Gestion de la demande en eau dans un contexte de changement climatique
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- Thomas St-Jacques
- il y a 7 ans
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1 Ministère de l agriculture des Ressources Hydrauliques et de la pêche Gestion de la demande en eau dans un contexte de changement climatique Octobre 2016
2 - Ressources en eau limitées : PROBLEMATIQUE ACTUELLE Quota actuel de 360 m3/hab/an contre un seuil de pénurie d eau de 500 m3/hab/an. Ce quota ne sera que de 360 m3/hab/an en La pression sur demande suite l accroissement des besoins en eau des différents secteurs économiques : domestique, touristique, industriel -Effets des changements climatiques : augmentation de la température, réduction des précipitations, alternance des périodes de sécheresse et d inondation -La surexploitation des ressources en eau souterraines; -La pollution des ressources eau (cours d eau, nappes,.); -L envasement des retenues des barrages, des lacs collinaires, -La salinité relativement élevée des Ressources en eau; 2
3 GESTION DE L OFFRE -La construction des Barrages (grands Barrages, Barrages collinaires, Lacs collinaires, ouvrages de dérivation, etc..); -La sécurisation de la desserte en eau (eau potable en priorité, eau d irrigation ) par l interconnexion des barrages entre eux et le transfert du surplus d eau du nord vers le sud et le centre du pays; -La recharge des nappes :actuellement 50 sites repartis sur 24 nappes permettent de recharger un volume de 60 millions de m3/an; -La construction des citernes d eau pluviale : on recense actuellement 100 mille unités; N-B 25% de la population rurale dans le sud possèdent des systèmes de collectes des eaux pluviales pour usage domestique. 3
4 GESTION DE LA DEMANDE Parallèlement à la politique de gestion de l offre, une nouvelle politique de gestion de la demande a été instaurée depuis les années 90 et qui vient pour consolider la stratégie nationale de mobilisation et de conservation des ressources en eau lancée entre La gestion de la demande s articule autours des axes suivants : - L économie de l eau et la maitrise de la demande au niveau de tous les secteurs de consommation d eau. - Le développement des ressources non conventionnelles : Réutilisation des eaux usées traitées et dessalement des eaux. -la promotion de la gestion participative pour la pérennisation des ressources et infrastructures. -La protection des ressources en eau. 4
5 PROGRAMME NATIONAL D ECONOMIE D EAU : REALISATIONS A LA PARCELLE -Entre 1995 et 2015 : Equipement de 388 mille hectares, soit 90% de la superficie irriguée. -Montant de l investissement : 1130 millions de dinars dont 553 millions de subventions surface équipée en1000 Ha ha ha % 90% 37% % Répartition de la superficie équipée selon les techniques d'irrigation 25% 30% G. améliorée Aspersion Localisée
6 PROGRAMME NATIONAL D ECONOMIE D EAU : REALISATIONS AU NIVEAU DES RESEAUX DE TRANSPORT ET DE DISTRIBUTION Projets de modernisation et de réhabilitation des PPI sur 56.4 mille ha pour un cout global de 492 MD dont : 31 mille ha pour un coût de 172 MD réalisés entre , à savoir : *Projet PMH de la Tunisie Centrale financé par la KfW : 12000ha, 24 MDT, *Projet APIOS: financé par la JICA : ha, 98 MDT *Projet de modernisation des périmètres de la Basse vallée de la Medjerda à Manouba - 1ère tranche KFW, 4318 ha, 50 MDT mille ha pour un coût de 320 MD en cours : *Projet APIOS (2 ème tranche) : financé par la JICA : 8000 ha, 90 MDT *Projet de modernisation des périmètres de la Basse vallée de la Medjerda à Manouba - 2ère tranche KFW, 2750ha, 35 MDT *Projet de modernisation de Sidi Thabet KFW, 3200 ha, 60 MDT *GIRE Mornag KFW 6800 ha, 45.5 MDT Programme annuel d entretien et de maintenance de 12 MDT/an
7 PROGRAMME NATIONAL D ECONOMIE D EAU : RESULTATS Sur le plan d économie d eau : gain entre entre 5 et 20 % due essentiellement à : -L amélioration de l efficience à la parcelle de 60% en 1990 à 76% - L amélioration de l efficience des réseaux de 60% à 65-80% -Rapprochement des tours d eau de 35 à 20 jours -L intensification agricole Sur le plan économique : -chaque dinars investi dans le domaine de l EE rapporte 2.5 DT -Amortissement au bout de 2 ans au grand Max et sans subvention -Amelioration de la productivité de l eau (ex. le grenadier passage de kg/m3 sans EE à kg/m3 avec EE)
8 PROGRAMME NATIONAL D ECONOMIE D EAU : PERSPECTIVES -Evaluation du PNEE en cours d un cout 800 mille dinars -Maintenir le niveau d équipement actuel à 90% - Favoriser l Irrigation localisée chaque fois que possible pour atteindre une superficie de 200 mille ha en Se concentrer sur le pilotage de l irrigation à la parcelle - Continuer les programmes de réhabilitation et de modernisation dans l esprit de valorisation des PI, -Renforcement des capacités vulgarisation sensibilsation; - Consolidation des programmes de maintenance des infrastructures hydrauliques
