l arsenic, 6,7 µg/l pour le chrome, et 160 µg/l pour le zinc ; les autres métaux analysés présentent des concentrations inférieures aux limites de quantification, des concentrations en hydrocarbures totaux C10 C 40 inférieures à la limite de quantification, la présence de traces de quelques HAP, des concentrations maximales en BTEX de 1,9 µg/l pour le benzène, 1,8 µg/l pour le toluène, 0,2 µg/l pour l éthylbenzène, et 0,95 µg/l pour les xylènes et des concentrations en styrène inférieures à la limite de quantification, la présence de traces de trichloroéthylène et de chlorure de vinyle. La majorité des concentrations les plus élévées est retrouvée sur l un des piézomètres amont du site. Evaluation Détaillée des Risques : Les calculs d Evaluation Détaillée des Risques ont montré que les risques pouvaient être considérés comme : tolérables pour les adultes et enfants fréquentant un commerce ou des espaces verts, sous réserve d un recouvrement des terrains, 9/12

10 non tolérables pour les adultes employés d un commerce pour l inhalation de vapeurs de tétrachloroéthylène, non tolérables pour les adultes et enfants fréquentant des espaces verts sans recouvrement des terrains pour l ingestion de sol contenant du plomb et du mercure, non tolérables pour les adultes et enfants d un habitat résidentiel avec potager pour l ingestion de sols et de végétaux contenant du plomb et du mercure et pour l inhalation de vapeurs de tétrachloroéthylène. 10/12

11 5. Recommandations pour l aménagement du site Zone teinturerie (cf. plan) : Cette zone n a pas fait l objet d investigations jusqu à présent, en raison d une impossibilité d accès (dalle très épaisse). Une inconnue subsiste donc sur cette zone, qui pourrait notamment être contaminée par les hydrocarbures, les solvants, et les métaux au vu des activités pratiquées. Il est vivement recommandé d effectuer des investigations sur cette zone avant tout aménagement ultérieur. Eaux souterraines : Les piézomètres existants sont situés en amont et au droit de la zone «cour intérieure». Afin de préciser l impact réel du site et l origine des contaminations observées, il conviendrait de compléter le réseau piézométrique existant par l implantation d au moins un ouvrage en aval du site. Une surveillance des eaux de la nappe alluviale à partir de ce réseau complété paraît nécessaire au vu des teneurs observées en certains paramètres (benzène et tricholoroéthylène notamment). Les nappes sous-jacentes (nappe de la craie et nappe des calcaires carbonifères) semblent bien protégées par les horizons imperméables les isolant de la surface ; il ne paraît donc pas nécessaire de réaliser des piézomètres captant ces nappes. Réaménagements sur la zone «cour intérieure» : L Evaluation Détaillée des risques a mis en évidence des risques non tolérables pour certains scénarii étudiés à cause de : la présence de métaux dans les sols (mercure et plomb notamment), la présence de tétrachloroéthylène (composé volatil) dans les sols. Pour supprimer les risques liés à la présence de métaux si le terrain n est pas dépollué, la mise en place d un recouvrement pérenne est nécessaire. Pour le scénario «jardins potagers», ce recouvrement devra être constitué au moins 50 cm de terres propres avec grillage avertisseur. Pour le scénario «espace vert» 30 cm de terre saine pourrait suffire. Pour tout autre scénario, un recouvrement par un enrobé bitumeux ou une dalle béton seront suffisants. Dans tous les cas, la mise en place de servitudes de mémoire est impérative. Pour préciser l existence effective des risques par voie d inhalation liés aux vapeurs de tétrachloroéthylène, des investigations portant sur les gaz de sols devront être réalisées. Rappelons enfin que tout scénario d aménagement non envisagé dans l Evaluation Détaillée des Risques réalisée devra faire l objet d une nouvelle étude. Aléa géotechnique pour les constructions futures : Les investigations du diagnostic approfondi ont mis en évidence, sur l un des sondages, la présence de scories. Celles-ci peuvent gonfler, notamment en présence d eau, générant un aléa géotechnique pour les constructions qui seraient réalisées à ces endroits. Une évacuation des scories vers des filières de traitement ou de stockage adaptées lors des travaux paraît donc nécessaire. D une manière générale, il conviendra d accorder une 11/12

12 attention particulière à l évacuation des déblais générés par les travaux vers une filière de traitement ou de stockage adaptée. Hygiène et sécurité en phase travaux : Le travail sur des zones contaminées devra générer des précautions d hygiène et de sécurité pour le personnel. En particulier : le chantier devra être clôturé et son accès contrôlé et les zones excavées devront être balisées, des précautions devront en outre être prises pour limiter l envol de poussières, il conviendra de se laver soigneusement les mains à chaque fin de poste et pour boire, manger, ou fumer ; ces activités se feront en tout état de cause en dehors des zones de chantier balisées. L ensemble de ces préconisations devra être pris en compte par le coordinateur sécurité chargé de la gestion du chantier. Il est recommandé que l ensemble des recommandations de ce chapitre découlent des résultats d études réalisées à partir d investigations ponctuelles. Cette méthodologie ne permet pas de lever la totalité des aléas liés à l hétérogénéité du milieu naturel ou artificiel étudié. 12/12

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