9 Localisation des périmètres irrigués par les EUT en Tunisie -Un volume traité de 242 millions de m3/an par 112 STEP -Actuellement environ 8150 ha, répartis sur 29 PI et liés à 27 STEP au niveau de 16 Gouvernorats. Bizerte Sidi Ahmed Borj Touil Ariana Soukra Kelibia Tunis Mannouba Ben Arous Boutoffaha Medjez El bab Jandouba Nabeul Zaghouan Le Kef Siliana Mediouna 9000 Souhil-Messedi-Bir Rommana- Bni Khiar Haouariet Nabeul Mornag Zaouiet Sousse Essemmana Sousse Sayada Lamta Bouhjar Dhraa Tammar Monastir Msaken 8000 Kairouan Ouerdanine Mahdia Kasserine 7000 Oued Essid Sbeitla 6000 Sidi Bouzid El Hajeb Sfax 5000 El Hancha Gafsa El Aguila Tozeur 2000 Chott Djerid Djerba Aghir Kebili El Hamma 1000 Centre 27% Oueljet elkhodher Gabès Eddissa Tataouine Sud 5% 1 % 68 dont 52% Grand Tunis LEGENDE Superficie aménagée et irriguée Superficie aménagée et non irriguée
10 Les domaines de réutilisation Espace verts Pêcher de Ouerdanine Cultures fourragères Médiouna Les agrumes de Soukra Les oliviers de Lamta En Tunisie, les EUT sont utilisées pour l irrigation de 29 périmètres de 8150 ha, de 11 terrains de golf (1100 ha) de 450 ha d espaces verts dans les zones urbaines et pour la recharge de la nappe (expérimental) B.recharge de Korba (2008) Terrain de golf à Soukra B.R d Oued Souhil (1985)
11 Réglementation tunisienne et aspect institutionnel A/ La réglementation tunisienne : un cadre solide de prévention des risques, prévue et mise en vigueur depuis 1975 dans le code des eaux. Les grandes lignes de la réglementation tunisienne gérant la REUT de l amont vers l aval sont: En 1989: Apparition des normes de rejet et de réutilisation des EUT. Décret n du 28 juillet 1989 modifié par le décret n du 13 décembre 1993, fixant les conditions d utilisation des eaux usées traitées à des fins agricoles. Décret n du 11 juillet 2005, relatif à l étude d impact sur l environnement. Arrêté du 21 juin 1994, fixant la liste des cultures qui peuvent être irriguées par les eaux usées traitées. Arrêté du 28 septembre 1995, approuvant le cahier des charges fixant les modalités et les conditions particulières de l utilisation des eaux usées traitées à des fins agricoles. Actuellement, deux projets de décret fixant: 1) les domaines et les conditions d utilisation des EUT, En cours d approbation 2) les valeurs limites des rejets d effluents dans le milieu R.
12 PROBLEMATIQUES ES EAUX USEES TRAITEES Malgré une tarification très faible de 20 millimes/m3, contre un coût d exploitation et de maintenance de 150 millimes/m3; le taux d intensification demeure très faible de 47% (Max de 80% enregistré en année seche) Les causes -Situation géographique des STEP (50%) sur le littorale -l instabilité de la qualité de l eau fournie par l ONAS -Limitation des cultures tolérées (arbo, céréales et fourrages) -Manque de sensibilisation des agriculteurs Les perspectives -L amélioration de la qualité de l eau à travers le traitement complémentaire, le traitement tertiaire en cas de valorisation -Le mélange avec des eaux conventionnelles -La recharge des nappes -L appui aux travaux de recherche des impacts de l irrigation par les EUT sur le sol, la production, les nappes, la santé, etc..
13 LE DESSALEMENT DES EAUX -Une longue expérience dans le domaine dessalement depuis les années 70; -La capacité actuelle de 120 mille m3/j dont 80% par la SONEDE; -4 Stations en cours de capacité 60 mille m3/j dont celle de Jerba (eau de mer 50 mille m3/j); -9 autres stations programmés de capacité 337 mille m3/j dont zaraat ( 100 mille m3/j ) et Sfax (200 mille m3/j ).
14 LA SITUATION ACTUELLE DES GDA-GH D EAU POTABLE QUELQUES INDICATEURS RELATIFS À LA GESTION TECHNICO- FINANCIÈRE DES SAEP/GDA-GH Nombre des SAEP : 1700 Nombre de GDA-GH : 1327 GDA-GH Nombre d habitant desservies : 1.6 Million, Consommation spécifique : 55 l/hab./jr, Coût moyen : 0.7 DT/m3, Tarif appliqué : DT/m3. Nombre de GDA/PI : 1253 Superficie des PPI gérés par les GDA : ha Consommation en eau par hectare équipé - PPI du Nord : 1650 m 3 /ha/an - PMH du centre : 1870 m 3 /ha/an - Oasis (Kebili Gabes - Tozeur): m 3 /ha/an - Oasis (Gafsa): 7400m 3 /ha/an Répartition des SAEP-GDA selon le niveau de fonctionnalité 24% 11% 34% 25% 6% GDA caractérisés par un bon niveau de fonctionnalité GDA caractérisés par un niveau moyen de fonctionnalité (type 1) GDA caractérisés par un niveau moyen de fonctionnalité (type2) GDA caractérisés par un faible niveau de fonctionnalité GDA non fonctionnels
15 MERCI DE VOTRE ATTENTION
16 EXPLOITATION DES RESSOURCES EN EAU : IRRIGATION -La superficie irriguée a évolué d une manière continue proportionnellement au taux de mobilisation des ressources en eau. La superficie actuelle est de l ordre de ha en % de cette superficie dans le Nord (barrages), 39% dans le centre (nappes renouvelables) et 10% dans le sud (nappes fossiles) العمومیة الخاصة Titre de l'axe
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